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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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left by ovanek on 19/08/2024Les liens qui lient đŸ Dans les coins tranquilles d'une journĂ©e agitĂ©e OĂč les ombres dansent et oĂč les moments s'Ă©garent Un battement de cĆur proche, un regard tendre Un lien qui se construit d'innombrables façons đŠê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§ê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§đŠ Ă travers chaque Ă©corce et chaque queue remuante Dans des vents murmurĂ©s et une douce grĂȘle Un pacte silencieux, une confiance non dite Dans la loyautĂ©, l'amour, et plus que simplement đŠê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§ê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§đŠ Quand les larmes coulent comme la rosĂ©e du matin Dans les yeux bruns ou bleu profond Un ami Ă fourrure, avec le cĆur si vrai Je vais m'asseoir Ă cĂŽtĂ©, pour vous rĂ©conforter đŠê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§ê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§đŠ Aucun mot n'est nĂ©cessaire, aucun n'est perdu Ă travers les Ă©preuves auxquelles on fait face, quel qu'en soit le prix Car dans ces yeux, si profonds et larges Mille promesses rĂ©sident đŠê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§ê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§đŠ Un chien, un ami, une Ăąme si gentille Dans chaque wag, les liens qui lient Un amour si pur, coule Ă jamais Dans les cĆurs oĂč seule la bontĂ© grandit đŠê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§ê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§đŠ Alors tiens-les prĂšs de toi, chĂ©ris le temps Car chaque moment est une rime Un verset d'amour, si doux et chaud Dans chaque cĂąlin, ils se transforment đŠê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§ê§đ€ê§đ§ê§đ€ê§đŠ Le lien que vous partagez, un espace sacrĂ© Une grĂące infinie, intemporelle, douce Car de la maniĂšre inĂ©branlable d'un chien Ils nous enseignent l'amour, jour aprĂšs jour |
left by poutounou on 18/08/2024Ralentis ton rythme ! * As-tu dĂ©jĂ observĂ© les enfants jouer sur un carrousel ou Ă©coutĂ© la pluie tomber sur le toit ? DĂ©jĂ suivi un papillon volant gaiement ou bien admirĂ© un coucher de soleil ? * Tu devrais t'y arrĂȘter. Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas Ă©ternellement. * Est-ce que tu cours toute la journĂ©e, toujours pressĂ© ? Lorsque tu demandes "Comment ça va ?", est-ce que tu prends le temps d'Ă©couter la rĂ©ponse ? * Lorsque la journĂ©e est terminĂ©e, est-ce que tu t'Ă©tends dans ton lit avec 100.000 choses Ă faire qui courent dans ta tĂȘte ? Tu devrais ralentir. * As-tu dĂ©jĂ dis Ă ton enfant : "Nous le ferons demain" et le remettre au surlendemain ? DĂ©jĂ perdu contact avec un ami, laisser une amitiĂ© mourir parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour * Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour. La vie est si courte. * Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitiĂ© du plaisir d'y ĂȘtre. Lorsque tu t'inquiĂštes et te fais du souci toute la journĂ©e, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais. * La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'Ă©couter la musique avant que la chanson ne soit terminĂ©e. * Anonyme |
