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En hommage à
nina
YORKSHIRE-TERRIER
Il est né le:03/10/2004
Il nous a quittés le:31/07/2016

Ma Nina je t'ai trouvé sur une annonce car vu ton âge tu ne pouvais plus faire de BB le lendemain tu étais chez moi, tu avais 6 ans et demi tu étais très mal en point il a fallu 2 ans de soins pour te sauver, nous avons eu 5 ans de pur bonheur mais la maltraitance t'a rattrapé malgré tous nos soins et tu m'as quitté dans mes bras entouré de tout mon amour, d'une embolie pulmonaire et je n'arrive pas a faire ce deuil c'est trop dur et trop rapide, tu me manques tellement, saches que tu seras dans mon cœur jusqu'à mon dernier souffle toi que j'aimais tant et à qui je pense chaque jour j'ai ton dernier doudou pour dormir sinon je ne peut pas et jamais tu ne seras remplacée tu étais unique ma tendre Nina




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188 messages

Déposé par poutounou le 24/07/2022  
Très bel écrit de Grand Corps Malade sur les « absents ». Pas mal : « on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses »… !!!
*
Nos absents
*
C'est pas vraiment des fantômes
Mais leur absence est tellement forte
Qu'elle crée en nous une présence
Qui nous rend faible ou nous supporte
C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque tangible
Car l'amour qu'on leur donnait est orphelin et cherche une cible
*
Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire
Mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir
On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord
Car la mort a ses raisons que notre raison ignore
*
Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste
À plusieurs on est plus fort mais on n'est pas moins triste
C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent
On apprivoise la douleur et la présence de nos absents
*
Nos absents sont toujours là, à l'esprit, dans nos souvenirs
Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires
Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés
Ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était
*
On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou
En se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous
Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure
Dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur
*
Nous, on a des projets, on dessine nos lendemains
On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains
Et au cœur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers
On imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire
*
Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant
Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas vivant
Il faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux
Mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux
*
Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle
Mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel
Ce temps qui, pour une fois, est un véritable allié
Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers
*
Moi, les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup
Alors j'écris sur eux, je titille mes sujets tabous
Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous
Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses
*
C'est pas vraiment des fantômes
Mais leur absence est tellement forte
Qu'elle crée en nous une présence
Qui nous rend faible ou nous supporte
C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque infini
Qu'inspirent des textes premier degré
*
Faut dire que la mort manque d'ironie
*
Grand corps malade

Déposé par poutounou le 20/07/2022  
Qu'est-ce qu'on est bien quand on rêve...de nos Anges…
*
Extrait du « Grand Sommeil » d'Etienne Daho
*
Je ne peux plus me réveiller, rien à faire
Sans moi le monde peut bien tourner à l'envers
Engourdi par le sommeil et prisonnier de mon lit
J'aimerais que cette nuit dure toute la vie
*
Lorsque je rêve tu es tout près de moi
C'est la seule façon de rester avec toi
C'est la raison pour laquelle je n'veux plus quitter mon lit
Pour qu'enfin toutes les nuits durent toute la vie.

Déposé par mumu60750 le 17/07/2022  
bonjour a tous
je pars au jardin de NAMPCEL pour ma retraite gros bisous a tous

Déposé par poutounou le 17/07/2022  
Extrait de la chanson « Fais-moi une place » de Julien Clerc
*
Paroles d’un Ange pour son maître ou sa maîtresse…
*
Fais-moi une place
Au fond d' ton coeur
Pour que j' t'embrasse
Lorsque tu pleures
Je deviendrai
Tout fou, tout clown, gentil
Pour qu' tu souries
*
Fais-moi une place
Dans tes urgences
Dans tes audaces
Dans ta confiance
Je s'rai jamais
Distant, distrait, cruel
Pour q' tu sois « belle » (beau)
*
J'veux q't'aies jamais mal
Q't'aies jamais froid
Et tout m'est égal
Tout, à part toi
Je t'aime…
*
C’est avec tristesse que j’ai appris la disparition d’un des membres de notre cimetière virtuel. Il s’agit de Chantal, plus connue sous le pseudo « Mediterran ». Si vous avez le temps, rendez une petite visite à ses deux chiens, Chico et Melchior, avec fleurs ou bougies. Ils seront un peu moins tristes… !!! Celui qui a inventé la mort ne devait pas aimer la vie !!!

