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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
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Déposé par ovanek le 18/11/2015💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 Hommage Diesel, une chienne de race malinoise, âgée de 7 ans, a été tuée lors de l'assaut mené par les forces de l'ordre à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), mercredi 18 novembre. La nouvelle a été communiquée par la police nationale, sur son compte Twitter, avant de faire l'objet d'un hommage virtuel, avec le mot-dièse #jesuisunchien. 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par colombine67 le 18/11/2015 Croyez en l'extase des nuages qui traversent les grands horizons, au petit vent du soir, au coeur de l'été chaud. Croyez en la douceur d'une amitié, d'un amour, à la main qui serre votre main. Car demain, mais n'y pensez pas, demain éclateront peut-être les nuages et l'orage emportera vos amours. Tenez-vous serrés, ne vous endormez pas sur un reproche non formulé, endormez-vous réconciliés. Vivez le peu que vous vivez dans la clarté. Julos Beaucarne |
Déposé par Galinette3 le 18/11/2015Qu'est ce que la vie ? C'est l'éclair du feu dans la nuit C'est le souffle du bison dans l'hiver C'est la petite ombre qui se hasarde sur l'herbe Et se perd au coucher du soleil. 🐶 CROWFOOT (Blackfeet) |
Déposé par rafia le 17/11/2015L’inacceptable On peut se dire que l’irrémédiable Avec le temps peut réunir l’oubli Avec l’amour pour vous retenir, Juste laisser un peu d’espérance A peine murmuré sous un silence. Mais il y a l’inacceptable Qui vient tout bousculer Une erreur de là-haut Qu’on a pas demandé. Mais il y a l’inacceptable En plein vol, foudroyé Et qui vient tout reprendre, Tout ce qu’on vous a donné, Et vous laisse comme une impression Une impression d’inachevé. On peut se dire que l’inconcevable peut arriver Un jour sans faire de bruit, Tout bouleverser Sans vous prévenir. Même s’y attendre Parce que quoi qu’on fasse On sait le mur au bout de l’impasse. Mais il y a l’inacceptable Qui vient tout bousculer Une erreur de là-haut Qu’on a pas demandé. Mais il y a l’inacceptable En plein vol, foudroyé Et qui vient tout reprendre Tout ce qu’on vous a donné. Et vous laisse comme un injustice Une injustice inacceptable Mais il y a l’inacceptable En plein vol, foudroyé Et qui vient tout reprendre Tout ce qu’on vous a donné Et vous laisse comme une impression Une impression d’inachevé…” Comédie musicale – Les Dix Commandements, |
Déposé par Biscuit le 17/11/2015Je suis le box 58 Au fond de l'allée à droite. Né dans une ruelle brûlante D'un misérable village d'une cruelle Espagne Je suis le chien errant dont on se débarrasse. Un matin, des hommes sont venus Armés de bâtons, c'est après nous qu'ils en avaient Pardon ma Mère d'avoir si vite couru Pardon mes Frères de vous avoir abandonnés Sans me retourner Pendant que l'on vous exterminait Car tant de haine les anime Seul pendant une année, j'ai erré La faim, la soif me tenant, toujours sur mes gardes J'ai rusé, je me suis bien battu Mais les monstres m'ont capturé au lasso Et jeté dans cet humide cachot Dont le toit cassé Laisse passer la pluie Lorsqu'il gèle le sol est glacé Lorsque le soleil est au plus haut Il m'écrase de sa chaleur Qu'aucune ombre n'apaise Comme mon box est le dernier du refuge, Il n'y a pas de vis-à-vis Rien n'arrête le vent Qui me transperce par tous les temps Et point d'endroit pour me mettre à l'abri Lorsque vient la distribution du repas Bien souvent on m'oublie Ni eau, ni pain pour moi. Au début, j'ai pleuré tous les jours, toutes les nuits A présent, depuis tant d'années Je me suis résigné Oublié de tous Je n'attends plus rien du genre humain Qui m'a enjôlé pour mieux me punir D'avoir voulu être un chien d'Espagne Fier et libre Et les années ont passé Lentement, interminablement................. Je me suis habitué à ne jamais plus courir Je regarde les murs de ma prison Qui sont mon seul horizon S'il y a encore un peu de pitié