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En hommage à
BOXERPaco
Il est né le:10/06/2008
Il nous a quittés le:26/05/2015
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Déposé par nounours le 26/08/2015. ...............ACROBATE DES MOTS.............. . Dis moi,quand je serai de l'autre côté de la rive,que restera t il de moi,des vieilles photos,des souvenirs........ Une fleur séchée dans un livre peut-être,que tu m'oublieras je ne serai plus un poids........ . Dis moi,quand j'aurai quitté ce monde,la pensée vagabonde,penseras tu encore à moi,parleras tu de moi,rêveras tu de moi..........Peut-être........Tu m'oublieras.............. . Dis-moi,est-ce que tu m'aimeras encore,et que ton amour pour moi ne sera pas mort........... Verras-tu encore mon visage,à tes côtés........ Ou l'auras tu effacer comme un mirage,que l'on voit passer............ . Dis moi,quand je ne serai plus là,tu regarderas,dans les nuages en pensant à moi peut-être tu prieras............. . Dis moi je vais partir je vais m'efforcer de te laisser de merveilleux souvenirs et tu verras tous les jours de ta vie tu penseras encore à moi............ . Moi ta Maman,dis moi,quand je ne serai plus là mon Amour pour toi,sera toujours le même de mon ciel je te donnerai l'anathème de ma vie............. Elle est et sera toujours pour toi.....Débordante d'amour.....Mon chien.....Mon bonheur....Mon alter hègos........Dis.......Ne m'oublie pas........ . ......................AMITIES FIDELES...................... . |
Déposé par spanky le 26/08/2015Mon ange, mon Paco d'Amour, Aujourd'hui, cela fait 3 mois que tu as déployé tes ailes. Comme j'aimerais que tu sois encore avec moi. Mais le destin en a choisit autrement... Je sais que tu es parmi les étoiles Et que de là-haut tu brilles pour me protéger, Que tu es près de moi à chaque instant, Que tu me donnes la force de surmonter ton absence. Quand cette absence se fait sentir très fort, Que j'ai le coeur lourd de tristesse, Quand mes larmes coulent, Je peux sentir tes baisers de papillons Qui par tes ailes d'anges Tu viens me lécher Avec ta douceur qui était la tienne... Je sais que tu seras toujours là, Jusqu'au jour ou l'on se retrouvera Et ce jour, je pourrai te dire de nouveau je t'aime En te prenant dans mes bras. Ta mamou qui t'aime et t'aimera toujours. Gros gros bisous mon coeur |
Déposé par colombine67 le 26/08/2015Toi mon maître qui as peur de me perdre et qui m’attaches, Ai-je besoin de ces chaînes pour marcher dans tes pas ? Tu cries partout ta liberté, mais il faudrait que tu saches, Que j’aime être près de toi, même si je ne te parle pas. J’en ai vu des corniauds, des errants et des abandonnés, J’en ai vu pleurer le temps où ils étaient gâtés et caressés. Pour jouer, tu me jettes la balle jaune que tu m’as donnée, Elle en a perdu toute sa couleur, à force de me la balancer. Ce que je n’aime pas, c’est ta voix quand elle se fait grave, Excuse-moi si je suis bête, tu devrais pourtant t’en rappeler, J’écarte tous les intrus, je te connais tu es tellement brave, Tu utilises mon nom, et jamais ne me siffles pour m’appeler. Un jour si tu me vois dormir en rêvant et en poussant des wifs, Sache que je crains de ne pas être pour toi un parfait animal, Je ne suis ni bâtard, ni méchant et ne connais pas mes griffes, J’aime sentir ta main sur ma tête, là, j’en oublie ce qui fait mal. Certains travaillent dans les cirques, et sont devenus savants, Pour toi, je sais faire une seule chose et ça n’a rien d’un tour, C'est joindre à ta vie d’humain, ma vie de chien très énervant, J’ai attrapé la rage tu le sais, et c’est celle de t’aimer d’amour… |
