En hommage à

DOUGLAS D'INGLYBER
2008 / 2018


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En hommage à
DOUGLAS D'INGLYBER
SCOTTISH-TERRIER
Il est né le:04/10/2008
Il nous a quittés le:24/03/2018

Arrivé avec la hotte du Père-Noël, sur un coup de colère majestueux !
Il nous quitte nous laissant dans une peine immense.
Heureusement, sa petite soeur adoptive "GOLDEN MILADY" nous consolera.
Bon voyage DOUGLAS !
MISTRAL et RAMSES II veilleront sur toi et m'enverront des signes comme à l'habitude.




70 bougies

41040 Fleurs
Déposé par mistral
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Déposé par mistral



 
760 messages

Déposé par spanky le 13/08/2024  
Un au revoir à mon cher papa.
-----
Aujourd'hui, j'ai dû dire au revoir à mon très cher papa.
La fête de dimanche était un joyeux flou, mais c'était aussi mes adieux.
La fièvre m'a frappé cette nuit-là, et malgré les câlins et les soins, les choses ont empiré.
Mardi, je ne pouvais plus me contrôler
---
Chez le vétérinaire, l'espoir s'est effondré.
Mes analyses de sang ont montré une forte baisse et le chiot joueur en moi s'estompait.
Le chiot joueur en moi s'estompait.
Papa savait ce qu'il devait faire.
Il existait des traitements coûteux, mais c'étaient des solutions temporaires, que nous avions déjà essayées
---
La décision la plus douloureuse qu'un propriétaire d'animal de compagnie puisse prendre, papa a choisi de me laisser partir en paix.
Plus de douleur, c'est ma promesse.
Il a pris mon collier, un rappel silencieux de l'amour que nous partagions.
Bien que navré, papa a juré de m'honorer en offrant à un autre beagle un foyer aimant.
Du fond de mon cœur joueur, merci pour tout.
Vous étiez la meilleure famille qu’un chien puisse demander.
Les souvenirs que nous avons créés feront toujours sourire, même dans mon paradis des chiens.
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Déposé par spanky le 11/08/2024  
Jolie chanson sur l’espoir...
---
Rester debout mais à quel prix , debout peu importe le prix. 
---
Le Premier Jour Du Reste De Ta Vie
Un matin comme tous les autres
Un nouveau pari
Rechercher un peu de magie
Dans cette inertie morose
---
Clopin clopan sous la pluie
Jouer le rôle de sa vie
Puis un soir le rideau tombe
C'est pareil pour tout l'monde
---
Rester debout mais à quel prix
Sacrifier son instinct et ses envies
Les plus essentielles
---
Mais tout peut changer aujourd'hui
Et le premier jour du reste de ta vie
Plus confidentiel
---
Pourquoi vouloir toujours plus beau
Plus loin plus haut
Et vouloir décrocher la lune
Quand on a les étoiles
---
Quand les certitudes s'effondrent
En quelques secondes
Sache que du berceau à la tombe
C'est dur pour tout l'monde
---
Rester debout mais à quel prix
Sacrifier son instinct et ses envies
Les plus confidentielles
---
Mais tout peut changer aujourd'hui
Et le premier jour du reste de ta vie
C'est providentiel
---
Debout peu importe le prix
Suivre son instinct et ses envies
Les plus essentielles
---
Tu peux exploser aujourd'hui
Et le premier jour du reste de ta vie
Non accidentel
---
Oui tout peut changer aujourd'hui
Et le premier jour du reste de ta vie
Plus confidentiel
---
De - Etienne Daho -
----

Déposé par poutounou le 11/08/2024  
Voilà la vie de nos doux Anges au cieux… !!! Ca fait rêver, non ? Moi ça me donnerait bien envie d’y faire un petit tour, juste pour voir… !!!
*
Le banquet
*
Que de choses sur la table,
Nous allons les manger!
Le vin est délectable
Il faudra s'en gorger.
*
Divins breuvages
Nous rendant moins sages
Abondance de nourriture
Jusqu'à l'exquise confiture...
*
On apporte aussi les fruits
Dont on s'empiffre sans bruit.
Les raisins aux grappes lustrées,
Débordent des panerées.
*
L'air s'imprègne d'une odeur framboisée
Le coulis d'une glace ainsi parfumée
Offre à nos papilles émoustillées
La saveur des saisons passées.
*
Mangeons, buvons,
Ne boudons pas les plaisirs de la table
Ensemble, nous, joyeux lurons,
Goûtons ces délices immuables.
*
© Janine Loisel