Qu'on me fasse mourir Pour abréger cette lente agonie Je suis si seul et sans espoir....... Mais un jour, deux petites mains Se sont posées sur mes barreaux J'ai à peine levé la tête Pour regarder cette enfant Blonde, rose qui m'observe en silence Et me fixe intensément Puis elle appelle .... Prudent, je ne bouge pas Elle appelle de nouveau Deux grands viennent voir Ce qui suscite tant d'émoi La petite voudrait bien de moi Mais les parents rechignent Il est bien laid et si vieux Alors l'enfant pleure Elle veut celui-là, en me montrant du doigt Celui du box 58, au fond de l'allée à droite. On palabre, on discute près de moi Quel triste sort m'attend ? Qu'ont-ils donc encore inventé Pour me tourmenter ? Je tends le dos................ J'attends.................. On me met un collier On me tire avec une laisse On me pousse, on me porte Point de coups ? Point encore................. Pourtant rien. On m'installe dans une jolie maison Ce panier confortable est pour moi La bonne gamelle et l'eau fraîche aussi Le jardin est si beau............ Tout cela serait-il possible ? C'était il y a quelques jours J'ai donné un peu de confiance J'ai reçu tellement d'amour Maintenant, moi j'ai une Princesse Qui m'interpelle sans cesse J'entends ses petits pieds nus Qui claquent sur le sol Elle passe ses bras autour de mon cou Et me murmure des mots doux Ainsi donc c'était vrai Qu'un jour il y aurait Quelqu'un pour m'aimer Quelqu'un pour qui je compterais Qui m'accorderait de l'importance Sans rien demander en retour Une part d'amour pour moi Rien que pour moi..... Alors, vous qui le Dimanche Visitez les Refuges D'Espagne ou d'ailleurs N'oubliez jamais le même que moi Qui vous attend Dans le Box 58 Au fond de l'allée à droite.............. |
Déposé par colombine67 le 17/11/2015Comme un arbre... j'ai besoin de lumière... si je suis fermement attachée à mon sol toujours mariée à la terre je grandis néanmoins vers le ciel et je croîs... je mûris en noblesse et en beauté. Par certains jours noirs et sombres de l'hiver ou certaines heures d'automne noyées de pluie je travaille à l'intérieur et j'attends… Nulle protection ni secours incertitude maillée d’espérance je ne commande pas à la nature je collabore avec elle. Comme un arbre j'ai mes saisons mes forces, mes failles. Continuer... comme un arbre ce n'est peut-être pas maudire les intempéries mais les accueillir dormir une courte nuit pour recommencer le lendemain apprendre à mourir pour renaître continuer... comme un arbre c'est peut-être me lever chaque jour avant le jour prête à affronter les coups du sort prête à faire alliance avec ma vie. Je connais misère et grandeur... le passage de la nuit au jour la fraîcheur des rivières à mes pieds et le fruit du labeur de mes bras. Que sais-je encore ? J'ai appris à m'incliner à me redresser à écouter la beauté dans le murmure du vent... parfois ma parure cache mon écorce fragile parfois encore je me dépouille pour mieux me révéler. J'ai le juste orgueil de donner l'ombre au passant comme j'ai la fierté de mes racines profondes. Les marques de mon passé trahissent mon âge, mes peurs et mes pensées voyez mes noeuds d'anxiété mes blessures, branches cassées. Pourtant je m'élève malgré tout je parfume l'air à ma façon... le temps me couronne de fleurs à l'occasion. En vieillissant je me souviens avec émotion de l'oisillon que j'ai bercé et du refuge que j'ai offert aux jeunes de mon quartier. Mes prières deviennent contemplation j’apprécie l'horizon du lendemain… je chante l’oraison. Si l'arbre est fort il craint toujours le feu et le bûcheron de même je frémis devant le mal, la guerre et plus que tout... devant l'indifférence, l’insouciance. Je porte toujours en moi l’arbre de la croix ! Certains arbres deviennent bois de chauffage paniers de bois feuilles de papier bois d'ébénisterie copeaux, gîtes, balai neuf ou lambris. Je parie que la Vie fera de moi une petite feuille de papier fleuri... j'espère qu'on y écrira un vers ou deux de poésie... D’ailleurs, je connais un homme vous savez… qui pour avoir vécu pleinement un temps de mort et d’agonie est à jamais ressuscité ! Lysette Brochu, Regard de foi, août 1988 |
