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In tribute to
CANICHEHeliot
Born on :20/06/1992
left us on:21/11/2003
47 candles
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13927 Flowers
2408 messages
left by myriam31 on 15/07/2015Espoir Tu es parti comme ça trop vite et trop tôt pour moi, Depuis, j'essaye de vivre sans toi ce qui est très dur cette absence,ton absence. Comme j'ai souffert, comme j'ai pleuré de ton départ et continue de souffrir Depuis les jours les mois passent mais je n'ai rien oublié, Mes insomnies, mes cauchemars, mes coups de cafards Moi, j essaie de continuer a vivre en ton absence, Ç’est pas facile, ca me rend triste et les jours changent Ils vont du gris au bleu des larmes au jours heureux je n ai pas pu tout te dire, je n en ai pas eu le temps, Quand je te regarde endormi, je redeviens une enfant On dit que l espoir fait vivre, qu'il fait renaître le printemps Quand tu te réveilleras libre je serais là comme avant. Pour réentendre ton aboiement te serrer contre moi, je ferais n'importe quoi . Je t'aime... |
left by myriam31 on 10/07/2015Prière d’un chien. Donne moi un toit, des caresses, je t’offrirai fidélité, joie, et amour pour la vie. Ne me perds pas si je suis encombrant pour les vacances, Je ne prends pas beaucoup de place, je saurai me faire discret, Trouve moi une famille d’accueil, une pension, je t’attendrai jusqu’à ton retour. Je ne t’en voudrai pas, je comprendrai. Ne m’abandonne pas dans la prison des chiens si je suis vieux et souffrant, Aide moi à partir dans la dignité et la paix, sans souffrance, Je t’en serai reconnaissant, je veillerai sur toi de là-haut, je serai toujours là près de toi. Tu m’as adopté pour ma courte vie, pas sur un caprice, une lubie, Je fais partie de la famille, nous finirons le chemin ensemble, dans la joie et la peine. Tendres pensées pour toi bel ange qui a eu la chance d'avoir une vie rempli d'amour. Amitiés à ta maman, merci pour sa fidélité à mon BB. |
left by rafia on 10/07/2015ODE A L AMITIE Prends ma main. Ne la lâche pas. J'écouterai ce que tu veux me dire. Si tu préfères te taire, j'entendrai ton silence. Si tu ris, je rirai avec toi,mais jamais de toi. Si tu es triste, j'essayerai de te consoler. Je ferai pour toi des bouquets de soleil. J'allumerai des feux de joie là où chacun ne voyait plus que des cendres. Si je n'ai qu'une rose, je te la donnerai. Si je n'ai qu'un chardon, je le garderai pour moi. Je te donnerai ce qui te plaît, ce qui te rassure le plus si je le possède. Si je ne le possède pas, j'essayerai de l'acquérir. Donne-moi la main. Nous irons où tu voudras. Je te ferai entendre la musique que j'aime. Si tu ne l'aimes pas, j'écouterai la tienne J'essaierai de l'aimer ! Je t'apprendrai ce que je sais. C'est peu. Tu m'apprendras ce que tu sais. C'est beaucoup Ne dis pas que tu ne sais rien : cela n'existe pas, quelqu'un qui ne sait rien ou alors, si cela existe, tant mieux car ce serait quelqu'un comme un jardin sauvage, un jardin à naître où l'on peut rêver mille jardins comme un enfant à venir, un enfant espéré : ce serait la vie devant soi, ronde, inattaquée, comme une boule de Noël. Prends ma main. Cinq doigts refermés autour des nôtres, c'est le plus beau cadeau du monde. Cela nous préserve de la peur, de l'abandon, du doute. Une main offerte, c'est un monde nouveau. Tu es toi. Je suis ce que je suis. Je ne troublerai pas ta musique intérieure. Je ne me blesserai pas de tes silences. Tu respecteras les miens. Je ne t'assassinerai pas de “pourquoi ?”. Tu ne diras pas que je fais des fausses notes si je ne pense pas comme toi. Donne-moi la main. Nous irons avec la vie, comme le sable, le temps et l'eau entre source et delta. Différents et si proches à la fois. De Simone Conduché ., |
