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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERCINDY
Il est né le:21/04/2005
Il nous a quittés le:18/09/2021
28 bougies
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6120 Fleurs
1132 messages
Déposé par choupinou le 02/10/2024Dans le silence, j'entends ta voix, un doux murmure, un choix sincère. Chérissez les souvenirs, serrez-les bien, Gardez votre amour près de vous, jour et nuit. Votre câlin poilu, un espace chaleureux et accueillant, Un refuge contre les tempêtes de la vie, un lieu aimant et sûr. Ta queue remuait de joie, tes yeux brillaient.... Vos câlins et vos baisers ont illuminé la nuit. Ton amour amour était une symphonie, un mélange harmonieux, une douce sérénade qui ne finira jamais. Résonne dans mon coeur, une mélodie si vraie, un amour si fort qu'il brillera pour toujours. Dans mes rêves, je te vois, ton regard aimant, attendrissant. Tes pattes ont touché le sol de mon esprit, un rappel de l'amour que nous avons laissé derrière nous. Ton amour était un jardin, une fleur épanouie, une beauté a contempler, à chaque heure. Elle a poussé dans mon coeur, une graine si fine, un amour si pur qu'il sera toujours le mien. Je garderai les souvenirs de notre temps ensemble, de rires et de larmes, de joie et de météo. Je garderai ton amour proche, comme un trésor si rare, un lien si fort qu'il sera toujours là. Repose en paix, mon cher ami, mon fidèle compagnon, Tu seras toujours dans mon coeur, mon fidèle ami, mon ombre. |
Déposé par choupinou le 25/09/2024Quand quelqu'un te manque, tu as l'impression que plus rien n'existe. Tu n'entends plus le chant des oiseaux, tu n'observes plus ceux qui dansent sous la pluie.. et tu ne ressens plus la douceur du vent sur ta peau. pus rien n'a d'importance. "Seules les larmes qui coulent sur tes joues ont du sens.. parce que tu sais pourquoi elles sont là" "Un seul être vous manque et tout est dépeuplé" disait Alphonse de Lamartine Et c'est tellement réel ! Texte de Plume de Nana |
Déposé par choupinou le 23/09/2024"Il m'ont dit que ma maison sentait le chien, et je leur ai demandé : - Savez- vous ce que sent un chien ? " Un chien sent la gratitude, la loyauté, la noblesse, l'affection, l'amour pur et inconditionnel. Et malgré tout ce qu'ils ont subi, malheureusement pour certains d'entres eux, ça ne sent pas la rancoeur".... Alors je me sens chanceux que ma maison sente le chien... Un souvenir de l'acteur Patrick Swaize qui aimait énormément les animaux - " Il y a des poils et effectivement ça sent le chien" Mais dans ma maison il y a de la vie, et de l'amour !!! choupinou |
Déposé par choupinou le 20/09/2024Je voudrais que tu reviennes, que tu grattes à la porte, et que j'entende ton jappement, pour me faire comprendre : regarde ce que je vais t'offrir, et j'ouvrirai, dans l'espoir, et tu seras là, bien revenu de la haut. Mais je sais que ce n'est qu'un rêve, et dieu sait comme il fait mal .... |
Déposé par spanky le 20/09/2024Chien et chat. --- Le chien avait promis de ne jamais le mordre Et le chat lui jura de ne jamais griffer Et depuis ce jour-là, on obéit à l'ordre Et le chien et le chat sont amis à jamais. --- On joue sur le tapis, on s'endort sous la table Le chat au creux des bras de son gentil toutou Des disputes ? Jamais ! On est toujours aimables On ronronne, on se lèche, on se fait les yeux doux. --- Minet n'a jamais su que certains chiens féroces Se jettent sur les chats pour leur briser les reins, Car le chien le regarde avec des yeux de gosse Heureux d'avoir trouvé le meilleur des copains! --- Oui, mais de temps en temps, on s'amuse à se faire Des blagues insensées qui font battre le cœur : Le chien aboie, le chat se jette, téméraire Sur le toutou ravi et qui feint d'avoir peur. --- Le petit chat tigré joue à être un grand fauve, Et quand le chien, parfois, aboie un peu trop fort, Alors notre tigrou, dans la chambre se sauve Et sur quelque coussin, épuisé, il s'endort ! ---- Michèle Corti --- |
