En hommage à
Salem


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En hommage à
Salem

Il est né le:19/09/2002
Il nous a quittés le:16/12/2019

notre petit Salem
nous t'avons recueilli,tu étais qu'un bébé,tu as partagé notre vie 17 ans
Ces 17 années sont passées trop vite, on oubliera pas tous ces merveilleux moments passés en ta compagnie, ta fidélité, ta gentillesse l'amour que tu nous donnait.
Depuis que tu es parti, nous te cherchons aux endroits où tu avais tes habitudes surtout dans la haie ou tu aimais bien aller te reposer ou sur la terrasse. ton départ laisse un grand vide.je suppose que tu verras smogo et flipper car il sont au paradis des chiens .
Tu resteras a jamais gravé dans notre cœur, nous t aimerons toujours.
Passe de bon moments au paradis des chats.




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66 Fleurs
Seules les fleurs déposées depuis moins d'un an sont visibles
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
on dit que si vous voyez un papillon il y a quelqu'un dans le ciel qui pense à vous alors levez les yeux et souvenez vous qui vous protège et veille de la haut ne serait ce pas votre petit ange adoré
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Pleins de câlins mon salem nous t aimons 🌹
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
Avec amour ces petites fleurs au doux parfum, douce nuit
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou
belle journée petit ange d'amour dans ton joli jardin aux milles et douces couleurs; remplit de douceur et de tendresse 💖🌺🦋🌲🌸🌼💐🌹🌷🌳🌾🏞
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Je t aime fort ❤️❤️❤️❤️
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par lili2248
Déposé par lili2248
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Il est et il sera toujours sur votre peau et sur votre vie, vous êtes tellement fière de lui, il est tellement beau votre merveilleux ami que vous l'aimez à la folie et ce pour toujours.
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Le décès de nos amis à 4 pattes est toujours très difficile et même s'ils avaient des poils,une longue queue et qu'ils ne parlaient pas.Qui aurait pensé qu'ils pouvaient nous donner autant de bonheur.
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Quand vous alliez marchez-vous revoyez ses petits coins là où il sentait les autres chiens, vous revoyez sa démarche un peu traînante quand il fatiguait lui qui avait la volonté pour vous accompagner.
Déposé par Touky
Déposé par Touky
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par cooky
Déposé par choupinou
Déposé par choupinou



 
424 messages

Déposé par choupinou le 11/12/2024  
La neige
Regardez la neige qui danse
Derrière le carreau fermé.
Qui là-haut peut bien s'amuser
A déchirer le ciel immense
En petits morceaux de papier ?
— Pernette Chaponnière (1915-2008)

Déposé par choupinou le 07/11/2024  
quand tu te souviens de moi, cela signifie que tu as gardé avec toi
quelque chose de qui je suis, que j'ai laissé une trace de qui je suis sur qui tu es
cela signifie que tu peux me rappeler à ton esprit même si d'innombrables années
et kilomètres peuvent nous séparer
cela signifie que si nous nous rencontrons à nouveau, tu me reconnaîtras
cela signifie que même après ma mort, tu peux toujours voir,
ma silhouette et entendre mon ronron et me parler dans ton coeur.
Aussi longtemps que tu te souviendras de moi, je ne serai jamais complètement perdu
texte de Frederick Buechner
( de tout petit changement pour la circonstance ici sur ce cimetière de nos aimés

Déposé par lili2248 le 03/05/2024  

Dans le calme des pièces où la joie dansait autrefois
Un silence persiste, lourd, vaste et profond
Les échos de tes pattes, un chant rythmé
Maintenant étouffé, dans le tendre donjon de mémoire
══════ ೋღ🌸💜🌸ღೋ ═══════
Ton col est accroché, un gage du passé
Son jingle perdu, un son qui nous tient si cher
Chaque coin, chaque ombre que vous jetez
Ça nous rappelle un amour toujours si proche
══════ ೋღ🌸💜🌸ღೋ ═══════
Le canapé est nu, où une fois posé la tête
Et regardé le monde avec des yeux si pleins de grâce
La cour dehors, où vous avez si librement accéléré
Ça semble vide maintenant, sans ton rythme animé
══════ ೋღ🌸💜🌸ღೋ ═══════
L'air est immobile, les rires maintenant soumis
Une maison autrefois remplie, par votre présence gouvernée
Le chagrin gonfle, dans la solitude renouvelée
Pour chaque espace, par ton absence scolaire
══════ ೋღ🌸💜🌸ღೋ ═══════
Mais dans ce vide, où le chagrin marche doucement
Ton esprit persiste, doux, doux et doux
Dans chaque douce brise, ton essence se répand
Dans des murmures doux, nos âmes se rencontrent à nouveau
Car bien que la maison soit vide sans toi
Nos cœurs sont remplis, avec un amour toujours vrai
══════ ೋღ🌸💜🌸ღೋ ═══════
Parti Mais Pas Oublié...