left by poutounou on 09/07/2015Ce qu'il faut pour être heureux * Il faut penser ; sans quoi l'homme devient, Malgré son âme, un vrai cheval de somme. Il faut aimer ; c'est ce qui nous soutient ; Sans rien aimer il est triste d'être homme. * Il faut avoir douce société, Des gens savants, instruits, sans suffisance, Et de plaisirs grande variété, Sans quoi les jours sont plus longs qu'on ne pense. * Il faut avoir un ami, qu'en tout temps, Pour son bonheur, on écoute, on consulte, Qui puisse rendre à notre âme en tumulte, Les maux moins vifs et les plaisirs plus grands. * Il faut, le soir, un souper délectable Où l'on soit libre, où l'on goûte à propos, Les mets exquis, les bons vins, les bons mots Et sans être ivre, il faut sortir de table. * Il faut, la nuit, tenir entre deux draps Le tendre objet que notre coeur adore, Le caresser, s'endormir dans ses bras, Et le matin, recommencer encore. * Voltaire |
left by rafia on 09/07/2015Il est des douleurs qui isolent du reste du monde. L'état de celui qui en est atteint ressemble si peu à ce que les autres lui en disent, qu'il ne comprend même plus la langue qu'on lui parle. Sophie Cottin |
left by rafia on 08/07/2015SI...... Si la note disait : ce n'est pas une note qui fait une musique... il n'y aurait pas de symphonie. Si le mot disait : ce n'est pas un mot qui fait une page... il n'y aurait pas de livre. Si la pierre disait : ce n'est pas une pierre qui peut monter un mur... il n'y aurait ni maison, ni église ni cathédrale. Si la goutte disait : ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière... il n'y aurait pas d'océan. Si le grain de blé disait : ce n'est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ... il n'y aurait pas de moisson. Si l'homme disait : ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité... il n'y aurait jamais de justice et de paix, de dignité et de bonheur sur la terre des hommes. Comme la symphonie a besoin de chaque note, Comme le livre a besoin de chaque mot, Comme la maison a besoin de chaque pierre, Comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau, Comme le moissonneur a besoin de chaque grain de blé, l'humanité tout entière a besoin de toi, là où tu es. |
left by rafia on 07/07/2015Au bout du monde Au bout du monde, il n’y a pas de route, mais le terme d’un pèlerinage. Au bout de l’ascension, il n’y a pas l’ascension, mais le sommet. Au bout de la nuit, il n’y a pas la nuit, mais l’aurore. Au bout de l’hiver, il n’y a pas l’hiver, mais le printemps. Au bout de la mort, il n’y a pas la mort, mais la VIE. Au bout du désespoir, il n’y a pas le désespoir, mais l’Espérance. Au bout de l’humanité, il n’y a pas l’homme, mais l’Homme-Dieu. Au bout du Carême, il n’y a pas le désert, mais la RESURRECTION. (Joseph Folliet), |