Déposé par poutounou le 16/11/2015En ces temps si « durs », si « sombres », il est bon de garder au fond de soi, une petite lumière qu’on appelle « Espérance ». * La petite espérance * C’est la petite lumière qui brille au fond de son coeur Et que nul au monde ne saurait éteindre. Si ton coeur est brisé, malheureux, éperdu Si ta vie est triste, monotone, sans saveur Si l’angoisse parfois et souvent te saisit La petite espérance est là, au fond de ton coeur Qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit après l’hiver Elle est ta bonne étoile qui scintille dans le ciel Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages… Si tu te crois sans force, sans idée, sans espoir, Tout au fond d’une impasse, dans le noir d’un tunnel Si tu n’as plus le goût à rien, ni même celui de vivre… La petite espérance est encore là, au fond de ton coeur Qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte d’eau pure qui jaillit de la source Le jeune bourgeon qui permet à l’arbre de reverdir La clarté du jour, là-bas, au bout de la nuit. Merci d’être toujours là, ma petite espérance, tout au fond de mon coeur Ma merveilleuse lampe magique où je puise tous mes rêves Toi qui ne connais pas le mot « Fin« . * Auteur inconnu |
Déposé par colombine67 le 16/11/2015L'important, c'est de semer, un peu, beaucoup, sans cesse, les graines de l'espérance... Sème le sourire : qu'il resplendisse autour de toi. Sème ton courage : qu'il soutienne celui de l'autre. Sème ton enthousiasme, ta foi, ton amour, les plus petites choses, les riens. Aie confiance, chaque graine enrichira un petit coin de terre. Anonyme |
Déposé par ovanek le 15/11/2015 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 ** Pensée du soir ** Le soir quand la nuit s’étale Et que j'ai envie de te chuchoter Je regarde une étoile …la tienne Mon regard se pose tel une abeille sur la Fleur Dedans… ta frimousse rayonne comme le soleil Et derrière l'étoile, un arc-en-ciel Qui, de toutes ces lumières colorées dessine ta présence pour embellir mon cœur Il souligne avec douceur ton regard si beaux tes yeux remplie de tendresse… Maintenant j'aimerai encore plus te retrouver M'amuser, te câliner être avec toi comme avant Pour ce balader et partout où tu aimais jouer. Mais aujourd'hui tu es loin d'ici Et j'aimerai te dire que tu reste dans ma vie Car maintenant sans toi je n'arrive plus à rire comme autrefois Ce soir je te pense les yeux plein de tristesse Car ce n'est qu'une étoile qui m'a fait la promesse La promesse que tu ne m'oublierais pas mon visage commence à ce mouiller Certainement l’humidité de la soirée. Je ne veux pas te laisser Tu resteras mon empreinte dans mon cœur à jamais Pensée mon chien ******* 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par colombine67 le 15/11/2015 Vieillir, se l'avouer à soi même et le dire tout haut, non pas pour voir protester les amis, mais pour y conformer ses goûts et s'interdire ce que la veille encore on se croyait permis. Avec sincérité, dès que l'aube se lève, se bien persuader qu'on est plus vieux d'un jour ; à chaque cheveu blanc, se séparer d'un rêve et lui dire tout bas un adieu sans retour. Aux appétits grossiers, imposer d'âpres jeunes, et nourrir son esprit d'un solide savoir, devenir bon, devenir doux, aimer les fleurs, aimer les jeunes, comme on aima l'espoir. Se résigner à vivre un peu sur le rivage, tandis qu'il vogueront sur les flots hasardeux, craindre d'être importun sans devenir sauvage, se laisser ignorer tout en restant près d'eux. Vaquer sans bruit aux soins que tout départ réclame, prier et faire un peu de bien autour de soi, sans négliger son corps, parer surtout son âme, chauffant l'un aux tisons, l'autre à l'antique Foi. Puis un beau soir, discrètement, souffler la flamme de sa lampe et mourir parce que c'est la loi. Jean Fabié |
