|
|
|
|
||||||
Please login to use private mails, adress book and favorite |
20 persons like this page |
Log in to leave flowers, candles and messages |
You are not logged in |
In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
42 candles
|
3930 Flowers
3936 messages
left by spanky on 22/07/2024Ce texte n'est pas de moi.... ---- Choupette n'Ă©tait pas une chienne comme les autres. Elle Ă©tait un chienne de laboratoire et s'est vu offrir une seconde vie grĂące Ă sa famille adoptante. --- Je mâappelais Choupette⊠Je venais de fĂȘter mes 16 ans.. Je suis nĂ©e dans une cage, comme ma maman dâailleurs, comme mes frĂšres et sĆurs, comme mes enfants aussi⊠Jây suis restĂ©e 9 ans et demi.. JusquâĂ ce quâils dĂ©crĂštent que je ne servais plus Ă rien⊠et oui, jâĂ©tais ce quâon appelle un chien de labo . Il paraĂźt que se sont des recherches pour les humains, que les labradors sont tous comme mes copains les beagles, des chiens. --- « adĂ©quats ». Ils mâavaient inoculĂ© la myopathie, ou peut-ĂȘtre que câest ma maman qui mâavait filĂ© cette s*****rie, je ne saurai jamais. Au bout de 9 ans, jâĂ©tais pas morte alors Ă quoi bon continuer des tests sur un chien qui rĂ©siste ?? Ils ont dĂ» considĂ©rer que soit leur traitement Ă©tait efficace, soit jâĂ©tais trop rĂ©sistante⊠bref, leur conclusion mâa sauvĂ© la vie, elle aurait pu ĂȘtre mon arrĂȘt de mort. --- Câest Ă ce moment-lĂ quâune dame du labo a mis une annonce pour me trouver une famille, certainement pour mâĂ©viter la piqure qui les aurait dĂ©barrassĂ©s. Je suis sortie pour la 1Ăšre fois dans lâunivers extĂ©rieur. Quâest-ce que jâai eu peur ! De tout, des humains, des congĂ©nĂšres que je ne connaissais pas, des voitures, des bruits, des mains,⊠--- Je ne connaissais rien Ă rien, jâai du tout apprendre comme un bĂ©bĂ©. A + de 9 ans, si vous saviez comme câest dur . Il parait que la nature se dĂ©barrasse de ce qui ne sert pas, alors je crois que mon cerveau avait Ă©liminĂ© tout ce qui ne mâavait pas servi depuis 9 ans comme courir, monter les escaliers, aboyer, jouer, montrer des sentiments comme la joie, la peur, la tristesse et mĂȘme la douleur. Jâai eu du mal Ă mettre les pattes dans lâherbe, dans lâeau, dans la neige ; Ă faire mes besoins lors des sorties. Mais mes parents mâont tout fait faire, on ne sâest jamais dĂ©couragĂ©s. --- Jâai, toute ma vie, conserver une peur farouche lorsquâon me touchait. Jâai jamais rĂ©ussi Ă communiquer, Ă crĂ©er des liens particuliers avec mes congĂ©nĂšres mĂȘme si, dans mon fort intĂ©rieur, je tenais Ă eux. Je les ai tous aimĂ©s Ă ma façon. Je me suis accrochĂ©e pendant ces 6 ans et demi de vie de sursis, comme je pouvais, comme mes parents et toute ma famille, pouvaient. JâĂ©tais leur « petite autiste ». On avait beaucoup de mal Ă communiquer mais la seule chose dont on Ă©tait sĂ»r, câest quâon sâaimait trĂšs fort et quâon resterait fidĂšles jusquâau bout. Ce bout est arrivĂ© ⊠Jâai fait un incident cardiaque il y a 10 jours, et vu mon Ăąge, jâai pas rĂ©ussi Ă remonter la pente⊠jâai peut-ĂȘtre mĂȘme fait en plus un avc a dit le vĂ©to. Bref, mon corps a lĂąchĂ©, je ne tenais plus debout, jâavais de grosses grosses difficultĂ©s Ă respirer. Je savais depuis 2 jours que je nây arriverais pas, et je lâai fait comprendre Ă mes parents, je ne voulais plus ĂȘtre seule, jâavais trop peur de partir sans eux.. --- VoilĂ , jâespĂšre que la haut, si ça existe ( ??) je retrouverai mon Toto, mon FidĂšle et ma copine Doly, la seule avec qui jâai rĂ©ussi Ă tisser des liens particuliers dâamitiĂ© visibles. --- Au revoir tout le monde, je nâoublierai personneâŠne mâoubliez pas ! ---- |