left by rafia on 06/07/2015Un groupe tout à l'heure était là sur la grève... Un groupe tout à l'heure était là sur la grève, Regardant quelque chose à terre. - Un chien qui crève ! M'ont crié des enfants ; voilà tout ce que c'est. - Et j'ai vu sous leurs pieds un vieux chien qui gisait. L'océan lui jetait l'écume de ses lames. - Voilà trois jours qu'il est ainsi, disaient des femmes, On a beau lui parler, il n'ouvre pas les yeux. - Son maître est un marin absent, disait un vieux. Un pilote, passant la tête à sa fenêtre, A repris : - Ce chien meurt de ne plus voir son maître. Justement le bateau vient d'entrer dans le port ; Le maître va venir, mais le chien sera mort. - Je me suis arrêté près de la triste bête, Qui, sourde, ne bougeant ni le corps ni la tête, Les yeux fermés, semblait morte sur le pavé. Comme le soir tombait, le maître est arrivé, Vieux lui-même ; et, hâtant son pas que l'âge casse, A murmuré le nom de son chien à voix basse. Alors, rouvrant ses yeux pleins d'ombre, exténué, Le chien a regardé son maître, a remué Une dernière fois sa pauvre vieille queue, Puis est mort. C'était l'heure où, sous la voûte bleue, Comme un flambeau qui sort d'un gouffre, Vénus luit ; Et j'ai dit : D'où vient l'astre ? où va le chien ? ô nuit ! Victor Hugo |
left by rafia on 05/07/2015Le testament de Brutus *~*~* A mon maître: Le fardeau de mes ans et de mes infirmités me pèse lourdement, et je sais ma fin prochaine. C'est pourquoi moi, Brutus Thibault, (communément appelé La Brute par mon père, amis et connaissances), dépose en secret dans l'âme de mon grand ami, mon maître , mon testament. J'ai peu de biens matériels à léguer. Les chiens sont plus sages que les hommes. Ils n'attachent pas grand prix aux choses de la terre. Je n'ai aucun bien précieux à transmettre, si ce n'est mon affection et ma fidélité. Je les lègue à tous ceux qui m'ont aimé; qui je le sais, me regretteront le plus, à Michel, Nancy et Yann qui ont été si bons pour moi. Peut-être ai-je tort de m'enorgueillir, mais j'ai toujours été un chien extrêmement affectueux. Je demande à Michel de toujours se souvenir de moi, mais de ne pas me pleurer trop longtemps. Au cours de mon existence, j'ai essayé de le réconforter dans la peine et de lui apporter un surcroît de joie dans le bonheur. Il m'est pénible de penser que, même dans la mort, je pourrais lui causer du chagrin. Je le prie de ne pas oublier qu'à sa tendresse et à sa sollicitude je dois d'avoir été le plus heureux des chiens. Mais maintenant me voici devenu pratiquement aveugle, sourd et j'ai de très gros problèmes de dentition m'empêchant de manger; ainsi ma fierté a fait place à une humiliation qui me déroute. Je sens que la vie me reproche d'avoir trop prolongé la fête. Je dois faire mes adieux avant de devenir un poids insupportable pour moi et pour celui qui m'a donné son affection. Il me sera douloureux de le quitter, mais pas de mourir. Contrairement aux hommes les chiens ne redoutent pas la mort. Que se passe-t-il après? Nul ne le sait. En tout cas, je suis au moins sûr de trouver la paix et un long repos pour mon vieux coeur las, ma vieille tête, mes vieux membres ainsi qu'un sommeil éternel dans cette terre que j'ai tant aimée. Il est un dernier voeu que je formule en toute sincérité. J'ai entendu mon maître, dire: "Quand Brutus mourra, je n'aurai jamais plus de chien. Je l'aime tellement que je ne pourrai plus en aimer un autre." Maintenant pour l'amour de moi, je lui demande de revenir sur sa décision. Ce serait un bien piètre tribut à ma mémoire que de ne jamais plus avoir de chien. Je voudrais tant garder le sentiment que, maintenant que j'ai fait partie de la famille, il lui est désormais impossible de vivre sans la compagnie du meilleur ami de l'homme! Je n'ai jamais été exclusif ni jaloux. J'ai toujours soutenu que la plupart de mes congénères sont bons (même mon co-locataire, un chat... Miow-Miow, à qui j'ai quelques fois autorisé à partager mon lit avec moi. J'ai toléré son amitié dans un esprit de générosité et, dans mes rares moments de