Déposé par spanky le 01/05/2024  
A Pâques
-----
Frère Jacques, frère Jacques,
Réveille-toi de ton sommeil d'hiver
Les fins taillis sont déjà verts
Et nous voici au temps de Pâques,
Frère Jacques.
----
Au coin du bois morne et blêmi
Où ton grand corps s'est endormi
Depuis l'automne,
L'aveugle et vacillant brouillard,
Sur les grand-routes du hasard,
S'est promené, longtemps, par les champs monotones ;
Et les chênes aux rameaux noirs
Tordus de vent farouche
Ont laissé choir,
De soir en soir,
Leur feuillage d'or mort sur les bords de ta couche.
----
Frère Jacques,
Il a neigé durant des mois
Et sur tes mains, et sur tes doigts
Pleins de gerçures ;
Il a neigé, il a givré,
Sur ton chef pâle et tonsuré
Et dans les plis décolorés
De ta robe de bure.
----
La torpide saison est comme entrée en toi
Avec son deuil et son effroi,
Et sa bise sournoise et son gel volontaire ;
Et telle est la lourdeur de ton vieux front lassé
Et l'immobilité de tes deux bras croisés,
Qu'on les dirait d'un mort qui repose sous terre.
----
Frère Jacques,
Hier au matin, malgré le froid,
Deux jonquilles, trois anémones
Ont soulevé leurs pétales roses ou jaunes
Vers toi,
Et la mésange à tête blanche,
Fragile et preste, a sautillé
Sur la branche de cornouiller
Qui vers ton large lit de feuillages mouillés
Se penche.
----
Et tu dors, et tu dors toujours,
Au coin du bois profond et sourd,
Bien que s'en viennent les abeilles
Bourdonner jusqu'au soir à tes closes oreilles
Et que l'on voie en tourbillons
Rôder sur ta barbe rigide
Un couple clair et rapide
De papillons.
----
Pourtant, voici qu'à travers ton somme
Tu as surpris, dès l'aube, s'en aller
Le cortège bariolé
Des cent cloches qui vont à Rome ;
Et, leurs clochers restant
Muets et hésitants
Durant ces trois longs jours et d'angoisse et d'absence,
Tu t'éveilles en écoutant
Régner de l'un à l'autre bout des champs
Le silence.
----
Et secouant alors
De ton pesant manteau que les ronces festonnent
Les glaçons de l'hiver et les brumes d'automne,
Frère Jacques, tu sonnes
D'un bras si rude et fort
Que tout se hâte aux prés et s'enfièvre aux collines
A l'appel clair de tes matines.
----
Et du bout d'un verger le coucou te répond ;
Et l'insecte reluit de broussaille en broussaille ;
Et les sèves sous terre immensément tressaillent ;
Et les frondaisons d'or se propagent et font
Que leur ombre s'incline aux vieux murs des chaumières ;
Et le travail surgit innombrable et puissant ;
Et le vent semble fait de mouvante lumière
Pour frôler le bouton d'une rose trémière
Et le front hérissé d'un pâle épi naissant.
----
Frère Jacques, frère Jacques
Combien la vie entière à confiance en toi ;
Et comme l'oiseau chante au faîte de mon toit ;
Frère Jacques, frère Jacques,
Rude et vaillant carillonneur de Pâques.
----
Émile VERHAEREN
1855 - 1916
----

Déposé par spanky le 22/04/2024  
Ton départ
Ça ira,
T'en fais pas
Laisse aller
Je reste fort, à tes côtés
Prends ma main,
Jusqu'à la fin
J'essaierai
D'avancer sans tomber
J'ai peur de ton départ
Que tout s'arrête là
C'est encore bien trop tôt
Et c'est toi qu'il me faut
Pour tenir ici bas
J'ai peur de ton départ
Chaque jour
Un peu trop lourd
Tu t'en vas
Quittes le monde à petits pas
Je me battrai
Pour continuer
Mais sans toi
Comment trouver ma voie?
J'ai peur de ton départ
Que tout s'arrête là
C'est encore bien trop tôt
Et c'est toi qu'il me faut
Pour tenir ici bas
J'ai peur de ton départ
J'ai peur de ton départ
Du dernier au revoir
C'est encore bien trop tôt
Ta voix comme un écho
Tu t'éloignes déjà
J'ai peur de ton départ
Que tout s'arrête là
C'est encore bien trop tôt
Et c'est toi qu'il me faut
Pour tenir ici bas
J'ai peur de ton départ
Ça ira,
T'en fais pas
Laisse aller
Ton dernier souffle, je suis à tes côtés
-------
Paroliers : Marc Dupre / Amelie Larocque