Déposé par spanky le 09/08/2024  
La Prière du Chien.
---
Pour tous les chiens de la terre, voici ma Prière :
Tu m’as adopté et tu sauras m’assumer.
Tu choisiras une race adaptée et sur moi, te seras renseigné.
Tu me nourriras et me sortiras comme il le faudra.
Tu m’éduqueras et m’apprendras à respecter, à aimer et à obéir sans en passer par le pire.
Tu me soigneras et m’entretiendras aussi longue que ma vie sera.
Du temps et de l’espace tu me donneras et ma nature, tu respecteras.
Tu te souviendras que je ne suis pas humain et que je reste un chien.
Le monde avec toi, je découvrirai et toutes les choses je connaîtrai.
De la patience, tu auras et de bonnes décisions, tu prendras.
Même dans ma vieillesse, tu garderas de la tendresse.
Égoïste, tu ne seras pas, quand la maladie me prendra, quand le moment viendra, à partir, tu m’aideras.
Ton cœur et ta chaleur, tu m’offriras, tu me soutiendras et tu seras là pour mon dernier souffle, pour mon dernier battement de cœur.
Et jusqu’au dernier regard, jusqu’à mon dernier soupir, tu garderas le sourire ;
tu garderas le souvenir que tes erreurs pour le prochain pourront servir et tu te souviendras de celui avec qui tu as ri,
tu as pleuré, celui pour qui tu t’es donné et qui toute sa vie tes efforts a récompensé.
Celui qui t’a aimé sans arrière pensée, c’est ton meilleur ami, qui, à la fin de sa vie, te le dira sans bruit :
Merci.
---

Déposé par spanky le 07/08/2024  
Jolie petit ange Mendi
....
Tu es l'ange d'Amour de ta maman,
Tu sais, elle t'aime énormément !
Tu es toute sa vie,
Elle a pour toi une tendresse infini !
Notre maman nous manque aussi,
Depuis que nous sommes partis au paradis !
Nous veillons sur elle,
Est le soir dans ses rêves, nous sommes prés d'elle !
Alors petit ange Mendi, quand ta maman s'endort,
Vas lui rendre visite, fais lui savoir que tu l'aime très fort !
Elle te prendra dans ses bras,
Comme autrefois ici bas !
Elle te donnera pleins de baisers,
Et des caresses par milliers !
Prends soin d'elle du pont de l'arc en ciel,
Elle t'aime très fort, tu es sa petite merveille !
Nous on espère te rencontrer dans cet immensité,
Pour courir et jouer ensemble pour l'éternité !
----
****Maxou****Bambi****Jenny****
---

Déposé par poutounou le 07/08/2024  
Très beau poème de Brigitte Bruyns, décédée en novembre 2005, envoyé par son conjoint après son départ. Pour nos Anges aussi ce n’était qu’un simple départ, un au revoir… Nous les reverrons, j’en suis sûre, là-haut, juste derrière les nuages… !!!
*
Un au revoir
*
Un vent étrange souffle sur les coeurs pourpres,
Et rend les regards troubles.
La goutte de pluie s'est transformée en perle puis en larme,
Mais un rayon de chaleur l'a empêchée de tourner en drame.
Pour moi, les adieux n'existent pas,
Je sais bien que ce jour, je ne l'oublierai pas.
Vous m'avez tous aidée et supportée pendant ces années,
Et je ne sais pas comment vous en remercier.
Pourtant, l'heure venue de mon départ,
Je ne saurais m'empêcher de noyer mes larmes dans un dernier regard.
Tant d'années se sont écoulées,
Tant de mois ont filé,
Tant de jours sont passés,
Et tant d'heures ont coulé.
Alors pourquoi dramatiser, ce n'est qu'un simple départ,
Dont je garde pour moi, l'espoir d'un jour vous revoir,
Mais pour conclure, je vous dirai simplement
Que ceci est une fête pour se dire au revoir,
De plus, il ne faut pas qu'elle ait l'odeur d'un triste départ.
*
© Brigitte Bruyns