left by ovanek on 17/08/2024DERNIERE VOLONTĂ ET TESTAMENT D'UN CHIEN â§đ⧠Avant que les humains ne meurent Ils Ă©crivent leurs derniĂšres volontĂ©s et leur testament Donnent leur maison et tout ce qu'ils ont, Ă ceux qu'ils laissent... đâąâ§đŠđžđŠâ§âąđ Si, avec mes pattes, je pouvais faire pareil C'est ce que je demanderais... Ă un pauvre et solitaire errant Je donnerais ma maison heureuse Mon bol et mon lit douillet Mon oreiller doux et tous mes jouets đâąâ§đŠđžđŠâ§âąđ Les genoux que j'aimais tant La main qui caressait ma fourrure Et la douce voix qui disait mon nom Je le ferais au chien de refuge triste et effrayĂ© La place que j'avais dans le cĆur aimant de mon humain Dont il ne semblait pas y avoir de limites đâąâ§đŠđžđŠâ§âąđ Alors quand je mourrai, ne dites pas s'il vous plaĂźt Je n'aurai plus jamais d'animal de compagnie Car la perte est plus que je ne peux supporter Ă la place, allez chercher un chien mal-aimĂ© Celui dont la vie n'a retenu ni joie ni espoir et donnez-lui ma place C'est la seule chose que je peux donner... l'Amour que j'ai laissĂ© derriĂšre moi â§đ⧠Auteur Inconnu |
left by spanky on 17/08/2024Comment aurais-je pu ..... ---- Muni de ma plume ou de mon stylo, Je t'Ă©cris ces quelques mots, J'Ă©cris pour me libĂ©rer de mes maux, Qui sont pour moi un lourd fardeau! J'Ă©cris ma dĂ©tresse, Celle qui me blesse.... --- "Comment aurais-je pu penser qu'au matin, avant de t'emmener chez le vĂ©to, lorsque je te disais des "je t'aime" en te tenant dans mes bras et que tu me faisais des lĂ©chouilles sur le bout de mon nez, comment aurais je pu deviner que se seraient les derniĂšres que j'allais recevoir car quelques heures plus tard tu allais pour toujours sortir de ma vie..." Ces derniers "je t'aime" et ces "derniĂšres lĂ©chouilles" je les bĂ©nirai jusqu'Ă la fin de mes jours. --- J'Ă©cris ce que je ressens, Mes plus profonds sentiments, Je t'Ă©cris toute ma tendresse, Avec bonheur et ivresse, Je t'Ă©cris je t'aime avec mon cĆur, Il est rempli de douceur, Mon ange le temps passe, mais l'Amour que j'ai pour toi, Ne cessera jamais d'exister, Je serai toujours prĂ©s de toi ou que tu sois. --- Auteur inconnu ---- |
left by spanky on 17/08/2024Comment aurais-je pu ..... ---- Muni de ma plume ou de mon stylo, Je t'Ă©cris ces quelques mots, J'Ă©cris pour me libĂ©rer de mes maux, Qui sont pour moi un lourd fardeau! J'Ă©cris ma dĂ©tresse, Celle qui me blesse.... --- "Comment aurais-je pu penser qu'au matin, avant de t'emmener chez le vĂ©to, lorsque je te disais des "je t'aime" en te tenant dans mes bras et que tu me faisais des lĂ©chouilles sur le bout de mon nez, comment aurais je pu deviner que se seraient les derniĂšres que j'allais recevoir car quelques heures plus tard tu allais pour toujours sortir de ma vie..." Ces derniers "je t'aime" et ces "derniĂšres lĂ©chouilles" je les bĂ©nirai jusqu'Ă la fin de mes jours. --- J'Ă©cris ce que je ressens, Mes plus profonds sentiments, Je t'Ă©cris toute ma tendresse, Avec bonheur et ivresse, Je t'Ă©cris je t'aime avec mon cĆur, Il est rempli de douceur, Mon ange le temps passe, mais l'Amour que j'ai pour toi, Ne cessera jamais d'exister, Je serai toujours prĂ©s de toi ou que tu sois. --- Auteur inconnu ---- |
