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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
55 bougies
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20010 Fleurs
5872 messages
Déposé par colombine67 le 23/12/2016 Depuis deux longs jours, une neige épaisse Implacablement descendait sans cesse, En flocons serrés, du ciel morne et blanc ; Les petits oiseaux voleraient, piaulant, Ayant faim, perdus dans la plaine immense Et transis, gelés, les membres perclus, S'effaraient, ne s'y reconnaissant plus, Il faisait très froid, nul bruit, un silence. Enorme de mort et l'on aurait dit Que tout le hameau dormait engourdi. Au bout du pays, presque à la lisière D'un grand bois sauvage, en un chemin creux, Dans une vilaine et triste chaumière Vivait un bonhomme infirme, très vieux Et très pauvre, avec sa petite Yvette, Une toute frêle et douce fillette D'à peine dix ans. Il ne travaillait Presque plus, trop faible. Et dans sa détresse. Le piteux logis sous la neige épaisse Semblait tout honteux, se dissimulait. Or, c'était Noël, tout au soir, la veille La mignonne Yvette, entendant conter Sur cette nuit-là d'étranges merveilles, S'en était allée en secret porter L'un de ses souliers. Oh ! de cheminée On n'en avait pas dehors, sous l'auvent, Elle s'était dit qu'en l'apercevant Le petit Jésus, faisant sa tournée Avec des joujoux très beaux plein les bras, Très probablement ne l'oublierait pas. Et quand il fit jour, un peu, la fillette Se leva sans bruit et vite alla voir... Or dans le soulier, étroite cachette, Un chardonneret, tout troublé, le soir S'y étant blotti, dormait. Douce et bonne. Elle prit l'oiseaux dans sa main mignonne Et le réchauffa, puis vint lui jeter Un peu de pain blanc, joyeuse et ravie De voir le pauvret renaître à la vie Et tout rassuré, se mettre à chanter. Lors, en le voyant plein de confiance, La petite en eut un bonheur immense Et comprit : pour sûr, c'était le présent que Jésus avait bien voulu lui faire ... Pourquoi pas ?... Dieu garde à toute misère A toute souffrance un baume puissant, Une joie aux moins, bonne et consolante... Celle d'alléger quelque autre douleur Quelque autre infortune encor plus navrante... C'est si doux d'aimer et d'avoir bon coeur. |
Déposé par colombine67 le 22/12/2016Autrefois, quand nous sortions de l’église On souriait, on se donnait tous la main Y’en a même qui se faisait la bise J’étais bien jeune mais je me souviens Noël était la fête de l’amour On redevenait tous de bons voisins Il était enfin arrivé ce grand jour Où dans les cœurs il n’y a que du bien Je me rappelle que durant cette soirée Les gens qui étaient sous le réverbère Parlaient, regardaient la neige tomber C’était si beau, et moi j’adorais l’hiver Noël n’est plus, tout comme mon église On ne voit plus des gens se serrer la main J’aimerais tant qu’on me fasse la surprise Qu’on me ramène à mes temps anciens Cette chanson, Dernier amour de ma vieillesse Fait gonfler mon cœur de Grand-père Me ramène autrefois dans ma jeunesse Mais on ne peut pas revenir en arrière Quand mon Grand-père était en vie Il disait aux enfants le soir de Noël Que sur terre on devenait tous des amis Et que c’était voulu par le ciel Grand-père n’est plus, sa légende non plus Retrouver nos anciens Noëls, on le voudrait-tu Auteur Claude Marcel Breault |
Déposé par colombine67 le 21/12/2016Autrefois à Noël, il y avait moins de lumières Mais on créait une meilleure atmosphère Je me rappelle, on arrivait chez mes Grands-parents Puis on se disait Joyeux Noël en nous embrassant On voyait la table, qui était déjà mise Puis une maison qui était pleine de surprises Même leur chat devenait tout excité C’était d’ailleurs pareil à chaque année On déposait nos habits sur leur lit Là ou se coucheraient les plus p’tits Mon Dieu, que ça sentait bon chez Mamie Cette odeur de chocolats et de pâtisseries Nous les enfants on criait pourtant bien fort Mais à Noël tout semblait insonore On nous laissait nous amuser C’était notre manière de fraterniser Nos oncles, nos tantes, les cousins On sentait tous notre coté humain Puis après avoir fêté, nous être amusé On devait encore, tous nous embrasser Ou parfois, une cousine câliner Elle était tellement belle cette année Les lumières de Noël, étaient dans nos yeux A Noël, on était tous tellement heureux Auteur Claude Marcel Breault |
