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In tribute to
YORKSHIRE-TERRIERfifi
Born on :15/10/2010
left us on:24/08/2024
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83 Flowers
19 messages
left by mouette on 26/09/2024Ma petite fifi voilà 1 mois déjà que tu n ' est plus à mes côtés. Tu me manques beaucoup. |
left by poutounou on 25/09/2024Oui, tu vis à l'infini mon Ange... * À l'infini * Là-haut, tu es. Là-haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle à jamais que rien ne sépare de la pure lumière ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es là, hors d'atteinte, hors du monde où meurent les âmes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis à l'infini. * André Velter ("L'amour extrème, poèmes pour Chantal Mauduit", éditions Gallimard, 2000) |
left by poutounou on 22/09/2024Qui nous surveille ??? Notre Ange peut-être !!! * Quelqu'un * De l'autre côté du miroir Quelqu'un nous épie Quelqu'un compte nos fils d'argent un à un. Quelqu'un regarde se serrer l'épervier des rides Quelqu'un nous garde Quelqu'un nous emporte Quelqu'un ouvre et ferme des portes à l'envers. Quelqu'un nous oublie Quelqu'un vend de l'espoir Quelqu'un au visage blanc ou doré de l'autre côté du miroir sur le tain de la nuit. Quelqu'un, quelqu'un, quelqu'un mais qui ? * Armand Lanoux ("La tulipe orageuse " Seghers 1959) |
left by poutounou on 18/09/2024Vous croyez qu’ils jouent aux billes là-haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! Moi j’adorais jouer aux billes… * Un Ange parfois joue aux billes… * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une étoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fée courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rêvant derrière un carreau. * Maurice Carême |
left by mouette on 15/09/2024Je pense beaucoup à toi mon petit coeur |
left by poutounou on 15/09/2024Coulez, ô larmes éternelles, car ici-bas je reste seul… * L'ange envolé. * Mon ange a reployé ses ailes Et dort glacé sous un linceul ; Coulez, ô larmes éternelles, Car ici-bas je reste seul. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. * Cette douce sœur de mon âme, Pour charmer mon cœur attristé, Me parlait encore de sa flamme Sur le seuil de l'éternité. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. * Si jusqu'à toi, de cette terre S'élève mon chant désolé, Sois attentive à ma prière En ton beau royaume étoilé. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. * François-Marie Robert-Dutertre (1815-1898) |
left by poutounou on 11/09/2024Le Bonheur c’est une truffe fraîche dans le cou… * Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus légère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec précaution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, légère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pénètre de sa paix. * Même fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le réel, Alors que la pensée remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La découverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'être aimé. * Et malgré la nuit du monde, Malgré les destructions, Tenons notre lampe allumée, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
left by mouette on 10/09/2024Voilà ma petite fifi mon petit coeur j ' ai reçu tes cendres et maintenant tu es auprès de ma petite belle tout pres de moi . Tu es toujours dans mes pensées |
left by poutounou on 08/09/2024La joie * O ces larges beaux jours dont les matins flamboient ! La terre ardente et fière est plus superbe encor Et la vie éveillée est d'un parfum si fort Que tout l'être s'en grise et bondit vers la joie. * Soyez remerciés, mes yeux, D'être restés si clairs, sous mon front déjà vieux, Pour voir au loin bouger et vibrer la lumière ; Et vous, mes mains, de tressaillir dans le soleil ; Et vous, mes doigts, de vous dorer aux fruits vermeils Pendus au long du mur, près des roses trémières. * Soyez remercié, mon corps, D'être ferme, rapide, et frémissant encor Au toucher des vents prompts ou des brises profondes ; * O ces matins de fête et de calme beauté ! Roses dont la rosée orne les purs visages, Oiseaux venus vers nous, comme de blancs présages, Jardins d'ombre massive ou de frêle clarté ! * A l'heure où l'ample été tiédit les avenues, Je vous aime, chemins, par où s'en est venue Celle qui recélait entre ses mains, mon sort ; * Je vous aime, lointains marais et bois austères, Et sous mes pieds, jusqu'au tréfonds, j'aime la terre Où reposent mes morts. * J'existe en tout ce qui m'entoure et me pénètre. Gazons épais, sentiers perdus, massifs de hêtres, Eau lucide que nulle ombre ne vient ternir, Vous devenez moi-même étant mon souvenir. * Emile Verhaeren, La Multiple Splendeur |
