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En hommage à
SETTER-GORDONRUBENS
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
97 bougies
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11645 Fleurs
6932 messages
Déposé par Galinette3 le 28/11/2015Mon ange ... 🐶 Tu m'as quitté, Date que je n'oublierai jamais, Qui restera un des plus douloureux moment de ma vie, Tu t'es doucement endormi, Bercé par mes paroles, mes caresses, Avec mon odeur prés de toi, Pour devenir ange ... 🐶 Tu étais mon fidéle compagnon, L'amour que tu m'apportais, était si fort, Tu étais hyperattaché à moi, Comme moi je l'étais pour toi, Tu m'as appris à savoir aimer et donner, Tant de souvenir avec toi, De joie, de bonheur, de gentillesse, Tu étais un être exceptionnel, Tu me manque plus que tout, Sentir ta truffe qui vient me reveiller chaque matin, Te voir débordant de joie quand je portais même juste un regard sur toi, et j'en passe des meilleures qui ne se décrivent pas par les mots, Mais par des émotions que seuls nous deux avons ressenti, Je donnerai pourtant tout pour te serrer encore un fois dans mes bras ... 🐶 Accordes moi ton unique pardon, de ne pas avoir su te protéger et te garder prés de moi ... 🐶 Au déla de la mort qui nous sépare, Notre lien était si fort, Que je sais que rien ne détruira cette force, Mes souvenirs pour toi sont intenses et éternels, Tu resteras à jamais mon amour, L'un des plus joli cadeau de ma vie, Je t'adresse tout mon amour, tout mon coeur, Et ce pour toujours ... 🐶 Je t'aime et je t'aimerai éternellement ... |
Déposé par poutounou le 28/11/2015Et si on se préparait une énorme salade de baisers !!! * Ce matin * Ce matin, j'ai mangé de la colère à la petite cuillère. J'ai mis plein de mauvaise humeur sur ma tartine de beurre. Toute la journée, je l'ai passée à grogner, à donner des coups de pieds, et à dire "C'est bien fait !". Mais maintenant, ça suffit, j'ai envie que ce soit fini. Et avant d'aller me coucher, je voudrais vous apporter une salade de baisers bien frais, bien doux, bien sucrés. C'est très facile à préparer. Qui veut la goûter ? * Monique Müller |
Déposé par colombine67 le 28/11/2015 La seringue a tué le rire Plus d'une fois j'ai pensé atteindre la rive, chaque fois je suis retombé ; sur mon bras droit est tatouée une seringue. Mon esprit est marqué. Combien d'années ont passé depuis que j'ai, mon sac de couchage sous le bras, fermé la porte de ma maison, depuis que j'ai fumé ma première pipe de hachisch ? Quatre, cinq ? Je ne veux pas y penser ! Je veux oublier ! Quelques amis ont essayé de m'aider, puis sont repartis. Que pouvaient-ils faire ? Je ne vois pas la lourde porte de ma prison ni les barreaux à ma fenêtre. Quelque part dehors, dans Oslo qui se réveille après un long hiver, mon fils et ma femme m'attendent. Je rêve ! Des images défilent devant mes yeux, des souvenirs... Paris, l'Afrique, le hachisch, puis, en relief, une seringue, Istamboul, l'opium, Téhéran, l'héroïne... Tout est vague ! Une seringue à mort lente ! Ai-je vingt et un ans ou un siècle ? La seringue a tué le rire. La prison ne m'a pas changé. Souvent j'y ai séjourné, puis je suis reparti, de ville en ville, de pays en pays, pour fuir l'obsession. J'ai tenté avec violence de toucher la rive sans jamais y parvenir. Un jour je suis retourné à la maison, les bras percés, et lentement j'ai guéri. C'est très loin. Le brouillard se dispersait, je suis reparti, mes vieilles bottes aux pieds, retrouver les amis de la dernière heure. Les amis ? Non, la seringue ! J'ai renié mes amis. J'ai renié jusqu'à l'idée de l'amour. J'ai renié la vie. J'ai vécu frileux et caché, sans lever la tête, une seringue dans la poche. Des jours, des années ! Puis le soleil délicatement est venu sur mon couvre-lit à la clinique de Cery. Les semaines ont passé, j'ai refait mes premiers pas, le voile se levait mais des périodes sont restées obscures, puis j'ai pu rentrer chez moi quelques heures, avant de repartir. J'avais été expulsé ! La route, un cahier de vers dans la poche, un livre de Nerval, les nuits dans les villes étrangères... sans fin... Dans un parc d'Oslo, j'ai rencontré une jeune fille merveilleuse avec un enfant. La veille de notre mariage j'ai été arrêté une fois de plus pour possession illégale de stupéfiants. Les journées passent, les semaines aussi. Dehors on m'attend. Deux fois par semaine elle vient me voir dix minutes, un geôlier me conduit au parloir... Encore une fois je vais essayer, je ne suis pas seul, et je lui dirai : Voilà, cette fois j'y arriverai ! Combien d'années ont passé ? J'aimerais que cette lettre soit publiée. Si d'autres peuvent ainsi éviter cette voie, tout n'aura pas été inutile. Anonyme, Prison d'Oslo, le 31 mai 1970 |
