En hommage à

Rock du Moulin de Labatut
2000 / 2013


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Rock du Moulin de Labatut
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En hommage à
Rock du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:17/09/2000
Il nous a quittés le:10/06/2013

Rock, mon tendre petit chéri.

Puisque ta page ne fonctionne plus...que nos amies/amis ne peuvent plus te fleurir...Maël m'a suggéré d'ouvrir cette nouvelle page...bien que je ne puisse y reporter tes 22262 bouquets qui t'ont été offerts, si généreusement.

Je reporte, ci-dessous ton histoire..

Comme Niagara,( une véto qui ne sait pas reconnaître les symptômes d'un empoisonnement !!!)
- Rafia ( également erreur de diagnostic, un diabète qui ne sera identifié que tardivement, de mauvais dosages d'Insuline, un "bricolage" de traitements sur 21 mois,avec des "cocktails d'apprentis sorciers)... sans effectuer ni les examens, ni les prélèvements indispensables)....
- et Punky,(opéré d'un lymphome, ds la précipitation, sans s'assurer qu'il n'y ait pas de métastases, sans Ag au gaz, indispensable en raison de son âge, puis "bricolage intempestif" qui l'emportera en 14 jours) tu es victime de l'INCOMPETENCE de vétos.

Durant 7 mois, 7 longs mois, tu auras reçu des traitements inefficaces, pourtant ns consultions au minimum 1 fois/semaine et surtout ces vétos continueront à faire des injections répétées de Cortisone et autres corticoïdes, pr tes problèmes de peau...Excès dramatique au point que l'on arrive à te faire désensibiliser toutes les 15 jours..et que l'un d'eux dira "je suis obligé de réduire la dose, sinon, je vais le tuer" !!!

De cette maudite Cortisone, tu en auras eu dès tes 2 ans...et jusqu'en janvier 2013.
Au départ de Punky, c'est là que se sont révélés tes problèmes pulmonaires et cardiaques. Ces incapables affirmaient que ton coeur "flottait ds de l'eau"...sans tjrs faire les examens adéquats.
Une nuit, alors que ns avions dû consulter, en urgence, chez un véto de garde...ce dernier, à la vue de ta liste de médicaments avait dit que la posologie n'était pas adaptée à ton état....mais ce n'est pas pr cela que les autres l'aient modifiée....ils ont continué ds leur erreur, éludant les conseils de leur confrère..et en ns persuadant que c'tait eux qui avaient raison.

Mais cette consultation de nuit aura été déterminante..car c'est là que ns avons décidé de demander, ailleurs, un nouveau diagnostic/pronostic.

Et là..."miracle"...un véto qui s'investit pleinement ds les explorations dont un check- up complet. Les autres savaient aussi, pertinemment, que ns n'avions aucune restriction financière pr faire soigner nos petits chéris...donc ils n'avaient pas et ce, déontologiquement, à réduire les examens. Mais, comme leurs équipements étaient "pauvres"...ils ne voulaient pas faire travailler leur confrères !!!CQFD.

Diagnostic ...: bronchite chronique (rien d'étonnant car une bronchite "basique" sera demeurée 7 mois sans soins adaptés !!)Les radios pulmonaires ne révéleront aucune autre suspicion.
Et...le coeur ne baigne pas ds de l'eau....mais, l'eau se trouve...ds les poumons !!!....donc traitement pr l'évacuer.
Le premier électrocardiogramme indique que le coeur de notre petit chéri est fatigué....encore une séquelle avérée de la Cortisone !!! Le traitement mis en place provoque une nette amélioration...les électrocardiogrammes suivants la prouveront.

Ce véto, non seulement est "excellent" mais il note TOUT ce qu'il fait comme actes et TOUT ce qu'il prescrit...et il le chiffre aussi. Alors qu'avec les autres...ns payions, sans le moindre justificatif..;et hormis les médicaments "identifiés"..ns n'avons jamais pu savoir de quoi se composaient les "cocktails" injectés..;sauf, évidemment, pr la Cortisone.

Outre la souffrance qui ns anéantit, ns avons la rage, celle de ne pas avoir réagi, à temps...et ainsi éviter vos départs.
Ns aurons reçu un enseignement : celui que l'Amitié obnubile complètement la méfiance. ns avons fait une confiance aveugle.

Ah !!! il ne faut que j'omette aussi d'écrire..que depuis janvier 2013..PLUS AUCUN PB de dermatites/dermatoses..un vrai miracle. mais ce véto n'utilise pas, intempestivement, la Cortisone...et il ne t'en administrera jamais.
La pharmacopée vétérinaire offre d'autres options...que les vétos, imbus de leur "science" éluderont, tragiquement.

Depuis samedi matin, tu haletais, sans cesse...mais le véto ns a assurés que tu ne souffrais pas. Sinon, ns pensons qu'il n'aurait pas hésité à pratiquer l'acte létal.Ce qui ns fait dire qu'il est honnête, c'est qu'il avait reçu l'appareil et les produits qui devaient te permettre de mieux respirer, et qu'il a dit à papa "son coeur ne supporterait pas"...alors qu'il aurait pu les lui vendre, d'autant plus que le tout avait été commandé, exprès pr Rock.

Depuis samedi matin, tu ne ns quittais plus...tu passais des heures à ns regarder, assis. Et moi, j'étais avec toi la nuit, essayant, en vain, de te faire coucher...et vers 5 heures, la fatigue faisait que tu acceptais de te coucher...et tu t'endormais..;ta respiration devenant bcp moins saccadée.

Dimanche...ns avions les jumeaux; ns avons voulu te mettre au calme, car Jdaïl , le westie jeune et fougueux de Tomy "remuait" bcp...mais toi, tu n'as pas voulu. Tu t'es de nouveau assis, ds le living, les yeux rivés vers ns.

Le matin, papa avait réussi à te faire manger un steack hâché de boeuf à 5% de MG +les 3/4 d'un pot de fromage blanc (que tu adores !!) à 20%; Puis je t'ai donné...un "fragment" de crêpe, sans sucre (ce dont tu te régales aussi)....mais malgré que tu en avais l'envie...tu ne pouvais pas manger.
Le soir, tu as accepté 2 tranches de jambon de Bayonne...mais très fines.
Tu n'as pas voulu, rester avec papa, près de lui sur ton canapé de la vidéothèque...et moi, épuisée par 2 nuits sans sommeil, je suis allée m'allonger et je me suis endormie jusqu'à minuit.

Ensuite, je me suis installée, ds mon bureau, à mon PC...et tu es venu m'y retrouver. Avant, je t'avais proposé des friandises que tu as refusées.

