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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
55 bougies
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20121 Fleurs
5869 messages
Déposé par colombine67 le 23/12/2015Noël, douce fête qui nous émerveille, Pour toi, nous ouvrons nos bras, nos coeurs et nos oreilles ! Tous ensembles nous allons célébrer, Le plus beau des jours de l’année ! Je te souhaite un très joyeux Noël… Et que ton sapin déborde de mille et une merveilles ! |
Déposé par choupinou le 22/12/2015Des cadeaux par milliers, pour mon chien tant aimé, de succulent gâteaux et de bonne saveur, pleins de fleurs et de douces senteurs lui offrir les plus belles roses, avec les plus jolies proses, dans cette merveilleuse journée, qui s'approche doucement pour mon aimé; mon coeur est de soie, il ne bat que pour toi il te chante tout mon amour, mélodie si douce,emplie de larmes de velours a la lueur de la flamme d'une bougie, je nous voit pour un instant de nouveau réunis l'envie a jamais de t'aimer plus fort ,encore et encore, de te sentir contre moi,te serrer plus fort ton petit corps si chaud ,remplie d'amour, qui je sais,reste près de moi chaque jour; tu es tout la haut ce que j'ai de plus chère aujourd'hui tu es là près de moi ,tu es ma chair, oui tu es mon sapin de Noel ,sur mon chemin, tu es mon béguin,mon butin qui efface un moment mon chagrin car au dessus de ma tête ,brille mon étoile elle est si belle ,elle te dévoile tes yeux si doux,ce sont les boules qui scintillent dans mon coeur est et restera ton regard indélébile la guirlande qui m'entoure et ta chaleur, elle réchauffe mon âme emplie de douleur... alors oui t'offrir ma vie,t'offrir mon coeur, t'offrir les plus belle roses,pour ma plus belle fleur, te donner mon amour,sans détour a toi que j'aimerai pour toujours.... Une douce poésie en cette journée qui s'approche de Noel, notre histoire,notre joli et merveilleux cadeau, pour notre amour qui fût qui est si beau, il sera ,il est mon plus beau rêve de Noel, de penser que tout peut recommencer, ou moi aussi je te rejoindrais pour l'éternité, revivre notre amour d'autrefois,penser a cet amour, qui continue et dure chaque jour, davantage,plus fort plus solide,soudé pour toujours JOYEUX NOEL MON PETIT ANGE D'AMOUR, écrit de choupinou que mes amours partagent avec toi pour ta petite famille L'amitié ne naît pas comme ça, tout simplement du jour au lendemain sans qu'on n'ait besoin d'y investir un peu de soi. En réalité, il faut y mettre de la confiance pour l'apprivoiser, du temps bien entendu pour la fortifier et de la disponibilité en plus, afin de lui permettre de s'épanouir pleinement et de se développer également. Tout comme l'étoile dorée qui illumine le sapin,je vous souhaite par ces mots,qu'elle éclaire et inonde votre vie de lumière,je vous envoie tout le bonheur du monde,que la joie efface la tristesse tous les meilleurs voeux pour un heureux Noel et une nouvelle année de douceur et sérénité amitié choupinou |
Déposé par colombine67 le 22/12/2015Les plus beaux cadeaux de Noël ne sont pas toujours sous le sapin. La famille, les amis, les petits compagnons à 4 pattes, sont des cadeaux du Ciel enveloppés d'amour... Joyeux Noël et Paix sur Terre! |
Déposé par Biscuit le 22/12/2015En cette fin d'année Et en ce jour merveilleux qu'est noel Je ne peux t'offrir un cadeau merveilleux comme chaque années Je ne peux t'offrir les étoiles,parceque mon étoile c'est toi Mais je peux t'offrir un plus beau cadeau Et ce cadeau c'est mon coeur ,et mon amour à jamais Toi et moi sommes ensembles comme des anges Pourquoi? Car tu es mon ange d'amour Car tu es mon ange de toujours Car tu me donner toute ta tendresse Car tu éloignée ma tristesse Et que ma vie avec toi n'était que du bonheur Alors oui, je ne peux t'offrir de cadeau Mais je peux t'offrir mon amour Je peux t'offrir mon coeur Et je peux t'offrir ma tendresse. Mon amour de toujours Je t'aime et je te souhaite Un très bon et heureux noel Pour toi mon petit chien Punky que j'aime |
Déposé par spanky le 21/12/2015Je te sais à mes côtés car je te sens me parler, je vois tous tes signes, j'entends tes messages et je ressens tout l'Amour que tu m'envoie encore. Tu m'illumines de ta Lumière, me chauffe le coeur et continue de faire mon bonheur. Jamais je ne laisserai la mort détruire ce que la vie a fait de nous... des Amoureux fous. Nous nous l'étions juré, rien ne pouvait nous séparer. Merci mon ange d'être encore là auprès de moi et de veiller sur moi. |