Déposé par colombine67 le 20/12/2016 Petit Papa Noël Quand tu descendras du ciel, Regarde autour de toi Si tu ne vois pas des petits éloignés de leur toit. Ramène les s’il te plait Près de leurs parents désespérés. Dépose un peu de bonté Dans chaque cheminée que tu vas escalader. Fais que la misère et la guerre N’existent plus sur la terre. Ta tournée terminée, Fatigué de ta journée. Emporte dans ton traîneau, Tous ces vilains bourreaux. Pour que l’année terminée, Tous puissent espérer Une nouvelle année Faite de bonheur et de paix … Papa Noël, ne sois pas surpris D’une lettre envoyée par une mamy Qui souhaite beaucoup de bonheur De chaleur dans les cœurs Et un monde tellement meilleur |
Déposé par colombine67 le 19/12/2016Tu es dans mes pensées pour Noël Voici Noël! Mais toi, tu n'es plus là. De mes yeux, les larmes coulent à cause de notre amour qui s'écroule. car, pour toujours, tu es parti(e) en emportant avec toi un peu de ma vie Depuis un certain que tu n'es plus avec moi. Mais dans mes pensées et dans mon cœur, Je te souhaite un Joyeux Noël Et beaucoup de bonheur! |
Déposé par poutounou le 18/12/2016Quelle bonne idée ! En plus, ils font ce qu'ils adorent faire : chasser... * Dans l’Etat de Washington, aux Etats-Unis, des chats de refuges jugés inadoptables sont placés dans des fermes où ils font carrière comme chasseurs de rongeurs. Une reconversion organisée par le refuge SpokAnimals afin de leur éviter l’euthanasie. * Près de 1700 chats ont déjà été sauvés grâce au refuge de la ville de Spokane, aux Etats-Unis, depuis la création en 2009 du Farm Livin' Program (Programme de vie à la ferme) du refuge SpokAnimals. Les chats issus de refuges sont, après avoir été stérilisés et vaccinés, remis gratuitement à des propriétaires de fermes ou tout autres propriétés sujettes à des invasions de rongeurs. Un programme permettant à l’animal d’exercer ses talents innés de chasseur mais aussi de trouver enfin un foyer. * SpokAnimals, qui ne se limite pas seulement à l’Etat de Washington, récupère des animaux à travers tout le pays. A terme, l’organisation souhaiterait réduire à zéro le taux d’euthanasie dans les refuges. Elle estime qu’aujourd’hui, “environ trois millions d’animaux sont euthanasiés aux Etats-Unis chaque année, et plus de la moitié sont des chats". * Kate en possède cinq dans sa ferme, tous appartenant au Farm Livin' Program. "Chaque chat a son propre territoire, son périmètre à lui", explique-t-elle dans une vidéo tournée par SpokAnimals et Greater Good. On peut y voir les petits félins gambader librement sur leurs terres. Heureux et bichonnés, ils sont nourris aux croquettes et reçoivent même occasionnellement une boîte de thon. * Réintroduire dans des fermes les chats dont personne ne veut, c’est leur offrir un futur autre que la mort. |
Déposé par colombine67 le 18/12/2016C'est Noël tous les jours C'est Noël chaque fois qu'on essuie une larme dans les yeux d'un enfant C'est Noël chaque fois qu'on dépose les armes et chaque fois qu'on s'entend C'est Noël chaque fois qu'on arrête une guerre et qu'on ouvre les mains C'est Noël chaque fois qu'on force la misère à reculer plus loin C'est Noël sur la terre chaque jour Car Noël, mon frère, c'est l'Amour C'est Noël quand nos coeurs oubliant les offenses sont vraiment fraternels C'est Noël quand enfin se lève l'espérance d'un amour plus réel C'est Noël quand soudain se taisent les mensonges faisant place au bonheur C'est Noël dans les yeux du pauvre qu'on visite sur son lit d'hôpital C'est Noël dans le coeur de tous ceux qu'on invite pour un bonheur normal C'est Noël dans les mains de celui qui partage aujourd'hui notre pain C'est Noël quand le gueux oublie tous les outrages et ne sent plus sa faim C'est Noël sur la terre chaque jour Car Noël, mon frère, c'est l'Amour Camille Labrecque |
