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En hommage à
sala
YORKSHIRE-TERRIER
Il est né le:28/01/2008
Il nous a quittés le:03/11/2021
 


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En hommage à sala

Ne t'inquiéte pas pour notre douleur.le 3nov 2021 tu nous as quitter triste a jamais nous serons.je tai veiller jour et nuit durant tes dernieres 48 heures.tu es partie paissiblement dans mes brasla plus dure dècision de ma vie.ta maman et ton papa.on t aime repose en paix





89 bougies

4455 Fleurs
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Le temps est trop lent, pour moi qui t'attends. Trop rapide, quand j'ai peur. Trop long quand je suis malheureuse. Trop court quand je suis heureuse. Mais pour toi que j'aime, le temps est éternel.
Déposé par colombine67
Déposé par colombine67
Le voyage de la vie est plus doux lorsqu’on voyage avec un chien
Déposé par nina1997
Déposé par nina1997
Aimer les chiens, c'est aimer en eux ce que nous les humains avons de plus sûr et de meilleur. Madeleine Chapsal
Déposé par valetheo
Déposé par valetheo
Le lien qui nous relie à nos loulous existera toujours 💓❤️💞❤️ amicalement
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Si on pouvait, on accrocherait un hamac entre deux étoiles et on dormirait toute une nuit avec eux.
Déposé par colombine67
Déposé par colombine67
Je ne pourrai vivre sans chien, sans l'amour d'un chien.
Déposé par nina1997
Déposé par nina1997
Je soupçonne les gens qui n'aiment pas les chiens mais je fais confiance à un chien quand il n'aime pas une personne
Déposé par valetheo
Déposé par valetheo
Nos loulous sont des anges déguisés venus sur terre pour nous apprendre la douceur ❤️❤️❤️❤️
Déposé par spanky
Déposé par spanky
Nos anges,attendez nous,le jour de notre mort,nous vous en faisons le serment,nous viendrons vous chercher au paradis des chiens,pour entamer notre plus belle ballade,celle qui n'aura pas de fin.
Déposé par dianthe
Déposé par dianthe
Farandole de bisous de friandises de câlins pour un 👼 🐾 inoubliable .Avec toute ma tendresse et mon amitié.,🐾🐾
Déposé par dianthe
Déposé par dianthe
Farandole de bisous de friandises de câlins pour un 👼 🐾 inoubliable .Avec toute ma tendresse et mon amitié.,🐾🐾
Déposé par dianthe
Déposé par dianthe
Farandole de bisous de friandises de câlins pour un 👼 🐾 inoubliable .Avec toute ma tendresse et mon amitié.,🐾🐾
Déposé par colombine67
Déposé par colombine67
Le plus grand plaisir d’un chien est que vous pouvez vous ridiculiser avec lui, et non seulement il ne vous grondera pas, mais il se ridiculisera aussi.
Déposé par valetheo
Déposé par valetheo
Une douce nuit bel ange 💓❤️💞 amicalement
Déposé par nina1997
Déposé par nina1997
L'amour d'un chien ne décevra jamais car il n'a rien promis mais donnera tout💗
Déposé par colombine67
Déposé par colombine67
A chaque fois que je perds un chien, il emporte avec lui un morceau de mon cœur. Chaque chien qui entre dans ma vie m'offre un morceau du sien.
Déposé par maclo
Déposé par maclo
merci infiniment de vos pensées et de votre témoignage d'amour adressés a mon petit AIKIDO adoré 😪😥
Déposé par valetheo
Déposé par valetheo
Caresses et câlins petit ange 💓 amicalement
Déposé par nina1997
Déposé par nina1997
Doux bisous sur ton joli museau 😘😘😘🧚‍♂️🧚‍♂️bel ange. Bien à vous 💫💫💫
Déposé par spanky
Déposé par spanky
J'ai peint l'amour dans le ciel, je lui ai donné 2 ailes pour qu'il s'envole vers toi et te dépose des bisous sur ta belle frimousse mon beau petit coeur.