Déposé par poutounou le 13/07/2022  
Je t'aimerai TOUJOURS et je ne t'oublierai JAMAIS, mon Ange...
*
Toujours et Jamais
*
Toujours et Jamais étaient toujours ensemble
ne se quittaient jamais. On les rencontrait
dans toutes les foires.
On les voyait le soir traverser le village
sur un tandem.
Toujours guidait
Jamais pédalait
C'est du moins ce qu'on supposait...
Ils avaient tous les deux une jolie casquette
L'une était noire à carreaux blancs
L'autre blanche à carreaux noirs
A cela on aurait pu les reconnaître
Mais ils passaient toujours le soir
et avec la vitesse...
Certains d'ailleurs les soupçonnaient
Non sans raison peut-être
D'échanger certains soirs leur casquette
Une autre particularité
Aurait dû les distinguer
L'un disait toujours bonjour
L'autre toujours bonsoir
Mais on ne sut jamais
Si c'était Toujours qui disait bonjour
Ou Jamais qui disait bonsoir
Car entre eux ils s'appelaient toujours
Monsieur Albert, Monsieur Octave.
*
Paul Vincensini

Déposé par poutounou le 10/07/2022  
“Etoile de l’amour, ne descends pas des cieux !” Reste à côté de nos Anges qui nous protègent…!!!
*
A l'étoile du berger
*
Pâle Etoile du soir, messagère lointaine,
Dont le front sort brillant des voiles du couchant,
De ton palais d'azur, au sein du firmament,
Que regardes-tu dans la plaine ?
*
Que cherches-tu sur la terre endormie ?
Mais déjà sur les Monts, je te vois t'abaisser ;
Tu fuis en souriant, mélancolique amie
Etoile qui descend sur la verte colline,
Et ton tremblant regard est près de s'effacer.
*
Triste larme d'argent du manteau de la nuit
Toi que regarde au loin le pâtre qui chemine,
Tandis que pas à pas son long troupeau le suit.
*
Etoile où t'en vas-tu dans cette nuit immense ?
Cherches-tu sur la rive un lit dans les roseaux ?
Où t'en vas-tu si belle, à l'heure du silence
Tomber comme une perle, au sein profond des eaux ?
*
Ah ! si tu dois mourir, bel astre, et si ma tête
Va dans la vaste mer plonger ses blonds cheveux,
Avant de nous quitter, un seul instant arrête :
Etoile de l'amour, ne descends pas des cieux !
*
Alfred de Musset

Déposé par poutounou le 06/07/2022  
Et si nos anges descendaient nous faire un petit coucou !
*
L'ange de l'étoile du matin
*
L'ange de l'étoile du matin
Descendit en son jardin
Et s'approchant d'Elle :
*
" Viens, lui dit-il, je te montrerai
Les beaux vallons et les bois secrets
Où vivent encore, en d'autres rêves,
Les esprits subtils
De la terre. "
*
Elle étendit le bras, et rit,
Regardant entre ses cils
L'ange en flamme dans le soleil,
Et le suivit en silence.
*
Et l'ange, tandis qu'ils allaient
Vers les ombreux bosquets,
L'enlaçait, et posait
Dans ses clairs cheveux plus longs que ses ailes,
Des fleurs qu'il cueillait
Aux branches au-dessus d'Elle.
*
Charles VAN LERBERGHE (1861-1907)