Déposé par spanky le 05/08/2024  
L’Ours et l’Amateur des jardins est la dixième fable du livre VIII de Jean de La Fontaine,
situé dans le deuxième recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678.
L'ours et l'amateur des jardins
Poète : Jean de La Fontaine (1621-1695)
Recueil : Les fables du livre VIII (1678).
-----
Certain Ours montagnard, ours à demi léché,
Confiné par le Sort dans un bois solitaire,
Nouveau Bellérophon, vivait seul et caché.
Il fût devenu fou : la raison d'ordinaire
N'habite pas longtemps chez les gens séquestrés.
Il est bon de parler, et meilleur de se taire ;
Mais tous deux sont mauvais alors qu'ils sont outrés.
Nul animal n'avait affaire
Dans les lieux que l'Ours habitait ;
Si bien que tout Ours qu'il était,
Il vint à s'ennuyer de cette triste vie.
Pendant qu'il se livrait à la mélancolie,
Non loin de là certain Vieillard
S'ennuyait aussi de sa part.
Il aimait les jardins, était prêtre de Flore,
Il l'était de Pomone encore.
Ces deux emplois sont beaux ; mais je voudrais parmi
Quelque doux et discret ami.
Les jardins parlent peu, si ce n'est dans mon livre :
De façon que, lassé de vivre
Avec des gens muets, notre homme, un beau matin,
Va chercher compagnie, et se met en campagne.
L'Ours, porté d'un même dessein,
Venait de quitter sa montagne.
Tous deux, par un cas surprenant,
Se rencontrent en un tournant.
L'Homme eut peur : mais comment esquiver ; et que faire ?
Se tirer en Gascon d'une semblable affaire
Est le mieux : il sut donc dissimuler sa peur.
L'Ours, très mauvais complimenteur,
Lui dit : « Viens-t'en me voir. » L'autre reprit : « Seigneur,
Vous voyez mon logis ; si vous me vouliez faire
Tant d'honneur que d'y prendre un champêtre repas,
J'ai des fruits, j'ai du lait : ce n'est peut-être pas
De nos seigneurs les Ours le manger ordinaire ;
Mais j'offre ce que j'ai. » L'Ours l'accepte et d'aller.
Les voilà bons amis avant que d'arriver ;
Arrivés, les voilà se trouvant bien ensemble :
Et bien qu'on soit, à ce qu'il semble,
Beaucoup mieux seul qu'avec des sots,
Comme l'Ours en un jour ne disait pas deux mots,
L'Homme pouvait sans bruit vaquer à son ouvrage.
L'Ours allait à la chasse, apportait du gibier ;
Faisait son principal métier
D'être bon émoucheur ; écartait du visage
De son ami dormant ce parasite ailé,
Que nous avons mouche appelé.
Un jour que le Vieillard dormait d'un profond somme,
Sur le bout de son nez une allant se placer
Mit l'Ours au désespoir ; il eut beau la chasser.
« Je t'attraperai bien, dit-il, et voici comme. »
Aussitôt fait que dit : le fidèle émoucheur
Vous empoigne un pavé, le lance avec raideur,
Casse la tête à l'Homme en écrasant la mouche ;
Et non moins bon archer que mauvais raisonneur,
Raide mort étendu sur la place il le couche.
Rien n'est si dangereux qu'un ignorant ami ;
Mieux vaudrait un sage ennemi.
----
Jean de La Fontaine.
---

Déposé par poutounou le 04/08/2024  
J'OUBLIE... QUAND...
*
J'oublie mes migraines...
Quand tu déposes une tendre léchouille sur mon front.
*
J'oublie mes peines...
Quand de ta patte, tu effleures ma joue.
*
J'oublie mes problèmes...
Quand tu te couches tout contre moi.
*
J'oublie ma douleur...
Quand tu poses ta tête contre la mienne.
*
Mais jamais JE N'OUBLIE...
Quand tu me regardes avec les yeux de l’Amour…
*
JE T'AIME

Déposé par spanky le 03/08/2024  
Le petit cheval       Paroles:  Paul Fort - musique: Georges Brassens
------
Le petit cheval dans le mauvais temps
Qu'il avait donc du courage
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière, tous derrière
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière et lui devant
---
Il n'y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage
Il n'y avait jamais de printemps
Ni derrière, ni derrière
Il n'y avait jamais de printemps
Ni derrière, ni devant
---
Mais toujours il était content
Menant les gars du village
A travers la pluie noire des champs
Tous derrière, tous derrière
A travers la pluie noire des champs
Tout derrière et lui devant
---
Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage
C'est alors qu'il était content
Tous derrière, tous derrière
C'est alors qu'il était content
Tous derrière et lui devant
---
Mais un jour dans la mauvais temps
Un jour qu'il était si sage
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière, tous derrière
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière et lui devant
---
Il est mort sans voir le beau temps
Qu'il avait donc le courage
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni derrière
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni devant
----