Déposé par colombine67 le 21/12/2015Il était une fois une petite fille qui s’appelait Elsa et qui vivait avec sa mère dans un village nommé Bethléem. Elles étaient si pauvres qu’elles habitaient une vieille cabane dans un champ d’oliviers laissés à l’abandon. Elles n’avaient pas de lit pour dormir, si peu d’habits pour se vêtir et à peine un peu de pain pour se nourrir. Elsa et sa mère songeaient que le monde entier les avait abandonnées. Personne ne venait jusque là, mais elles survivaient grâce à la débrouillardise de la fillette qui trouvait toujours quelques figues, quelques champignons, quelques épis de blé glanés çà et là. Parfois, elle trouvait des olives sur les vieux arbres rabougris et courait alors les vendre au marché du village. Depuis quelques jours, Bethléem était en effervescence: César Auguste avait ordonné « un recensement du monde habité » et la ville ne désemplissait pas. Mais loin de cette agitation, Elsa s’affairait à la recherche d’un peu de nourriture pour le repas. Tout à coup, au détour du chemin, elle rencontra une vieille femme qui lui dit : - S’il te plaît petite fille, donne-moi quelque chose à manger, j’ai si faim. Elsa qui avait un cœur d’or lui donna aussitôt le petit morceau de pain qu’elle avait eu en échange des quelques olives cueillies la veille. - Mille mercis, petite fille, lui dit la vieille femme. Sans toi, je serais morte de faim. Elsa poursuivit son chemin et arriva près d’une source cachée par des figuiers sauvages et de grosses pierres. L’endroit était calme et tranquille… Elsa remplit son panier avec les figues bien dorées puis se désaltéra avec l’eau fraîche de la source. C’est alors, qu’elle entendit des petits gémissements… Elle écarta les feuilles du figuier et découvrit deux enfants qui pleurnichaient. Apeurés, ils reculèrent et se tassèrent sous les buissons. "N’ayez pas peur petits! Je ne vous ferai pas de mal. Mais pourquoi pleurez-vous ainsi ? "Nous…nous…nous sommes perdus", bégayèrent les enfants entre deux sanglots. "Mais où habitez-vous?" "Oh, très loin d’ici, répondirent les enfants, mais nos parents sont à Bethléem pour le recensement. Ils logent chez Sarah, la couturière." "Calmez-vous petits, je vais vous indiquer le chemin. Mais prenez ces figues, elles vous réconforteront." Et Elsa indiqua la route aux enfants puis reprit son chemin dans les collines de Bethléem. Déjà, le pâle soleil d’hiver se couchait. Elle se mit alors à ramasser des brindilles pour le feu, car les nuits sont parfois très froides sous le ciel de Palestine et on avait du mal à colmater les trous dans les murs de la pauvre cabane ! Alors qu’elle s’apprêtait à rentrer, Elsa entendit une faible voix qui appelait. Elle vit alors un vieillard tout grelottant, étendu sur le chemin. Aussitôt, Elsa le couvrit avec son châle et s'inquiéta: "Mais que faites-vous là, par terre, à cette heure?" "Ah petite! Il y a longtemps que je suis étendu ici… J’étais venu chercher du bois pour allumer le feu alors que le soleil était encore haut. Mais voilà, je suis tombé et je n’arrive pas à me relever tant ma jambe me fait mal." "Attendez, je vais vous soigner!" Elsa avait justement un peu de plantain avec elle. Elle couvrit la plaie du vieillard et lui fit un solide bandage avec le morceau de drap qui traînait dans sa poche. Elle aida alors l’homme à se relever et l’aida à rejoindre sa petite maison, dans le bois, derrière la colline. Là, elle fit un bon feu avec les brindilles qu’elle avait ramassées afin de réchauffer le vieil homme. "Oh, merci, chère petite!" s’exclama le vieillard. "Tu as vraiment un cœur d’or! Dieu te le revaudra, j’en suis sûr!" Maintenant, il faisait nuit. Elsa se hâta de rejoindre sa mère qui devait s’inquiéter. Certes, elle n’avait plus de fruits à manger, ni de châle pour se réchauffer, mais elle se sentait si heureuse d’avoir rendu service. Malgré le froid de la nuit, régnait une douce chaleur au fond de son cœur. Mais bientôt Elsa se retrouva seule, perdue dans ce bois qu’elle ne connaissait pas… Elle tâtonnait dans le noir, essayant de repérer les collines qu’elle parcourait chaque jour, lorsqu’elle entendit une voix qui murmurait: - Toi qui n’avais rien, tu as tout partagé. Toi qui te sentais abandonnée, tu as soulagé les autres… Suis maintenant le chemin des étoiles et garde confiance! C’est alors qu’une multitude d’étoiles éclairèrent la route d’Elsa. Elles formaient un chemin et brillaient de plus en plus pour guider les pas de l’enfant. Elsa croyait rêver tant le chemin était illuminé. C’est alors qu’elle aperçut un être tout auréolé de lumière qui s’approcha et lui dit : "N’aie pas peur, petite fille! Dieu a vu ton cœur d’or et c’est toi qu’il a choisie pour m’accompagner et annoncer la joyeuse nouvelle du Sauveur à tous ceux qui sont pauvres et rejetés…" Un Sauveur… Elsa ne comprenait pas, mais elle suivit l’ange, pressentant que quelque chose d’extraordinaire allait se passer. Ils arrivèrent bientôt près d’un grand champ où des bergers passaient la nuit avec leurs troupeaux. Une lumière éblouissante les enveloppa soudain. Réveillés en sursaut et effrayés, ils voulaient s'enfuir. Le messager leur