Déposé par rustiditbibi le 18/09/2024"Il n'y a pas de plus grand amour inconditionnel que celui d'un chien. Ton souvenir vivra toujours dans nos cœurs, cher ami à fourrure." "Bien que tu ne sois plus physiquement à nos côtés, ta loyauté et ton amour vivront dans chaque recoin de notre maison. Tu seras toujours notre fidèle compagnon." "Dans l'arc-en-ciel de la vie, les chiens sont les lumières les plus brillantes. Puisses-tu trouver la paix et la joie de l'autre côté, cher ami." "Tu as laissé des traces indélébiles dans nos cœurs et des souvenirs que nous chérirons à jamais. Repose en paix, ami fidèle." "Les étoiles brillent plus fort dans le ciel parce qu'il y a maintenant un ange en fourrure qui illumine la nuit. Ta joie et ton amour nous manqueront à jamais." "Même si tes petites pattes ne touchent plus le sol, ton esprit est libre et heureux. Merci pour chaque moment partagé." "Où que tu ailles, j'espère que tu trouveras des champs infinis pour courir et jouer. Nous nous souviendrons toujours de toi avec amour et gratitude." "Dans le silence de nos larmes, nous entendons l'écho de tes aboiements et sentons l'étreinte chaleureuse de tes souvenirs. Tu seras toujours notre meilleur ami." "Perdre un chien, c'est comme perdre une partie de soi-même, mais c'est aussi se souvenir de la joie et de la loyauté que tu nous as données. Repose en paix, mon cher ami." "Dans le jardin de la mémoire, chaque pensée est une fleur, et ton souvenir est un jardin éternel plein d'amour et de gratitude."🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🐶🌹🌹🌹🌹🌹💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋 |
Déposé par rustiditbibi le 18/09/2024Rainbow Bridge est un poème simple, mais poignant sur la vie après la mort de nos animaux de compagnie, et sur la promesse de nos retrouvailles dans l’au-delà. Depuis des décennies, il apporte un grand réconfort aux personnes, adultes comme enfants, qui ont dû dire au revoir à leurs amis à fourrure. L’histoire de Rainbow Bridge, le Pont Arc-en-ciel, a touché des millions de personnes à travers le monde. Pourtant, l’identité de la personne qui a écrit ces mots est longtemps restée inconnue. Il s’agit d’Edna Clyne-Rekhy, une artiste écossaise de 82 ans, amoureuse des animaux. Jusqu’à récemment, elle ne savait pas que le poème qu’elle avait écrit il y a plus de soixante ans en hommage à son chien, Major, avait apporté du réconfort à tant d’autres personnes. « Je suis absolument stupéfaite. Je suis encore en état de choc », confie-t-elle. L’identité de l’autrice serait probablement restée secrète sans le travail acharné de Paul Koudounaris, historien de l’art, écrivain et propriétaire de chats à Tucson, en Arizona. Depuis une dizaine d’années, Koudounaris travaille à l’écriture d’un livre sur les cimetières pour animaux et, au fil de ses recherches, il a rencontré de nombreuses références au fameux poème. Edna_with_Major Photographie d'Edna Clyne-Rekhy avec son premier chien, Major. C'est après le décès de Major en 1959 qu'elle a écrit « Rainbow Bridge ». PHOTOGRAPHIE DE Edna Clyne-Rekhy « Très tôt, j’ai commencé à me demander qui avait écrit ce poème », se souvient l’écrivain, qui n’appréciait pas qu’un « texte d’une importance aussi monumentale pour le parcours de deuil des animaux » ne