Déposé par spanky le 05/04/2024  
Mon maître,
------
Assieds-toi à côté de moi, j'ai à te parler.
Je t'ai, maintenant je le crois, assez écouté.
Je me souviens de notre rencontre, c'était un jour où le soleil brillait, l'air était doux. Un parfum de muguet, que je n'avais encore jamais respiré, se répandait tout autour de nous. Tu es venu vers moi, tu semblais si fatigué, si triste, que je me suis tout de suite senti proche de toi. Les arbres, les fleurs, l'herbe même sentaient la naissance, le début, la fraîcheur.
Quand tu m'as pris dans tes bras, ton cœur battait encore plus fort que le mien. Je me le rappelle bien, j'en étais stupéfait !
Tu me donnais tant d'amour qu'il me semblait que l'éternité était en nous, que ma vie était-elle.
Tu m'as connu bébé, je suis maintenant beaucoup plus vieux que toi, au crépuscule de ma vie.
C'est moi maintenant qui suis fatigué, si fatigué, éreinté. Je ne sens plus mes membres, je ne sens presque plus rien. Il est pour moi l'heure.
Tu es ce que tu es, celui que j'ai aimé, que j'ai toujours aimé. Le premier, le dernier.
Notre sort aurait pu être si différent… le mien surtout.
J'aurais pu me retrouver seul, dans le froid, attendant jusqu'à ma mort ton retour.
J'aurais pu me sentir abandonner mais confiant, même si cela peut paraître incompatible.
J'aurais pu croire en un faux Dieu, perdre ce que vous appelez des illusions.
Comme je me sens bien près de toi… il me semble sentir à nouveau le muguet comme ce jour de mai ; je sens ta chaleur, ta vie, il me semble même entendre battre ton cœur, comme au premier jour.
Pour moi, c'est le dernier. Ne pleure pas mon ami. Ton tour viendra, et je ne peux m'empêcher de te promettre que je t'attendrais, même si je sais que tu ne crois pas à ces choses-là.
Que nous reste-t-il donc ?
Rien d'autre que ce que tu penses être un faux espoir.
Mais tu en sais sans doute plus que moi sur ce sujet ?
Je vais continuer de vivre dans ton cœur, aussi longtemps que tu le souhaiteras. Je serais toujours tout près de toi, tant que mon image sera présente en toi.
Je dois maintenant m'arrêter.
S'il te plait…
Pose ta main sur ma tête… caresses-moi. Je vais partir, et j'ai un peu peur. Il me faut ton odeur…
Adieu.

Déposé par spanky le 11/03/2024  
Un vieil homme se promenait et remarqua un enfant qui nourrissait les chiens errants.
Il lui demanda :
- "Pourquoi tu partages ton pain avec ces chiens?"
L'enfant répondit :
- "Parce qu'ils n'ont rien... Pas de maison... Pas de famille... Pas d'amour... Et si je ne le fais pas, ils vont mourir... "
Le vieil homme répondit :
- "Mais il y a tant de chiens errants... Tes efforts ne servent à rien... Ça ne fera aucune différence mon petit... "
L'enfant regarda un des chiens, le serra dans ses bras et répondit :
- "Mais pour ce petit chien, ça fait toute la différence du monde."