left by poutounou on 04/09/2024L'écho * Rôdant, triste et solitaire Dans la forêt du mystère, J’ai crié le coeur très las : - « La vie est triste ici-bas ! » L’Écho m’a répondu : « Bah ! » – « Écho, la vie est méchante ! » Et, d’une voix bien touchante, L’Écho m’a répondu : « Chante ! » – « Écho, Écho des grands bois, Lourde, trop lourde est ma croix ! » L’Écho m’a répondu : « Crois ! » – « La haine en moi va germer, Dois-je rire ou blasphémer ? » Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! » Comme l’Écho des grands bois M’a conseillé de le faire : J’aime, je chante et je crois ! Et je suis heureux sur terre ! * Théodore Botrel (1868-1925) |
left by colombine67 on 03/09/2024"Le chien" ....Sur la tombe du Maître il s'obstine à mourir Il n'a pas oublié les soldats qui l'aimaient Et dont il partagea la gamelle de soupe... Il a toujours suivi docilement la troupe De ceux qui ne sont plus et qui le caressaient. Pauvre chien! il a vu succomber ses amis... Il était là quand se déroulait la bataille... Il les a vus, fauchés par la rude mitraille Et sait que pour toujours ils se sont endormis. Hélas! Jusqu’à la mort il leur sera fidèle... Il ne veut pas quitter le glorieux tombeau Et près de l'humble croix que voisine un drapeau Il garde leur dépouille et parfois les appelle. Il n'a pas oublié les soldats qui l'aimaient Et dont il partagea la gamelle de soupe... Il a toujours suivi docilement la troupe De ceux qui ne sont plus et qui le caressaient. Et quand le soir descend sur la plaine endeuillée, Il a des aboiements lugubres qui font peur. Pauvre chien, qui n'eût pas le suprême bonheur De mourir avec eux, là-bas, dans la tranchée. Poème écrit par un soldat de la guerre 1914-1918 |
left by poutounou on 01/09/2024Elévation * Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delà le soleil, par-delà les éthers, Par-delà les confins des sphères étoilées, * Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde, Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. * Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides; Va te purifier dans l'air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. * Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins ; * Celui dont les pensées, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes ! * Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal |
left by colombine67 on 01/09/2024Certains chiens passent plus de temps au refuge que d’autres, sans que les bénévoles en sachent toujours la raison. Acorn fait partie de ceux qui y ont passé un temps record, avec plus de 600 journées dans son box. Acorn est un chien de sauvetage. Il a passé exactement 633 jours dans le refuge Outer Banks SPCA, basé à Manteo dans l’État de Caroline du Nord aux États-Unis. Cela fait donc plus de 2 ans qu’il a patienté derrière les barreaux de son box, rapporte le média People. Il a vu bon nombre de ses compagnons partir, les uns après les autres, pour rejoindre le doux foyer de leur famille adoptive. Mais personne ne s’intéressait à Acorn. Les gens arrivaient devant son chenil, puis passaient leur chemin, pour aller adopter un autre toutou. L’adorable boule de poils au pelage caramel est donc devenue le plus ancien des résidents du refuge Outer Banks SPCA. Le miracle espéré pendant si longtemps s’est enfin produit Acorn avait passé tant de temps au refuge qu’il avait noué une relation très forte avec le personnel, dont notamment son soigneur attitré, prénommé Brad. Celui-ci s’efforçait de lui faire passer d’agréables moments de jeux et de promenade, afin que le brave toutou puisse éprouver un peu de joie chaque jour. Il y a quelques semaines, au mois de mars dernier, le miracle qu’Acorn attendait depuis si longtemps s’est enfin