Merci à ta petite maman ma douce amie pour ses pensées en ce jour d'anniversaire de ma petite titounette amusez-vous bien et surtout ne faites pas trop les gourmands gros câlin gros bisous à vous deux.

L’Ours et l’Amateur des jardins est la dixième fable du livre VIII de Jean de La Fontaine,
situé dans le deuxième recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678.
L'ours et l'amateur des jardins
Poète : Jean de La Fontaine (1621-1695)
Recueil : Les fables du livre VIII (1678).
-----
Certain Ours montagnard, ours à demi léché,
Confiné par le Sort dans un bois solitaire,
Nouveau Bellérophon, vivait seul et caché.
Il fût devenu fou : la raison d'ordinaire
N'habite pas longtemps chez les gens séquestrés.
Il est bon de parler, et meilleur de se taire ;
Mais tous deux sont mauvais alors qu'ils sont outrés.
Nul animal n'avait affaire
Dans les lieux que l'Ours habitait ;
Si bien que tout Ours qu'il était,
Il vint à s'ennuyer de cette triste vie.
Pendant qu'il se livrait à la mélancolie,
Non loin de là certain Vieillard
S'ennuyait aussi de sa part.
Il aimait les jardins, était prêtre de Flore,
Il l'était de Pomone encore.
Ces deux emplois sont beaux ; mais je voudrais parmi
Quelque doux et discret ami.
Les jardins parlent peu, si ce n'est dans mon livre :
De façon que, lassé de vivre
Avec des gens muets, notre homme, un beau matin,
Va chercher compagnie, et se met en campagne.
L'Ours, porté d'un même dessein,
Venait de quitter sa montagne.
Tous deux, par un cas surprenant,
Se rencontrent en un tournant.
L'Homme eut peur : mais comment esquiver ; et que faire ?
Se tirer en Gascon d'une semblable affaire
Est le mieux : il sut donc dissimuler sa peur.
L'Ours, très mauvais complimenteur,
Lui dit : « Viens-t'en me voir. » L'autre reprit : « Seigneur,
Vous voyez mon logis ; si vous me vouliez faire
Tant d'honneur que d'y prendre un champêtre repas,
J'ai des fruits, j'ai du lait : ce n'est peut-être pas
De nos seigneurs les Ours le manger ordinaire ;
Mais j'offre ce que j'ai. » L'Ours l'accepte et d'aller.
Les voilà bons amis avant que d'arriver ;
Arrivés, les voilà se trouvant bien ensemble :
Et bien qu'on soit, à ce qu'il semble,
Beaucoup mieux seul qu'avec des sots,
Comme l'Ours en un jour ne disait pas deux mots,
L'Homme pouvait sans bruit vaquer à son ouvrage.
L'Ours allait à la chasse, apportait du gibier ;
Faisait son principal métier
D'être bon émoucheur ; écartait du visage
De son ami dormant ce parasite ailé,
Que nous avons mouche appelé.
Un jour que le Vieillard dormait d'un profond somme,
Sur le bout de son nez une allant se placer
Mit l'Ours au désespoir ; il eut beau la chasser.
« Je t'attraperai bien, dit-il, et voici comme. »
Aussitôt fait que dit : le fidèle émoucheur
Vous empoigne un pavé, le lance avec raideur,
Casse la tête à l'Homme en écrasant la mouche ;
Et non moins bon archer que mauvais raisonneur,
Raide mort étendu sur la place il le couche.
Rien n'est si dangereux qu'un ignorant ami ;
Mieux vaudrait un sage ennemi.
----
Jean de La Fontaine.
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L’Ours et l’Amateur des jardins est la dixième fable du livre VIII de Jean de La Fontaine,
situé dans le deuxième recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678.
L'ours et l'amateur des jardins
Poète : Jean de La Fontaine (1621-1695)
Recueil : Les fables du livre VIII (1678).
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Certain Ours montagnard, ours à demi léché,
Confiné par le Sort dans un bois solitaire,
Nouveau Bellérophon, vivait seul et caché.
Il fût devenu fou : la raison d'ordinaire
N'habite pas longtemps chez les gens séquestrés.
Il est bon de parler, et meilleur de se taire ;
Mais tous deux sont mauvais alors qu'ils sont outrés.
Nul animal n'avait affaire
Dans les lieux que l'Ours habitait ;
Si bien que tout Ours qu'il était,
Il vint à s'ennuyer de cette triste vie.
Pendant qu'il se livrait à la mélancolie,
Non loin de là certain Vieillard
S'ennuyait aussi de sa part.
Il aimait les jardins, était prêtre de Flore,
Il l'était de Pomone encore.
Ces deux emplois sont beaux ; mais je voudrais parmi
Quelque doux et discret ami.
Les jardins parlent peu, si ce n'est dans mon livre :
De façon que, lassé de vivre
Avec des gens muets, notre homme, un beau matin,
Va chercher compagnie, et se met en campagne.
L'Ours, porté d'un même dessein,
Venait de quitter sa montagne.
Tous deux, par un cas surprenant,
Se rencontrent en un tournant.
L'Homme eut peur : mais comment esquiver ; et que faire ?
