En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012


En hommage à

PUNKY du Moulin de Labatut
1999 / 2012

Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Mail Privé
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Carnet d'adresses
La page de PUNKY du Moulin de Labatut a été vue  994 140  fois.
994 140 vues
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Favoris
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris



19 personnes aiment cette page
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages

Vous n'êtes pas connecté.

En hommage à
PUNKY du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012

Mon tendre chéri,

Il n'y aura pas eu le miracle tant espéré, tu viens de ns quitter ns laissant, Papa, les enfants, et moi, totalement anéantis par la douleur.
Ns sommes aussi inquiets pr ton copain de tjrs, le petit Rock, car il réagit très mal à ton départ.
Toi, qui n'était qu'Amour il a fallu que cette tumeur de l'aine énorme et hélas, cancéreuse, t'emporte. Sa progression a été fulgurante. Combien j'ai redouté son ablation en raison de ton âge...mais il était impossible de la laisser encore se développer, tu n'aurais pu plus marcher.(* plus tard, ns apprendrons qu'il ne fallait surtout pas faire l'ablation de cette tumeur !!!)


Le 5 juin, jour fatidique de l'opération..j'ai angoissé jusqu'à ton retour à la maison. Mais tu semblais avoir bien supporté l'opération et le Dr Jean Sacal avait dit à papa que ton comportement avait été exemplaire.
Le 11 juin, papa doit te ramener, en urgence, chez Jean car tu sembles souffrir, tu pleures.

Je ne suis pas présente, retenue, loin, à cause de ma santé.....plus tard papa me dira que ce jour là, le Dr Sacal, te fera le cocktail-miracle qu'il injectait à Rafia...ladite médication lui ayant permis de vivre 21 mois, avec un diabète très grave, résistant à l'Insuline.( * et là aussi...ns apprendrons, plus tard..que tout ce qui devait être mis en place pr la petite Rafia...ne l'avait pas été...par ignorance des vétos...Sacal et Maupommé.

Mais pr toi...c'est l'échec total et la consternation de Jean Sacal qui dira à papa "qu'il ne peut plus rien faire"...
Le 12, au matin, tu demanderas à manger à papa...Tu mangeras 1 steack hâché plus des haricots verts, car tu refuses tes croquettes; Le soir, tu remangeras un autre steack, tjrs hâché.

Le 13...tu n'as pas d'appétit...1/2 steack hâché pr la journée et tu vomis bcp à 23 h.
Le 14...ce n'est pas mieux : 1/2 steack hâché (soit 50g) et...20 g d'haricots verts..le tout pr la journée. Papa me dira qu'au jardin...tu as "coursé", le long de la clôture, comme à ton habitude, camions et tracteurs.

Le 15 papa te ramène chez le Sacal, qui lui dit, :que "tu es condamné".
Tu refuses toute nourriture même tes friandises que tu adores...
Papa réussit à te faire manger..3 bouchées de steack hâché que tu vomis.

tu voudrais bien manger, tu en as l'envie, mais tu ne le peux pas;..des ulcères ds la bouche ???

Le 16, papa a l'idée,approuvée par Sacal de te donner, à l'aide d'une seringue un petit pot "bébé" de pois/jambon...tu en mangeras 150g/pr la journée.

Le 17...tu mangeras 100 g de fromage blanc à 20 %...que tu adores...et que tu avais découvert avec Rafia qui en consommait 3 pots/jou !. Mais toi, c'est tjrs à la seringue. tu accepteras aussi, en plusieurs fois, de manger 150 g de petit pot "bébé".

C'est la fête des Pères, ns sommes ts réunis et toi, tu sembles content d'être avec ns....même si je te trouve faible. Mais ce jour-là, tu remues à nouveau ta queue et je prends cela pr une bonne nouvelle.

Mais le soir venu...rien ne va plus...vomissements itératifs + diarrhée.
Et là, mon Punky dit "Titi", il faut que je loue ta propreté exceptionnelle, tu demanderas tjrs à sortir. La nuit, tu veux aussi sortir et c'est moi qui m'occupe de toi; Je te prends ds mes bras, pr remonter les marches de la terrasse...

18 juin...c'est la catastrophe...tu vomis même le peu d'eau que tu bois..car Sacal dit : qu'il faut te restreindre en eau..que tu voudrais boire en grosse quantité à cause du taux d'urée si important.

La nuit du 18 au 19...ns la passons ensemble, isolés ds une autre chambre pr ne pas empêcher papa de dormir... Paramour s'invitera et demeurera avec ns jusqu'à 4 h....et Rock, qui est aussi là...lui, il restera jusqu'à 7 h, au lever de papa..
A partir de minuit, je te donne à boire, par très petites quantités et je "crie" à la victoire...car tu ne vomis plus...

Toute cette nuit, tu la passeras à naviguer; A plusieurs reprises, je te prends, avec moi, sur un canapé..je te caresse, je te dis combien je t'aime..et je retiens mes larmes...mais toi, tu refuses de rester et tu demandes très vite, à redescendre, alors je t'aide.

Tu sembles agité...je vois bien que tes pattes ont de la peine à te porter mais toi, tu restes debout, tu marches encore et encore...ce qui m'angoisse car cette attitude me rappelle avec frayeur...le départ de la petite Rafia.
A 10 heures...tes pattes se dérobent...tu tombes à terre.....mais tu pars, tout de même, en laisse, avec papa


Papa, qui t'amène, comme convenu... pr le retrait des points de suture...

Sacal tente de te faire un nouveau protocole qu'il t'injecte pr faire chuter l'urée...et tu reviens à la maison. (* ns ne saurons jamais la "recette" de ses cocktails..magiques"...OU maudits !!!)

Tu voudrais bien boire...tu ne le peux pas. Tu n'arrives même plus à tenir ta belle petite tête......Tu ne peux tjrs pas tenir sur tes pattes alors papa te met sur notre lit. Il est 11 heures...Je ne te quitterai plus...je te couvre de bisous..je te caresse...je te dis combien ns t'aimons, combien tu ns es précieux...combien ns te remercions de tout l'amour que tu ns a donné durant 12 ans et 6 mois...mais tu ne m'entends plus, tu es ds un état semi-comateux...Tes beaux yeux sont fixes...de temps en temps tes pattes s'agitent nerveusement...et tu respires vite.
Toi..qui étais tout en muscles...on aurait dit que tes muscles avaient fondu.
Sacal ( boucher plus que véto!) a prévenu, qu'au stade final, tu aurais des convulsions assorties de souffrances...alors, il est 15 h 30, ns prenons la décision qui s'impose, ...un dernier acte d'Amour...pr toi notre Punky adoré...celui de te faire aider à partir...et la tragique échéance intervient à 16 h...
Mon Punky ..notre Punky adoré...comme tu ns manques !!!

--------------------------

Mon Titi d'Amour

Je me dois, mais surtout je TE DOIS d'apporter les rectifications qui s'imposent. Lorsque confrontés à l'état alarmant de Rock, qui ne se nourrissait plus, qui avait cette "grosseur" impressionnante, au bas du dos..ns avons décidé de demander un autre avis ( et merci au véto de garde de Cavignac, qui sans que cela soit volontaire...ns a fait opter pr ce choix.

En effet, c'est son comportement qui ns a bcp surpris : il était de garde..mais n'étant pas au Cabinet...cela le dérangeait d'y venir et ensuite, papa a pu se rendre compte...combien vs le dérangiez, avec cette urgence, pourtant justifiée).
Puisqu'il a eu l'audace de refuser l'urgence...