Je me suis mise à arroser les fleurs...tu étais assis, tout près de moi, tjrs les yeux rivés sur moi..Tu es parti, quelques secondes...vite revenu, tu m'as demandé de te prendre ds mes bras...ce que j'ai fait, bien entendu. Tu t'es blotti contre moi, ta respiration devenant de plus en plus difficile...Je t'ai murmuré à l'oreille combien ns t'aimons..que tu ne luttes plus et que tu partes retrouver Punky...Niagara et Rafia. tu m'as regardé..comme si tu comprenais...et puis..plus rien :il était 1 h 45... tu ne respirais plus. J'ai réveillé papa qui t'a pris ds ses bras...a voulu que je parte car tu étais agité de soubresauts..m'a dit "il n'y a plus rien à faire".Ton coeur ne battait plus. Papa t'a câliné encore et encore..je suis revenue...on aurait dit que tu dormais paisiblement.

Et puis ce matin, nouvelle épreuve pr papa...la plus difficile c'est de t'enterrer...tout près de ton ami Punky et de la petite Rafia.

Je ne crois pas, malheureusement, aux retrouvailles qui ne sont qu'un leurre...mais je veux penser que tu les as retrouvés. C'est encore Punky qui a dû être le plus heureux et vs avez dû reprendre vos petites querelles amicales.
Punky, dès que tu es arrivé à la maison a tout de suite compris que tu étais le plus petit...il t'a tjrs laissé prendre le dessus sur lui...alors que toi Rock le précieux dandy, tu ne faisais pas le poids...contre Punky tout en muscles.
Ns n'avons jamais compris que tu puisses le jalouser..il n'y avait aucune raison pr cela...mais certainement que ce n'était pas de la jalousie..c'était que tu voulais être tjrs le...: numéro 1.
Ns sommes enclins à penser que la vérité, elle là...car, lorsque Punky est parti...ce fut la catastrophe : tu refusais de t'alimenter...tu le cherchais partout..ds la maison et à l'extérieur...miné de ne pas le retrouver.Et puis, un jour, tu as bien voulu comprendre où il se trouvait....Depuis, il arrivait souvent que tu te couches, "collé" à sa tombe, ta belle petite tête reposant sur la pierre tombale )....Et puis aussi..;depuis le départ de Punky..toi qui disait "mama" en t'adressant à moi...tu ne l'as plus jamais dit...Idem...pr ton adorable manie de ns téter le cou, lorsque tu ns faisais des câlins...tu ne montais plus aussi souvent sur notre lit...tu t'étais renfermé..tout en demeurant adorable avec ns.

Mon tendre petit chéri...ns ne te remercierons jamais assez pr tout l'amour que tu ns a donné...tu resteras tjrs ds nos coeurs...c'est tellement difficile à vivre...tu es partout.
Comme ns n'oublierons JAMAIS : Niagara, la petite Rafia - (toi aussi tu étais un petit modèle de westie, comme elle...toi aussi un CHAMPION; largement confirmé de beauté...au palmarès prestigieux)...)- et Punky. Le BONHEUR procuré par notre mini-meute de westies...s'est envolé...et ns sommes très inquiets pr Paramour, totalement perdue.

Papa et moi, te faisons des bisous..des bisous à l'infini..pr notre Rock adoré.




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Déposé par ovanek le 04/03/2017  

Chiens et chats torturés, brûlés, abandonnés ou abattus, de plus en plus de cas de maltraitance envers les animaux sont recensés en France.
Ces actes de cruauté restent très souvent impunis et scandalisent de nombreux citoyens. Sur Change.org, vous êtes nombreux à lancer des pétitions pour réclamer justice ou demander plus de protection pour les animaux.
C’est le cas de Christelle qui a lancé une pétition réclamant la création d’une police des animaux rattachée au ministère de l’Intérieur afin de poursuivre les auteurs de tels actes. Grâce à la mobilisation de plus de 90 000 personnes, la pétition a été discutée à la commission des lois.
Face à ces actes de maltraitance qui se multiplient, l’élection présidentielle est l’occasion de remettre au coeur du débat la question du droit des animaux très souvent laissée de côté par les politiques.
12 candidats à la présidentielle ont déjà créé leur profil sur Change.org pour répondre aux pétitions qui leur sont adressées. A deux mois de la présidentielle, vous pouvez les interpeller en lançant votre pétition afin d’obtenir des engagements concrets de leur part.
Je viens de signer la pétition "Créer une police de protection des animaux dans chaque département". C'est une cause importante. Voudriez-vous la signer à votre tour ?
Ovanek dit Max
Voici le lien:
https://www.change.org/p/créer-une-police-de-protection-des-animaux-dans-chaque-département?utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=petition_signer_receipt&share_context=signature_receipt&recruiter=90015255
Merci,

Déposé par colombine67 le 04/03/2017  
C’est le coup de foudre pour cette technicienne vétérinaire, qui a sauvé un chien d’appât d’une vie de mauvais traitements.
Un duo de bons samaritains a découvert Calvin, un pitbull croisé, en train d’errer dans les rues avec une patte grièvement blessée. On pense que la pauvre bête était utilisée en tant qu’appât par des dresseurs de chiens de combat, ce qui signifie que Calvin était utilisé pour tester la ténacité et l’agression de chiens beaucoup plus gros et beaucoup plus forts que lui.
Il était très clair que ces personnes brutales n’avaient que faire de la survie ou de la mort de Calvin. Le couple qui l’a recueilli voulait lui apporter des soins vétérinaires afin de le secourir, mais ils ont rapidement été noyés sous les frais médicaux, estimés à plus de 10000 dollars.
C’est alors qu’ils ont ouvert une page GoFundMe (attention, la page GoFundMe présente des photos très explicites), et ont confié l’animal à Corinne Manley, technicienne vétérinaire à la clinique Blue Pearl Specialty and Emergency Pet Hospital de Spring, au Texas. Il est clair que Calvin a trouvé un foyer définitif chez elle.
La page GoFundMe a largement dépassé le budget nécessaire pour couvrir ses frais médicaux, et des personnes généreuses des quatre coins du monde ont apporté leur contribution.
Selon Manley, « Il a été trouvé souffrant de blessures très prononcées sur tout le corps, mais surtout sur ses pattes postérieures. Il demande des soins fréquents, et souffre par ailleurs d’une lacération chronique du tendon d’Achille, qui n’est pas réparable. Cela va imposer la fusion de son articulation du tarse droit (articulation de la cheville), et si cette fusion ne fonctionne pas, il devra être amputé de sa patte postérieure droite.
Il souffre par ailleurs du ver du cœur, et devra être soigné pour cela. C’est un chien adorable, il veut simplement être aimé et câliné. »
Mais que va-t-il advenir de tout l’argent supplémentaire collecté par la page GoFundMe consacrée aux soins médicaux de Calvin ? Manley affirme « Avec l’argent qu’il nous reste, nous allons aider d’autres chiens comme Calvin, et qui partagent la même histoire que lui. Les combat de chiens sont un crime, et les personnes qui y participent devraient être punies.
Calvin a la chance d’y avoir survécu, et nous espérons que beaucoup d’autres chiens connaîtront le même succès et la même fin heureuse que lui, jusqu’à ce que nous puissions trouver un moyen de mettre un terme définitif au phénomène des combats de chiens. Les fonds collectés seront retirés et placés sur un compte bloqué réservé à Calvin, jusqu’à ce qu’il soit totalement remis. Les sommes restantes seront conservées sur ce compte, et utilisées pour d’autres animaux qui connaissent un sort identique. »
Heureusement, Calvin a enfin trouvé un foyer d’adoption chaleureux, où l’on s’assure qu’il se remette dans les meilleures conditions possibles. Et peu importe le nombre de pattes qu’il aura une fois toutes ces épreuves traversées, car nous savons qu’il recevra beaucoup d’amour jusqu’à la fin de ses jours, et c’est exactement ce qu’il mérite.
Les combats de chiens sont une activité terrible, et doivent à tout prix être arrêtés ; nous sommes particulièrement reconnaissants envers cette femme, et heureux que Calvin ait été capable de s’en sortir avec la vie sauve.

