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En hommage à
Flocon
BICHON-MALTAIS
Il est né le:12/03/1997
Il nous a quittés le:21/06/2011

En hommage à le plus dur a faire

Mon chien, ma petite Flocon, ma belle fifille que j'aime tant comment t'avouer
Comment te dire cette mort que je t'ai réservée
Ai je raison, ai je tords
Te voir dépérir chaque jour un peu plus
Voir ta vie qui s'en va sans plus pouvoir réagir
La maladie t'a tendue les bras méchamment
Je voudrais penser à un mauvais délire

Mais ça va être l'heure
Comme je voudrais arrêter le temps
Me remémorer chaque moment de bonheur
Chaque câlin chaque regard à chaque instant
Tu n'a pas mérité ce destin
Mais qui le mérite ? non personne
Je suis obligée, pardonne moi

Ton regard se dirige vers moi
Comme je me sens mal, très mal
Je sais que tu as compris
Dans tes yeux se dessine une larme
Cette larme me détruit me brise
J'aurais tant voulu ne pas la voir
Elle me culpabilise
Elle augmente mon désespoir

Mon Flocon pardonne moi
Je ne veux pas te voir souffrir tant qu’il en est encore temps
Bientôt tu vas monter la haut
Tu vas être heureuse et revivre
Je ne pourrai oublier ces instants passés ensemble
Ces instants immenses
Ces instants inoubliables
Ces instants intenses

Je ne pourrai jamais oublier cette dernière petite lueur dans tes yeux
Qui avait l'air de me dire mais pourquoi ?
Pourquoi tu vas faire ça je croyais que tu m'aimais Bibi
Mais c'est justement parce que je t'aime Flocon que je fais ça.
Je ne pourrai plus jamais l'oublier ce regard
Comme je n'oublierai jamais ce jour du 21 juin 2011.
JE TAIME

La maladie m'a enlevé mon éternel amour, un amour comme on en voit peu l'amour d'un chien sincère et éternel .
Je te dédie ce texte car je sais que de la haut tu me vois, jamais je ne t'oublierai on ne peut oublier ceux qui vous aime.
Il me reste des souvenirs et ces souvenirs je les conserverai au fond de mon cœur où ton nom est tatouté à vie.
Mon Flocon tu es partie rejoindre le paradis des chiens sur le pont de l’Arc-en-ciel, j'ai permis que ta vie soit écourtée car tu étais malade je voulais t’épargner q’une trop grande souffrance te gagne et toi non plus.
Je t'ai donc emmenée chez le vétérinaire pour un ultime aurevoir.

Flocon, je t’aimais, je t’aime et je t’aimerai pour le restant de ma vie.
Veille sur moi du haut de ton petit nuage et un jour on se retrouvera, nous partirons alors joyeusement ensemble pour une ballade qui sera sans fin.

Ta Bibi.




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Déposé par poutounou le 24/02/2019  
Chacun d’entre nous a son « Tien An Men ». En effet, nous nous sentons tous démunis devant la cruauté dont font preuve certains humains. Mais « nos petits combats valent aussi la peine, même si on ne les voit pas : dénoncer un acte de cruauté, donner à manger à un animal qui a faim, recueillir une boule de poils abandonnée… » Il y a tant à faire et ceux qui sont aux commandes de notre pays font si peu, oui si peu !!! Alors battons nous, dressons nous devant les « chars » pour une vie meilleure, pour une vie plus juste !!!
*
Magnifique chanson de Calogero
*
Tien An Men
*
Quand les yeux ont tout vu et tout subi
Que même les dieux ont perdus de leur magie
Quand les mots ne vous répondent plus
On courbe le dos
Un jour au bout de la rue...
*
Vous mène là
A Tien An Men
A pas baisser les bras
Seul face à soi même
On se voit faire le pas
De donner ses chaînes
Parce qu'on a plus que ça
P't-être que Tien An Men
Est plus près que ce qu'on croit
Que nos guerres quotidiennes
Valent aussi la peine
Mais on ne les voit pas
*
Quand les gestes fléchissent sous le plus fort
Qu'il ne vous reste
Plus qu'à se rendre d'accord
Quand plus rien
N'est à perdre ou à prendre
On ne vous retient
Un jour la fin des méandres...
*
Vous mène là
A Tien An Men
A pas baisser les bras
Seul face à soi même
On se voit faire le pas
De donner ses chaînes
Parce qu'on a plus que ça
Peut-être que Tien An Men
Est plus près que ce qu'on croit
Que nos petits combats
Valent aussi la peine
Mais on ne les voit pas
*
Parce qu'on a encore ça dans les veines
Et pas d'autres choix
Un jour le destin vous emmène
A Tien An Men