Déposé par Biscuit le 28/11/2015Dans un petit coin de mon coeur. Ton amitié vit comme une fleur. Son parfum de tendresse, Me réchauffe comme une caresse, Ses pétales colorés,telle la rosée, Rafraichissent ma vie, Ses racines malgré le temps qui fuit, Restent solides entre nos vies. Au cours de ce voyage, je pense à toi, Je laisse sur cette page un peu de moi. Avec toi je continuerai de partager, Ce qu'on appelle si joliment amitié... |
Déposé par rafia le 27/11/2015Pour Hier Et Demain........ Je veux pas qu'on me dise Que t'es bien mieux là-bas, Je veux pas qu'on me dise Que la vie c'est comme ça. Je voudrais ne plus voir, J'aimerais mieux ne plus sentir, Je veux surtout pas croire Que c'est des choses qui arrivent. Pour tous ceux qui restent, Pour ceux qui espèrent, Pour tous ceux qui marchent encore sans toi, Pour tous ceux qu'on laisse, Pour tous ceux qu'on perd, On s'accroche à demain Mais on n'oubliera jamais hier. Je sais bien que ça se passe pas, Toujours comme dans les livres J'aimerais mieux pas savoir, Qu'on avait ça à vivre Maintenant que tout est fait Et qu'on peut pas revenir Il faut se remettre à vivre, Faut se remettre à sourire. Si tu m'entends aujourd'hui De là-haut dans l'autre monde, Envoie un peu de pluie, Pour mes fleurs sur ta tombe. |
Déposé par colombine67 le 27/11/2015Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. J'écoute quelquefois le soir Des nouvelles à la télévision. On y voit haine et désespoir, Détruire notre monde sans raison. On nous annonce au fil des jours Que femmes et enfants sont agressés Et qu'aussi certains vautours, Vont jusqu’à tuer pour dominer On a beau se parler d'amour, De partager son amitié. Qu'aussitôt dans le détour, La rose sort ses épines acérées. Pourquoi sommes-nous si violents ? Pourquoi sommes-nous insouciants ? Pourquoi sommes-nous si impatients ? Pourquoi sommes-nous intolérants ? Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. Roger Kemp |
Déposé par rafia le 26/11/2015Quelque part au-delà de l' 🌈 Bien plus haut, Il y a une contrée don't j'ai entendu parler Une fois dans une berceuse. Quelque part au-delà de l' 🌈 Les cieux sont bleus Et les rêves que tu oses rêver Deviennent vraiment réalité. Un jour je ferai un souhait en regardant une 🌟 Et je me réveillerai à l'endroit où les nuages sont loin Derrière moi. Où les ennuis fondent telles des gouttes de citron 🍊 Bien au-dessus des cheminées C'est là où tu me trouveras. Quelque part au-delà de l'🌈 Les merles bleus volent, Les 🐦🐦🐦🐦🐦🐦🐦🐦🐦volent au-delà de l'🌈 Alors pourquoi, oh, pourquoi ne le puis-je pas ? Si de joyeux petits merles bleus volent Au-delà de l'🌈 Pourquoi, oh, pourquoi ne le puis-je pas ?, |
Déposé par colombine67 le 26/11/2015 As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel ou écouter la pluie tomber sur le toit ? Déjà suivi un papillon volant gaiement ou bien admiré un coucher de soleil ? Tu devrais t'y arrêter. Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas éternellement. Est-ce que tu cours toute la journée, toujours pressé ? Lorsque tu demandes "Comment ça va ?", est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ? Lorsque la journée est terminée, est-ce que tu t'étends dans ton lit avec 100.000 choses à faire qui courent dans ta ête ? Tu devrais ralentir. As-tu déjà dis à ton enfant : "Nous le ferons demain" et le remettre au surlendemain ? Déjà perdu contact avec un ami, laisser une amitié mourir parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour. La vie est si courte. Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitié du plaisir d'y être. Lorsque tu t'inquiètes et te fais du souci toute la journée, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais. La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'écouter la musique avant que la chanson ne soit terminée. Anonyme |
