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En hommage à
Titus
Il nous a quittés le:08/09/1989
59 bougies
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2383 messages
Déposé par poutounou le 05/11/2017Oui, tu vis à l'infini mon Ange... * À l'infini * Là-haut, tu es. Là-haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle à jamais que rien ne sépare de la pure lumière ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es là, hors d'atteinte, hors du monde où meurent les âmes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis à l'infini. * André Velter ("L'amour extrème, poèmes pour Chantal Mauduit", éditions Gallimard, 2000) |
Déposé par poutounou le 01/11/2017Celui qui perd sa vie, un jour la retrouvera… * Il restera de toi… * Il restera de toi ce que tu as donné Au lieu de le garder dans des coffres rouillés. Il restera de toi, de ton jardin secret, Une fleur oubliée qui ne s'est pas fanée. * Ce que tu as donné En d'autres fleurira. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Il restera de toi ce que tu as offert Entre tes bras ouverts un matin au soleil. Il restera de toi ce que tu as perdu, Que tu as attendu plus loin que tes réveils. * Ce que tu as souffert En d'autres revivra. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Il restera de toi une larme tombée, Un sourire germé sur les yeux de ton cœur. Il restera de toi ce que tu as semé, Que tu as partagé aux mendiants du bonheur. * Ce que tu as semé En d'autres germera. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Michel Scouarnec * En ce jour de Toussaint, je vous souhaite à toutes et tous, chiens, chats, et autres, ainsi qu’aux membres du cimetière virtuel, une bonne tonne de « beaux souvenirs ». |
Déposé par poutounou le 29/10/2017Et bientôt ce sera l'hiver ! Brrr... * Quand l'automne en saison revient * Quand l'automne en saison revient, La forêt met sa robe rousse Et les glands tombent sur la mousse Où dansent en rond les lapins. * Les souris font de grands festins Pendant que les champignons poussent. Ah ! que la vie est douce, douce Quand l'automne en saison revient. * Samivel |
Déposé par Biscuit le 29/10/2017> > La vie sur terre est un passage > > L’amour est un mirage, > > Mais l’amitié est un « Fil d’or » > > Qui ne se brise qu’à la mort. > > Tu sais ! l’enfance passe, > > La jeunesse suit, la vieillesse la remplace > > Puis la mort nous ramasse… > > La plus belle fleur du monde perd sa beauté, > > Mais une amitié fidèle dure pour l’éternité. > > Vivre sans amis, c’est mourir sans témoin. , |
Déposé par Biscuit le 23/10/2017Que Savent les Hommes ? Nous sommes leurs petites bêtes Leurs domestiques Animaux Ils nous font la fête Nous frottent souvent le dos Ils cherchent nos caresses Nos tendres ronronnements Mais notre noble sagesse Pour eux ce n'est rien, c'est du vent Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que nos cœurs battent comme leurs propres cœurs ? Et que du bonheur C'est de faire leur bonheur Ils nous garde bien au chaud Dans leurs hermétiques maisons Nourrissent nos petits corps A coups de boîtes de ronron Nous sommes décoratifs Dans leurs impersonnels décors Mais leurs mains qui souvent nous caressent N'apaisent pas notre détresse Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que nos yeux Ou brillent des ombres noires Ne sont que les reflets De leur secret désespoir ? Nous leur apportons le calme Les allégeons de leurs angoisses Quand nous restons en silence C'est pour le bien-être de leurs ÂMES Nous les aidons a vivre A supporter leur monde d'Hommes Et quand ils partent a la dérive Nous esquissons un pas de danse Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que dans nos yeux L'univers entier se reflète Et que s'ils nous trouvent étranges C'est parce que nous sommes des ANGES ? PHILIPPE MUYL, |
Déposé par poutounou le 22/10/2017Il n'y a rien à ajouter : c'est l'homme qui ne va pas sur cette terre, enfin certains "hommes"... * Autocritique * Qu’est-ce qui ne va pas sur Terre ? C’est le chat dit la souris C’est le lion dit la gazelle C’est le loup dit l’agneau C’est l’homme dit l’homme. * Jean-Pierre Develle |
