En hommage à
New Diego dit Boubou
2011 / 2019


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En hommage à
New Diego dit Boubou

Il est né le:23/11/2011
Il nous a quittés le:23/07/2019



28 bougies

7500 Fleurs
Seules les fleurs déposées depuis moins d'un an sont visibles



 
706 messages

Déposé par choupinou le 19/09/2024  
Je voudrais que tu reviennes,
que tu grattes à la porte,
et que j'entende ton jappement,
pour me faire comprendre :
regarde ce que je vais t'offrir,
et j'ouvrirai, dans l'espoir,
et tu seras là, bien revenu de la haut.
Mais je sais que ce n'est qu'un rêve,
et dieu sait comme il fait mal ....

Déposé par poutounou le 18/09/2024  
Vous croyez qu’ils jouent aux billes là-haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! Moi j’adorais jouer aux billes…
*
Un Ange parfois joue aux billes…
*
Ah ! que de merveilles scintillent
Lorsque danse une goutte d'eau !
Un ange parfois joue aux billes,
Une étoile tombe au ruisseau.
On ne sait jamais quel manteau
De fée courant dans les jonquilles
On peut coudre avec une aiguille
En rêvant derrière un carreau.
*
Maurice Carême

Déposé par poutounou le 15/09/2024  
Coulez, ô larmes éternelles, car ici-bas je reste seul…
*
L'ange envolé.
*
Mon ange a reployé ses ailes
Et dort glacé sous un linceul ;
Coulez, ô larmes éternelles,
Car ici-bas je reste seul.
*
Ô chère ombre au ciel envolée,
Chaque nuit sous les noirs cyprès
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens épancher mes regrets.
*
Cette douce sœur de mon âme,
Pour charmer mon cœur attristé,
Me parlait encore de sa flamme
Sur le seuil de l'éternité.
*
Ô chère ombre au ciel envolée,
Chaque nuit sous les noirs cyprès
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens épancher mes regrets.
*
Si jusqu'à toi, de cette terre
S'élève mon chant désolé,
Sois attentive à ma prière
En ton beau royaume étoilé.
*
Ô chère ombre au ciel envolée,
Chaque nuit sous les noirs cyprès
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens épancher mes regrets.
*
François-Marie Robert-Dutertre (1815-1898)

Déposé par poutounou le 11/09/2024  
Le Bonheur c’est une truffe fraîche dans le cou…
*
Le bonheur
*
Le bonheur est une plume
La plus légère qui soit.
Il faut l'attraper
Quand elle passe.
*
Le bonheur se cueille dans l'instant,
Avec précaution
Comme une fleur,
Avant qu'elle ne se fane.
*
Le bonheur est cette poudre de soie,
Qui passe, légère, devant la lune,
L'effleure, l'enserre,
Et la pénètre de sa paix.
*
Même fragile, le bonheur
Transfigure les choses insignifiantes,
Il fait oublier le réel,
Alors que la pensée remodèle nos traits.
*
La joie monte en nous, quand nous la donnons.
C'est cela le moteur du bonheur.
La découverte du bonheur d'aimer
S'ajoute au bonheur d'être aimé.
*
Et malgré la nuit du monde,
Malgré les destructions,
Tenons notre lampe allumée,
Pour que vive au dehors la lumière du bonheur.
*
Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne

Déposé par poutounou le 08/09/2024  
La joie
*
O ces larges beaux jours dont les matins flamboient !
La terre ardente et fière est plus superbe encor
Et la vie éveillée est d'un parfum si fort
Que tout l'être s'en grise et bondit vers la joie.
*
Soyez remerciés, mes yeux,
D'être restés si clairs, sous mon front déjà vieux,
Pour voir au loin bouger et vibrer la lumière ;
Et vous, mes mains, de tressaillir dans le soleil ;
Et vous, mes doigts, de vous dorer aux fruits vermeils
Pendus au long du mur, près des roses trémières.
*
Soyez remercié, mon corps,
D'être ferme, rapide, et frémissant encor
Au toucher des vents prompts ou des brises profondes ;
*
O ces matins de fête et de calme beauté !
Roses dont la rosée orne les purs visages,
Oiseaux venus vers nous, comme de blancs présages,
Jardins d'ombre massive ou de frêle clarté !
*
A l'heure où l'ample été tiédit les avenues,
Je vous aime, chemins, par où s'en est venue
Celle qui recélait entre ses mains, mon sort ;
*
Je vous aime, lointains marais et bois austères,
Et sous mes pieds, jusqu'au tréfonds, j'aime la terre
Où reposent mes morts.
*
J'existe en tout ce qui m'entoure et me pénètre.
Gazons épais, sentiers perdus, massifs de hêtres,
Eau lucide que nulle ombre ne vient ternir,
Vous devenez moi-même étant mon souvenir.
*
Emile Verhaeren, La Multiple Splendeur