left by colombine67 on 22/07/2024Pataud Dans ses yeux brillait encore une lueur dâespoir. En compagnon fidĂšle il Ă©tait sĂ»r quâils Ă©taient en train de courir vers lui fous dâinquiĂ©tude. Son crĂąne lui faisait mal, sĆur battait avec peine et cette douleur au creux des reins, dieu quâelle Ă©tait atroce ! Ils sâĂ©taient arrĂȘtĂ©s sur une aire de repos, tout joyeux de pouvoir se dĂ©gourdir les muscles et de calmer leur soif par cette matinĂ©e torride de juillet. Durant le trajet, les enfants nâavaient pas cessĂ© dâhouspiller leur pĂšre : « On arrive quand ? Y aura une piscine ? On va oĂč ? » Il nâavait rĂ©pondu que par bribes, concentrĂ© sur la circulation. Son Ă©pouse somnolait ou elle faisait semblant. AprĂšs un petit dĂ©jeuner copieux, le pĂšre avait tout rangĂ© soigneusement dans le coffre pendant que la maman avait accompagnĂ© les petits diables aux toilettes. Lui avait attendu sagement Ă lâombre de la table en bois Ă©pais. Il sâĂ©tait assoupi. Le claquement des portiĂšres le fit sursauter. Il redressa la tĂȘte, dĂ©jĂ la voiture dĂ©marrait. « Ben et moi ? » pensa-t-il. Les grands yeux Ă©tonnĂ©s des petits qui lui faisaient de grands signes Ă la fenĂȘtre arriĂšre lui donnĂšrent du courage pour se lancer Ă la poursuite du vĂ©hicule. « Câest un jeu » se dit-il, « ils veulent voir combien de temps je mettrai Ă les rattraper, ils vont sâarrĂȘter plus loin et se cacher. » Il galopa de plus en plus vite, sans peur, confiant en lâinnocence de ce nouveau dĂ©fi. CâĂ©tait sans compter avec les bolides hurlants qui le frĂŽlĂšrent. Il en Ă©vita un, puis un autre. Il louvoyait entre les carrosseries Ă©tincelantes sous le soleil de plomb, essayant de ne pas perdre de vue la belle voiture blanche oĂč lâattendait sa couverture Ă©cossaise derriĂšre le siĂšge conducteur. « Quâest-ce qui sâest passĂ© ? SĂ»r, ils se sont arrĂȘtĂ©s et je suis en train de rĂȘver aux pieds du petit Marco. » Il sentit sur lui le souffle rĂ©pĂ©tĂ© des vĂ©hicules qui passaient devant lui. « Il y en a bien un qui va me voir, sâarrĂȘter pour mâaider Ă les retrouver⊠» Il sentait autour de lui le parfum de lâherbe Ă©crasĂ©e qui se mĂȘlait aux vapeurs des Ă©chappements. Le soleil lui sembla moins brĂ»lant, il avait froid tout Ă coup, il ne sentait plus la douleur qui lui taraudait le dos il y avait Ă peine quelques minutes, ou Ă©tait-ce quelques heures⊠? « OĂč sont-ils ? » Son esprit sâĂ©garait, il avait envie de mordre et tenta de relever la tĂȘte. Il se sentait trĂšs faible. « Eh, les petits ! Marco ! Suzy ! Je suis lĂ ! » Il nâentendait plus la circulation que de loin. Lâherbe autour de lui Ă©tait humide Ă prĂ©sent, elle avait changĂ© dâodeur et dĂ©gageait un parfum qui curieusement rĂ©veillait son appĂ©tit. A force de concentration il pu soulever les paupiĂšres et ne vit devant lui que le ciel dâun bleu si intense quâil lui sembla irrĂ©el. Ce fut cette image quâil emporta avec lui au paradis des amis Ă quatre pattes. Il ne comprenait pas pourquoi il se retrouvait lĂ ni oĂč Ă©taient ses maĂźtres, cependant il ne souffrait plus de ses blessures si ce nâest dans son cĆur qui cherchait encore une rĂ©ponse Ă la question quâil se poserait Ă lâinfini. Marie Deluneq |
left by poutounou on 21/07/2024Quâelle est belle cette petite priĂšre de Saint François dâAssise. Câest ce que nos Amours Ă quatre pattes font : Ils nous consolent, nous comprennent et nous aiment surtout⊠!!! * PRIĂRE SIMPLE * Seigneur, faites de moi un instrument de votre paix. LĂ oĂč il y a de la haine, que je mette l'amour. LĂ oĂč il y a l'offense, que je mette le pardon. LĂ oĂč il y a la discorde, que je mette l'union. LĂ oĂč il y a l'erreur, que je mette la vĂ©ritĂ©. LĂ oĂč il y a le doute, que je mette la foi. LĂ oĂč il y a le dĂ©sespoir, que je mette l'espĂ©rance. LĂ oĂč il y a les tĂ©nĂšbres, que je mette votre lumiĂšre. LĂ oĂč il y a la tristesse, que je mette la joie. * Que je ne cherche pas tant Ă ĂȘtre consolĂ©, qu'Ă consoler ; Ă ĂȘtre compris, qu'Ă comprendre ; Ă ĂȘtre aimĂ©, qu'Ă aimer. * âą Car, C'est en donnant, qu'on reçoit ; C'est en s'oubliant, qu'on trouve ; C'est en pardonnant, qu'on est pardonnĂ© ; C'est en mourant, qu'on ressuscite Ă l'Ă©ternelle vie. âą * (Saint François d'Assise) |