soit pas crédité. Il a découvert que la popularité de Rainbow Bridge avait commencé en février 1994, lorsqu’un lecteur originaire du Michigan a envoyé à une chronique intitulée Dear Abby un exemplaire du poème qu’il avait reçu de la part de l'organisation de protection des animaux de sa région. « Si vous imprimez ce poème, vous feriez mieux d’avertir vos lecteurs de sortir leurs mouchoirs », avait-il écrit. Abby a imprimé le poème, mais a fait remarquer à ses 100 millions de lecteurs et lectrices que le nom de l’auteur était malheureusement inconnu. « Si l’un de mes lecteurs peut confirmer l'identité de la personne qui a écrit de poème, merci de me le faire savoir. » Personne ne s’est manifesté, mais Rainbow Bridge n’a pas tardé à toucher de plus en plus de personnes. Selon Koudounaris, quinze demandes distinctes ont été déposées auprès du United States Copyright Office pour revendiquer les droits du poème. L’historien a dressé une liste d’environ vingt-cinq noms ayant un lien quelconque avec le poème et a fini par trouver, par élimination, l’identité de sa véritable autrice : Edna Clyne-Rekhy. Koudounaris avait trouvé son nom dans un groupe de discussion en ligne, dans lequel quelqu’un faisait référence à une Edna « Clyde » d’Écosse, qui aurait écrit le poème à la mort du chien de son fils. Quelques recherches l’ont ensuite conduit à Mme Clyne-Rekhy, qui était également l’autrice d’un livre sur son défunt mari et leur chien. Elle est alors devenue la seule femme, et la seule personne non américaine, à rejoindre la liste des auteurs potentiels du poème. « Celle qui, au départ, aurait semblé être la candidate la plus improbable, s’est finalement avérée être la candidate la plus intrigante et, bien sûr, la véritable autrice », soulève Koudounaris. Lorsque l’historien est parvenu à contacter Mme Clyne-Rekhy en janvier, et lui a demandé si elle avait écrit Rainbow Bridge, sa première réponse a été « Comment diable m’avez-vous trouvée ? » se souvient-elle. L’histoire de Mme Clyne-Rekhy, partagée ce mois-ci par celui qui est parvenu à la retrouver, commence en 1959. Elle avait 19 ans et pleurait la perte de Major, son labrador. « Il est mort dans mes bras », se rappelait-elle lors d’un appel avec la rédaction de National Geographic. « Je l’aimais tendrement. » Le lendemain de la mort de Major, elle pleurait « encore et encore ». Pour faire face à cette peine, et sur les conseils de sa mère, la jeune femme a décidé d’écrire ce qu’elle ressentait. Assise dans le salon familial, dans leur maison près d’Inverness, Edna a écrit une première ligne sur une feuille de papier blanc. À partir de là, le reste s’est écrit tout seul. Le poème était le suivant : Dans un petit coin du paradis, il y a un endroit que l’on appelle le Pont Arc-en-ciel. Lorsqu’un animal qui a été particulièrement proche de quelqu’un meurt, il rejoint le Pont Arc-en-ciel. C’est un pays de prairies et de collines dans lequel tous nos compagnons, si chers à nos cœurs, peuvent courir et jouer ensemble. Ils y trouvent beaucoup de nourriture, d’eau et de soleil. Nos amis sont au chaud, et ils se sentent bien. Tous les animaux qui ont connu la vieillesse et la maladie retrouvent leur santé et leur énergie, et ceux qui ont été blessés trouvent la guérison et la force. Ils redeviennent tels que nous nous souvenons d’eux avant leur départ au paradis. Ils sont heureux et satisfaits, mais quelque chose ne va pas : tous ont dû dire au revoir à quelqu’un de très spécial, quelqu’un qui leur manque. Nos amis courent et jouent tous ensemble, mais un jour, l’un d’eux s’arrête soudainement et regarde au loin. Ses grands yeux