Déposé par nikita le 25/11/2015RUBENS mon beau petit cœur Ça fait bien du temps que tu n’es plus là ! Et que j’essaye de vivre sans toi Je me souviens encore du jour ou tu es parti Ce jour ou ma vie a été anéantie Depuis que tu as quitté cette terre J'ai juste envie de te dire à quel point mon cœur se serre Dans ces moments là malgré mes petits bonheurs Je ne peux retenir mes larmes et mes pleurs Sais tu seulement que tu me manques à chaque instants Simplement te dire que je t 'aime tant Tu es présent dans mes moindres pensées Je sais que tu es là juste à mes cotés Et que si mes yeux ne te voies pas Mon cœur bat toujours pour toi pour toi mon beau RUBENS un envol de doux baisers qui sur ta jolie frimousse vont se déposer avec des douces pensées pour toi et ta maman à qui tu manques tant |
Déposé par monkillou le 25/11/2015Chers Rubens et sa maman, * Je viens de constater que tu es en compagnie d'une charmante jeune fille qui aux périples de sa vie et décédée pour la France... Moi également, j'ai eu la rage au ventre, quand j'ai appris qu'un fidèle compagnon avait péri pendant l'assaut des forces de l'ordre. Pauvre victime... innocente elle aussi, comme toutes celles qui ont été tuées sauvagement. Ta maman a voulu lui faire un hommage comme d'autres personnes et je trouve cela très gentil. Mais "revenons à nos moutons" car si je suis là aujourd'hui sur ta stèle c'est pour remercier ta fidèle maîtresse pour sa compassion. Elle vient régulièrement déposer de beaux poèmes et en particulier en ce 25 novembre, jour de l'anniversaire de décès de mon Dex d'amour. Je lui adresse par ces mots toute ma reconnaissance et ma sympathie. Une énorme caresse pour TOI bel étalon ainsi qu'à ton cousin, qui, j'espère se porte bien. À tantôt |
Déposé par colombine67 le 25/11/2015Un petit garçon de 8 ans. Son père, un scientifique, cherche à résoudre les problèmes de l’humanité. Le petit entre, lui tire la manche et lui dit : « Papa, je veux t’aider ! » Son père le renvoie : « Non, mon fils, j’ai beaucoup de travail. » Mais le petit insiste. Il y a là une revue avec une carte du monde. Alors, le père prend la carte, avec des ciseaux il la découpe en tout petits morceaux, qu’il lui remet avec de la colle : « Voilà, essaie de reconstruire le monde. » Croyant occuper ainsi son fils pour une dizaine de jours. Mais après deux heures, le fils a résolu le problème. « Comment as-tu pu faire cela ? » « Eh bien, Papa, j’ai vu que l’autre côté de la carte, il y avait la figure d’un homme. Le monde, je ne le connais pas. mais l’homme, si. Alors, j’ai retourné tous les petits papiers. Et j’ai d’abord reconstruit l’homme. Puis, j’ai retourné le papier, j’avais reconstruit le monde aussi. » Anonyme |
Déposé par luc78 le 25/11/2015De toi, je garderai Pour toujours enfermé Tout au fond de mon cœur, Une idée du bonheur A toi je resterai A jamais attaché. Et tu seras toujours Comme au premier jour. Pour toi j’avais bravé, Contre vents et marées, La houle de la vie, Les jours parfois si gris. Avec toi je restais, Tu savais patienter Ne jamais me quitter, En boule, tu te roulais Que toi pour aboyer, Et puis t’impatienter Quand je parlais parfois A un autre que toi. Comme toi, moi j’aimais M’en aller promener Et tu te régalais De courir dans les prés. Sans toi, je ne sais plus Vraiment ce que je suis, Dans ton regard de chien Je me sentais si bien. |
Déposé par poutounou le 24/11/2015Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus légère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec précaution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, légère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pénètre de sa paix. * Même fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le réel, Alors que la pensée remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La découverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'être aimé. * Et malgré la nuit du monde, Malgré les destructions, Tenons notre lampe allumée, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