dit alors : "N’ayez pas peur! C’est une bonne nouvelle que je viens vous annoncer, une grande joie pour tout le peuple : aujourd’hui, un Sauveur est né pour vous, c’est lui le Messie que vous attendez. Allez le voir! Vous le reconnaîtrez à ce signe : le nouveau-né est couché dans une mangeoire". A nouveau les étoiles semblaient former un chemin comme pour indiquer la route… Les bergers suivirent alors l’enfant qui déjà avait pris le chemin des étoiles. Et quand celles-ci s’arrêtèrent au-dessus d’une vieille cabane, Elsa n’en crut pas ses yeux… C’était dans sa pauvre masure que Jésus, le Sauveur, le Messie, avait trouvé un abri. Une étoile scintillante enveloppait maintenant toute la petite cabane d’une immense clarté. Un enfant y était couché dans la paille d’une mangeoire, comme l’ange l’avait dit. Elsa sentit un immense bonheur l’envahir et une grande paix emplir son cœur. Alors, tombant à genoux, elle se mit à prier. Et l’enfant lui sourit. Alors, tous ceux qui étaient là avec elle, les bergers et tous ceux qui s’étaient approchés, tous sentirent aussi ce grand bonheur dans leur cœur et une lumière nouvelle se répandit tout autour d’eux. Et la terre entière sut que cette nuit-là un Sauveur était venu ouvrir aux hommes le chemin de la paix et du bonheur. |
Déposé par bouffie le 20/12/2015Les chiens, par leur innocence et leur amour si pur si doux et inconditionnel, ont une manière de se lover dans notre cœur et d'y faire leur marque là où nous avons souvent trop peur d'y laisser entrer quiconque. Ce petit compagnon parvient a toucher notre âme au plus profond, et nous montre alors un aperçu de l'amour qui dépasse tout ce que nous ne rencontrerons jamais. Un tel amour ne peut qu'être éternel. En cette période de célébration de l'amour je vous souhaite de tout cœur de très heureuses et joyeuses fêtes dans l'espérance d'un monde meilleur pour tous les peuples et les animaux. avec toute mon amitié pour vous chère Maryem et votre famille |
Déposé par colombine67 le 20/12/2015Le Noël du chien et du chat Il était une fois un fermier qui adorait la chasse et il avait acheté un chien pour l'emmener chasser avec lui. L'ennui - car il y avait un gros ennui - c'est que ce chien-là, justement, n'aimait pas courir après les lapins, ni lever les perdreaux. Son plaisir à lui était de déterrer les rats et de les manger, tout chauds, bien juteux, avec leur fourrure. Il partait sagement avec son maître, mais au premier trou de rat qu'il rencontrait, il s'arrêtait, il reniflait et se mettait à gratter, gratter, gratter,et le fermier avait beau le rappeler, il ne le rejoignait qu'après avoir croqué son rat. Alors, le fermier criait très fort, il le traitait de chien têtu et désobéissant, de bon à rien et il lui tirait les oreilles. Ca faisait très mal. Le chien pleurait. Mais dès qu'il retrouvait un trou de rat, il se remettait à gratter, c'était plus fort que lui . Un dimanche après-midi, le chien avait quitté son maître à l'entrée d'un champ et il avait passé des heures à chercher les rats dans les prés. Il revenait pas trop rassuré car il s'attendait à être puni, mais ç'a été bien pire que ce qu'il imaginait. Le fermier était hors de lui. Il s'est précipité et l'a roué de coups. Et pour finir, il a crié: - Et si tu recommences, sale animal, je te déchargerai mon fusil dans la tête ! Le chien a filé en rasant la terre et s'est réfugié dans le tas de paille du hangar. Le chat, qui était couché dans la brouette, a ouvert un oeil: - Mon pauvre vieux! Tu as reçu une belle correction! - Et ce n'est pas tout, a dit le chien. Il veut me tuer! - Il le fera, a dit le chat. Si tu restes, il le fera. C'est un homme au coeur dur. Il faut t'en aller, et vite ! - M'en aller! Où veux-tu que j'aille? a demandé le chien. - Dans la Forêt Profonde! a répondu le chat. Tu y trouveras de quoi te nourrir et t'abriter.D'ailleurs, j'irai avec toi. Tu es mon ami. Nous partirons à la nuit tombée. Aussitôt que la porte et les volets de la maison ont été fermés, ils se sont donc mis en route. Le chien avait mal partout, mais il a marché. .Une nuit après l'autre, ils ont marché - marche, marche, la route est large - et un matin, voilà qu'ils étaient arrivés dans la Forêt Profonde. Ils ont continué encore une journée, sans se presser et, dans un amas de roches près d'un ruisseau, ils ont découvert une grotte large et spacieuse, tout à fait ce qu'il leur fallait comme maison.. Ils s'y sont installés. A partir de ce jour, le chien et le chat ont vécu dans la forêt, tranquilles, presque heureux. Presque! Et le temps a passé. Cela faisait plus de deux ans, maintenant, qu'ils habitaient là et bientôt ce serait Noël. Le chat réfléchissait à ce qu'il allait demander au Père Noël.Il hésitait entre un rôti de dindonneau et quelques boîtes de pâtée. Au fait, savez-vous comment les chiens et les