left by colombine67 on 21/07/2024Quand ils ont claquĂ© la portiĂšre Il n'a pas compris tout de suite Il a couru longtemps derriĂšre Mais la voiture allait trop vite Et pendant des journĂ©es entiĂšres Il a vu les autos passer Mais vous, auriez-vous fait marche arriĂšre En voyant ce chien sans collier ? Car aprĂšs les premiĂšres caresses Puis quelques mois d'indiffĂ©rence Beaucoup de chiens perdent leur laisse Au dĂ©but des grandes vacances⊠Comme un objet que l'on jette Quand il n'est plus au goĂ»t du jour Il sera remplacĂ© peut-ĂȘtre Par un chien plus jeune au retour⊠Le chien abandonnĂ© en Ă©tĂ© par ses maĂźtres Flaire toujours la route et fait des kilomĂštres Il traverse les villages et s'approche des enfants Qui n'osent le caresser de peur qu'il soit mĂ©chant, De peur qu'il soit mĂ©chant Il n'a pas oubliĂ© ses maĂźtres Depuis le jour qu'il vagabonde Et pour les retrouver peut-ĂȘtre Il ira jusqu'au bout du monde Il n'a plus d'Ăąge et plus de race Qu'importe comment il s'appelle Mais Ă le voir suivre leurs traces Moi, je vais l'appeler FidĂšle Le chien abandonnĂ© en Ă©tĂ© par ses maĂźtres Sur le bord d'un fossĂ© vaut bien que l'on s'arrĂȘte Qu'on ouvre sa portiĂšre pour le faire monter Pour qu'un jour en Ă©tĂ© il n'y ait plus jamais De chien abandonnĂ©. |
left by spanky on 20/07/2024"Je déménage je ne peux pas emmener mon chien avec moi" « Le bébé est allergique » "Je suis trop occupé pour lui" "Mon propriétaire ne veut pas de chiens" --- Celui-ci. C'est ici que ton chien finit. Je suis fatigué des excuses des gens. J'en ai marre que les chiens finissent morts sur le sol du refuge. Je suis fatigué. Un chien est une responsabilité à vie. --- Un engagement de plus de 10 ans. Ce chien que vous avez envoyé à la fourriÚre pour n'importe quelle excuse, vous a fait confiance et vous a aimé. Pas d'excuses. Je ne veux pas l'entendre. --- Réfléchissez à deux fois avant de trouver une petite excuse insignifiante sur la raison pour laquelle vous devriez abandonner votre chien. Si vous devez abandonner un chien, faites un effort sincÚre pour lui trouver un foyer aimant et pour toujours. --- Soyez une meilleure personne. Fais mieux que ça ! Les chiens ne sont pas jetés ----- |
left by colombine67 on 19/07/2024C'est dans l'aube chĂšre Ă Verlaine Que tu courais notre domaine Humant l'air des quatre saisons Odeurs de thym et de bruyĂšre. Sous tes pattes fraĂźches lĂ©gĂšres S'Ă©levaient comme une oraison, Berger des landes familiĂšres Tu vivais digne et solitaire. Animal douĂ© de raison J'Ă©cris ce jour anniversaire OĂč tu reposes sous la terre A deux pas de notre maison Jour aprĂšs jour il faut l'admettre Voir ceux qu'on aime disparaĂźtre C'est ce qui fait vieillir trop tĂŽt. Au paradis des chiens peut-ĂȘtre Ton long museau Ă la fenĂȘtre Tu nous accueilleras bientĂŽt. Au triple galop caracole, Je vois tes pattes qui s'envolent, Chevauchant l'herbe et les nuĂ©es. Le vent siffle dans ton pelage, Vole vole mon loup sauvage Comme au temps des vertes annĂ©es. Jean Ferrat |