Déposé par poutounou le 03/07/2022  
N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ?
*
L' envol des anges
*
L'ombre est bleu et la nuit palpite d'ors tremblants
Dans l'azur, on croit voir flotter des voiles blancs
Qui frémissent au souffle onduleux du mystère.
*
Les longs voiles traînants des anges de la terre
Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit,
en une ascension dont l'essor tremble au clair de lune.
*
N'entends-tu pas dans l'infini, battre leurs ailes ?
Les étoiles, au chant des sphères éternelles,
Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées,
*
Qui lentement, parmi les ombres embaumées,
Et le soleil immense et bleu de toutes choses,
Eventent le silence et font pâmer les roses.
*
Fernand Gregh

Déposé par poutounou le 29/06/2022  
Lorsque nous nous réveillerons, nous nous souviendrons de tout l’amour que vous avez pour nous, doux Anges……
*
J’aimerais être l’ange de ton sommeil,
Te protéger jusqu’au réveil.
Tendrement et tout en douceur
Ouvrir les portes de ton cœur.
Et sans faire de bruit
Entrer dans tes rêves les plus enfouis.
Je garderai précieusement la clé
Des plus profondes de tes pensées.
Je dissiperai le brouillard
Qui détruit tous les espoirs.
Et lorsque tu te réveilleras
Tu te souviendras de tout l’amour que j’ai pour toi.

Déposé par poutounou le 26/06/2022  
Et oui, à quoi nous servent l’or et l’argent si nous n’avons pas la santé pour en profiter ? Moi je demanderais aussi à la fée de laisser vivre nos petits « cœurs à quatre pattes » un peu plus longtemps ou juste aussi longtemps que nous. Ce serait merveilleux non !!! Et vous savez, Madame la Fée, par les temps qui courent, un « petit billet » en plus dans le porte-monnaie serait également le bienvenu… !!!
*
CONTE : La fée qui court
*
Je rencontrai l'autre jour une bonne fée qui courait comme une folle malgré son grand âge.
*
— Êtes-vous si pressée de nous quitter, madame la fée ?
*
— Ah ! ne m'en parlez pas, répondit-elle. Il y a quelques centaines d'années que je n'avais revu votre petit monde, et je n'y comprends plus rien. J'offre la beauté aux filles, le courage aux garçons, la sagesse aux vieux, la santé aux malades, l'amour à la jeunesse, enfin tout ce qu'une honnête fée peut offrir de bon aux humains, et tous me refusent. « Avez-vous de l'or et de l'argent ? me disent- ils ; nous ne souhaitons pas autre chose. » Or, je me sauve, car j'ai peur que les roses des buissons ne me demandent des parures de diamants et que les papillons n'aient la prétention de rouler carrosse dans la prairie !
*
— Non, non, ma bonne dame, s'écrient en riant les petites roses qui avaient entendu grogner la fée : nous avons des gouttes de rosée sur nos feuilles.
*
— Et nous, disent en folâtrant les papillons, nous avons de l'or et de l'argent sur nos ailes.
*
— Voilà, dit la fée en s'en allant, les seules gens raisonnables que je laisse sur la terre.
*
George Sand
Légendes rustiques 1859

Déposé par poutounou le 22/06/2022  
Extrait de la "chanson sans paroles" de Jacques Brel (un peu revisitée)
*
Chanson Sans Paroles
*
J'aurais aimé mon bel Ange
T'écrire une chanson
Sur cette mélodie
Rencontrée une nuit
J'aurais aimé mon bel Ange
Rien qu'au point d'Alençon
T'écrire un long poème
T'écrire un long " je t'aime "
*
Je t'aurais dit " amour "
Je t'aurais dit " toujours "
Mais de mille façons
Mais par mille détours
Je t'aurais dit " partons "
Je t'aurais dit " aimons"
Aimons de jour en jour
De saisons en saisons
*
Mais le temps que s’allume l’idée sur le papier
Le temps de prendre une plume
Le temps de la tailler
Le temps de me dire : « comment vais-je l’écrire »
Et le temps est venu
Où tu n’es plus…