left by spanky on 15/08/2024L'habitude, ---- La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos cĆurs ses bandelettes sĂ»res Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; --- Les plus nobles chagrins, qui voudraient se dĂ©fendre, DĂ©sireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgrĂ© eux, moins farouche et plus tendre ; --- Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'Ă©trange quiĂ©tude OĂč le mal assoupi se soumet et s'Ă©mousse ; --- Et du mĂȘme toucher dont elle endort la peine, Du mĂȘme frĂŽlement dĂ©licat qui repasse Toujours, elle dĂ©lustre, elle Ă©teint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, --- Les gestes, le sourire et le visage mĂȘme Dont la prĂ©sence Ă©tait divine et meurtriĂšre ; Ils pĂąlissent couverts d'une fine poussiĂšre ; La source des regrets devient voilĂ©e et blĂȘme. --- A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Autant de leur Ă©clat aux voluptĂ©s perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passĂ© du prĂ©sent, et les rĂ©concilie ; --- La douleur s'amoindrit pour de moindres dĂ©lices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts dĂ©sespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changĂ©s en cicatrices ; --- Et celui qui chĂ©rit sa sombre inquiĂ©tude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. --- Auguste ANGELLIER (1848-1911) ---- |
left by spanky on 15/08/2024L'habitude, ---- La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos cĆurs ses bandelettes sĂ»res Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; --- Les plus nobles chagrins, qui voudraient se dĂ©fendre, DĂ©sireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgrĂ© eux, moins farouche et plus tendre ; --- Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'Ă©trange quiĂ©tude OĂč le mal assoupi se soumet et s'Ă©mousse ; --- Et du mĂȘme toucher dont elle endort la peine, Du mĂȘme frĂŽlement dĂ©licat qui repasse Toujours, elle dĂ©lustre, elle Ă©teint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, --- Les gestes, le sourire et le visage mĂȘme Dont la prĂ©sence Ă©tait divine et meurtriĂšre ; Ils pĂąlissent couverts d'une fine poussiĂšre ; La source des regrets devient voilĂ©e et blĂȘme. --- A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Autant de leur Ă©clat aux voluptĂ©s perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passĂ© du prĂ©sent, et les rĂ©concilie ; --- La douleur s'amoindrit pour de moindres dĂ©lices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts dĂ©sespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changĂ©s en cicatrices ; --- Et celui qui chĂ©rit sa sombre inquiĂ©tude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. --- Auguste ANGELLIER (1848-1911) ---- |
left by ovanek on 15/08/2024Murmures d'une patte manquante đŸ Dans les coins tranquilles de mon cĆur J'entends l'Ă©cho de tes pas, doux et doux Un rythme d'amour rythmĂ©, maintenant incomplet Car tu n'es pas lĂ , et je m'effondre OĂč une fois allongĂ©, dans la chaleur et la confiance Maintenant repose un espace vide, une poussiĂšre creuse Ta queue qui remue, un souvenir dans la brise Ton aboiement, un fantĂŽme que personne ne voit Je fouille les chemins que nous avions l'habitude de parcourir Chaque courbe et chaque courbe, vous appelant chez vous Mais le silence salue tous mes supplications Et tout ce qui reste, c'est le dĂ©sir, profond