Il fallait donc voir un autre véto....qui lui, daigne s'occuper de RocK.

Pr Rock...nouveau diagnostic, et une prise en charge remarquable du vétérinaire que ns avons choisi pr continuer de suivre Rock et Paramour.
Et une amélioration spectaculaire, en peu de temps de l'état de Rock..à qui, il a sauvé la vie.

A la suite de cette visite et de celles qui suivront, ns apprendrons, consternés, que ns avions voué une confiance AVEUGLE, à deux vétos, qui ne méritaient pas cette confiance....dont l'un se prétendait...être notre ami !!!
Mon Titi d'Amour, l'un et l'autre savaient pertinemment que l'on opère pas ce type de cancer chez un sujet de ton âge. Et surtout, on occulté l'ablation qu'il y avait à faire...-et qui n'a pas été faite, ce qui a généré ce maudit cancer- ...devait l'être avant tes 4 ans/...et là...tu en avais déjà 12 et demi !!!
Et puis...pas d'anesthésie au gaz...pourquoi ???

Tu ne souffrais pas, alors pourquoi cette décision infâme de vouloir t'opérer ???Pr ce qu'elle rapportait, financièrement !
Jean Sacal a sacrifié ta VIE...pr un profit financier , non négligeable !!!

Il aurait suffi de te laisser vivre, en PAIX, le temps qu'il te restait, avant que n'interviennent les souffrances...cela aurait pu encore durer des mois...

Puis, le moment venu...ns aurions pris la décision qui se serait imposée....mais ton départ n'aurait pas été aussi tragique !!!

Ns n'avons jamais su...quels produits contenaient les "cocktails magiques"...OU maudits" qui t'ont été injectés...les mêmes que la petite Rafia.

C'est comme toutes les injections qui étaient pratiquées....avec de la Cortisone pr petit Rock aussi....alors que la Cortisone avaient des effets secondaires néfastes sur son petit coeur. Cette Cortisone employée pr TOUT soigner...ou plutôt pr TOUT empirer.

Pr les dermatoses de Rock...ns en étions arrivés à le faire désensibiliser....tous les 15 jours, pr rien. C'est dramatique l'inconséquence de certains vétos !!!
Ils n'ont pas choisi la bonne voie professionnelle...ils auraient du être...bouchers!!!

Pourtant la pharmacopée vétérinaire ne contient pas que de la Cortisone...mais il faut se donner la peine de suivre l'évolution des produits...mais aussi de pratiquer les analyses nécessaires..;d'utiliser tout le matériel adéquat...Echographie...IRM..Doppler..etc.

Mais...lorsque l'on ne possède pas ce matériel d'investigation...et bien question "profit";..l'on rechigne à solliciter les confrères....ns l'avons appris, HELAS, trop tard pr toi...trop tard, pr la petite Rafia.

Mais ns....parfaits crétins...ns continuions à faire confiance...à "gober", le peu qui ns était expliqué. Pr ns...ces vétos étaient géniaux..avec un comportement des plus amicaux.

Et puis..j'ai aussi appris, incrédule......que Sacal avait eu un geste déplacé, lorsqu'une fois que tu gisais ...mort, sur sa table...il allait te saisir par le cou...pr te jeter ds un sac plastique....comme l'on jette une vulgaire poche à ordures !!!
C'est le regard désapprobateur de l'assistante, conjugué à celui de papa..tout aussi sidéré...qu'il s'est enfin repris...mais pr papa c'était trop tard...car cela laissait deviner la réelle personnalité de ce vétérinaire.

Voilà mon Titi chéri, il ne ns reste que les regrets, regrets éternels qui ns rongent; Pourtant ns avons tjrs TOUT fait, pr vs TOUS, nos petits trésors et peu importe les factures vétérinaires à payer. Ns n'avions qu'une seule demande...."faire tout ce qui était possible...afin de vs préserver la vie".

Et j'oubliais...il fallait être..crétin, pr nier que ce soit un cancer...n'est-ce pas Jean Sacal??? (que le diable l'emporte)!!! Alors que Stéphanie, une des assistantes....avait "vendu la mèche", involontairement......comme l'on dit, familièrement.

Tu ns manques tant mon Titi d'Amour !!!




65 bougies

81625 Fleurs
Déposé par rafia
Déposé par rafia
J'ai téléphoné 2 fois à la clinique vétérinaire, qui appartient à un groupe de 5 vétos..et qui a eu la gentillesse d'accueillir Paramour...alors que ns ne sommes pas clients chez eux.
Déposé par rafia
Déposé par rafia
doux bisous mon Punky adoré. Le pauvre petit Rock a passé toute la journée, la truffe rivée au sol, à chercher Paramour
Déposé par larrydoudou
Déposé par larrydoudou
Pour Paramour avec beaucoup de tendresse
Déposé par larrydoudou
Déposé par larrydoudou
Douces pensées
Déposé par onyxia
Déposé par onyxia
Tendres pensées et doux calinous Punky.
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Je pense fort à la jolie paramour, courage mon amie
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Une envolée de doux bisous pour toi petit ange merveilleux
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Plein de douces pensées petit ange, amitié à maman
Déposé par veroetjl
Déposé par veroetjl
courage a maman ,je suis avec vous.Groses bises.
Déposé par rafia
Déposé par rafia
...de savoir si ns allons la revoir vivante ??? Mon mari a-t-il bien fait d'accepter qu'ils la gardent ??? Paramour stresse lorsqu'elle n'est pas chez elle.
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Je passe vite informer que notre Paramour est restée à la clinique vétérinaire, elle a été mise sous perfusion...je ne sais plus quoi penser et surtout l'immense appréhension
Déposé par larrydoudou
Déposé par larrydoudou
Pour petit Rock
Déposé par larrydoudou
Déposé par larrydoudou
Bisous tout doux petit chéri
Déposé par larrydoudou
Déposé par larrydoudou
Bisous tout doux petit chéri
Déposé par onyxia
Déposé par onyxia
Douces caresses mon petit Punky.
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Tendres bisous mon Punky adoré.
Déposé par rafia
Déposé par rafia
..de mes petits trésors qui sont ici. Je sais que vs ^^etes admirables de générosité et que vs ne m'en tiendrez pas rigueur...d'ores et déjà soyez en remerciés.
Déposé par rafia
Déposé par rafia
..si je suis bcp moins présente, je veux passer le maximum du temps qui lui reste à vivre, avec elle. Cependant, je ferai tout mon possible pr fleurir ts les merveilleux petits amis de mes petits trés
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Mon tendre Titi, j'utilise ton espace pr laisser un message. Paramour ne va pas bien, son veto dit que c'est la "vieillesse" et, hélas, contre cela, il ne peut rien faire. Pardonnez-moi si je suis
Déposé par vacodile
Déposé par vacodile
Ces roses pour un petit ange qu'on oublie pas.



 
5785 messages

Déposé par spanky le 21/12/2015  
Je te sais à mes côtés car je te sens me parler,
je vois tous tes signes,
j'entends tes messages et je ressens tout l'Amour que tu m'envoie encore.
Tu m'illumines de ta Lumière, me chauffe le coeur
et continue de faire mon bonheur.
Jamais je ne laisserai la mort détruire
ce que la vie a fait de nous... des Amoureux fous.
Nous nous l'étions juré, rien ne pouvait nous séparer.
Merci mon ange d'être encore là auprès de moi
et de veiller sur moi.