Se tirer en Gascon d'une semblable affaire
Est le mieux : il sut donc dissimuler sa peur.
L'Ours, très mauvais complimenteur,
Lui dit : « Viens-t'en me voir. » L'autre reprit : « Seigneur,
Vous voyez mon logis ; si vous me vouliez faire
Tant d'honneur que d'y prendre un champêtre repas,
J'ai des fruits, j'ai du lait : ce n'est peut-être pas
De nos seigneurs les Ours le manger ordinaire ;
Mais j'offre ce que j'ai. » L'Ours l'accepte et d'aller.
Les voilà bons amis avant que d'arriver ;
Arrivés, les voilà se trouvant bien ensemble :
Et bien qu'on soit, à ce qu'il semble,
Beaucoup mieux seul qu'avec des sots,
Comme l'Ours en un jour ne disait pas deux mots,
L'Homme pouvait sans bruit vaquer à son ouvrage.
L'Ours allait à la chasse, apportait du gibier ;
Faisait son principal métier
D'être bon émoucheur ; écartait du visage
De son ami dormant ce parasite ailé,
Que nous avons mouche appelé.
Un jour que le Vieillard dormait d'un profond somme,
Sur le bout de son nez une allant se placer
Mit l'Ours au désespoir ; il eut beau la chasser.
« Je t'attraperai bien, dit-il, et voici comme. »
Aussitôt fait que dit : le fidèle émoucheur
Vous empoigne un pavé, le lance avec raideur,
Casse la tête à l'Homme en écrasant la mouche ;
Et non moins bon archer que mauvais raisonneur,
Raide mort étendu sur la place il le couche.
Rien n'est si dangereux qu'un ignorant ami ;
Mieux vaudrait un sage ennemi.
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Jean de La Fontaine.
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TOI QUI ABANDONNES...PERSONNE NE TE PARDONNE...
Vois son regard
Ses yeux hagards
Celui que tu abandonnes
C’est son cœur que tu bâillonnes
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Il ne sera plus jamais pareil
Il ne sentira plus le soleil
Même quand il se lèvera
Ce n’est pas pour lui que ce sera
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Car il n’aura plus tes bras
De mal d’amour il crèvera
Peut être il ne s’en remettra pas
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Toi qui l’abandonnes
Tu n’es plus un homme
Tu es un lâche
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Ton cœur fait tâche
Lui jamais il ne t’oubliera
Et ce maudit jour ne le lâchera
Son cœur est en morceaux
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Regarde ses yeux vitreux
La peine l’a pris d’assaut
Comme il est malheureux
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Toi tu n’as pas de conscience
Pour ton âme quelle déchéance
Lui il est plus humain que toi
Ce qui lui a fait du bien il ne l’oublie pas
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Il pleure sur la perte de tout ça
Lui qui était ton roi
Il se sent misérable
Son sort n’est pas enviable
Il subit ton forfait inavouable
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Son cœur n’est qu’une plaie
Il ne sait plus où il est
Sans foyer sans amour
Sans avenir pour toujours
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
C’est ce qu’il pense sur le moment
Car lui il vit dans l’instant
Il n’oublie rien d’avant
Mais il vit fortement ce moment
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Y aura t il une âme charitable
Sensible à cet être pitoyable
Qui saura lui porter une main secourable
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Comment rester insensible à tant de misère
À l’instant on ne sent pas plus malheureux sur terre
On a envie de bousculer ce qui semble irrémédiable
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
On se sent l’âme serviable
On a envie de faire oublier le pire
De redonner envie de vivre
De revoir ces yeux briller
D’y revoir l’amour flamboyer
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
On a envie de réparer
Les outrages subis
Les méchancetés
Les trahisons
L’abandon
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Alors toi le lâche
L’égoïste le sans grade
Tu n’as aucun excuse
L’amour te récuse
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Il te dit coupable
D’un crime abominable
Donner de l’espoir
Et commettre l’acte qui dégrade
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Il t’oubliera toi l’infâme
Car il recevra tant de caresses
De douceur de tendresse
Qu’il se reconstruira
Et pour finir il t’oubliera
⭐════════ ✰ ✰ ✰ ✰🌸 ✰ ✰ ✰ ✰ ════════⭐
Plus jamais tu n’existeras
Aux yeux de tous déjà
Et aux siens surtout tu verras
Parce que lui l’amour vrai il le reconnaîtra
Il y plongera et il renaîtra…
⭐✰🌸✰⭐
Sandrine Coudert