Déposé par spanky le 28/02/2024  
Merci, mon chien!
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Aujourd’hui, j’ai pris mon courage à deux mains et en famille,
nous sommes allés t’accompagner vers un repos tellement mérité…
je n’ai pas eu la force de le faire pour mon grand brun et je m’en veux encore.
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Tu as été un toutou formidable.
Vraiment, j’ai beau chercher, je ne te trouve aucun défaut.
Cela rend ton départ encore plus pénible.
----
Je pense t’avoir offert une vie de chien plus qu’enviable;
longues balades en forêt, nage à la rivière, récompenses, gâteries, câlins…
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Tu nous as bien rendu tout cet amour.
Tu étais si bien à nos côtés que tu étais souvent (toujours!) dans nos pattes!
C’est ce que j’appréciais le plus: ta douce présence.
---
Tu as traversé la grande épreuve de perdre ton copain du quotidien, ton gros Chummy.
Nous t’avons aidée de notre mieux.
Ceux qui prétendent que les chiens ne ressentent pas d’émotions n’ont visiblement jamais côtoyé ces bêtes…
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Tu as même été un guide, à ton tour, à l’arrivée de Gilbert.
Tu as enduré ses maladresses.
Merci d’avoir retrouvé ton cœur joueur, le temps de lui enseigné…
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Ta tête voulait suivre; ton sourire et tes yeux pétillants parlaient d’eux-mêmes.
Ton p’tit cœur et tes vieux os, eux, n’y arrivaient plus.
Ça rend mon chagrin encore plus grand.
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Je t’aime et tu seras dans mon cœur pour la vie, ma belle Dankä aux grands cils…
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Par Karine Lamarche le 7 juillet 2017.
Enseignante
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Déposé par spanky le 27/01/2024  
Les animaux vivent sur terre au même titre que les humains.
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Ils sont dotés d'une âme comme nous et ressentent les choses bien mieux que nous.
Ils n'ont pas de préjugés, ils sont saint d'esprit.
Ils sont bien trop maltraités sur la terre, alors qu'ils sont remplis d'amour pour nous.
Ils ne demandent qu'à partager cet amour.
Ils ressentent vos joies, vos peines.
Ils comprennent tout de façon télépathique.
Ils se branchent sur vous et lisent vos pensées.
Les animaux envoient continuellement de l'amour sans compter.
Ils montrent une grande évolution et nous nous croyons supérieur à eux,
Alors qu'ils pourraient nous donnez une belle leçon d'amour.
Ils sont d'une grande sincérités contrairement à l'homme, qui par son égo, se croit supérieur.
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Déposé par spanky le 25/01/2024  
Belle réflexion !
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Pourquoi les chiens vivent moins longtemps que les humains ?
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Voici la réponse (selon un enfant de 6 ans) :
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En tant que vétérinaire, on m'a appelé pour examiner un chien irlandais de 13 ans appelé Belker.
La famille du chien, Ron, sa femme Lisa et leur fils Shane, étaient très proches de Belker et attendaient un miracle.
J'ai examiné Belker et j'ai découvert qu'il mourait d'un cancer. J'ai dit à la famille que je ne pouvais rien faire pour Belker, et j'ai proposé de faire la procédure d'euthanasie chez elle.
Le lendemain, j'ai ressenti leurs sentiments de plein fouet quand Belker a été entouré par sa famille. Shane semblait si calme, caressant le chien pour la dernière fois, et je me demandais s’il comprenait ce qui se passait. Au bout de quelques minutes, Belker tomba paisiblement en dormant pour ne jamais se réveiller.
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L'enfant semblait accepter la transition de Belker sans difficulté. Nous nous sommes assis un moment pour nous demander pourquoi le malheur fait que la vie des chiens est plus courte que celle des êtres humains.
Shane, qui avait écouté attentivement, a dit :" je sais pourquoi "
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Ce qu'il a dit ensuite m'a surpris : je n'ai jamais entendu une explication plus réconfortante que celle-ci. Ce moment a changé ma façon de voir la vie.
Il a dit : " les gens viennent au monde pour apprendre à vivre une belle vie, comme aimer les autres tout le temps et être quelqu'un de bien, hein ? ''
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" Et bien, comme les chiens sont déjà nés en sachant comment faire tout ça, ils n'ont pas à rester aussi longtemps que nous. ''
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La morale de l'histoire est :
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Si un chien était ton professeur, il t’apprendrait des choses comme :
-----
* Quand vos proches arrivent à la maison, il faut toujours aller dire bonjour ;
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* Ne laissez jamais passer une occasion d'aller se promener ;
---
* Faites l'expérience de l'air frais et du vent ;
---
* Courez, sautez et jouez tous les jours ;
---
* Améliorez votre attention et laissez les gens vous toucher ;
---
* Évitez de " mordre " lorsque seul un " grognement " serait suffisant ;
---
* Dans les jours chauds, allongez-vous sur l'herbe.
---
Et N'oubliez jamais : " quand quelqu'un aura eu une mauvaise journée, restez silencieux, asseyez-vous près de lui et doucement faites-lui sentir que vous êtes là...
-----
C'est le secret du bonheur que les chiens nous apprennent tous les jours.
--------