Déposé par poutounou le 17/02/2019  
Je vous présente Madame mouton du Paradis blanc…
*
Tricoti, tricota….Madame mouton, tricotez-moi une jolie paire de gants et un bonnet mignon pour promener mon Iron en forêt…
*
Madame mouton tricote
Des manteaux pour ses enfants
Six manteaux, six paires de bottes
Pour ses six petits enfants.
« Cette année la laine est chère « ,
dit Mère-Mouton en bêlant,
six cache-nez, six pull-overs,
ça coûte beaucoup d’argent
et s’il fait froid cet hiver
je tricoterai, mes enfants,
la laine de votre père
et celle de l’oncle Fernand

Déposé par poutounou le 10/02/2019  
Quelle belle déclaration !!!
*
Démunie
*
Pourquoi n'ai-je pas conservé
Tes « sourires » précieux
Et préservé l'ombre
Que tu jetais sur nos routes ?
*
Pourquoi n'ai-je pas mis de côté
Tes regards d'ambre et d'or,
Fortune fabuleuse pour plus tard
Quand je serai à court de tendresse ?
*
J'ai gaspillé tes caresses
Je n'ai aucun disque de tes pas
L'orage a éparpillé tes étreintes
Et détruit les silos remplis de léchouilles.
Le dernier son de ta voix
S'est perdu dans le sable
Et je dessine en vain ton profil
Dans le givre de ma fenêtre.
*
Claire Goll

Déposé par poutounou le 03/02/2019  
Vous êtes à jamais dans nos cœurs et nous vous aimerons toujours, magnifiques Anges…
*
Soupir
*
Ne jamais le voir ni l'entendre,
Ne jamais tout haut le nommer,
Mais, fidèle, toujours l'attendre,
Toujours l'aimer.
*
Ouvrir les bras et, las d'attendre,
Sur le néant les refermer,
Mais encor, toujours les lui tendre,
Toujours l'aimer.
*
Ah ! Ne pouvoir que les lui tendre,
Et dans les pleurs se consumer,
Mais ces pleurs toujours les répandre,
Toujours l'aimer.
*
Ne jamais le voir ni l'entendre,
Ne jamais tout haut le nommer,
Mais d'un amour toujours plus tendre
Toujours l'aimer.
*
René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907)

Déposé par poutounou le 27/01/2019  
A quel beau songe évanoui dois-je les larmes que je pleure ? A toi mon Ange...
*
Pensée perdue
*
Elle est si douce, la pensée,
Qu'il faut, pour en sentir l'attrait,
D'une vision commencée
S'éveiller tout à coup distrait.
*
Le coeur dépouillé la réclame ;
Il ne la fait point revenir,
Et cependant elle est dans l'âme,
Et l'on mourrait pour la finir.
*
A quoi pensais-je tout à l'heure ?
A quel beau songe évanoui
Dois-je les larmes que je pleure ?
Il m'a laissé tout ébloui.
*
Et ce bonheur d'une seconde,
Nul effort ne me l'a rendu ;
Je n'ai goûté de joie au monde
Qu'en rêve, et mon rêve est perdu.
*
René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907)

Déposé par poutounou le 20/01/2019  
Encore deux, trois mois et le plus dur sera passé. Printemps reviens nous vite !!!
*
Hé oui, je sais bien qu’il fait froid,
Que le ciel est tout de travers;
Je sais que ni la primevère
Ni l’agneau ne sont encor là.
La terre tourne ; il reviendra,
Le printemps, sur son cheval vert.
Que ferait le bois sans pivert,
Le petit jardin sans lilas ?
Oui, tout passe, même l’hiver,
Je le sais par mon petit doigt
Que je garde toujours en l’air…
*
Maurice Carême

Déposé par poutounou le 13/01/2019  
Qu'il est beau ce petit poème !!!
*
La veilleuse du souvenir s'allume au fond de mes pensées...
*
Nocturne
*
Le ciel s'éteint, tout va dormir
Je songe à des choses passées ;
C'est à la fois peine et plaisir.
La veilleuse du souvenir
S'allume au fond de mes pensées.
*
J'entends des pas, j'entends des voix,
Des pas furtifs, des voix lointaines
C'est peine et plaisir à la fois.
On dirait le frisson des bois
Sur le coeur tremblant des fontaines.
*
Des formes traversent la nuit,
Formes noires et formes blanches...
Où vont-ils et qui les conduit,
Ces passants qui passent sans bruit,
Comme la lune entre les branches ?
*
Le vent d'une ombre m'a frôlé...
Fantôme d'enfant ou de femme ou de chien ?
Sur la veilleuse il a soufflé
Quelque chose d'inconsolé
S'est mis à pleurer dans mon âme.
*
Anatole LE BRAZ (1859-1926)