sentimentalité, je lui ai même rendu un peu la pareille). Aussi je conseille à mon maître de choisir un autre chien à son goût pour me succéder. Il pourra difficilement être aussi bien élevé, aussi poli, aussi distingué et aussi beau que je fus dans ma jeunesse. Mais, je suis sûr qu'il fera de son mieux et aussi que ses défauts inévitables contribueront, par contraste, à perpétuer mon souvenir. Je lui lègue mon collier, ma laisse, mon lit, mon ensemble de Noël. Un dernier mot à Michel, Nancy, et Yann, Chaque fois que vous penserez à moi : dites-vous avec regret, mais aussi avec bonheur, en vous rappelant ma longue vie à vos côtés : "Brutus était un être qui nous aimait et que nous aimions. "Si profond que soit mon sommeil, je vous entendrai, et tout le pouvoir de la mort n'empêchera pas mon âme de chien d'agiter la queue avec reconnaissance. Brutus Thibault Votre chien fidèle qui veillera toujours sur vous. |
left by rafia on 04/07/2015Mon chien...chanson de Bourvil. Une fois, j'ai trouvé un cabot Moitié fox et moitié caniche Bien qu'il soit sûrement à des riches Il a reniflé mes godillots J'étais le long de la Seine à Saint-Denis Le soleil tapait dans les feuillages C'était un vrai temps à mariage Il m'a suivi J'ai d'abord foutu des cailloux J'avais pas besoin de bouche inutile La tartine est trop difficile À trouver et moi, je suis pas fou J'allais pas me mettre à lui donner Le peu qu'il y avait dans ma musette Il était têtu, c'te bête ! J'ai partagé Puis on est partis tous les deux J'ai apprécié sa compagnie J'étais tout le temps seul dans la vie Je me suis senti moins cafardeux Le soir, il venait s'entortiller Près de moi. J'étais dans ma toile Content d'avoir sous les étoiles Une amitié Un chien, ça s'en fout de la laideur Des manières et des élégances Tout bête que c'est, un chien ça pense On a du rêve et puis un cœur Y a bien des filles qui ont rigolé Qui ont eu pour moi des complaisances Mais y a que mon chien dans l'existence Qui m'a aimé Un jour qu'il pleuvait en hiver Je finissais de casser la croûte Il était à peine sur la route Qu'une auto me l'a fichu en l'air Il m'a regardé, l'air étonné Puis sa petite âme s'est endormie Et pour la première fois de ma vie Ben, j'ai chialé |
left by rafia on 03/07/2015Pr tous nos amours/canins. AU REVOIR... Petit être de douceur, Qui m'a donné tant de bonheur, Toi, qui a tjrs charmé mon coeur, Aujourd'hui, je te pleure. Petit être de douceur, Tu as enrichi ma vie, De souvenirs tellement jolis, Pr tjrs ds ma mémoire, inscrits. Petit être de douceur, Je n'ai pas vu arriver l'orage Qui a empli mon coeur de rage. La Mort t'a emporté Je n'ai même pas ressenti que tu allais t'en aller. Petit être de douceur, Toi mon enfant/canin et mon ami//e, pr toujours. Toi qui ne trahit jamais Ton séjour sur terre, est bien trop court. Et la grande faucheuse est un vautour. Après un dernier regard, Contenant ta tendresse, sans fard Tu m'as ôté mon dernier espoir, Pourtant tu ne voulais pas mon désespoir. Tu es parti//e doucement, Te voilà envolé/é Avec ts tes regrets Vers ce que l'on appelle l'ETERNITE. Une certitude, tu ne voulais pas me quitter. Va, mon tendre petit coeur, Tu as ta place au Paradis Mais STP, n'oublie pas notre bonheur. Petit être de douceur, Toi qui a un si grand coeur, N'oublie jamais ta maman. Si c'est vrai qu'un jour l'on se retrouvera, Je suis certaine que vers moi, tu reviendras. Au revoir mon coeur, Au revoir mon infini bonheur Au revoir petit être de douceur. Au revoir mon âme soeur. |