1322 messages

Déposé par titji le 03/07/2024  
bonjour ma cherie 32 e mois que je pleure ton absence.la douleur est toujours la.je t aime ton papa bisoussssssssss

Déposé par spanky le 02/07/2024  
«  Va la chercher!  » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette.
L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : «  Va la chercher!  »
ISA FITTERMAN
Deux jeunes sœurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle.
De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées.
Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige.
Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit.
Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière.
Et ses festons de glace.
Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace.
Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau.
Puis il se produit un craquement sourd.
Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître.
Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance.
Il n’est pas prêt à rentrer à la maison.
Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller.
Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc.
Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux.
En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre.
Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement.
C’est alors qu’ils entendent des cris.
Ils regardent par-dessus la rambarde.
Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là.
« On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! »
Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! »
L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes.
Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir.
Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin.
« Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. »
Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau.
En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non.
À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre.
Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface.
Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace.
Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté.
« Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. »
Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? »
Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte.
Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets.
Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé.
« Les filles sont à l’eau !
— Dans une mare ?
— Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. »
Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur.
Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête.
Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette.
« De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté.
Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam  chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre.
Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même.
Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge.
L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés.
Que faire ?
La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente.
Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ?
« Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. »
Le chien est leur dernière chance.
« Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse.
Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait.
« Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! »
Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon.
« Tiens bon, dit-il. Tiens bon. »
Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil.
Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre.Rocky et Adam encadrent
Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer.
« C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra.
Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge.
« Maman, j’ai failli mourir. »
Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue.
Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle.
------

Déposé par titji le 02/07/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisousssssss

Déposé par titji le 01/07/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssssss

Déposé par titji le 30/06/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssss

Déposé par poutounou le 30/06/2024  
Avoir ta patte dans ma main, l’instant seulement d’une pause....
*
L'INSTANT D'UNE PAUSE
*
L’instant d'une pause
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
De se lever le matin
Sans plus en chercher la cause
De savoir que le chemin
Parfois peut-être morose
Et dans un sourire malin
Être prêt pour une pause
Il y a des jours où tout est gris
Et où l'on ne voudrait rien voir
Et puis, il y a notre coeur aussi
Qui nous conduit jusqu'au soir
Il y a cette solitude intense
Qui existe et qui est là
C'est dans ces moments, je pense,
Que je peux rêver de toi
À chercher, à tout comprendre
Je me demande si je verrais
Un jour les fleurs en décembre
Et la neige en été
Sur le site de mon coeur
Il y a tant de va-et-vient
Et j'en ressens la douleur
De la nuit jusqu'au matin
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
D'avoir ta patte dans ma main
L'instant seulement d'une pause.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par colombine67 le 30/06/2024  
Ils m’ont dit que ce grand Labrador noir s’appelait “Reggie”, tandis que je l’observais allongé dans son enclos. Le refuge était propre, et les gens qui y travaillaient avaient l’air sympathique. Cela faisait à peine six mois que je venais d’emménager dans cette petite ville universitaire, mais je trouvais déjà que les gens étaient chaleureux et très accueillants. Tout le monde vous disait bonjour quand vous les croisiez dans la rue.
Mais une chose manquait encore à ma nouvelle vie dans ce paisible endroit, et je m’étais dit qu’adopter un chien ne me ferait pas de mal. Cela me ferait un peu de compagnie. Et j’avais vu l’annonce concernant Reggie dans un journal local. Les gens du refuge m’ont dit qu’ils avaient reçu de nombreux appels, mais que les personnes qui étaient venues jusque-là ne leur semblaient pas être des “personnes à Labrador”, pour reprendre leurs mots. Ils ont dû penser que j’étais la bonne personne.
Mais au début, je me suis vite rendu à l’évidence et je me suis dit qu’ils m’avaient mal jugé en me confiant Reggie et les objets qui lui appartenaient, qui consistaient en une petite niche, un sac de jouets dont la plupart étaient des balles de tennis encore neuves, sa gamelle, et une lettre scellée de la part de son ancien propriétaire. En fait, Reggie et moi nous n’avons pas particulièrement accroché, une fois de retour à la maison. Ça a été la galère pendant deux semaines (le temps que les personnes du refuge m’avaient demandé de lui donner pour qu’il s’habitue à sa nouvelle maison).Peut-être que moi aussi, il aurait fallu que je m’habitue. Peut-être que lui et moi nous étions, au fond, un peu trop semblables…
Je ne sais pas pourquoi, mais ses affaires (mis à part les balles de tennis—il n’allait nulle part sans en avoir deux englouties dans sa bouche) se sont retrouvées dans un coin avec le reste des cartons que je n’avais pas encore déballés. Je m’étais dit qu’il n’aurait pas vraiment besoin de tous ces vieux trucs, que je lui achèterais de nouveaux jouets une fois que ça irait mieux. Mais j’ai compris très vite que cela ne serait pas le cas.
J’ai d’abord essayé de lui dire les paroles que les gens du refuge m’avaient dit qu’il connaissait, comme “assis”, “reste là” “viens ici” et il écoutait - enfin, quand il lui prenait l’envie. Il n’avait jamais l’air de vraiment m’écouter quand je l’appelais par son nom - bien sûr, il regardait vaguement vers moi après la quatrième ou cinquième fois, mais il reprenait presque immédiatement le cours de ses occupations. Quand je l’appelais encore, on aurait presque cru l’entendre soupirer avant qu’il obéisse enfin à contrecœur.
Je savais que cela n’allait pas être possible. Il a mâché deux paires de chaussures et il a détruit l’un de mes cartons. J’étais peut-être un peu trop froid avec lui, et je savais qu’il ressentait cela. Cela ne collait pas du tout entre nous, au point que j’ai fini par attendre avec impatience la fin de la deuxième semaine pour pouvoir le rapporter au refuge. Le moment venu, je cherchais frénétiquement mon téléphone au milieu de mes cartons. Je me suis souvenu que je l’avais laissé sur l’un des cartons de la chambre d’amis, mais j’ai dit cyniquement entre mes dents que ce “foutu corniaud l’a probablement mangé”.