Déposé par Galinette3 le 03/03/2017  
Merci mon amie de continuer à fleurir les pages de ma boule d'amour Siam et mon trésor Snoopy.
Je pense à vous souvent et à tous vos trésors.
J'ai actuellement un problème avec mon clavier virtuel de mon Samsung pour écrire des textes
Je m'en excuse et suis désolée.
Milles tendresses
Ghislaine

Déposé par colombine67 le 03/03/2017  
PAROLES: NICOLA CICCONE
*****************
*****************
On peut perdre son travail
Lorsqu'on a des ratés
On peut perdre son crédit
Lorsqu'on est endetté
On peut perdre sa mémoire
On peut perdre sa maison
Perdre sa fougue
Et même perdre sa raison
On peut perdre sa richesse
Sur un seul coup de dé
On peut perdre sa jeunesse
Comme on perd une clé
On peut perdre son courage
Dans le fond d'une bouteille
Perdre ses rêves ou son âme
C'est pareil
Mais un ami c'est pour la vie
Quand tout s'écroule
Quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid
Ça reste là
On peut perdre sa route
A cause d'un faux détour
On peut perdre son coeur
A cause d'un vieil amour
On peut perdre sa vie
A vivre dans le passé
On perd même parfois le goût d'aimer
Mais un ami c'est pour la vie
Quand tout s'écroule
Quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid
Ça reste là, ça reste là!
Car un ami, c'est bien plus fort
Plus fort que tout
Même plus fort que la mort
Un vieil ami, quand tout est gris
Ça nous sourit
On peut perdre son honneur
Lorsqu'on est humilié
On peut perdre son calme
Lorsqu'on est bousculé
On peut perdre son temps
A trop compter les heures
On perd tout lorsqu'on vit dans la peur
Mais un ami c'est pour la vie
Quand tout s'écroule
Quand rien nous réussit
Un vrai ami, malgré le froid
Ça reste là, ça reste là!
Car un ami, c'est bien plus fort
Plus fort que tout
Même plus fort que la mort
Un vieil ami, quand tout est gris
Ça nous sourit
Gardez vos amis

Déposé par colombine67 le 02/03/2017  
Sur ce chemin où je progresse incertain,
Qui me mène ,inexorable , vers un tragique destin .
Je me souviens des moments de bonheur,des jours heureux.
Où sans faillir jamais , j'ai veillé sur eux.
Toujours enjoué et débordant d' affection.
Ils étaient pour moi mes amis, ma passion.
Hier ils m'ont oublié sur ce parking inconnu.
Ils sont partis, sans remord ,sans tristesse retenue.
Je les ai bien attendu des heures durant.
Ne pas s'éloigner ,rester sage et patient.
Vaine attente,épuisé ,désemparé je vais sans but.
Affligé d 'être ce qu'on appelle un chien perdu.
Quelle distance ai-je bien pu parcourir ?
L'énergie me manque , plus la force de courir.
Mais quelle est cette douleur qui soudain me tenaille ?
Me blesse dans ma chair et mes entrailles.
Il ne m'a pas vu ,et point ne s'arrête,je ne peux plus bouger.
A l'orée de ce bois, comment vont ils me retrouver ?
La souffrance doucement s 'estompe , de mon corps je m'évade .
Une douce inertie m' envahit et de ce monde m'efface.
Triste destinée que de rendre son dernier soupir.
Loin de mes maîtres que ma vie j'ai passé à chérir.
Mes yeux se ferment , sous mes paupières, ultime image.
Deux humains sincères caressant un colley très sage.

Déposé par lili2248 le 01/03/2017  
OU ES-TU ?
« Où es-tu, petit ange, où es-tu?
On aurait bien voulu,
À force d’amour,
t’empêcher de partir,
mais le monde est trop lourd,
petit ange léger,
Et n’a pas su te retenir.
Où faut-il te chercher, maintenant ?
Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent?
Qui saura nous le dire?
» Maman, »
Là où je suis, je ne crains rien.
J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes,
J’ai l’âme vaste comme le monde.
Là où je suis, la joie est sans mélange.
Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose…
sur les ailes d’un ange,
dans la rosée, dans le vent,
dans le cœur d’une rose,
Dans le cœur de mes parents.
Ne me cherchez pas, je suis partout,
Je suis avec vous, je suis chez moi. »
Albert Gui,
, ,

Déposé par dianthe le 01/03/2017  
Merci pour votre message bienveillant, malheureusement, par le passé douloureux j'ai vécu de très mauvais jours (décès de mon papa, ma nièce...)J'ai eu de graves dépressions( piqûres intraveineuses) et là depuis 6 mois , demain, je m'enfonce lamentablement.
Je ne dors plus, je suis si fatiguée, je ne prends pas d'antidépresseurs mais des somnifères et anxiolytiques mais ça c'est depuis de longues années.
Je n'ai plus de goût à rien.
Ces échanges m'aident un peu je me sens moins seule.
Au travail, on ne me comprend pas.
J'ai trop de peine.
Merci d'avoir pris le temps de m'avoir lue. c'est par ce que vous m'avez mis un message de compréhension. J'espère ne pas vous avoir ennuyée avec mes histoires. Je vous souhaite une bonne soirée, bien amicalement.