chats font leur commande au Père Noël? Ils aboient ou ils miaulent à la lune, et c'est elle qui fait la commission. - Moi, a dit le chien, je n'ose pas te dire ce que je voudrais... - Qu'est-ce que c'est ? a demandé le chat, qui était curieux. Oh! s'il te plaît! dis-le! dis-le! - Eh bien! a dit le chien, je voudrais...je voudrais une petite fille! Le chat a été tellement surpris qu'il est tombé de la branche sur laquelle il se reposait. - Une petite fille! Et qu'est-ce que tu ferais d'une petite fille ? - Je la promènerais, a dit le chien. Je lui lècherais les mains et la figure. Je dormirais près d'elle. Peut-être elle nous caresserait - Pour la loger, ça irait encore, a dit le chat, mais c'est pour la nourrir...Comment la nourrirais-tu ? - Je lui attraperais des rats ! a dit le chien. - Des rats! Des rats! s'est écrié le chat .Ah ! on voit bien que tu ne connais pas les petites filles ! Elle ne voudrait jamais manger de rats! Même si tu leur enlevais la peau ! - Tu crois ? a demandé le chien. Alors, tu pourrais lui prendre des oiseaux ! - Mais c'est délicat, une petite fille! Elle les voudrait cuits, ses oiseaux ! Comment les ferais-tu cuire ? - Peut-être elle s'habituerait à les manger crus, a dit le chien. Le chat a réfléchi, puis il a répondu: - Non ! Non, elle ne s'habituerait pas ! Je suis désolé de te le dire, mais ton idée est saugrenue ! On pouvait faire confiance à ce que pensait le chat. Il connaissait bien les choses du monde et de la vie. C'était un sage. Le chien n'a pas insisté. Il est allé se coucher dans la grotte pour dormir et oublier. Le soir, il est sorti aboyer à la lune: -Lune, tu peux dire au Père Noël de ne pas se déranger pour moi ! Puisque je ne peux pas avoir une pe(ite fille, je n'ai vraiment envie de rien. Puis il est retourné dans la grotte endormir sa tristesse. Et un beau jour, on a été la veille de Noël. Il n'y avait pas de neige, cette année-là. Il faisait très beau, très doux. Si on avait bien écouté, on aurait entendu, dans la terre, les violettes en train de se réveiller. Le chien et le chat ont décidé d'aller faire une promenade. Ils ont marché longtemps, jusqu'à une partie de la forêt qu'ils ne connaissaient pas encore. Et tout à coup, au détour d'un sentier, la surprise les a cloués au sol. - Vois-tu la même chose que moi ? a demandé le chat. - Je vois une petite fille ! a murmuré le chien. Elle est juste comme je la voulais! - Il y a aussi une grand-mère! a ajouté le chat. Tu sais, les grands-mères, c'est très gentil ! Ca mange tout le temps du chocolat, et ça nous en donne ! Elles cueillaient du houx, toutes les deux. La grand- mère a dit: - Nous en avons assez. Ce n'est pas la peine d'aller plus loin. - Oh! grand -mère, regarde! s'est écrié la petite fille. Un chien et un chat! Le chien a remué la queue, le chat a fait le gros dos et comme la grand-mère et la petite fille s'en retournaient, ils les ont suivies. De temps en temps, la petite fille regardait en arrière et disait d'un air ravi: " Ils nous suivent"! Ils sont arrivés à une clairière où se dressait une jolie maison. Un grand-père travaillait dans le jardin. La petite-fille ,a crié: - Grand-père ! nous avons ramené un chien et un chat! C'est sûrement le Père Noël qui nous les envoie! Il ne pouvait tout de même pas les mettre dans une boîte! La grand-mère est entrée dans la maison et elle en est ressortie avec deux bols de lait, un pour le chien, un pour le chat. Depuis qu'ils étaient dans la forêt, ils avaient oublié le goût du lait.C'était bon ! Ils n'en finissaient pas de se lécher les babines ! Le grand-père a dit: - Bonnes bêtes, si vous avez une maison et des maîtres qui vous attendent, il faut repartir, maintenant. Mais si vous n'en avez pas, venez avec nous et npous vous garderons. Le chien et le chat n'ont pas attendu qu'il répète l'invitation, ils sont entrés. Ils croyaient rêver. On leur a cherché un tapis. La petite fille les caressait. On les regardait à tout instant. Le grand-père disait: - Je suis content. Il nous fallait absolument un chien, pour prendre la suite de notre vieux César, qui est reparti au pays de l'avant et de l'après. - Et un chat! disait la grand-mère, nous avions grand besoin d'un chat ! Les souris mangent toutes nos pommes. La petite fille répétait pour la dixième fois que ça lui était bien égal si le Père Noël n'apportait pas de trottinette, cette nuit ! Qu'elle était bien assez gâtée avec un chien et un chat! La cuisine a été pleine de bonnes odeurs. Au dîner, ils se sont régalés de choses délicieuses. Et pour finir, ils ont eu le droit de coucher dans la chambre de la petite fille. Quand elle a été endormie, le chat a dit tout doucement au chien: - Tout de même ! on peut dire que le père Noël fait bien les choses ! Il te l'a apportée, ta petite fille et il s'est arrangé pour que nous n'ayons pas le souci de la nourrir ! - Oui ! a dit le chien d'une voix extasiée. Et - tu as remarqué ? - il nous a choisi ce qu'il y a de mieux comme petite fille. Comme grands-parents aussi, je dois dire ! - Oh ! j'avais remarqué a dit le chat, dont les yeux commençaient à se fermer. Et cette nuit-là, au-dessus de la maison, le ciel était plein d'étoiles. Et dans la maison, il y avait un grand-père, une grand-mère, une petite fille, un chien et un chat dont le coeur aussi, était plein d'étoiles. |