Déposé par colombine67 le 21/12/2015  
Il était une fois une petite fille qui s’appelait Elsa et qui vivait avec sa mère dans un village nommé Bethléem.
Elles étaient si pauvres qu’elles habitaient une vieille cabane dans un champ d’oliviers laissés à l’abandon.
Elles n’avaient pas de lit pour dormir, si peu d’habits pour se vêtir et à peine un peu de pain pour se nourrir.
Elsa et sa mère songeaient que le monde entier les avait abandonnées.
Personne ne venait jusque là, mais elles survivaient grâce à la débrouillardise de la fillette qui trouvait toujours quelques figues, quelques champignons, quelques épis de blé glanés çà et là. Parfois, elle trouvait des olives sur les vieux arbres rabougris et courait alors les vendre au marché du village.
Depuis quelques jours, Bethléem était en effervescence: César Auguste avait ordonné « un recensement du monde habité » et la ville ne désemplissait pas. Mais loin de cette agitation, Elsa s’affairait à la recherche d’un peu de nourriture pour le repas.
Tout à coup, au détour du chemin, elle rencontra une vieille femme qui lui dit :
- S’il te plaît petite fille, donne-moi quelque chose à manger, j’ai si faim.
Elsa qui avait un cœur d’or lui donna aussitôt le petit morceau de pain qu’elle avait eu en échange des quelques olives cueillies la veille.
- Mille mercis, petite fille, lui dit la vieille femme. Sans toi, je serais morte de faim.
Elsa poursuivit son chemin et arriva près d’une source cachée par des figuiers sauvages et de grosses pierres. L’endroit était calme et tranquille… Elsa remplit son panier avec les figues bien dorées puis se désaltéra avec l’eau fraîche de la source. C’est alors, qu’elle entendit des petits gémissements… Elle écarta les feuilles du figuier et découvrit deux enfants qui pleurnichaient. Apeurés, ils reculèrent et se tassèrent sous les buissons.
"N’ayez pas peur petits! Je ne vous ferai pas de mal. Mais pourquoi pleurez-vous ainsi ?
"Nous…nous…nous sommes perdus", bégayèrent les enfants entre deux sanglots.
"Mais où habitez-vous?"
"Oh, très loin d’ici, répondirent les enfants, mais nos parents sont à Bethléem pour le recensement. Ils logent chez Sarah, la couturière."
"Calmez-vous petits, je vais vous indiquer le chemin. Mais prenez ces figues, elles vous réconforteront."
Et Elsa indiqua la route aux enfants puis reprit son chemin dans les collines de Bethléem.
Déjà, le pâle soleil d’hiver se couchait. Elle se mit alors à ramasser des brindilles pour le feu, car les nuits sont parfois très froides sous le ciel de Palestine et on avait du mal à colmater les trous dans les murs de la pauvre cabane !
Alors qu’elle s’apprêtait à rentrer, Elsa entendit une faible voix qui appelait. Elle vit alors un vieillard tout grelottant, étendu sur le chemin. Aussitôt, Elsa le couvrit avec son châle et s'inquiéta:
"Mais que faites-vous là, par terre, à cette heure?"
"Ah petite! Il y a longtemps que je suis étendu ici… J’étais venu chercher du bois pour allumer le feu alors que le soleil était encore haut. Mais voilà, je suis tombé et je n’arrive pas à me relever tant ma jambe me fait mal."
"Attendez, je vais vous soigner!"
Elsa avait justement un peu de plantain avec elle. Elle couvrit la plaie du vieillard et lui fit un solide bandage avec le morceau de drap qui traînait dans sa poche. Elle aida alors l’homme à se relever et l’aida à rejoindre sa petite maison, dans le bois, derrière la colline. Là, elle fit un bon feu avec les brindilles qu’elle avait ramassées afin de réchauffer le vieil homme.
"Oh, merci, chère petite!" s’exclama le vieillard. "Tu as vraiment un cœur d’or! Dieu te le revaudra, j’en suis sûr!"
Maintenant, il faisait nuit. Elsa se hâta de rejoindre sa mère qui devait s’inquiéter. Certes, elle n’avait plus de fruits à manger, ni de châle pour se réchauffer, mais elle se sentait si heureuse d’avoir rendu service. Malgré le froid de la nuit, régnait une douce chaleur au fond de son cœur. Mais bientôt Elsa se retrouva seule, perdue dans ce bois qu’elle ne connaissait pas… Elle tâtonnait dans le noir, essayant de repérer les collines qu’elle parcourait chaque jour, lorsqu’elle entendit une voix qui murmurait:
- Toi qui n’avais rien, tu as tout partagé. Toi qui te sentais abandonnée, tu as soulagé les autres… Suis maintenant le chemin des étoiles et garde confiance!
C’est alors qu’une multitude d’étoiles éclairèrent la route d’Elsa. Elles formaient un chemin et brillaient de plus en plus pour guider les pas de l’enfant. Elsa croyait rêver tant le chemin était illuminé. C’est alors qu’elle aperçut un être tout auréolé de lumière qui s’approcha et lui dit :
"N’aie pas peur, petite fille! Dieu a vu ton cœur d’or et c’est toi qu’il a choisie pour m’accompagner et annoncer la joyeuse nouvelle du Sauveur à tous ceux qui sont pauvres et rejetés…"
Un Sauveur… Elsa ne comprenait pas, mais elle suivit l’ange, pressentant que quelque chose d’extraordinaire allait se passer. Ils arrivèrent bientôt près d’un grand champ où des bergers passaient la nuit avec leurs troupeaux. Une lumière éblouissante les enveloppa soudain. Réveillés en sursaut et effrayés, ils voulaient s'enfuir. Le messager leur dit alors :
"N’ayez pas peur! C’est une bonne nouvelle que je viens vous annoncer, une grande joie pour tout le peuple : aujourd’hui, un Sauveur est né pour vous, c’est lui le Messie que vous attendez. Allez le voir! Vous le reconnaîtrez à ce signe : le nouveau-né est couché dans une mangeoire".
A nouveau les étoiles semblaient former un chemin comme pour indiquer la route… Les bergers suivirent alors l’enfant qui déjà avait pris le chemin des étoiles. Et quand celles-ci s’arrêtèrent au-dessus d’une vieille cabane, Elsa n’en crut pas ses yeux… C’était dans sa pauvre masure que Jésus, le Sauveur, le Messie, avait trouvé un abri. Une étoile scintillante enveloppait maintenant toute la petite cabane d’une immense clarté. Un enfant y était couché dans la paille d’une mangeoire, comme l’ange l’avait dit. Elsa sentit un immense bonheur l’envahir et une grande paix emplir son cœur. Alors, tombant à genoux, elle se mit à prier. Et l’enfant lui sourit. Alors, tous ceux qui étaient là avec elle, les bergers et tous ceux qui s’étaient approchés, tous sentirent aussi ce grand bonheur dans leur cœur et une lumière nouvelle se répandit tout autour d’eux. Et la terre entière sut que cette nuit-là un Sauveur était venu ouvrir aux hommes le chemin de la paix et du bonheur.

