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En hommage à
+ GAIA +
LABRADOR
Il est né le:10/03/2009
Il nous a quittés le:13/04/2013

Derrière chaque petit diable... se cache un ange de gentillesse.

Gaïa, je n'aurais jamais cru que tu rejoindrais Sassie avant plusieurs longues années, mais personne ne peut rien contre le destin.
Miss E'Gaïa de la Sauvagette, de ton nom de naissance. À peine quatre ans d'existence, et pourtant, tant d'anecdotes en tête, d'amour partagé et... de bêtises aussi. Le moins que l'on puisse dire, c'est que tu es inoubliable ! Jamais de ma vie, je ne rencontrerais une autre fifille à la personnalité si atypique. Quarante-trois kilos, comme tu étais impressionnante physiquement ! Mais une âme de nounours. Une adorable môme qui aimait n'en faire qu'à sa tête et grande amoureuse des bandanas de toutes les couleurs.

Tu as rejoint notre famille, endeuillée après la perte de Sassie, le 08 mai 2009. Tu as tout de suite trouvé ta place. Nous t'avons rendu heureuse, du mieux que nous le pouvions, et tu nous as redonné ce bonheur au centuple, bien que ça n'a pas toujours été facile, car quelle tête de mule tu faisais !

Et puis, est arrivé cette sombre date du 13 avril 2013, celle où tu as pris tes ailes d'ange. Je ne m'attarderai pas là-dessus. C'était trop tôt, injuste et extrêmement douloureux...

Ton départ ayant été soudain et brutal, je n'ai pas eu le temps de te remercier : merci Gaïa. Merci pour m'avoir aidé à apprendre à vivre sans mon ange à moi. Merci pour ta présence, dans les bons et les mauvais moments, particulièrement ce jour du 22 janvier 2013, où je me suis sentie aussi proche de toi que je l'étais de Sassie.
Tu n'es pas elle. Tu ne l'as jamais remplacée, comme aucun autre chien ne te remplacera. Tu conserves une place à part dans mon cœur, à tout jamais. J'espère que vous êtes ensemble désormais, et que vous avez appris à faire connaissance l'une et l'autre. Deux opposées, mais qui partagent tellement en commun.

Nous t'aimons, Gaïa.
Tu ne seras jamais oubliée.




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3807 messages

Déposé par ourson le 04/09/2019  
Un chien, un chat, c'est un cœur avec du poil autour

Déposé par poutounou le 01/09/2019  

Poème de Mr. de LAMARTINE, un peu triste mais tellement beau :
« On entend, dans l’espace, les choeurs mystérieux de l’Ange qui passe... »
*
La tristesse
*
L'âme triste est pareille
Au doux ciel de la nuit,
Quand l'astre qui sommeille
De la voûte vermeille
A fait tomber le bruit ;
*
Plus pure et plus sonore,
On y voit sur ses pas
Mille étoiles éclore,
Qu'à l'éclatante aurore
On n'y soupçonnait pas !
*
Des îles de lumière
Plus brillante qu'ici,
Et des mondes derrière,
Et des flots de poussière
Qui sont mondes aussi !
*
On entend dans l'espace
Les choeurs mystérieux
Ou du ciel qui rend grâce,
Ou de l'ange qui passe,
Ou de l'homme pieux !
*
Et pures étincelles
De nos âmes de feu,
Les prières mortelles
Sur leurs brûlantes ailes
Nous soulèvent un peu !
*
Tristesse qui m'inonde,
Coule donc de mes yeux,
Coule comme cette onde
Où la terre féconde
Voit un présent des cieux !
*
Et n'accuse point l'heure
Qui te ramène à Dieu !
Soit qu'il naisse ou qu'il meure,
Il faut que l'homme pleure
Ou l'exil, ou l'adieu !
*
Alphonse de LAMARTINE (1790-1869)

Déposé par poutounou le 25/08/2019  

Le cri tinte l’obscur et triste adieu de quelque vie éteinte….
*
Le cri
*
Près d'un étang désert, où dort une eau brunie,
Un rai du soir s'accroche au sommet d'un roseau ;
Un cri s'écoute, un cri désespéré d'oiseau,
Un cri pauvre et perdu dans la plaine infinie.
*
Comme il est faible et frêle et peureux et fluet !
Et comme avec tristesse il se traîne et s'écoute,
Et comme il se répète et comme avec la route
Il s'enfonce et se perd dans l'horizon muet !
*
Et comme il marque l'heure, au rythme de son râle,
Et comme, en son accent minable et souffreteux,
Et comme, en son écho languissant et boiteux,
Se plaint infiniment la douleur vespérale !
*
Il est si doux parfois qu'on ne le saisit pas.
Et néanmoins toujours, et sans fatigue, il tinte
L'obscur et triste adieu de quelque vie éteinte ;
Il dit les pauvres morts et les pauvres trépas :
*
La mort des fleurs, la mort des insectes, la douce
Mort des ailes et des tiges et des parfums ;
Il pleure au souvenir des vols qui sont défunts
Et qui gisent, cassés, dans l'herbe et dans la mousse.
*
Émile VERHAEREN (1855-1916)