Déposé par colombine67 le 25/08/2015Ma peine.. Les mois passent mais ma peine ne s’efface Le vide qu’a laissé ton absence frappe mon cœur De chagrin et de douleur. Toi mon petit chien si doux si câlin, Toi, si coquin, de ton regard je me souviens, Quand, dans mes yeux tu plongeais les tiens Quand, sur ma joue tu faisais un bisou Pour consoler ma peine et mes chagrins. Je me souviens, et je souris, Je te revois et je me dis : Que loin de moi tu es tout près d’ici, Que dans mon cœur tu revis. Au revoir, mon petit chien, Toi, petit ange du paradis |
Déposé par colombine67 le 24/08/2015Si je suis le premier (ère) à décéder. Que le deuil obscurcisse pas longtemps ton ciel. Que ton chagrin soit courageux mais discret. Il y a eu un changement mais pas un départ. La mort fait partie de la vie. Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants. Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage. Les moments de partage, les mystères explorés ensemble. Les strates d`intimité sans cesse accumulées. Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter. La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps. Le savoir… Chacun donnant et chacun recevant. Autant de fleurs qui ne flétrissent pas. Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent. Que même les pierres… Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie. Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse. Sont réduites à du sable. Ce que nous étions, nous le sommes encore. Ce que nous avions, nous l`avons encore. Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent. Alors, quand tu marcheras dans les bois. Comme nous l`avons déjà fait ensemble. Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés. Et tu t`arrêteras au sommet de la colline. Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine. Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant. Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là. Et si tu te sens envahie par le chagrin. Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur. Je ne t`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur ! |
Déposé par rafia le 23/08/2015Je retiens mon souffle et je plonge soudain Dans ces eaux d’un bleu pur Les rives de mon amour-propre s’effacent Tout ce que je vois c’est toi. Je nage dans les vagues qui martèlent mon coeur Et frappent tous mes rêves Jusqu’à ce que, à bout de souffle, je reparte Sans vraiment savoir où je vais, Mais je retombe à nouveau, puis j’essaie de nager Je pousse fort avec mes deux pieds Je traverse toutes les peurs, tous les caprices Je nage vers quelque chose de doux. Je patauge à travers les vagues tumultueuses Devenant plus forte à chaque choc En franchissant toutes les épreuves de la vie Jusqu’à ce que je sente mes membres brisés. Mais je replonge dans l’amour une fois encore Je retiens mon souffle et je nage Jusqu’à ce que je puisse atteindre cette rive distante Qui me donnera la confiance. Je replonge à nouveau dans l’amour Et les eaux pure et bleues Irriguent mon coeur et ma tête Et, une fois encore, je plonge et je nage dans leur douceur D’après le poème de Sharon Frye |
Déposé par poutounou le 23/08/2015Nous, les mamans et papas de cœur, avons tous, souvent, des gouttes de rosée au bord des cils… * Le temps calme l’esprit * L'heure de l'homélie au moment de l’adieu Où tant de souvenirs sont noyés de nos larmes Le temps interrompu s'absente et nous désarme Viennent les derniers mots vers le départ aux cieux * Tristes sont les instants sur l'être que l'on aime Qui ne peut plus répondre au sommeil infini De lui plus de pardon, ni d'avenir uni Aucun secours d’amour au tombeau qui se ferme * Longues sont les heures, dans les nuits sans espoir Car chaque jour nouveau s’éveille par mégarde Mais la douleur d'absence en devient moins bavarde Et dessine un rayon au silence du soir * Les jours se dispersent, les derniers pas se meurent Le sentiment du cœur garde en soi l’être aimé Mais voici son étoile au firmament voilé Dont le chemin s'égare aux rideaux de mes pleurs * Sur les rives du jour où vogue ma pensée Le nuage s'estompe au gré de la mémoire Se feuillette toujours, en écho, notre histoire Laissant au bord des cils des gouttes de rosée * Le temps calme l’esprit, et les saisons reviennent Mais sont gravés en nous, tous les maux du passé Et ne peut se guérir un cœur aimant blessé L'appel des souvenirs en provoque les peines. * Ecrit par Flamme |
