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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
60 bougies
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20010 Fleurs
5872 messages
Déposé par colombine67 le 01/02/2016S’il y a de la peur c’est qu’il n’y a pas d’AMOUR. Quelque chose vous tracasse ? Cherchez la peur. Chaque fois qu’une émotion négative se présente à nous, Il se cache derrière une peur. En vérité, il n’y a que deux mots dans le langage de l’âme : la peur et l’AMOUR. La peur est l’énergie qui contracte, referme, attire, court, cache, entasse et blesse. L’AMOUR est l’énergie qui s’étend, s’ouvre, envoie, reste, révèle, partage et guérit. La peur enveloppe nos corps dans les vêtements. L’AMOUR nous permet de rester nu. La peur s’accroche et se cramponne à tout ce que nous avons. L’AMOUR donne tout ce que nous avons. La peur retient. L’AMOUR chérit. La peur empoigne. L’AMOUR lâche prise. La peur laisse de la rancoeur. L’AMOUR soulage. La peur attaque. L’AMOUR répare. Chaque pensée, parole ou action est fondée sur l’une ou l’autre émotion. Tu n’as aucun choix à cet égard, car il n’y a pas d’autre choix. Mais tu es libre de choisir entre les deux. Ainsi, au moment où tu promets ton plus grand AMOUR, tu accueilles ta plus grande peur car, aussitôt après avoir dit « je t’aime » , tu t’inquiètes de ce que cet AMOUR ne te soit retourné et, s’il l’est, tu te mets aussitôt à t’inquiéter de perdre l’AMOUR que tu viens de trouver. Cependant, si tu sais Qui Tu Es, tu n’auras jamais peur. Car, qui pourrait rejeter une telle magnificence ? Mais si tu ne sais pas Qui Tu Es, alors tu te crois bien inférieur. Fais l’expérience glorieuse de Qui Tu Es vraiment et de qui tu peux Être. Le Dalaï Lama. |
Déposé par rafia le 31/01/2016Paroles de la chanson "Un Jour" par Damien Sargue Où vont ceux qu’on aime Quand ils disparaissent, Tout à coup ? Quelqu’un qui nous laisse, Quelqu’un qui vous blesse Quand il s’en va trop loin de nous. Ils sont en nous-mêmes, À portée de nos souvenirs. Pas un mot de trop, Que le geste qu’il faut, Pour une dernière fois, Les retenir Personne ne finit dans l’oubli, Si quelqu’un l’attend encore ici. Un ami manque toujours, On pense toujours à son retour. Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! Que font ceux qui restent Quand leur peine est plus forte que tout, Quand ils se détestent D’être ceux qui restent, Ceux qui doivent aller jusqu’au bout ? Personne ne finit dans l’oubli, Si quelqu’un l’attend encore ici. Un ami manque toujours, On pense toujours à son retour Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Les présents, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! |
Déposé par lili2248 le 31/01/2016Chez nos Anges à 4 ou 2 ou 1000 pattes, il n’y a que des Cœurs purs…. * LE COEUR PUR * Il se contentait d'être heureux Sans le paraître. Et, se moquant des grands, Il vivait comme un gueux, Fuyait les gens sérieux Et la gloire et l'argent. On l'aurait volontiers Arrêté, enfermé. Mais quel homme au coeur pur Ne traverse les murs Avec son chien bien sûr ! |
Déposé par colombine67 le 31/01/2016Je l'aime, seigneur combien je l'aime, Combien mes sentiments sont profonds et immuables Comme autant d'étoiles dans le ciel, Comme autant de vagues dans l'océan J'ai envie de crier cet amour, De le hurler à la face du monde De le déclarer fièrement Et montrer sa force ouvertement Au lieu de cela, tout est tu, tout est enfoui Chaque élan de tendresse est étouffé, Chaque phrase tendre baillonée, Chaque sentiment réfréné Il est mon âme, il a mon coeur, Il est mon homme, mon bonheur, Il est mon oxygène, ma lumière, L'indispensable, l'essentiel Je ne peux lui dire la force de mes sentiments, J'aimerais qu'il le sache pourtant, Qu'il sache que je ne veux que lui, Que je ne rêve que de lui Comme un refrain chanté sans cesse, Comme une musique emplissant l'air, Mes sentiments se perdent dans les silences Prisonniers des écrits MAEL; JE VOUS AI ECRIT A L'ADRESSE QUE VOUS M'AVEZ INDIQUE |