Finalement, j’ai retrouvé le téléphone mais avant d’avoir pu taper le numéro du refuge, j’ai trouvé son panier et d’autres jouets. J’ai balancé le panier dans la direction de Reggie, et c’est là qu’il a commencé à le renifler et à remuer la queue. C’était la première fois que je le voyais si enthousiaste, mais quand je l’ai appelé, il m'a lancé un regard vide et il s’est couché au sol. En me tournant le dos.
Bon, cela ne va pas s’arranger comme ça, ai-je pensé. Alors, j’ai composé le numéro.
Mais j’ai raccroché immédiatement quand j’ai vu l’enveloppe scellée. Ça aussi, je l’avais complètement oublié. “Ok, Reggie,”ai-je dit à voix haute,” voyons si ton ancien maître a des conseils à me donner.” J'ouvre alors l'enveloppe et tombe sur une lettre:
À celui qui adoptera mon chien :
Bon, je ne peux pas vraiment dire que je sois heureux que tu lises cette lettre, que j’ai confiée au refuge en leur disant qu’elle ne pourrait être ouverte que par le nouveau maître de Reggie. Je ne suis pas non plus heureux de devoir l’écrire. Si tu lis ceci, cela signifie que je viens de rentrer de mon dernier trajet en voiture avec mon chien, après l’avoir laissé au refuge. Il savait que cette fois, quelque chose était différent. J’ai déjà emballé toutes ses affaires pour les mettre dans le coffre arrière de la voiture, mais cette fois-là… C’est comme si il savait que quelque chose n’allait pas. Et quelque chose ne va pas… c’est pourquoi je dois tout faire pour que tout aille bien.
Alors, laisse-moi te parler un peu de mon Labrador, dans l’espoir que cela vous aide à vous lier d’amitié tous les deux.
Tout d’abord, tu l’auras remarqué, il adore les balles de tennis. Plus il en a, plus il est content. Parfois je me demande s-il n’est pas croisé avec un écureuil, vu comme il aime les collectionner. D’habitude, il en a toujours deux fourrées dans sa bouche, et il essaye d’en faire rentrer une troisième. Jusqu’ici, il n’a jamais réussi. Tu peux les lancer ou tu veux, il se mettra à courir après - alors attention à ne pas le faire près d’une route. J’ai fait cette erreur une fois, et il a bien failli se faire renverser.
Ensuite, il y a les mots qu’il connaît. Les gens du refuge te l’ont peut-être déjà dit, mais il connaît les mots les plus courants— “assis”, “reste là”, “viens ici.” Il sait aussi donner la patte et il est réactif aux signes de la main. Il fait “couché” quand il a envie - mais je suis sûr que tu pourras travailler cela avec lui. Il connaît les mots “balle” “croquette” et “os”. Je l’ai dressé en lui donnant des petites récompenses. Le mieux pour qu’il ouvre grand les oreilles, c’est des petits morceaux de saucisse.
Il est à jour dans ses vaccins. Appelle le vétérinaire pour récupérer le dossier, c’est un type bien et il te rappellera quand il faudra l’amener là-bas. Mais sois prévenu : Reggie déteste le vétérinaire. Bonne chance pour le faire monter dans la voiture (je ne sais pas comment il sait quand on l’y emmène, mais crois-moi, il sait !)
Enfin, laisse-lui le temps de s’adapter. Je n’ai jamais été marié, alors ça a toujours été juste lui et moi, depuis qu’il est né. Il me suivait partout, alors si tu peux, amène-le en voiture avec toi quand c’est possible. Il a l’habitude, il est propre et n’aboie pas. Il adore sortir et passer du temps avec des gens, et avec moi tout particulièrement.
Ce qui signifie que la transition sera très dure pour lui, puisqu’il n’a jamais vécu dans une autre maison que la mienne.
Et c’est pourquoi il est temps que je te dise la vérité et que je te donne quelques informations supplémentaires…
Son nom n’est pas Reggie.
Je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela, mais quand je l’ai laissé au refuge, je leur ai dit qu’il s’appelait Reggie. Je n’ai tout simplement pas pu leur dire son vrai nom. Si je l’avais fait, cela m’aurait paru si extrême que cela aurait été comme admettre le fait que je ne le reverrais plus jamais. Et si jamais je reviens, que je le récupère et que je déchire cette lettre, cela voudra dire que tout va bien. Mais si tu es en train de lire ceci, alors… alors ça veut dire que son nouveau propriétaire doit connaître son vrai nom. Cela t’aidera à te lier d’amitié avec lui. Qui sait, peut-être même que tu remarqueras quelques changements, s’il te pose des problèmes au début.
