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En hommage à
SHETLANDChoupette des Highlands de la Taute
Il est né le:03/05/2007
Il nous a quittés le:05/06/2018
27 bougies
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16154 Fleurs
1828 messages
Déposé par poutounou le 29/09/2019Vous êtes mort un matin, un après-midi ou un soir, magnifiques Anges !!! « Et la plus morte mort est d’avoir survécu » !!! * Vous êtes mort un soir * Vous êtes mort un soir à l'heure où le jour cesse. Ce fut soudain. La douce et terrible paresse En vous envahissant ne vous a pas vaincu. Rien ne vous a prédit la torpeur et la tombe. Vous eûtes le sommeil. Moi, je peine et je tombe, Et la plus morte mort est d'avoir survécu. * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par Cupidon le 28/09/2019Petite foule dense Autour d’un corps s’endormant Douceur immense Pour le départ d’un parent Calmement Peint aux couleurs de l’artifice Des bleus lisses et roses et blancs Et lentement Visages tendres sur l’herbe glissent Se sourient en chuchotant Et sans le moindre tourment Ils fêtent mon enterrement Cendres folles et s’envolent Sous les yeux pâles et contents Et s’unissent aux lucioles Pour vivre un dernier instant Et à jamais Restent en suspens Et j’ai souvent souhaité Partir avant les miens Pour ne pas hériter De leur flamme qui s’éteint Et m’en aller En gardant le sentiment Qu’ils vivront éternellement Et simplement Qu’ils fassent que la nuit soit claire Comme aux feux de la Saint-Jean Que leurs yeux soient grands ouverts Pour fêter mon enterrement Père et mère, sœurs et frères Je vous aime puissamment N’adresser aucune prière Où que j’aille je vous attends La poussière Vit hors du temps Il faut rester à la lumière Dansez, buvez en me berçant Que je vous aime en m’endormant Daniel Balavoine "Partir avant les miens"" |
Déposé par choupinou le 26/09/2019Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon coeur D’une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l’heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m’emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Paul Verlaine |
Déposé par nounours le 25/09/2019............POUR TOI BEL ANGE A SA MAMAN..................... . Toi c’est un mot Toi c’est une voix Toi c’est tes yeux et c’est ma joie Toi c’est si beau Toi c’est pour moi Toi c’est bien là et je n’y crois Toi c’est soleil Toi c’est printemps Toi c’est merveille de chaque instant Toi c’est présent Toi c’est bonheur Toi c’est arc-en-ciel dans mon coeur Toi c’est distant… Toi c’est changeant… Toi c’est rêvant et esquivant… Toi c’est pensant… Toi c’est taisant… Toi c’est tristesse qui me prend… Toi c’est fini. Fini ? Pourquoi ? Toi c’est le vide dans mes bras… Toi c’est mon soleil qui s’en va… Et moi, je reste, pleurant tout bas. . ............................LE 25 SEPTEMBRE 2019........................ . |
Déposé par lili2248 le 23/09/2019Et voilà la fin de l’été !!! L’automne s’en vient à grands pas !!! Et il faut commencer à se couvrir un peu plus… Brrrrr... * L'automne * Voici venu le froid radieux de septembre : Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ; Mais la maison a l'air sévère, ce matin, Et le laisse dehors qui sanglote au jardin. * Comme toutes les voix de l'été se sont tues ! Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ? Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois Que la bise grelotte et que l'eau même a froid. * Les feuilles dans le vent courent comme des folles ; Elles voudraient aller où les oiseaux s'envolent, Mais le vent les reprend et barre leur chemin Elles iront mourir sur les étangs demain. * Le silence est léger et calme ; par minute Le vent passe au travers comme un joueur de flûte, Et puis tout redevient encor silencieux, Et l'Amour qui jouait sous la bonté des cieux * S'en revient pour chauffer devant le feu qui flambe Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes, Et la vieille maison qu'il va transfigurer Tressaille et s'attendrit de le sentir entrer... |