se mettent à briller, son corps frémit. À toute vitesse, il se met à courir et s’éloigne du groupe. Il se précipite sur l’herbe, ses pattes le portent de plus en plus vite. Et lorsque vous et votre grand ami vous retrouvez enfin, vous vous enlacez joyeusement. À présent, plus rien ne pourra vous séparer. Vous pleurez tous les deux. Vos mains caressent à nouveau la tête de votre cher compagnon, et vous plongez à nouveau votre regard dans ses yeux confiants, disparus depuis si longtemps de la vie, mais jamais disparus de votre cœur. Puis, ensemble, vous traversez le Pont Arc-en-ciel. « C’est comme si je parlais à mon chien, je parlais à Major », confie-t-elle. « J’ai ressenti tout cela, et je devais l’écrire. » Mme Clyne-Rekhy possède toujours le brouillon original du poème, écrit à la main. Lorsqu’elle l’a montré à Koudounaris, il a immédiatement su qu’il était vrai. « Le reste de son histoire me l’a confirmé plus tard, mais ces feuilles ont eu un pouvoir que je ne saurais expliquer. » Bien qu’elle n’ait jamais publié le poème, Mme Clyne-Rekhy a fini par le montrer à quelques-uns de ses amis. « Ils se sont tous mis à pleurer », et lui ont demandé s’ils pouvaient en avoir une copie. Elle a ainsi rédigé des exemplaires à la main, sans jamais y inclure son nom. Selon Koudounaris, il est probable que le texte ait été transmis de personne en personne jusqu’à perdre tout lien avec son autrice originale. Il a alors fini par avoir sa propre identité. Certaines incohérences sont également présentes dans la langue du poème, et ce sont elles qui ont amené l’historien à se demander s’il n’était pas plus ancien que ce que pensaient alors ses lecteurs. Tandis que certaines versions parlaient d’animaux « mutilés devenus de nouveau entiers », d’autres mentionnaient des animaux qui « retrouvaient leur vigueur ». Ces petites différences « m’ont permis de comprendre quelque chose d’important : ce texte circulait depuis un certain temps », explique-t-il. Après avoir passé des années en Inde, Mme Clyne-Rekhy s’est installée dans une ferme en Espagne, ce qui peut expliquer pourquoi elle n’avait jamais eu vent de la popularité croissante de son poème dans le monde, et notamment aux États-Unis et en Grande-Bretagne. « Tous les vétérinaires de Grande-Bretagne en ont une copie, vous imaginez ? », s’émerveille-t-elle. Koudounaris attribue la popularité durable et la puissance de Rainbow Bridge au besoin théologique qu’il permet de combler. Les personnes qui ont été élevées dans la foi chrétienne ont souvent entendu, aussi bien par leurs parents que par leurs prêtres, que les animaux n’avaient pas d’âme et ne pouvaient donc pas les rejoindre au paradis. « L’histoire du Pont Arc-en-ciel permet d’offrir de l’espoir aux personnes qui ont dû vivre en ayant peur que leur animal ne soit pas assez bon pour mériter une vie après la mort », poursuit-il. Kitty Block, directrice générale et présidente de la Humane Society, une organisation de protection des animaux, estime elle aussi que Rainbow Bridge a offert au monde « une vision qui a réconforté des millions de personnes endeuillées par la perte d’un animal de compagnie ». « Sa popularité durable montre que, pour tant de personnes de tous horizons, les relations avec les animaux de compagnie ont une profonde importance. L’intimité des liens que nous entretenons avec eux peut nous aider à reconnaître un devoir fondamental, qui est celui de prendre soin des animaux. Ceux qui font partie de nos familles, mais aussi ceux du monde entier. » De son côté, Mme Clyne-Rekhy confie qu’elle sait déjà qu’elle sera réunie avec Major et les animaux qu’elle a aimés par la suite. Le moment venu, ses cendres seront dispersées dans la mer du Nord avec celles de ses amis partis avant elle. |