Déposé par poutounou le 24/01/2024  
Magnifique texte de Florent Pagny : « Dors…Laisse-moi couvrir tes ailes blanches et ton corps… »
*
Dors…
*
Dors
Oublie les blessures lâches du temps
Dors
Ne réveille pas tes yeux d'océan
Dors
Laisse ton âme libre
Aux désirs que tu crois
Garde ta flamme vive
Je serai toujours là
Même si tu ne me vois pas
Dors
Mon cœur, mon ange
*
Dors
Laisse-moi couvrir tes ailes blanches
Et ton corps
Je veillerai sur tes pas
Je serai près de toi
Oh, je te promets
Que si un jour tu tombes
Ce sera dans mes bras
Aussi longtemps que tu le voudras
*
Dors
Fais-moi rêver le ciel
Entends mon appel
Fais-moi plus fort au réveil
Je serai ton gardien
Le Noël de tes lendemains
*
Dors, dors

Déposé par spanky le 23/01/2024  
ABANDON
--------
Je me promenais le long de la forêt
L’air pensif, la mime gaie
Un enfant jouait au loin
Un homme promenait son chien.
J’écoutais chanter les oiseaux
Dans le champ couraient des lapereaux.
Un bel après-midi à la campagne
Tout ce qui fait son charme.
Je décidais de m’enfoncer un peu dans le bois
En espérant tout au fond de moi
Pouvoir apercevoir une biche avec son faon.
Je marchais donc tout tranquillement
Quand j’entendis un gémissement.
Un tout petit cri à peine audible
Perdu au fin fond de cet endroit si paisible.
Je secouais la tête en pensant
Que ce cri vraiment pas charmant
Etait encore une illusion
Un bruit sorti de mon imagination.
Je repris ma marche paisiblement
Quand pour la deuxième fois, retendit ce gémissement.
J’ai donc décidé courageusement
De voir d’où venait ce cri alarmant.
J’ai marché quelques pas, en suivant le bruit
Mille questions arrivèrent dans mon esprit
Qu’allais-je trouver au bout de ce chemin
Qui pouvait émettre ce bruit inhumain ?
Plus je m’approchais, plus je m’inquiétais
De savoir ce qui se trouvait dans les bosquets.
Me voici donc arrivée sur les lieux
Ou ma curiosité m’avait conduite
Et malheureusement, je n’ai rien trouvé de merveilleux
Juste quelque chose d’affreux.
Il était là, tout tremblant
Il était là, tout pleurant
Se demandant ce qui avait fait pour mériter
De finir à cet arbre attaché.
Dès qu’il me vit, il remua la queue
Êtres magiques, Êtres merveilleux
Qui n’ont dans leur cœur
Que joie et bonheur
Pour nous les humains, souvent malsains.
Ils nous aiment sans discernement
Et pourtant, même trop souvent
On les maltraite, on les torture, on les bat
Sans se rendre compte de tout l’amour qu’ils ont pour nous ici-bas.
Il était donc là, ce petit chien
Avec dans ces yeux tout l’amour pour l’humain.
Combien de temps avait-il pleuré au milieu de ces bois
Combien de temps a-t-il attendu le retour d’une o***** qui ne reviendrait pas ?
Je m’approchais de lui, le caressais
Lui retirais la corde qui l’entravait là
Je le pris dans mes bras
Et doucement lui parla.
Tu es sauvé mon chien, mon ami
Mais pour un que l’on retrouve en vie
Combien meurent seuls dans la nuit ?
Abandonner son animal est une horreur
Que rien sur cette Terre ne justifie
Alors vous, hommes pourris, hommes sans cœur
Si parfois vous en avez envie
Dites-vous que je vous maudis.