Déposé par choupinou le 17/10/2017AUTOMNE -dans les forêts dépouillées déjà les feuilles rouillées font un tapis de velours et l'on entend de l'Automne gémir ce chant monotone coupé par des sanglots lourds -les frileuses hirondelles rasent le sol de coups d'ailes se rassemblent a grands cris et tous les oiseaux sauvages s'appellent sur les plaines et rivages près des étangs défleuris -c'est la saison triste et douce ou l'on rêve,ou sur la mousse en pleurant ont vient s'asseoir pour voir le soleil oblique dans le ciel mélancolique verser les joyaux du soir Jean Richepin et je rajoute... -ces véritables petits bijoux qui scintillent dans la nuit ces petites étoiles,c'est si doux au firmament,ce trésors luit et dans chacune d'elle,je peux voir nos petits anges que nous pleurons,notre désespoir choupinou |
Déposé par poutounou le 15/10/2017Un déjeuner au Paradis, sauf que nos Anges ne s'ennuient jamais, même le Dimanche... * Un déjeuner de fous * J’organise aujourd’hui un déjeuner de fous une chasse à l’herbe folle un braconnage de fruits verts. Nous boirons sous les pommiers du cidre de la pleine lune, nous ferons un jardin des moissons d’amitié de mots sans trèves et de soleils givrés. Et dans ce paysage de rêveries bruissantes nous danserons sur l’ennui des dimanches. * Luce Guilbaud ("La petite feuille aux yeux bleus" - Éditions Le farfadet bleu/Le dé bleu, 1998) |
Déposé par Biscuit le 14/10/2017Allongée, je suis perdue dans mes pensées. je pense à toi, partie loin de moi... je regarde les étoiles, comme on le fesait avant que tu t'en ailles. le soir, quand il fesait bon, nous nous installions sur la terrasse pendant des heures à contempler ces belles lueurs... à chaque foi que je vois une étoile filante, je fait un voeu, un souhait que je désire : TE RETROUVER TOI QUI ME HANTE serait mon plus grand désir... je serais heureuse de te retrouver après toutes ces années passées sans toi à mes côtés pour m'épauler et me guider... avec toi, j'avais la joie de vivre. elle est partie avec ton dernier soupir. je n'aurais jamais cru pouvoir souffrir autant que ce jour où tu as du partir... |
Déposé par Biscuit le 11/10/2017…Passe ma chance, tournent les vents Reste l’absence, obstinément. J’ai beau me dire que c’est comme ça Que sans vieillir, on n’oublie pas. QUOI QUE JE FASSE , OU QUE JE SOIS RIEN NE T’EFFACE, JE PENSE A TOI…., |
Déposé par poutounou le 08/10/2017Et oui ! C'est quoi la vie ? * Le Secret * D'où viennent-ils ? Où vont-ils Tous ces humains que cherchent-ils ? * Il court, il court, le Secret ! Et les hommes lui courent après ! * Il est passé par ici Il repassera par là. * C'est comment, c'est quoi la vie ? Bien malin qui le dira ! * Elle est passée par ici, Elle repassera par là. * Il court, il court, le Secret ! Et les hommes lui courent après ! * Andrée Chedid ("Fêtes et lubies" - éditions Flammarion - 1973) |
Déposé par poutounou le 01/10/2017Des nuages au Paradis ! Oui, mais de gentils nuages... * Les nuages * Trois petits nuages S’en venaient de Paris, Mais oui, mais oui. Mon Dieu, qu’ils étaient jolis ! Derrière eux le vent riait. Allez, allez ! Et claque, claque son fouet. Le premier nuage Etait léger comme un duvet. Le second petit nuage Avait de beaux cheveux frisés. Passant trop près du soleil, Le pauvre petit dernier S’y était brûlé le nez. Tant pis, tant pis Ils ne pouvaient pas s’arrêter Pensez ! Trois petits nuages S’en allaient au Paradis ! |
Déposé par Biscuit le 01/10/2017La vie est la vie, que ce soit un chat, un chien ou un homme. Il n'y a pas de différence entre un chat, un chien, un homme. L'idée de différence est une conception humaine pour mettre l'homme à son avantage ». Sri Aurobindo. "En tant que mammifère, il est vraiment étonnant que l’homme ait pu commettre autant de crimes envers ceux que les indigènes - et les initiés - appelaient nos frères ! Imaginons dans quel état émotionnel nous serions (et donc celui, permanent, des animaux) après le rapt de nos enfants, les uns après les autres dès leur naissance, sachant qu’ils seront sacrifiés sur une broche, dans un four ou sur un grill et découpés en côtelettes ? Imaginons comment supporter toute une vie dans un ghetto puant (à l’identique de ceux dans lesquels les animaux sont obligés de vivre), gavés de chimie, marchant sur les cadavres des plus faibles, sans voir la lumière du jour et, pour certains, encerclés de bois ou de fer et ne pouvant marcher ni parfois même se lever ?