Déposé par colombine67 le 30/01/2016Grand-mère «Que fais-tu grand-mère, assise là, dehors, toute seule ?» Eh bien, vois-tu, j’apprends. J’apprends le petit, le minuscule, l’infini. J’apprends les os qui craquent, le regard qui se détourne. J’apprends à être transparente, à regarder au lieu d’être regardée. J’apprends le goût de l’instant quand mes mains tremblent, la précipitation du coeur qui bat trop vite. J’apprends à marcher doucement, à bouger dans des limites plus étroites qu’avant et à y trouver un espace plus vaste que le ciel. «Comment est-ce que tu apprends tout cela grand-mère ?» J’apprends avec les arbres, et avec les oiseaux, j’apprends avec les nuages. J’apprends à rester en place, et à vivre dans le silence. J’apprends à garder les yeux ouverts et à écouter le vent, j’apprends la patience et aussi l’ennui ; j’apprends que la tristesse du coeur est un nuage, et nuage aussi le plaisir ; j’apprends à passer sans laisser de traces, à perdre sans retenir et à recommencer sans me lasser. «Grand-mère, je ne comprends pas, pourquoi apprendre tout ça ?» Parce qu’il me faut apprendre à regarder les os de mon visage et les veines de mes mains, à accepter la douleur de mon corps, le souffle des nuits et le goût précieux de chaque journée ; parce qu’avec l’élan de la vague et le long retrait des marées, j’apprends à voir du bout des doigts et à écouter avec les yeux. J’apprends qu’il faut aimer, que le bonheur des autres est notre propre bonheur, que leurs yeux reflètent dans nos yeux et leurs coeurs dans nos coeurs. J’apprends qu’on avance mieux en se donnant la main, que même un corps immobile danse quand le coeur est tranquille. Que la route est sans fin, et pourtant toujours exactement là. «Et avec tout ça, pour fini, qu’apprends-tu donc grand-mère ?» J’apprends, dit la grand-mère à l’enfant, j’apprends à être vieille ! Joshin Luce Bachoux |
Déposé par Biscuit le 29/01/2016Mon vieux Pataud (Chanson de Berthe Sylva ) Rouillé perclus courbé sur son bâton de chêne Quand Butaud l'braconnier dut r'noncer à l'affût, Bien qu'on ne l'aimât guère vu son âge et sa gêne Au bureau d'Bienfaisance tout d'même on l'secourut. Au cabaret, jamais on ne le voyait boire. Il passait fier avec son chien causant quéqu'fois Pour dire que l'assistance étant obligatoire, C'est sans honte qu'il touchait son s'cours au bout d'chaque mois. Puis il sifflait son chien "- Allons mon vieux Pataud" Et tous deux s'en allaient le vieux parlant tout haut. Mon vieux Pataud, toi qu'es qu'une bête, T'es bien meilleur que certaines gens, T'as pas deux sous d'malice en tête, Quand tu veux mordre on voit tes dents, Tandis qu'les hommes bêtes à deux pattes, Sous des sourires cachant leurs crocs A l'instant même où ça vous flatte, Ça vous mang'rait cœur et boyaux. Personne nous deux, Pataud, n'a pu nous humilier : Moi j'n'ai jamais eu d'maître et toi t'as pas d'collier. Un jour comme il sortait du bureau d'Bienfaisance, Il salua m'sieur l'maire qui dit : "- Bonjour Butaud, Tiens c'est à toi c'chien là ? - oui ! dit l'vieux sans méfiance, Un' brav' bête presqu'aussi vieille qu'moi, n'est ce pas Pataud ? - J'comprends, répondit l'maire, c'est un ancien complice, On s'aime pardi ! seul'ment Butaud moi j'te préviens, Entre tes s'scours et ton cabot faut qu'tu choisisses, L'argent des indigents n'est pas fait pour les chiens." Et comme le vieux n'voulait en faire qu'à sa tête, On résolut d'comprendre mieux qu'lui ses intérêts. Un soir donc lâchement on tira sur la bête Qui toute sanglante revint s'étendre auprès des chenets. Alors le vieux Butaud saisit sa cartouchière. Il arma son fusil en grondant "- Assassins !" Mais Pataud fit entendre une plainte légère, Et le vieux en pleurant se pencha sur son chien Et comme la bête semblait lui dire " - Achève-moi" Le bonhomme à genoux fit un signe de croix : Mon vieux Pataud nous sommes trop bêtes Pour comprendr' quéqu'chose à la loi. Finissons-en, la charge est prête : Un coup pour toi un coup pour moi. Pataud on va partir ensemble Au pays d'où qu'personn' ne r'vient. Mon Dieu, mon Dieu, tout d'même j'en tremble. Pardonn' moi Pataud tiens toi bien... Et c'est comme ça qu'l'on vit doucement dans les cieux Monter l'âme d'un chien avec l'âme d'un gueux. , Pensées pour Punky |