Déposé par colombine67 le 01/03/2017  
Alise ou le chien qui ne devait pas mourir…..
Alise la Setter Gordon et la vieille dame vivaient une relation quasi fusionnelle depuis des années, et l’une vivait mal sans l’autre. La vieille dame disait bien que sa chienne ne serait pas éternelle, elle savait qu’un jour il lui faudrait la perdre, mais elle ne l’acceptait pas, c’était au-dessus de ses forces.
Alise devenait de plus en plus l’objet de toutes ses attentions.
Tout le soin que la vieille dame prenait d’elle, devrait c’est sûr, garantir une plus longue et meilleure vieillesse à sa chienne. Alors la vie était réglée autour du vieil animal, et les emplois du temps et déplacements aménagés pour son confort.
Alise en venait à exercer une sorte de tyrannie passive sur la vieille dame. Comment même penser à refuser quoique ce soit à une vieille chienne si douce et si près de sa fin, il aurait fallu n’avoir pas de cœur.
La vieille dame n’en manquait pas, de cœur, et qui faiblissait d’ailleurs. De visites en visites, chez le médecin pour l’une et le vétérinaire pour l’autre, on voyait s’allonger la liste des médicaments de chacune.
A chaque malaise d’Alise, la vieille dame affolée répondait par une attention anxieuse et redoublée ; elle guettait chaque hoquet, chaque essoufflement, chaque perte d’appétit comme un signe menaçant d’une fin redoutée, haïe, insupportable.
Cela dura des années, car l’espérance de vie d’un Gordon était déjà dépassée depuis longtemps, mais Alise, diminuée, fatiguée, ne quittait pas sa maîtresse.
La vieille dame tomba malade, gravement, il fallut l’hospitaliser. Un drame pour elle, de devoir laisser sa chienne aux bons soins de son mari ; non pas qu’il fût mauvais homme, loin de là, mais Alise allait sûrement tellement s’ennuyer.
Les choses se passaient plutôt bien entre Alise et son maître, et la vieille chienne semblait attendre vaillamment sa maîtresse.
Mais les hospitalisations se sont succédées, la vieille dame ne se remettait pas et son état nécessita une lourde et délicate opération à cœur ouvert.
Séparée de sa vieille chienne adorée, se demandait-elle si elle la reverrait jamais vivante ? Elle parlait assez peu de cette séparation douloureuse, elle voulait juste rentrer chez elle au plus vite près d’Alise, mais son état de santé ne le permettait pas.
Alise avait maintenant 15 ans ½ de plus en plus fatiguée, vacillante, s’amaigrissant, elle tenait bon cependant.
La vieille dame put enfin rentrer chez elle pour de bon, après maintes hospitalisations de plusieurs semaines chacune, où les séparations étaient devenues de plus en plus angoissantes pour elle.
Extrêmement affaiblie, sapée par toutes les épreuves de la maladie et de l’opération, la vieille dame devait encore affronter le lent dépérissement d’Alise.
La chienne avait maintenant 16 ans, elle ne marchait plus qu’avec difficultés. Elle dormait de longues heures durant, et quand péniblement elle se relevait et non sans aide sortait dans le jardin, squelettique, il lui arrivait encore de sautiller maladroitement, comme secouée par une étrange joie.
De ce moment là, on ne sut plus laquelle tenait l’autre en vie. Jusqu’ici, il avait semblé que la vieille dame voulant tellement garder sa chienne, celle-ci en avait trouvé la force de continuer à vivre.
Voilà que maintenant, c’est comme si Alise ne se permettait pas de mourir, pour ne pas précipiter dans la mort avec elle, sa maîtresse bien trop diminuée par la maladie.
Leur entourage en craignait de les voir basculer ensemble. La vieille dame s’épuisait à continuer de prendre soin de sa vieille chienne de plus en plus dépendante, incontinente, confuse parfois maintenant au point de se perdre dans le jardin.
Mais quel ancien tourment faisait craindre tant la mort de son vieux chien, à la vieille dame malade ? Quelle ancienne douleur, quelle ancienne blessure non cicatrisée lui rendait-elle impossible l’idée qu’Alise devrait la quitter ?
Car enfin, la pauvre bête, épuisée, sourde, raidie par les ans, dédaignant de plus en plus tous les petits plats sans cesse renouvelés dont elle était si gourmande, n’en pouvait visiblement plus de s’éterniser.
La vieille dame semblait aveugle à cette grande souffrance de l’animal qui pourtant aurait dû susciter sa compassion ; il lui fallait trop ne pas voir, ne pas entendre, ne pas penser qu’Alise pouvait souffrir.
Fermée à cette réalité trop insupportable, elle se tenait un discours menteur qui laissait son entourage effaré devant un tel déni, désemparé, incapable de mieux défendre le droit à la mort de la vieille chienne, aux yeux de sa maîtresse.
Alise se mit à ne plus pouvoir boire, puis à ne plus vouloir s’alimenter du tout, deux jours durant.
La vieille dame m’appela pour lui porter secours.
Arrivée sur place je trouvais la vieille chienne exténuée par une matinée passée à errer nerveusement dans la maison et le jardin, obligeant sa maîtresse à la soutenir tant bien que mal, à la relever à chaque chute.
À mon approche Alise s’apaisa, s’effondra, je crus qu’enfin trop épuisée, elle allait s’éteindre. Doucement je me tins près d’elle, puis encore plus près, bientôt je pus la caresser, puis la tenir dans mes bras, lui parler tout bas.
Prendre tout contre moi l’animal décharné me fut d’abord difficile, j’ai dû apprivoiser ma propre peur de la mort, pour venir frôler, puis enfin contenir celle des Deux qui ne pouvaient se quitter.
