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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
55 bougies
80356 Fleurs
Déposé par Pachkounet De gros câlins et un petit souffle d'air frais pour une nuit toute douce. En espérant que Rock et Paramour ont eu moins chaud aujourd'hui et qu'ils vont bien. Bisouxxx. Déposé par bea Que ma Lolly Pop jolie et la douce Zora partagent leurs jeux avec toi ! Une grosse léchouille de Yepa Pop ! Déposé par Arlene Cher Punky, n'oublies pas samedi, c'est le grand concert, ta batterie est installée, ton ami Maxou Déposé par Arlene pour Punky qui a retrouvé ses soeurs et qui s'entend à merveilles avec tout le monde! Dandy-joli |
5734 messages
Déposé par colombine67 le 17/10/2015Rappelle-toi... Que si un rien fait souffrir un rien aussi fait plaisir... Que tu peux être semeur d'optimisme, de courage, de confiance... Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres... que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable... Que ton sourire non seulement t'enjolive, mais qu'il embellit l'existence de ceux qui t'approchent... Que tu as des mains pour donner et un coeur pour pardonner... Thomas Merton |
Déposé par larrydoudou le 16/10/2015L'amitié est le baume de la vie : Laurence Sterne |
Déposé par colombine67 le 16/10/2015Nous sommes faits pour aimer... comme les oiseaux pour chanter, comme les fleurs pour parfumer, comme les fleuves pour couler. Nous sommes faits pour donner... comme la source pour étancher, comme l'ombre pour rafraîchir, comme l'arbre pour protéger. Nous sommes faits pour rire... comme la ballerine pour danser, comme le clown pour pirouetter, comme l'enfant pour sauter. Nous sommes faits pour compatir... comme la maman pour consoler, comme le grand-frère pour rassurer, comme le voisin pour écouter. Nous sommes faits pour grandir... comme l'herbe pour verdir, comme le blé pour pousser, comme le ciel pour bleuir. Jules Beaulac |
Déposé par Galinette3 le 15/10/2015🐶 J'abandonne tout au vent Ne me laisse que mon chant Mais plus vrai plus chaud plus calme Dans la trouée bleue de l'âme Des hivers et des printemps J'ai travaillé l'air du temps Qu'il renverse les barrières Qu'il crible d'or la lumière Qu'il crache l'herbe des champs Jusqu'au front des astres lents Lorsque la nuit mise au monde L'étoile dans l'eau profonde Écoute l'obscur l'entend Et surgisse enfin l'instant Qu'avec le râle des chiennes Mon chant de chien vous parvienne. 🐶 |
Déposé par poutounou le 15/10/2015Il dit vraiment n’importe quoi, le petit doigt ! * Un petit doigt bavard * C’est mon p’tit doigt qui m’ l’a dit Au jardin des deux chats gris Une fourmi en bigoudis Est sortie d’un trou de souris Mon petit doigt affabule Au jardin des campanules Libellule et tarentule Tricotent des mandibules Mon petit doigt a raison Au jardin des hérissons Moi j’ai vu deux limaçons Ficelés comme des saucissons Qui enfilaient leurs caleçons * Chantal Abraham |
Déposé par colombine67 le 15/10/2015Sensation de paix. L'horloge du temps est arrêtée. Ces secondes, ces minutes qui me fouaillaient pour me précipiter vers mes travaux, mes recherches, sont ce matin sans pouvoir sur moi. Je goûte l'instant. Je sens qu'il a plus à m'apprendre que l'accumulation de tous les suivants. Pourquoi me suis-je si rarement accordé le temps de vivre, le droit de vivre ? Il me fallait justifier sans cesse mon existence par ma production, par mon rendement, à mes yeux comme a ceux des autres. Mon existence, en soi, n'avait pas de valeur. Je ne croyais pas exister pour les autres, j'ai fini par ne plus exister pour moi. Ce matin, j'ai le droit d'exister tout seul, pour moi tout seul. Je prends le droit d'exister. Et les êtres et les choses autour de moi commencent à exister d'une existence plus dense. Eux aussi commencent à avoir le droit d'exister. Nous sommes un univers d'existences solides, réelles, également importantes et respectables. C'est