comme la mer Le monde est ennuyeux, une teinte sourde Sans l'Ă©tincelle qui Ă©tait toi Ton nez me manque, si froid, si gentil La façon dont tu connaissais mon esprit troublĂ© Et chaque nuit comme les Ă©toiles apparaissent J'espĂšre que vous trouverez votre chemin jusqu'ici Mais jusqu'Ă ce jour, mon cĆur s'en pinera Pour l'ami que j'ai perdu, mais qui Ă©tait Ă moi autrefois ââââââââââ â° â° â° â°đ â° â° â° â° ââââââââââ =:âżđ§Ąâ« âż BONNE FETE DE L'ASSOMPTIONâ°âż â€đ§Ąâ« â€đ§Ą âââââââââ â° â° â° â°đ â° â° â° â°ââââââââââ |
left by ovanek on 14/08/2024NE ME MANQUE PAS PLUS Ne me manque pas plus d'une fois par jour Car la vie avance vite Ne souhaite pas tout ton temps loin RĂȘver du passĂ© âââââââââââ°đžâ°ââââââââââ Ne perdez pas le moment Ă regarder Les choses que j'ai laissĂ© derriĂšre moi Je ne suis pas dans ces murs ou ces boĂźtes Le cĆur est lĂ oĂč tu me trouveras âââââââââââ°đžâ°ââââââââââ N'aie pas peur de dire mon nom, ma douce Ne crains pas la colĂšre de la tristesse Prends juste l'amour que tu avais pour moi Et le transformer en joie âââââââââââ°đžâ°ââââââââââ Ne vous inquiĂ©tez pas quand mon anniversaire arrive Ne sentez pas que j'en manque plus Je suis rempli d'amour que tu m'envoies Tout comme avant âââââââââââ°đžâ°ââââââââââ Certains jours ta colĂšre va se prĂ©cipiter Tes larmes trouveront leur chemin Pour moi, oĂč que je sois alors Je vais tous les apaiser âââââââââââ°đžâ°ââââââââââ Quand je serai parti, ne me manque plus Qu'une ou deux fois par jour Il y a tellement de vie Ă vivre, mon amour Je suis avec toi, jusqu'au bout đŠ Donna Ashworth |
left by poutounou on 14/08/2024Une jolie petite histoire « vraie »⊠* Le petit garçon et les Ă©toiles de mer * Pendant mes derniĂšres vacances, au bord de la mer, un matin en arrivant sur la plage, j'ai dĂ©couvert des milliers d'Ă©toiles de mer qui s'Ă©taient Ă©chouĂ©es dans la nuit. J'Ă©tais complĂštement estomaquĂ© par ce spectacle quand je vois un petit garçon au bord de la mer qui prend une Ă©toile de mer entre ses deux doigts et la rejette Ă la mer. Pendant que je m'approche, il continue sa tĂąche en essayant de lancer les Ă©toiles de mer le plus loin possible dans la mer. ArrivĂ© prĂšs de lui, je le fĂ©licite pour ce qu'il a entrepris, mais je lui fais remarquer que c'est une tĂąche impossible : * - MĂȘme si tu continues tout le temps Ă les rejeter, une par une, Ă la mer, compte tenu des milliers et des milliers d'Ă©toiles de mer qui se sont Ă©chouĂ©es, Ă la fin de la journĂ©e, on ne verra pas beaucoup la diffĂ©rence sur la plage. * A ce moment lĂ , le jeune garçon, qui venait de prendre dĂ©licatement une Ă©toile de mer, s'est redressĂ©, il m'a regardĂ© droit dans les yeux et avec un grand sourire, il m'a dit : - D'accord, peut-ĂȘtre que ça ne changera pas beaucoup de choses sur la plage, mais, pour cette Ă©toile de mer lĂ , ça fait une sacrĂ©e diffĂ©rence. * Câest pareil pour un chien quâon sort dâun refuge. Il y aura toujours plein de chiens dans les refuges, mais pour celui quâon aura sorti de lĂ , la vie ne sera plus la mĂȘme ; pour lui ça fera une sacrĂ©e diffĂ©renceâŠ. Si Dieu me prĂȘte vie et santĂ© aussi, le prochain chien que je prendrai viendra dâun refuge. |