Déposé par bouffie le 20/12/2015  
Les chiens, par leur innocence et leur amour si pur si doux et inconditionnel, ont une manière de se lover dans notre cœur et d'y faire leur marque là où nous avons souvent trop peur d'y laisser entrer quiconque.
Ce petit compagnon parvient a toucher notre âme au plus profond, et nous montre alors un aperçu de l'amour qui dépasse tout ce que nous ne rencontrerons jamais.
Un tel amour ne peut qu'être éternel.
En cette période de célébration de l'amour je vous souhaite de tout cœur de très heureuses et joyeuses fêtes dans l'espérance d'un monde meilleur pour tous les peuples et les animaux.
avec toute mon amitié pour vous chère Maryem et votre famille

Déposé par colombine67 le 20/12/2015  
Le Noël du chien et du chat
Il était une fois un fermier qui adorait la chasse et il avait acheté un chien pour l'emmener chasser avec lui. L'ennui - car il y avait un gros ennui - c'est que ce chien-là, justement, n'aimait pas courir après les lapins, ni lever les perdreaux. Son plaisir à lui était de déterrer les rats et de les manger, tout chauds, bien juteux, avec leur fourrure.
Il partait sagement avec son maître, mais au premier trou de rat qu'il rencontrait, il s'arrêtait, il reniflait et se mettait à gratter, gratter, gratter,et le fermier avait beau le rappeler, il ne le rejoignait qu'après avoir croqué son rat.
Alors, le fermier criait très fort, il le traitait de chien têtu et désobéissant, de bon à rien et il lui tirait les oreilles. Ca faisait très mal. Le chien pleurait. Mais dès qu'il retrouvait un trou de rat, il se remettait à gratter, c'était plus fort que lui .
Un dimanche après-midi, le chien avait quitté son maître à l'entrée d'un champ et il avait passé des heures à chercher les rats dans les prés. Il revenait pas trop rassuré car il s'attendait à être puni, mais ç'a été bien pire que ce qu'il imaginait. Le fermier était hors de lui. Il s'est précipité et l'a roué de coups. Et pour finir, il a crié:
- Et si tu recommences, sale animal, je te déchargerai mon fusil dans la tête !
Le chien a filé en rasant la terre et s'est réfugié dans le tas de paille du hangar. Le chat, qui était couché dans la brouette, a ouvert un oeil:
- Mon pauvre vieux! Tu as reçu une belle correction!
- Et ce n'est pas tout, a dit le chien. Il veut me tuer!
- Il le fera, a dit le chat. Si tu restes, il le fera. C'est un homme au coeur dur. Il faut t'en aller, et vite !
- M'en aller! Où veux-tu que j'aille? a demandé le chien.
- Dans la Forêt Profonde! a répondu le chat. Tu y trouveras de quoi te nourrir et t'abriter.D'ailleurs, j'irai avec toi. Tu es mon ami. Nous partirons à la nuit tombée.
Aussitôt que la porte et les volets de la maison ont été fermés, ils se sont donc mis en route. Le chien avait mal partout, mais il a marché. .Une nuit après l'autre, ils ont marché - marche, marche, la route est large - et un matin, voilà qu'ils étaient arrivés dans la Forêt Profonde. Ils ont continué encore une journée, sans se presser et, dans un amas de roches près d'un ruisseau, ils ont découvert une grotte large et spacieuse, tout à fait ce qu'il leur fallait comme maison.. Ils s'y sont installés. A partir de ce jour, le chien et le chat ont vécu dans la forêt, tranquilles, presque heureux. Presque!
Et le temps a passé.
Cela faisait plus de deux ans, maintenant, qu'ils habitaient là et bientôt ce serait Noël. Le chat réfléchissait à ce qu'il allait demander au Père Noël.Il hésitait entre un rôti de dindonneau et quelques boîtes de pâtée.
Au fait, savez-vous comment les chiens et les chats font leur commande au Père Noël? Ils aboient ou ils miaulent à la lune, et c'est elle qui fait la commission.
- Moi, a dit le chien, je n'ose pas te dire ce que je voudrais...
- Qu'est-ce que c'est ? a demandé le chat, qui était curieux. Oh! s'il te plaît! dis-le! dis-le!
- Eh bien! a dit le chien, je voudrais...je voudrais une petite fille!
Le chat a été tellement surpris qu'il est tombé de la branche sur laquelle il se reposait.
- Une petite fille! Et qu'est-ce que tu ferais d'une petite fille ?
- Je la promènerais, a dit le chien. Je lui lècherais les mains et la figure. Je dormirais près d'elle. Peut-être elle nous caresserait
- Pour la loger, ça irait encore, a dit le chat, mais c'est pour la nourrir...Comment la nourrirais-tu ?
- Je lui attraperais des rats ! a dit le chien.
- Des rats! Des rats! s'est écrié le chat .Ah ! on voit bien que tu ne connais pas les petites filles ! Elle ne voudrait jamais manger de rats! Même si tu leur enlevais la peau !
- Tu crois ? a demandé le chien. Alors, tu pourrais lui prendre des oiseaux !
- Mais c'est délicat, une petite fille! Elle les voudrait cuits, ses oiseaux ! Comment les ferais-tu cuire ?
- Peut-être elle s'habituerait à les manger crus, a dit le chien.
Le chat a réfléchi, puis il a répondu:
- Non ! Non, elle ne s'habituerait pas ! Je suis désolé de te le dire, mais ton idée est saugrenue !
On pouvait faire confiance à ce que pensait le chat. Il connaissait bien les choses du monde et de la vie. C'était un sage. Le chien n'a pas insisté. Il est allé se coucher dans la grotte pour dormir et oublier.
Le soir, il est sorti aboyer à la lune:
-Lune, tu peux dire au Père Noël de ne pas se déranger pour moi ! Puisque je ne peux pas avoir une pe(ite fille, je n'ai vraiment envie de rien.
Puis il est retourné dans la grotte endormir sa tristesse.
Et un beau jour, on a été la veille de Noël. Il n'y avait pas de neige, cette année-là. Il faisait très beau, très doux. Si on avait bien écouté, on aurait entendu, dans la terre, les violettes en train de se réveiller. Le chien et le chat ont décidé d'aller faire une promenade. Ils ont marché longtemps, jusqu'à une partie de la forêt qu'ils ne connaissaient pas encore. Et tout à coup, au détour d'un sentier, la surprise les a cloués au sol.
- Vois-tu la même chose que moi ? a demandé le chat.
- Je vois une petite fille ! a murmuré le chien. Elle est juste comme je la voulais!
- Il y a aussi une grand-mère! a ajouté le chat. Tu sais, les grands-mères, c'est très gentil ! Ca mange tout le temps du chocolat, et ça nous en donne !
Elles cueillaient du houx, toutes les deux. La grand- mère a dit:
- Nous en avons assez. Ce n'est pas la peine d'aller plus loin.
- Oh! grand -mère, regarde! s'est écrié la petite fille. Un chien et un chat!
Le chien a remué la queue, le chat a fait le gros dos et comme la grand-mère et la petite fille s'en retournaient, ils les ont suivies. De temps en temps, la petite fille regardait en arrière et disait d'un air ravi: " Ils nous suivent"!
Ils sont arrivés à une clairière où se dressait une jolie maison. Un grand-père travaillait dans le jardin. La petite-fille ,a crié:
- Grand-père ! nous avons ramené un chien et un chat! C'est sûrement le Père Noël qui nous les envoie! Il ne pouvait tout de même pas les mettre dans une boîte!
La grand-mère est entrée dans la maison et elle en est ressortie avec deux bols de lait, un pour le chien, un pour le chat. Depuis qu'ils étaient dans la forêt, ils avaient oublié le goût du lait.C'était bon ! Ils n'en finissaient pas de se lécher les babines ! Le grand-père a dit:
- Bonnes bêtes, si vous avez une maison et des maîtres qui vous attendent, il faut repartir, maintenant. Mais si vous n'en avez pas, venez avec nous et npous vous garderons.
Le chien et le chat n'ont pas attendu qu'il répète l'invitation, ils sont entrés. Ils croyaient rêver. On leur a cherché un tapis. La petite fille les caressait. On les regardait à tout instant. Le grand-père disait:
- Je suis content. Il nous fallait absolument un chien, pour prendre la suite de notre vieux César, qui est reparti au pays de l'avant et de l'après.
- Et un chat! disait la grand-mère, nous avions grand besoin d'un chat ! Les souris mangent toutes nos pommes.
La petite fille répétait pour la dixième fois que ça lui était bien égal si le Père Noël n'apportait pas de trottinette, cette nuit ! Qu'elle était bien assez gâtée avec un chien et un chat!
La cuisine a été pleine de bonnes odeurs. Au dîner, ils se sont régalés de choses délicieuses. Et pour finir, ils ont eu le droit de coucher dans la chambre de la petite fille.
Quand elle a été endormie, le chat a dit tout doucement au chien:
- Tout de même ! on peut dire que le père Noël fait bien les choses ! Il te l'a apportée, ta petite fille et il s'est arrangé pour que nous n'ayons pas le souci de la nourrir !
- Oui ! a dit le chien d'une voix extasiée. Et - tu as remarqué ? - il nous a choisi ce qu'il y a de mieux comme petite fille. Comme grands-parents aussi, je dois dire !
- Oh ! j'avais remarqué a dit le chat, dont les yeux commençaient à se fermer.
Et cette nuit-là, au-dessus de la maison, le ciel était plein d'étoiles.
Et dans la maison, il y avait un grand-père, une grand-mère, une petite fille, un chien et un chat dont le coeur aussi, était plein d'étoiles.

