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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERRock du Moulin de Labatut
Il est né le:17/09/2000
Il nous a quittés le:10/06/2013
45 bougies
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19907 Fleurs
3628 messages
Déposé par Biscuit le 16/12/2016l'animal, il ne vous abandonne jamais que vous soyez beau ou laid roi reine ou simple valet il sera toujours a vos cotés quand vos amis seront partis quand vous vous sentirez trahi le coeur vide plein de depit avec cette envie que tout soit fini il posera sa tete sur vos genoux il sera là tout près de vous avec son regard plein de douceur qui vous rechauffe le coeur en lui vous pourez avoir confiance il ne divulguera pas vos confidences il gardera vos plus lourds secrets et ne vous trahira jamais cet etre plus sincère que certain humain n'est autre qu'un chien mais chien ou chat ou autre peut importe avec tout se qu'il nous apporte partagera nos joies,nos soucis et nous aimera toute sa vie |
Déposé par colombine67 le 15/12/2016Si la note disait : « Ce n’est pas une note qui fait une musique » …il n’y aurait pas de symphonie. Si le mot disait : « Ce n’est pas un mot qui peut faire une page » …il n’y aurait pas de livre. Si la pierre disait : « Ce n’est pas une pierre qui peut monter un mur » …il n’y aurait pas de maison. Si la goutte d’eau disait : « Ce n’est pas une goutte d’eau qui peut faire une rivière » …il n’y aurait pas d’océan. Si le grain de blé disait : « Ce n’est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ » …il n’y aurait pas de moisson. Si l’homme disait : « Ce n’est pas un geste d’amour qui peut sauver l’humanité » …il n’y aurait jamais de justice et de paix, de dignité et de bonheur sur la terre des hommes. Comme la symphonie a besoin de chaque note, Comme le livre a besoin de chaque mot, Comme la maison a besoin de chaque pierre, Comme l’océan a besoin de chaque goutte d’eau, Comme la moisson a besoin de chaque grain de blé, L’humanité toute entière a besoin de toi, Là où tu es, Unique, Et donc irremplaçable.Michel QUOIST |
Déposé par Biscuit le 15/12/2016* * * * * * * * Une larme ... une larme coule sur ma joue en signe de ton absence absence souvent difficile depuis que tu n'es plus là. le destin nous avait réunis et nous étions devenus inséparables ce lien qui nous unit jamais ne se brisera et je garde précieusement tous ces merveilleux moments qu'on a partagés et jamais ils ne seront oublié tu as toujours été dans mon cœur et tu le restera à jamais ! |
Déposé par colombine67 le 14/12/2016Une légende raconte qu’au commencement du monde, quand Dieu décida de créer la femme, il trouva qu’il avait épuisé tous les matériaux solides dans l’homme et qu’il ne disposait plus de rien. Devant le dilemme et après une profonde méditation, voilà ce qu’il fit. Il prit la rondeur de la lune, les suaves courbes des vagues, la tendre adhérence du liseron, le tremblant mouvement des feuilles, la sveltesse du palmier, la teinte délicate des fleurs, l’amoureux regard du cerf, la joie du rayon du soleil et les gouttes des pleurs des nuages, l’inconstance du vent et la fidélité du chien, la timidité de la tourterelle et la vanité du paon, la suavité de la plume du cygne et la dureté du diamant, la douceur de la colombe et la cruauté du tigre, l’ardeur du feu et la froideur de la neige. Il mélange ces ingrédients si divers, forme la femme et la donna à l’homme. Une semaine après l’homme vint et lui dit : Seigneur, la créature que tu m’as donnée me rend malheureux, elle requiert toute mon attention, ne me laisse jamais seul, bavarde intensément, pleure sans motif, s’amuse à me faire souffrir et je viens te la rendre car JE NE PEUX PLUS VIVRE AVEC ELLE. Bien, répondit Dieu et il prit la femme. Une semaine après, l’homme revint et lui dit : Seigneur, je me sens très seul depuis que je t’ai rendu la créature que tu as faite pour moi, elle chantait et jouait à mon côté, elle me regardait avec tendresse et son regard était une caresse, elle riait et son rire était musique, elle était belle à voir et douce au toucher. Rends-la-moi car JE NE PEUX PAS VIVRE SANS ELLE. |