Déposé par spanky le 21/01/2024  
Quelqu'un là-haut,
-------
Une vie de plus,
Au terminus...
Un chagrin,
Qui réveillera le matin,
En cherchant en vain,
Quelqu’un et sa main.
----
C'est un silence,
C'est une absence,
Le manque d'une présence...
Personne n'en aura les mots,
Tomberont les sanglots,
C'est tout ce qui reste,
C'est tout ce qui blesse.
----
Une vie de plus,
Au terminus,
Ce n'est que peine,
Qui se ramène,
Sur un triste je t'aime
Qui entre ciel terre et ciel,
Est bien la plus cruelle.
-------

Déposé par poutounou le 21/01/2024  
Très jolie chanson de Jean-Louis Aubert dédiée à nos tendres Anges...
*
Il manque un temps à ma vie
Il manque un temps, j'ai compris
Il me manque toi
Mon alter ego
*
Tu es parti mon ami
Tu m'as laissé seul ici
Mais partout tu me suis
Mon alter ego
*
Où tu es
J'irai te chercher
Où tu vis
Je saurai te trouver
Où tu te caches
Laisse-moi deviner
*
Dans mon coeur rien ne change
T'es toujours là, mon ange
*
Il manque ton rire à l'ennui
Il manque ta flamme à ma nuit
C'est pas du « je »
Mon alter ego
*
Où tu es
J'irai te chercher
Où tu vis
Je saurai te trouver
Où tu te caches
Laisse-moi deviner
T'es sûrement baie des anges
Sûrement là-bas, mon ange
Sûrement là-bas
Sûrement là-bas
*
Où tu es
J'irai te chercher
Où tu vis
Je saurai te trouver
Où que tu sois
Je voudrais que tu saches
Dans mon coeur rien ne change
T'es toujours là, mon ange
*
Il manque un temps à ma vie
Il manque ton rire, je m'ennuie
Il me manque toi, mon ami

Déposé par spanky le 19/01/2024  
L' enfant et le chien
---------
Un agriculteur avait des chiots qu'il avait besoin de vendre ne pouvant garder toute la portée.
Il peint un panneau annonçant la vente des 4 chiots et le cloua à un poteau sur le côté de sa cour.
Comme il plantait le dernier clou dans poteau,il sentit un tiraillement sur le côté de sa s*****tte.
Il vit les grands yeux d'un petit garçon tournés vers lui.
"Monsieur , " dit-il, " je veux acheter un de vos chiots. "
«Eh bien, » dit le fermier, en frottant la sueur à l'arrière de son cou : «Ces chiots viennent des parents très racés et coutent beaucoup d'argent " ..
Le garçon baissa la tête un moment.
Ensuite, fouillant profondément dans sa poche, il sortit une poignée de monnaie et la tendit à l'agriculteur.
«J'ai trente-neuf cents.
Est- ce suffisant pour jeter un œil ? "
«Bien sûr» dit le fermier .
Et il laissa échapper un sifflement . «Ici, Dolly! " il a appelé .
Venant de la niche et descendant la rampe, Dolly courut, suivie par quatre petites boules de fourrure.
Le petit garçon pressa son visage contre le grillage.
Ses yeux brillaient de joie.
Comme les chiens arrivaient à la clôture, le petit garçon remarqua quelque chose d'autre qui remuait à l'intérieur de la niche.
Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus petite.
En bas de la rampe, elle glissa .
Ensuite, de manière un peu maladroite, le petit chiot a clopiné vers les autres, faisant de son mieux pour les rattraper .....
«Je veux celui-là, " dit le petit garçon , pointant l'avorton .
L'agriculteur s'agenouilla à côté du garçon et lui dit :
«Fiston, tu ne veux pas ce chiot .
Il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens le feraient. "
Le petit garçon recula de la clôture, se baissa et commença à rouler une jambe de son pantalon.
Ce faisant, il révéla une attèle en acier des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue .
En regardant l'agriculteur droit dans les yeux, il dit : «Vous voyez, monsieur, je ne cours pas très bien moi-même, et il aura besoin de quelqu'un qui le comprend. "
Avec des larmes dans les yeux, l'agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot ..
Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon.
" Combien? " demanda le petit garçon ... " Rien" , répondit le paysan , «il n'y a pas de prix pour l'amour. "
Le monde est rempli de gens qui ont tous besoin de quelqu'un qui les comprenne.