Déposé par poutounou le 19/12/2015  
Pauvre mouche ! Mais c’est tellement bon la crème…..
*
La mouche et la crème
*
Une mouche voyant une jatte de crème
S'écria: "Quelle chance ! Ah ! que cela me plait !
Ô délice ! Ô bonheur extrême !
Des oeufs frais, du sucre et du lait,
Un tendre arôme de vanille ;
Rien ne met plus de douceur en mon coeur."
Elle volette, elle frétille,
Elle s'approche, elle gambille,
Sur le rebord
Et c'est alors
que sur la faïence trop lisse,
La mouche glisse
Et succombe dans les délices
De cette crème couleur d'or.
Parfois, les choses que l'on aime
Sont des dangers.
Il n'est pas toujours sûr que l'on puisse nager
Dans la meilleure des crèmes.
*
Pierre Gamarra

Déposé par colombine67 le 19/12/2015  
Un beau matin ensoleillé, une dame est venue me voir ; moi, mes frères et sœurs, et mes parents.
Elle me prend dans ses bras et on part dans une « boîte qui roule ».
Je suis tout seul, il n’y a plus ma maman, mes frères et sœurs. J’ai peur. Il y a du bruit et des odeurs que je ne connais pas. Je sens déjà un terrible manque.
La « boîte qui roule » s’arrête. On entre dans une maison.
A l’intérieur, il y a des humains (je crois qu’on les appelle comme ça) qui discutent. Ca sent bon, il y a plein de lumières qui brillent, et des boîtes colorées partout.
Deux petits d’hommes se jettent sur moi pour me prendre dans leurs bras. Ils crient ! Ils tapent dans leurs mains !
Je tremble, je remue la queue, je baisse les oreilles, la tête, détourne le regard pour leur dire « stop, doucement, je ne suis pas tranquille ».
Bizarre ces humains, ils ne comprennent pas… Pourtant mes frères et sœurs comprenaient eux.
Je passe de bras en bras, on me couvre de caresses, de bisous. Moi, j’aimerais juste que ça s’arrête, qu’on me laisse tranquille; j’ai peur.
Je sens quelque chose de chaud couler; ça fait du bien ! Tout à coup, l’enfant qui me prenait dans ses bras se met à hurler et moi, je reçois une tape sur le cul.
Bizarre, quand l’enfant pleure, on me met une tape et les humains ne semblent pas contents. Maintenant, quand un enfant pleurera, j’aurai peur.
Quelques instants plus tard, un monsieur me prend dans ses bras et me met dehors. Il fait froid, je suis tout seul dans cette grande étendue verte que je ne connais pas. J’aboie plaintivement pour signifier mon inconfort. Personne, personne pour me rassurer. Je reste là un bon moment à regarder le ciel et l’herbe qui bouge.
J’ai froid. Enfin quelqu’un sort et me passe un truc autour du cou avec une ficelle.
Qu’est-ce que c’est ? Je tire, je ne peux pas partir. On m’appelle, alors j’avance, mais je ne comprends pas. J’ai peur.
Je me retrouve pour la deuxième fois de la journée dans cette drôle de « boîte qui roule ». J’ai peur, je couine, une dame me caresse : j’ai donc raison d’avoir peur.
La boîte s’arrête et je me retrouve par terre sur un sol jaune…
Qu’est-ce que c’est ? J’apprendrai plus tard qu’il s’agit de sable. Et là, on va marcher, marcher… Je ne peux pas sentir le sol, un enfant tire sur la ficelle pour que je cours.
Enfin, quelqu’un me prend dans les bras. Je retourne dans ce truc qui roule et on arrive dans ce qui est ma nouvelle maison.
Un peu plus tard, quelqu’un vient me donner à manger. Il était temps : j’ai faim, je suis fatigué.
C’est bon, mais ce n’est pas ce qu’on me donnait avant avec mes frères et sœurs.
Les humains partent. On me laisse enfin dormir. Les bruits, les lumières s’éteignent; je me retrouve tout seul.
J’ai peur, j’aboie, personne ne vient, je me sens seul. Je couine une bonne partie de la nuit, jusqu’à ce que finalement épuisé et solitaire, je m’endorme.
Pour les humains, c’était Noël, jour de joie et de fête.
Pour moi, le chien de Noël, mes plus beaux cadeaux auraient été : calme, tolérance et compréhension…
Auteur : Audrey Watrigant

Déposé par Biscuit le 19/12/2015  
Que la magie de Noël transforme votre foyer en un havre de paix, où règnent bonheur et gaieté !
Je vous souhaite un excellent Noël, rempli d’amour et d’amitié.