Déposé par mumu60750 le 21/06/2022  
Tu es né le 12 décembre 1942 à Avion, dans le Pas de Calais, d’une maman trop jeune et d’un père qui a donné sa vie pour notre liberté.
C’est ta grand-mère, notre mémé qui t a recueilli et élevé
Petit bout de femme au caractère bien trempé, elle a été ton guide, ta lumière tout au long de ta vie.
Comme elle, tu es un boyau rouge, un enfant des corons. Cette région a marqué ton existence.
Enfant espiègle, adolescent rebelle, tu as emprunté des chemins dangereux pendant ton service militaire à Toulon
Tu choisiras finalement ta vie. Tu deviens motard dans la gendarmerie nationale. Ce sera ta fierté et tu resteras attaché à cette grande maison. La vie t’oblige à quitter la gendarmerie pour le secteur privé quelques années plus tard. Tu travailles alors chez Redland mais tu regretteras toujours ta carrière militaire.
Le 17 avril 1967, tu épouses Monique.
En 1969, tu deviens père avec l’arrivée de Fabian, puis vient Ludovic en 1971 et enfin Sabrina en 1974.
Tu seras un papa attentif, partageant avec tes enfants les grandes valeurs qui fondent ta vie
Les naissances de tes petits enfants, Teddy, Romain, Lucas, Laury, Arthur, Maelys et Jules ont comblé ta vie et fait grandir ta famille.
Ton clan c’est ta grande fierté, ta réussite, la seule qui compte à tes yeux et tu aimes passer des moments avec chacun de ceux qui le compose
Nous avons tous des souvenirs joyeux de parties de cartes partageant un vieux Lille, des brioches sèches, ou d’un repas où tu nous cuisinais une purée compacte, un clafoutis un peu trop ferme ou cette fameuse sauce au curaçao qui nous aurait permis de repeindre en bleue la salle de bain
Tu avais de grandes passions, que tu as plus ou moins transmises
La chasse, pas pour tuer des animaux mais plutôt pour admirer le spectacle de la nature et les moments d’amitiés avec les copains à la maison forestière d’hourvari
Le vélo, que tu as pratiqué avec Fabian l’emmenant dans des courses cyclistes, et en regardant le tour de France avec tes petits-fils chaque été
Le foot, le RCL, ce club de cœur, ta patrie d’origine, les matchs à Bollaert et la frite qui suit chez Momo
La pèche, où tu as emmené tes enfants, passant des heures à démêler leurs lignes…mais là tu as fait peu d’émules e partage, c’est cette valeur que tu défendais au travers de toutes ces activités
Homme d’honneur et de valeurs tu as fait passer ta vie et tes envies au second plan, préférant toujours penser aux autres, aux tiens et à leurs bonheurs plutôt qu’au tien même dans maladie…
Première visite chez l’oncologue, nous y allons ensemble
J’ai compris et toi aussi
Le combat est perdu d’avance
Tu décides de te battre et de taire aux tiens ta maladie pour les protéger
Quand les médecins te proposent un protocole expérimental, tu acceptes, pas dans l’espoir de guérir mais pour faire avancer la science, le progrès pour les autres, toujours pour les autres
Souvent tu m’as dit que ton regret c’était de ne pas avoir assez parlé à tes enfants, expliqué tes choix, calmé leurs colères et tu regrettais leurs petits conflits
Je sais qu’ils n’ont jamais douté une minute de l’amour que tu leur portais, et c’est ensemble qu’ils ont accompagné la fin de vie
Nous t espérons attabler avec Gerard, Jean louis et mon père sous le regard empli de fierté de ton père et au côté de notre mémé
Nous te laissons entamé ton chemin en partageant avec toi quelques vers du poème de Jacques Prévert :
« Le bonheur en partant m’a dit qu’il reviendrait
Que quand la colère hisserait le drapeau blanc, il comprendrait
Le temps du pardon et du calme revenu il saurait retrouver le chemin de la sérénité, de l’arc en ciel et de l’après
Le bonheur en partant m’as promis de ne jamais m’abandonner