comme si le sablier de l'existence se remplissait de minute en minute de la quantité de réalité qui le rend stable. Ce n'est plus cette sensation de vide qu'il faut remplir d'actes, de mots, d'oeuvres. Je goûte d'être immobile. J'existe davantage de ne rien faire, je repose sur ma racine. Quelle est cette racine ? Je sens l'existence sourdre en moi sans arrêt, et ce mouvement, quand je l'observe, suffit à m'occuper. Je lui fais confiance. Je n'ai plus à intervenir, à me justifier d'exister, il me justifie. Exister justifie d'exister. C'est bon d'exister. Ça ne doit « servir » à rien d'exister. On n'est pas obligé de servir à quelque chose. On n'est obligé de servir à rien. On a le droit d'exister d'abord. Il me semble que je cherchais sans cesse à justifier mon existence avant d'avoir pris conscience et goût d'exister. Jusqu'ici, il m'était incroyable que l'on puisse passer du temps sans rien faire et ne pas le sentir perdu ! Le temps n'est pas rempli de ce qu'on y met. Mon temps se remplit par l'attention que je lui porte... par le goût que j'en prends parce que je le considère parce que je me considère parce que je me suis restitué LE DROIT D'EXISTER. Louis Evely, Extrait de son journal, octobre 1983 |
Déposé par lili2248 le 14/10/2015Tu es mon soleil, Tu es la joie que je promène, La force qui brise mes chaînes, Le sans qui coule dans mes veines. Tu es la raison de mon existence, La définition de l’innocence, Mon ange de bienveillance, Plus qu’une chance et plus qu’un espoir, Tu es ma mélodie, Les couleurs de ma vie, bon journée bisous, Le bonheur à l’infini., |
Déposé par colombine67 le 14/10/2015 Un corps t'a été donné. Tu peux l'aimer ou le détester, mais ce sera le tien pour toute la durée de cette vie. Tu vas apprendre des leçons. Tu es inscrit(e) dans une école informelle à plein temps appelée «Vie ». Chaque jour tu auras l'occasion d'apprendre des leçons dans cette école. Tu pourras aimer les leçons, ou penser qu'elles sont idiotes ou sans pertinence. Il n'y a pas de fautes, seulement des leçons. La croissance est un processus d'essai et erreur : l'expérimentation. Les expériences « ratées » font tout autant part du processus que celles qui réussissent. Une leçon sera répétée jusqu'à ce quelle soit apprise. Une leçon te sera présentée sous diverses formes, jusqu'à ce que tu l'apprennes. Quand tu l'auras apprise, tu pourras passer à la leçon suivante. Apprendre des leçons ne finit jamais. Il n'y a pas de partie de «Vie» qui ne contienne de leçon. Si tu es en vie, il y a des leçons à apprendre. « Ailleurs » n'est pas meilleur qu' « ici ». Quand ton « ailleurs » est devenu « ici », tu obtiens à nouveau un autre « ailleurs » qui a son tour te semblera meilleur qu' « ici ». Les autres sont essentiellement des miroirs de toi-même. Tu ne peux aimer ou détester quelque chose chez autrui que si ce quelque chose reflète une chose que tu aimes ou que tu détestes en toi. Ce que tu fais de ta « Vie » dépend de toi. Tu as tous les outils, toutes les ressources dont tu as besoin. Ce que tu en fais dépend de toi. Le choix t'appartient. Tes réponses sont en toi. Les réponses aux questions de la « Vie » sont en toi. Tout ce qu'il te faut, c'est regarder, écouter et faire confiance. A mesure que tu t'ouvres à cette confiance, tu te souviendras de plus en plus de tout ceci. Gitta Mallasz |
Déposé par choupinou le 13/10/2015Larmes aux fleurs suspendues, Larmes de sources perdues Aux mousses des rochers creux ; Larmes d'automne épandues, Larmes de cors entendues Dans les grands bois douloureux ; Larmes des cloches latines, Carmélites, Feuillantines... Voix des beffrois en ferveur ; Larmes, chansons argentines Dans les vasques florentines Au fond du jardin rêveur ; Larmes des nuits étoilées, Larmes de flûtes voilées Au bleu du pare endormi ; Larmes aux longs cils perlées, Larmes d'amante coulées Jusqu'à l'âme de l'ami ; Gouttes d'extase, éplorement délicieux, Tombez des nuits ! Tombez des fleurs ! Tombez des yeux ! Et toi, mon cœur, sois le doux fleuve de mes larmes Qui, riche du trésor de ton amour embelli la lueur de mon âme Roule un grand rêve triste aux mers des soirs languides. là se cache notre merveilleuse histoire,que reflète mon eau limpide, |