Déposé par Biscuit le 17/12/2016Cher Papa Noël, Nous sommes déjà le 18 décembre, alors il est grand temps que je t'écrive mes souhaits de Noël. Je voudrais que tu redonnes la chaleur d'un foyer aux chats et aux chiens qui ont été abandonnés, afin qu'ils puissent manger à leur faim, se reposer sur les genoux d'un bon maître ou jouer à ses pieds... Je voudrais que tu dises aux Hommes de leur apporter le meilleur, qu'ils ne restent pas indifférents à la misère et à la détresse animale, qu'ils comprennent enfin que les animaux ne sont ni des objets, ni des jouets que l'on jette... Alors si un petit enfant te demande un chaton ou un chiot sous le sapin, de grâce, apporte-lui comme cadeau, une poupée ou un ours en peluche. J'espère, Père Noël, que tu entendras ma prière, dans ton beau pays de Laponie. Prends-bien soin de tes rennes et Joyeux Noël à toi aussi ! |
Déposé par colombine67 le 17/12/2016 Une larme sur le mendiant aux mains vides et écorchées, que je n'ai pas reconnu comme frère. Une larme sur ce vieillard aux mains plissées et tremblantes, qui autrefois était mon père. Une larme sur ce petit enfant au corps marqué par les coups. Je n'ai pas su l'aimer cet être. Une larme sur cette jeune femme qui s'enfonce dans le désespoir. J'ai fait la sourde oreille à son cri. Une larme sur tous les jeunes qui ont au coeur des souffrances. Je n'ai pas reconnu leur besoin. Une larme sur la surface de la terre, un jardin où se loge tous les humains. Même moi, qui n'en a jamais assez. Ne cesse pas Seigneur de verser une larme. Aujourd'hui, je suis dans le désarroi et le sang, mais demain reviendront mes lacunes et mes imperfections. Enseigne-moi le chemin de ton visage, pour que je puisse essuyer tes larmes. |
Déposé par colombine67 le 16/12/2016Le pouvoir de Grandir Tu as le pouvoir de rire et aussi celui de pleurer. Tu as le pouvoir de dire le fond de ta pensée. Tu as le pouvoir de changer ta propre destinée. Mais tu n’as pas le pouvoir de revivre ton passé, ni celui de prévoir tout ce qui va t’arriver. Avance pas à pas vers un monde que tu choisiras avec tes rêves, tes désirs et tes réalités, en sachant que ton corps peut te limiter. Mais n’oublie pas que plus tu avanceras, plus tu t’éveilleras et plus tu grandiras. Alors cesse d’avancer en regardant derrière toi et fais rejaillir avec intensité toutes les qualités de ton Moi Auteur Inconnu) |
Déposé par colombine67 le 15/12/2016Si la note disait : « Ce n’est pas une note qui fait une musique » …il n’y aurait pas de symphonie. Si le mot disait : « Ce n’est pas un mot qui peut faire une page » …il n’y aurait pas de livre. Si la pierre disait : « Ce n’est pas une pierre qui peut monter un mur » …il n’y aurait pas de maison. Si la goutte d’eau disait : « Ce n’est pas une goutte d’eau qui peut faire une rivière » …il n’y aurait pas d’océan. Si le grain de blé disait : « Ce n’est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ » …il n’y aurait pas de moisson. Si l’homme disait : « Ce n’est pas un geste d’amour qui peut sauver l’humanité » …il n’y aurait jamais de justice et de paix, de dignité et de bonheur sur la terre des hommes. Comme la symphonie a besoin de chaque note, Comme le livre a besoin de chaque mot, Comme la maison a besoin de chaque pierre, Comme l’océan a besoin de chaque goutte d’eau, Comme la moisson a besoin de chaque grain de blé, L’humanité toute entière a besoin de toi, Là où tu es, Unique, Et donc irremplaçable.Michel QUOIST |