Déposé par spanky le 18/09/2024Une fois la nuit tombée, Quand le sommeil nous a emporté, Lorsqu'enfin tout est calme et léger, Loin du tumulte de la journée, Nos anges, doucement viennent nous frôler. Tout près de nous délicatement, ils vont se poser. Sur notre front, une léchouille doucement ils vont déposer. A notre oreille un "je t'aime" ils vont nous murmurer. De leurs ailes, ils vont nous envelopper, Et peut-être même...dans un tourbillon de bonheur ils vont nous emporter. Puis au matin revenu, à nouveau, ils vont nous quitter. Non sans nous avoir une dernière fois léchouillés. Mais de doux rêves ils nous auront laissé. Et le soir même, ils l'ont promis, ils vont repasser. ---- |
Déposé par spanky le 18/09/2024Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l'aurore ; Ils dorment au fond des tombeaux Et le soleil se lève encore. Les nuits plus douces que les jours Ont enchanté des yeux sans nombre ; Les étoiles brillent toujours Et les yeux se sont remplis d'ombre. Oh ! qu'ils aient perdu le regard, Non, non, cela n'est pas possible ! Ils se sont tournés quelque part Vers ce qu'on nomme l'invisible ; Et comme les astres penchants, Nous quittent, mais au ciel demeurent, Les prunelles ont leurs couchants, Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent : Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Ouverts à quelque immense aurore, De l'autre côté des tombeaux Les yeux qu'on ferme voient encore. ---- |
Déposé par choupinou le 18/09/2024DE NOUS TOUS TA FAMILLE CINDY En ce jour anniversaire, 3 ans déjà Je pose ici, mes pensées, mes mains sur mon clavier, histoire de ne pas oublier, les doux mots d'amour, de douleurs et de toujours, de penser à ces moments forts, que tu nous donné, sans compter et de l'amour que nous avons partagé je suis là, en ce jour notre aimé pour te demander, de ne pas oublier. l'amitié d'un chien et notre famille réuni d'une vie, d'une histoire, ce lien triste vérité, on s'est quitté, pour ce chemin que tu as du emprunter, et nous avons pleuré, tendre sincérité , notre être tout entier continu a t'aimer le vent souffle sur ces années, mais loin de toi, nos regard n'ont pas changé nous continuons sans faille a te faire vivre dans nos coeur a l'infini, et nous chavirons, car nous savons que tu es là au chaud a tout jamais une larme au coin des yeux, la tristesse nous envahit nous sentons ta chaleur qui nous réchauffe et s'en va la pluie... Nous t'aimons CINDY tu restes a jamais dans nos coeur petite puce d'Amour |
Déposé par poutounou le 18/09/2024Vous croyez qu’ils jouent aux billes là-haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! Moi j’adorais jouer aux billes… * Un Ange parfois joue aux billes… * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une étoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fée courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rêvant derrière un carreau. * Maurice Carême |
Déposé par ovanek le 16/09/2024┊ ┊ ┊ ┊ ┊┊✫˚⭐⋆。 ┊ ┊ ✫ ˚🩷⋆。❀🌸 ┊ ☪︎⋆ .⭐✫ ˚⭐⋆。❀🌸 Ce Dernier message pour vous Remercier Loin des 👀...Près du 💖... La page est en mode privé pour un temps indéterminé ⭐❁════════ ✰🌸✰ ════════❁⭐ « Bien que tu ne marches plus à côté de moi physiquement Je te vois dans tous les souvenirs Je te sens dans chaque battement de cœur Je t'entends dans chaque chanson Je te connais dans chaque pensée 🌸❁════════ ✰ ✰ ✰ ✰⭐ ✰ ✰ ✰ ✰ ════════❁🌸 Je ris avec toi dans chaque joie Je pleure avec toi dans chaque douleur 🌸❁════════ ✰ ✰ ✰ ✰⭐ ✰ ✰ ✰ ✰ ════════❁🌸 Car bien que tu ne marches plus à côté de moi Tu ne m'as jamais vraiment quitté 🌸❁════════ ✰ ✰ ✰ ✰⭐ ✰ ✰ ✰ ✰ ════════❁🌸 Car je sens ta présence avec moi à chaque étape du chemin Et tu n'es jamais vraiment parti... ” 🦋 Tahlia Hunter |