Déposé par colombine67 le 29/01/2016Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. J'ai tout appris de toi sur les choses humaines Et j'ai vu désormais le monde à ta façon J'ai tout appris de toi comme on boit aux fontaines Comme on lit dans le ciel les étoiles lointaines Comme au passant qui chante on reprend sa chanson J'ai tout appris de toi jusqu'au sens du frisson. Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. J'ai tout appris de toi pour ce qui me concerne Qu'il fait jour à midi, qu'un ciel peut être bleu Que le bonheur n'est pas un quinquet de taverne Tu m'as pris par la main dans cet enfer moderne Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux Tu m'as pris par la main comme un amant heureux. Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes N'est-ce pas un sanglot que la déconvenue Une corde brisée aux doigts du guitariste Etpourtant je vous dis que le bonheur existe Ailleurs que dans le rêve, ailleurs que dans les nues. Terre, terre, voici ses rades inconnues. Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu'un coeur au bois dormant Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement. Louis Aragon |
Déposé par poutounou le 28/01/2016Vivement les beaux jours ! Evadons-nous un instant… * Sur le chemin * Un chemin creux emprunter, Ses yeux pour seuls guides. * Petits escargots accrochés Comme des notes de musique Sur de frêles tiges Comme figés par le temps. * Coquelicots en corolles rougeoyantes Et fleurs de chardon bleutées Eparpillés dans les herbes folles. * Sous les rayons du soleil, Admirer la valse des papillons Qui, en rondes interminables, Donnent des baisers A chaque beauté rencontrée. * Se faire légère, se faire oublier, Pour mieux les contempler. * S’accroupir pour observer Quelques araignées A leurs fils cramponnées. * Ne pas déranger la Nature Qui sait si bien se révéler Pour qui sait la regarder. |
Déposé par colombine67 le 28/01/2016J'ai découvert la peur De t'avoir rendue triste Et l'infinie fierté De te rendre l'espoir Si je traverse encore Cette écorce du temps Jusqu'au coeur de la vie J'irai jusqu'au pays Où rien n'est impossible Et j'en rapporterai Ce qui te manque ici Yves Duteil |
Déposé par Biscuit le 27/01/2016.REPOSE EN PAIX............ Un beau matin je t'ai rencontré,que j'étais heureux ce matin la,content d'avoir avec toi partagé mes secrets,mes bonheurs,mes tracas,heureux de t'avoir comme ami,tout les deux,on était inséparable,si joyeux d'avoir pu oublier mes soucis,et de dormir dans les endroits les plus confortables....Moi qui pleurait derrière ma cage,j'ai finalement eu beaucoup de chance,d'avoir tombé sur un nouveau foyer entouré de beaux pâturages,enfin,j'ai retrouvé l'amour de mon enfance......Mon ami,tu m'as tout appris,appris que l'on peut être heureux en vivant gaiement sa vie!en partageant chaque instant a deux,et quoi qu'il arrive,tu resteras a jamais,la perle d'or unique,le rayon de soleil,qui m'a guéri......Mais seul a présent,je vais la continuer dans quelques moments je devrais te quitter et de toi me séparer,je ne sais pas là ou je vais,mais je sais que qu'importe où j'irais,même si je ne suis plus a tes cotés,on se retrouvera comme ce beau matin ou je t'ai rencontré.... ........Avec tout mon amour pour toi ,mon chien, que je n'oublie pas..., Avec toute ma tendresse pour Punky |