left by rafia on 02/07/2015Message de l'au-delà... Perdu//e ds les nuages A des années- lumière de là où j'ai vécu, Je pense tendrement à vs, Mon reconnaissant petit Coeur/Canin Se souvient des doux instants de bonheur. Ma vie auprès de vs, C'était la perfection, Je pourrais en faire l'apologie, C'était de la magie. Comme vs m'avez rendu//e heureux//se !!! Auprès de vs, mon existence aura été merveilleuse. Perdu//e sans vs, Ma vie a bien changé, Mais mon petit Coeur/Canin Ose croire en l'Eternité, Une Eternité qui fera, Que je serai à nouveau à vos côtés, Foi, de votre trésor/Canin. Maman, tu es l'astre qui me guide, Après que la Mort perfide, M'a soustrait//e à ton affection. Je rêve à mon réconfort, Lorsque je serai à nouveau ds tes bras. Foi, de ton Amour/Canin, Ns ns retrouverons. Avec toute ma tendresse, pr toi "mon" adorable HELIOT. Maryem |
left by rafia on 01/07/2015Les grandes vacances et les criminels qui abandonnent lâchement, leur amour canin... Curling, chien abandonné Bien des gens sont passés, sans même me regarder Depuis que je suis prisonnier ds ce refuge pr chiens abandonnés, Maintenant mes jours sont comptés. Je vais mourir. Ds ma tête de chien, il y a tant de souvenirs, Je vs aimais d'un amour inconditionnel, Pourtant vs avez été très cruels. Sept ans de bonheur, je n'étais encore q'un bébé, Lorsque vs m'avez adopté, Cadeau de Noël, pr vos enfants, que j'aimais tant. Pr un beau jour de juillet, vs m'avez jeté pr la portière, Comme un vulgaire jouet usagé, dont on veut se débarrasser, Je me suis traîné sur le bord de cette autoroute, En vs regardant vs éloigner. J'ai marché longtemps avec ma patte cassée, gémissant de douleur, Et le coeur brisé pr tant de cruauté, Je ne suis plus qu'un pauvre chien, sans collier. Quand la nuit envahit ma cage, je rêve que je vais vs revoir, Que tout cela n'est qu'un cauchemar, mais quand le jour se lève, J'ouvre mes yeux remplis d'espoir, mais il n'y a que le grillage noir. Vs avez eu tort, mais je vs aime encore, Quand vs rentrerez de vacances je serai mort, N'ayez pas de remords, je n'étais qu'un chien, Qui veillait sur vs, comme un ange gardien. Patricia Fournier-Dhervillez, |
left by rafia on 30/06/2015Hommage à ts mes petits anges Quoi de plus sincère, de plus pur, Que d'offrir en partage, Pr vs ts mes anges, sages comme des images, Offrir mon temps en nocturne, Car je n'en dispose pas en diurne, Et sans rien attendre en retour. Fleurir et honorer le souvenir De ts les petits anges amis/amies de mes amours//westies, Qui à présent partagent leur vie. Offrir toutes ces fleurs, Issues de mes pleurs. Et quand j'évoque le partage, C'est car ici il n'y a point de pluie, C'est donc à vos mamans chéries D'arroser ces fleurs du souvenir. De tout votre amour béni. Même si vs partagez encore notre vie. Le PARTAGE fait fleurir les plus belles fleurs Celles que ns avons toutes ds notre coeur. Et que ns offrons avec bonheur. Alors, petits anges adorés, Je dépose à vos pieds* (Décemment, l'on ne peut dire "pattes" car votre Amour est tellement humain). Ces modestes bouquets, Issus de mes pleurs, Et tjrs à la même heure. Ils vs rappelleront si besoin est, Combien ici bas, vs êtes tjrs aimés. Tendrement pr toi, mon bel ange Héliot. Maryem. |
left by rafia on 29/06/2015Le caniche de Paul Eluard Quand Paul fit sur lui une poésie, Le chien l’écouta, plein de courtoisie. Il la répéta pour le cheval vert, Le soir, en mangeant un vieux camembert. Il la commenta pour le lapin rose, En quatre feuillets d’excellente prose. Merci, donc, à Paul pour ces quelques mots Qui font tant plaisir à nos animaux ! |