… Imaginons les sentiments qui seraient les nôtres (et sont ceux des animaux) en voyant nos pères, mères, frères, sœurs, enfants et compagnons d’infortune embarquer de force et sans ménagement dans des camions vers la chaise électrique puis le dépeçage immédiat – parfois même encore vivants - pour le plaisir d’une autre espèce ? Cela ne nous rappelle-t-il rien ? Quelle personnalité propre à son espèce peut développer un petit veau, agneau, porcelet, poussin, etc., privé des soins, de l’amour et de l’éducation de sa mère ? Quand on y réfléchit, les souffrances que nous leur infligeons sont incommensurables et indignes ! Comment excuser un tel comportement ? Chaque animal sur terre (du plus humble au plus gros, domestique autant que sauvage) est un individu à part entière capable de ressentir - au même titre que nous - des émotions intenses de joie ou de tristesse, de peurs et même de terreur, de douleur et de dépression, des sentiments d’amour et de tendresse (où ils peuvent même choisir de vivre des liens de fidélité) et de concevoir des raisonnements intelligents, exactement comme vous et moi !" Hatem |
Déposé par nounours le 25/09/2017. ...........LIBERTÉ.......... . Sur mes cahiers d’écolier........... Sur mon pupitre et les arbres........ Sur le sable sur la neige......... J’écris ton nom....... . Sur toutes les pages lues.......... Sur toutes les pages blanches.......... Pierre sang papier ou cendre.. J’écris ton nom...... . Sur les images dorées....... Sur les armes des guerriers......... Sur la couronne des rois.......... J’écris ton nom..... . Sur la jungle et le désert...... Sur les nids sur les genêts........ Sur l’écho de mon enfance........... J’écris ton nom.......... . Sur les merveilles des nuits.......... Sur le pain blanc des journées....... Sur les saisons fiancées........... J’écris ton nom........... . Sur tous mes chiffons d’azur........... Sur l’étang soleil moisi......... Sur le lac lune vivante.......... J’écris ton nom....... . Sur les champs sur l’horizon.......... Sur les ailes des oiseaux........... Et sur le moulin des ombres......... J’écris ton nom.......... . Sur chaque bouffée d’aurore............ Sur la mer sur les bateaux............... Sur la montagne démente............ J’écris ton nom........ . Sur la mousse des nuages............. Sur les sueurs de l’orage.............. Sur la pluie épaisse et fade............ J’écris ton nom.......... . Sur les formes scintillantes........... Sur les cloches des couleurs............. Sur la vérité physique............. J’écris ton nom............. . Sur les sentiers éveillés........... Sur les routes déployées........... Sur les places qui débordent............ J’écris ton nom........... . Sur la lampe qui s’allume....... Sur la lampe qui s’éteint........... Sur mes maisons réunies.............. J’écris ton nom........... . Sur le fruit coupé en deux........... Du miroir et de ma chambre........ Sur mon lit coquille vide......... J’écris ton nom............ . Sur mon chien gourmand et tendre..... Sur ses oreilles dressées............. Sur sa patte maladroite............ J’écris ton nom......... . Sur le tremplin de ma porte.............. Sur les objets familiers.............. Sur le flot du feu béni......... J’écris ton nom............ . Sur toute chair accordée............. Sur le front de mes amis.............. Sur chaque main qui se tend............... J’écris ton nom.......... . Sur la vitre des surprises............. Sur les lèvres attentives............ Bien au-dessus du silence............. J’écris ton nom........ . Sur mes refuges détruits........... Sur mes phares écroulés......... Sur les murs de mon ennui.............. J’écris ton nom......... . Sur l’absence sans désir............. Sur la solitude nue........... Sur les marches de la mort............. J’écris ton nom........... . Sur la santé revenue........... Sur le risque disparu........ Sur l’espoir sans souvenir.............. J’écris ton nom......... . Et par le pouvoir d’un mot................. Je recommence ma vie............ Je suis né pour te connaître........... Pour te nommer............. . ...........LIBERTÉ............. . .........PAUL ELUARD.............. . .......AMITIÉ SINCÈRES............... . |