Déposé par colombine67 le 18/12/2015  
Le Noël de Chien Perdu
 
Il  faisait très froid, ce soir-là. Dans les maisons, les enfants étaient contents : cette nuit, le Père Noël allait leur apporter des jouets. C'est dommage, il n'y a pas de Père Noël pour s'occuper des animaux, et cette nuit, comme les autres nuits, Chien Perdu allait avoir très froid. Il marchait le long de la route, sans savoir où aller. Soudain, il aperçut une maison. Chien Perdu s'approcha et, sans faire de bruit, se glissa dans le garage. A peine était-il entré que quelqu'un vint fermer la porte, sans voir le chien caché derrière la voiture. Chien Perdu était content car il n'avait plus froid.
Il se coucha pour dormir, mais, au bout d'un moment, de délicieuses odeurs vinrent lui chatouiller les narines. Il ne put s'empêcher de venir renifler sous la porte qui conduisait à la cuisine : là, tout près de lui, derrière la porte, on parlait, on riait, on mangeait. Chien Perdu aurait bien voulu faire partie de la fête, mais il savait qu'on ne voudrait pas de lui. Tristement, il revint se coucher derrière la voiture et essaya d'oublier qu'il avait très faim.
Au bout d'un très long moment, Chien Perdu se rendit compte qu'il n'entendait plus de bruit. Il vint écouter près de la porte : non, vraiment, il n'y avait plus personne. Alors il se dressa sur ses pattes de derrière, appuya les pattes de devant sur la poignée de la porte, et entra dans la cuisine. Les habitants de la maison devaient être bien fatigués : ils étaient partis se coucher sans rien ranger. Sur la table, ils avaient laissé des assiettes avec des restes de dinde, des restes de bûche. Chien Perdu n'hésita pas : il posa les deux pattes sur la table et, à grands coups de langue, il nettoya les assiettes !
Mais, tout à coup, crac ! Il fait tomber une assiette qui se casse en mille morceaux avec un bruit terrible. Pourvu qu'il n'ait réveillé personne ! Il écoute, il écoute... et il entend des pas. Son cœur se met à battre très fort : quelqu'un arrive, quelqu'un va le battre parce qu'il est entré sans permission et va le chasser dans la nuit froide. La lumière s'allume : un petit garçon regarde Chien Perdu et Chien Perdu regarde le petit garçon.
- J'ai entendu du bruit, dit le petit garçon, j'ai cru que c'était le Père Noël, et c'était toi !
Comment es-tu entré ? Tu es venu avec le Père Noël ?
Le petit garçon va dans le salon et Chien Perdu se dépêche de le suivre. Là, au pied du sapin, il y a plein de cadeaux.
- Je ne sais pas si tu es venu avec le Père Noël ou si tu es venu tout seul, lui dit le petit garçon en le caressant, mais je voudrais bien te garder. J'ai une idée, couche-toi là, au milieu des cadeaux, et sois sage !
Le lendemain, le petit garçon se réveilla de bonne heure et vint frapper à la porte de ses parents. Ils auraient bien voulu dormir encore, mais il les embêta tellement qu'ils se levèrent. Ils descendirent tous ensemble au salon et virent Chien Perdu couché sous le sapin, au milieu des cadeaux.
- D'où sort ce chien ? s'écria le papa.
- J'espère qu'il n'a pas de puces ! s'exclama la maman.
- Oh ! qu'il est beau ! s'écria le petit garçon. C'est un cadeau du Père Noël !
Les parents voulurent chasser Chien Perdu, mais il les regarda d'un air si doux, si gentil qu'ils n'osèrent pas. Et puis, c'était un cadeau du Père Noël, et il ne faut jamais contrarier le Père Noël. C'est ainsi qu'une nuit de Noël, Chien Perdu retrouva une famille.

Déposé par lili2248 le 17/12/2015  
💖 💖 68 💖 💖
**** Sur ton chemin ****
Un triste jour , tes yeux ce sont refermés et me plongent dans une nuit sans fin
Je n'imaginais pas que notre bonheur ce briserais telle une vague sur un rocher
Ne laissant derrière elle que son écume
On c’était rien promis mais on savait ce comprendre
J'entends ta présence, dans cette écume blanche celle d’un ange…te perçois vers moi
Je sais que tu es là et peu importe la pensée des uns et des autres
Qui sont ces gens qui crient et parlent de malheur ?
On me donne des paroles, on me raconte un peu de toi
Mais tu es bien trop grand pour tenir dans si peu de mots
C'est toi qui es ma force et m'empêches d'avoir peur …d’avoir pleurs
N'y a-t-il donc pas déjà eu assez de solitude dans la pensée des hommes !!!
D'avant quand tu n'étais pas là …je savais pas …je ne savais rien…
Maintenant tout est clair dans des moments sombres
Jamais tu ne partirais de mon Cœur qui resteras près de toi
Mes êtres cher… au cieux qui sont partis
Ne pense pas toujours la détresse qu'ils ont laissée en moi
Les hommes ne savent pas mais les chiens sentent cela
Ces fleurs sans Pleurs que je dépose sur une pierre à ton nom sans nom
Je sais que tu les vois, les sens, je sais tes habitudes.
Je creuse comme toi la terre, un jour notre chemin va ce rejoindre à nouveau
….ensemble tu verras on va devenir vieux…
Le temps usure tout sur sont passage….
Mais je serais la t’elle une montagne face aux quatre Vents
Je déteste les pleurs mais j'aime tes abois de joie ...
Alors j'inventerai ce qui n'existe pas… penserai ce qui es Toi
Pour toi mon beau soleil, au milieu des étoiles magicien de ma vie dont tu chasses le gris.
Même si je hurle ton nom et que tu ne reviens pas je te chercherais partout
Je sais, tu y serais déjà en ce jardin si loin d’où l'on n'en revient pas
Un jour Je suivrais tes pas sur ton chemin, alors je serais la…
Tout près de Toi à Tes côtés. Mon Chien
**** Mes Pensées… Phil ****
💖 ❤ 💖
,

Déposé par colombine67 le 17/12/2015  
N’attendons pas un sourire pour être gentil…
N’attendons pas d’être aimé pour aimer…
N’attendons pas d’être seul pour reconnaître la valeur d’un ami…
N’attendons pas le meilleur emploi pour commencer à travailler…
N’attendons pas d’avoir beaucoup pour partager un peu…
N’attendons pas l’échec pour nous rappeler un conseil…
N’attendons pas la douleur pour croire à la prière…
N’attendons pas d’avoir le temps pour rendre service…
N’attendons pas la peine de l’autre pour nous excuser, ni la séparation pour nous réconcilier…
Non, n’attendons pas, parce que comme nous ne savons pas combien de temps il nous reste à vivre… nous pourrions passer à côté de beaucoup de choses !!!

Déposé par choupinou le 16/12/2015  
Le sapin de noël (ou le petit sapin sous la neige)
Le petit sapin sous la neige
Rêvait aux beaux étés fleuris.
Bel été quand te reverrai-je ?
Soupirait-il sous le ciel gris.
Dis moi quand reviendra l’été !
Demandait-il au vent qui vente
Mais le vent sans jamais parler
S’enfuyait avec la tourmente.
Vint à passer sur le chemin
Un gaillard à grandes moustaches
Hop là ! en deux coups de sa hache,
A coupé le petit sapin.
Il ne reverra plus l’été ,
Le petit sapin des montagnes,
Il ne verra plus la gentiane,
L’anémone et le foin coupé.
Mais on l’a paré de bougies,
Saupoudré de neiges d’argent.
Des clochettes de féerie
Pendent à ses beaux rameaux blancs.
Le petit sapin de noël
Ne regrette plus sa clairière
Car il rêve qu’il est au ciel
Tout vêtu d’or et de lumière.
Pernette Chaponnière
pour toi mon Punky j'espère qu'il en ai de même la haut dans ton jardin ou tu vis désormé ,vêtu d'or et de lumière,d'amour et de joie,de friandises ,de jouets,entourait de tous tes ami(e)s,