Déposé par colombine67 le 27/01/2016Dans le silence de ma réflexion je perçois tout mon monde intérieur comme si c'était une graine, d'une certaine manière petite et insignifiante, mais également chargée de possibilités. … Et je vois dans ses entrailles le germe d'un arbre magnifique, l'arbre de ma propre vie en train de se développer. Dans sa petitesse, chaque graine contient l'esprit de l'arbre qu'elle sera plus tard. Chaque graine sait comment devenir un arbre en tombant sur une terre fertile, en absorbant les sucs qui la nourrissent, en étendant les branches et le feuillage, en se couvrant de fleurs et de fruits, pour pouvoir donner ce qu'ils ont à donner. Chaque graine sait comment réussir à être un arbre. Et les graines sont aussi nombreuses que le sont les rêves secrets. En nous d'innombrables rêves attendent le moment de germer, de faire des racines et de naître, de mourir en tant que graines… pour se transformer en arbres. Des arbres magnifiques et orgueilleux qui à leur tour nous disent, dans leur solidité, d'écouter notre voix intérieure, d'écouter la sagesse de nos graines de rêves. Eux, les rêves, indiquent le chemin par toutes sortes de symboles et de signes, dans chaque fait, à chaque instant, parmi les choses et les personnes, dans les souffrances et les plaisirs, dans les triomphes et les échecs. Le rêve nous apprend, endormis ou éveillés, à nous voir, à nous écouter, à prendre conscience. Il nous montre la voie par des pressentiments fugitifs ou des éclairs d'aveuglante lucidité. Et ainsi nous grandissons, nous nous développons, nous évoluons… Et un jour, alors que nous avancerons dans cet éternel présent que nous appelons «la vie», les graines de nos rêves se transformeront en arbres, et déploieront leurs branches qui, telles des ailes gigantesques, traverseront le ciel, unissant d'un seul trait notre passé et notre futur . Il n'y a rien à craindre… une sagesse intérieure les accompagne… car chaque graine sait comment devenir un arbre. (Jorge Bucay) |
Déposé par spanky le 26/01/2016UNE LARME, QUAND ELLE PENSE A TOI, UNE LARME SURGIT, VENUE DES PROFONDEURS. SA VALEUR EST INESTIMABLE TANT ELLE EST VRAIE. PLUS RICHE QU'UN TRESOR. ELLE PERLE AU GRE DU MOMENT. SCINTILLANTE DE VERITE. ET POURTANT SI INDÉCHIFFRABLE. PERSONNE NE PEUT LA COMPRENDRE. ELLE S'ECOULE. POUR LAISSER FUIR L'AUTRE QUI LA SUIT. REMPLIE DE JOIE OU DE TRISTESSE. SEULE LA PERSONNE QUI LA LAISSE FILER PEUT LA COMPRENDRE. CAR ELLE CRIE DANS LE SILENCE. DE JOUR OU DE NUIT. OU IL Y UNE LARME, IL Y A UN COEUR. |
Déposé par colombine67 le 26/01/2016Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. Il meurt lentement celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider. Il meurt lentement celui qui évite la passion et son tourbillon d'émotions celles qui redonnent la lumière dans les yeux et réparent les cœurs blessés Il meurt lentement celui qui ne change pas de cap lorsqu'il est malheureux au travail ou en amour, celui qui ne prend pas de risques pour réaliser ses rêves, celui qui, pas une seule fois dans sa vie, n'a fui les conseils sensés. Vis maintenant! Risque-toi aujourd'hui! Agis tout de suite ! (Pablo Neruda) |
Déposé par ovanek le 25/01/2016💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 ******* Notre étoile ******* merci de scintiller pour nous les nuits venues tu éclair les chemins sur les quelles on te regarde et nous sommes heureux quand on s’endort auprès de tes pensées si toi tu es sur les nuages des anges ton cœur lui. Est dans le nôtre pour toujours tu es notre passé… !! Mais nous restons présents et futur pour toi. On t'aime .....Veille sur nous .... Tu es gravé dans nos âmes ... ** Pensée ** 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par nikita le 25/01/2016PUNKY mon beau prince Loin des yeux loin du cœur ça n’existe pas Loin des yeux loin du cœur moi je pense à toi Et chaque jour qui passe me rapproche de toi Le temps qui nous poursuit Ne peut pas nous séparer Même après la vie Nos joies passées vont nous unir à l’infini On dit qu’avec le temps Tout s’en va doucement Que les blessures les plus dures ne résistent pas Mais j’ai en moi un cœur qui bat pour toi On dit toujours que loin des yeux L’amour prend un coup de vieux Mais moi je ne t’oublie pas Car j’ai toujours mon cœur qui bat pour toi Et tant que je vivrais Jamais je ne t oublierais Une corbeille de bisous au parfum de tendresse pour toiPUNKY mon beau corsaire à partager avec ta maman à qui tu manques tant |