left by rafia on 28/06/2015La neige tombait tout doucement ce matin-là, Comme pour préparer ton lit de mort. J’ai eu du mal à contenir mes larmes, et de ton départ, tu m’as laissée inconsolable… Te rappelles-tu des belles journées d’été où nous nous promenions dans les bois? Quand on courait, jouait ou s’aventurait sur le bord des ruisseaux ou dans la montagne? Des fois où nous nous chamaillions comme des louveteaux? Des parties de cache-cache et des jeux de balle tout simples? Des fois où dans le champ, je t’aidais à manger des bleuets sauvages en te les donnant dans ma main? Des hivers où nous jouions ensemble et que tu participais à mes histoires imaginaires d’enfant? De nos excursions parfois risquées où nous revenions à la maison pleins de boue? Nous revenions fatigués au soleil couchant, Et je m’endormais à tes côtés au son du chant de la grive. Ton souffle me détendait et me rassurait Et ta présence m’était si précieuse, Tu étais le véritable ami dont j’avais besoin. Tu étais là pour me consoler quand j’étais attristée Et toutes les fois où j’ai versé des larmes, tu as léché mon visage pour les essuyer. Pouvoir mettre mon visage dans la fourrure de ton cou et y passer ma main me manquera toujours Et c’est lorsque je l’ai fait pour la dernière fois que je l’ai su. Tant d’années ont passé à tes côtés. J’ai vu le temps te vieillir, Et c’est là que je me rends compte que toute vie est soumise à s’éteindre un jour. Maintenant tu ne seras plus là pour m’attendre quand je reviendrai, Maintenant tu ne seras plus là quand je me promènerai dans la forêt qui était la nôtre. Je ne te reverrai plus tout heureux lorsque les premières neiges des hivers auront tombé. Ton corps sans vie et tes yeux voilés, Cela avait marqué la fin. Mais au moins nous avons été ensemble jusqu’à la fin, jusqu’à ton dernier souffle Et tu es maintenant libéré de ton corps usé qui devait te faire souffrir. Tu m’as apporté tant de bonnes choses dans ma vie, Et ta perte me fait tant pleurer. Tu étais comme une partie de moi, Mais au moins j’ai tant de beaux souvenirs qui nous appartiennent Je les garde précieusement en ma mémoire, en mon cœur. Merci de m’avoir accompagnée pendant toutes ces années Repose en paix auteur inconnu |
left by rafia on 27/06/2015Vie de chien Toi mon maître qui as peur de me perdre et qui m’attaches, Ai-je besoin de ces chaînes pour marcher dans tes pas ? Tu cries partout ta liberté, mais il faudrait que tu saches, Que j’aime être près de toi, même si je ne te parle pas. J’en ai vu des corniauds, des errants et des abandonnés, J’en ai vu pleurer le temps où ils étaient gâtés et caressés. Pour jouer, tu me jettes la balle jaune que tu m’as donnée, Elle en a perdu toute sa couleur, à force de me la balancer. Ce que je n’aime pas, c’est ta voix quand elle se fait grave, Excuse-moi si je suis bête, tu devrais pourtant t’en rappeler, J’écarte tous les intrus, je te connais tu es tellement brave, Tu utilises mon nom, et jamais ne me siffles pour m’appeler. Un jour si tu me vois dormir en rêvant et en poussant des wifs, Sache que je crains de ne pas être pour toi un parfait animal, Je ne suis ni bâtard, ni méchant et ne connais pas mes griffes, J’aime sentir ta main sur ma tête, là, j’en oublie ce qui fait mal. Certains travaillent dans les cirques, et sont devenus savants, Pour toi, je sais faire une seule chose et ça n’a rien d’un tour, C'est joindre à ta vie d’humain, ma vie de chien très énervant, J’ai attrapé la rage tu le sais, et c’est celle de t’aimer d’amour auteur inconnu |