Déposé par poutounou le 19/12/2015Pauvre mouche ! Mais c’est tellement bon la crème….. * La mouche et la crème * Une mouche voyant une jatte de crème S'écria: "Quelle chance ! Ah ! que cela me plait ! Ô délice ! Ô bonheur extrême ! Des oeufs frais, du sucre et du lait, Un tendre arôme de vanille ; Rien ne met plus de douceur en mon coeur." Elle volette, elle frétille, Elle s'approche, elle gambille, Sur le rebord Et c'est alors que sur la faïence trop lisse, La mouche glisse Et succombe dans les délices De cette crème couleur d'or. Parfois, les choses que l'on aime Sont des dangers. Il n'est pas toujours sûr que l'on puisse nager Dans la meilleure des crèmes. * Pierre Gamarra |
Déposé par colombine67 le 19/12/2015Un beau matin ensoleillé, une dame est venue me voir ; moi, mes frères et sœurs, et mes parents. Elle me prend dans ses bras et on part dans une « boîte qui roule ». Je suis tout seul, il n’y a plus ma maman, mes frères et sœurs. J’ai peur. Il y a du bruit et des odeurs que je ne connais pas. Je sens déjà un terrible manque. La « boîte qui roule » s’arrête. On entre dans une maison. A l’intérieur, il y a des humains (je crois qu’on les appelle comme ça) qui discutent. Ca sent bon, il y a plein de lumières qui brillent, et des boîtes colorées partout. Deux petits d’hommes se jettent sur moi pour me prendre dans leurs bras. Ils crient ! Ils tapent dans leurs mains ! Je tremble, je remue la queue, je baisse les oreilles, la tête, détourne le regard pour leur dire « stop, doucement, je ne suis pas tranquille ». Bizarre ces humains, ils ne comprennent pas… Pourtant mes frères et sœurs comprenaient eux. Je passe de bras en bras, on me couvre de caresses, de bisous. Moi, j’aimerais juste que ça s’arrête, qu’on me laisse tranquille; j’ai peur. Je sens quelque chose de chaud couler; ça fait du bien ! Tout à coup, l’enfant qui me prenait dans ses bras se met à hurler et moi, je reçois une tape sur le cul. Bizarre, quand l’enfant pleure, on me met une tape et les humains ne semblent pas contents. Maintenant, quand un enfant pleurera, j’aurai peur. Quelques instants plus tard, un monsieur me prend dans ses bras et me met dehors. Il fait froid, je suis tout seul dans cette grande étendue verte que je ne connais pas. J’aboie plaintivement pour signifier mon inconfort. Personne, personne pour me rassurer. Je reste là un bon moment à regarder le ciel et l’herbe qui bouge. J’ai froid. Enfin quelqu’un sort et me passe un truc autour du cou avec une ficelle. Qu’est-ce que c’est ? Je tire, je ne peux pas partir. On m’appelle, alors j’avance, mais je ne comprends pas. J’ai peur. Je me retrouve pour la deuxième fois de la journée dans cette drôle de « boîte qui roule ». J’ai peur, je couine, une dame me caresse : j’ai donc raison d’avoir peur. La boîte s’arrête et je me retrouve par terre sur un sol jaune… Qu’est-ce que c’est ? J’apprendrai plus tard qu’il s’agit de sable. Et là, on va marcher, marcher… Je ne peux pas sentir le sol, un enfant tire sur la ficelle pour que je cours. Enfin, quelqu’un me prend dans les bras. Je retourne dans ce truc qui roule et on arrive dans ce qui est ma nouvelle maison. Un peu plus tard, quelqu’un vient me donner à manger. Il était temps : j’ai faim, je suis fatigué. C’est bon, mais ce n’est pas ce qu’on me donnait avant avec mes frères et sœurs. Les humains partent. On me laisse enfin dormir. Les bruits, les lumières s’éteignent; je me retrouve tout seul. J’ai peur, j’aboie, personne ne vient, je me sens seul. Je couine une bonne partie de la nuit, jusqu’à ce que finalement épuisé et solitaire, je m’endorme. Pour les humains, c’était Noël, jour de joie et de fête. Pour moi, le chien de Noël, mes plus beaux cadeaux auraient été : calme, tolérance et compréhension… Auteur : Audrey Watrigant |
Déposé par Biscuit le 19/12/2015Que la magie de Noël transforme votre foyer en un havre de paix, où règnent bonheur et gaieté ! Je vous souhaite un excellent Noël, rempli d’amour et d’amitié. |