Son vrai nom est Tank. Parce que c’est ce que je conduis.
Si tu lis ce message et que tu habites dans le coin, peut-être que tu auras lu mon nom dans les journaux. J’ai dit aux gars du refuge qu’ils ne proposent pas “Reggie” à l’adoption tant qu’ils n’auront pas reçu un appel de la part du commandant de ma compagnie. Tu comprends, mes parents sont partis, je n’ai pas de frère et sœurs, personne à qui j’aurais pu confier Tank… Et la seule requête que j’ai fait à l’armée quand ils m’ont annoncé mon déploiement en Irak, c’était de prévenir le refuge… en cas d’”accident”... pour leur dire que Tank était prêt à avoir un nouveau maître. Heureusement, mon colonel adore lui aussi les chiens, et il savait bien vers où ma division avait été envoyée. Il m’a donné sa parole qu’il s’en occuperait personnellement. Et si tu lis ceci, alors cela signifie qu’il a tenu sa parole.
Bon, désolé, cette lettre devient vraiment déprimante même si, franchement, je l’écris juste pour mon chien. Je n’imagine même pas ce que cela aurait été si j’avais dû le faire pour une femme et des enfants… mais quand même, Tank a été ma seule famille au cours des six dernières années.
Et à présent, j’espère que tu sauras lui faire une place au sein de ta famille à toi, qu’il s’habituera et qu’il finira par t’aimer tout comme il a pu m’ aimer.
Cet amour inconditionnel, c’est ce que j’ai emporté avec moi, comme une source d’inspiration pour faire don de moi-même pour protéger les autres. Si je devais abandonner Tank pour le faire, alors je suis heureux de faire ce sacrifice. Il était pour moi un exemple d’amour et de dévouement. J’espère l’avoir honoré par mon dévouement envers mes camarades de front.
C’est bon, c’en est assez. Ce soir, je serais envoyé au front, et je dois encore déposer cette lettre au refuge. Je ne pense pas que j’irais dire au revoir à Tank une nouvelle fois. J’ai bien assez pleuré la première fois. Peut-être que je glisserai juste un regard, pour voir s'il a finalement réussi à mettre cette troisième balle de tennis dans sa bouche.
Bonne chance avec Tank. Soigne-le bien, et donne-lui une caresse en plus de ma part, chaque soir, pour lui dire bonne nuit.
Merci,
Paul Mallory
J’ai replié la lettre, et je l’ai replacée avec précaution dans l’enveloppe. Bien sûr, j’avais entendu parler de Paul Mallory, tout le monde en ville le connaissait, même les nouveaux habitants comme moi. Un gosse du coin, mort en Irak quelques mois auparavant et décoré à titre posthume de la croix d’honneur, pour avoir sauvé trois de ses compagnons avant de mourir. Les drapeaux avaient été en berne tout l’été.
Je me suis penché en avant, les coudes posés sur les genoux, et j’ai regardé le chien.
“Hé, Tank,” ai-je murmuré. La tête du chien s’est soudainement redressée, ses oreilles se sont dressées et son regard s’est illuminé.
“Viens par ici.” Il était debout, ses ongles ont cliqueté sur le parquet. Il s’est assis devant moi, la tête penchée, comme s’il cherchait ce nom qu’il n’avait pas entendu depuis des mois.
“Tank,” ai-je murmuré. Sa queue se mit à battre l’air.
J’ai continué à murmurer ce nom, encore et encore, et chaque fois, ses oreilles se baissaient un peu plus, son regard d’adoucissait et son corps se détendait tandis qu’une vague de bonheur semblait le traverser. J’ai frotté ses oreilles, j’ai gratté son dos, j’ai enfoui mon visage dans sa fourrure tout en le serrant contre moi.
“C’est moi, Tank, juste toi et moi. Ton vieil ami t’a confié à moi.” Tank a tendu la tête et m’a léché la joue. “Alors, tu veux jouer à la balle?” Ses oreilles se sont alors dressées d’un coup. “Hein? La balle? T’aimes ça, hein ? La balle ?” Tank s’arracha de mes bras et disparut d’un bond dans l’autre pièce.
Quand il est revenu, trois balles de tennis se trouvaient dans sa bouche...