Déposé par poutounou le 22/09/2019Et voilà la fin de l’été !!! L’automne s’en vient à grands pas !!! Et il faut commencer à se couvrir un peu plus… Brrrrr... * L'automne * Voici venu le froid radieux de septembre : Le vent voudrait entrer et jouer dans les chambres ; Mais la maison a l'air sévère, ce matin, Et le laisse dehors qui sanglote au jardin. * Comme toutes les voix de l'été se sont tues ! Pourquoi ne met-on pas de mantes aux statues ? Tout est transi, tout tremble et tout a peur ; je crois Que la bise grelotte et que l'eau même a froid. * Les feuilles dans le vent courent comme des folles ; Elles voudraient aller où les oiseaux s'envolent, Mais le vent les reprend et barre leur chemin Elles iront mourir sur les étangs demain. * Le silence est léger et calme ; par minute Le vent passe au travers comme un joueur de flûte, Et puis tout redevient encor silencieux, Et l'Amour qui jouait sous la bonté des cieux * S'en revient pour chauffer devant le feu qui flambe Ses mains pleines de froid et ses frileuses jambes, Et la vieille maison qu'il va transfigurer Tressaille et s'attendrit de le sentir entrer... * Anna de NOAILLES (1876-1933) |
Déposé par Cupidon le 21/09/2019La nuit n’est jamais complète. Il y a toujours, puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte, Une fenêtre éclairée, Il y a toujours un rêve qui veille, Désir à combler, Faim à satisfaire, Un cœur généreux, Une main tendue, une main ouverte, Des yeux attentifs, Une vie, la vie à se partager. La nuit n’est jamais complète. Paul Eluard |
Déposé par choupinou le 19/09/2019c'est un mot joli qui vient de l'enfance un mot ennemi de l'indifférence c'est un mot très court que l'on nous a appris qui mêle a la fois le coeur et l'esprit bien qu'il soit passé dans nos habitudes il est le reflet de nos gratitudes il sait être doux tout en étant fort, et il est reçu tel un réconfort. J'ai donc le grand plaisir,pour vous aujourd'hui avec du retard mais sûrement,de prononcer,ce seul petit mot MERCI MERCI de m'avoir permis de le dire, de vous dire MERCI Un petit être cher ne vous quitte jamais,il vit au plus profond de votre âme,de votre coeur et pour le revoir,il suffit de fermer les yeux,de penser a lui très fort a tout nos petits amours MERCI pour votre soutien,de votre gentillesse MERCI d'être toujours présent ,de votre amour pour les anniversaires de mes petits trésors,ma douce Polka,mon merveilleux Titus ,par vos fleurs,messages,bougies MERCI pour eux ,MERCI pour moi,ils vous en seront toujours reconnaissant,tout comme moi MERCI choupinou |
Déposé par Cupidon le 17/09/2019Quand tu es heureux, regarde au plus profond de toi. Tu verras que seul ce qui t’apporte de la peine, t’apporte aussi de la joie. Quand tu es triste, regarde à nouveau dans ton cœur, et tu verras que tu pleures ce qui te rendait heureux. Kahlil Gibran |
Déposé par poutounou le 15/09/2019C’est la vie qui nous blesse le coeur et les yeux lorsque nous perdons un de nos Anges...et pourtant nous continuons à marcher, ne jamais s’arrêter, supportant la souffrance comme on peut !!! * C'est La Vie – Marc Lavoine * Tous les matins, c'est la même corrida Lever la tête, ouvrir les bras Tous les matins, c'est le même numéro Trouver l'amour, chercher les mots * Je suis coincé comme un évadé Faut marcher, ne jamais s'arrêter Je suis piégé, comme un condamné A marcher, ne jamais se retourner * C'est la vie, la vie c'est du vent Qui nous souffle les rêves d'enfant C'est la nuit qui descend, C'est jamais comme avant Il ne faut plus faire semblant, attends C'est la vie, la vie qui le veut Qui nous blesse, le coeur et les yeux C'est la nuit qui retombe Comme la pluie et les bombes Il ne faut plus faire semblant, attends * Tous les matins c'est le même cinéma Tendre les mains, croiser les doigts Tous les matins, c'est la même comédie Chercher quelqu'un, trouver celle ou celui qui * Je suis piégé comme un naufragé Faut marcher, ne jamais s'arrêter Je suis coincé, comme un révolté A marcher, jamais se retourner * C'est la vie, la vie c'est du vent Qui nous souffle les rêves d'enfant C'est la nuit qui descend, C'est jamais comme avant Il ne faut plus faire semblant, attends C'est la vie, la vie qui le veut Qui nous blesse, le coeur et les yeux C'est la nuit qui retombe Comme la pluie et les bombes Il ne faut plus faire semblant, attends |