Déposé par colombine67 le 18/12/2015Le Noël de Chien Perdu Il faisait très froid, ce soir-là. Dans les maisons, les enfants étaient contents : cette nuit, le Père Noël allait leur apporter des jouets. C'est dommage, il n'y a pas de Père Noël pour s'occuper des animaux, et cette nuit, comme les autres nuits, Chien Perdu allait avoir très froid. Il marchait le long de la route, sans savoir où aller. Soudain, il aperçut une maison. Chien Perdu s'approcha et, sans faire de bruit, se glissa dans le garage. A peine était-il entré que quelqu'un vint fermer la porte, sans voir le chien caché derrière la voiture. Chien Perdu était content car il n'avait plus froid. Il se coucha pour dormir, mais, au bout d'un moment, de délicieuses odeurs vinrent lui chatouiller les narines. Il ne put s'empêcher de venir renifler sous la porte qui conduisait à la cuisine : là, tout près de lui, derrière la porte, on parlait, on riait, on mangeait. Chien Perdu aurait bien voulu faire partie de la fête, mais il savait qu'on ne voudrait pas de lui. Tristement, il revint se coucher derrière la voiture et essaya d'oublier qu'il avait très faim. Au bout d'un très long moment, Chien Perdu se rendit compte qu'il n'entendait plus de bruit. Il vint écouter près de la porte : non, vraiment, il n'y avait plus personne. Alors il se dressa sur ses pattes de derrière, appuya les pattes de devant sur la poignée de la porte, et entra dans la cuisine. Les habitants de la maison devaient être bien fatigués : ils étaient partis se coucher sans rien ranger. Sur la table, ils avaient laissé des assiettes avec des restes de dinde, des restes de bûche. Chien Perdu n'hésita pas : il posa les deux pattes sur la table et, à grands coups de langue, il nettoya les assiettes ! Mais, tout à coup, crac ! Il fait tomber une assiette qui se casse en mille morceaux avec un bruit terrible. Pourvu qu'il n'ait réveillé personne ! Il écoute, il écoute... et il entend des pas. Son cœur se met à battre très fort : quelqu'un arrive, quelqu'un va le battre parce qu'il est entré sans permission et va le chasser dans la nuit froide. La lumière s'allume : un petit garçon regarde Chien Perdu et Chien Perdu regarde le petit garçon. - J'ai entendu du bruit, dit le petit garçon, j'ai cru que c'était le Père Noël, et c'était toi ! Comment es-tu entré ? Tu es venu avec le Père Noël ? Le petit garçon va dans le salon et Chien Perdu se dépêche de le suivre. Là, au pied du sapin, il y a plein de cadeaux. - Je ne sais pas si tu es venu avec le Père Noël ou si tu es venu tout seul, lui dit le petit garçon en le caressant, mais je voudrais bien te garder. J'ai une idée, couche-toi là, au milieu des cadeaux, et sois sage ! Le lendemain, le petit garçon se réveilla de bonne heure et vint frapper à la porte de ses parents. Ils auraient bien voulu dormir encore, mais il les embêta tellement qu'ils se levèrent. Ils descendirent tous ensemble au salon et virent Chien Perdu couché sous le sapin, au milieu des cadeaux. - D'où sort ce chien ? s'écria le papa. - J'espère qu'il n'a pas de puces ! s'exclama la maman. - Oh ! qu'il est beau ! s'écria le petit garçon. C'est un cadeau du Père Noël ! Les parents voulurent chasser Chien Perdu, mais il les regarda d'un air si doux, si gentil qu'ils n'osèrent pas. Et puis, c'était un cadeau du Père Noël, et il ne faut jamais contrarier le Père Noël. C'est ainsi qu'une nuit de Noël, Chien Perdu retrouva une famille. |
Déposé par lili2248 le 17/12/2015💖 💖 68 💖 💖 **** Sur ton chemin **** Un triste jour , tes yeux ce sont refermés et me plongent dans une nuit sans fin Je n'imaginais pas que notre bonheur ce briserais telle une vague sur un rocher Ne laissant derrière elle que son écume On c’était rien promis mais on savait ce comprendre J'entends ta présence, dans cette écume blanche celle d’un ange…te perçois vers moi Je sais que tu es là et peu importe la pensée des uns et des autres Qui sont ces gens qui crient et parlent de malheur ? On me donne des paroles, on me raconte un peu de toi Mais tu es bien trop grand pour tenir dans si peu de mots C'est toi qui es ma force et m'empêches d'avoir peur …d’avoir pleurs N'y a-t-il donc pas déjà eu assez de solitude dans la pensée des hommes !!! D'avant quand tu n'étais pas là …je savais pas …je ne savais rien… Maintenant tout est clair dans des moments sombres Jamais tu ne partirais de mon Cœur qui resteras près de toi Mes êtres cher… au cieux qui sont partis Ne pense pas toujours la détresse qu'ils ont laissée en moi Les hommes ne savent pas mais les chiens sentent cela Ces fleurs sans Pleurs que je dépose sur une pierre à ton nom sans nom Je sais que tu les vois, les sens, je sais tes habitudes. Je creuse comme toi la terre, un jour notre chemin va ce rejoindre à nouveau ….ensemble tu verras on va devenir vieux… Le temps usure tout sur sont passage…. Mais je serais la t’elle une montagne face aux quatre Vents Je déteste les pleurs mais j'aime tes abois de joie ... Alors j'inventerai ce qui n'existe pas… penserai ce qui es Toi Pour toi mon beau soleil, au milieu des étoiles magicien de ma vie dont tu chasses le gris. Même si je hurle ton nom et que tu ne reviens pas je te chercherais partout Je sais, tu y serais déjà en ce jardin si loin d’où l'on n'en revient pas Un jour Je suivrais tes pas sur ton chemin, alors je serais la… Tout près de Toi à Tes côtés. Mon Chien **** Mes Pensées… Phil **** 💖 ❤ 💖 , |