Déposé par poutounou le 04/09/2024  
L'écho
*
Rôdant, triste et solitaire
Dans la forêt du mystère,
J’ai crié le coeur très las :
- « La vie est triste ici-bas ! »
L’Écho m’a répondu : « Bah ! »
– « Écho, la vie est méchante ! »
Et, d’une voix bien touchante,
L’Écho m’a répondu : « Chante ! »
– « Écho, Écho des grands bois,
Lourde, trop lourde est ma croix ! »
L’Écho m’a répondu : « Crois ! »
– « La haine en moi va germer,
Dois-je rire ou blasphémer ? »
Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! »
Comme l’Écho des grands bois
M’a conseillé de le faire :
J’aime, je chante et je crois !
Et je suis heureux sur terre !
*
Théodore Botrel (1868-1925)

Déposé par poutounou le 01/09/2024  
Elévation
*
Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
Par-delà le soleil, par-delà les éthers,
Par-delà les confins des sphères étoilées,
*
Mon esprit, tu te meus avec agilité,
Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde,
Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde
Avec une indicible et mâle volupté.
*
Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides;
Va te purifier dans l'air supérieur,
Et bois, comme une pure et divine liqueur,
Le feu clair qui remplit les espaces limpides.
*
Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
S'élancer vers les champs lumineux et sereins ;
*
Celui dont les pensées, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes !
*
Charles Baudelaire (1821-1867), Les fleurs du mal

Déposé par poutounou le 28/08/2024  
La richesse
*
Un jour, le père d'une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment les gens pauvres vivent. Ils y passent quelques jours sur la ferme d'une famille qui n'a pas beaucoup à leur offrir.
Au retour, le père demande à son fils : "As-tu aimé ton séjour?"
"C'était fantastique, papa".
"As-tu vu comment les gens pauvres vivent ?" demande encore le père.
"Ah oui" répond le fils.
"Alors qu'as-tu appris ?"
Le fils lui répond :
"J'ai vu que nous n'avions qu'un chien, alors qu'ils en ont quatre.
Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils ont une grande rivière.
Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des étoiles partout dans le ciel.
Nous avons une immense galerie à l'avant, et eux ont l'horizon.
Nous avons un domaine, mais eux ont des champs à perte de vue.
Nous avons des serviteurs alors qu'eux servent les autres.
Nous achetons nos denrées et eux les cultivent.
Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger, eux ont des amis qui les protègent."
Le père en resta muet.
Le fils rajouta : "Merci papa de m'avoir montré tout ce que nous n'avons pas."
Trop souvent nous oublions ce qui nous est acquis pour nous morfondre sur ce que nous n'avons pas...
Ce qui est un objet sans valeur pour un, peut très bien être un trésor pour un autre.
Ce n'est qu'une question de perspective.
C'est à se demander ce qui arriverait si on rendait grâce pour tout ce que nous avons, au lieu d'en vouloir plus.
Apprenez à apprécier ce que vous avez, y compris vos amis.
*
Anonyme

Déposé par poutounou le 25/08/2024  
Message d’un « être humain » pour lequel j’avais beaucoup d’estime…
*
Le secret du bonheur...
*
Vous valez ce que vaut votre coeur. Toute l'histoire de l'humanité est l'histoire du besoin d'aimer et d'être aimé. ...
*
Quel que soit l'usage qu'en font les humains, le cœur, symbole de l'amitié et de l'amour, a aussi ses normes, son éthique. Faire place au coeur dans la construction harmonieuse de votre personnalité n'a rien à voir avec la sensiblerie ni même la sentimentalité. Le coeur, c'est l'ouverture de tout l'être à l'existence des autres, la capacité de les deviner, de les comprendre.
*
Une telle sensibilité, vraie et profonde, rend vulnérable. C'est pourquoi certains sont tentés de s'en défaire en se durcissant.
*
Aimer, c'est donc essentiellement se donner aux autres. Loin d'être une inclination instinctive, l'amour est une décision consciente de la volonté d'aller vers les autres. Pour pouvoir aimer en vérité, il faut se détacher de bien des choses et surtout de soi, donner gratuitement, aimer jusqu'au bout. Cette dépossession de soi, oeuvre de longue haleine, est épuisante et exaltante. Elle est source d'équilibre. Elle est le secret du bonheur.
*
Jean-Paul II, Extrait du Message aux jeunes de France, Paris, 1980

Déposé par tazounette le 24/08/2024  
61 mois que tu as mis tes ailes
61 mois de manque de toi
61 mois de torture
61 mois ..............
Je t'aime pour toujours