Déposé par goulou50 le 19/08/2019  
‌Coucou petit ange, en cette journée difficile qui marque le départ de mon petit ange Murphy vers le paradis je viens remercier ta douce maman pour son émouvant message. 10 années qu'il à prit son envol, 10 années qu'il me manque beaucoup. Tous les merveilleux souvenirs passés ensembles ne s'oublieront jamais. Grâce à se site j'ai rencontrée des merveilleuses personnes, qui sont devenues mes amies et qui compte beaucoup pour moi. Nous avons le même chagrin et on se comprends. Je vous envoie des gros bisous et surtout et encore un grand merci pour ton soutiens mon amie

Déposé par poutounou le 18/08/2019  
« Paradis où le coeur donne ses rendez-vous... »
*
Le sommeil
*
Les perdus, les absents, les morts que fait la vie,
Ces fantômes d'un jour si longuement pleurés,
Reparaissent en rêve avec leur voix amie,
Le piège étincelant des regards adorés.
*
Les amours prisonniers prennent tous leur volée,
La nuit tient la revanche éclatante du jour.
L'aveu brûle la lèvre un moment descellée.
Après le dur réel, l'idéal a son tour !
*
Ô vie en plein azur que le sommeil ramène,
Paradis où le coeur donne ses rendez-vous,
N'es-tu pas à ton heure une autre vie humaine,
Aussi vraie, aussi sûre, aussi palpable en nous,
*
Une vie invisible aussi pleine et vibrante
Que la visible vie où s'étouffent nos jours,
Cette vie incomplète, inassouvie, errante,
S'ouvrant sur l'infini, nous décevant toujours ?
*
Augustine-Malvina BLANCHECOTTE (1830-1895)

Déposé par chloute59 le 18/08/2019  
Un grand merci mon amie d'être là...
Plein d'Amour pour toi ma belle Gaïa, ainsi que pour ta merveilleuse Maman qui pense à toi chaque jour, chaque minute, chaque seconde, Amitiés...

Déposé par chloute59 le 14/08/2019  
Merci du fond du cœur pour l'émouvant message de ta maman en ce pénible jour du mois. Je sais que je peux toujours compter sur elle lors de ces rendez-vous lourdement chargés en souvenirs, et cela représente beaucoup. Je te fais plein de douces papouilles, Petit ange et encore merci ma douce amie. Gros bisous...

Déposé par patdid le 13/08/2019  
Mon ptit monstre adoré
Ma Gaia , un mois de plus vient de s'écouler depuis ton envol , soixante seize, et ton absence m'est toujours autant pénible. Tu me manques mais tu restes et resteras à jamais dans mon coeur. Je t'aime très fortement ma Gaia mon ptit monstre adoré.

Déposé par chloute59 le 13/08/2019  
Coucou bel ange encore à nouveau cette date ces dates qui nous font tant souffrir ce manques, tu es à jamais et tu resteras à jamais dans le cœur de ta petite maman qui ta tant aimée et qui t'aimera toujours surtout veille bien sûr elle de ton joli petit paradis tu as une maman en or et moi une amie en or plein de gros câlins pour toi et de gros bisous pour vous deux je pense à vous....

Déposé par goulou50 le 13/08/2019  
Coucou ma belle Gaïa, à nouveau cette triste date qui est là et toutes mes pensées volent vers toi ma belle. Ta vie terrestre à était courte mais tu as laissée des souvenirs à ta famille qui ne s'oublieront jamais. Je t'envoie tout plein de gros câlins et de douces caresses
‌Au revoir mon amie
Quelque chose manque à ma vie,
Je le sens jour et nuit
Je sais qu'il me faudra du temps,
Pour vivre et rire comme avant
Mais pour l'instant, j'ai besoin de faire mon deuil,
Mon coeur doit se recoller seul,
Car si certains disent "ce n'était qu'un animal"
Je sais que j'ai perdue une vraie amie, et ça fait mal
Tu as apporté tant de bonheur dans la maison,
Tant de richesses, tant d'émotions,
Une bonne copine toujours présente,
Dans les bons et les mauvais moments
Ma meilleure amie, mon ombre, ma confidente,
Un membre à part entière de ma famille,
Tu ne me laisses pas seule face au néant,
Car je te garderai dans mon coeur toute ma vie

Déposé par Rebelwriter le 13/08/2019  
Ma Gaïa adorée,
En ce mois d'août, cela fait 76 mois que tu as revêtu tes ailes d'ange.
J'aimerais tant que tu puisses savoir que ton absence reste une souffrance indéfinissable et que, comme pour ma merveilleuse Sassie, rien ni personne ne te remplacera jamais. Tu étais tellement unique en ton genre <3
Tu me manques énormément, ma belle diablesse.
Je t'adore très très fort.

Déposé par ourson le 12/08/2019  
Une personne qui n'a jamais été propriétaire d'un chien a manqué une partie merveilleuse de sa vie.