Déposé par spanky le 01/08/2024  
Adieu ! mot qu'une larme humecte sur la lèvre ;
Mot qui finit la joie et qui tranche l'amour ;
Mot par qui le départ de délices nous sèvre ;
Mot que l'éternité doit effacer un jour !
Adieu !.... Je t'ai souvent prononcé dans ma vie,
Sans comprendre, en quittant les êtres que j'aimais,
Ce que tu contenais de tristesse et de lie,
Quand l'homme dit : "Retour !" et que Dieu dit : "Jamais !"
Mais aujourd'hui je sens que ma bouche prononce
Le mot qui contient tout, puisqu'il est plein de toi,
Qui tombe dans l'abîme, et qui n'a pour réponse
Que l'éternel silence entre une image et moi !
Et cependant mon cœur redit à chaque haleine
Ce mot qu'un sourd sanglot entrecoupe au milieu,
Comme si tous les sons dont la nature est pleine
N'avaient pour sens unique, hélas ! qu'un grand adieu !
----
Alphonse de Lamartine.
---

Déposé par poutounou le 31/07/2024  
Nos « cœurs de poils » sont très riches…
*
LA RICHESSE DU COEUR
*
Qui ne peut voir un autre monde est aveugle.
Qui ne sait dire un mot gentil quand il le faut est muet.
Qui est tourmenté par un trop grand désir est pauvre.
Celui dont le coeur est content est riche.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par spanky le 30/07/2024  
Le chemin des Anges
----
Les petits anges dansent autour d'un être s'endormant
douceur immense pour le départ d'un compagnon.
puis le vent s’arrête un instant
le temps peint aux couleurs des saisons
des bleus lisses roses et blancs se répandent
Lentement visages tendres et humides
des mains tremblantes te glissent dans ton jardin du paradis
Se sourient de larmes sans chuchotant…
Se sourient de larmes sans chuchotant…
sans le moindre tourment
On prend sur nous ce long moment de ce départ
nos pensées folles s'envolent dans nos yeux brillants et rougies...
elles s'unissent aux lucioles pour vivre un dernier instant
pour qu’à jamais restent en suspens
nous avons si souvent souhaité que ce jour n’excitait pas
pour ne pas hériter de cette flamme qui s'éteint
en gardant le sentiment que nous vivrons éternellement
que nos yeux soient grands ouverts
Pour fêter ce triste enterrement… celle du relâchement
nous qui t’aimons puissamment
N'adressons aucune prière mais des milliers de pensées
Où que tu ailles nous te retrouverons... nos cœurs veillent
si le corps n’est plus… l'âme restée et Vit hors du temps...
alors les anges nous réuniront à nouveau.
-----

Déposé par spanky le 28/07/2024  
Les Yeux...
---
Bleus ou noirs,tous aimés, tous beaux,
Des yeux sans nombre ont vu l’aurore;
Ils dorment au fond des tombeaux
Et le soleil se lève encore.
Les nuits plus douces que les jours
Ont enchanté des yeux sans nombre;
Les étoiles brillent toujours
Et les yeux se sont remplis d’ombre.
Oh!qu’ils aient perdu le regard,
Non,non, cela n’est pas possible!
Ils se sont tournés quelque part
Vers ce qu’on nomme l’invisible;
Et comme les astres penchants,
Nous quittent, mais au ciel demeurent,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent:
Bleus ou noirs,tous aimés, tous beaux,
Ouverts à quelque immense aurore,
De l’autre côté des tombeaux
Les yeux qu’on ferme voient encore.
----

Déposé par poutounou le 28/07/2024  
J'AI APPRIS
*
J'ai appris qu'il n'était pas toujours suffisant de pardonner aux autres,
il faut apprendre à se pardonner soi-même.
J'ai appris qu'il ne faut pas être trop persistant à connaître un secret,
le savoir peut changer notre vie pour toujours.
J'ai appris que les diplômes affichés au mur
ne font pas nécessairement de nous des humains décents.
J'ai appris qu'il est très difficile d'être gentil pour ne pas blesser les sentiments d'autrui
tout en restant ferme pour ce que l'on croit.
J'ai appris que l'on ne peut pas forcer quelqu'un à nous aimer,
tout ce que l'on peut faire, c'est d'être quelqu'un qui peut être aimé.
J'ai appris que l'on continuait d'avancer même après avoir pensé
qu'il nous était impossible de le faire.
J'ai appris que l'on pouvait faire une petite chose en un court instant
et que celle-ci pouvait nous donner des maux de tête pour la vie.
Au seuil de ma mort,
j'ai appris que la vie valait la peine d'être vécue.
(Auteur inconnu)