Alise semblait se laisser aller, je ne sais si elle m’entendait lui dire qu’elle avait gagné le droit de partir, le droit d’aller rejoindre la paix, la lumière…
Ma tête contre la sienne, combien de temps sommes-nous restées ? Je guettais sa respiration, croyant parfois ne plus la percevoir. J’aspirais pour Alise à une fin comme celle-ci, un départ tranquille, dans un souffle qui s’arrêterait…Une fin toute en douceur qui stopperait la violence que la vieille dame et sa chienne mettaient à ne pas pouvoir se séparer.
La vieille dame et son mari m’avaient laissée seule depuis longtemps avec Alise. Espéraient-ils follement que se produise quelque miracle, souhaitaient-ils secrètement que leur chienne meure simplement dans mes bras, alors qu’eux même n’auraient pu le supporter ?
Un peu médusée, je vis le vieil animal comme se réveiller, puis se redresser, faire effort pour parvenir enfin à se relever ; moi qui croyais son dernier souffle arrivé…
Maintenant taraudée par un mal de tête qui enflait de plus en plus, je ne pus qu’accompagner Alise dans ce qui allait devenir une folle errance dans le jardin.
Sous un soleil éclatant de milieu de journée, je suivis la vieille chienne qui de sa démarche plus qu’incertaine, divaguait plus qu’elle n’allait. Plusieurs fois elle trébucha, s’écroula. Je croyais chaque fois qu’elle ne se relèverait pas, que c’était la fin. Elle parvenait pourtant à se redresser, et je continuais de la suivre, anxieuse, un peu désarçonnée, devant ce comportement que je cherchais à m’expliquer. Puis j’ai accepté de seulement l’accompagner, sans vouloir quoi que ce soit et pas même comprendre, comme plus tôt dans l’après-midi, quand penchée sur elle, je n’avais fait qu’être là, rien qu’être là près d’elle.
Alors je fus sûre soudain que l’on ne pouvait pas mourir sous une telle lumière, dans une telle clarté.
Ce soleil éclatant qui faisait jaillir la vie, empêchait de mourir. Je vis enfin qu’Alise dans cette errance cherchait à gagner l’ombre ou une pénombre, comme une cache.
Doucement j’essayai de la faire retourner dans la maison ; j’y parvins péniblement, et là je demandai à ce que l’on fermât un peu les volets. Il me semblait de plus en plus qu’il faudrait aider Alise à mourir.
Cette décision ne m’appartenait pas, mais je devais offrir à ces Trois qui ne savaient que faire, la force qu’ils n’avaient pas d’affronter la mort légitime.
Qui étais-je pour décider que cet animal devait mourir maintenant et pas plus tard ? que savais-je de ses souffrances ? laquelle d’abord était la plus grande, celle de son pauvre corps trop vieux, ou celle de son âme de chien immensément fidèle, qui ne pouvait pas trahir sa vieille maîtresse qui lui exigeait de ne pas la laisser seule ?
Je pris néanmoins le parti d’essayer de convaincre ses maîtres, de soulager Alise du poids de cette vie de douleurs.
D’ailleurs celle-ci de plus en plus agitée semblait se débattre, ne sachant plus où se mettre, ni que faire de sa peau de misères.
La vieille dame affligée semblait céder, admettre l’indignité de son désir de vouloir retenir encore son Alise. Puis l’instant d’après, affolée à l’idée de cet irrémédiable, aveuglée de douleur, elle approcha avec un plat de je ne sais quoi, le mis sous le nez du pauvre animal mourant, dans l’espoir fou qu’il susciterait son appétit.
Mise au centre de ce tableau surréaliste, je décidai non sans mal de soutenir davantage l’animal que la maîtresse.
Il leur fallait ma force et mon assurance, que le vétérinaire soulagerait et rendrait douce la fin de leur animal, dont la vie d’ailleurs ne serait abrégée que de quelques heures, tellement maintenant sa fin était proche.
Je les ai accompagnés tous les trois jusqu’au bout ; j’ai tenu la vieille dame tout contre sa chienne quand le vétérinaire a fait glisser dans les veines le liquide qui endort et celui qui fait mourir sans souffrance.
Alise s’est laissée faire sans se défendre comme presque déjà partie. La vieille dame a laissé faire aussi, elle avait capitulé ; son mari, lui, s’est tenu éloigné n’ayant pu affronter de près, la mort de l’une et l’immense douleur de l’autre. Alise avait 16 1/2 ans.
Il me restait encore à terminer mon travail, c’est à dire à les aider tous deux à accepter l’insupportable. Il me semblait qu’il ne fallait pas les séparer brutalement du vieil animal.
Tous deux souhaitaient une crémation pour Alise. Je proposai qu’ils puissent garder la vieille chienne près d’eux pour la nuit, pour la voir morte mais apaisée enfin, délivrée de son manteau de vieillesse douloureuse.
Pour qu’ils entament un vrai deuil, il me fallait les aider à regarder en face la fin de la vie. La force de ma présence pouvait leur permettre d’accompagner leur Alise jusqu’à l’acte de crémation. La vieille dame ne s’y est pas dérobée. Je l’ai soutenue jusque dans cette dernière et douloureuse démarche d’immense respect pour sa vieille chienne.
Cette ultime épreuve vécue de la crémation lui laissera à jamais l’irremplaçable réconfort de ne s’être pas détournée, de n’avoir jamais abandonné son animal chéri, en l’accompagnant même jusqu’après la mort du corps.
Je garde d’Alise, le souvenir ému d’un chien pathétique qui ne voulait pas faillir.
Danièle MIRAT