left by spanky on 18/07/2024Le Paradis des animaux (de Paulo Coelbo) ----- Un homme, son cheval et son chien cheminaient sur une route.                 Alors qu'ils passaient prĂšs d'un arbre gigantesque, un éclair les frappa, les tuant instantanĂ©ment.             Mais le voyageur ne se rendit pas compte qu'il avait quittĂ© ce monde et continua Ă cheminer, accompagnĂ© de ses animaux.            ---      Parfois, les morts prennent quelque temps pour se rendre compte de leur nouvel Ă©tat...            ---          Le chemin Ă©tait trĂšs long; ils devaient gravir une colline, le soleil frappait fort et ils Ă©taient en sueur et assoiffĂ©s.                                A un virage de la route, ils virent un magnifique grand portail, en marbre, qui conduisait Ă une place            pavĂ©e de blocs d'or, au centre de laquelle s'Ă©levait une fontaine d'oĂč coulait une eau cristalline.           Le voyageur s'adressa Ă l'homme qui surveillait l'entrĂ©e.                 --- "Bonjour;"                 ---      "Bonjour", rĂ©pondit le gardien.             ---              -Quel est donc ce lieu, tellement beau?"                  ---             "C'est le ciel."  ---                            "Qu'il est bon d'ĂȘtre arrivĂ©s au ciel, nous avons une telle soif !"              ---  Entrez donc et buvez Ă volontĂ©." Le gardien indiqua la fontaine. ---                  "Mon cheval et mon chien, aussi, ont soif." ---            "Je suis dĂ©solĂ©", dit le gardien, "mais ici l'entrĂ©e est interdite aux animaux."           --- L'homme fut profondĂ©ment déçu: sa soif Ă©tait grande, mais il n'aurait jamais bu seul. Il remercia le gardien et poursuivit sa route. --- AprĂšs avoir cheminĂ© longuement sur la colline, le voyageur et les animaux arrivĂšrent en un lieu dont l'entrĂ©e Ă©tait constituĂ©e d'une vieille porte, qui s'ouvrait sur un sentier de terre battue, bordĂ©e d'arbres.                A l'ombre de l'un de ceux-ci, un homme qui portait un chapeau, Ă©tait Ă©tendu; il Ă©tait probablement endormi.               --- "Bonjour", dit le voyageur. --- L'homme fit un signe de la tĂȘte. --- "Moi, mon cheval et mon chien, nous avons trĂšs soif." --- "Il y a une source entre ces rochers", dit l'homme et indiquant l'endroit, ajouta: "Vous pouvez boire Ă volontĂ©." --- L'homme, le cheval et le chien s'approchĂšrent de la source et se dĂ©saltĂ©rĂšrent. Le voyageur s'en alla remercier. --- "Revenez quand vous voulez", rĂ©pondit l'homme. --- "A propos, comment s'appelle cet endroit ?"                 --- "Ciel."   --- "Ciel ? Mais le gardien du portail en marbre a dit que le ciel Ă©tait celui-lĂ !"   --- "Cela n'est pas le ciel, c'est l'enfer." Le voyageur resta perplexe. --- "Vous devriez leur interdire d'utiliser votre nom ! AssurĂ©ment, cette fausse information cause de AssurĂ©ment, cette fausse information cause de grandes confusions !" --- "Absolument pas.En rĂ©alitĂ©, ils nous rendent un grand service. Parce que, lĂ , s'arrĂȘtent tous ceux qui n'hĂ©sitent pas Ă abandonner leurs meilleurs amis..." -------- |
left by poutounou on 17/07/2024Ce nâest pas lâamour qui fait si mal, câest dâĂȘtre sans toi⊠* TU ME MANQUES * Je suis assise ici, seule, si triste et solitaire. Je pense Ă toi souvent -- chaque minute du jour, me demandant comment tu vas, ce que tu fais, souhaitant te serrer dans mes bras. * Je suis assise, me souvenant de tout ce que nous avons partagĂ©, rĂȘvant Ă tout ce qui sera, et je verse une larme pour chaque minute sans toi. * Parfois, je crois en ma force et que le temps qui nous sĂ©pare s'Ă©coulera vite, et puis parfois, je m'assieds et pleure et me demande pourquoi faut-il que l'amour fasse si mal... * Bien que parfois dans la solitude... quelque part dans le vide je me sente pourtant trĂšs aimĂ©e, et je rĂ©alise que ce n'est pas l'amour qui fait si mal... c'est d'ĂȘtre sans toi. * (Cathy Lynn Oaks) |