Déposé par spanky le 16/09/2024Le petit chien Ploton ---- Ploton fut doux comme un agneau, Ploton fut gai comme un moineau, Simple comme une colombelle, Loyal comme une tourterelle, Friand comme un rat foleton, Mignard comme un petit chaton; Bref Ploton fut plus agréable, Plus frétillant, Plus amiable, Plus bénin, plus obéissant, Plus avisé, plus connaissant, Plus vigilant et plus habile, Et de nature plus gentille, Et plus digne d'en dire rien, Que ne fut jamais petit chien. ---- Olivier de MAGNY, --- |
Déposé par poutounou le 15/09/2024Coulez, ô larmes éternelles, car ici-bas je reste seul… * L'ange envolé. * Mon ange a reployé ses ailes Et dort glacé sous un linceul ; Coulez, ô larmes éternelles, Car ici-bas je reste seul. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. * Cette douce sœur de mon âme, Pour charmer mon cœur attristé, Me parlait encore de sa flamme Sur le seuil de l'éternité. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. * Si jusqu'à toi, de cette terre S'élève mon chant désolé, Sois attentive à ma prière En ton beau royaume étoilé. * Ô chère ombre au ciel envolée, Chaque nuit sous les noirs cyprès Versant des pleurs sur ton blanc mausolée, Je viens épancher mes regrets. * François-Marie Robert-Dutertre (1815-1898) |
Déposé par spanky le 14/09/2024Voici ce que votre chien pense réellement de vous. Cela risque de vous toucher profondément. ----------- Nous avons tous conscience de l’affection que les chiens ont pour nous. Ils nous câlinent, et nous réconfortent lorsque nous en avons le plus besoin. ---- Mais vous êtes-vous jamais demandé à quoi pensaient les chiens, et à quoi ils rêvaient ? ---- Pour vous en donner une petite idée, continuez donc votre lecture, et découvrez ce que, selon nous, votre chien pense vraiment de vous. ---- Je suis ton chien, et j’aimerais bien te murmurer quelque chose à l’oreille ; je sais que vous autres humains menez une vie très remplie. Certains travaillent, d’autres élèvent leurs enfants. Vous donnez toujours l’impression de courir dans tous les sens, bien souvent sans prêter attention autour de vous, et sans profiter des plaisirs de la vie. ---- Regarde-moi, en bas, alors que tu es assis devant ton ordinateur. Est-ce que tu vois mes grands yeux sombres qui te regardent ? Ils sont de moins en moins clairs, désormais. C’est un effet de l’âge. Je commence à avoir des poils gris autour de mon doux museau. Tu me souris ; je peux voir l’amour dans ton regard. Que vois-tu dans le mien ? Est-ce que tu vois une âme ? Une âme en moi, qui t’aime comme personne d’autre ne le pourra jamais ? Un esprit qui te pardonnerait tous tes crimes pour passer quelques instants avec toi ? --- C’est tout ce que je te demande ; ralentis un peu, ne serait-ce que pour passer quelques minutes avec moi. Très souvent, tu as été ému en lisant, sur ton écran, l’annonce de la mort d’autres membres de ma race. Parfois nous mourrons jeunes et rapidement, parfois même tellement brusquement que cela te brise le cœur. Parfois, nous vieillissons si lentement en ta compagnie que tu ne sembles même pas t’en apercevoir avant qu’il ne soit trop tard, et que nous te regardions, avec notre museau grisonnant et nos yeux aveuglés par la cataracte. Mais notre affection est toujours bel et bien là, même lorsque nous devons te faire nos adieux, et partir courir, enfin libres, dans ce pays très lointain et imaginaire. ---- Je ne serai peut-être plus