Déposé par colombine67 le 17/12/2015N’attendons pas un sourire pour être gentil… N’attendons pas d’être aimé pour aimer… N’attendons pas d’être seul pour reconnaître la valeur d’un ami… N’attendons pas le meilleur emploi pour commencer à travailler… N’attendons pas d’avoir beaucoup pour partager un peu… N’attendons pas l’échec pour nous rappeler un conseil… N’attendons pas la douleur pour croire à la prière… N’attendons pas d’avoir le temps pour rendre service… N’attendons pas la peine de l’autre pour nous excuser, ni la séparation pour nous réconcilier… Non, n’attendons pas, parce que comme nous ne savons pas combien de temps il nous reste à vivre… nous pourrions passer à côté de beaucoup de choses !!! |
Déposé par choupinou le 16/12/2015Le sapin de noël (ou le petit sapin sous la neige) Le petit sapin sous la neige Rêvait aux beaux étés fleuris. Bel été quand te reverrai-je ? Soupirait-il sous le ciel gris. Dis moi quand reviendra l’été ! Demandait-il au vent qui vente Mais le vent sans jamais parler S’enfuyait avec la tourmente. Vint à passer sur le chemin Un gaillard à grandes moustaches Hop là ! en deux coups de sa hache, A coupé le petit sapin. Il ne reverra plus l’été , Le petit sapin des montagnes, Il ne verra plus la gentiane, L’anémone et le foin coupé. Mais on l’a paré de bougies, Saupoudré de neiges d’argent. Des clochettes de féerie Pendent à ses beaux rameaux blancs. Le petit sapin de noël Ne regrette plus sa clairière Car il rêve qu’il est au ciel Tout vêtu d’or et de lumière. Pernette Chaponnière pour toi mon Punky j'espère qu'il en ai de même la haut dans ton jardin ou tu vis désormé ,vêtu d'or et de lumière,d'amour et de joie,de friandises ,de jouets,entourait de tous tes ami(e)s, |
Déposé par colombine67 le 16/12/2015 Lorsque les bergers s'en furent allés et que la quiétude fut revenue, l'enfant de la crèche leva sa tête et regarda vers la porte entrebâillée. Un jeune garçon timide se tenait là... tremblant et apeuré. - Approche, lui dit Jésus. Pourquoi as-tu si peur ? - Je n'ose... je n'ai rien à te donner, répondit le garçon. - J'aimerais tant que tu me fasses un cadeau, dit le nouveau-né. Le petit étranger rougit de honte. - Je n'ai vraiment rien... rien ne m'appartient ; si j'avais quelque chose, je te l'offrirais... regarde. Et en fouillant dans les poches de son pantalon rapiécé, il retira une vieille lame de couteau rouillée qu'il avait trouvée. - C'est tout ce que j'ai, si tu la veux, je te la donne. - Non, rétorqua Jésus, garde-la. Je voudrais tout autre chose de toi. J'aimerais que tu me fasses trois cadeaux. - Je veux bien, dit l'enfant, mais que puis-je pour toi ? - Offre-moi le dernier de tes dessins. Le garçon, tout embarrassé, rougit. Il s'approcha de la crèche et, pour empêcher Marie et Joseph de l'entendre, il chuchota dans l'oreille de l'enfant Jésus : - Je ne peux pas... mon dessin est trop moche... personne ne veut le regarder ! - Justement, dit l'enfant dans la crèche, c'est pour cela que je le veux... Tu dois toujours m'offrir ce que les autres rejettent et ce qui ne leur plaît pas en toi. Ensuite, poursuivit le nouveau-né, je voudrais que tu me donnes ton assiette. - Mais je l'ai cassée ce matin ! bégaya le garçon. - C'est pour cela que je la veux... Tu dois toujours m'offrir ce qui est brisé dans ta vie, je veux le recoller... Et maintenant, insista Jésus, répète-moi la réponse que tu as donnée à tes parents quand ils t'ont demandé comment tu avais cassé ton assiette... Le visage du garçon s'assombrit, il baissa la tête honteusement et, tristement, il murmura : - Je leur ai menti... J'ai dit que l'assiette m'avait glissé des mains par inadvertance ; mais ce n'était pas vrai... J'étais en colère et j'ai poussé furieusement mon assiette de la table, elle est tombée sur le carrelage et elle s'est brisée ! - C'est ce que je voulais t'entendre dire ! dit Jésus. Donne-moi toujours ce qu'il y a de méchant dans ta vie, tes mensonges, tes calomnies, tes lâchetés et tes cruautés. Je veux t'en décharger... Tu n'en as pas besoin... Je veux te rendre heureux et sache que je te pardonnerai toujours tes fautes. Et en l'embrassant pour le remercier de ces trois cadeaux, Jésus ajouta : - Maintenant que tu connais le chemin de mon Coeur, j'aimerais tant que tu viennes me voir tous les jours... Anonyme |