produit. Cathy Phemister Widzga est arrivée au refuge, en quête d’un compagnon à 4 pattes. Elle a littéralement craqué pour Acorn et l’a adopté dans la foulée. Le refuge a publié l’heureuse nouvelle, le 18 mars 2023, sur sa page Facebook : « Après 633 jours dans notre refuge, notre résident le plus ancien, Acorn, est enfin adopté ! » Brad a été très attristé de ne plus pouvoir s’occuper d’Acorn, mais, comme tous les autres bénévoles, il était surtout très heureux que la boule de poils ait enfin trouvé son foyer pour la vie. « Nous attendions et espérions ce moment depuis très longtemps. Notre personnel et notre bénévole Brad se sont tellement attachés à Acorn au cours des dernières années. Nous avons gardé l'espoir qu'un jour, la bonne personne prendrait le temps de s'occuper de lui et lui donnerait le foyer qu'il mérite, et notre souhait s'est réalisé ! », ont écrit les bénévoles sur le réseau social. Cathy est la plus heureuse d’avoir pu agrandir sa famille avec Acorn. Elle a même déjà donné de ses nouvelles, indiquant qu’il était heureux chez elle, parmi ses autres compagnons à 4 pattes : « Il s'est très bien intégré ! Mes autres chiens l'adorent ! » |
left by Cupidon on 29/08/2024**** Ne soit pas Triste **** Ce que tu vois aujourd'hui, ce n'est pas moi. Ce n'est qu'une enveloppe qui m'a été prêtée, Le temps d'une vie terrestre. Elle m'a permis de te connaître et de t'aimer à ma façon. Mon vrai moi, l'Âme que je suis, Vient de traverser une nouvelle étape vers l'accomplissement de soi. Ne sois pas triste, sois heureuse pour moi. Là où je suis, la lumière et l'Amour m'enivrent puisque, En plus de nager dans un Océan d'Amour limpide, J'ai emporté avec moi celui que tu m'as Si gentiment et inconditionnellement offert ! J'aimais la Vie, tu le sais bien. La mort physique, ce n'est pas la mort de l'Âme ! Ce que j'avais à apprendre ou à faire Dans cette vie-ci est accompli. Je n'emporte que de bons souvenirs car, Un événement triste ou encore un obstacle, Dans mon ancien monde, Est un privilège, c'est une occasion de grandir Qui est offerte, une occasion d'évoluer Un peu plus à chaque fois. S'il y a quelque chose que tu aurais aimé me dire, Il n'est pas trop tard. Je suis maintenant "conscience" Je peux, par le fait même, percevoir tes pensées Et tes vibrations les plus pures. Ce soir ou même ici, installe-toi dans un coin calme, Entre en toi, Ouvre ton cœur et perçois mon image Au centre d'un radieux soleil. Sens son incommensurable chaleur qui t'apaise et t'irradie. C'est à ce moment-là que je t'enverrai d'ici, Tout l'Amour à l'état cristallin Qu'il t'est humainement possible de recevoir ! N'oublie pas que c'est ici, en toi, Que tu pourras toujours reprendre contact. Même si, parfois, tu ne me percevais pas, Sois certaine que j'y serai tout de même !! Ta vie continue, La mienne aussi… Rendez-vous dans une autre dimension, Au moment opportun. Je t'y accueillerai Pensée |
left by poutounou on 28/08/2024La richesse * Un jour, le père d'une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment les gens pauvres vivent. Ils y passent quelques jours sur la ferme d'une famille qui n'a pas beaucoup à leur offrir. Au retour, le père demande à son fils : "As-tu aimé ton séjour?" "C'était fantastique, papa". "As-tu vu comment les gens pauvres vivent ?" demande encore le père. "Ah oui" répond le fils. "Alors qu'as-tu appris ?" Le fils lui répond : "J'ai vu que nous n'avions qu'un chien, alors qu'ils en ont quatre. Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils ont une grande rivière. Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des étoiles partout dans le ciel. Nous avons une immense galerie à l'avant, et eux ont l'horizon. Nous avons un domaine, mais eux ont des champs à perte de vue. Nous avons des serviteurs alors qu'eux servent les autres. Nous achetons nos denrées et eux les cultivent. Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger, eux ont des amis qui les protègent." Le père en resta muet. Le fils rajouta : "Merci papa de m'avoir montré tout ce que nous n'avons pas." Trop souvent nous oublions ce qui nous est acquis pour nous morfondre sur ce que nous n'avons pas... Ce qui est un objet sans valeur pour un, peut très bien être un trésor pour un autre. Ce n'est qu'une question de perspective. C'est à se demander ce qui arriverait si on rendait grâce pour tout ce que nous avons, au lieu d'en vouloir plus. Apprenez à apprécier ce que vous avez, y compris vos amis. * Anonyme |