Déposé par colombine67 le 23/08/2015amis dis-moi pourquoi, tu sembles avoir pour moi toujours tant d'amitiés. pourquoi dans ton regard, je vois souvent briller, amour et fidélité. pourquoi quand je t'accueille, un jour sous mon toi, les grands et les petits, éprouvent tant de joie? pourquoi lorsque je suis menacée, sembles tu toujours là ,prêt a me protéger. pourquoi lorsque le soir, je rentre fatiguée, viens tu si gentiment, te coucher a mes pieds. ah ! laisse moi te dire ici, combien de toi je peux penser de bien, mon unique ami , toi mon chien, |
Déposé par rafia le 22/08/2015Adieu ! mot qu'une larme humecte sur la lèvre ; Mot qui finit la joie et qui tranche l'amour ; Mot par qui le départ de délices nous sèvre ; Mot que l'éternité doit effacer un jour ! Adieu !.... Je t'ai souvent prononcé dans ma vie, Sans comprendre, en quittant les êtres que j'aimais, Ce que tu contenais de tristesse et de lie, Quand l'homme dit : "Retour !" et que Dieu dit : "Jamais !" Mais aujourd'hui je sens que ma bouche prononce Le mot qui contient tout, puisqu'il est plein de toi, Qui tombe dans l'abîme, et qui n'a pour réponse Que l'éternel silence entre une image et moi ! Et cependant mon coeur redit à chaque haleine Ce mot qu'un sourd sanglot entrecoupe au milieu, Comme si tous les sons dont la nature est pleine N'avaient pour sens unique, hélas ! qu'un grand adieu ! Alphonse de Lamartine. |
Déposé par ovanek le 22/08/2015💖 💖 24 💖 💖 **** je t'écrit des anges **** Je te pense tous les jours même sans les violons Même si j´ai le cœur lourd quand je trouve le temps long Pour sentir la vie tu sais, comme on dit Pour toucher le fond d´un rêve endormi Au fond de mon lit qui portait ton nom C´est ça ma pilule c´est ça l´émotion Je suis un peu ridicule à construire cette maison Je connais mes erreurs mes courages et mes peurs Je te demande pardon car j´accepte le bonheur de ta disparition sans l´abandon de mes pensées je t´écris des mots Passées ..Présente….futurs parlé comme ça juste un peu de son, un peu de voix, un peu de Toi Je t´écris des lignes chantées par les vents. Comme ça Je t´écris des fleurs par des mots... des mots par mes pensées et puis voilà Je suis le garçon .ton ami qui ne parle pas. Sauf de toi Je t´écris des chansons sans musique juste avec les battements de mon Cœur Et mes rêves d’ailleurs Et puis je te vois, Tu es là… Toi mon prince. Toi mon Roi Je te pense tous les soirs sans inspiration mais plein d’émotion Ce sont toutes nos histoires qui font ma raison Entre le silence le bruit de l´enfance Celui des avions les vapeurs d´essence Le soleil qui danse le soleil qui fond Je croise des gens perdus dans les colimaçons Au coin des mêmes rues c´est le même frisson Je sais dire "je t´aime" à devenir blême Je sais dire "vivons" Sans toi je me traîne Toujours je tourne en rond Je t´écris des fleurs. Des Cœurs Et plein d’autre chose encore te dire comme ça juste un peu de son un peu de voix Je t´écris de bonheur sans pleur Dieu sait pourquoi Je te dit ça et puis voilà Je suis le garçon qui ne parle pas mais qui te dit tout bas La haut au-dessus de moi je t´écris des anges Pour qu’ils te murmure mes pensées à l'éternité Tellement pour toi ……Pensée 💖 ❤ 💖 |