Déposé par poutounou le 06/01/2019  
Ta Main ou ta patte (extrait)
*
Tu sais que j'ai du mal,
Encore à parler de toi,
Il parait que c'est normal,
Il n'y a pas de règles dans ces jeux là.
*
Tu sais j'ai la voix qui se serre
Quand je te croise dans les photos,
Tu sais j'ai le cœur qui se perd,
Je crois qu'il te pense un peu trop.
*
C'est comme ça,
C'est comme ça.
*
J'aurais aimé tenir ta patte,
Un peu plus longtemps...
J'aurais aimé tenir ta patte,
Un peu plus longtemps...
J'aurais aimé que mon chagrin,
Ne dure qu'un instant.
Et tu sais j'espère au moins,
Que tu m'entends.
Que tu m'attends...
*
Grégoire

Déposé par poutounou le 30/12/2018  
Une bonne et heureuse Année 2019 ! Que tous vos voeux se réalisent, que vous gardiez la santé, bien sûr. Une douce pensée à nos Anges qui nous protègent de là-haut... Je vous envoie à tous et toutes une tonne de poutounoux sucrés au miel...
*
Bonne année, bonne santé 2019
*
À tous ceux que la vie n'a pas épargné,
À tous ceux qui en 2018 ont tout perdu,
Je me joins à vous sans aucune retenue,
Que 2019 vous apporte ce dont vous rêvez.
*
À ces personnes qui vivent des tragédies,
Je vous adresse toute ma sympathie :
Une vie reste une vie, belle ou maudite,
Mais toute vie vaut la peine d'être écrite.
*
Mes pensées s'envolent vers les plus démunis,
Frappés injustement par l'infamie.
Un amour sans frontières, sans barrières :
Que l'égoïsme soit banni à tout jamais,
Une bonne année à tous ceux que j'ai oublié.
*
Mes meilleurs vœux vous souhaitant,
En ce jour 2019 premier du nouvel an ;
À toutes et à tous : Bonheur, Amour, Santé,
Que ces mots pour vous soient exaucés.
*
Maxalexis

Déposé par poutounou le 25/12/2018  
Un Joyeux Noël à tous les Anges et Angelettes et à tous les papas et mamans de coeur...
*
Noël.
*
Le ciel est noir, la terre est blanche ;
— Cloches, carillonnez gaîment ! —
Jésus est né ; — la Vierge penche
Sur lui son visage charmant.
*
Pas de courtines festonnées
Pour préserver l'enfant du froid ;
Rien que les toiles d'araignées
Qui pendent des poutres du toit.
*
Il tremble sur la paille fraîche,
Ce cher petit enfant Jésus,
Et pour l'échauffer dans sa crèche
L'âne et le bœuf soufflent dessus.
*
La neige au chaume coud ses franges,
Mais sur le toit s'ouvre le ciel
Et, tout en blanc, le chœur des anges
Chante aux bergers : « Noël ! Noël ! »
*
Théophile Gautier
(1811 - 1872)

Déposé par poutounou le 16/12/2018  
C'est beau le silence mon Ange ! Il te dira combien je t'aime...
*
Le silence ... (extrait)
*
Silence ... silence ...
Sur les cimes, dans les vallées,
Sur la neige immaculée,
Dans les parcs, dans les plaines ...
Le monde retient son haleine.
*
Les ruisseaux ne murmurent plus
Comme dans les caves,
Comme dans les vignes
C'est le silence, c'est le silence
*
Le ciel se tait ...
Le vent se tait
Comme si c'était un jour d'été ...
C'est le silence, c'est le silence
Mais ceci n'est
Qu'une apparence! ...
Interroge-le !
Est-il muet ?
Ecoute-le bien
Entends-le bien
*
Il te dira combien je t'aime
*
Sous ma poitrine mon coeur se tait
De nostalgie et d'espérance ...
Dans le bonheur, dans la souffrance
Le mot sublime est le silence,
C'est le silence, c'est le silence,
C'est l'ivresse de l'espérance ! ...
*
Kamuran Aali Bedir Khan ("La Lyre kurde" - Librairie Saint-Germain-des-Prés, 1973)