Déposé par colombine67 le 16/12/2015  
Lorsque les bergers s'en furent allés et que la quiétude fut revenue, l'enfant de la crèche leva sa tête et regarda vers la porte entrebâillée. Un jeune garçon timide se tenait là... tremblant et apeuré.
- Approche, lui dit Jésus. Pourquoi as-tu si peur ?
- Je n'ose... je n'ai rien à te donner, répondit le garçon.
- J'aimerais tant que tu me fasses un cadeau, dit le nouveau-né.
Le petit étranger rougit de honte.
- Je n'ai vraiment rien... rien ne m'appartient ; si j'avais quelque chose, je te l'offrirais... regarde.
Et en fouillant dans les poches de son pantalon rapiécé, il retira une vieille lame de couteau rouillée qu'il avait trouvée.
- C'est tout ce que j'ai, si tu la veux, je te la donne.
- Non, rétorqua Jésus, garde-la. Je voudrais tout autre chose de toi. J'aimerais que tu me fasses trois cadeaux.
- Je veux bien, dit l'enfant, mais que puis-je pour toi ?
- Offre-moi le dernier de tes dessins.
Le garçon, tout embarrassé, rougit. Il s'approcha de la crèche et, pour empêcher Marie et Joseph de l'entendre, il chuchota dans l'oreille de l'enfant Jésus :
- Je ne peux pas... mon dessin est trop moche... personne ne veut le regarder !
- Justement, dit l'enfant dans la crèche, c'est pour cela que je le veux... Tu dois toujours m'offrir ce que les autres rejettent et ce qui ne leur plaît pas en toi.
Ensuite, poursuivit le nouveau-né, je voudrais que tu me donnes ton assiette.
- Mais je l'ai cassée ce matin ! bégaya le garçon.
- C'est pour cela que je la veux... Tu dois toujours m'offrir ce qui est brisé dans ta vie, je veux le recoller...
Et maintenant, insista Jésus, répète-moi la réponse que tu as donnée à tes parents quand ils t'ont demandé comment tu avais cassé ton assiette... Le visage du garçon s'assombrit, il baissa la tête honteusement et, tristement, il murmura :
- Je leur ai menti... J'ai dit que l'assiette m'avait glissé des mains par inadvertance ; mais ce n'était pas vrai... J'étais en colère et j'ai poussé furieusement mon assiette de la table, elle est tombée sur le carrelage et elle s'est brisée !
- C'est ce que je voulais t'entendre dire ! dit Jésus. Donne-moi toujours ce qu'il y a de méchant dans ta vie, tes mensonges, tes calomnies, tes lâchetés et tes cruautés. Je veux t'en décharger... Tu n'en as pas besoin... Je veux te rendre heureux et sache que je te pardonnerai toujours tes fautes.
Et en l'embrassant pour le remercier de ces trois cadeaux, Jésus ajouta :
- Maintenant que tu connais le chemin de mon Coeur, j'aimerais tant que tu viennes me voir tous les jours...
Anonyme

Déposé par poutounou le 15/12/2015  
Dans la vie il y a plein de « petits riens » qui nous font tant de bien…..
*
DES PETITS RIENS
*
Les petits riens qui font les grands moments
Qui vont qui viennent, quand ils ont le temps
Les atomes de vie qu'on attrape en rêvant
*
Ces petits riens ont tous quelque chose
Quelque chose en commun qui nous métamorphose
Ces éclairs de vie qui courent entre les choses
*
Saurions-nous les retrouver ?
Voudrais-tu les partager ?
Ces moments de vérité
*
Les petits détails qui ne paient pas de mine
Les petits bouts de gestes qui soudain illuminent
Un souffle entre les mots, un rire qui culmine
*
Ces petits riens qui font nos grands moments
Ils vont ils viennent ils prennent tout leur temps
Et plus on les désire, plus on les attend.
*
Boris

Déposé par Biscuit le 15/12/2015  
Je me souviens de toi
Au jour du sans lendemain
J'ai gardé le souvenir de mes mains
Qui te pressais tout contre moi
Tu ne disais mot, pourtant je t'écoutais
Seul le silence, se faisait entendre
Mes larmes perlées, nos âmes s'entretenaient
La tristesse de ce moment, se faisait comprendre
Tu me disais, de ne pas en vouloir à Dame Nature
Que je devais poursuivre mon chemin
Et que tu serais toujours là pour l'aventure
Qu'il n'y aurait pas de sans lendemain
Tu parcourais déjà les étoiles
Que mes entrailles hurlaient encore
Mon visage portait le voile
La souffrance, le vide, emplissaient mon corps
La souffrance ne m'a pas quittée
Mais le vide s'est apaisé
Dans mon coeur, tu es resté
Sans jamais pouvoir, te caresser...,
Pour Punky,Maryem très proche par la pensée.

Déposé par colombine67 le 15/12/2015  

Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,
Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,
Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.
Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,
Nous nous croirons encor de jeunes amoureux,
Et je te sourirai tout en branlant la tête,
Et nous ferons un couple adorable de vieux ;
Nous nous regarderons, assis sous notre treille,
Avec de petits yeux attendris et brillants,
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs.
Sur le banc familier, tout verdâtre de mousse,
Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer ;
Nous aurons une joie attendrie et très douce,
La phrase finissant souvent par un baiser.
Combien de fois jadis j'ai pu dire : « Je t'aime ! »
Alors, avec grand soin, nous le recompterons ;
Nous nous ressouviendrons de mille choses, même
De petits riens exquis dont nous radoterons.
Un rayon descendra, d'une caresse douce,
Parmi nos cheveux blancs, tout rose, se poser,
Quand, sur notre vieux banc tout verdâtre de mousse,
Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer.
Et, comme chaque jour je t'aime davantage -
Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain -,
Qu'importeront alors les rides du visage,
Si les mêmes rosiers parfument le chemin.
Songe à tous les printemps qui dans nos coeurs s'entassent,
Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens,
Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent
Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens ;
C'est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l'âge.
Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main,
Car, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage :
Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain !
Et de ce cher amour qui passe comme un rêve
Je veux tout conserver dans le fond de mon coeur,
Retenir, s'il se peut, l'impression trop brève,
Pour la ressavourer plus tard avec lenteur ;
J'enferme ce qui vient de lui comme un avare,
Thésaurisant avec ardeur pour mes vieux jours ;
Je serai riche alors d'une tristesse rare,
J'aurai gardé tout l'or de mes jeunes amours ;
Ainsi, de ce passé de bonheur qui s'achève,
Ma mémoire parfois me rendra la douceur,
Et de ce cher amour qui passe comme un rêve
J'aurai tout conservé dans le fond de mon coeur.
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs,
Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille,
Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants.
Comme le renouveau mettra nos coeurs en fête,
Nous nous croirons encore aux heureux jours d'antan,
Et je te sourirai tout en branlant la tête,
Et tu me parleras d'amour en chevrotant ;
Nous nous regarderons, assis sous notre treille,
Avec des yeux remplis des pleurs de nos vingt ans...
Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille,
Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs !
Rosemonde Gérard

Déposé par colombine67 le 14/12/2015  
Dans quinze jours
Nous fêterons la douce nuit.
La nuit synonyme d'amour
Celle où l'unique étoile luit.
 
Certains partiront en voyage
Et d'autres resteront chez eux
On donnera comme des sages
Des cadeaux aux enfants heureux.
 