Déposé par Biscuit le 01/03/2017  
OU ES-TU ?
« Où es-tu, petit ange, où es-tu?
On aurait bien voulu,
À force d’amour,
t’empêcher de partir,
mais le monde est trop lourd,
petit ange léger,
Et n’a pas su te retenir.
Où faut-il te chercher, maintenant ?
Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent?
Qui saura nous le dire?
» Maman, »
Là où je suis, je ne crains rien.
J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes,
J’ai l’âme vaste comme le monde.
Là où je suis, la joie est sans mélange.
Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose…
sur les ailes d’un ange,
dans la rosée, dans le vent,
dans le cœur d’une rose,
Dans le cœur de mes parents.
Ne me cherchez pas, je suis partout,
Je suis avec vous, je suis chez moi. »
Albert Gui,
,

Déposé par colombine67 le 28/02/2017  
Cette chienne errante, qui avait l’habitude d’accompagner des familles depuis un musée jusqu’à leurs voitures, trouve enfin un foyer bien à elle.
"À chaque fois qu'elle tentait d'approcher une famille, cette dernière finissait par la rejeter après lui avoir fait des caresses, alors même qu'elle leur donnait de petits coups de langue sur la main... nous ne pouvions faire autrement que de lui trouver un foyer."
Bon sang, c’est vraiment une histoire touchante… Le mois dernier, un samedi soir, alors que les familles retournaient à leurs voitures après avoir avoir visité le Children’s Museum of Houston, une chienne errante les a suivies. Mais une fois arrivées à leurs voitures, ces familles n’ont pas permis à la chienne de les accompagner ; alors elle a fait demi-tour, et est retournée au musée pour retenter sa chance avec d’autres familles.
Elle a tenté sa chance, encore et encore, jusqu’à ce que deux femmes décident de la recueillir, pour lui trouver un foyer. Et elles y sont parvenues !
« À chaque fois qu’elle tentait d’approcher une famille, cette dernière finissait par la rejeter après lui avoir fait des caresses, alors même qu’elle leur donnait de petits coups de langue sur la main… Mon amie et moi avons été profondément touchées, et nous avons tout de suite su que nous devions recueillir la pauvre bête afin de lui trouver une maison. »
Cette histoire (que ce soit sa première incarnation ou ses mises à jour) a été initialement publiée par Heather Leighton, du Houston Chronicle.
« Les chiens errants ne sont pas rares à Houston, mais samedi, alors que je sortais avec une amie, nous avons découvert une chienne qui était très différente de tout ce que nous avions vu jusque-là.
Samedi après-midi, aux environs de 14h, mon amie Alli et moi retournions à mon appartement en passant par Binz Street, à Houston, lorsque nous avons repéré une chienne sans collier ni laisse, qui accompagnait un père et sa fille.
Alli m’a dit « Je ne pense pas que cette chienne leur appartient. »
« Mais elle marche juste à côté de la petite fille, et elle la regarde. Elle doit leur appartenir, non ? », lui ai-je répliqué.
Nous n’y avons pas prêté plus attention, et nous avons dépassé le père, sa fille, et le toutou en voiture, mais quelque chose nous a incité à faire demi-tour, afin de demander si la chienne leur appartenait bien.
Nous nous sommes arrêtées dans le parking, dans la rue opposée au Children’s Museum, et nous leur avons demandé si la chienne leur appartenait. Ils nous ont répondu « non », mais ils ont ajouté qu’elle avait passé toute la soirée à accompagner des familles.
« Elle suit les familles jusqu’à leurs voitures, et elle fait demi-tour à chaque fois que les familles la rejetent. Elle fait demi-tour, et trouve alors une nouvelle famille à accompagner », nous a expliqué le père.
« Cette pauvre bête sait visiblement comment exploiter les failles du système » ai-je pensé, et c’est à ce moment précis qu’elle a exploité les failles de mon propre cœur. Elle nous a saluées avec ses grands yeux bruns, sa queue qui s’agitait, et nous a donné des coups de langue sur les mains.
Nos coeurs ont fondu, et nous avons alors décidé de commencer à lui trouver un foyer.
Alli a voulu s’assurer qu’elle avait une micro-puce, mais elle n’en n’avait pas, aussi nous avons passé toute la soirée à appeler des refuges animaliers, de préférence sans euthanasie, mais tous ces refuges étaient déjà pleins. Ces coups de fil ont continué le dimanche matin, mais sans le moindre résultat : il était impossible de trouver un refuge à cette pauvre chienne.
C’est alors qu’un appel public a été passé dans le Houston Chronicle, afin d’inciter son maître à se manifester, ou quelqu’un d’autre à l’adopter.
Cette mission s’est terminée environ un mois plus tard, lorsque Brock Wagner, cofondateur de la Saint Arnold Brewing Company, a contacté le service d’accueil et d’adoption avec lequel nous avions un partenariat.
« La description de cette pauvre chienne en train d’accompagner des familles du musée à leur voiture, pour y être abandonnée, m’a touché », explique Wagner à Chron.com. « Comment pouvait-on donc laisser cette pauvre chienne errer dans les rues ? »
La semaine dernière, il a contacté le service d’accueil et d’adoption Best4Petz, avec lequel nous étions en partenariat, à la recherche d’un foyer d’accueil pour ce pauvre toutou.
Dimanche, dans l’après-midi, Wagner et sa fille de 17 ans ont accueilli la chienne, fraîchement rebaptisée Delphi (de son nom complet Delphyne), dans leur foyer de Montrose.
« Elle a traversé le jardin en courant, et a exploré la maison, afin d’essayer de comprendre ce qui lui arrivait », explique Wagner. « Nous l’avons amenée au Pet-Co, et nous lui avons acheté un collier noir et rose, avec des pierres précieuses scintillantes incrustées. Cela combine son côté très féminin, et le fait qu’elle soit une femelle pitbull. »
À la fin de la journée, Delphi a été surprise en train de ronfler sur le canapé de son nouveau salon, en train de rêver, enfin heureuse et satisfaite.

Déposé par poutounou le 28/02/2017  
Histoire d'un "rominet" qui a eu beaucoup de chance....et un grand BRAVO à ses sauveurs...
*
En novembre dernier, la vidéo d’un chaton retrouvé en état d’hypothermie dans la neige avait ému les internautes. Désormais, Lazarus, le « chaton gelé », va mieux, dorloté par ses sauveurs qui l’ont adopté.
*
Lazarus est en pleine forme. Il possède sa propre page facebook (Frozen Kitten) où ses maîtres donnent régulièrement de ses nouvelles. Avachi sur leurs genoux ou sur le lit, Lazarus est loin d’être malheureux, comme en témoignent les photos postées. Ce matou qui déteste les bains mais adore grimper et escalader profite pleinement de sa nouvelle vie. Et il a bien raison. Car c’est un destin beaucoup plus tragique qu’aurait pu avoir ce petit chat…
*
En novembre dernier, à l’occasion de Thanksgiving, la famille Bingham, de l'Utah, aux États-Unis, aperçoit une boule de poils blanche dans la neige, complètement gelée et immobile. Le chaton, en état d’hypothermie, est immédiatement conduit dans la maison où il est réchauffé. Une scène filmée et rapidement partagée sur les réseaux sociaux qui avait ému des milliers d’internautes.
*
Baptisé Lazarus, le rescapé est désormais accro aux câlins. Il habite toujours chez ses sauveurs et s’est fait une place dans leur foyer. "Ca m'a impressionné de voir comme il s'est vite adapté à notre vie de famille, indique le père. Il nous colle en permanence. Je pense qu'il se sent à l'aise et aime vraiment faire partie de la famille".
*
Devenu un copain de jeu pour les enfants, il a aussi été d’un grand réconfort lorsque son maître s’est cassé la jambe, se lovant en permanence contre lui pendant sa convalescence.

Déposé par choupinou le 28/02/2017  
lettre de Rock a sa maman d'après la chanson d'Amel Bent(avec léger changement pour la circonstance)
Une histoire qui tombe à l'eau
Quelques mots sur ton clavier
C'est fini
C'est toute ta vie
Qui s'assombrit
Je l'ai vu dans ton regard
J'ai senti ton désespoir
A quoi bon
Faire semblant
D'y croire
Ne retiens pas tes larmes
Laisses aller ton chagrin
C'est une page qui se tourne
Et tu n'y peux rien
Ne retiens pas tes larmes
Pleurer ça fait du bien
Et si tu as de la peine
Tu sais que je t'aime
Je ne serais jamais loin
Tu t'accroches à notre passé
Comme si tout s'était figé
Aujourd'hui
Il faut s'aider
Abandonner
La douleur qui s'installe
Cette absence qui fait si mal
N'aie pas peur
Écoutes ton coeur
Ne retiens pas tes larmes
Laisse aller ton chagrin
Si tu as de la peine
Souviens-toi que je t'aime
Je ne serais jamais loin
ton petit Rock,