Déposé par poutounou le 19/06/2022  
Très beau poème de Brigitte Bruyns, décédée en novembre 2005, envoyé par son conjoint après son départ. Pour nos Anges aussi ce n’était qu’un simple départ, un au revoir… Nous les reverrons, j’en suis sûre, là-haut, juste derrière les nuages… !!!
*
Un au revoir
*
Un vent étrange souffle sur les coeurs pourpres,
Et rend les regards troubles.
La goutte de pluie s'est transformée en perle puis en larme,
Mais un rayon de chaleur l'a empêchée de tourner en drame.
Pour moi, les adieux n'existent pas,
Je sais bien que ce jour, je ne l'oublierai pas.
Vous m'avez tous aidée et supportée pendant ces années,
Et je ne sais pas comment vous en remercier.
Pourtant, l'heure venue de mon départ,
Je ne saurais m'empêcher de noyer mes larmes dans un dernier regard.
Tant d'années se sont écoulées,
Tant de mois ont filé,
Tant de jours sont passés,
Et tant d'heures ont coulé.
Alors pourquoi dramatiser, ce n'est qu'un simple départ,
Dont je garde pour moi, l'espoir d'un jour vous revoir,
Mais pour conclure, je vous dirai simplement
Que ceci est une fête pour se dire au revoir,
De plus, il ne faut pas qu'elle ait l'odeur d'un triste départ.
*
© Brigitte Bruyns

Déposé par poutounou le 15/06/2022  
Voilà la vie de nos doux Anges au cieux… !!! Ca fait rêver, non ? Moi ça me donnerait bien envie d’y faire un petit tour, juste pour voir… !!!
*
Le banquet
*
Que de choses sur la table,
Nous allons les manger!
Le vin est délectable
Il faudra s'en gorger.
*
Divins breuvages
Nous rendant moins sages
Abondance de nourriture
Jusqu'à l'exquise confiture...
*
On apporte aussi les fruits
Dont on s'empiffre sans bruit.
Les raisins aux grappes lustrées,
Débordent des panerées.
*
L'air s'imprègne d'une odeur framboisée
Le coulis d'une glace ainsi parfumée
Offre à nos papilles émoustillées
La saveur des saisons passées.
*
Mangeons, buvons,
Ne boudons pas les plaisirs de la table
Ensemble, nous, joyeux lurons,
Goûtons ces délices immuables.
*
© Janine Loisel

Déposé par poutounou le 12/06/2022  
J'OUBLIE... QUAND...
*
J'oublie mes migraines...
Quand tu déposes une tendre léchouille sur mon front.
*
J'oublie mes peines...
Quand de ta patte, tu effleures ma joue.
*
J'oublie mes problèmes...
Quand tu te couches tout contre moi.
*
J'oublie ma douleur...
Quand tu poses ta tête contre la mienne.
*
Mais jamais JE N'OUBLIE...
Quand tu me regardes avec les yeux de l’Amour…
*
JE T'AIME

Déposé par poutounou le 08/06/2022  
Ces « amis sincères » sont nos doux « filous » à quatre pattes et une queue. Ce poème leur est dédié… !!!
*
UN AMI SINCÈRE
*
Un ami sincère
Peut faire naître un sourire
Quand nous sommes abattus
Et que rien ne va plus.
*
Un ami sincère
Peut comprendre nos épreuves
Et, d'une simple léchouille,
Nous remettre en chemin.
*
Un ami sincère
Est fait pour partager
Nos rêves les plus secrets
Tout en demeurant discret.
*
Un ami sincère
Vaut plus que de l'or,
Car, au fond de son coeur,
Il ne veut que notre bonheur.
*
(Auteur inconnu)
*
*
*
Coucou mes ami(es), membres du cimetière virtuel,
*
Je ne quitte pas mon domicile cet été. Je ne pars pas en vacances dans un autre endroit. Alors je me suis dit que, si certains d’entre vous partaient se reposer sur une belle plage de sable fin, par exemple, les veinards et veinardes, je pourrais, durant votre absence, mettre quelques bougies sur la ou les pages de vos Anges. Vous me dites simplement quand et combien de temps vous partez, par message ou mail privé, et j’irai « brûler » tous les jours quelques cierges sur leur tombe … !!!
*
En toute amitié,
*
Martine, Rubens, Diesel et filou d’Iron