Déposé par colombine67 le 14/11/2015 Un jour viendra où mon corps recouvert d'un drap blanc, soigneusement tiré aux quatre coins du lit, restera immobile sur un lit d'hôpital parmi la rumeur des vivants et les affres des mourants. À un moment donné, un médecin constatera que mon cerveau a cessé de fonctionner et, qu'à tous égards, la vie m'a quitté. Quand cela arrivera, n'essayez pas de me maintenir artificiellement en vie au moyen d'un appareil. Et ne parlez pas de mon "LIT DE MORT". Dites plutôt "LIT DE VIE" et laissez emporter mon corps pour qu'il serve à donner à d'autres une vie plus riche... Qu'on donne mes yeux à celui qui n'a jamais vu le lever du soleil, le visage d'un bébé ou l'amour dans le regard d'une femme... Qu'on donne mon coeur à celui dont le coeur n'a été qu'une cause permanente de souffrance... Qu'on donne mon sang à l'adolescent qu'on a sorti des débris de sa voiture afin qu'il vive assez longtemps pour voir jouer ses petits enfants... Qu'on donne mes reins à celui qui doit recourir de semaine en semaine au rein artificiel... Qu'on prenne mes os, mes muscles, tous les nerfs et les tissus de mon corps et qu'on trouve le moyen, grâce à eux, de faire marcher un enfant paralysé... Qu'on explore tous les recoins de mon cerveau. Qu'on en prenne la matière s'il le faut, afin qu'un jour un jeune garçon privé de la parole soit capable de crier sa joie et qu'une petite fille sourde puisse entendre la pluie battre contre les vitres... Qu'on brûle ce qui restera de moi et qu'on répande mes cendres à tous vents pour aider les fleurs à pousser. S'il faut mettre quelque chose en terre, que ce soit mes fautes, mes faiblesses et tous mes préjugés à l'encontre de mes semblables. Si par hasard vous désirez conserver mon souvenir, faites-le en aidant d'un mot ou d'un geste quelqu'un qui en aura besoin. Si vous faites tout ce que je vous ai demandé, "JE VIVRAI ÉTERNELLEMENT". Merci de votre compréhension ! Un donneur d'organes anonyme... |
Déposé par Biscuit le 14/11/2015Message d'une petite Étoile,Punky « Si vous sentez de temps à autre des souffrances, si des questions vous viennent auxquelles vous n'obtenez aucune réponse, cherchez en vous. Profondément enfouie, se cache une étincelle qui ne demande qu'à grandir et briller, briller, laissez la vous consumer totalement, seulement alors nous pourrons nous rejoindre. Pour autant, ne levez pas la tête au ciel pour tenter de m'apercevoir. Mais regardez seulement en vous, c'est ici que je me cache ». Douces pensées |
Déposé par colombine67 le 13/11/2015La voici, la maladie, dans ces membres sans vie. Elle s'attarde un peu dans le corps de l'enfant, Creusant la souffrance et la peur. Elle nous garde, comme un voilier dans la tourmente, un arbre sous la bourrasque, attendant que l'orage passe ; presque heureux d'avoir pu garder, jusque dans la détresse du quotidien, l'espérance fragile ; Tels des rescapés... La maladie a tout pris, et que resterait-il, S'il n'y avait cet espoir tenace que l'adversité n'aura pas terni ? Oui, si c'était cela, le Bonheur : Vivre, même dans l'urgence... Vivre, même quand le corps nous trahit, Au delà de nos égoïsmes et de nos peurs, Au delà de la souffrance et de la mort... L'espérance renaît, jour après jour, pas à pas, au long chemin de l'existence... Stéphane Bardy |
Déposé par Galinette3 le 12/11/2015 🐶 Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards, avec de longues barbes, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit : - Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim, s'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger. - Est-ce que les enfants de la maison sont là ? demandent-ils. - Non, ils sont partis leur répond-elle. - Alors, nous ne pouvons pas entrer. En fin d'après-midi, lorsque les enfants reviennent de l'école, la femme leur raconte son aventure avec les trois hommes. - Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer ! Disent-ils à leur mère. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison. - Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison, répondent-ils. Un des vieillards explique : - Son nom est "Richesse", dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre, lui, c'est "Succès", et moi, je suis "Amour". Il ajoute alors, retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d'entre-nous vous voulez dans votre maison. La femme retourne à la maison et rapporte à sa famille ce qui avait été dit. - Comme c'est étrange ! s'exclament les enfants. Puisque c'est le cas, nous allons inviter "Richesse". La mère n'était pas d'accord. - Pourquoi n'inviterions-nous pas "Succès" Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires. La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce, s'exprime à son tour : - Veux mamours, veux mamours... Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère sort inviter "Amour" à entrer. "Amour" se lève et commence à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Etonnée, la femme demande à "Richesse" et "Succès" : - J'ai seulement invité "Amour". Pourquoi venez-vous aussi ? Les vieillards lui répondent ensemble : - Si vous aviez invité "Richesse" ou "Succès", les deux autres d'entre-nous seraient restés dehors, mais vous avez invité "Amour" et partout où il va, nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la Richesse et du Succès. 💖 |
Déposé par poutounou le 12/11/2015Poème de notre ou nos anges pour nous… * J’aimerais être l’ange de ton sommeil, Te protéger jusqu’au réveil. Tendrement et tout en douceur Ouvrir les portes de ton cœur. Et sans faire de bruit Entrer dans tes rêves les plus enfouis. Je garderai précieusement la clé Des plus profondes de tes pensées. Je dissiperai le brouillard Qui détruit tous les espoirs. Et lorsque tu te réveilleras Tu te souviendras de tout l’amour que j’ai pour toi. |
Déposé par larrydoudou le 12/11/2015Le paradis des animaux Regardez, mais regardez donc là haut ! Oui levez les yeux ! Ne le voyez-vous pas ce Paradis de nos Chers Animaux ? Là ! Au-dessus de ce nuage dont la forme est un chien, Et à côté de celui-ci dont la forme est un chat, Il est là ce Paradis ! Et puis si votre regard se coule vers la droite, Il y a le coin des rongeurs : Regardez, mais regardez donc ! Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche : Là est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez n'est-ce-pas ? Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes, Ils sont là, Ils vivent ailleurs en pleine santé, Dans de grands prés verts bien fleuris, Où coule la Source du Paradis, et, Quand vient la nuit Ils allument pour nous Les étoiles afin que nous ayons nous aussi Cette lumière qui les entoure. Le Paradis des Animaux : il est là ! Vous le voyez n'est-ce-pas ? |
Déposé par colombine67 le 12/11/2015Quand j'ai mal, je pense être seule à souffrir je me dis que je n'ai pas de chance Que seul les malheurs la vie veut m'offrir que je ne suis rien, que je suis déchéance Je me dis que personne ne m'aime que je compte vraiment pour rien que je mérite tous mes problèmes que je ne ferai jamais rien de bien Pourtant en observant les autres je vois des choses si terribles parfois je ne sais pas comment ils font le choix de continuer avec autant de tracas Alors je m'amuse à faire une liste de ce que j'ai de bien, de ce que j'ai de mal de ce que j'imagine, de ce qui vraiment existe et je compte les points au final Si j'ai plus de mal que de bien je m'arrange pour égaliser la balance je m'assure de mon soutien et j'avance remplie d'espérance Ce que j'ai de mauvais, je le mets de côté c'est un sujet à travailler ce que j'ai de bien, je le fais fructifier c'est un sujet à développer Si malgré tout j'ai encore mal je me dis que je continuerai vaille que vaille que je suis quelqu'un de phénoménale et que je gagnerai bataille après bataille Marie, Mur des lamentations |