Déposé par spanky le 26/07/2024  
Comment peut on?
Aujourd'hui les refuges sont saturés,              
Certaines personnes sont écœurées,              
Certaines autres, se sont démenées,             
Pour trouver des solutions contre la médiocrité.           
---
La médiocrité des âmes vides,             
La médiocrité d'un cœur creux,            
Avec en prime des pensées sordides,             
Accusant un malheureux.           
---                 
Il faut être un lâche sans cervelle,             
Un abrutis de circonstance,           
Pour commettre un acte aussi cruel,            
Qu'un abandon de convenance.           
---               
Aucune raison ne justifie l'abandon,             
C'est l'enterrement volontaire d'une âme,            
L'authentique lâcheté d'un con,                
Et des heures d'attente et d'espoir face au drame.                
---               
Comment peut on ?            
Comment peut on seulement ?          
Abandonner si lâchement,             
Jeter comme un chiffon.
---                              
L'animal, notre plus fidèle et authentique ami,             
Le seul être au monde,             
Qui lui, n'hésiterait pas donner sa vie,             
Pour sauver la nôtre.           
---                           
Je suis démunie, je suis affaiblie,              
Devant tous ces box qui, chaque jour se remplissent,            
Devant ces regards remplis d'espoir,             
Ces yeux  plein d'amour rivés sur chaque personne qui s'arrête devant les grilles.         
---               
Mais les grilles ne s'ouvrent pas,            
Les grilles ne s'ouvrent plus,           
Et ces heures qui passent, 
Se changeant  peu à peu en années d'attente.               
---         
Mon cœur est en lambeau,            
Parce que j'ai beau essayé de comprendre leurs gestes,             
Je n'y  parviens pas, Ces gens me révulsent,           
Et je n'éprouve que de la haine.           
---               
J'ai une haine viscérale pour tous ces gens,              
Qui se donnent bonne conscience sans honte,               
Parce qu'aucun animal au monde,          
Ne mérite un tel châtiment...               
---               
Mon enveloppe est humaine,            
Mon cœur reste à jamais animal ...           
---            
Emmanuelle B. 
-----             

Déposé par colombine67 le 26/07/2024  
Un p'tit clébard par Pierre Perret
Il n'avait jamais rien eu
Rien possédé de sa vie
Aussi nu à soixante piges
Que le jour où il naquit
L'avait jamais eu de frigo
Ni vaisselle, ni tableaux
Et même en guise d'Aubusson
L'avait qu' son paillasson
Lisant avec gratitude
Cent ans de solitude
Un chant d'oiseau dans le ciel
Remplaçait son Pleyel
Mais un beau jour, subito
Le gros lot du loto
Fit que le monde vint lui dire
"Qu'est-ce qui vous ferait plaisir ?"
Moi "Je veux un chien, un p'tit clébard
Je me fous de la marque"
Disait le papy soudain cossu comme un monarque
Un chien abandonné par des gens sans cervelle
Et que la SPA aurait pris sous son aile
"Je veux un chien, un p'tit bâtard sans estampille
Qui serait en somme comme qui dirait toute ma famille
Surtout ne pensez pas que je me méfie des hommes
Mais d'amitié, les clèbards sont moins économes"
Les gérants de son empire
Furent écroulés de rire
On lui acheta un kimono
Un château, des chevaux
Un beau perroquet malais
Qui s'exprime en anglais
Un superbe chat de Perse
Qui coûte la peau des fesses
On l'amena à Marengo
Y déguster du veau
Il acquit près de Cuzco
Les montagnes et l'écho
Quand son secrétaire habile
Front soucieux dit "Monsieur
Quel nouveau plaisir peut-il
Trouver grâce à vos yeux ?"
Moi "Je veux un chien, un p'tit clébard
Je me fous de la marque"
Disait le papy soudain cossu comme un monarque
Un chien abandonné par des gens sans cervelle
Et que la SPA aurait pris sous son aile
"Je veux un chien, un p'tit bâtard sans estampille
Qui serait en somme comme qui dirait toute ma famille
Surtout ne pensez pas que je me méfie des hommes
Mais d'amitié, les clèbards sont moins économes"