Dans le calme du soir, quand les ombres se faufilent doucement
Un chagrin d'amour remue en silence, où les souvenirs pleurent doucement
Vos pattes dansaient autrefois en plein jour, maintenant elles sont des échos dans le passé
Un amour si vrai et éphémère, mais si magnifiquement inébranlable
ღ🧡¸¸.•*¨*🦋•*¨*ღ🧡Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒღ🦋ღƸ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒღ🧡¸¸.•*¨*•ღ🧡¸¸.•*¨*🦋.•*¨*•ღ🧡
Le monde était plus brillant avec toi, un ami loyal si cher
Tes yeux tenaient une bonté sans limites, et ton aboiement chassait ma peur
Maintenant l'espace vide à côté de moi ressemble à une nuit sans fin
Où les échos de votre présence s'estompent dans la lumière qui s'atténue
ღ🧡¸¸.•*¨*🦋•*¨*ღ🧡Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒღ🦋ღƸ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒღ🧡¸¸.•*¨*•ღ🧡¸¸.•*¨*🦋.•*¨*•ღ🧡
Chaque coin renferme un murmure de la joie que tu apportais
La douce touche de fourrure et le son du printemps ludique
Pourtant le temps a pris vite, et les ombres vous serrent fort
Dans un royaume où la douleur est lointaine et où votre âme est baignée de lumière
ღ🧡¸¸.•*¨*🦋•*¨*ღ🧡Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒღ🦋ღƸ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒღ🧡¸¸.•*¨*•ღ🧡¸¸.•*¨*🦋.•*¨*•ღ🧡
Adieu mon fidèle compagnon alors que les étoiles commencent à briller
Vous avez voyagé vers un endroit où il n'y a plus de chagrin ni de rêve
Bien que mon cœur souffre férocement, et que les larmes coulent comme la pluie
Je chérirai tous nos moments, à travers les rires et la douleur
ღ🧡¸¸.•*¨*🦋•*¨*ღ🧡Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒღ🦋ღƸ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒღ🧡¸¸.•*¨*•ღ🧡¸¸.•*¨*🦋.•*¨*•ღ🧡
Repose-toi maintenant, doux compagnon, dans la paix que tu mérites
Ta mémoire restera avec moi, dans chaque courbe et chaque courbe
Bien que nous soyons séparés par les ténèbres, ton esprit ne se séparera pas
Car tu vivras éternellement dans le calme de mon cœur

J'OUBLIE... QUAND...
*
J'oublie mes migraines...
Quand tu déposes une tendre léchouille sur mon front.
*
J'oublie mes peines...
Quand de ta patte, tu effleures ma joue.
*
J'oublie mes problèmes...
Quand tu te couches tout contre moi.
*
J'oublie ma douleur...
Quand tu poses ta tête contre la mienne.
*
Mais jamais JE N'OUBLIE...
Quand tu me regardes avec les yeux de l’Amour…
*
JE T'AIME

Le petit cheval       Paroles:  Paul Fort - musique: Georges Brassens
------
Le petit cheval dans le mauvais temps
Qu'il avait donc du courage
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière, tous derrière
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière et lui devant
---
Il n'y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage
Il n'y avait jamais de printemps
Ni derrière, ni derrière
Il n'y avait jamais de printemps
Ni derrière, ni devant
---
Mais toujours il était content
Menant les gars du village
A travers la pluie noire des champs
Tous derrière, tous derrière
A travers la pluie noire des champs
Tout derrière et lui devant
---
Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage
C'est alors qu'il était content
Tous derrière, tous derrière
C'est alors qu'il était content
Tous derrière et lui devant
---
Mais un jour dans la mauvais temps
Un jour qu'il était si sage
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière, tous derrière
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière et lui devant
---
Il est mort sans voir le beau temps
Qu'il avait donc le courage
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni derrière
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni devant
----