Déposé par colombine67 le 25/01/2016Il était une fois, une île où tous les différents sentiments vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris. Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler. Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent. Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment. Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide. La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit : “Richesse, peux-tu m'emmener ?” “Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi.” L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau : “Orgueil, aide moi je t'en prie !” “Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau.” La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda, “Tristesse, laisse moi venir avec toi.” “Ooh… Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !” Le Bonheur passa aussi à côté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas l'Amour l'appeler ! Soudain, une voix dit : “Viens Amour, je te prends avec moi.” C'était un vieillard qui avait parlé. L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla. L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir : “Qui m'a aidé ?” “C'était le Temps” répondit le Savoir. “Le Temps ?” s'interrogea l'Amour. “Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?” Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit : “C'est parce que Seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie.” |
Déposé par poutounou le 24/01/2016Sauvée par des rottweilers…. * C’est en Angleterre que se déroule cette histoire. Dans la petite ville de Cheltenham, non loin d’Oxford, quatre Rottweilers ont sauvé la vie d’une femme de 80 ans. Une promenade qui tourne au drame Une dame de 80 ans, dont le nom reste inconnu, avait pour habitude de faire une promenade matinale près de l’école dans la ville de Cheltenham. C’est alors qu’elle chute et se retrouve coincée dans un buisson près du terrain de jeu de l’école. Elle resta coincée plus de 15h dans le froid avant que les Rottweilers ne la trouvent. Les Rottweilers au secours Les quatre chiens, Tillie, Billy, Gerrard et May, étaient partis pour une promenade nocturne avec leur maitre David Malt et son neveu, Jack. Alors qu’ils approchent du terrain de jeu de l’école, les chiens commencent à s’agiter. Pensant qu’il n’y a personne, David lâche les chiens pour qu’ils puissent se défouler. C’est alors qu’ils se mettent à courir comme des forcenés vers un endroit précis. David les suit et découvre la vieille dame avec la femelle Rottweiler qui la léchait doucement et refusait de la quitter jusqu’à l’arrivée des secours. La réputation des Rottweilers Les Rottweilers n’ont pas bonne réputation car ils sont perçus comme agressifs, mais ils sont très protecteurs. Ils ont senti que quelqu’un était en danger et se sont précipités pour l’aider. C’est agréable d’entendre des nouvelles positives qui démontrent encore une fois que n’importe quel chien peut être un héros ou être méchant. C’est une question d’éducation et non de race. Si les quatre Rottweilers n’avaient pas été là, les choses auraient pu tourner de façon plus tragique pour la vieille dame. |