là demain ; je ne serai peut-être plus là la semaine prochaine. Un jour, tu pleureras toutes les larmes de ton corps, celles que les humains versent lorsqu’ils sont bouleversés, et tu te maudiras de ne pas avoir pu passer « une journée de plus » en ma compagnie. ---- Comme je t’aime énormément, ta tristesse me touche et me blesse. Nous sommes ensemble, MAINTENANT. Alors approche-toi, assieds-toi près de moi sur le sol, et regarde-moi bien dans les yeux. Qu’est-ce que tu vois ? Si tu regardes avec attention, nous pourrons échanger, toi et moi, à cœur ouvert. ---- Ne t’adresse pas à moi comme un mâle dominant, un dresseur, ou même un maître/une maîtresse ; considère-moi comme une autre âme vivante, caresse mon pelage, regardons-nous dans les yeux, et parlons. Je te raconterai peut-être à quel point il est amusant de courir après une balle de tennis, ou bien te dirai-je quelque chose de profond à mon sujet, ou bien au sujet de la vie en général. ---- Tu as décidé de m’avoir dans ta vie, car tu voulais avoir quelqu’un avec qui partager ce genre de choses. Quelqu’un de très différent de toi… et je suis là. ---- Je suis un chien, mais je suis un être vivant à part entière. Je ressens des émotions, j’ai des sens physiques, et j’adore les différences qui existent entre toi et moi. Je ne te vois pas comme un « chien sur deux pattes » – je sais ce que tu es. Tu es un humain, avec toutes les bizarreries que cela implique, et pourtant je t’aime quand même. ---- Maintenant, assieds-toi par terre à mes côtés. Entre dans mon monde, et laissons le temps ralentir pendant au moins 15 minutes. Regarde-moi droit dans les yeux, et murmure dans mes oreilles. ---- Parle-moi avec ton cœur, avec ta joie, et je connaîtrai alors ton moi profond. Demain ne viendra peut-être jamais, et la vie est beaucoup trop courte. ---- Alors je t’en prie, assieds-toi à mes côtés, et partageons ces moments précieux qui nous restent à vivre ensemble. ---- Avec tout mon amour, Ton Chien. ---- Partagez ce merveilleux message avec tous vos amis ! ---- |
Déposé par spanky le 12/09/2024Mon chien ne reviendra pas. --- Mon chien ne reviendra pas, Il est loin de moi, Si loin de moi... -- Mon chien ne redescendra pas, Dans le ciel, il restera... Et même si il le voulait, Il ne le pourrait... --- Mon chien ne reviendra pas, Il ne viendra plus près de moi, Les jours de chagrin, Qui reviennent tous les matins... --- Le ciel est sa prison, Me condamnant mon amour Pour lui... --- Mon chien ne reviendra pas, Il est loin de moi, Si loin de moi... ---- |
Déposé par poutounou le 11/09/2024Le Bonheur c’est une truffe fraîche dans le cou… * Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus légère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec précaution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, légère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pénètre de sa paix. * Même fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le réel, Alors que la pensée remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La découverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'être aimé. * Et malgré la nuit du monde, Malgré les destructions, Tenons notre lampe allumée, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