Déposé par titji le 29/06/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssss

Déposé par titji le 28/06/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisousssssssssss

Déposé par spanky le 28/06/2024  
Petite colombe, dis lui
----
Petite colombe,
dis lui que je tombe,
moi je n'ai pas d'aile,
pour aller vers lui ...
---
Petite colombe,
souvent je retombe,
dans les vieux souvenirs,
pour encore essayer de le retenir,
voulant le faire revenir...
---
Petite colombe,
dis lui que je succombe,
souvent, bien trop souvent,
face à mes sentiments,
qui sont voués à s'envoler dans le vent...
---
Petite colombe, dis lui,
comme il manque à ma vie,
que son paradis, bien que joli,
n'a peut être pas de prix,
mais celui qui me l'a prit, c'est lui...
-----
Texte de Sundhauser Flaviené
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Déposé par titji le 27/06/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssss

Déposé par spanky le 26/06/2024  
Suite à une dispute avec son mari, Shannon Lorio a pris sa voiture et a emprunté une des routes près de chez elle
qui était particulièrement sinueuse et venteuse.
Et malheureusement, en empruntant l'un des virages, Shannon a perdu le contrôle de son véhicule qui a zigzagué
avant de terminer sa course près des arbres, la rendant ainsi invisible des automobilistes empruntant la même route qu'elle.
----
Le choc l'ayant propulsé à travers le pare-brise arrière de sa voiture, Shannon était inconsciente.
Mais lorsqu'elle a repris ses esprits, elle a senti une présence et a découvert qu'il s'agissait d'un grand chien.
Celui-ci s'est approché d'elle et a léché le sang qui se trouvait sur son visage.
De peur, la femme a perdu à nouveau connaissance mais lorsqu'elle s'est réveillée,
elle s'est rendu compte que l'animal était en train d'essayer de la sortir de la carcasse de la voiture en tirant sur sa chemise et sur sa veste.
Une fois hors du véhicule, le chien a continué à la tirer par ses vêtements afin de l'approcher de la route.
----
C'est alors que Shannon a aperçu un véhicule et s'est redressée en prenant appui sur le chien.
La voiture s'est alors arrêtée et elle a pu demander de l'aide et être rapidement amené dans l'hôpital le plus proche. Depuis,
Shannon va beaucoup mieux même si elle boite encore un peu.
Le chien errant, quant à lui, a hérité du nom de "Hero" et a été adopté par une dresseuse de chiens de sauvetage.
Ainsi, il pourra venir en aide à beaucoup d'autres personnes et en particulier lors de l'effondrement de bâtiments ou de catastrophes naturelles.
-----

Déposé par titji le 26/06/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssss

Déposé par titji le 25/06/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisousssssssss

Déposé par titji le 24/06/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisousssssss

Déposé par spanky le 24/06/2024  
Pour tous nos petits loulous disparus ....
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AFFRONTER CE GRAND ET TERRIBLE VIDE
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"Les vieux chiens
J’ai toujours dit que les chiens étaient des professeurs, OUI, des professeurs de la vie.
Ils sont le reflet de nous en temps de vie accéléré.
Quand on adopte un chien, on sait qu’il nous sera prêté pour environ une décennie ou un peu plus.
Cet amour et ce lien qu’on développe avec lui n’a encore aucun mot d’inscrit au dictionnaire des humains pour le décrire.
Il faut l’avoir vécu pour le comprendre.
Je dirais : un amour sans jugement et inconditionnel quand la relation est là.
Un grand amour qui ne se mesure pas en mot.
Quand on adopte un chien, on vit une lune de miel interminable, on prend des photos dans notre tête, on redevient un enfant, on rit, on pleure d’émotions,
le chien nous touche dans notre âme et nous ramène toujours dans ce fameux instant présent.
Il devient une partie de nous, de notre vie d’humain, de notre routine, on l’inclue dans nos activités dans ABSOLUMENT TOUT.
Il devient le témoin silencieux de notre jardin secret et le seul être vivant avec lequel on passe autant de temps à s’aimer sans parler.
Ce temps si précieux, passe malheureusement TROP vite, les années défiles à vitesse GRAND V.
Puis un jour comme ça, sans préavis, notre ami, notre toutou, RALENTIT…il dort plus, il a moins d’appétit, il commence à lui sortir des poils blancs, il demande des soins vétérinaires plus fréquents…et là…pafff…on réalise…IL EST VIEUX…FATIGUÉ , on doit modifier notre environnement, lui éviter les escaliers ou l’aider à monter , lui acheter de la nourriture molle, lui donner de la médication pour aider ses articulations…on se rend vite compte qu’il redevient comme un chiot…il demande beaucoup de soins…il n’a plus la capacité de se retenir pour les besoins, on doit le sortir plus souvent, il devient sourd ou aveugle, il s’isole,
il devient moins tolérant à la proximité et au câlin…
Il devient vulnérable …NOTRE VIE BASCULE COMPLÈTEMENT vers une autre réalité…notre pitou jadis joueur, taquin, câlin, intrépide, a graduellement disparu.
On apprend à s’improviser spécialiste en soin animalier : deviner NOTRE PITOU pour qu’il soit bien, devient l’activité principale.
On apprend à devenir un accompagnateur de fin de vie.
TOUTE UNE ÉTAPE!
Notre chien devient le reflet de ce qu’on vivra quand nous aussi nous y serons à cette fameuse croisée des chemins ou la fin de la vie nous attend tous.
Alors par amour on donne tout.
Rendu à ce stade, on devient tous anxieux, émotifs, on pleure bien avant le grand départ.
On se rappelle notre histoire de ce qui était, ce qui n’est plus et ce qui va disparaitre.
On se résigne, on se fâche contre la vie qui a passé trop vite…les émotions qui s’entrechoquent, peine, colère, impuissance,
on anticipe ce vide qui planera sans cesse sur notre cœur.
Ensuite vient la résilience, on finit par accepter et on apprend à improviser chaque jour, en vivant une journée à la fois, comme si c’était la dernière, car le matin suivant sera peut-être le dernier.
Nos chiens si sages et si généreux nous enseignent et nous préparent à cette épreuve, un peu chaque jour, en s’éloignant de nous chacun à leur façon.
Quand le fameux jour de dire adieu arrive…nous ne sommes jamais prêt …mais on le sait, le chien nous parle, nous chuchote au cœur qu’il est temps de se dire au revoir…
et je crois que c’est le seul moment ou humain et chien devienne UN ÊTRE sans distinction de race…
quand la mort passe nous devenons tous égaux et nu devant le grand maitre du temps.
C’est la dernière ballade à faire ensemble, patte dans la main, UNIS …c’est l’adrénaline qui nous tient pour être en mesure de se rendre là…d’accepter qu’un vétérinaire mette l’aiguille qui enlèvera le dernier souffle de notre compagnon de vie…c’est le pire moment, LE AVANT ET LE PENDANT …ça prend tellement de contrôle de soi pour y arriver, mais le chien nous guide et se laisse toujours bercer contre nous quand il s’apprête à voyager léger pour quitter son corps.
Ensuite sonne l’heure des larmes qui coulent à l’infini, mais qui viennent avec cette certitude que maintenant, il est heureux et libre de douleur.
Il peut enfin courir au paradis des chiens!
L’histoire est terminée…la réalité d’après… c’est le pire. AFFRONTER LE GRAND VIDE.
La fin avec un chien, est un deuil interminable mais quand on accompagne un chien dans la vieillesse et la mort, qu’on a ce privilège de terminer la route ensemble,
c’est aussi un cadeau et un apprentissage de l’amour.
Il n’y a encore une fois aucun mot qui existe pour décrire cette expérience.
Ceux qui l’ont vécu comprennent et c’est tout.
Cette douleur, si forte soit-elle, nous amène quand même à vouloir retoucher ce bonheur, cette connexion que seul un humain et un chien peuvent avoir.
Puis une autre histoire s’écrira…
JE N’OUBLIERAI JAMAIS AUCUNE DE CES ÂMES QUI SONT PARTIES EN TRAVERSANT MON CŒUR POUR LAISSER LEUR MARQUE À JAMAIS.
Mon cœur et mon corps sont tatoués de chiens.
Merci aux chiens de ce monde qui font de nous de meilleurs humains."
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Déposé par titji le 23/06/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisousssssssssss

Déposé par titji le 22/06/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssssssss

Déposé par spanky le 22/06/2024  
JE SUIS UN CHEVAL DE CORRIDA.
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J’AI LES CORDES VOCALES COUPÉES POUR NE PAS HENNIR DE DOULEUR.
J’AI LES YEUX BANDÉS POUR NE PAS RECULER DE PEUR.
J’AI DE LA VASELINE DANS LES NARINES POUR NE PAS SENTIR L’ODEUR DU SANG.
J’AI DU COTON DANS LES OREILLES POUR NE PAS ENTENDRE LES PLEURS DU TAUREAU…
JE RISQUE MA VIE POUR UN PLAISIR SADIQUE.
JE SUIS UNE VICTIME OUBLIÉE, SILENCIEUSE DES CORRIDAS…
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Déposé par titji le 21/06/2024  
bonjour ma cherie je t aime ton papa bisoussssssss




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