Déposé par colombine67 le 24/01/2016Et quand nos regrets viendront danser Autour de nous nous rendre fous Seras-tu là ? Pour nos souvenirs et nos amours Inoubliables inconsolables Seras-tu là ? Pourras-tu suivre là ou je vais ? Sauras-tu vivre le plus mauvais ? La solitude le temps qui passe Et l'habitude regardes-les Nos ennemis dis-moi que oui Dis-moi que oui Quand nos secrets n'auront plus cours Et quand les jours auront passé Seras-tu là ? Pour, pour nos soupirs sur le passé Que l'on voulait que l'on rêvait Seras-tu là ? Le plus mauvais La solitude le temps qui passe Et l'habitude reqardes-les Nos ennemis dis-moi que oui Dis-moi que oui ! La la la la la la Seras-tu là ? Seras-tu là ? Michel Berger |
Déposé par colombine67 le 23/01/2016La vieille dame grincheuse... Texte écrit par une vieille dame terminant sa vie en "gériatrie". Les soignants ont retrouvé cette lettre sous son oreiller après son décès...02-2OO2 Que vois-tu, toi qui me soignes, que vois-tu ? Quand tu me regardes, que penses-tu ? Une vieille femme grincheuse, un peu folle, le regard perdu, qui bave quand elle mange et ne répond jamais quand tu dis d'une voix forte "essayez" et qui semble ne prêter aucune attention à ce qu'elle fait... Qui docile ou non, te laisse faire à ta guise, le bain et les repas pour occuper la longue journée. C'est ça que tu penses, c'est ça que tu vois ? Alors ouvre les yeux, ce n'est pas moi. Je vais te dire qui je suis, assise là, tranquille, me déplaçant à ton ordre, mangeant quand tu veux... je suis la dernière des dix, avec un père, une mère ; des frères, des soeurs qui s'aiment entre eux... Une jeune fille de seize ans, des ailes aux pieds, rêvant que bientôt elle rencontrera un fiancé... Déjà vingt ans, mon coeur bondit de joie au souvenir des voeux que j'ai fait ce jour-là. J'ai vingt-cinq ans maintenant et un enfant à moi, qui a besoin de moi, pour lui construire une maison... Une femme de trente ans, mon enfant grandit vite ; nous sommes liés l'un à l'autre par des liens qui dureront... Quarante ans, bientôt il ne sera plus là, mais mon homme est à mes cotés et veille sur moi. Cinquante ans, à nouveau jouent autour de moi des bébés. Nous revoilà avec des enfants, moi et mon bien-aimé. Voici les jours noirs, mon mari meurt. Je regarde vers le futur en frémissant de peur car mes enfants sont très occupés pour élever les leurs et je pense aux années et à l'amour que j'ai connus. Je suis vieille maintenant et la vie est cruelle et elle s'amuse à faire passer la vieille pour folle. Mon corps s'en va. Grâce et forme m'abandonnent. Et il y a une pierre là où jadis il y avait un coeur. Mais dans cette vieille carcasse, la jeune fille demeure. Le vieux coeur se gonfle sans relâche. Je me souviens des joies et des peines. Et à nouveau je revis ma vie et j'aime. Je repense aux années trop courtes et trop vite passées et accepte cette réalité implacable. Alors, ouvre les yeux, toi qui me regarde et qui me soigne. Ce n'est pas la vieille femme grincheuse que tu vois... Regarde mieux et tu verras... |
Déposé par Biscuit le 23/01/2016A vous, meilleur Ami de l’homme Votre corps, à jamais, repose en paix Mais on ne vous oubliera jamais, Grâce à ce magnifique regard qui était là Le soleil dans nos coeurs y entra. Complice d’un frôlement Avec autant d’étonnement, A quoi bon s'inquiéter d'aimer ou d'être aimé Nous avons toujours su que vous, vous nous avez aimé. Vous êtes toujours là près de nous Et, quand nous pensons à vous, Nous rions aux éclats car jamais on oublie le passé Beau, superbe, magnifique même si c’est terminé…. De nos échanges amoureux bien que virtuels L’amour reste présent et éternel, Que dire ! Rien, à part un sourire. Nous sommes là, ne pouvant nous passer de vous Vos aboiements raisonnent encore en nous, Avec vous nos soirées avaient la douceur du Miel Mais hélas vous êtes montés au Ciel. Notre plus grand bonheur à nous serait un jour de vous revoir Pour enfin apaiser notre désespoir, Et une fois de plus apprécier votre regard Vous, merveilleux Amis et rares. Le vide dans nos coeurs Recherche la chaleur, Alors de là-haut, cher « Etre » De votre amour, faites nous renaître... Pensées pour Punky |
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