Déposé par colombine67 le 27/02/2017  
Négligé et affamé, ce chien, qui servait de « symbole de statut social », apprend enfin ce qu’est l’amour.
Dans certains pays, certaines races canines sont considérées comme des preuves de statut social, qui montrent le succès et la richesse de leurs maîtres. Bien que les amis des animaux aient tendance à considérer leurs chiens comme des membres de leur famille à part entière, ceux qui ont des « chiens trophées » s’y intéressent à peu près autant qu’à une œuvre d’art prestigieuse, ou à un sac à main de luxe.
C’était probablement le cas de Tintin, un pitbull secouru à Bali. En effet, en Indonésie, les pitbulls sont une race considérée comme une preuve de statut social, ou un trophée, plutôt que comme un membre de la famille qui a besoin d’amour et de soins.
Lorsque Tintin est tombé malade, ses maîtres l’ont amené chez le vétérinaire. On pourrait croire qu’ils ont fait ceci car ils s’inquiétaient pour sa santé… sauf qu’ils l’ont abandonné là. À son arrivée, le pitbull était en sous-poids. Et son nouveau foyer n’a fait qu’aggraver son état. Gardé dans une cage à la clinique vétérinaire, le pauvre toutou n’était quasiment pas soigné ou nourri par le vétérinaire.
Comme ses maîtres ne s’occupaient pas de lui et refusaient de payer pour sa santé, les vétérinaires n’avaient apparemment aucun intérêt pour ce chien. Est-ce que vous imaginez ? Un vétérinaire prêt à ignorer un pauvre animal en train de mourir de faim !
Heureusement, Tintin a fini par obtenir l’aide du Bali Dog Adoption and Rehabilitation Centre (BARC). Lorsque la directrice du Centre, Ebony Owens, a reçu un message Facebook d’un habitant du quartier ayant vu le chien affamé, elle a tout de suite su qu’elle devait intervenir au plus vite.
« Lorsque j’ai vu la photo de Tintin, j’ai su que BARC devait intervenir », explique-t-elle dans un article de The Dodo. « Nous devions intervenir au plus vite, car il ne lui restait pas longtemps à vivre. Nous ignorions alors ce qui n’allait pas chez lui – tout ce que nous pouvions faire, c’était garder espoir. »
Owens a aussitôt aidé le toutou en l’amenant chez un autre vétérinaire, où il a été réhydraté et a subi des examens, afin de voir s’il avait une raison médicale d’être aussi émacié.
« Vu son état, nous pensions qu’il avait peut-être une déficience rénale ou quelque chose de sérieux dans ce genre, mais visiblement, il ne souffrait que d’un parasite sanguin qu’il avait contracté au contact de tiques », explique Owens dans l’article. « Son problème principal, c’était qu’il n’avait pas assez à manger. »
Elle a alors expliqué à The Dodo que les chiens qui servent de « symbole de statut social » sont souvent victimes de mauvais traitements.
« Ici, on ne sait vraiment pas bien comment prendre soin de ces races occidentales, et généralement, les chiens finissent dans des cages jusqu’à la fin de leurs jours, sans être bien soignés… À Bali, on pense que les chiens doivent être gardés en cage, surtout les chiens « coûteux » qui ne servent qu’à montrer le statut social des familles aisées. Tintin était très probablement gardé dans une cage par son maître, et il ne pouvait probablement pas en sortir. »
Heureusement pour Tintin, c’est l’un de ces rares « chiens trophées » à avoir décroché une seconde chance de trouver le bonheur, et de découvrir ce qu’est la vraie vie : être en bonne santé, s’amuser, et être aimé.
En dépit de son passé difficile, ce pitbull optimiste adore les humains et aime jouer avec eux. Selon The Dodo, il vit actuellement une vie de rêve au Canggu Pet Resort de Bali, où de nombreux chiens du BARC peuvent rester en attendant de trouver une famille d’adoption.

Déposé par ovanek le 27/02/2017  
💖 💖
💖 💖 29 💖 💖
***** Mon Chien *****
Tu es arrivé un jour
Dehors il faisait déjà noir
Blotti au fond d’un panier
Encore tout effrayé
De ne plus sentir ta mère
Je t’ai pris contre moi
Tu tremblais encore d’effroi
Mon cœur s’est rempli d’amour
J’ai su que je t’aimerai toujours
Que tu allais être pour moi un être à part
Depuis ce jour tu ne me quittes plus
Ma solitude est révolue
Devant derrière ou à côté
Je me sens protégée
Tu n’es jamais bien loin
Çà fait des années
Que tu me suis comme mon ombre
Tu n’as plus la force de marcher
Dans tes yeux se profilent l’ombre
Du regret de me quitter
Je ne t’oublierai jamais
Tu as su réveiller mon cœur
Qui ne voulait plus aimer
Tu m’as donné tant d’amour
on se retrouvera un jour
**** Pensée ****
💖

Déposé par larrydoudou le 26/02/2017  
Les vies de chiens sont trop courtes....c'est leur seule faute, vraiment. Agnes Sligh Turnbull
1000 mercis et autant de bisous 😘 à ton adorable maman

Déposé par lolita75 le 26/02/2017  
J’ai écrit ton nom…
J’ai écrit ton nom sur le sable,
Mais la vague l’a effacé.
J’ai gravé ton nom sur un arbre,
Mais l’écorce est tombée.
J’ai incrusté ton nom dans le marbre,
Mais la pierre a cassé.
J’ai enfoui ton nom dans mon cœur,
Et le temps l’a gardé.