Déposé par poutounou le 21/08/2024  
Et oui ! Alors courage et au boulot….!!!
*
L'amour n'est pas tout fait, il se fait
*
L’amour n'est pas robe ou costume prêt à porter,
mais pièce d'étoffe à tailler, à monter et à coudre.
*
Il n'est pas sommet vaincu,
mais départ de la vallée, escalades passionnantes, chutes douloureuses, dans le froid de la nuit ou la chaleur du soleil éclatant.
*
Il n'est pas solide ancrage au port du bonheur,
mais levée d'ancrage et voyage en pleine mer, dans la brise ou la tempête.
*
Il n'est pas OUI triomphant, énorme point final qu'on écrit en musique, au milieu des sourires et des bravos,
mais il est multitude de "oui" qui pointillent la vie, parmi une multitude de "non", qu'on efface en marchant.
*
Il n'est pas une brusque apparition de vie nouvelle, parfaite dès sa naissance,
mais jaillissement de source et long trajet de fleuve aux multiples méandres, asséché quelquefois, débordant d'autres fois, mais toujours cheminant vers la mer infinie.

Déposé par poutounou le 18/08/2024  
Ralentis ton rythme !
*
As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel
ou écouté la pluie tomber sur le toit ?
Déjà suivi un papillon volant gaiement
ou bien admiré un coucher de soleil ?
*
Tu devrais t'y arrêter.
Ne danse pas trop vite
car la vie est courte.
La musique ne dure pas éternellement.
*
Est-ce que tu cours
toute la journée, toujours pressé ?
Lorsque tu demandes "Comment ça va ?",
est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ?
*
Lorsque la journée est terminée,
est-ce que tu t'étends dans ton lit
avec 100.000 choses à faire qui courent dans ta tête ?
Tu devrais ralentir.
*
As-tu déjà dis à ton enfant :
"Nous le ferons demain" et le remettre au surlendemain ?
Déjà perdu contact avec un ami, laisser une amitié mourir
parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour
*
Tu ferais mieux de ralentir,
ne danse pas trop vite
car la musique cessera un jour.
La vie est si courte.
*
Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part,
tu manques la moitié du plaisir d'y être.
Lorsque tu t'inquiètes et te fais du souci toute la journée,
c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais.
*
La vie n'est pas une course,
tu dois ralentir ton rythme,
prends le temps d'écouter la musique
avant que la chanson ne soit terminée.
*
Anonyme

Déposé par poutounou le 14/08/2024  
Une jolie petite histoire « vraie »…
*
Le petit garçon et les étoiles de mer
*
Pendant mes dernières vacances, au bord de la mer, un matin en arrivant sur la plage, j'ai découvert des milliers d'étoiles de mer qui s'étaient échouées dans la nuit. J'étais complètement estomaqué par ce spectacle quand je vois un petit garçon au bord de la mer qui prend une étoile de mer entre ses deux doigts et la rejette à la mer. Pendant que je m'approche, il continue sa tâche en essayant de lancer les étoiles de mer le plus loin possible dans la mer. Arrivé près de lui, je le félicite pour ce qu'il a entrepris, mais je lui fais remarquer que c'est une tâche impossible :
*
- Même si tu continues tout le temps à les rejeter, une par une, à la mer, compte tenu des milliers et des milliers d'étoiles de mer qui se sont échouées, à la fin de la journée, on ne verra pas beaucoup la différence sur la plage.
*
A ce moment là, le jeune garçon, qui venait de prendre délicatement une étoile de mer, s'est redressé, il m'a regardé droit dans les yeux et avec un grand sourire, il m'a dit :
- D'accord, peut-être que ça ne changera pas beaucoup de choses sur la plage, mais, pour cette étoile de mer là, ça fait une sacrée différence.
*
C’est pareil pour un chien qu’on sort d’un refuge. Il y aura toujours plein de chiens dans les refuges, mais pour celui qu’on aura sorti de là, la vie ne sera plus la même ; pour lui ça fera une sacrée différence…. Si Dieu me prête vie et santé aussi, le prochain chien que je prendrai viendra d’un refuge.

Déposé par poutounou le 11/08/2024  
Voilà la vie de nos doux Anges au cieux… !!! Ca fait rêver, non ? Moi ça me donnerait bien envie d’y faire un petit tour, juste pour voir… !!!
*
Le banquet
*
Que de choses sur la table,
Nous allons les manger!
Le vin est délectable
Il faudra s'en gorger.
*
Divins breuvages
Nous rendant moins sages
Abondance de nourriture
Jusqu'à l'exquise confiture...
*
On apporte aussi les fruits
Dont on s'empiffre sans bruit.
Les raisins aux grappes lustrées,
Débordent des panerées.
*
L'air s'imprègne d'une odeur framboisée
Le coulis d'une glace ainsi parfumée
Offre à nos papilles émoustillées
La saveur des saisons passées.
*
Mangeons, buvons,
Ne boudons pas les plaisirs de la table
Ensemble, nous, joyeux lurons,
Goûtons ces délices immuables.
*
© Janine Loisel