left by spanky on 26/08/2024Mon maître, ------ Assieds-toi à côté de moi, j'ai à te parler. Je t'ai, maintenant je le crois, assez écouté. Je me souviens de notre rencontre, c'était un jour où le soleil brillait, l'air était doux. Un parfum de muguet, que je n'avais encore jamais respiré, se répandait tout autour de nous. Tu es venu vers moi, tu semblais si fatigué, si triste, que je me suis tout de suite senti proche de toi. Les arbres, les fleurs, l'herbe même sentaient la naissance, le début, la fraîcheur. Quand tu m'as pris dans tes bras, ton cœur battait encore plus fort que le mien. Je me le rappelle bien, j'en étais stupéfait ! Tu me donnais tant d'amour qu'il me semblait que l'éternité était en nous, que ma vie était-elle. Tu m'as connu bébé, je suis maintenant beaucoup plus vieux que toi, au crépuscule de ma vie. C'est moi maintenant qui suis fatigué, si fatigué, éreinté. Je ne sens plus mes membres, je ne sens presque plus rien. Il est pour moi l'heure. Tu es ce que tu es, celui que j'ai aimé, que j'ai toujours aimé. Le premier, le dernier. Notre sort aurait pu être si différent… le mien surtout. J'aurais pu me retrouver seul, dans le froid, attendant jusqu'à ma mort ton retour. J'aurais pu me sentir abandonner mais confiant, même si cela peut paraître incompatible. J'aurais pu croire en un faux Dieu, perdre ce que vous appelez des illusions. Comme je me sens bien près de toi… il me semble sentir à nouveau le muguet comme ce jour de mai ; je sens ta chaleur, ta vie, il me semble même entendre battre ton cœur, comme au premier jour. Pour moi, c'est le dernier. Ne pleure pas mon ami. Ton tour viendra, et je ne peux m'empêcher de te promettre que je t'attendrais, même si je sais que tu ne crois pas à ces choses-là. Que nous reste-t-il donc ? Rien d'autre que ce que tu penses être un faux espoir. Mais tu en sais sans doute plus que moi sur ce sujet ? Je vais continuer de vivre dans ton cœur, aussi longtemps que tu le souhaiteras. Je serais toujours tout près de toi, tant que mon image sera présente en toi. Je dois maintenant m'arrêter. S'il te plait… Pose ta main sur ma tête… caresses-moi. Je vais partir, et j'ai un peu peur. Il me faut ton odeur… Adieu. ---- |
left by mouette on 25/08/2024Ma petite fifi Il y a juste un jour que tu es parti , tu nous manques beaucoup Jaia utilise ton tapis elle se sent bien seule On t aime |
left by poutounou on 25/08/2024L’envol de l’Ange * Ca y est, il est parti Il est déjà tout là-haut Par-delà les nuages Au milieu des étoiles * Il a déjà ses ailes d’Ange Toutes blanches Immaculées comme la pureté De son cœur, de son âme * Oh les premiers temps sans lui Vont être tout simplement horribles Partout on le cherchera Nulle part on ne le trouvera * Et puis viendront les doutes Ai-je bien fait ? Il aurait peut-être pu vivre encore un peu Je n’aurais pas dû… * Le temps calmera progressivement cette vive douleur Les larmes monteront moins souvent aux yeux La vie reprendra ses droits Comme on dit… * Mais là, juste là Dans notre cœur meurtri Il y a cette énorme cicatrice Témoin de notre grande souffrance * Non, on ne peut pas oublier Comment oublier cet Amour si doux Ce regard si tendre, si innocent Juste un cri de notre âme : « Je t’aime mon Ange… » |
left by spanky on 25/08/2024Une fois la nuit tombée, Quand le sommeil nous a emporté, Lorsqu'enfin tout est calme et léger, Loin du tumulte de la journée, Nos anges, doucement viennent nous frôler. Tout près de nous délicatement, ils vont se poser. Sur notre front, une léchouille doucement ils vont déposer. A notre oreille un "je t'aime" ils vont nous murmurer. De leurs ailes, ils vont nous envelopper, Et peut-être même...dans un tourbillon de bonheur ils vont nous emporter. Puis au matin revenu, à nouveau, ils vont nous quitter. Non sans nous avoir une dernière fois léchouillés. Mais de doux rêves ils nous auront laissé. Et le soir même, ils l'ont promis, ils vont repasser. |
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