Déposé par colombine67 le 24/11/2015 Pour apprendre la valeur d'une année, demande à l'étudiant qui a raté un examen. Pour apprendre la valeur d'un mois, demande à la mère qui a mis un enfant au monde trop tôt. Pour apprendre la valeur d'une semaine, demande à l'éditeur d'un journal hebdomadaire. Pour apprendre la valeur d'une heure, demande aux fiancés qui attendent de se revoir. Pour apprendre la valeur d'une minute, demande à celui qui a raté son train, son bus ou son avion. Pour apprendre la valeur d'une seconde, demande à celui qui a perdu quelqu'un dans un accident. Pour apprendre la valeur d'une milliseconde, demande à celui qui a gagné une médaille d'argent aux Jeux Olympiques. Le temps n'attend personne. Rassemble chaque instant qu'il te reste et il sera de grande valeur. Partage les avec une personne de choix et ils deviendront encore plus précieux. Anonyme |
Déposé par choupinou le 23/11/2015Pour un regard, un geste, un silence, un mot, une fleur, une prière,votre présence,en ce triste jour de l'anniversaire de mon NUDJI, Je n’ai qu’un mot à dire “Merci”mais qui veut dire beaucoup... Tendre pensée a vous et petits amours disparus ; Choupinou et mon Nunu d'amour, |
Déposé par colombine67 le 23/11/2015Les gens sont déraisonnables, illogiques et égocentriques Aimez-les tout de même ! Si vous faites le bien, les gens vous prêtent des motifs égoïstes ou calculateurs Faites le bien tout de même ! Si vous réussissez, vous gagnerez de faux amis et de vrais ennemis Réussissez tout de même ! Le bien que vous faites sera oublié demain Faites le bien tout de même ! L'honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable Soyez honnête et franc tout de même ! Ce que vous avez mis des années à construire peut être détruit du jour au lendemain Construisez tout de même ! Les pauvres ont vraiment besoin de votre secours mais certains peuvent vous attaquer si vous les aidez Aidez-les tout de même ! Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même vous risquez d'y laisser des plumes Donnez ce que vous avez de mieux tout de même ! Texte placardé sur le mur de Shishu Bhavan, le foyer des enfants de Mère Teresa, à Calcutta |
Déposé par poutounou le 22/11/2015Mon Ange adoré, Je te présente Diesel. C’est une jolie demoiselle « berger malinois » pour laquelle j’ai fait une page. Elle est morte pendant une action du raid contre des terroristes, le 18 novembre. Désormais je m’occuperai de ta page et de la sienne également. Je ne la connaissais pas, bien sûr, mais son tragique destin m’a tiré les larmes et a fait monter ma colère. Je ne suis pas la seule à avoir fait une page pour elle. Je pense que nous sommes tous, français que nous sommes, sous le choc de cette barbarie qui a eu lieu dans notre beau pays. Chacun réagit comme il le peut. Et je pense aussi que bon nombre de français ont peur de ce qui peut encore se passer à l’avenir, comme moi par exemple. Certains diront et disent d’ailleurs que Diesel n’était qu’un chien et qu’il faut d’abord penser à toutes ces personnes assassinées. On peut penser à toutes les victimes y compris cette chienne qui n’a rien demandé à personne. On entend dire aussi qu’elle aurait été sacrifiée. Si c’est vrai, c’est grave parce qu’une vie est une vie, du moins à mes yeux. Et si on avait pu faire autrement, il aurait fallu faire autrement….. même si ça coûte plus cher. Voilà mon cœur ! Prends bien soin de cette courageuse demoiselle. Montre lui comme le Paradis blanc est beau et présente lui tous tes amis (es). Fais lui oublier sa tragique fin de vie… * Je vous embrasse fort, elle et toi….tout, tout fort…. |
Déposé par Annie le 22/11/2015Un grand merci chère Martine pour vos nombreux passages sur les pages de mes amours et plus particulièrement pour ma Sally que vous avez gâtée pour le 36e anniversaire de son envol. Douces caresses à votre bel ami de ma part. |