Déposé par poutounou le 09/12/2018  
Nos anges aux pattes pleines d'étoiles blanches...
*
Étranges fleurs
*
L'automne met dans les lilas
D'étranges fleurs que nul ne voit,
*
Des fleurs aux tons si transparents
Qu'il faut avoir gardé longtemps
Son âme de petit enfant
Pour les voir le long des sentiers
*
Et pour pouvoir les assembler
En un seul bouquet de clarté
Comme font, à l'aube, les anges
Les pattes pleines d'étoiles blanches...
*
Maurice Carême

Déposé par poutounou le 02/12/2018  
Il arrive au Paradis...là où se trouvent nos Anges...
*
L'île des rêves
*
Il a mis le veston du père,
Les chaussures de la maman
Et le pantalon du grand frère
Il nage dans ses vêtements.
*
Il nage, il nage à perdre haleine.
Il croise des poissons volants,
Des thons, des dauphins, des baleines...
Que de monde, dans l'océan!
*
Écume blanche et coquillages,
Il nage depuis si longtemps
Qu'il aborde enfin au rivage
Du pays des rêves d'enfants (et d'animaux...).
*
Jacques Charpentreau

Déposé par poutounou le 25/11/2018  
Tout Amour se survit....
*
Je te l'ai dit...
*
Je te l'ai dit pour les nuages
Je te l'ai dit pour l'arbre de la mer
Pour chaque vague, pour les oiseaux dans les feuilles
Pour les cailloux du bruit
Pour les mains familières
Pour l'oeil qui devient visage ou paysage
Et le sommeil lui rend le ciel de sa couleur
Pour toute la nuit bue
Pour la grille des routes
Pour la fenêtre ouverte, pour un front découvert
Je te l'ai dit pour tes pensées pour tes paroles
Toute caresse, toute confiance se survivent.
*
Paul Éluard

Déposé par poutounou le 18/11/2018  
Sourions de tout notre cœur et soufflons un baiser du bout des doigts vers le ciel…!!!
*
Les bleus à l'âme
*
Si vous avez des bleus à l'âme
et les yeux pleins de poussière
d'avoir perdu un être cher,
pensez à une vive flamme.
*
Rien ne gommera son souvenir
et les images de sa vie,
ses rires tellement jolis
et vos partages de délires.
*
Regardez ce curieux nuage
ondulant là-haut dans le ciel,
si léger et surnaturel,
il vous envoie un doux message.
*
Ne sanglotez pas car on vous voit,
souriez de tout votre cœur,
avec plus d'amour et de ferveur,
soufflez un baiser du bout des doigts.
*
Vous sentirez sitôt de l'émoi
causé par ce tendre câlin
déposé sur le pieux chemin
de cet ange entré dans l'au-delà.

Déposé par poutounou le 11/11/2018  
Ton souvenir aussi se creuse plus avant, mon doux Ange...
*
La Grand-mère
*
Voici trois ans qu'est morte ma grand'mère,
La bonne femme, et, quand on l'enterra,
Parents, amis, tout le monde pleura
D'une douleur bien vraie et bien amère.
*
Moi seul j'errais dans la maison, surpris
Plus que chagrin ; et, comme j'étais proche
De son cercueil, quelqu'un me fit reproche
De voir cela sans larmes et sans cris.
*
Douleur bruyante est bien vite passée :
Depuis trois ans, d'autres émotions,
Des biens, des maux, des révolutions,
Ont dans les murs sa mémoire effacée.
*
Moi seul j'y songe, et la pleure souvent ;
Depuis trois ans, par le temps prenant force,
Ainsi qu'un nom gravé dans une écorce,
Son souvenir se creuse plus avant !
*
Gérard de Nerval ("Odelettes", 1832)