Déposé par poutounou le 13/12/2016Quelle belle histoire ! Elle nous démontre que tout est possible avec "un peu" d'Amour... * Arrivé au refuge « Des Animaux et des Hommes » à Bouguenais (44) en septembre 2009, Saxo, un berger allemand de 8 ans, n’a pas été gâté par la vie : « Il n’était plus nourri ni abreuvé depuis des semaines, témoigne Yannick Ferrand, présidente de cette structure soutenue par la Fondation 30 Millions d’Amis.Nous n’avons malheureusement pas pu sauver la femelle qui vivait avec lui ». En revanche, Saxo, dont la garde est confiée au refuge, s’en sort. Mais ses séquelles seront nombreuses : de graves lésions sur la peau, et une profonde apathie qui décourage les familles venues pour adopter... « Il était morose, agressif avec les autres animaux. Et avec les humains, il devenait de plus en plus indifférent. Nous étions très inquiets pour son équilibre psychique », poursuit Yannick Ferrand. L’équipe du refuge lance cependant un SOS via son site Internet. Et c’est Sandrine, une habitante de l’île d’Yeu (85), qui va sortir l’animal de son mal-être. * En janvier 2011, celle qui a été touchée par cet appel au secours arrive à Bouguenais pour adopter Saxo : « Le trajet du retour l’a beaucoup fatigué, et il a passé les trois premiers jours à dormir sur son coussin », raconte cette jeune femme amoureuse des animaux. Peu à peu, Saxo va trouver sa place et « adopter » à son tour sa nouvelle maîtresse : « Il me suit partout, un vrai pot-de-colle, indique Sandrine. Il adore se promener, et dort dans notre chambre… par terre, mais toujours de mon côté ! » dit-elle en riant. * La belle histoire ne s’arrête pas là. Alors que quelques mois plus tard, elle amène Saxo dans son ancien refuge afin de le montrer à toute l’équipe, Sandrine remarque un étrange manège : Saxo s’approche de l’un des box et lèche une petite boule de poils noire à travers le grillage. « Il est si peu démonstratif que cela a surpris tout le monde » se souvient-elle. Lorsque Petit Théo - un teckel à poils durs âgé de 4 mois - est mis en liberté, il se précipite dans les pattes de Saxo qui... ne dit rien, alors qu’il ne supportait pas les autres chiens quelques mois auparavant. Sandrine comprend vite que ces deux-là se comprennent et ne voudra plus les séparer. * Aujourd’hui, Saxo et Petit Théo coulent des jours heureux sur l’île d’Yeu : « Saxo se considère comme l’aîné et prend son rôle très à cœur, précise sa maîtresse. Il reste casanier et pépère, mais il a retrouvé sa joie de vivre. » Et s’il n’est toujours pas un monstre d’affection, l’animal va néanmoins chercher quelques caresses... « Mais j’ai l’impression qu’il fait ça pour me faire plaisir », s’amuse Sandrine. Le berger allemand, qui souffre d’arthrose, va régulièrement chez un naturopathe pour être soulagé de ses douleurs. * La Fondation 30 Millions d’Amis salue la seconde chance qui a été offerte à Saxo. Une belle histoire qui montre une fois de plus qu’avec de la patience et beaucoup d’amour, tout est possible. « Les animaux des refuges nous rendent toujours au centuple ce qu’on leur donne », conclut Sandrine. |
Déposé par colombine67 le 13/12/2016Je ne veux pas savoir ce que tu fais pour gagner ta vie. Je veux savoir ce qui te passionne et si tu as le courage de réaliser tes rêves, Je ne veux pas savoir quel âge tu as. Je veux savoir si tu peux tout risquer pour l’amour, pour tes rêves, pour l’aventure de la vie. Je ne veux pas savoir si tu dis la vérité ou non. Je veux savoir si tu peux supporter le poids d’une accusation et ne pas trahir ton âme, si tu es fidèle et si je peux ainsi mettre ma confiance en toi. Je ne veux pas savoir où tu habites ni combien d’argent tu gagnes. Je veux savoir si tu peux te relever après avoir connu le désespoir, courbaturé et meurtri jusqu’aux os , et si tu peux ensuite aider tes enfants. Je ne veux pas savoir qui tu es ni d’où tu viens. Je veux savoir si tu peux te tenir au milieu du feu avec moi, sans reculer. Je ne veux pas connaître l’objet de tes études. Je veux savoir ce qui t’a permis de continuer quand tout allait mal. Je veux savoir si tu peux être seul avec toi-même, et si tu apprécies ta compagnie dans les moments de solitude. Auteur inconnu |
Déposé par colombine67 le 12/12/2016 Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Accorde-moi seulement quelques instants Accepte ce que je vis, ce que je sens, Sans réticence, sans jugement. Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Ne me bombarde pas de conseils et d’idées Ne te crois pas obligé de règler mes difficultés Manquerais-tu de confiance en mes capacités? Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler N’essaie pas de me distraire ou de m’amuser Je croirais que tu ne comprends pas L’importance de ce que je vis en moi Écoute-moi, s »il te plaît, j’ai besoin de parler Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas Voudrais-tu que ta moralité Me fasse crouler de culpabilité Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Ne te crois pas non plus obligé d’approuver Si j’ai besoin de me raconter C’est simplement pour être libéré Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler N’interprète pas et n’essaie pas d’analyser Je me sentirais incompris et manipulé Et je ne pourrais plus rien te communiquer Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Ne m’interromps pas pour me questionner N’essaie pas de forcer mon domaine caché Je sais jusqu’où je peux et veux aller Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler Respecte les silence qui me font cheminer Gardes-toi bien de les briser C’est par eux bien souvent que je suis éclairé Alors maintenant que tu m’as bien écouté Je t’en prie, tu peux parler Avec tendresse et disponibilité À mon tour, je t’écouterai |