left by ovanek on 13/08/2024Sur le pont oĂč les couleurs se mĂȘlent et se balancent Un homme et son chien promĂšnent un dernier jour Les arches arc-en-ciel, vibrantes et brillantes Pourtant jette une ombre dans la lumiĂšre qui s'estompe âđâąâââââąâđžââąâââââąđâ Son ami fidĂšle, avec une fourrure si belle Marche Ă cĂŽtĂ© de lui, calme et gentil Mais les yeux de l'homme, ils nagent de larmes Alors qu'il murmure des adieux doux Ă travers les annĂ©es âđâąâââââąâđžââąâââââąđâ Le pont semble interminable, mais le temps presse Dans cette finale, transport doux-amer Chaque pas un souvenir, chacun respire un soupir Alors qu'ils empruntent le chemin oĂč les adieux se trouvent Les teintes ci-dessus peuvent scintiller et briller Mais en dessous, son cĆur sent le courant froid Pour chaque arc-en-ciel disparaĂźt de la vue Quand tu dois dire adieu Ă quelqu'un de vrai âđâąâââââąâđžââąâââââąđâ Le chien lĂšve les yeux avec des yeux doux Inconscient des cris silencieux de cet homme Ils marchent ensemble, sous un ciel si large Comme il dit au revoir, avec une fiertĂ© douloureuse âđâąâââââąâđžââąâââââąđâ Le pont s'Ă©tire, une ligne qui s'estompe OĂč l'amour et le chagrin s'entremĂȘlent Et alors qu'ils se sĂ©parent d'une derniĂšre Ă©tape L'homme et son chien sont Ă©ternellement cĂŽte Ă cĂŽte |
left by spanky on 13/08/2024Un au revoir Ă mon cher papa. ----- Aujourd'hui, j'ai dĂ» dire au revoir Ă mon trĂšs cher papa. La fĂȘte de dimanche Ă©tait un joyeux flou, mais c'Ă©tait aussi mes adieux. La fiĂšvre m'a frappĂ© cette nuit-lĂ , et malgrĂ© les cĂąlins et les soins, les choses ont empirĂ©. Mardi, je ne pouvais plus me contrĂŽler --- Chez le vĂ©tĂ©rinaire, l'espoir s'est effondrĂ©. Mes analyses de sang ont montrĂ© une forte baisse et le chiot joueur en moi s'estompait. Le chiot joueur en moi s'estompait. Papa savait ce qu'il devait faire. Il existait des traitements coĂ»teux, mais c'Ă©taient des solutions temporaires, que nous avions dĂ©jĂ essayĂ©es --- La dĂ©cision la plus douloureuse qu'un propriĂ©taire d'animal de compagnie puisse prendre, papa a choisi de me laisser partir en paix. Plus de douleur, c'est ma promesse. Il a pris mon collier, un rappel silencieux de l'amour que nous partagions. Bien que navrĂ©, papa a jurĂ© de m'honorer en offrant Ă un autre beagle un foyer aimant. Du fond de mon cĆur joueur, merci pour tout. Vous Ă©tiez la meilleure famille quâun chien puisse demander. Les souvenirs que nous avons crĂ©Ă©s feront toujours sourire, mĂȘme dans mon paradis des chiens. ---- |
left by ovanek on 12/08/2024*â€ïž*RĂ©union Eternelle*â€ïž* Dans un royaume oĂč le ciel est sans fin LĂ oĂč le ciel est toujours clair Et les fleurs fleurissent en splendeur Apportant rĂ©confort, joie et joie Il y a une prairie brillante et dorĂ©e LĂ oĂč nos fidĂšles amis jouent tous RestaurĂ© Ă la jeunesse et Ă la force ininterrompue Dans la lumiĂšre d'une journĂ©e interminable đâąâ§đâ§âąđ Ils courent Ă travers des champs de vert le plus luxuriant Avec une grĂące dont nous nous souvenons CĆurs libres, esprits brillants đâąâ§đâ§âąđ Dans ce paradis pour tous Chacun attend avec les yeux une lueur Pour le moment, ils verront La figure humaine de leur bien-aimĂ©e Dans le doux coucher de soleil đâąâ§đâ§âąđ Et quand enfin ils te voient arriver Une aboie joyeuse, un saut bondissant Ils se prĂ©cipiteront vers vous avec de l'amour non dit Dans une rĂ©union douce et profonde đâąâ§đâ§âąđ Ensemble encore une fois vous allez errer Ă travers les prĂ©s main dans la patte Dans un endroit oĂč l'amour s'affectionne Et oĂč la paix et la joie sont la loi đâąâ§đâ§âąđ Plus d'ombres, plus de de deuil Que du rire, de la lumiĂšre, et du jeu Dans ce havre de croire LĂ oĂč vos cĆurs resteront toujours |