Déposé par poutounou le 04/11/2018  
Souffrons en silence !
*
Vous parler ?
*
Vous parler ? Non. Je ne peux pas.
Je préfère souffrir comme une plante,
Comme l'oiseau qui ne dit rien sur le tilleul.
Ils attendent. C'est bien. Puisqu'ils ne sont pas las d'attendre,
J'attendrai, de cette même attente.
*
Ils souffrent seuls. On doit apprendre à souffrir seul.
Je ne veux pas d'indifférents prêts à sourire
Ni d'amis gémissants. Que nul ne vienne.
*
La plante ne dit rien. L'oiseau se tait. Que dire?
Cette douleur est seule au monde, quoi qu'on veuille.
Elle n'est pas celle des autres, c'est la mienne.
*
Une feuille a son mal qu'ignore l'autre feuille,
Et le mal de l'oiseau, l'autre oiseau n'en sait rien.
*
On ne sait pas. On ne sait pas. Qui se ressemble?
Et se ressemblât-on, qu'importe. Il me convient
De n'entendre ce soir nulle parole vaine.
*
J'attends, comme le font derrière la fenêtre
Le vieil arbre sans geste et le pinson muet ...
Une goutte d'eau pure, un peu de vent, qui sait ?
Qu'attendent-ils ? Nous l'attendrons ensemble.
Le soleil leur a dit qu'il reviendrait, peut-être ...
*
Sabine Sicaud ("Douleur, je vous déteste" et "Les Poèmes de Sabine Sicaud" - éditions Stock, 1958)

Déposé par poutounou le 01/11/2018  
En ce triste jour de Toussaint, nous pensons fort à tous ceux qui nous ont quittés, qui voyagent tout là-haut au-dessus des nuages et nous protègent du mieux qu‘ils peuvent. Leur souvenir reste fort dans notre mémoire. En pensée, nous les serrons tout fort contre notre cœur. Belles fêtes de Toussaint et merveilleux souvenirs à vous tous…
*
MELANCOLIE DE TOUSSAINT
*
En ce jour, fête de tous les Saints,
La pensée de tous mes souvenirs,
Aux lèvres, il me vient un sourire.
Nostalgie d'un jour de Toussaint.
*
Seule dans ce petit cimetière,
J'erre parmi vous, entre les tombes,
J'imagine un vol de colombes,
Frôlant chrysanthèmes et bruyères.
*
Où êtes-vous, mes chers disparus ?
Vous êtes là, dans ma mémoire,
Là-haut, vous devez le savoir !!!
Avec vous, je me mets à nu...
*
Les anges vous ont emportés
C'est là, notre destinée.
Pour vous une prière,
“un Notre Père”.
*
Pour nous, vivants,
La mort est ecchymose,
Elle nous rend morose,
Point n'efface le temps
*
Mes Chers Amours, vous êtes en moi,
Penser à vous, m'emplit d'émoi !
Comme une chaleur !
Je n'ai plus peur.
*
Je songe à votre repos éternel ;
Mes yeux s'embrument et perlent
Dans le silence, frissonnante
Une émotion m'envahit, importante ...
*
Je regarde un vol de merles,
Et lève les yeux vers le ciel,
En implorant vers le lointain....
Mélancolique jour de Toussaint.

Déposé par poutounou le 28/10/2018  
Oui mon Ange : "la courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur..."
*
La courbe de tes yeux
*
La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
*
Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
*
Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.
*
Paul Éluard 1895-1952 ("Capitale de la douleur")

Déposé par poutounou le 21/10/2018  
"Priez pour nous", magnifiques et doux Anges et Angelettes...
*
Prie pour moi
*
Ce soir le ciel me brûle
Qui croire, Dieu funambule,
Et moi je prie dans ma nouvelle nuit,
Pour que revienne le même, le même rêve,
Quand tu étais là.
*
Même si je sens parfois que tu es tout prêt de moi,
Fais moi un signe, juste un signe de toi, de là-bas.
*
Prie pour moi,
La vie n'est plus la même sans toi.
Prie pour moi,
Et puis sans toi, l'amour c'est quoi.
Prie pour moi,
Comme je prie pour croire ce qui est écrit :
On nous doit tous une autre vie
*
Ecoute, écoute-moi
Cette chanson est pour toi,
Pour que là-bas, là-bas, tu aies moins froid ;
C'est juste un signe,
Un signe que je t'envoie,
Oh, réponds-moi...
*
Prie pour moi,
La vie n'est plus la même sans toi.
Prie pour moi,
Et puis sans toi, l'amour c'est quoi.
Prie pour moi,
Comme je prie pour croire ce qui est écrit :
On nous doit tous une autre vie
*
Jean Jacques Lafon




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Highslide JS

et quoi, j'attends ma friandise... hi hi
Highslide JS

et encore des paouilles, j'adooorrreeee
Highslide JS

Les papouilles de maman... hmmm que rêver de mieux
Highslide JS

Chuut je fais la sieste
Highslide JS

Et encore mon fauteuil je l'adorais
Highslide JS

Ahh mon fauteil atitré
Highslide JS

Toujours poseuse ma belle
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