Déposé par colombine67 le 26/02/2017  
Une chienne sur le point d’être adoptée a refusé de laisser son meilleur ami derrière elle.
"Ils sont meilleurs amis pour la vie. À chaque fois qu'ils s'installent ensemble, Lucy donne quelques petits coups de langue sur le front de Sully, et il a vraiment l'air ravi."
Lucy et Sully sont particulièrement fidèles l’un à l’autre. Ils se sont rencontrés dans un refuge, et sont devenus les meilleurs amis du monde, finissant même ensemble dans un foyer d’accueil. Et quand quelqu’un a voulu adopter Lucy, il est devenu clair que ces deux-là étaient inséparables, alors la femme les a adoptés ensemble !
On ne connaît pas vraiment leur passé. Lucy, une chienne rousse, est arrivée au refuge âgée de quelques années ; Sully, lui, n’était qu’un petit chiot lorsqu’il est arrivé. Ils ont immédiatement sympathisé, et Lucy a adopté Sully comme s’il était son propre fils.
Il y a sept ans, Alaina Brinton a fait ses adieux à son chien âgé, et quelques mois plus tard, elle a été fin prête à ouvrir son cœur à un nouveau toutou. Lucy a alors attiré son attention, et elle a appelé le refuge, afin de la rencontrer.
« J’avais vu une photo de Lucy lors d’une visite à ma société animalière locale, et je savais qu’il fallait que je la rencontre », explique Brinton à The Dodo. « Mais lorsque j’ai appelé, on m’a dit qu’elle était placée en foyer d’accueil avec un autre chien, et qu’ils voulaient que je rencontre aussi ce meilleur ami. Je me suis dit que cela ne coûtait rien de les rencontrer tous les deux. »
Elle n’avait clairement pas prévu d’adopter deux chiens, mais elle a rapidement compris que Lucy et Sully étaient très proches, et qu’ils allaient être bouleversés s’ils étaient séparés. Mais ce n’était pas vraiment un problème, car après l’avoir rencontré, Brinton est aussi tombée sous le charme de Sully.
« Ce fut le coup de foudre immédiat. D’autant qu’il était évident que Sully comptait sur Lucy pour lui montrer ce qu’il fallait faire ou ne pas faire, et que je n’avais pas le courage de les séparer. »
À leur arrivée dans leur nouveau foyer, les deux chiens étaient nerveux, et ils se sont mutuellement rassurés afin de s’adapter à ce nouvel environnement.
« De la même manière qu’ils ont tendance à s’encourager mutuellement, ils se rassurent mutuellement », explique Brinton. « Ils se sont installés ensemble, et ont rapidement mis au point une nouvelle routine, comme des pros. C’était idéal, et je pense que la transition a été beaucoup plus simple pour eux, car ils étaient ensemble. »
Cela fait sept ans qu’ils ont été adoptés, et ils sont toujours aussi proches l’un de l’autre. Qu’ils jouent ensemble, qu’ils traînent ensemble, ou qu’ils dorment ensemble dans leur demeure du Kentucky, ces deux-là sont inséparables.
« Ils sont meilleurs amis pour la vie. À chaque fois qu’ils s’installent ensemble, Lucy donne quelques petits coups de langue sur le front de Sully, et il a vraiment l’air ravi. »
Le seul moment où ils ne sont pas ensemble, c’est quand ils se promènent dans le parc canin, et que Sully court dans tous les sens. Mais même dans cette situation, ils ne sont pas séparés plus de quelques minutes à la fois.
« Lorsqu’il se promène dans le parc canin, Sully revient régulièrement voir Lucy, toutes les deux minutes à peu près », explique Brinton. « Il vient lui dire bonjour, marche un peu avec elle, et puis il repart. Ça n’a pas l’air de la déranger. »
Récemment, Lucy s’est échappée et a été portée disparue. Heureusement, elle n’est pas partie très longtemps, et d’une manière assez amusante, elle est directement retournée au refuge ! Le plus bizarre, dans cette histoire, c’est que Sully ne l’a pas du tout suivi ! Comme quoi, visiblement, ils ne font pas vraiment TOUT ensemble.
merci également à vous

Déposé par colombine67 le 25/02/2017  
Prête-moi ta maison juste un instant
Je n'ai pas de voix pour t'appeler
Uniquement mes yeux qui te parlent en silence
Je ne sais travestir mes sentiments
Et ce que je ressens transparaît dans mon regard.
Moi aussi, j'ai été dans un petit ventre au chaud
Et je ne sais toujours pas pourquoi on m'a laissé
Je pense que Dieu m'a sauvé cette même après-midi
Quelqu'un m'a dit qu'ils ont tué ma mère
Je te promets d'être fidèle, de te protéger
Ne pas te déranger, me tenir à une certaine distance
Etre avec toi si tu as besoin de ma tendresse
Et rester tranquille, même si je meurs d'envie de te faire un bisou.
C'est peu ce que je demande... je ne demande rien
Un peu de nourriture, un peut d'affection de temps à autre,
Une petite couverture pour dormir au chaud
Autrement, ça ne fait rien, je reste ici
chez moi ...
Il n'y a pas de place pour le silence
ni pour des mains qui ne frappent pas
Je comprends ... tes raisons
Comprends ... mes manques
Je sais que tes raisons t'incommodent
Mais sais-tu que mes manques sont en train de me tuer???
Peut-être que tu tiens ma vie entre tes mains?
Je ne sais pas ce que me réserve aujourd'hui
La même faim... le même froid
Peut-être un coup? Ce que je ne peux par contre pas te garantir
C'est si demain tu auras la possibilité que tu as aujourd'hui de me recueillir
Sors-moi de la rue
Prête-moi ta maison, juste un instant ...

Déposé par lolita75 le 24/02/2017  
deux yeux qui me regardent
graines de sable d'une mer intérieure
ils me regardent comme la lune regarde la terre
ils me comblent et ma tristesse deviens rose
ils sont à toi ses yeux mon ange
C'est toi,
Mon chien!

Déposé par colombine67 le 24/02/2017  
Le BÂTARD et le CLOCHARD.
Je suis un beau « bâtard » qui fête ses deux ans,
Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps.
Je n’ai pas choisi, tout petit il m’a pris à ma mère,
Et depuis, je suis là, le compagnon de sa misère.
Tous les jours, tous les deux, on fait la manche,
Du matin du lundi, jusqu’au soir du Dimanche.
C’est pour quelques Euros, car il faut bien manger,
Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut l’avouer.
Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir,
Nous venons tard le matin, et repartons tôt le soir.
Elle est longue l’attente, aux pieds de tous ces gens,
Qui jettent un dur regard, à ces gueux, ces mendiants.
Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse,
Baissant les yeux, honteux, devant tant de détresse,
Condamnés que nous sommes à vivre de la quête,
Nous savons que pour nous ce n’est jamais la fête.
Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons,
D’un Amour sain, d’un Amour pur, de la passion.
Nous ne possédons rien, et ne sommes pas jaloux
De voir ce qui se passe, ici, partout autour de nous.
Il est un homme, je suis un chien, drôle de couple,
Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple,
Que pour ceux qui pensent au succès, et à la réussite,
Prêts à se battre ou se haïr… pour réussir plus vite.
Alors, gens de bonnes manières, responsables civils,
Qui faites les beaux jours des villages et des villes,
N’enlevez jamais à cet homme, nommé « Le Clochard »,
Ce vilain chien, son seul Ami, bien qu’il fût un «bâtard».




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ON AIR !
Daddy's recording!
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Our recording studio.
I miss him! I miss him!
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There is more space than in Arcachon.
OR? Only in Pyla!
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A wink to my Daddy
When he meets Mom? He was MNS. In Arcachon.
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The beach is shared !
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Miami Beach // The family beach.
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