left by spanky on 16/07/2024L'AMOUR ABSOLU ---- La dame au petit chien --- Dans le cimetiĂšre de ColĂłn Ă Cuba, une tombe avec une sculpture d'une femme allongĂ©e, et Ă ses pieds, un petit chien, l'Ćuvre rĂ©alisĂ©e en pierre de carriĂšre, a Ă©tĂ© inaugurĂ©e en 1944, avec la bĂ©nĂ©diction de l'archevĂȘque de La Havane. Mais qui Ă©tait la Dame au chien ? --- Jeannette Ryder, une AmĂ©ricaine aux sentiments nobles et humanitaires, est arrivĂ©e Ă La Havane au dĂ©but du XXe siĂšcle, oĂč elle a fondĂ© en 1906 le Bando de Piedad de Cuba, une sociĂ©tĂ© dĂ©diĂ©e au soin et Ă la protection des enfants et des animaux. --- Le chien Rinti Ă©tait le plus fidĂšle compagnon de Jeannette ; il la suivait partout, veillait sur son sommeil et partageait ses joies et ses peines. C'est pourquoi l'insĂ©parable ami l'a Ă©galement suivie au cimetiĂšre le 11 avril 1931, lors de son enterrement. --- Les animaux n'Ă©tant pas admis, Rinti Ă©tait sorti de force Ă la tombĂ©e de la nuit, mais chaque matin, Ă l'ouverture des portes du cimetiĂšre, il revenait au pied de la tombe de sa maĂźtresse et y restait sans boire ni manger, attendant que la faucheuse les rĂ©unisse Ă nouveau, jusqu'Ă ce qu'elle le fasse. --- Depuis, cet Ă©mouvant acte d'amour et de noblesse a Ă©tĂ© ajoutĂ© Ă cette Ćuvre sculpturale, preuve que mĂȘme l'au-delĂ ne peut briser la loyautĂ© d'un petit chien ! ----- |
left by ovanek on 16/07/2024Dans le jardin de mes rĂȘves, une fleur est endormie maintenant Une floraison qui autrefois prospĂ©rait avec notre amour s'est fanĂ©e d'une certaine façon Les pĂ©tales de nos moments, autrefois doux et si divins ê§âżđžââ± đș â±âźđžâżê§đș ê§âżđžâ±ê§ Maintenant on dirait des feuilles flĂ©tries, qui ne peuvent jamais ĂȘtre faites pour briller Le soleil de nos rires, autrefois chaud et si brillant Maintenant ressemble Ă un lointain souvenir, qui ne peut jamais ĂȘtre rendu lĂ©ger Le sol de nos souvenirs, autrefois fertile et si riche ê§âżđžââ± đș â±âźđžâżê§đș ê§âżđžâ±ê§ Maintenant ressemble Ă une terre stĂ©rile, qui ne peut jamais ĂȘtre faite pour nourrir Pourtant, mĂȘme dans la dormance, il reste une racine Une graine de notre amour, qui maintient encore ê§âżđžââ± đș â±âźđžâżê§đș ê§âżđžâ±ê§ Car dans le jardin de mon cĆur, notre amour grandira Ă jamais Une fleur qui est peut-ĂȘtre endormie Mais qui fleurira toujours Ă nouveau, vous savez |
left by spanky on 14/07/2024"Ce soir, je suis mort. --- Je suis un oiseau. --- Je connais la caresse de la brise, je connais le bruit du vent. -- Je sais le dĂ©chaĂźnement des tempĂȘtes, lorsque les frondaisons deviennent impĂ©tueuses. -- Je connais le grondement du tonnerre qui frappe mes oreilles et fait vibrer mon plumage. -- Je goĂ»te les caprices de la nature, seul et sans abri. Blotti entre deux feuilles ou cachĂ© dans un buisson, j'attends. -- Pour moi, le temps qui passe est toujours un instant d'Ă©ternitĂ©. Nulle mĂ©tĂ©o ne me donne l'avenir, nulle connaissance ne me rassure. -- Oui, mais voilĂ : l'orage, je le connais. Il prĂ©vient. Il frappe Ă la porte. -- Oh, on ne l'invite bien sĂ»r jamais Ă entrer, mais il a la dĂ©licatesse de prĂ©venir de son arrivĂ©e : il gronde, dans le lointain. Puis il envoie de brĂšves images de sa colĂšre Ă venir. -- Je le connais, cet orage, car de tous temps mes ancĂȘtres ont vĂ©cu avec ses coups de sang. -- Et puis il y a cet autre vacarme, dont la nature n'est pas l'artisane. -- Un bruit violent et un bruit brusque. -- Lui ne prĂ©vient jamais. Il s'impose avec violence, il saisit le cĆur, il affole. -- Et il ne vient jamais seul : une lumiĂšre Ă©pileptique l'accompagne toujours. -- Alors, je me retrouve dans l'incomprĂ©hension. -- Et j'ai soudain trĂšs peur. -- Pour un temps oublieux de toute prudence, je prends mon envol. -- Il fait nuit. Je ne vois rien, sauf ces flashs qui m'aveuglent, me dĂ©sorientent. -- Je vole, je tourne en rond, je crie, mais les dĂ©flagrations se poursuivent avec ce goĂ»t d'Ă©ternitĂ© qui me bouleverse. -- Le rythme augmente, ma poitrine vibre, je ne sais plus oĂč je vais. -- Je ne vois rien mais je fonce, tentative dĂ©sespĂ©rĂ©e d'Ă©chapper Ă cet enfer terrifiant. -- Et puis soudain, un mur. Et tout se fait noir." -- Chers membres, la pĂ©riode des feux d'artifice va dĂ©marrer. -- L'occasion, pour beaucoup d'entre