Déposé par Cupidon le 13/09/2019 Quand tu crois qu’il n y’a plus de lumière C’est seulement parce que tu as fermé les yeux Quand tu crois que tu n’as plus d’amis C’est peut-être que tu as fermé ta porte Quand tu crois ne plus rien comprendre C’est sans doute que tu as cessé d’écouter Quand tu crois que ta douleur est unique C’est que tu oublies dans ce moment celle des autres Quand tu crois que ton chemin ne te mène nulle part … C’est que tu n’es pas allé jusqu'au bout de celui-ci Quand tu crois que l’amour n’est qu’une illusion C’est souvent parce que tu le définis comme un rêve Quand tu crois que le bonheur n’est que pour autrui C’est possiblement que ton regard est toujours sur eux Quand tu crois que les gens que tu aimes t’abandonnent C’est que assurément tu ne pouvais pas les suivre Mais peu importe ce que tu crois Moi je crois en tout ce que tu ne crois plus Et je serai là pour te redonner la foi En tout ce que tu voudrais bien croire encore Tu n’as pas à me chercher au loin Tu n’as qu’à croire en moi comme je crois en toi Je suis là où tu es Je suis là où tu crois Je suis assurément ton meilleur ami Car je suis ton Ange Gardien … |
Déposé par Cupidon le 10/09/2019On te dit de ne pas pleurer. On vous dit que ce n'est qu'un chien, pas une personne. On vous dit que la douleur passera. On vous dit que les animaux ne savent pas qu'ils doivent mourir. On vous dit que l'important est de ne pas le faire souffrir. On te dit que tu peux en avoir un autre. On te dit que ça va t'arriver. On vous dit qu'il y a des douleurs plus insupportables. Mais ils ne savent pas combien de fois tu as regardé ton chien dans les yeux. Ils ne savent pas combien de fois tu as été toi et ton chien seuls à regarder les ténèbres. Vous ne savez pas combien de fois votre chien a été le seul à être à vos côtés. Ils ne savent pas que le seul qui ne t'a jamais jugé est ton chien. Ils ne savent pas à quel point tu as eu peur la nuit où tes lamentations t'ont réveillé. Ils ne savent pas combien de fois ton chien a dormi près de toi. Ils ne savent pas combien tu as changé depuis que le chien est devenu une partie de ta vie. Ils ne savent pas combien de fois tu l'as embrassé quand il était malade. Vous ne savez pas combien de fois vous avez fait semblant de ne pas voir comment vos cheveux devenaient de plus en plus blanc. Vous ne savez pas combien de fois vous avez parlé à votre chien, le seul qui écoute vraiment. Ils ne savent pas à quel point tu étais beau pour ton chien. Ils ne savent pas que c'était juste ton chien qui savait que tu souffrais. Ils ne savent pas quels sentiments vous ont fait goûter votre chien. Ils ne savent pas ce que ça fait de voir ton vieux chien s'efforcer d'aller te dire bonjour. Ils ne savent pas que quand les choses allaient mal, le seul qui n'est pas parti est ton chien. Ils ne savent pas que ton chien a confiance en toi chaque instant de sa vie, même dans le dernier. Ils ne savent pas à quel point ton chien t'a aimé et le peu qu'il lui suffisait d'être heureux, parce qu'il lui suffisais toi. Vous ne savez pas que pleurer pour un chien est l'une des choses les plus nobles, significatives, vraies, propres et sincères que vous pouvez faire. Ils ne savent pas à propos de la dernière fois que tu l'as déplacé avec difficulté... Fais attention à ne pas le blesser. Ils ne savent pas ce que tu as ressenti en caressant leur visage dans les derniers moments de leur vie... |