Moi je voudrais que dans vos coeurs
Quoi que vous fassiez ce jour là
Règnent la joie et le bonheur
Et donc je vous envoie pour ça :
 
Une pluie de feuilles dorées
Portant dans leur douces nervures
A chaque fois mon plus beau souhait :
Qu'en vous le bel amour perdure.
 
Que vos yeux ne voient que le beau
Que votre coeur s'ouvre un peu plus
Il faut chanter toujours plus haut
De cette vie soyez goulus !
 
Aimez  à travers et à tort
Aimez sans cesse comme des fous
Quoi qu'il arrive aimez encore
Il n'y a vraiment rien de plus doux
 
Je vous laisse en compagnie
De votre esprit de votre coeur
Car c'est avec eux aujourd'hui
Que vous devez croire au bonheur
 
Et je vous envoie pour finir
Tous mes souhaits et tous mes soupirs
De joie, de rire et de désir
De vous voir cette nuit sourire.

Déposé par colombine67 le 13/12/2015  
Le firmament est plein de la vaste clarté ;
Tout est joie, innocence, espoir, bonheur, bonté.
Le beau lac brille au fond du vallon qui le mure ;
Le champ sera fécond, la vigne sera mûre ;
Tout regorge de sève et de vie et de bruit,
De rameaux verts, d'azur frissonnant, d'eau qui luit,
Et de petits oiseaux qui se cherchent querelle.
Qu'a donc le papillon ? qu'a donc la sauterelle ?
La sauterelle a l'herbe, et le papillon l'air ;
Et tous deux ont avril, qui rit dans le ciel clair.
Un refrain joyeux sort de la nature entière ;
Chanson qui doucement monte et devient prière.
Le poussin court, l'enfant joue et danse, l'agneau
Saute, et, laissant tomber goutte à goutte son eau,
Le vieux antre, attendri, pleure comme un visage ;
Le vent lit à quelqu'un d'invisible un passage
Du poème inouï de la création ;
L'oiseau parle au parfum ; la fleur parle au rayon ;
Les pins sur les étangs dressent leur verte ombelle ;
Les nids ont chaud ; l'azur trouve la terre belle,
Onde et sphère, à la fois tous les climats flottants ;
Ici l'automne, ici l'été ; là le printemps.
Ô coteaux ! ô sillons ! souffles, soupirs, haleines !
L'hosanna des forêts, des fleuves et des plaines,
S'élève gravement vers Dieu, père du jour ;
Et toutes les blancheurs sont des strophes d'amour ;
Le cygne dit : Lumière ! et le lys dit : Clémence !
Le ciel s'ouvre à ce chant comme une oreille immense.
Le soir vient ; et le globe à son tour s'éblouit,
Devient un oeil énorme et regarde la nuit ;
Il savoure, éperdu, l'immensité sacrée,
La contemplation du splendide empyrée,
Les nuages de crêpe et d'argent, le zénith,
Qui, formidable, brille et flamboie et bénit,
Les constellations, ces hydres étoilées,
Les effluves du sombre et du profond, mêlées
A vos effusions, astres de diamant,
Et toute l'ombre avec tout le rayonnement !
L'infini tout entier d'extase se soulève.
Et, pendant ce temps-là, Satan, l'envieux, rêve.
Victor Hugo, Les contemplations, avril 1840

Déposé par ovanek le 12/12/2015  
💖
💖 💖 💖 💖 💖 💖
💖 💖 💖 💖
💖
💖 💖
** Un nuage **
Y a-t-il plus beau moment qu’au ciel un blanc nuage
Qui vous invite au voyage à la rencontre d’un visage
Ce nuage je l’ai visité et j’ai voulu l’habiter
Y vivre en toute liberté je t’y ai vu toi mon chien
De ta truffe tu ma effleuré mon visage dans ma main tu as glissé ta patte
Quand je suis avec toi je suis toute à ma joie
Il n’y a plus rien pour moi que la chaleur de ta tendresse
Le floconneux nuage blanc est là haut qui m’attend
Je m’y pense sagement et m’y endors en rêvant
Et je danse dans l’air avec mon copain tendresse
Ca a l’air de lui plaire la fugue en ciel clair
Voici un gros nuage gris qui lâche ses larmes de chagrin
Qu’est ce qui lui a pris de nous réveiller ainsi
Et c’est la descente infernale qui nous ramène au point final
Après ce voyage merveilleux….
Ce n’était qu’un rêve une toute petite trêve
Ces moments sont inoubliables et ce bonheur inexplicable
Ce sont les nôtres mon chien
💖
💖 💖 💖 💖 💖 💖
💖 💖 💖 💖
💖
💖 💖

Déposé par colombine67 le 12/12/2015  
J'aimerais
leur dire Ta présence au milieu de nous
la joie de Te connaitre et de Te rencontrer
leur dire Ton Amour fou
le bonheur de vivre avec Toi et de t'aimer
J'aimerais
leur dire que Tu es une nourriture
un frère, un père fou d'amour
leur dire que Tu t'es donné en pâture
à notre monde de vautour.
J'aimerais
leur dire Ta présence vivante dans la communion
Ton chemin de croix et le mont Golgotha
leur dire l'abandon et la Résurection.
J'aimerais
leur dire que Tu es trois,
Amour et don de Toi
leur dire que Tu es faiblesse et abandon
miséricorde et résurection.
J'aimerais
leur dire tout ce que de Toi
je sais
Et plus encore tout ce que par Toi
je vis.
J'aimerais
leur dire que Tu es un inconnu à découvrir
un fiancé délaissé
leur dire qu'il suffit d'un coeur à ouvrir
J'aimerais
leur dire - Dieu t'aime
Il est là, Il sait tout de toi
leur dire - Il est plus encore
et je ne sais rien de Lui.
Marie-Hélène

Déposé par poutounou le 11/12/2015  
Nos Anges nous donnent tout au long de leur vie, et même après, plein de sous d’Amour,
de vrai Amour.…et ça fait du bien d’être aimé ainsi…
*
La prière aux étoiles
*
Et on s’embrasse, et on se dit « Je t’aime »,
Et on se fait du charme
Et tout le reste, et ça va très bien…
Et tout d’un coup, il y en a un qui donne à l’autre…
Un sou d’amour.
Mais de vrai Amour, tu comprends !
Un sou, pas plus. Oh… ce n’est presque rien,
C’est peut-être une nouvelle robe de la couleur de sa cravate,
C’est peut-être de répéter une phrase qu’il a dite la veille…
C’est une façon de tenir une main,
Un regard plus bleu,
Un petit tremblement dans la voix…
Alors il faut que l’autre le comprenne…
IL faut que, tout à coup,
Il sente que ce n’est pas trois mille francs de coquetterie,
Ou dix mille francs de flirt,
Mais que c’est beaucoup plus que ça,
Parce que c’est un sou d’Amour.
Et alors, tout de suite,
Il faut que, pour un sou,
Il rende tout à coup… deux sous d’Amour.
*
Marcel Pagnol




L'Album photo contient 41 photos
Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS

Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella????.
je T'M ????{ton Maël)).
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS
Je SAIS. Pourquoi Ma Maman. T'aimait autant !
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
BIZZZZZZZ. Ma SORELLA.
Highslide JS

Highslide JS
Punky alias The Boss
Tendres MERCIS. MA Sorella ton Maël).
Highslide JS
The Family Westies
CREA de LEUR super Sorella. Un ANGE aussi !
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Retourner en haut