Déposé par spanky le 10/09/2024LE DERNIER CRI ---- "Ce matin, après une longue nuit à appeler mes belles et à me battre pour ne pas perdre ma place de chef au sein de ce harem, j'ai poussé mon dernier cri... Pourtant, le ciel était beau ce matin et la journée s'annonçait belle... J'étais là sur ma place de brame où je revenais depuis quelques années à attendre que les rayons du soleil viennent me frôler et me disent qu'il est temps pour moi de repartir au plus profond de la forêt afin de fuir le danger et d'aller me reposer. Mais ce matin, les rayons du soleil ne sont pas parvenus à me frôler...ce matin après un dernier cri, un bruit assourdissant a raisonné dans la forêt, cette forêt qui m'a vu naître et dans laquelle j'ai grandi et dans laquelle je revenais tous les ans à la même période. Ce matin, alors que j'étais là à regarder l'horizon... j'ai chuté sans trop comprendre pourquoi...ma tête posée sur l'herbe humidifiée par la rosée du matin, je ne pouvais plus bouger et là j'ai entendu des pas lourds et des rires s'approcher de moi... à ce moment là j'ai compris que ce matin de septembre, j'avais poussé mon dernier cri... "Aujourd'hui, l'amoureux et le passionné de la nature que je suis est triste et en colère... Stop à la chasse aux trophées pendant le brame!!! Ce magnifique cerf a chuté pour satisfaire des riches chasseurs venus de loin avec les poches remplies de billets, ce matin de septembre, ce magnifique 12 cors, que je connaissais depuis quelques années et qui revenait tous les ans sur cette même place de brame, avant même de pouvoir se reproduire a été tué pour finir sur une photo souvenir et sur un blason accroché sur un mur... Voilà la triste réalité de la chasse aux trophées en période de brame. ---- |
Déposé par spanky le 08/09/2024Mémoire immortelle ---- Colombe blanche qui côtoie les cieux Demeure avec les anges et le bon dieu Elle est telle une note de musique qui plait à l’ouïe Si rayonnante comme une fleur qui s’épanouit Juvénile, d’une blancheur pure et angélique Et un sourire qui nous emmène vers un monde féerique Jadis, on cheminait à destination en chantant La main dans la main souvent en galopant Cette image je la garde de bien avant Ce jour damné qui à ton existence a mis un trait Houda… Ta mémoire je la garde dans mon cœur d’enfant Elle sera intacte, je veillerai à ce qu’elle soit autant… Car ton authenticité et ton amitié furent à part Quoi qu’aujourd’hui ton esprit ait erré loin de mon regard Je me rappellerai toujours de nos dires, nos rires, et même de nos larmes En priant le bon dieu pour qu’il prenne bien soin de ton âme ---- Rhita Benjelloun, 2012 --- |
Déposé par poutounou le 08/09/2024La joie * O ces larges beaux jours dont les matins flamboient ! La terre ardente et fière est plus superbe encor Et la vie éveillée est d'un parfum si fort Que tout l'être s'en grise et bondit vers la joie. * Soyez remerciés, mes yeux, D'être restés si clairs, sous mon front déjà vieux, Pour voir au loin bouger et vibrer la lumière ; Et vous, mes mains, de tressaillir dans le soleil ; Et vous, mes doigts, de vous dorer aux fruits vermeils Pendus au long du mur, près des roses trémières. * Soyez remercié, mon corps, D'être ferme, rapide, et frémissant encor Au toucher des vents prompts ou des brises profondes ; * O ces matins de fête et de calme beauté ! Roses dont la rosée orne les purs visages, Oiseaux venus vers nous, comme de blancs présages, Jardins d'ombre massive ou de frêle clarté ! * A l'heure où l'ample été tiédit les avenues, Je vous aime, chemins, par où s'en est venue Celle qui recélait entre ses mains, mon sort ; * Je vous aime, lointains marais et bois austères, Et sous mes pieds, jusqu'au tréfonds, j'aime la terre Où reposent mes morts. * J'existe en tout ce qui m'entoure et me pénètre. Gazons épais, sentiers perdus, massifs de hêtres, Eau lucide que nulle ombre ne vient ternir, Vous devenez moi-même étant mon souvenir. * Emile Verhaeren, La Multiple Splendeur |
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