Déposé par poutounou le 11/08/2019  

Un Paradis où « l'infini flotte dans l'éternel », comme le Paradis blanc de nos Anges !!!
*
Savez-vous pas...
*
Savez-vous pas quelque douce retraite,
Au fond des bois, un lac au flot vermeil,
Où des palmiers la grande feuille arrête
Les bruits du monde et les traits du soleil
- Oh ! je voudrais, loin de nos vieilles villes,
Par la savane aux ondoyants cheveux,
Suivre, en rêvant, les écureuils agiles,
Et voir sauter, sur les branches mobiles,
L'ara de pourpre et les bengalis bleus !
*
Savez-vous pas, sur les plages lointaines
Où n'ont jamais passé les matelots,
Une île heureuse aux suaves haleines,
Bouquet de fleurs effeuillé sur les flots ?
- Oh ! je voudrais, seul avec ma pensée,
Jetant au vent la poussière des jours,
Sentir mon âme aux vagues balancée,
Et m'endormir sur l'onde cadencée
Comme un enfant que l'on berce toujours !
*
Savez-vous pas, loin de la froide terre,
Là-haut ! là-haut ! dans les plis du ciel bleu,
Un astre d'or, un monde solitaire
Roulant en paix sous le souffle de Dieu ?
- Oh ! je voudrais une planète blonde,
Des cieux nouveaux, d'étranges régions,
Où l'on entend, ainsi qu'un vent sur l'onde,
Glisser la nuit, sous la voûte profonde,
Le char brillant de constellations !
*
Où fuir ? où fuir ? Par les routes humaines
Le sable est dur et le soleil est lourd.
Ma bouche ardente a tari les fontaines
Et l'arbre est mort où j'ai cueilli l'amour.
- Oh ! je voudrais, loin du temps et des choses,
Débarrassé de tout lien charnel,
Courir joyeux dans les métamorphoses,
Puis me plonger à la source des causes,
Où l'Infini flotte dans l'Éternel !
*
Louis BOUILHET (1822-1869)

Déposé par ourson le 08/08/2019  
Je me suis allongé par terre, j'ai laissé la peur me recouvrir, et essayé de continuer à respirer pendant qu'elle me secouait comme un chien secoue un rat.

Déposé par ourson le 06/08/2019  
Hier, j'étais un chien. Aujourd'hui, je suis un chien. Demain, je serai probablement toujours un chien. Bon sang ! Il est vraiment difficile d'obtenir de l'avancement !

Déposé par poutounou le 04/08/2019  

Que c’est bien dit : « Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche... »
*
Voix intérieure
*
Mon ami, quels ennuis vous donnent de l'humeur ?
Le vivre vous chagrine et le mourir vous fâche.
Pourtant, vous n'aurez point au monde d'autre tâche
Que d'être objet qui vit, qui jouit et qui meurt.
*
Mon âme, aimez la vie, auguste, âpre ou facile,
Aimez tout le labeur et tout l'effort humains,
Que la vérité soit, vivace entre vos mains,
Une lampe toujours par vos soins pleine d'huile.
*
Aimez l'oiseau, la fleur, l'odeur de la forêt,
Le gai bourdonnement de la cité qui chante,
Le plaisir de n'avoir pas de haine méchante,
Pas de malicieux et ténébreux secret,
*
Aimez la mort aussi, votre bonne patronne,
Par qui votre désir de toutes choses croît,
Et, comme un beau jardin qui s'éveille du froid,
Remonte dans l'azur, reverdit et fleuronne ;
*
L'hospitalière mort aux genoux reposants
Dans la douceur desquels notre néant se pâme,
Et qui vous bercera d'un geste, ma chère âme,
Inconcevablement éternel et plaisant...
*
Anna de NOAILLES (1876-1933)

Déposé par goulou50 le 01/08/2019  
Coucou petit ange, je viens remercier ta douce maman pour ses touchantes pensées pour les 10 ans de mon petit Kimo, ça me touche beaucoup. J'avoue que cette journée est très dure, il me manques tellement, il aurait pu vivre encore quelques années mais le destin en à décider autrement. Je vous envoie des gros bisous et encore merci

Déposé par ourson le 01/08/2019  
Les chiens rient, mais c’est avec leurs queues qu’ils le font

Déposé par poutounou le 28/07/2019  

Il y a une vie après la mort, c’est sûr !!! Mais qu’il est beau ce poème ! « Mort qu’on appelle enfin quand on l’a méditée… !!!»
*
Prière
*
Fantôme qui nous dois dans la tombe enfermer,
Mort dont le nom répugne et dont l'image effraie,
Mais qu'à force de crainte on finit par aimer,
Puisque la vie est vaine et que toi seule es vraie ;
*
Ô Mort, qui fais qu'on vit sans but et qu'on est las,
Et qu'on rejette au loin la coupe non goûtée,
Mort qu'on maudit d'abord et dont on ne veut pas,
Mais qu'on appelle enfin quand on t'a méditée ;
*
Ô la peur et l'espoir des âmes, bonne Mort,
Dont le souci nous trouble un temps, et puis nous aide,
Mystérieux écueil où se blottit un port,
Et poison merveilleux où se cache un remède. ...
*
Jules TELLIER (1863-1889)

Déposé par ourson le 27/07/2019  
La vie des chiens est trop courte. C’est vraiment leur seul défaut.




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