Le petit cheval       Paroles:  Paul Fort - musique: Georges Brassens
------
Le petit cheval dans le mauvais temps
Qu'il avait donc du courage
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière, tous derrière
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière et lui devant
---
Il n'y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage
Il n'y avait jamais de printemps
Ni derrière, ni derrière
Il n'y avait jamais de printemps
Ni derrière, ni devant
---
Mais toujours il était content
Menant les gars du village
A travers la pluie noire des champs
Tous derrière, tous derrière
A travers la pluie noire des champs
Tout derrière et lui devant
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Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage
C'est alors qu'il était content
Tous derrière, tous derrière
C'est alors qu'il était content
Tous derrière et lui devant
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Mais un jour dans la mauvais temps
Un jour qu'il était si sage
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière, tous derrière
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière et lui devant
---
Il est mort sans voir le beau temps
Qu'il avait donc le courage
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni derrière
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni devant
----

Bonne nuit, bel, je te souhaite des rêves pleins d'étoiles et de magie ! Si tu pars à l'aventure dans tes rêves, fais attention à ne pas trop te fatiguer ! Tu peux dormir tranquillement, la lune te protège et les fées veillent sur toi. Bonne nuit, bel ange.

Peu importe combien je pleure, tu ne reviendras pas
Pour que cette tristesse dans tes yeux ne se perde plus
Que je regarderai toujours le ciel
je cherche un signe qui ne viendra pas
💙┌───── •✧✧• ─────┐🤍💦🤍┌───── •✧✧• ─────┐💙
Que jusqu'à mon dernier souffle
J'aurai toujours ce vide dans ma poitrine que personne ne comblera
Pour que tout le monde puisse t'oublier mais je ne le ferai jamais
Combien de fois je me demanderai pourquoi tu as dû partir et il n'y aura jamais de réponse
Beaucoup me diront que tu cesses de souffrir avec le temps
💙┌───── •✧✧• ─────┐🤍💦🤍┌───── •✧✧• ─────┐💙
Mais pour moi cette douleur continuera comme au premier instant de ton départ
Que chacun continuera sa vie, comme si de rien n’était, alors que la mienne a changé totalement et radicalement
Ma force réside dans le fait de penser que chaque jour qui passe est un jour de moins pour te retrouver
Et que j’ai appris à sourire, même lorsqu’une larme apparaît dans mes yeux prête à couler
Je ne te regarderai plus comme avant, et tes aboiements et tes regards tendres me manqueront

J'aimerais que le Rainbow Bridge ait des heures de visite
Un endroit où l'on pourrait se retrouver, parmi les fleurs
Pour voir leurs visages, entendre leurs aboiements ou ronronner
Encore une fois, pour sentir leur fourrure
❉🌸•════•💗🤍💗•════•❉🌸
Oh, comme j'ai envie de les tenir près de moi
Pour se remémorer, partager une dose aimante
De câlins et de bisous, de moments si chers
Apporter du réconfort à ce cœur de peur
❉🌸•════•💗🤍💗•════•❉🌸
Car ils nous ont quittés trop tôt, sur des ailes de grâce
Dans un royaume où le temps et l'espace s'embrassent
Mais dans mes rêves, ils sont toujours près
Chuchoter doucement, calmer ma peur
❉🌸•════•💗🤍💗•════•❉🌸
J'imagine un pont baigné dans la lumière céleste
Là où les souvenirs fleurissent, toujours brillants
Et même si je ne peux pas toucher ou voir
Leur amour m'entoure et me réconforte
❉🌸•════•💗🤍💗•════•❉🌸
Donc jusqu'à ce jour nous nous réunissons une fois de plus
Au-delà du voile, sur cette rive lointaine
Je les tiendrai près de mes pensées et de mes prières
Savoir que l'amour dure, au-delà de tout désespoir

Adieu ! mot qu'une larme humecte sur la lèvre ;
Mot qui finit la joie et qui tranche l'amour ;
Mot par qui le départ de délices nous sèvre ;
Mot que l'éternité doit effacer un jour !
Adieu !.... Je t'ai souvent prononcé dans ma vie,
Sans comprendre, en quittant les êtres que j'aimais,
Ce que tu contenais de tristesse et de lie,
Quand l'homme dit : "Retour !" et que Dieu dit : "Jamais !"
Mais aujourd'hui je sens que ma bouche prononce
Le mot qui contient tout, puisqu'il est plein de toi,
Qui tombe dans l'abîme, et qui n'a pour réponse
Que l'éternel silence entre une image et moi !
Et cependant mon cœur redit à chaque haleine
Ce mot qu'un sourd sanglot entrecoupe au milieu,
Comme si tous les sons dont la nature est pleine
N'avaient pour sens unique, hélas ! qu'un grand adieu !
----
Alphonse de Lamartine.
---