Déposé par colombine67 le 22/08/2015Où que tu sois ... par Mickaël Destrez Cette chanson a été créée en hommage à sa chienne Disney, disparue suite à une maladie. Sept années sont passées en compagnie De Disney, toi mon chien si gentil. Quel délit interdit avait suffi Pour qu'un jour maudit, on te jette ainsi ? Auprès de moi tu donnes, Bien plus d'amour que personne, Plus fort que moi, pardonne, Mais où que tu sois, je n' t'oublierai pas. En été, toi tu aimes bien t'amuser Dans les lacs, les rivières, te baigner, Comme un jeu malicieux d'espièglerie, M'amusant aussi, je t'en remercie. Auprès de moi tu donnes, Bien plus d'amour que personne, Plus fort que moi, pardonne, Mais où que tu sois, je n' t'oublierai pas. Allez viens contre moi, viens mon ami. Cet ami qui s'en va, qui vieillit. Maladie, sans répit, t'a endormie. J'ai croisé les doigts, tu n'as pas guéri. Auprès de moi tu donnes Bien plus d'amour que personne, Plus fort que moi, pardonne, Mais où que tu sois, je n' t'oublierai pas. Auprès de toi, pardonne Tout l'amour que je te donne Mais plus fort que nous, en somme, Car où que tu sois, je n' t'oublierai pas. Non, où que tu sois, je n' t'oublierai pas, Non, où que tu sois, je n' t'oublierai pas. |
Déposé par rafia le 21/08/2015Message venu du Ciel en mon esprit ......instant de TENDRESSE pr mes Amours/Westies et pr ts les petits anges leurs amis/amies... Le soleil en mon coeur et le Ciel ouvert à mes yeux, Devant cette plage aux reflets d'argent ..... Comme de petites libellules sur un air de nostalgie , vs m' apparaissez, Splendides images du passé , pr venir m'offrir vos secrets . De l'au-delà...un instant magique à savourer, Et de vous savoir beaux anges du Ciel me regarder, Me donne cette envie de vivre avec vous cette belle soirée.... Avec toute l'amitié de Maryem. PS : Depuis hier au soir, navigation impossible sur le site...J'ai demandé de l'aide au webmaster, lequel ne m'a pas répondu. Il me faut attendre 10' pr accéder à une page...et nouvelle attente entre le dépôt d'un message et celui d'un bouquet...La galère est multipliée lorsque sur la même page, il y a plusieurs destinataires. A cela il faut ajouter le refus injustifié de messages et bouquets...et l'impossibilité de répondre aux MP... Excellent WE. Avec toute mon Amitié. + 1000 mercis...autant de bisous Votre amie Maryem...découragée !!! |
Déposé par colombine67 le 21/08/2015J'aime un chien Auteur : Louise Forestier Louise Forestier n'a pas de chien, elle a un chat. Le chien dont il est question est celui d'un ami, un fox-terrier. J'aime un chien, c'est un choix J'aime un chien, c'est bon pour moi J'ai cherché chez l'humain J'ai trouvé dans un chien. Il me rend plus humaine Celui qui sent le cul des autres Sans aucune arrière-pensée Comme si c'était là que s'cachait la vérité. J'aime un chien, Et je suis bien. Il me suit pas à pas, L'amour ça s'commande pas. J'étais seule comme un chien. Il a vu ma gueule, il a tout compris. Un seul regard aura suffi Comme c'est bête, c'est ça la vie. J'aime un chien, Et je suis bien. Il me suit pas à pas, L'amour ça s'commande pas. Mais c'est pas mon chien, C'est celui d'un voisin Qui m'attend toujours, Ah ! tous les matins... Sur le paillasson, Ou sur le balcon, J' parle pas du gars, J' parle du chien. Dans ses yeux, son dîner, Dans sa gueule mon vieux soulier. Je cherchais chez l'humain, J'ai trouvé dans un chien. J'aime un chien, Et je suis bien Il me suit pas à pas L'amour ça s'explique pas ! |