left by rafia on 26/06/2015Le petit chien Je suis un petit chien Mais j’ai déjà quinze ans. Si je présente bien, Mon âge, je le sens. Mon cœur est fatigué, J’ai des douleurs partout, Ma vue a bien baissé, Je n’entends plus du tout. J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. Je vais plus doucement Et je marche très peu. Je dors bien plus longtemps, J’ai caché tous mes jeux. Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d’audace, Je me sens élégant. Mais dès qu’elle est partie, Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage. Mes maîtres m’aiment autant Que quand j’étais petit. Ils me disent souvent Que j’ai changé leur vie. La mienne aura été Faite de grandes joies, J’aurai été choyé, J’aurai été un roi. Quand il faudra partir, Je ne gémirai pas. Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras. Madeleine Reynaud. |
left by rafia on 25/06/2015Tu peux pleurer son départ... OU Ou tu peux sourire parce qu’il/elle a vécu. Tu peux fermer les yeux et prier pour qu’il //elle revienne, Ou ouvrir les yeux et voir qu’il/elle est parti//e. Ton cœur peut être vide de ne plus le//la voir, Ou il peut être rempli de l’amour qu’il//elle a partagé. Tu peux tourner le dos à demain et vivre le passé Ou tu peux être heureux//se pour demain à cause du passé. Tu peux te souvenir de lui/d'elle et seulement qu’il//elle n’est plus Ou tu peux chérir sa mémoire et le/la laisser vivre. Tu peux pleurer et te renfermer, être vide et tourner le dos Ou tu peux faire ce qu’il/elle aurait voulu, sourire, ouvrir les yeux, aimer et aller de l’avant. |
left by poutounou on 25/06/2015Si je pouvais revivre ma vie * J’aurais moins parlé mais écouté davantage. J’aurais invité des amis à venir souper même si le tapis était taché et le divan défraîchi. J’aurais grignoté du maïs soufflé au salon et ne me serais pas souciée de la saleté quand quelqu’un voulait faire un feu dans le foyer. J’aurais pris le temps d’écouter mon grand-père évoquer sa jeunesse. Je n’aurais jamais insisté pour que les fenêtres de la voiture soient fermées par un beau jour d’été tout simplement parce que mes cheveux venaient justes d’être coiffés. J’aurais fait brûler ma chandelle sculptée en forme de rose au lieu de la laisser fondre d’elle même parce qu’entreposée trop longtemps dans l’armoire. Je me serais assise dans l’herbe avec mes enfants sans me soucier des taches de gazon. J’aurais moins ri et pleuré en regardant la télé, mais davantage ri et pleuré en regardant la vie. Je serais restée au lit lorsque malade plutôt que de prétendre que la terre cesserait de tourner si je ne travaillais pas cette journée là. Je n’aurais jamais rien acheté pour la simple raison que c’était pratique, ou encore à l’épreuve des taches ou parce que garanti pour durer toute la vie. Au lieu de souhaiter la fin de mes neuf mois de grossesse, j’en aurais savouré chacun des instants en réalisant que la merveille grandissant en dedans de moi était la seule chance de ma vie d’aider Dieu à faire un miracle. Lorsque mes enfants m’embrassaient avec fougue, je n’aurais jamais dit : « plus tard. Maintenant va te laver les mains avant de souper. » Il y aurait eu plus de « je t’aime »…, plus de « je suis désolée »…, mais surtout, si on me donnait une autre chance de revivre ma vie, j’en saisirais chaque minute… la regarderais et la verrais vraiment…, la vivrais… et ne la redonnerais jamais. * Emma Bombeck, décédée d'un cancer |
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