Déposé par colombine67 le 11/11/2015Quelque soit la maladie, l’Amour est la réponse. Quelque soit la douleur, l’Amour est la réponse. Quelque soit la peur, l’Amour est la réponse. L’Amour est toujours la réponse, car l’Amour est tout ce qui est. Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour. Adolescent, jeune, vieux, toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour. Ne pense pas "je souffrirai", ne pense pas "je me tromperai". Va simplement, allègrement, à la recherche de l’Amour. Cherche à aimer comme tu peux, à aimer tout ce que tu peux. Toujours quand il y a un vide dans ta vie, remplis le d’Amour. Et quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie. Ne pense pas "il en a assez" ; ne pense pas "il en a déjà trop". Toujours, quand il y a un plein dans ton Amour, emplis le de vie. N’oublie pas de donner ton Amour et n’arrête jamais. Alors tu seras aimé. Anonyme |
Déposé par nounours le 10/11/2015. ..............LORSQUE LA NUIT TOMBE........... . Lorsque la douce nuit,comme une douce amante........... S'avance pas à pas,à la chute du jour........ S'avance dans le ciel,tendre,timide et lente............ Toute heureuse d'un fol amour................ . Lorsque les feux muets sortent du ciel propice........ Pointillent dans la nuit,discrets,étincelants................... Eparpillent au loin leurs gerbes d'artifices........... Dans les espaces purs et blancs.............. . Quand le ciel amoureux au sein des rideaux sombres........... Tout chaud de ce soleil qui vient de l'embraser......... A la terre,pour lui pleine d'amour et d'ombres................. S'unit dans un brûlant baiser........... . Quand se réfléchissant comme en un lac limpide......... L'étoile de l'azur,sur le sol transparent........ Allume au sein de l'herbe une étoile timide.......... Cette étoile du ver luisant........... . Quand aux brises du soir,la feuille frémissante............. A ce tendre contact a refermé son sein.......... Et garde en s'endormant la fraîcheur odorante........... Qui doit parfumer le matin............. . Quand sur le sombre azur,comme un triste fantôme......... Le cyprès de ce champ où finit la douleur.......... Est là,plus triste et froid qu'un mystérieux psaume............ Qui tombe sur un ton mineur.......... . Lorsque courbant sa tête à des plaintes secrètes............. L'if comme de grands bras agite ses rameaux............ Et tout mélancolique,en paroles muettes.......... Cause bas avec les tombeaux.............. . Quand au berceau de Dieu,sur la branche endormante......... L'oiseau paisible,heureux a trouvé le sommeil........... Quand le fil de la Vierge a regagné sa tente........... En attendant quelque soleil........... . Quand la croix déployant dans sa forme incertaine......... Sur le chemin du ciel ses deux bras de douleurs Dans la nuit qui l'entoure en son humide haleine Est ruisselante de pleurs . Quand toute la nature, et l'étoile de la pierre.......... Et l'arbre du chemin,la croix du carrefour........... Se sont tous revêtus de l'ombre,du mystère............ Après les fatigues du jour.............. . Quand tout nous parle au coeur,quand la tremblante femme.......... A plus de volupté que le soleil le jour......... Oh ! viens,je te dirai tout ce que j'ai dans l'âme............. Tout ce que j'ai de tendre amour............... . ................POEME DE JULES VERNES........... . .........AMITIE A MAMAN ET DOUCE NUIT A VOUS DEUX.............. . |
Déposé par choupinou le 10/11/2015toi,mon ange je t'ai vu descendre un jour j'ai cru te voir mon ange je me suis approchée et je me suis dis que surement j'avais des visions !!! mais non,tu étais bien un ange, venu du ciel,pour qui?Pourquoi?Et quand? je n'ai eu que deux réponses !!! - tout de suite ... - et pour qui ... - et pourquoi personne ne le sauras, cela restera entre nous deux... je me glisse dans le vent , comme les feuilles de l'automne.... moi qui peux te fait pleurer, je viens te donner du rêve, je veux que tu sois heureuse(eux) je peux te raconter ma belle histoire celle de la haut ou je suis bien, gaie,comme triste je veux te donner tout mon amour,tout ce que tu peux recevoir... aujourd'hui,je l'ai vu descendre, tout doucement ,puis les ailes déployées ,il est reparti,vers les cieux, me laissant une plume blanche,sur le plancher.... |
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