nous, d'avoir un peu de bonheur en famille. -- Mais saviez-vous que, contrairement Ă ce que prĂ©tendent les artificiers, le comportement des oiseaux a Ă©tĂ© sĂ©rieusement Ă©tudiĂ© par les scientifiques, lors des feux? -- En utilisant des radars mĂ©tĂ©o, notamment, ils ont pu suivre les envols paniquĂ©s d'oiseaux diurnes. -- Il arrive, certaines annĂ©es, que des oiseaux meurent par centaines lors de feux d'artifice. -- Ils s'envolent, mais sont aveugles. -- Et dans l'affolement, ils percutent des voitures, des bĂątiments, laissant parfois des juvĂ©niles qui mourront de faim. -- Est-ce que nous voulons encore de cela? -- La prochaine fois que vous irez voir des feux, ayez conscience que chaque nouveau tir bouleverse l'univers du vivant, mĂȘme si vous ne le voyez pas. ----- |
left by poutounou on 14/07/2024Que câest bien dit : « elle crie dans le silence ». Nous en avons « criĂ© » des larmes quand vous ĂȘtes partis, doux Anges⊠* UNE LARME * Soudain elle surgit venue des profondeurs, sa valeur est inestimable tant elle est vraie. Plus riche qu'un trĂ©sor, elle perle au grĂ© du moment, scintillante de vĂ©ritĂ© et pourtant si indĂ©chiffrable qu'aucun n'eut pensĂ© de la comprendre. Merveille qu'elle est, elle s'Ă©coule vivement pour laisser fuir l'autre qui la suit. Rempli de joie ou de mĂ©lancolie, seul l'ĂȘtre qui la laisse filer peut la comprendre car elle crie dans le silence. * OĂč il y a une larme, il y a un coeur. |
left by ovanek on 14/07/2024Pour toujours dans mon cĆur Tes empreintes de pattes sont Ă jamais dans mon cĆur Votre amour et votre loyautĂ©, une Ćuvre d'art Ta queue qui remue, tes yeux heureux Vos cĂąlins et vos bisous, une douce surprise âđžââą*š*âą.žžđŠáŠÆžÌ”ÌĄĐ̔̚ÌÌÆ·áŠđŠÂžÂž.âą*š*âąââđž Tu Ă©tais plus qu'un simple animal de compagnie, un vrai ami en effet Un compagnon, un confident, dans tous les besoins Ta vie Ă©tait une bĂ©nĂ©diction, un cadeau du ciel Un rappel Ă l'amour, de tout mon cĆur et de tout mon amour âđžââą*š*âą.žžđŠáŠÆžÌ”ÌĄĐ̔̚ÌÌÆ·áŠđŠÂžÂž.âą*š*âąââđž Bien que tu sois parti, ta mĂ©moire reste proche Un trĂ©sor de souvenirs, que je tiendrai toujours chers Ton amour ne disparaĂźtra jamais, ta mĂ©moire ne disparaĂźtra jamais Tu resteras Ă jamais dans mon cĆur mon cher chiot mon loyal nuance Repose en paix mon cher chiot Ton amour ne sera jamais oubliĂ© âââââââââ âàŒșđžàŒ» âàŒșđžàŒ»â ââââââââââ đŠáŠáŠđŠBON DIMANCHEđŠáŠáŠđŠ âââââââââ âàŒșđžàŒ» âàŒșđžàŒ»â ââââââââââ |
left by colombine67 on 14/07/2024Il y a un pont qui relie le Paradis et la Terre. On l'appelle le 'Pont de l'Arc-en-ciel' Ă cause de ses nombreuses couleurs. Au bout du Pont de l'Arc-en-ciel, il y a un pays de prairies, de collines et de vallĂ©es luxuriantes. Quand un de nos compagnons fidĂšle dĂ©cĂšde, il va lĂ -bas. Il y a toujours de l'eau et de la nourriture et un soleil d'un temps printanier. Les animaux vieux et faibles sont jeunes Ă nouveau. Ceux qui ont Ă©tĂ© blessĂ©s ou mutilĂ©s sont de nouveau en pleine forme. Ils jouent ensemble toute la journĂ©e, Ils y sont heureux. Une chose manque tout de mĂȘme : ils ne sont pas avec ceux qui les ont aimĂ©s sur terre. Alors, chaque jour ils courent et jouent, jusqu'au moment oĂč l'un d'eux s'arrĂȘte soudain de jouer et regarde en l'air. Son nez s'agite ! Ses yeux fixent l'horizon ! Et tout d'un coup, il s'Ă©loigne en courant du groupe, volant au-dessus de l'herbe verte, ses jambes le portant de plus en plus vite. Il vous a vu, et, quand vous vous rencontrez, vous prenez votre compagnon dans vos bras, et vous l'Ă©treignez. Les bisous pleuvent sur votre visage encore et encore et encore, et vous caresser enfin Ă nouveau votre ami tant adorĂ©. Alors vous traversez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel, pour ne plus jamais ĂȘtre sĂ©parĂ©. |