left by spanky on 11/08/2024Jolie chanson sur lâespoir... --- Rester debout mais Ă quel prix , debout peu importe le prix. --- Le Premier Jour Du Reste De Ta Vie Un matin comme tous les autres Un nouveau pari Rechercher un peu de magie Dans cette inertie morose --- Clopin clopan sous la pluie Jouer le rĂŽle de sa vie Puis un soir le rideau tombe C'est pareil pour tout l'monde --- Rester debout mais Ă quel prix Sacrifier son instinct et ses envies Les plus essentielles --- Mais tout peut changer aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie Plus confidentiel --- Pourquoi vouloir toujours plus beau Plus loin plus haut Et vouloir dĂ©crocher la lune Quand on a les Ă©toiles --- Quand les certitudes s'effondrent En quelques secondes Sache que du berceau Ă la tombe C'est dur pour tout l'monde --- Rester debout mais Ă quel prix Sacrifier son instinct et ses envies Les plus confidentielles --- Mais tout peut changer aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie C'est providentiel --- Debout peu importe le prix Suivre son instinct et ses envies Les plus essentielles --- Tu peux exploser aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie Non accidentel --- Oui tout peut changer aujourd'hui Et le premier jour du reste de ta vie Plus confidentiel --- De - Etienne Daho - ---- |
left by poutounou on 11/08/2024VoilĂ la vie de nos doux Anges au cieux⊠!!! Ca fait rĂȘver, non ? Moi ça me donnerait bien envie dây faire un petit tour, juste pour voir⊠!!! * Le banquet * Que de choses sur la table, Nous allons les manger! Le vin est dĂ©lectable Il faudra s'en gorger. * Divins breuvages Nous rendant moins sages Abondance de nourriture Jusqu'Ă l'exquise confiture... * On apporte aussi les fruits Dont on s'empiffre sans bruit. Les raisins aux grappes lustrĂ©es, DĂ©bordent des panerĂ©es. * L'air s'imprĂšgne d'une odeur framboisĂ©e Le coulis d'une glace ainsi parfumĂ©e Offre Ă nos papilles Ă©moustillĂ©es La saveur des saisons passĂ©es. * Mangeons, buvons, Ne boudons pas les plaisirs de la table Ensemble, nous, joyeux lurons, GoĂ»tons ces dĂ©lices immuables. * © Janine Loisel |
left by spanky on 09/08/2024La PriĂšre du Chien. --- Pour tous les chiens de la terre, voici ma PriĂšre : Tu mâas adoptĂ© et tu sauras mâassumer. Tu choisiras une race adaptĂ©e et sur moi, te seras renseignĂ©. Tu me nourriras et me sortiras comme il le faudra. Tu mâĂ©duqueras et mâapprendras Ă respecter, Ă aimer et Ă obĂ©ir sans en passer par le pire. Tu me soigneras et mâentretiendras aussi longue que ma vie sera. Du temps et de lâespace tu me donneras et ma nature, tu respecteras. Tu te souviendras que je ne suis pas humain et que je reste un chien. Le monde avec toi, je dĂ©couvrirai et toutes les choses je connaĂźtrai. De la patience, tu auras et de bonnes dĂ©cisions, tu prendras. MĂȘme dans ma vieillesse, tu garderas de la tendresse. ĂgoĂŻste, tu ne seras pas, quand la maladie me prendra, quand le moment viendra, Ă partir, tu mâaideras. Ton cĆur et ta chaleur, tu mâoffriras, tu me soutiendras et tu seras lĂ pour mon dernier souffle, pour mon dernier battement de cĆur. Et jusquâau dernier regard, jusquâĂ mon dernier soupir, tu garderas le sourire ; tu garderas le souvenir que tes erreurs pour le prochain pourront servir et tu te souviendras de celui avec qui tu as ri, tu as pleurĂ©, celui pour qui tu tâes donnĂ© et qui toute sa vie tes efforts a rĂ©compensĂ©. Celui qui tâa aimĂ© sans arriĂšre pensĂ©e, câest ton meilleur ami, qui, Ă la fin de sa vie, te le dira sans bruit : Merci. --- |