Déposé par colombine67 le 20/08/2015Le chien de Kapadnoms L'histoire bouleversante d'une trahison : un chien cherche à comprendre pourquoi son maître l'a vendu pour l'expérimentation animale pour des produits de beauté. ******************************** Huit heures du mat’ j’ai déjà trop chaud, Ça fait déjà 3 plombes qu’un drôle de tempo me martèle le cerveau. J’comprends qu’j’ai dormi dans le métro, J’ai oublié l’espace d’un instant ce qu’était le caniveau. Sous mon nez un paysage s’étend, Telle une brume épaisse courant avec l’air du temps, Elle m’enroule me caresse, en attendant, je te regarde avec tendresse, Sortir de ta longue nuit d’ivresse ; Tu te lèves,je te suis, Tu m’enlèves de la suie, Ça m’étonne car d’habitude tu préfères me voir sali ; Pas un mot, juste un rot, J’te sens froid, loin de moi, Qu’as tu prévu de faire de moi, Ton pote de galère ? Une grande maison du carrelage blanc, Plein de prisons, des taches de sang, La trahison, la mort je sens, Un sentiment peu réjouissant. Y a des lapins qui s’travestissent, Et plein de chats qui sentent la pisse. Qu’est-ce que j’fous là ? Sors moi de là j’ten supplie, J’te vois plus, voie sans issue, Abandonné par toi j’me sais foutu… Je m'sais foutu. What you say what you say don’t forget me What you say try to remember me. What you say what you say don’t forget me What you say try to remember me. What you say what you say don’t forget me What you say try to remember me. What you say what you say don’t forget me What you say try to remember me. T’as voulu me voir crever Pour des produits à tester, Pour une poignée de dollars, C’est mon corps qu’ils sont en train de disséquer. J’ai pas eu la chance de naître humain Comme toi avec deux pieds, À quatre pattes je marche en vain Et le cours de ma vie s’en retrouve dévalué ! 10 euros je vaux Et à tes yeux c’est moins qu’le caniveau, Dans lequel plein de tise tu te vautres, Et vomis ta grosse gerbe de saoulot ! Ma petite vie tu m’as pris, Et la haine des homme j’ai appris, J’ai trop de rage en moi Pour oublier ce qu’il adviendra de toi. Je te retrouverai, Le ciel et la mer, je retournerai, Pour te faire payer le fait Que ma tête t’as vendue sans vergogne, Pour des taz, faisant de toi une belle charogne ! T’as préféré ta vie d’ivrogne, Et tourné pour ta belle petite pogne, Tu m’as tué pour un paquet d’pognon, Moi qui étais ton plus fidèle compagnon. T’inquiètes que l’remord, Rongera ton âme jusqu’au trognon. Surtout mon pote n'oublie jamais Au grand jamais C' qu'a été mon putain de prénom. What you say what you say don’t forget me What you say try to remember me. What you say what you say don’t forget me What you say try to remember me. What you say what you say don’t forget me What you say try to remember me. What you say what you say don’t forget me What you say try to remember me. |
Déposé par colombine67 le 19/08/2015Julius et son chien de Frédérique Zoltane La légende de la ville de Dax : Julius le légionnaire romain a un vieux chien perclus de rhumatismes dont il va guérir, faisant ainsi la renommée des bains de boue de la ville. Voir la légende à la fin. La ville de Dax en ce temps-là S'appelait Aquae Tarbellicae. Et Julius, un soldat romain Y avait pour ami un chien. Aimé de toute la garnison C'était un vieux toutou fidèle, Qui faisait dire aux centurions Qu'avec lui la vie était belle. Mais voilà qu'un jour en Espagne, Une révolte se déchaîne, Et que par-delà les montagnes, L'armée doit quitter l'Aquitaine. Impossible d'emmener le chien, Et il est trop sourd, ne voit pas bien, Et Julius le coeur en tristesse, Pour la dernière fois le caresse. Et la paix succède à la guerre, C'est le retour des légionnaires Non Julius, tu ne rêves pas, C'est ton chien qui t'attend là-bas. Comme il est vif, comme il est beau ! Courant sautant comme un chevreau, C'est un miracle, c'est un mystère, Il n'a pas l'air d'un vieux grand-père. On s'aperçut que tous les jours, Le toutou, au bord de l'Adour, Allait se roulait dans la boue, Et qu'elle lui faisait un bien fou. Hommes, femmes, enfants firent de même, Oubliant douleurs et problèmes, Et en ce lieu pour se soigner, Bientôt ils furent des milliers. On dit que la fille de l'empereur Fit elle-même le voyage, Et fut guérie en quelques heures Des rhumatismes et leurs outrages. La ville de Dax, de nom changea, Et devint Aquae Augustas. Quant à Julius et son vieux chien, Seule ma chanson s'en souvient. |