Déposé par colombine67 le 25/07/2024  

Naissance de la voix lactée
Il y a bien longtemps, il n'y avait pas beaucoup d'étoiles dans le ciel.
Les indiens stockaient leur récolte de maïs dans de grands paniers. L'hiver ces grains leur permettaient de confectionner du pain.
Un matin, un couple découvre qu'on leur a dérobé du maïs pendant la nuit. Des grains sont dispersés sur le sol de la réserve et ils aperçoivent des empreintes géantes de chien.
Ils alertent aussitôt les villageois : ces traces ne peuvent avoir été faites que par un chien venant d’un autre monde !
Ils décident de se débarrasser d'une bête aussi monstrueuse en l'effrayant si fort qu'elle n'aura plus envie de revenir.
Ils rassemblent des tambours, des carapaces de tortues et se cachent pendant la nuit près de la réserve de grains.
Soudain, ils entendent un énorme bruissement d'ailes pareil à celui de milliers d'oiseaux en vol : un chien géant descend en piqué du ciel. Dés que ce dernier se trouve près du maïs, les Indiens font un vacarme énorme en frappant sur leurs ustensiles. L’animal s’enfuit mais les habitants du village le poursuivent en continuant de plus belle leur tintamarre.
Le chien géant grimpe alors au sommet d'une colline et se jette dans le ciel, les grains de maïs se répandant de sa gueule. Il traverse la nuit noire et disparaît. Les grains de maïs forment un chemin dans le ciel et chaque grain se transforme en étoile. C’est ainsi qu'est apparue la voie lactée...
Les Cherokee l’appellent gi li' ut sun stan un' yi, l'endroit où courait le chien.

Déposé par poutounou le 24/07/2024  
Ces « amis sincères » sont nos doux « filous » à quatre pattes et une queue. Ce poème leur est dédié… !!!
*
UN AMI SINCÈRE
*
Un ami sincère
Peut faire naître un sourire
Quand nous sommes abattus
Et que rien ne va plus.
*
Un ami sincère
Peut comprendre nos épreuves
Et, d'une simple léchouille,
Nous remettre en chemin.
*
Un ami sincère
Est fait pour partager
Nos rêves les plus secrets
Tout en demeurant discret.
*
Un ami sincère
Vaut plus que de l'or,
Car, au fond de son coeur,
Il ne veut que notre bonheur.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par spanky le 24/07/2024  
Mes humains à moi et que j'ai tant aimés.
S.v.p. ne vous sentez coupables de rien car vous ne m'avez pas laissé souffrir...
Quand vous avez vu que je n'étais plus moi même, vous avez tout fait pour m'aider,
mais il était malheureusement trop tard et je le savais.
Je suis tellement désolé de ne pas vous avoir donné de signes de ma maladie, je continuais à être normal,
mais en dedans de moi, il se passait des choses que je ne comprenais pas moi-même....
Mais je sais que maintenant, c'est vous deux qui souffrez de mon absence et j'en suis sincèrement désolé....
----
je suis bien maintenant même si je m'ennuie de vous autant que vous devez vous ennuyer de moi....
j'ai eu une belle vie avec vous même si elle a été trop courte.
Je vous remercie de ce que vous avez décidé , c'était la chose à faire car je n'aurais pas pu supporter la suite........
j'étais heureux de vous voir à mon chevet pour rester avec moi jusqu'à la fin et je suis parti en paix et content.
C'est sur que j'aurais aimé rester, mais c'était impossible dans les circonstances.
N'oubliez jamais que je vous aime et que du pont de l'Arc-en-Ciel, je veille sur vous.
Un jour viendra ou nous allons être tous réunis à nouveau......
Je vous aime et jamais je ne vous oublierai..
----

Déposé par colombine67 le 24/07/2024  
La légende du pont de l'arc en ciel
"La légende du pont de l’arc en ciel"
"Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel"
Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel.
Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre.
On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble.
Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi.
Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles.
Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort.
Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur.
Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés.
Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique.
Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets.
Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts.
L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut.
Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre.
Vous souriez !
Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien.
Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis.
Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..."
« Rainbow bridge » texte d’un auteur anglais inconnu




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