left by ovanek on 07/08/2024On ne perd pas quelqu'un qu'une fois... Tu les perds encore et encore, parfois plusieurs fois par jour Quand la perte, momentanĂ©ment oubliĂ©e se faufile et vous attaque par derriĂšre De nouvelles vagues de chagrin alors que la rĂ©alisation arrive Ă la maison, elles sont parties âââââââââ đŠđ€đŠ âââââââââđžâââââââââ đŠđ€đŠ âââââââââ Encore On ne perd pas quelqu'un qu'une fois Vous les perdez Ă chaque fois que vous ouvrez les yeux vers une nouvelle aube Et alors que tu te rĂ©veilles Ta mĂ©moire aussi ainsi que l'Ă©clair secouant qui dĂ©chire votre cĆur ils sont partis âââââââââ đŠđ€đŠ âââââââââđžâââââââââ đŠđ€đŠ âââââââââ Encore Perdre quelqu'un est un voyage, pas un seul Il n'y a pas de fin Ă la perte, il n'y a qu'une compĂ©tence apprise sur comment rester Ă flot quand elle se lave Soyez gentil avec ceux qui naviguent dans cette mer orageuse, ils ont un voyage devant eux Et un choc quotidien pour le systĂšme Ă chaque fois qu'ils rĂ©alisent qu'ils sont partis âââââââââ đŠđ€đŠ âââââââââđžâââââââââ đŠđ€đŠ âââââââââ Encore On ne perd pas quelqu'un qu'une fois vous les perdez tous les jours, pour toute la vie đŠ Donna Ashworth |
left by spanky on 07/08/2024Jolie petit ange Mendi .... Tu es l'ange d'Amour de ta maman, Tu sais, elle t'aime Ă©normĂ©ment ! Tu es toute sa vie, Elle a pour toi une tendresse infini ! Notre maman nous manque aussi, Depuis que nous sommes partis au paradis ! Nous veillons sur elle, Est le soir dans ses rĂȘves, nous sommes prĂ©s d'elle ! Alors petit ange Mendi, quand ta maman s'endort, Vas lui rendre visite, fais lui savoir que tu l'aime trĂšs fort ! Elle te prendra dans ses bras, Comme autrefois ici bas ! Elle te donnera pleins de baisers, Et des caresses par milliers ! Prends soin d'elle du pont de l'arc en ciel, Elle t'aime trĂšs fort, tu es sa petite merveille ! Nous on espĂšre te rencontrer dans cet immensitĂ©, Pour courir et jouer ensemble pour l'Ă©ternitĂ© ! ---- ****Maxou****Bambi****Jenny**** --- |
left by poutounou on 07/08/2024TrĂšs beau poĂšme de Brigitte Bruyns, dĂ©cĂ©dĂ©e en novembre 2005, envoyĂ© par son conjoint aprĂšs son dĂ©part. Pour nos Anges aussi ce nâĂ©tait quâun simple dĂ©part, un au revoir⊠Nous les reverrons, jâen suis sĂ»re, lĂ -haut, juste derriĂšre les nuages⊠!!! * Un au revoir * Un vent Ă©trange souffle sur les coeurs pourpres, Et rend les regards troubles. La goutte de pluie s'est transformĂ©e en perle puis en larme, Mais un rayon de chaleur l'a empĂȘchĂ©e de tourner en drame. Pour moi, les adieux n'existent pas, Je sais bien que ce jour, je ne l'oublierai pas. Vous m'avez tous aidĂ©e et supportĂ©e pendant ces annĂ©es, Et je ne sais pas comment vous en remercier. Pourtant, l'heure venue de mon dĂ©part, Je ne saurais m'empĂȘcher de noyer mes larmes dans un dernier regard. Tant d'annĂ©es se sont Ă©coulĂ©es, Tant de mois ont filĂ©, Tant de jours sont passĂ©s, Et tant d'heures ont coulĂ©. Alors pourquoi dramatiser, ce n'est qu'un simple dĂ©part, Dont je garde pour moi, l'espoir d'un jour vous revoir, Mais pour conclure, je vous dirai simplement Que ceci est une fĂȘte pour se dire au revoir, De plus, il ne faut pas qu'elle ait l'odeur d'un triste dĂ©part. * © Brigitte Bruyns |