Déposé par poutounou le 15/12/2015Dans la vie il y a plein de « petits riens » qui nous font tant de bien….. * DES PETITS RIENS * Les petits riens qui font les grands moments Qui vont qui viennent, quand ils ont le temps Les atomes de vie qu'on attrape en rêvant * Ces petits riens ont tous quelque chose Quelque chose en commun qui nous métamorphose Ces éclairs de vie qui courent entre les choses * Saurions-nous les retrouver ? Voudrais-tu les partager ? Ces moments de vérité * Les petits détails qui ne paient pas de mine Les petits bouts de gestes qui soudain illuminent Un souffle entre les mots, un rire qui culmine * Ces petits riens qui font nos grands moments Ils vont ils viennent ils prennent tout leur temps Et plus on les désire, plus on les attend. * Boris |
Déposé par Biscuit le 15/12/2015Je me souviens de toi Au jour du sans lendemain J'ai gardé le souvenir de mes mains Qui te pressais tout contre moi Tu ne disais mot, pourtant je t'écoutais Seul le silence, se faisait entendre Mes larmes perlées, nos âmes s'entretenaient La tristesse de ce moment, se faisait comprendre Tu me disais, de ne pas en vouloir à Dame Nature Que je devais poursuivre mon chemin Et que tu serais toujours là pour l'aventure Qu'il n'y aurait pas de sans lendemain Tu parcourais déjà les étoiles Que mes entrailles hurlaient encore Mon visage portait le voile La souffrance, le vide, emplissaient mon corps La souffrance ne m'a pas quittée Mais le vide s'est apaisé Dans mon coeur, tu es resté Sans jamais pouvoir, te caresser..., Pour Punky,Maryem très proche par la pensée. |
Déposé par colombine67 le 15/12/2015Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête, Nous nous croirons encor de jeunes amoureux, Et je te sourirai tout en branlant la tête, Et nous ferons un couple adorable de vieux ; Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec de petits yeux attendris et brillants, Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs. Sur le banc familier, tout verdâtre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer ; Nous aurons une joie attendrie et très douce, La phrase finissant souvent par un baiser. Combien de fois jadis j'ai pu dire : « Je t'aime ! » Alors, avec grand soin, nous le recompterons ; Nous nous ressouviendrons de mille choses, même De petits riens exquis dont nous radoterons. Un rayon descendra, d'une caresse douce, Parmi nos cheveux blancs, tout rose, se poser, Quand, sur notre vieux banc tout verdâtre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer. Et, comme chaque jour je t'aime davantage - Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain -, Qu'importeront alors les rides du visage, Si les mêmes rosiers parfument le chemin. Songe à tous les printemps qui dans nos coeurs s'entassent, Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens, Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens ; C'est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l'âge. Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main, Car, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage : Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain ! Et de ce cher amour qui passe comme un rêve Je veux tout conserver dans le fond de mon coeur, Retenir, s'il se peut, l'impression trop brève, Pour la ressavourer plus tard avec lenteur ; J'enferme ce qui vient de lui comme un avare, Thésaurisant avec ardeur pour mes vieux jours ; Je serai riche alors d'une tristesse rare, J'aurai gardé tout l'or de mes jeunes amours ; Ainsi, de ce passé de bonheur qui s'achève, Ma mémoire parfois me rendra la douceur, Et de ce cher amour qui passe comme un rêve J'aurai tout conservé dans le fond de mon coeur. Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête, Nous nous croirons encore aux heureux jours d'antan, Et je te sourirai tout en branlant la tête, Et tu me parleras d'amour en chevrotant ; Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec des yeux remplis des pleurs de nos vingt ans... Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs ! Rosemonde Gérard |
Déposé par colombine67 le 14/12/2015Dans quinze jours Nous fêterons la douce nuit. La nuit synonyme d'amour Celle où l'unique étoile luit. Certains partiront en voyage Et d'autres resteront chez eux On donnera comme des sages Des cadeaux aux enfants heureux. Moi je voudrais que dans vos coeurs Quoi que vous fassiez ce jour là Règnent la joie et le bonheur Et donc je vous envoie pour ça : Une pluie de feuilles dorées Portant dans leur douces nervures A chaque fois mon plus beau souhait : Qu'en vous le bel amour perdure. Que vos yeux ne voient que le beau Que votre coeur s'ouvre un peu plus Il faut chanter toujours plus haut De cette vie soyez goulus ! Aimez à travers et à tort Aimez sans cesse comme des fous Quoi qu'il arrive aimez encore Il n'y a vraiment rien de plus doux Je vous laisse en compagnie De votre esprit de votre coeur Car c'est avec eux aujourd'hui Que vous devez croire au bonheur Et je vous envoie pour finir Tous mes souhaits et tous mes soupirs De joie, de rire et de désir De vous voir cette nuit sourire. |
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