Déposé par poutounou le 18/08/2015Une voix du ciel * Je suis l'astre des nuits. Je brille, pâle et blanche, Sur la feuille qui tremble au sommet d'une branche, Sur le ruisseau qui dort, sur les lacs, bien plus beaux Quand mes voiles d'argent s'étendent sur leurs eaux. Mes rayons vont chercher les fleurs que je préfère, Et font monter au ciel les parfums de la terre ; Je donne la rosée au rameau desséché, Que l'ardeur du soleil a, sur le sol, penché. Sitôt que je parais, tout se tait et repose, L'homme quitte les champs, et l'abeille la rose : Plus de bruit dans les airs, plus de chant dans les bois ; Devant mon doux regard nul n'élève sa voix, De la terre ou du ciel aucun son ne s'élance, J'arrive avec la nuit, et je règne en silence ! Je cache mes rayons quand le cri des hiboux Vient troubler mon repos et mon calme si doux. * Je suis l'astre des nuits ; je brille, pâle et blanche, Sur le cœur attristé, sur le front qui se penche, Sur tout ce qui gémit, sur tout ce qui se plaint, Sur tous les yeux en pleurs qu'aucun sommeil n'atteint. |
Déposé par ovanek le 18/08/2015 💖 💖 💖 23 💖 💖 Pour toi, je t'envoie un bateau de bisous sur une mer de caresses poussé par un vent de tendresse ** Pensée ** 💖 |
Déposé par colombine67 le 18/08/2015Le chien abandonné Patrick Font ( en live ) L'humour caustique et provocateur de Patrick Font peut parfois choquer certains. A ne pas prendre au premier degré. Une autre chanson de même titre a été reprise par Jean Rochefort au profit de la SPA, mais le texte est complètement différent. Comme les 300 000 saligauds Qui laissent tomber leurs animaux A la veille des congés payés, Comme les 300 000 assassins Qui abandonnent chats et chiens Sans espoir de les retrouver, Préméditant leur s*****rie Madame et Monsieur sont partis. Le chien qui remuait la queue Avec du bonheur plein les yeux Installé sur le siège arrière De la 504 en partance Pour la grand-route des vacances Qui doit passer par la fourrière. Quand l'animal devient trop lourd Avec ses dix kilos d'amour. Et la voiture s'est arrêtée La portière s'est refermée Tout s'est passé comme prévu. Et la voiture est repartie, Le chien encore tout étourdi Fait celui qui ne comprend plus. A la même heure un peu partout, D'autres chiens sont devenus fous. Appuie sur l'accélérateur ... 110, 120, 130 à l'heure ... Le chien va-t-il nous rattraper ? Il avait beau être batard Il était capable d'avoir Des accès de fidélité. Effectivement le chien courait Après l'auto qui s'enfuyait... Les maîtres se sont retournés Un court instant pour vérifier Si le chien les suivait encore. Mais le code nous a dit cent fois Qu'il faut regarder devant soi. Et la route a compté deux morts, Après l'horrible collision D'une 504 et d'un camion. Chabadaba dim na na Chaba da nana na ... C'est vrai qu'les routiers sont sympas des fois. Alors le chien s'est arrêté Et on n'sait pas s'il a pleuré, Ou on n'sait pas s'il s'est marré. Il est parti à travers champs Loin des rumeurs de l'accident, La queue flottant au vent d'été. Une petite fille l'a recueilli. Et Mort aux cons, et vive la vie ! Mort aux cons, et vive la vie ! Mort aux cons, et vive la vie ! |