Déposé par colombine67 le 13/10/2015Etre et non Paraître... savoir rester humble face à l'immensité de l'univers que l'on est infiniment petits il faut le reconnaître qu'il y a toujours plus grand que nous sur cette terre Aux riches bien vêtus on fait des courbettes Aux pauvres en haillons on fait des grimaces peut-être que l'âme du pauvre est bien plus honnête que celle de ce seigneur de la haute classe L'habit ne fait pas le moine, dit l'adage on ferait bien d'y prendre de la graine Ce n'est pas le plus beau qui est le plus sage la vraie grandeur est dans l'âme humaine |
Déposé par ritournel le 13/10/2015Le Pont de l'arc en Ciel ************************ Juste de ce côté du ciel est un endroit appelé le "Rainbow Bridge". Quand un animal meurt et qu'il a été particulièrement proche de quelqu'un ici, cet animal va sur le pont en arc-en-ciel. Il y a des prés et des collines pour tous nos amis spéciaux ainsi ils peuvent vivre et jouer ensemble. Il y a abondance de nourriture, d'eau et de soleil, et nos amis ont chaud et sont bien. Tous les animaux qui avaient été malades et vieux sont ramenés à la santé et à la vigueur; ceux qui étaient blessés ou estropiés sont rendus entiers et forts encore, juste comme nous nous en souvenons dans nos rêves des jours et des périodes passés. Les animaux sont heureux et contents, excepté une petite chose; il manque à chacun quelqu'un très spécial pour lui, qu'il a dû laisser. Ils courent et jouent ensemble, mais le jour vient où soudainement l'un d'eux s'arrête et regarde au loin. Ses yeux lumineux sont attentifs; son corps est parcouru des tremblements du désir. Soudain, il commence à courir, volant au-dessus de l'herbe verte, ses pattes le portant de plus en plus rapidement. Vous avez été repèré, et quand vous et votre ami vous retrouvez finalement, vous vous embrassez dans une union joyeuse, pour ne plus jamais être séparés. Les baisers heureux pleuvent sur votre visage; vos mains caressent encore la tête aimée, et vous regardez une fois de plus dans les yeux de confiance de votre animal chéri, parti depuis tellement longtemps de votre vie mais jamais absent de votre coeur. Puis vous traversez le pont en arc-en-ciel ensemble.... |
Déposé par spanky le 12/10/2015Ils disent que tu n'es plus là, Que la vie a fait son choix... Mais moi, je te sens voler autour de moi, Je sais que tu guides mes pas. Tu continues d'emplir mon coeur Toi mon si gentil et adorable loulou Je sens ton parfum comme celui des fleurs Tu es ma vie mon bonheur Et nul ne me fera jamais douter Que tu es toujours à mes côtés. |
Déposé par colombine67 le 12/10/2015Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 20 euros. Il demande aux gens : Qui aimerait avoir ce billet ? Les mains commencent à se lever alors il dit : Je vais donner ce billet de 20 euros à quelqu'un d'entre vous mais avant laissez moi faire quelque chose avec. Il chiffonne alors le billet avec force et il demande : Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ? Les mains continuent à se lever. Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela. Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher. Ensuite il demande : Qui veut encore avoir ce billet ? Évidemment, les mains continuent de se lever ! Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé, il vaut toujours 20 euros. Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment ! La valeur d'une personne ne tient pas à ce que l'on a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte. |
Déposé par larrydoudou le 11/10/2015L'amitié est comme les vins vieux, les années la rendent plus précieuse. Érasme |