Déposé par choupinou le 24/09/2017dans les forêts dépouillées déjà les feuilles rouillées font un tapis de velours et l'on entend de l'Automne gémir ce chant monotone coupé par des sanglots lourds les frileuses hirondelles rasent le sol de coups d'ailes se rassemblent a grands cris et tous les oiseaux sauvages s'appellent sur les plaines et rivages près des étangs défleuris c'est la saison triste et douce ou l'on rêve,ou sur la mousse en pleurant ont vient s'asseoir pour voir le soleil oblique dans le ciel mélancolique verser les joyaux du soir JEAN RICHEPIN ces véritables petits bijoux qui scintillent dans la nuit ces petites étoiles,c'est si doux au firmament,ce trésors luit et dans chacune d'elle,je peux voir mes petits coeurs que je pleure,mon désespoir CHOUPINOU , |
Déposé par poutounou le 24/09/2017Au revoir l'été !!! * Voici que la saison * Voici que la saison décline, L’ombre grandit, l’azur décroit, Le vent fraichit sur la colline, L’oiseau frissonne, l’herbe a froid. * Aout contre septembre lutte; L’océan n’a plus d’alcyon ; Chaque jour perd un minute, Chaque aurore pleure un rayon. * La mouche, comme prise au piège, Est immobile à mon plafond ; Et comme un blanc flocon de neige, Petit à petit, l’été fond. * Victor Hugo |
Déposé par ovanek le 23/09/2017💖 💖 💖 💖 111 💖 💖 Un compagnon est celui qui connaît tes sentiments Que tu as dans ton cœur et qui peut te les murmurer Quand tu en as oublié les paroles … Mon Chien…. Les nôtres sont liés à jamais et ne s’effacerons jamais ** Pensée ** 💖 |
Déposé par poutounou le 17/09/2017Voilà à quoi ressemble l'école au Paradis... * Notre école * Notre école se trouve au ciel. Nous nous asseyons prés des anges. Comme des oiseaux sur les branches. Nos cahiers d'ailleurs ont des ailes. * A midi juste, on y mange, Avec du vin de tourterelle, Des gaufres glacées à l'orange Les assiettes sont en dentelle. * Pas de leçon, pas de devoirs Nous jouons quelque fois, le soir Au loto avec les étoiles. * Jamais nous ne rêvons la nuit Dans notre petit lit de toile L'école est notre paradis. * Maurice Carême ("le moulin de papier" - Nathan) |
Déposé par Biscuit le 17/09/2017Le paradis blanc (Michel Berger) Il y a tant de vagues et de fumée Qu'on arrive plus à distinguer Le blanc du noir Et l'énergie du désespoir Le téléphone pourra sonner Il n'y aura plus d'abonné Et plus d'idée Que le silence pour respirer Recommencer là où le monde a commencé Je m'en irai dormir dans le paradis blanc Où les nuits sont si longues qu'on en oublie le temps Tout seul avec le vent Comme dans mes rêves d'enfant Je m'en irai courir dans le paradis blanc Loin des regards de haine Et des combats de sang Retrouver les baleines Parler aux poissons d'argent Comme, comme, comme avant Y a tant de vagues, et tant d'idées Qu'on arrive plus à décider Le faux du vrai Et qui aimer ou condamner Le jour où j'aurai tout donné Que mes claviers seront usés D'avoir osé Toujours vouloir tout essayer Et recommencer là où le monde a commencé Je m'en irai dormir dans le paradis blanc Où les manchots s'amusent dès le soleil levant Et jouent en nous montrant Ce que c'est d'être vivant Je m'en irai dormir dans le paradis blanc Où l'air reste si pur Qu'on se baigne dedans A jouer avec le vent Comme dans mes rêves d'enfant Comme, comme, comme avant Parler aux poissons d'argent Et jouer avec le vent Comme dans mes rêves d'enfant Comme avant __________ , |
Déposé par choupinou le 12/09/2017 en cette anniversaire passés de quelques jours mais comme tu sais ,j'étais partie en vacances mon coeur,mais ce vendredi en 08/09 tu étais si présent dans ma mémoire,dans mon coeur,oui j'ai pensé très fort a toi,bien que tu sois toujours avec moi ,près de moi,en cette journée de ton triste envol Je sais que tu étais bien entouré,auprès de pépé ,mamie et papi et de mes petits amours,vous me manquez tellement tous.... Loin de toi, c'est la nuit, C'est la nuit triste et sombre, Et mon cœur plein d'ennui S'ensevelit dans l'ombre. Loin de toi, tout fléchit : Mon espoir, mon courage ; Loin de toi, mon esprit Se voile d'un nuage. Depuis que je t'ai vue, ébloui par l'éclair, Mon œil s'est voilé d'un mirage ; Je regarde sans voir, ou je ne vois dans l'air Flotter qu'une forme, ta douce image ; Le jour, tout éveillé, je songe ; et, dans la nuit, Comme un feu follet qui se lève, Cette image, la tienne, apparaît, et me suit Au plus profond de mon âme et de mon rêve. je t'aime mon TITUS,je t'aime,mon coeur est près de toi ta nièce Babeth(choupinou) |
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