left by ovanek on 12/07/2024Seul je parcourais ces rues de la ville LĂ oĂč les ombres se cachent et le silence se rencontre Pas de maison oĂč appeler la mienne, pas d'endroit oĂč se reposer Juste des murs en bĂ©ton et un cĆur opprimĂ© â€đ§Ąâ€đ§Ąâââââââââ â° â° â° â° â€đ§Ąâ€đ§Ą â° â° â° â° ââââââââââ€đ§Ąâ€đ§Ą Mes pattes sont usĂ©es, ma fourrure est mince Ă travers un froid amer et un soleil brĂ»lant, j'ai Ă©tĂ© Les yeux affamĂ©s cherchent un morceau dans la poubelle Un espoir Ă©phĂ©mĂšre, un tiret dĂ©sespĂ©rĂ© â€đ§Ąâ€đ§Ąâââââââââ â° â° â° â° â€đ§Ąâ€đ§Ą â° â° â° â° ââââââââââ€đ§Ąâ€đ§Ą Chaque jour qui passe, une lutte pour survivre Avec les membres fatiguĂ©s, je m'efforce et je m'efforce OubliĂ© par ceux qui me passent Invisible Ă leur Ćil indiffĂ©rent â€đ§Ąâ€đ§Ąâââââââââ â° â° â° â° â€đ§Ąâ€đ§Ą â° â° â° â° ââââââââââ€đ§Ąâ€đ§Ą Pourtant, dans mon cĆur, une lueur d'espoir Pour la gentillesse trouvĂ©e, une lunette douce Une touche de chaleur, une main apaisante Je pourrais changer mon monde, oĂč je me tiens â€đ§Ąâ€đ§Ąâââââââââ â° â° â° â° â€đ§Ąâ€đ§Ą â° â° â° â° ââââââââââ€đ§Ąâ€đ§Ą Pour chaque errant, une histoire non racontĂ©e De rĂ©silience, de courage audacieux En silence je supporte, avec esprit fort Une vie de vagabond, une chanson douce-amĂšre â€đ§Ąâ€đ§Ąâââââââââ â° â° â° â° â€đ§Ąâ€đ§Ą â° â° â° â° ââââââââââ€đ§Ąâ€đ§Ą Donc si tu me vois sur ton chemin Fais une pause, ne te dĂ©tourne pas Dans ce vaste monde, oĂč les cĆurs peuvent se rĂ©parer Un peu d'amour, peut ĂȘtre l'ami d'un chien errant |
left by spanky on 12/07/2024Silverton Bobbie : l'histoire d'un chien extraordinaire ----- Aujourdâhui, je vais vous raconter une petite histoire, celle dâun chien au courage et Ă la loyautĂ© incroyable : Silverton Bobbie. J'espĂšre que cela va renforcer votre amour pour le meilleur ami de lâHomme ! Silverton Bobbie est nĂ© en 1921, dans lâEtat de lâOregon, dans la ville de Silverton aux Etats-Unis ; câĂ©tait un chien croisĂ© Collie et Berger Anglais, avec un long museau, des poils doux et des yeux vifs. Il fut adoptĂ© par une famille, oĂč il vivait heureux, entourĂ© dâamour. En 1923, toute la famille dĂ©cida de partir en vacances dans lâEtat de lâIndiana ; Ă©videmment, ils emmenĂšrent avec eux leur compagnon adorĂ©. Mais au bout de quelques jours, lorsquâil fut temps de rentrer Ă la maison, personne ne retrouva Silverton Bobbie ! La famille le chercha partout, ainsi que leurs amis et les habitants de la ville oĂč ils se trouvaient. Mais hĂ©las, ils ne retrouvĂšrent pas leur chien. EpuisĂ©s par leurs recherches, les membres de la famille durent malgrĂ© tout rentrer dans lâOregon, le cĆur brisĂ©. Ils Ă©taient effondrĂ©s, car ils savaient quâils ne reverraient jamais leur chien. Six mois plus tard, un beau jour, ils dĂ©couvrirent un animal blessĂ© devant leur porte : câĂ©tait leur fidĂšle Silverton Bobbie qui avait rĂ©ussit Ă retrouver le chemin de la maison ! Le pauvre chien Ă©tait dĂ©charnĂ©, dĂ©shydratĂ© et Ă©puisĂ©, avec une patte presque cassĂ©e : en effet, il avait tout seul parcouru les quelques 2551 miles, soient 4105 kilomĂštres qui le sĂ©paraient de sa famille chĂ©rie ! Pour cela, il avait du marcher dans des plaines, des dĂ©serts et des montagnes, et tout cela pendant un hiver particuliĂšrement rude. Un vrai hĂ©ro ! AprĂšs son arrivĂ©e, il fut lâobjet dâune grande attention (mĂ©ritĂ©e !) : des dizaines dâarticles ont paru dans les journaux locaux et nationaux, des livres ont Ă©tĂ© Ă©crits en son honneur ainsi quâun film. En 1924, il joua dâailleurs son propre rĂŽle dans un long mĂ©trage muet appelĂ© The Call of The West. La famille de Silverton Bobbie reçu des centaines de lettres venues des quatre coins des Etats-Unis, et il se vit offrir les clĂ©s de la ville de Silverton ainsi quâun superbe collier en pierres prĂ©cieuses. A sa mort en 1927, il fut enterrĂ© avec