Déposé par poutounou le 11/10/2015A vos aiguilles et pelotes…..Je vais demander à Monsieur l’écureuil de me tricoter un joli bonnet pour l’hiver qui ne va pas tarder…. * L’écureuil * Dans le tronc d'un platane Se cache une cabane. Un petit écureuil Est assis sur le seuil. Il mange des cerises, Tricote une chemise; Recrache les noyaux, Se tricote un maillot; Attaque les noisettes, Fait des gants, des chaussettes... Qu'importe s'il fait froid ! Tant pis si vient l'hiver ! Une maille à l'endroit, Une maille à l'envers : L'écureuil, fort adroit, Se fait des pull-overs. * Jean-Luc Moreau |
Déposé par colombine67 le 11/10/2015Sois serein au milieu du bruit et de l'agitation et songe au calme paisible qui se dégage du silence. Vis en bonne entente avec tout le monde sans pour cela te renier. Expose calmement et clairement tes idées ; et écoute les autres, même celui que tu considères moins intelligent que toi, car eux aussi ont quelque chose à t'apprendre. Evite les personnes bruyantes et agressives, elles sont un supplice pour l'esprit. Si tu te compares aux autres, tu te sentiras parfois vaniteux et aigri, car il y en en aura toujours de plus grands et de plus petits que toi. Réjouis-toi de tes réussites comme de tes plans. Si modeste que soit ta carrière, occupe-t'en car elle est réellement une richesse dans un monde instable. Sois prudent en affaires car le monde est plein de tricheries. Mais garde les yeux grands ouverts devant ses beaux côtés ; beaucoup recherchent un idéal élevé et font preuve de grand courage. Reste toi-même ; ne simule surtout pas la tendresse. Mais ne parle pas non plus de l'amour cyniquement ; car en présence de l'indifférence et du désenchantement, il est aussi vivace que l'herbe. Accepte sans amertume la sagesse des années en échange de ta jeunesse. Fortifie ton esprit, il te soutiendra en cas de malheur soudain. Mais ne te laisse pas entraîner par ton imagination, l'angoisse naît souvent de la fatigue ou de la solitude. Impose-toi une saine discipline, mais reste néanmoins indulgent envers toi-même. Tu es un enfant de l'univers tout comme les arbres et les étoiles ; tu as le droit d'exister. Et même si cela échappe à ta compréhension, l'univers poursuit son évolution. Donc, vis en paix avec Dieu, quelle que soit la manière dont tu Le conçois ; et quels que soient tes actes et tes aspirations, vis en paix avec ta conscience dans ce monde bruyant. Malgré toutes ses hypocrisies, ses tracas et ses rêves envolés, la vie est quand même belle. Reste vigilant. Tends inlassablement vers le bonheur. Max Ehrmann (1872-1945), Desiderata |
Déposé par Galinette3 le 11/10/2015Rêverie 🐶 Dis-moi, mobile étoile aux ailes de lumière, Qui poursuis dans l’azur ton vol mystérieux, Où va ta course ? est-il un but à ta carrière ? Cloras-tu quelque part tes ailes dans les cieux ? 🐶 Dis-moi, lune pensive, ô pâle voyageuse ! Cheminant aux déserts du firmament lacté, Dans quelle profondeur obscure ou lumineuse, O lune ! cherches-tu le repos souhaité ? 🐶 Dis-moi, vent fatigué qui vas à l’aventure, Comme un déshérité sans foyer ni repos, Est-il un nid secret au fond de la nature, Est-il un nid pour toi dans l’arbre ou sur les flots ? 🐶 Dis-moi, mer tourmentée au murmure sauvage, Qui te plains à la nuit, qui te plains au soleil, Par delà l’horizon est-il quelque rivage Où tu doives trouver ton lit et le sommeil ? 🐶 Et toi, cœur inquiet, plus agité que l’onde, Plus errant que la brise et qu’un rien fait gémir, Est-il un lieu béni, dans l’un ou l’autre monde, Où tu puisses, mon cœur, oublier et dormir ? 🐶 Auguste Lacaussade, Études poétiques, 1876 |