Déposé par bouledogue le 11/12/2016Il y a des jours comme ça… * Il y a des jours comme ça, Des jours où ça ne va pas. Des jours où on aimerait Serrer notre Ange contre soi. Lui murmurer des mots doux, Lui faire des câlinous tout partout Il y a des jours comme ça… Depuis qu’il n’est plus là. bonne semaine ...amitie |
Déposé par Biscuit le 11/12/2016Souhaiter un joyeux Noël C’est donner à la pelle Pas rien qu’à sa famille Mais aux gens sans famille Oublier les discordes Et tendre une jolie corde A ceux qui n’ont plus rien Qu’on traite moins que rien Apporter des mots doux Qui apaisent de tout Et partager surtout Un endroit chaud et doux Souhaiter un beau Noël C’est mettre une chandelle Qui fait qu’on se rappelle Que la vie doit être belle Pour tous les êtres humains Qui sont dans le chagrin. Amitiés à Maryem,Eric et Maël,mercipour toutes les fleurs |
Déposé par colombine67 le 11/12/2016Comme un arbre, l’amitié grandit au fil des ans. Ses racines prennent de la vigueur et lui permettent de devenir grande et forte. C’est de cette façon que la nôtre s’est développée, et malgré nos hauts et nos bas, nous avons vu grandir ce partage de notre quotidien. Aujourd’hui, pour s’apercevoir que l’autre a besoin d’un peu d’attention ou simplement de notre présence, nul n’est besoin de se parler. Je remercie la vie de t’avoir mis sur ma route; vraiment, ce fut l’un des plus beaux cadeaux qu’elle m’a fait. Tout comme moi, tu es un arbre qui a essuyé bien des tempêtes et des ouragans. Contre vents et marées, nous avons toujours su garder le moral, apprécier le retour du soleil et régénérer nos forces dans les moments d’accalmie. Le plus merveilleux pour moi est de voir que nous sommes encore côte à côte. Comme deux vieux arbres, nous sommes toujours empreints de la même vigueur et du même besoin de survie qui nous ont permis de rester debout jusqu’à ce jour. La vie nous réserve sûrement encore bien des surprises, mais rien ne pourra détruire ce merveilleux bien qui nous unit. Continuons à prendre soin des racines de notre AMITIÉ, de façon à ce que nous puissions encore longtemps partager notre quotidien et apprécier chaque jour que nous vivons. (Andrée Lapierre) |
Déposé par colombine67 le 10/12/2016Le bonheur c’est… : de savoir s’émerveiller peu importe son âge de rire de bon coeur en agréable compagnie de savoir dire « je t’aime » de se planifier des moments de tendresse de savoir relever des défis, même si cela fait peur d’avoir assez de grandeur d’âme pour pardonner de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement de regarder un bon film et de laisser libre cours à ses sentiments de regarder ce que j’ai accompli et non ce qu’il me reste à faire d’être maître de soi et non des autres de posséder l’humour nécessaire pour surmonter les difficultés de la vie de reconnaître que le négatif existe, mais de décider de ne pas lui ouvrir la porte. Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie, N’oublie pas de le cultiver Pour qu’Il reste longtemps. Anonyme |
Déposé par colombine67 le 09/12/2016Que si un rien fait souffrir un rien aussi fait plaisir… Que tu peux être semeur d’optimisme, de courage, de confiance… Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres… que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable… Que ton sourire non seulement t’enjolive, mais qu’il embellit l’existence de ceux qui t’approchent… Que tu as des mains pour donner et un coeur pour pardonner… Thomas Merton |