Déposé par colombine67 le 14/12/2016Une légende raconte qu’au commencement du monde, quand Dieu décida de créer la femme, il trouva qu’il avait épuisé tous les matériaux solides dans l’homme et qu’il ne disposait plus de rien. Devant le dilemme et après une profonde méditation, voilà ce qu’il fit. Il prit la rondeur de la lune, les suaves courbes des vagues, la tendre adhérence du liseron, le tremblant mouvement des feuilles, la sveltesse du palmier, la teinte délicate des fleurs, l’amoureux regard du cerf, la joie du rayon du soleil et les gouttes des pleurs des nuages, l’inconstance du vent et la fidélité du chien, la timidité de la tourterelle et la vanité du paon, la suavité de la plume du cygne et la dureté du diamant, la douceur de la colombe et la cruauté du tigre, l’ardeur du feu et la froideur de la neige. Il mélange ces ingrédients si divers, forme la femme et la donna à l’homme. Une semaine après l’homme vint et lui dit : Seigneur, la créature que tu m’as donnée me rend malheureux, elle requiert toute mon attention, ne me laisse jamais seul, bavarde intensément, pleure sans motif, s’amuse à me faire souffrir et je viens te la rendre car JE NE PEUX PLUS VIVRE AVEC ELLE. Bien, répondit Dieu et il prit la femme. Une semaine après, l’homme revint et lui dit : Seigneur, je me sens très seul depuis que je t’ai rendu la créature que tu as faite pour moi, elle chantait et jouait à mon côté, elle me regardait avec tendresse et son regard était une caresse, elle riait et son rire était musique, elle était belle à voir et douce au toucher. Rends-la-moi car JE NE PEUX PAS VIVRE SANS ELLE. |
Déposé par poutounou le 13/12/2016Quelle belle histoire ! Elle nous démontre que tout est possible avec "un peu" d'Amour... * Arrivé au refuge « Des Animaux et des Hommes » à Bouguenais (44) en septembre 2009, Saxo, un berger allemand de 8 ans, n’a pas été gâté par la vie : « Il n’était plus nourri ni abreuvé depuis des semaines, témoigne Yannick Ferrand, présidente de cette structure soutenue par la Fondation 30 Millions d’Amis.Nous n’avons malheureusement pas pu sauver la femelle qui vivait avec lui ». En revanche, Saxo, dont la garde est confiée au refuge, s’en sort. Mais ses séquelles seront nombreuses : de graves lésions sur la peau, et une profonde apathie qui décourage les familles venues pour adopter... « Il était morose, agressif avec les autres animaux. Et avec les humains, il devenait de plus en plus indifférent. Nous étions très inquiets pour son équilibre psychique », poursuit Yannick Ferrand. L’équipe du refuge lance cependant un SOS via son site Internet. Et c’est Sandrine, une habitante de l’île d’Yeu (85), qui va sortir l’animal de son mal-être. * En janvier 2011, celle qui a été touchée par cet appel au secours arrive à Bouguenais pour adopter Saxo : « Le trajet du retour l’a beaucoup fatigué, et il a passé les trois premiers jours à dormir sur son coussin », raconte cette jeune femme amoureuse des animaux. Peu à peu, Saxo va trouver sa place et « adopter » à son tour sa nouvelle maîtresse : « Il me suit partout, un vrai pot-de-colle, indique Sandrine. Il adore se promener, et dort dans notre chambre… par terre, mais toujours de mon côté ! » dit-elle en riant. * La belle histoire ne s’arrête pas là. Alors que quelques mois plus tard, elle amène Saxo dans son ancien refuge afin de le montrer à toute l’équipe, Sandrine remarque un étrange manège : Saxo s’approche de l’un des box et lèche une petite boule de poils noire à travers le grillage. « Il est si peu démonstratif que cela a surpris tout le monde » se souvient-elle. Lorsque Petit Théo - un teckel à poils durs âgé de 4 mois - est mis en liberté, il se précipite dans les pattes de Saxo qui... ne dit rien, alors qu’il ne supportait pas les autres chiens quelques mois auparavant. Sandrine comprend vite que ces deux-là se comprennent et ne voudra plus les séparer. * Aujourd’hui, Saxo et Petit Théo coulent des jours heureux sur l’île d’Yeu : « Saxo se considère comme l’aîné et prend son rôle très à cœur, précise sa maîtresse. Il reste casanier et pépère, mais il a retrouvé sa joie de vivre. » Et s’il n’est toujours pas un monstre d’affection, l’animal va néanmoins chercher quelques caresses... « Mais j’ai l’impression qu’il fait ça pour me faire plaisir », s’amuse Sandrine. Le berger allemand, qui souffre d’arthrose, va régulièrement chez un naturopathe pour être soulagé de ses douleurs. * La Fondation 30 Millions d’Amis salue la seconde chance qui a été offerte à Saxo. Une belle histoire qui montre une fois de plus qu’avec de la patience et beaucoup d’amour, tout est possible. « Les animaux des refuges nous rendent toujours au centuple ce qu’on leur donne », conclut Sandrine |