Déposé par colombine67 le 10/10/2015 Et si c'était la dernière fois... Et si c'était la dernière fois que tu voyais, tu regarderais avec une telle attention que ton regard d'un seul coup d'oeil embrasserait tout l'horizon. Et si c'était la dernière fois que tu marchais, tu poserais tes pieds avec tant de douceur et de légèreté qu'ils deviendraient des ailes et tu pourrais voler. Et si c'était la dernière fois que tu respirais, tu humerais l'air avec un tel allant que tu te trouverais vivant jusqu'à la fin des temps. Et si c'était la dernière fois que tu t'éveillais, ce moment d'ultime conscience aurait tellement de force et de clarté qu'il éclairerait tes nuits jusqu'à l'éternité. Et si c'était la dernière fois que tu pensais, la plus vulgaire de tes pensées s'auréolerait de tant d'innocence qu'elle te conduirait jusqu'à la source : au pays du silence. Et si c'était la dernière fois que de la solitude tu souffrais, tu serais si reconnaissant de connaître l'absence que tu percevrais le parfum de l'éternelle présence. Et si c'était la dernière fois que tu jugeais, tu serais si confus de ce penchant coupable que tu verrais le beau au sein du condamnable. Et si c'était la dernière fois que tu te remémorais les bons moments et les mauvais, tu remercierais si fort de les avoir connus que tu verrais les fils entre les deux tendus. Et si c'était la dernière fois que tu créais, ton inspiration serait si féconde que tu pourrais comprendre l'origine du monde. Et si c'était la dernière fois que tu aimais, tu glorifierais l'instant avec un tel zèle qu'il emplirait ton coeur à jamais d'amour universel. Et si c'était la dernière fois que tu riais, ton esprit tant se dilaterait qu'au mirage du petit "je" jamais plus ne se prendrait. Et si c'était la dernière fois que face à toi-même tu te trouvais, tu rentrerais tant dans ce jeu de miroir que tu pourrais percer le secret de ton histoire. Et si c'était la dernière fois que tu lisais les mots au fond de toi prendraient âme et corps et donneraient naissance à l'Etre que tu n'es pas encore. Si tu fais toute chose avec autant de passion, d'attention et d'amour que si c'était la dernière fois, alors, ce sera la première fois où tu SERAS. Gérard Bellebon |
Déposé par lili2248 le 09/10/2015Il y a tant de beaux mots dans la langue française…..et il y a aussi les beaux petits noms que nous donnons à nos anges… * Les mots qui font vivre * Il y a des mots qui font vivre Et ce sont des mots innocents Le mot chaleur et le mot confiance Amour, justice et le mot liberté Le mot enfant et le mot gentillesse Et certains noms de fleurs et Certains noms de fruits Le mot courage et le mot découvrir Et le mot frère et le mot camarade Et certains noms de pays, de villages Et certains noms de femmes et d'amis. * Paul Eluard ( 1895-1952) , |
Déposé par nikita le 09/10/2015Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne On joue le rôle de celui pour qui tout va bien Pourvu que les autres n'en sachent rien On fait au mieux pour sauver la face Pour que notre entourage ignore par où l'on passe On rit on danse on fait les fous comme à Venise Mais quoiqu'on fasse mais quoiqu'on dise Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? L'orgueil nous aide à tenir le coup Apparemment on pourrait même faire des jaloux C'est à nous même que l'on se joue la comédie Pour s'inventer qu'on est guéri Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? Ces blessures là Qui ne se voient pas Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et que ne pas que tout espoir nous abandonne Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir Les blessures qui ne se voient pas Parfois semblent avoir perdu nos trace Et quand on ne s'y attend pas Sans que jamais les autres le sachent Elles remontent à la surface Et nous fusillent une fois encore Les blessures qui ne se voient pas Qui nous font du mal bien plus que toutes les autres Ces blessures là Qui ne se voient pas on vit avec chaque jours vous nous manquez nos petits amour mille bisous au parfum de la tendresse sur ta belle truffe d 'amour PUNKY mon beau corsaire à partager avec ta maman qui te porte dans son coeur |
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