Déposé par poutounou le 08/09/2019Jolie chanson sur l’espoir... Rester debout mais à quel prix ??? Debout peu importe le prix !!! * Le Premier Jour Du Reste De Ta Vie – Etienne Daho * Un matin comme tous les autres Un nouveau pari Rechercher un peu de magie Dans cette inertie morose * Clopin clopan sous la pluie Jouer le rôle de sa vie Puis un soir le rideau tombe C'est pareil pour tout l'monde * Rester debout mais à quel prix Sacrifier son instinct et ses envies Les plus essentielles * Mais tout peut changer aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie Plus confidentiel * Pourquoi vouloir toujours plus beau Plus loin plus haut Et vouloir décrocher la lune Quand on a les étoiles * Quand les certitudes s'effondrent En quelques secondes Sache que du berceau à la tombe C'est dur pour tout l'monde * Rester debout mais à quel prix Sacrifier son instinct et ses envies Les plus confidentielles * Mais tout peut changer aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie C'est providentiel * Debout peu importe le prix Suivre son instinct et ses envies Les plus essentielles * Tu peux exploser aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie Non accidentel * Oui tout peut changer aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie Plus confidentiel |
Déposé par goulou50 le 05/09/2019Coucou petite choupette, à nouveau cette maudite date qui est là et saches que tes maîtres ne t'oublient pas, tu est et restera pour toujours dans leurs coeurs. Je t'envoie plein de gros bisous Nos loulous partis au paradis blanc vivront toujours à l''intérieur de nous… ils sont à jamais tatoués dans nos coeurs Nous n'arrêterons jamais de penser à eux ou de parler d'eux. Nous ne pourrons jamais les oublier car l'amour qu'ils nous ont donné ne disparaitra jamais. En nous, ils vivront éternellement. |
Déposé par poutounou le 01/09/2019Poème de Mr. de LAMARTINE, un peu triste mais tellement beau : « On entend, dans l’espace, les choeurs mystérieux de l’Ange qui passe... » * La tristesse * L'âme triste est pareille Au doux ciel de la nuit, Quand l'astre qui sommeille De la voûte vermeille A fait tomber le bruit ; * Plus pure et plus sonore, On y voit sur ses pas Mille étoiles éclore, Qu'à l'éclatante aurore On n'y soupçonnait pas ! * Des îles de lumière Plus brillante qu'ici, Et des mondes derrière, Et des flots de poussière Qui sont mondes aussi ! * On entend dans l'espace Les choeurs mystérieux Ou du ciel qui rend grâce, Ou de l'ange qui passe, Ou de l'homme pieux ! * Et pures étincelles De nos âmes de feu, Les prières mortelles Sur leurs brûlantes ailes Nous soulèvent un peu ! * Tristesse qui m'inonde, Coule donc de mes yeux, Coule comme cette onde Où la terre féconde Voit un présent des cieux ! * Et n'accuse point l'heure Qui te ramène à Dieu ! Soit qu'il naisse ou qu'il meure, Il faut que l'homme pleure Ou l'exil, ou l'adieu ! * Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) |
Déposé par Cupidon le 30/08/2019 Un jour, Les oiseaux me porteront Bien au-delà des nuages, Je marcherais jusqu’à toi Et nous nous retrouverons, Je reverrais ton visage Empreint d’amour et de joie. Un jour, Lorsque je serais enfin Tout au bout de mon parcours, Ils voleront jusqu’à moi. Ce jour tout sera serein Mon coeur ne sera plus lourd J’aurais retrouvé la foi. Un jour, Nous serons une âme une seule Dans la lumière éternelle Réunis à tout jamais, Je rêve sous le grand tilleul Seule sur notre balancelle Et mon esprit est en paix. |
Déposé par poutounou le 25/08/2019Le cri tinte l’obscur et triste adieu de quelque vie éteinte…. * Le cri * Près d'un étang désert, où dort une eau brunie, Un rai du soir s'accroche au sommet d'un roseau ; Un cri s'écoute, un cri désespéré d'oiseau, Un cri pauvre et perdu dans la plaine infinie. * Comme il est faible et frêle et peureux et fluet ! Et comme avec tristesse il se traîne et s'écoute, Et comme il se répète et comme avec la route Il s'enfonce et se perd dans l'horizon muet ! * Et comme il marque l'heure, au rythme de son râle, Et comme, en son accent minable et souffreteux, Et comme, en son écho languissant et boiteux, Se plaint infiniment la douleur vespérale ! * Il est si doux parfois qu'on ne le saisit pas. Et néanmoins toujours, et sans fatigue, il tinte L'obscur et triste adieu de quelque vie éteinte ; Il dit les pauvres morts et les pauvres trépas : * La mort des fleurs, la mort des insectes, la douce Mort des ailes et des tiges et des parfums ; Il pleure au souvenir des vols qui sont défunts Et qui gisent, cassés, dans l'herbe et dans la mousse. * Émile VERHAEREN (1855-1916) |