Déposé par poutounou le 05/06/2022  
Ce n’est pas l’amour qui fait si mal, c’est d’être sans toi…
*
TU ME MANQUES
*
Je suis assise ici, seule, si triste et solitaire. Je pense à toi souvent -- chaque minute du jour, me demandant comment tu vas, ce que tu fais, souhaitant te serrer dans mes bras.
*
Je suis assise, me souvenant de tout ce que nous avons partagé, rêvant à tout ce qui sera, et je verse une larme pour chaque minute sans toi.
*
Parfois, je crois en ma force et que le temps qui nous sépare s'écoulera vite, et puis parfois, je m'assieds et pleure et me demande pourquoi faut-il que l'amour fasse si mal...
*
Bien que parfois dans la solitude... quelque part dans le vide je me sente pourtant très aimée, et je réalise que ce n'est pas l'amour qui fait si mal... c'est d'être sans toi.
*
(Cathy Lynn Oaks)

Déposé par poutounou le 01/06/2022  
Avoir ta patte dans ma main, l’instant seulement d’une pause....
*
L'INSTANT D'UNE PAUSE
*
L’instant d'une pause
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
De se lever le matin
Sans plus en chercher la cause
De savoir que le chemin
Parfois peut-être morose
Et dans un sourire malin
Être prêt pour une pause
Il y a des jours où tout est gris
Et où l'on ne voudrait rien voir
Et puis, il y a notre coeur aussi
Qui nous conduit jusqu'au soir
Il y a cette solitude intense
Qui existe et qui est là
C'est dans ces moments, je pense,
Que je peux rêver de toi
À chercher, à tout comprendre
Je me demande si je verrais
Un jour les fleurs en décembre
Et la neige en été
Sur le site de mon coeur
Il y a tant de va-et-vient
Et j'en ressens la douleur
De la nuit jusqu'au matin
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
D'avoir ta patte dans ma main
L'instant seulement d'une pause.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par poutounou le 29/05/2022  
Une douce pensée pour toutes les « mamans de cœur » du cimetière virtuel, de la part des Anges et Angelettes, ainsi que des « papas de cœur »…
*
Pour ma belle maman...
*
Ouvre grand la fenêtre Maman
Ouvre grand
Chut !
Écoute le vent
Qui te porte un poème
Des milliers de "je t'aime"
Chut !
Écoute le vent
Comme un jour de printemps
Il t'apporte un baiser
Celui de ton ange
Bonne fête maman !

Déposé par poutounou le 25/05/2022  
Tu es toutes les saisons de l’Amour, merveilleux Ange…
*
LES SAISONS DE L'AMOUR
*
Le printemps de l'amour est tout simplement magique parce que chaque journée est faite de découvertes et de nouveautés.
*
L'été de l'amour est chaud et éclatant comme le soleil. C'est une période dorée, marquée par la complicité et les rêves partagés...
*
L'automne de l'amour est tendre ; c'est un moment paisible où les amoureux récoltent le fruit du bonheur qu'ils ont semé...
*
L'hiver de l'amour est beau et touchant comme peuvent l'être tous les souvenirs d'un amour dont c'est le perpétuel printemps.
*
(Auteur inconnu)




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le gros calin
quel amour ma Nina tu me manques tellement mon ange
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