Déposé par rafia le 22/11/2015DE LA PART DE MARYEM♥ Pour TOUS vos trésors/Canins....félins...et autres. L'AMOUR♥ ne connaît pas de ségrégation...j'ai adapté cette belle chanson. - Je vs remercie, très chaleureusement, pr TOUS vos TRES nombreux témoignages d'Amitié et de soutien. -Je vs dis..."à très bientôt"..je l'espère. Mille mercis aussi pr Maël. - Avec toute mon amitié. Maryem, votre amie ------------------------------------------------------------------------ C'est pas facile de regarder des photos de TOI♥, C'est pas facile de n'pas pleurer lorsque je pense à TOI♥ J'veux plus me dire que c'est fini, J'veux plus me dire que t'es parti//e Que tu es là tout/e seul//e là-haut au paradis. C'est pas facile d'aimer la vie quand elle nous a tout pris, De te chercher dans cette maison où TU as grandi♥ Autour de nous tout continue, Même si les autres s'habituent Ici maman♥ ne s'ra jamais plus comme avant. C'est pas facile.. C'est pas facile d'imaginer que tu n'seras plus là C'est pas facile d'oublier le timbre de tes aboiements, J'veux te revivre dans ma vie, J'veux te revivre dans mes rêves Et me construire un monde où tout n'est pas fini. C'est pas facile de la chanter cette chanson, tu vois, C'est pas facile de n'pas chialer parce qu'elle parle de TOI♥ Ta mort trop injuste, J'ai pas fini de la maudire, Les poings serrés vers TOI♥ jusqu'à l'éternité. C'est pas facile… C'est pas facile de regarder des photos de TOI♥ C'est pas facile de n'pas pleurer parce qu'elles parlent de TOI♥ J'veux plus me dire que c'est fini, J'veux plus me dire que t'es parti//e, Que tu es là tout//e seu//e, là-haut au paradis C'est pas facile (3x) |
Déposé par colombine67 le 22/11/2015 Vous me dites, Monsieur, que j'ai mauvaise mine, Qu'avec cette vie que je mène, je me ruine, Que l'on ne gagne rien à trop se prodiguer, Vous me dites enfin que je suis fatigué. Oui je suis fatigué, Monsieur, et je m'en flatte. J'ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate, Je m'endors épuisé, je me réveille las, Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas. Ou quand je m'en soucie, je me ridiculise. La fatigue souvent n'est qu'une vantardise. On n'est jamais aussi fatigué qu'on le croit ! Et quand cela serait, n'en a-t-on pas le droit ? Je ne vous parle pas des sombres lassitudes, Qu'on a lorsque le corps harassé d'habitude, N'a plus pour se mouvoir que de pâles raisons... Lorsqu'on a fait de soi son unique horizon... Lorsqu'on a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre... Cette fatigue-là est mauvaise à entendre ; Elle fait le front lourd, l'oeil morne, le dos rond. Et vous donne l'aspect d'un vivant moribond... Mais se sentir plier sous le poids formidable Des vies dont un beau jour on s'est fait responsable, Savoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses mains, Savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain, Savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source, Aider une existence à continuer sa course, Et pour cela se battre à s'en user le coeur... Cette fatigue-là, Monsieur, c'est du bonheur. Et sûr qu'à chaque pas, à chaque assaut qu'on livre, On va aider un être à vivre ou à survivre ; Et sûr qu'on est le port et la route et le quai, Où prendrait-on le droit d'être trop fatigué ? Ceux qui font de leur vie une belle aventure, Marquant chaque victoire, en creux, sur la figure, Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus Parmi tant d'autres creux il passe inaperçu. La fatigue, Monsieur, c'est un prix toujours juste, C'est le prix d'une journée d'efforts et de luttes. C'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit, Non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit. C'est le prix d'un travail, d'une journée remplie, C'est la preuve, Monsieur, qu'on marche avec la vie. Quand je rentre la nuit et que ma maison dort, J'écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ; Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance, Et ma fatigue alors est une récompense. Et vous me conseillez d'aller me reposer ! Mais si j'acceptais là, ce que vous me proposez, Si j'abandonnais à votre douce intrigue... Mais je mourrais, Monsieur, tristement... de fatigue. Robert Lamoureux |
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