left by spanky on 05/08/2024LâOurs et lâAmateur des jardins est la dixiĂšme fable du livre VIII de Jean de La Fontaine, situĂ© dans le deuxiĂšme recueil des Fables de La Fontaine, Ă©ditĂ© pour la premiĂšre fois en 1678. L'ours et l'amateur des jardins PoĂšte : Jean de La Fontaine (1621-1695) Recueil : Les fables du livre VIII (1678). ----- Certain Ours montagnard, ours Ă demi lĂ©chĂ©, ConfinĂ© par le Sort dans un bois solitaire, Nouveau BellĂ©rophon, vivait seul et cachĂ©. Il fĂ»t devenu fou : la raison d'ordinaire N'habite pas longtemps chez les gens sĂ©questrĂ©s. Il est bon de parler, et meilleur de se taire ; Mais tous deux sont mauvais alors qu'ils sont outrĂ©s. Nul animal n'avait affaire Dans les lieux que l'Ours habitait ; Si bien que tout Ours qu'il Ă©tait, Il vint Ă s'ennuyer de cette triste vie. Pendant qu'il se livrait Ă la mĂ©lancolie, Non loin de lĂ certain Vieillard S'ennuyait aussi de sa part. Il aimait les jardins, Ă©tait prĂȘtre de Flore, Il l'Ă©tait de Pomone encore. Ces deux emplois sont beaux ; mais je voudrais parmi Quelque doux et discret ami. Les jardins parlent peu, si ce n'est dans mon livre : De façon que, lassĂ© de vivre Avec des gens muets, notre homme, un beau matin, Va chercher compagnie, et se met en campagne. L'Ours, portĂ© d'un mĂȘme dessein, Venait de quitter sa montagne. Tous deux, par un cas surprenant, Se rencontrent en un tournant. L'Homme eut peur : mais comment esquiver ; et que faire ? Se tirer en Gascon d'une semblable affaire Est le mieux : il sut donc dissimuler sa peur. L'Ours, trĂšs mauvais complimenteur, Lui dit : « Viens-t'en me voir. » L'autre reprit : « Seigneur, Vous voyez mon logis ; si vous me vouliez faire Tant d'honneur que d'y prendre un champĂȘtre repas, J'ai des fruits, j'ai du lait : ce n'est peut-ĂȘtre pas De nos seigneurs les Ours le manger ordinaire ; Mais j'offre ce que j'ai. » L'Ours l'accepte et d'aller. Les voilĂ bons amis avant que d'arriver ; ArrivĂ©s, les voilĂ se trouvant bien ensemble : Et bien qu'on soit, Ă ce qu'il semble, Beaucoup mieux seul qu'avec des sots, Comme l'Ours en un jour ne disait pas deux mots, L'Homme pouvait sans bruit vaquer Ă son ouvrage. L'Ours allait Ă la chasse, apportait du gibier ; Faisait son principal mĂ©tier D'ĂȘtre bon Ă©moucheur ; Ă©cartait du visage De son ami dormant ce parasite ailĂ©, Que nous avons mouche appelĂ©. Un jour que le Vieillard dormait d'un profond somme, Sur le bout de son nez une allant se placer Mit l'Ours au dĂ©sespoir ; il eut beau la chasser. « Je t'attraperai bien, dit-il, et voici comme. » AussitĂŽt fait que dit : le fidĂšle Ă©moucheur Vous empoigne un pavĂ©, le lance avec raideur, Casse la tĂȘte Ă l'Homme en Ă©crasant la mouche ; Et non moins bon archer que mauvais raisonneur, Raide mort Ă©tendu sur la place il le couche. Rien n'est si dangereux qu'un ignorant ami ; Mieux vaudrait un sage ennemi. ---- Jean de La Fontaine. --- |
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