Déposé par colombine67 le 13/12/2016Je ne veux pas savoir ce que tu fais pour gagner ta vie. Je veux savoir ce qui te passionne et si tu as le courage de réaliser tes rêves, Je ne veux pas savoir quel âge tu as. Je veux savoir si tu peux tout risquer pour l’amour, pour tes rêves, pour l’aventure de la vie. Je ne veux pas savoir si tu dis la vérité ou non. Je veux savoir si tu peux supporter le poids d’une accusation et ne pas trahir ton âme, si tu es fidèle et si je peux ainsi mettre ma confiance en toi. Je ne veux pas savoir où tu habites ni combien d’argent tu gagnes. Je veux savoir si tu peux te relever après avoir connu le désespoir, courbaturé et meurtri jusqu’aux os , et si tu peux ensuite aider tes enfants. Je ne veux pas savoir qui tu es ni d’où tu viens. Je veux savoir si tu peux te tenir au milieu du feu avec moi, sans reculer. Je ne veux pas connaître l’objet de tes études. Je veux savoir ce qui t’a permis de continuer quand tout allait mal. Je veux savoir si tu peux être seul avec toi-même, et si tu apprécies ta compagnie dans les moments de solitude. Auteur inconnu |
Déposé par colombine67 le 12/12/2016 Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Accorde-moi seulement quelques instants Accepte ce que je vis, ce que je sens, Sans réticence, sans jugement. Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Ne me bombarde pas de conseils et d’idées Ne te crois pas obligé de règler mes difficultés Manquerais-tu de confiance en mes capacités? Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler N’essaie pas de me distraire ou de m’amuser Je croirais que tu ne comprends pas L’importance de ce que je vis en moi Écoute-moi, s »il te plaît, j’ai besoin de parler Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas Voudrais-tu que ta moralité Me fasse crouler de culpabilité Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Ne te crois pas non plus obligé d’approuver Si j’ai besoin de me raconter C’est simplement pour être libéré Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler N’interprète pas et n’essaie pas d’analyser Je me sentirais incompris et manipulé Et je ne pourrais plus rien te communiquer Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Ne m’interromps pas pour me questionner N’essaie pas de forcer mon domaine caché Je sais jusqu’où je peux et veux aller Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Respecte les silence qui me font cheminer Gardes-toi bien de les briser C’est par eux bien souvent que je suis éclairé Alors maintenant que tu m’as bien écouté Je t’en prie, tu peux parler Avec tendresse et disponibilité À mon tour, je t’écouterai |
Déposé par Biscuit le 11/12/2016Souhaiter un joyeux Noël C’est donner à la pelle Pas rien qu’à sa famille Mais aux gens sans famille Oublier les discordes Et tendre une jolie corde A ceux qui n’ont plus rien Qu’on traite moins que rien Apporter des mots doux Qui apaisent de tout Et partager surtout Un endroit chaud et doux Souhaiter un beau Noël C’est mettre une chandelle Qui fait qu’on se rappelle Que la vie doit être belle Pour tous les êtres humains Qui sont dans le chagrin. |
Déposé par colombine67 le 11/12/2016Comme un arbre, l’amitié grandit au fil des ans. Ses racines prennent de la vigueur et lui permettent de devenir grande et forte. C’est de cette façon que la nôtre s’est développée, et malgré nos hauts et nos bas, nous avons vu grandir ce partage de notre quotidien. Aujourd’hui, pour s’apercevoir que l’autre a besoin d’un peu d’attention ou simplement de notre présence, nul n’est besoin de se parler. Je remercie la vie de t’avoir mis sur ma route; vraiment, ce fut l’un des plus beaux cadeaux qu’elle m’a fait. Tout comme moi, tu es un arbre qui a essuyé bien des tempêtes et des ouragans. Contre vents et marées, nous avons toujours su garder le moral, apprécier le retour du soleil et régénérer nos forces dans les moments d’accalmie. Le plus merveilleux pour moi est de voir que nous sommes encore côte à côte. Comme deux vieux arbres, nous sommes toujours empreints de la même vigueur et du même besoin de survie qui nous ont permis de rester debout jusqu’à ce jour. La vie nous réserve sûrement encore bien des surprises, mais rien ne pourra détruire ce merveilleux bien qui nous unit. Continuons à prendre soin des racines de notre AMITIÉ, de façon à ce que nous puissions encore longtemps partager notre quotidien et apprécier chaque jour que nous vivons. (Andrée Lapierre) |