Déposé par poutounou le 18/08/2019« Paradis où le coeur donne ses rendez-vous... » * Le sommeil * Les perdus, les absents, les morts que fait la vie, Ces fantômes d'un jour si longuement pleurés, Reparaissent en rêve avec leur voix amie, Le piège étincelant des regards adorés. * Les amours prisonniers prennent tous leur volée, La nuit tient la revanche éclatante du jour. L'aveu brûle la lèvre un moment descellée. Après le dur réel, l'idéal a son tour ! * Ô vie en plein azur que le sommeil ramène, Paradis où le coeur donne ses rendez-vous, N'es-tu pas à ton heure une autre vie humaine, Aussi vraie, aussi sûre, aussi palpable en nous, * Une vie invisible aussi pleine et vibrante Que la visible vie où s'étouffent nos jours, Cette vie incomplète, inassouvie, errante, S'ouvrant sur l'infini, nous décevant toujours ? * Augustine-Malvina BLANCHECOTTE (1830-1895) |
Déposé par poutounou le 11/08/2019Un Paradis où « l'infini flotte dans l'éternel », comme le Paradis blanc de nos Anges !!! * Savez-vous pas... * Savez-vous pas quelque douce retraite, Au fond des bois, un lac au flot vermeil, Où des palmiers la grande feuille arrête Les bruits du monde et les traits du soleil - Oh ! je voudrais, loin de nos vieilles villes, Par la savane aux ondoyants cheveux, Suivre, en rêvant, les écureuils agiles, Et voir sauter, sur les branches mobiles, L'ara de pourpre et les bengalis bleus ! * Savez-vous pas, sur les plages lointaines Où n'ont jamais passé les matelots, Une île heureuse aux suaves haleines, Bouquet de fleurs effeuillé sur les flots ? - Oh ! je voudrais, seul avec ma pensée, Jetant au vent la poussière des jours, Sentir mon âme aux vagues balancée, Et m'endormir sur l'onde cadencée Comme un enfant que l'on berce toujours ! * Savez-vous pas, loin de la froide terre, Là-haut ! là-haut ! dans les plis du ciel bleu, Un astre d'or, un monde solitaire Roulant en paix sous le souffle de Dieu ? - Oh ! je voudrais une planète blonde, Des cieux nouveaux, d'étranges régions, Où l'on entend, ainsi qu'un vent sur l'onde, Glisser la nuit, sous la voûte profonde, Le char brillant de constellations ! * Où fuir ? où fuir ? Par les routes humaines Le sable est dur et le soleil est lourd. Ma bouche ardente a tari les fontaines Et l'arbre est mort où j'ai cueilli l'amour. - Oh ! je voudrais, loin du temps et des choses, Débarrassé de tout lien charnel, Courir joyeux dans les métamorphoses, Puis me plonger à la source des causes, Où l'Infini flotte dans l'Éternel ! * Louis BOUILHET (1822-1869) |
Déposé par choupinou le 08/08/2019on peut oublier,un visage,une image,mais on ne peut tout à fait effacer de sa mémoire la chaleur d'une émotion,la douceur d'un geste,le son d'une voix tendre qui vous parle dans le silence et qui vous dit merci de ne pas nous avoir oublié,car de cette façon nous savons que nous faisons partis un peu de vous;d'une grande famille qui aujourd'hui nous'aime et pense a nous,simplement par vos fleurs et petits messages,merci pour nos anniversaires et jours hommages,merci de ne pas nous laisser dans un petits coins sans venir nous voir,nous qui avons subit l'indifférence et la maltraitance,votre amour et soutien nous sommes précieux,vos petits amis AK47 /MINETTE /ARTURO / GAGY /CECILE et tous nos amis d'infortunes.... MERCI d'être là pour nous.... même si notre amie choupinoucelibab ne peut pas toujours vous remerciez pour nous,soyez sur que nous vous en serons toujours reconnaissant et veillerons sur vous de la haut ,nous,petites étoiles,parmi vos petits anges de lumière et d'amour........ |
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