Déposé par poutounou le 07/08/2024  
Très beau poème de Brigitte Bruyns, décédée en novembre 2005, envoyé par son conjoint après son départ. Pour nos Anges aussi ce n’était qu’un simple départ, un au revoir… Nous les reverrons, j’en suis sûre, là-haut, juste derrière les nuages… !!!
*
Un au revoir
*
Un vent étrange souffle sur les coeurs pourpres,
Et rend les regards troubles.
La goutte de pluie s'est transformée en perle puis en larme,
Mais un rayon de chaleur l'a empêchée de tourner en drame.
Pour moi, les adieux n'existent pas,
Je sais bien que ce jour, je ne l'oublierai pas.
Vous m'avez tous aidée et supportée pendant ces années,
Et je ne sais pas comment vous en remercier.
Pourtant, l'heure venue de mon départ,
Je ne saurais m'empêcher de noyer mes larmes dans un dernier regard.
Tant d'années se sont écoulées,
Tant de mois ont filé,
Tant de jours sont passés,
Et tant d'heures ont coulé.
Alors pourquoi dramatiser, ce n'est qu'un simple départ,
Dont je garde pour moi, l'espoir d'un jour vous revoir,
Mais pour conclure, je vous dirai simplement
Que ceci est une fête pour se dire au revoir,
De plus, il ne faut pas qu'elle ait l'odeur d'un triste départ.
*
© Brigitte Bruyns

Déposé par poutounou le 04/08/2024  
J'OUBLIE... QUAND...
*
J'oublie mes migraines...
Quand tu déposes une tendre léchouille sur mon front.
*
J'oublie mes peines...
Quand de ta patte, tu effleures ma joue.
*
J'oublie mes problèmes...
Quand tu te couches tout contre moi.
*
J'oublie ma douleur...
Quand tu poses ta tête contre la mienne.
*
Mais jamais JE N'OUBLIE...
Quand tu me regardes avec les yeux de l’Amour…
*
JE T'AIME

Déposé par choupinou le 02/08/2024  
Bonne nuit, bel, je te souhaite des rêves pleins d'étoiles et de magie ! Si tu pars à l'aventure dans tes rêves, fais attention à ne pas trop te fatiguer ! Tu peux dormir tranquillement, la lune te protège et les fées veillent sur toi. Bonne nuit, bel ange.

Déposé par poutounou le 31/07/2024  
Nos « cœurs de poils » sont très riches…
*
LA RICHESSE DU COEUR
*
Qui ne peut voir un autre monde est aveugle.
Qui ne sait dire un mot gentil quand il le faut est muet.
Qui est tourmenté par un trop grand désir est pauvre.
Celui dont le coeur est content est riche.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par poutounou le 28/07/2024  
J'AI APPRIS
*
J'ai appris qu'il n'était pas toujours suffisant de pardonner aux autres,
il faut apprendre à se pardonner soi-même.
J'ai appris qu'il ne faut pas être trop persistant à connaître un secret,
le savoir peut changer notre vie pour toujours.
J'ai appris que les diplômes affichés au mur
ne font pas nécessairement de nous des humains décents.
J'ai appris qu'il est très difficile d'être gentil pour ne pas blesser les sentiments d'autrui
tout en restant ferme pour ce que l'on croit.
J'ai appris que l'on ne peut pas forcer quelqu'un à nous aimer,
tout ce que l'on peut faire, c'est d'être quelqu'un qui peut être aimé.
J'ai appris que l'on continuait d'avancer même après avoir pensé
qu'il nous était impossible de le faire.
J'ai appris que l'on pouvait faire une petite chose en un court instant
et que celle-ci pouvait nous donner des maux de tête pour la vie.
Au seuil de ma mort,
j'ai appris que la vie valait la peine d'être vécue.
(Auteur inconnu)

Déposé par goulou50 le 25/07/2024  
Mon petit cœur,
Une porte se referme, s'ouvre une fenêtre
C'est pour la peine, pour qu'elle puisse disparaître et réapparaître...
J'ai laissé ainsi mon coeur
Quand tu as rejoins le ciel
Emportant tout mon bonheur
Les photos ne remplacent pas ce que laisse une absence
Elles ne sont qu'une image de toi,
Mais en rien ne remplaceront ta présence...
Mon petit chien, tu resteras maintenant la haut
Je resterais maintenant sans toi
Alors avec des sanglots je t'adresse ces quelques mots
Qu'ils arrivent jusqu'à toi
Je t'aime très fort mon ange




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