Déposé par colombine67 le 17/08/2015Pour la mort d'un chien de Félix Leclercq Un chien attend le retour de son maître pendant des mois et des mois, en vain, il ne reviendra jamais. Dès lors, pour le chien, la vie n'a plus de sens. Fidèle à son maître, il refusera les mains tendues. Jusque la mort.. S'il y a des cloches pour les chiens qui meurent, Que sonnent les cloches pendant une heure ! Il est mort de m'attendre au coin d'une rue, C'est tant pis pour moi, je n'suis pas venu. Pourtant, j'avais dit au printemps, Avec les fleurs, les vents d'avril, Les hirondelles ont fait des milles, Lui dire que j'étais au tournant. Il m'a attendu tout l'été, tout l'été, Pour qu'ensemble on aille courir dans les champs, Je lancerai dans la coulée Le bâton qu'il tient entre ses dents. Quand l'automne est venu, il a vu Que peut-être je ne reviendrais plus. Il a r'culé au fond d'la cour, A pleuré la chute des jours. Le postillon lui a dit : "T'en fais, Espère un peu, encore un mois" Un voisin lui a dit : "Viens chez moi, J'ai des enfants, on te guérira." Mais non, il a attendu la neige, Et elle l'a pris comme un sortilège. Il s'est dit : "Elle le ramènera" Mais j'ai failli encore une fois. Donc, il est allé à la ville Pour essayer de me r'tracer. Il a passé sous toutes les grilles Et mordu tous les policiers. Et puis, écœuré de l'amour, Des charités, des beaux discours, Il s'est roulé au coin d'la rue, Attendit qu'on lui passe dessus. S'il y a des cloches pour les chiens qui meurent, Que sonnent les cloches pendant une heure ! Il est mort de m'attendre et je l'ai déçu, Je mériterais qu'on ne m'aimât plus. Pourtant ... |
Déposé par Galinette3 le 17/08/2015« Quand demain commencera sans moi » 🐶 Quand demain commencera sans moi, Que je ne serai plus là pour voir, Si le soleil se lève pour découvrir tes yeux Emplis de larmes pour moi ; J’aimerais tellement que tu ne pleures pas Comme tu as pleuré aujourd’hui, En pensant à toutes ces choses Que nous ne nous sommes pas dites. Je sais combien tu m’aimes, Autant que moi je t’aime, Et chaque fois que tu penses à moi, Je sais aussi que je te manquerai ; Mais quand demain commencera sans moi, S’il te plaît, essaie de comprendre, Qu’un ange est venu, a appelé mon nom, Et m’a pris par la main, Et m’a dit que ma place était prête, Aux cieux loin là-haut Et que je devais laisser derrière moi Tous ceux que j’aime tant. Mais alors que je me tournais pour partir, Une larme a coulé de mon œil Car toute ma vie, j’avais toujours pensé, Que je ne voulais pas mourir. J’avais tellement à vivre, Tant à faire encore, Il semblait presque impossible De te quitter. J’ai pensé à tous les hiers, Les bons et les mauvais, J’ai pensé à tout l’amour que nous avons partagé Et tout le plaisir que nous avons eu. Si je pouvais revivre hier Même juste un instant, Je te dirais au revoir et t’embrasserais Et peut-être te verrais-je sourire. Puis j’ai compris Que cela ne pouvait plus être, Car le vide et les souvenirs Prendraient ce qui fut ma place. J’ai pensé à toi, et alors Mon cœur s’est empli de peine. Mais quand j’ai franchi les portes du ciel, Je me suis senti tellement chez moi Quand Dieu m’a regardé et m’a souri, Depuis son grand trône doré, Il m’a dit : « Ceci est l’éternité, Et tout ce que je t’ai promis. Aujourd’hui ta vie sur terre est passée Mais elle commence ici de nouveau. Je ne promets aucun lendemain, Car aujourd’hui durera toujours, Et puisque chaque jour est le même chemin, Il n’y a aucun passé à regretter. Tu as été si fidèle, Si confiant et si vrai. Bien que parfois Tu aies fait certaines choses Que tu savais ne pas devoir faire. Mais tu as été pardonné Et maintenant enfin tu es libre. Alors veux-tu venir et prendre ma main Et partager ma vie avec moi ? » Alors quand demain commencera sans moi, Ne crois pas que nous soyons éloignés, Car chaque fois que tu penses à moi, Je suis là, dans ton cœur. 🐶 David M. Romano en 1993 |
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