Déposé par spanky le 17/01/2024  
POEME SUR LA TRISTESSE D'UN CHIEN.
---------
Je ferme les yeux tout doucement
Tes mains sur moi me réchauffant.
Tu es venu me chercher trop tard
Moi qui n’ai vécu qu’une vie de désespoir.
Je suis né, on ne sait quand
Je suis né, on ne sait où
Pour moi tout est fini maintenant
Voilà que je pars en regardant ton visage si doux.
Depuis ma naissance, je suis maltraité
Je n’ai connu des humains aucune humanité.
Attaché à un pieu par tous les temps
N’ayant pour m’abriter qu’un misérable auvent
J’ai grandi dans la solitude et la peur
Subissant la colère et la froideur
De ces gens qu’on appelle humains.
Jamais un regard, une caresse
Un mot doux, une gentillesse
J’étais là pour les servir
Les protéger, les avertir.
Ils m’ont pris pour être leur gardien
Sans se soucier de mon quotidien.
J’ai eu froid, j’ai eu faim
Souvent malade comme un « chien »
Mais personne ne s’est jamais inquiété
De mon état de santé,
De savoir si j’avais assez à manger.
Jamais je n’ai pu jouer,
On m’a interdit de gambader
Le jour où on m’a enchaîné.
Mais toi, tu es passé par là
Tu m’as vu, tu m’as secouru.
Mais il est trop tard pour moi, je crois
Pour vivre une vie qui m’aurait surement plu.
Je vois des larmes dans tes yeux,
Des mots gentils arrivent à mes oreilles
Qui chauffent mon cœur comme le soleil.
Je vais mourir aujourd’hui
Je vais mourir heureux mon ami
Car je pars en sachant
Qu’il existe encore des braves gens
Qui peuvent donner leur temps
Qui peuvent donner leur argent
Pour essayer que nous, les malheureux
Les mal-aimés, les battus, les enchaînés
Finitions notre vie dans la dignité.
Merci à vous les associations, les gens de bonne résolution
Vous qui essayez de nous sauver
Au prix de vos loisirs, de votre santé.
Vous qui aidez peu importe la manière
A éviter qu’on vive une vie de misère.

Déposé par poutounou le 17/01/2024  
Que c'est joliment dit ! "Ton absence est entrée chez moi..."
*
Ton Absence
*
Yves Duteil
*
Comme une bouffée de chagrin
Ton "visage" ne me dit plus rien
Je t'appelle et tu ne viens pas
Ton absence est entrée chez moi
*
C'est un grand vide au fond de moi
Tout ce bonheur qui n'est plus là
Si tu savais quand il est tard
Comme je m'ennuie de ton "regard"
*
C'est le revers de ton amour
La vie qui pèse un peu plus lourd
Comme une marée de silence
Qui prend ta place et qui s'avance
*
Je dors blotti dans ton "sourire"
Entre le passé, l'avenir
Et le présent qui me retient
De te rejoindre un beau matin
*
Dans ce voyage sans retour
Je t'ai offert tout mon amour
Même en s'usant l'âme et le corps
On peut aimer bien plus encore
*
Bien sûr, là-haut de quelque part
Tu dois m'entendre ou bien me voir
Mais se « parler » c'était plus tendre
On pouvait encore se comprendre
*
Je suis resté sur le chemin
Avec ma vie entre les mains
À ne plus savoir comment faire
Pour avancer vers la lumière
*
Il ne me reste au long des jours
En souvenir de ton amour
Que cette fleur qui s'épanouit sur le silence...
Ton absence...

Déposé par spanky le 15/01/2024  
La vie les animaux et nous
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Soyons extrêmement prudents, telle est notre quête,
Lorsque le chemin s'étend hors des zones urbaines,
Automne et hiver, des sauvages rencontres se prêtent,
Le risque sur la route, telle une ombre incertaine.
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Vigilance renforcée, quand la nuit s'installe,
Dans les régions rurales, près des bois mystérieux,
Les animaux sauvages, gardiens de leur vaste pâle,
Nous rappellent que la nature est un monde curieux.
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Chaque année, des collisions nous rappellent,
La fragilité des liens entre homme et faune,
Des milliers d'accidents, un triste décompte,
Où l'impact est lourd, sur le destin qui résonne.
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Les dommages sont considérables, hélas,
Pour l'animal innocent, pour le véhicule aussi,
Une rencontre funeste, un destin qui trépasse,
Le choc avec un sanglier, cruelle ironie.
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Le véhicule déclaré "irréparable", triste constat,
Symbole de cette rencontre tragique sur la route,
Mais rappelons-nous toujours, avec empathie en éclat,
La vie sauvage mérite respect, sans aucun doute.
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Soyons prudents, veillons avec attention,
À protéger les êtres qui partagent notre terre,
En harmonie, en coexistence, telle est notre mission,
Pour que la nature et l'homme puissent se plaire.
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Dans l'automne et l'hiver, quand la nuit étend son voile,
Soyons les gardiens de cette fragile alliance,
Prudence et respect, pour que la vie foisonne, étoile,
Et que chacun trouve sa place, en toute bienveillance.
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Déposé par poutounou le 14/01/2024  
Extrait du « Paradis blanc » de Michel Berger (avec une phrase en plus…)
*
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où les manchots s'amusent dès le soleil levant
Où les chiens courent sans collier, librement
Et jouent en nous montrant
Ce que c'est d'être vivant
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où l'air reste si pur
Qu'on se baigne dedans
À jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Parler aux poissons d'argent
Et jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant

Déposé par spanky le 13/01/2024  
NOUS les aimons tant...et d'autres..de sinistres individus les martyrisent !!!
**********************************Le journal d’un chien
Semaine 1:
Ca fait aujourd’hui une semaine que je suis né. Quel bonheur d’être arrivé dans ce monde!
Mois 01:
Ma maman s’occupe très bien de moi. C’est une maman exemplaire.
Mois 02:
Aujourd’hui j’ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et m’a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle "famille humaine" s’occupera aussi bien de moi qu’elle l’a fait.
Mois 04:
J’ai grandi vite, tout m’attire et m’intéresse. Il y a plusieurs enfants à la maison, ils sont pour moi comme des "petits frères". Nous sommes très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer.
Mois 05:
Aujourd’hui, ils m’ont disputé. Ma maîtresse m’a grondé parce que j’ai fait "pipi" à l’intérieur de la maison, mais ils ne m’ont jamais dit où je devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaignais pas!
Mois 12:
Aujourd’hui j’ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres disent que j’ai grandi plus qu’ils ne le pensaient. Qu’est-ce qu’ils doivent être fiers de moi !
Mois 13:
Aujourd’hui, je me suis senti très mal. Mon "petit frère" m’a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes machoires sont devenues fortes et je l’ai blessé sans le vouloir. Après la peur, ils m’ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu’ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne comprends rien à ce qui se passe.
Mois 15:
Plus rien n’est pareil... je vis sur le balcon. Je me sens très seul, ma famille ne m’aime plus. Ils oublient parfois que j’ai faim et soif. Quand il pleut, je n’ai pas de toit pour m’abriter.
Mois 16:
Aujourd’hui, ils m’ont fait descendre du balcon. J’étais sûr que ma famille m’avait pardonné et j’étais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m’emmènent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d’un coup, ils se sont arrêtés. Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermé la porte et sont partis. "Ecoutez, attendez !" Vous... vous m’oubliez. J’ai couru derrière la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j’allais m’évanouir et qu’ils ne s’arrêtaient pas : ils m’avaient oublié.
Mois 17:
J’ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la maison. Je me sens et je suis perdu. Sur mon chemin, il y a des gens de coeur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger. Je les remercie du regard et du fond du coeur. J’aimerais qu’ils m’adoptent et je leur serais loyal comme personne. Mais ils disent juste "pauvre petit chien", il a dû se perdre.
Mois 18:
L’autre jour, je suis passé devant une école et j’ai vu plein d’enfants et de jeunes comme mes "petits frères". Je me suis approché et un groupe, en riant, m’a lancé une pluie de pierres pour "voir qui visait le mieux". Une des pierres m’a abîmé l’oeil et depuis je ne vois plus de celui-ci.
Mois 19:
Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi quand j’étais plus joli. Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé. J’ai perdu mon oeil et les gens me font partir à coup de balais quand j’essaie de me coucher dans un petit coin d’ombre.
Mois 20:
Je ne peux presque pas bouger. Aujourd’hui, en essayant de traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n’oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de m’écraser. Si au moins il m’avait tué ! Mais il m’a éclaté la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arrières ne réagissent plus et je me suis difficilement irai vers un peu d’herbe au bord de la route.
Mois 21:
Cela fait 10 jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger. Je ne peux pas bouger. La douleur est insupportable. Je me sens très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe. Des gens passent, ils ne me voient même pas, d’autres disent "ne t’approche pas". Je suis presque inconscient, mais une force étrange m’a fait ouvrir les yeux... la douceur de sa voix m’a fait réagir. Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel état ils t’ont laissé"... avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m’a touché et a dit "je regrette madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux arrêter ses souffrances". La gentille dame s’est mise à pleurer et a approuvé.
Comme je le pouvais, j’ai bougé la queue et je l’ai regardé, la remerciant de m’aider à trouver enfin le repos. Je n’ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j’étais né si personne ne me voulait.
La solution n’est pas de jeter un chien à la rue, mais de l’éduquer. Ne transforme pas en problème une compagnie fidèle. Aide à faire prendre conscience et à mettre fin au problème des chiens abandonnés.




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