le paradis des chiens,
Ils ne comprennent pas mon chagrin,
" Après tout, ce n'était qu'un chien ! "
Mais ils oublient que les humains,
Valent parfois bien moins que rien !
Le plus fidèle des amis,
Il ne m'aurait jamais trahie,
Oui, contrairement à beaucoup d'hommes,
Les chiens nous aiment tels que nous sommes !
Qui d'autre, sans hésiter un seul instant,
Donnerait pour nous sa vie et son sang ?
Et sans poser aucune question,
Affronte seul tous nos démons ?
Alors dans ce monde de bandits,
Si tant est qu'il y ait un paradis,
Je crois que Dieu, en bon chrétien,
Devrait y accueillir les chiens !
marina amitier ,

le temps passe mais les souvenirs restent a jamais graves dans nos coeurs gros calinous et douces caresses a vous petits tresors amitiee a vos maitres

je connais votre grande tristesse ayant du abreger les souffrances de gribouille mais nos amis savent que ce geste si difficile est notre dernier cadeau d amour bon courage a vous je vous embrasseet je mele mes larmes aux votres pour r:mine et gribouille

Même quand vous partez jouer au paradis...
Vous êtes tatoués dans nos coeurs,
dans nos sourires et dans nos pleurs.
une douce pensée pour toi R mime

Ah, l'amour d'un chien est immense, autant que le vide qu'il laisse en partant.............
Vous avez pris la bonne décision et c'est aussi un acte d'amour. R'mire le savait, lui aussi.
De là haut il continue de veiller sur sa famille.
Mille calins pour lui, pour tous les anges qui l'accompagnent

Je comprends votre chagrin j'ai du abréger les souffrances de mon colley Papaye le 27 08 2009 c'est du chagrin au quotidien courage !....

repose en paix, beau R'mine.que d'amour, de calins t as du donner a tes maitres;que de joie t as du leur apporter.repose en paix, mon grand, la haut au pays de l'arc en ciel.;

La maladie nous retire nos loulous sans vergogne...

"La mort n’est rien
Je suis simplement passé dans la pièce à côté.
Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. N’emploie pas de ton différent.
Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait vivre ensemble. Prie. Souris. Pense à moi. Prie pour moi. Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme il l’a toujours été. Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre.
La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié. Elle reste ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée, Simplement parce que je suis hors de ta vue ? Je t’attends. Je ne suis pas loin. Juste de l’autre côté du chemin.",
--------KIALLAN, MAMAN DE JOY----------