Déposé par poutounou le 08/12/2016Quelle belle initiative ! * Que ce soit en Indonésie ou en Éthiopie, ce sont des ânes et des chevaux qui apportent la lecture aux enfants qui n’y ont pas facilement accès. Des initiatives humanitaires dont l’animal est la pierre angulaire. * Ridwan Sururi vit à Java, en Indonésie, où il s’occupe de chevaux. Mais depuis un an, trois jours par semaine, il harnache l’un d’entre eux pour aller à la rencontre des enfants de l’île et leur apporter des bandes dessinées et des livres d’histoire afin de contribuer, à sa mesure, à l’alphabétisation et à l’accès à la culture. * Cette idée de bibliothèque équestre, baptisée Kuda Pustaka, est née dans la tête d’un ami de Ridwan qui s’est chargé de lui fournir les livres, issus pour beaucoup de dons. Un cheval, des livres… il n’en faut pas plus pour que les enfants de villages isolés attendent désormais avec impatience l’arrivée de cette équipée insolite. Ridwan et Luna, l’un des chevaux qui part à la rencontre des 120 élèves des écoles de l’île, emportent aussi dans leurs paniers des livres pour les adultes qui n’ont pas tardé à exprimer leur envie d’être inclus dans la boucle. Mais leurs choix se portent plus sur des manuels pour cultiver les plantes ou des guides pratiques. * Une initiative similaire existe depuis 2008 en Ethiopie où ce sont des ânes qui tirent une charrette chargée de livres. Yohannes Gebregiorgis, un sexagénaire, s’est engagé dans cette mission d’alphabétisation des habitants de sa région. Aux commandes de sa bibliothèque mobile tirée par deux ânes, il relie deux villages auxquels il apporte livres de mathématiques, de sciences, de contes et d’histoires pour enfants. Lorsqu’elle s’arrête au cœur du village, la carriole est aussitôt entourée d’enfants mais aussi d’adultes qui viennent avec leurs chaises pour assister au spectacle de marionnettes qui participe, à sa manière, à la transmission des savoirs. Ce projet de bibliothèque hippomobile est financé par Plan International, une association humanitaire qui s’engage dans les programmes d’alphabétisation des populations. |
Déposé par colombine67 le 08/12/2016Les rêves sont des désirs difficilement accessibles. Il faut travailler dur pour les réaliser, et on ne sait jamais quand on atteindra le but fixé. Persévérez, n’abandonnez pas! Et surtout… croyez toujours en vos capacités. Car en vous se cache un être unique et merveilleux qui a le droit de réussir quelque soit votre but, s’il est important pour vous et s’il vous rend heureux, vous avez le droit de réussir à l’atteindre. Auteur: inconnu |
Déposé par Biscuit le 07/12/2016L’amitié c’est la banque de toutes les tendresses, C’est une arme pour tous les combats, Ça réchauffe et ça donne du courage, Et ça n’a qu’un slogan : On partage. L’amitié est comme une fleur, Il faut en prendre soin. L’amitié a une clé de chaque place, A toi de la trouver, Certaines sont cassables…… Mais une amitié fidèle ne peut pas se briser. L’amitié c’est une écoute quand le cœur est en déroute, Qui jamais ne se permet de juger, ni de peiner, Elle peut tout partager de nos joies, de nos secrets, Que ce soit la nuit, le jour elle vole à notre secours, Forte comme l’océan, L’amitié c’est de l’or que l’on garde comme un trésor. |
Déposé par colombine67 le 07/12/2016 La véritable amitié est pure. Elle ne recherche aucune faveur en retour. Elle élève celui qui la donne. La véritable amitié est généreuse. Elle est plus forte que tous les préjugés. Elle anoblit celui qui la donne. La véritable amitié est fidèle. Elle n’est pas altérée par le temps. Elle honore celui qui la donne. La véritable amitié est tenace. Elle est faite de loyauté et de franchise. Elle grandit celui qui la donne. La véritable amitié est magnanime. Elle ne pose aucune condition. Elle embellit celui qui la donne. La véritable amitié est absolue. Elle n’est jamais donnée par miettes. Elle fait honneur à celui qui la donne. La véritable amitié est spontanée. Elle ne fait l’objet d’aucun marchandage. Elle récompense celui qui la donne. La véritable amitié est sincère. Elle ne pose pas de conditions. Elle enrichit celui qui la donne. Henri de Lacordaire, (1802-1861) |
Déposé par colombine67 le 06/12/2016Le petit Prince (…) Qu’est-ce que signifie « apprivoiser »? Demande le petit prince - C’est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie « créer des liens… » - Créer des liens ? - Bien sûr, dit le renard. Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n’ai pas besoin de toi. Et tu n’as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde… - Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur… je crois qu’elle m’a apprivoisé… - Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m’ennuie donc un peu. Mais, si tu m’apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée… Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince: - S’il te plaît… apprivoise-moi ! dit-il. - Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n’ai pas beaucoup de temps. J’ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître. - On ne connaît que les choses que l’on apprivoise, dit le renard. Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi ! - Que faut-il faire? dit le petit prince. - Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t’assoiras d’abord un peu loin de moi, comme ça, dans l’herbe. Je te regarderai du coin de l’œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t’asseoir un peu plus près… Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l’heure du départ fut proche: - Ah! dit le renard… Je pleurerai. - C’est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t’apprivoise… - Bien sûr, dit le renard. - Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince. - Bien sûr, dit le renard. Puis il ajouta: - Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d’un secret. Le petit prince s’en fut revoir les roses: - Vous n’êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n’êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n’avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n’était qu’un renard semblable à cent mille autres. Mais j’en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde. Et les roses étaient bien gênées. - Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu’elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c’est elle que j’ai arrosée. Puisque c’est elle que j’ai mise sous globe. Puisque c’est elle que j’ai abritée par le paravent. Puisque c’est elle dont j’ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c’est elle que j’ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c’est ma rose. Et il revint vers le renard: - Adieu, dit-il… - Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. - C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante. (…) |
Déposé par colombine67 le 05/12/2016Juste pour aujourd’hui : …souris à un étranger …écoute le coeur de quelqu’un …laisse tomber un pièce de monnaie où un enfant pourra la trouver …apprend quelque chose de nouveau et enseigne-le ensuite à quelqu’un …dis à quelqu’un qu’il compte pour toi …donne une étreinte à une personne que tu aimes …ne garde pas rancune …n’aie pas peur de dire « je suis désolé » …regarde un enfant dans les yeux et dis-lui combien il est grand …regarde derrière le visage de quelqu’un, jusque dans son cœur …fais une promesse et tiens-là …montre de la gentillesse envers un animal …tiens toi debout face à tes convictions …sens la pluie, sens la brise, écoute le vent …utilises tous tes sens au maximum. …dis bonjour à quelqu’un en premier …fais rire ou sourire quelqu’un …rends service à quelqu’un |
Déposé par ovanek le 04/12/2016💖 💖 💖 22 💖 💖 **** Un Jour **** de nos promenades de nos dimanches de baignades de nos matins câlins il ne me reste que du chagrin à toi, qui près de moi tous les jours jamais n'as économisé ton amour je t'aimerais toujours pour tout cet amour donné pour tous ces moments passés à jamais je t'oublierai tu me suivais comme mon ombre toujours à mes cotés dans tes yeux se profilait l'ombre du regret de me quitter tu es parti tout doucement tu es parti en me regardant tu me manques tellement tous les jours je pense à toi un jour on se retrouvera de nouveau je serais près de toi **** Pensée **** 💖 |
Déposé par poutounou le 04/12/2016Ca fait énormément de bien de pétrir les papattes du chat, comme ça fait énormément de bien de caresser son chien ou n'importe quel autre animal...Alors "pétrissons et caressons" ! * Charlotte a d'abord perdu son mari, « parti voir ailleurs », puis un emploi valorisant, et enfin sa santé. * Ayant perdu le sommeil et l'appétit, elle fait l'erreur d'aller consulter un psychiatre, qui croit détecter en elle des troubles bipolaires. C'est parti pour un « rallye médical » : un médicament pour l'humeur, un autre contre l'anxiété, un autre pour le sommeil. * Résultat : plus cinq kilos, des migraines, des nausées, un épuisement permanent. * Les médecins y voient les effets du stress, et renforcent le traitement. Puis un jour, suite à une émission de télé, elle ressent le besoin de la compagnie d'un chat. * Sa première visite dans un refuge est la bonne. Elle revient avec un gros rouquin de trois ans, laissé pour compte pour cause de départ à l'étranger. * « À peine arrivé, il a sauté sur le lit et s'est mis à ronronner. C'était le début d'une nouvelle vie, avec quelqu'un avec qui partager caresses, regards, instants de discussion, et des nuits, des vraies nuits entières de vrai repos bercé par son ronronnement et le pétrissage de ses papattes… ». * À partir de ce moment, Charlotte peut diminuer les doses de ses médicaments, elle émerge la journée, et sa vie sociale prend un nouveau tour. Jusqu'à ce nouvel emploi qui signe sa guérison. |
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