Déposé par colombine67 le 10/12/2016Le bonheur c’est… : de savoir s’émerveiller peu importe son âge de rire de bon coeur en agréable compagnie de savoir dire « je t’aime » de se planifier des moments de tendresse de savoir relever des défis, même si cela fait peur d’avoir assez de grandeur d’âme pour pardonner de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement de regarder un bon film et de laisser libre cours à ses sentiments de regarder ce que j’ai accompli et non ce qu’il me reste à faire d’être maître de soi et non des autres de posséder l’humour nécessaire pour surmonter les difficultés de la vie de reconnaître que le négatif existe, mais de décider de ne pas lui ouvrir la porte. Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie, N’oublie pas de le cultiver Pour qu’Il reste longtemps. Anonyme |
Déposé par colombine67 le 09/12/2016Que si un rien fait souffrir un rien aussi fait plaisir… Que tu peux être semeur d’optimisme, de courage, de confiance… Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres… que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable… Que ton sourire non seulement t’enjolive, mais qu’il embellit l’existence de ceux qui t’approchent… Que tu as des mains pour donner et un coeur pour pardonner… Thomas Merton |
Déposé par poutounou le 08/12/2016Quelle belle initiative ! * Que ce soit en Indonésie ou en Éthiopie, ce sont des ânes et des chevaux qui apportent la lecture aux enfants qui n’y ont pas facilement accès. Des initiatives humanitaires dont l’animal est la pierre angulaire. * Ridwan Sururi vit à Java, en Indonésie, où il s’occupe de chevaux. Mais depuis un an, trois jours par semaine, il harnache l’un d’entre eux pour aller à la rencontre des enfants de l’île et leur apporter des bandes dessinées et des livres d’histoire afin de contribuer, à sa mesure, à l’alphabétisation et à l’accès à la culture. * Cette idée de bibliothèque équestre, baptisée Kuda Pustaka, est née dans la tête d’un ami de Ridwan qui s’est chargé de lui fournir les livres, issus pour beaucoup de dons. Un cheval, des livres… il n’en faut pas plus pour que les enfants de villages isolés attendent désormais avec impatience l’arrivée de cette équipée insolite. Ridwan et Luna, l’un des chevaux qui part à la rencontre des 120 élèves des écoles de l’île, emportent aussi dans leurs paniers des livres pour les adultes qui n’ont pas tardé à exprimer leur envie d’être inclus dans la boucle. Mais leurs choix se portent plus sur des manuels pour cultiver les plantes ou des guides pratiques. * Une initiative similaire existe depuis 2008 en Ethiopie où ce sont des ânes qui tirent une charrette chargée de livres. Yohannes Gebregiorgis, un sexagénaire, s’est engagé dans cette mission d’alphabétisation des habitants de sa région. Aux commandes de sa bibliothèque mobile tirée par deux ânes, il relie deux villages auxquels il apporte livres de mathématiques, de sciences, de contes et d’histoires pour enfants. Lorsqu’elle s’arrête au cœur du village, la carriole est aussitôt entourée d’enfants mais aussi d’adultes qui viennent avec leurs chaises pour assister au spectacle de marionnettes qui participe, à sa manière, à la transmission des savoirs. Ce projet de bibliothèque hippomobile est financé par Plan International, une association humanitaire qui s’engage dans les programmes d’alphabétisation des populations. |
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