les honneurs au cimetiĂšre des animaux de la Oregon Humane Society Ă Portland. Sa pierre tombale fut honorĂ©e par Rin Tin Tin, le cĂ©lĂšbre chien. A Silverton, sa ville natale, on cĂ©lĂ©bra son courage et sa loyautĂ© durant des parades, dont la premiĂšre fut menĂ©e par son fils Pal. En 2012, un groupe de fans commença mĂȘme Ă manifester dans la ville dans le but de rapatrier les restes de Silverton Bobbie dans sa ville natale ; il existe mĂȘme un site pour leur cause. Voici lâhistoire dâun compagnon extraordinaire, qui nous rappelle que le chien est un animal trĂšs loyal et courageux, qui serait capable dâĂ©normĂ©ment de choses pour son maĂźtre. TĂąchons dâĂȘtre digne de cette confiance quâils portent en nous, et de leur rendre cet amour inconditionnel. ----- Site officiel de Silverton Bobbie --- Source : wikipedia. --- |
left by spanky on 10/07/2024Faut pas rĂȘver !!!! ---- Faire parler notre petit chien Ce serait bien !! Y penser, c'est encore plus bĂȘte.. Pourtant je vais essayer.... . Oh ! ma maĂźtresse, Comme tu m'as aimĂ©, Je ne sais comment te remercier, De m'avoir dorlotĂ©, De m'avoir tant choyĂ©. Merci pour ta tendresse Ton amour et ta gentillesse, Ma vie auprĂšs de toi A Ă©tĂ© une merveille, Merci ! Merci de ne pas m'avoir laissĂ© souffrir Il n'y avait plus de solution pour me guĂ©rir, J'aurai voulu rester prĂšs de toi Ne pas te causer de peine, En te laissant seule dans la dĂ©tresse. De lĂ oĂč je suis, je te vois Sur toi je veille... Encore MERCI... Ma maitresse, ma maman, mon amie, Je t'aime et jamais, O grand jamais, Je ne t'oublierai !! ---- |
left by poutounou on 10/07/2024Juste toi et moi mon Ange * JUSTE * Si j'avais juste une seconde pour te voir Juste une minute le temps de te faire une caresse Juste un aprĂšs-midi pour un moment dans tes pattes Ă rĂȘver Juste une journĂ©e toi et moi Juste une semaine en vacances loin ensemble Juste un mois pour me faire une place Ă tes cĂŽtĂ©s Juste un an pour pouvoir m'Ă©panouir Ă tes cĂŽtĂ©s Juste une vie pour te dire : « Je t'aime » * Nathalie Auclair |
left by ovanek on 09/07/2024Vivre avec grĂące, aimer si profondĂ©ment Dans ton Ă©treinte, mon Ăąme gardera ââââââââââ â° â° â° đ§Ąâ° â° â° â° â° ââââââââââ Et quand les ombres commencent Ă s'estomper Dans la lumiĂšre du paradis, nous serons tous les deux influencĂ©s Pour danser Ă nouveau, pour toujours OĂč l'amour est la clĂ© de chaque porte ââââââââââ â° â° â° đ§Ąâ° â° â° â° â° ââââââââââ Alors repose en paix mon ami fidĂšle Jusqu'Ă ce que nous nous rencontrions, au-delĂ du virage Dans les royaumes oĂč l'amour brille Ă jamais Tu vivras dans mes rĂȘves les plus beaux âââââââââ â° â° â° â° â° â° â° â° âââââââââ †đ§Ąâ« âż BELLEE JOURNEÌEâż â€đ§Ąâ« â€đ§Ą âââââââââ â° â° â° â° â° â° â° â° |
left by spanky on 08/07/2024De lĂ -haut, ---- De ce temps-lĂ , je n'entends plus ma voix De ce temps-lĂ , je ne guide plus mes pas De ce temps-lĂ , je sais que je vais mais ne marche pas Sans aucun repos, j'avance puisqu'il le faut De lĂ -haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? DĂ©sormais, s'il fait un peu plus frais Ce n'est pas que le temps soit mauvais Mais il est vrai que je me perds dans ce monde imparfait Ni meilleur, ni plus laid mais juste un pĂąle reflet De lĂ -haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau? Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud? Et s'ils te rĂ©confortent, lĂ oĂč il t'emportent Je ne rĂȘve qu'en noir et blanc Mes souvenirs se mĂȘlent de sang et pourtant Je me lĂšve pour faire semblant de vivre comme un vivant De lĂ -haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau? Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud? S'ils te rĂ©confortent, lĂ oĂč ils t'emportent... de lĂ haut ---- InterprĂšte Thierry AMIEL. ---- |
The photo album contains 96 pictures