Dans les champs de vert, on errait
Deux cœurs entrelacés, un foyer heureux
Tes petites pattes, une joie sans limites
Mon ami fidèle, mon précieux garçon
🌸•✧⭐✧•🌸═══ღ💦ღ═══🌸•✧⭐✧•🌸
Mais maintenant tu es parti, mon cœur dérive
En larmes je suis pris, une faille douloureuse
Ton aboiement ludique, un son lointain
Mon monde a perdu ses liens joyeux
🌸•✧⭐✧•🌸═══ღ💦ღ═══🌸•✧⭐✧•🌸
Plus de chaleur sur mes genoux
Fini tes bisous tendre sève
Dans mes rêves je te vois, brillant et flotte
Mais le réveil apporte un gâteau amer
🌸•✧⭐✧•🌸═══ღ💦ღ═══🌸•✧⭐✧•🌸
Les journées sont longues, les nuits sont froides
Sans toi ici, mon cœur se sent vieux
Je te cherche dans chaque regard
Dans chaque souvenir, je prends le risque
🌸•✧⭐✧•🌸═══ღ💦ღ═══🌸•✧⭐✧•🌸
Bien que tu ne sois pas là, tu es dans mon âme
Chéri à jamais, entier et entier
Je te tiendrai dans mes pensées si profondes

Coucou petit Ange, je viens remercier ta douce maman pour mon petit coeur d'amour ça me touche beaucoup. Le temps défile très vite, les mois passent vite mais le manque lui est bien là. Je vous envoie des gros bisous et encore un grand merci mon amie.🍃🌷🍃

Nos « cœurs de poils » sont très riches…
*
LA RICHESSE DU COEUR
*
Qui ne peut voir un autre monde est aveugle.
Qui ne sait dire un mot gentil quand il le faut est muet.
Qui est tourmenté par un trop grand désir est pauvre.
Celui dont le coeur est content est riche.
*
(Auteur inconnu)

Le chemin des Anges
----
Les petits anges dansent autour d'un être s'endormant
douceur immense pour le départ d'un compagnon.
puis le vent s’arrête un instant
le temps peint aux couleurs des saisons
des bleus lisses roses et blancs se répandent
Lentement visages tendres et humides
des mains tremblantes te glissent dans ton jardin du paradis
Se sourient de larmes sans chuchotant…
Se sourient de larmes sans chuchotant…
sans le moindre tourment
On prend sur nous ce long moment de ce départ
nos pensées folles s'envolent dans nos yeux brillants et rougies...
elles s'unissent aux lucioles pour vivre un dernier instant
pour qu’à jamais restent en suspens
nous avons si souvent souhaité que ce jour n’excitait pas
pour ne pas hériter de cette flamme qui s'éteint
en gardant le sentiment que nous vivrons éternellement
que nos yeux soient grands ouverts
Pour fêter ce triste enterrement… celle du relâchement
nous qui t’aimons puissamment
N'adressons aucune prière mais des milliers de pensées
Où que tu ailles nous te retrouverons... nos cœurs veillent
si le corps n’est plus… l'âme restée et Vit hors du temps...
alors les anges nous réuniront à nouveau.
-----

Dans la lueur dorée de l'aube
Une fille a trouvé du réconfort chez son ami
Un chien dont l'amour n'a jamais disparu
Un lien que le temps ne pourrait jamais plier
✰🌸✰┌───── •✧✧• ─────┐✰🌸✰└───── •✧✧• ─────┘✰🌸✰
À travers des champs de vert et des cieux si large
Ils ont partagé un monde de jeux sans fin
Son ombre constante, à ses côtés
Chaque nuit et chaque jour
✰🌸✰┌───── •✧✧• ─────┐✰🌸✰└───── •✧✧• ─────┘✰🌸✰
Il connaissait ses peurs, ses espoirs, ses rêves
Avec chaque wag et chaque regard
Il a chassé ses cris silencieux
Dans une danse tendre et éternelle
✰🌸✰┌───── •✧✧• ─────┐✰🌸✰└───── •✧✧• ─────┘✰🌸✰
Sa fourrure une couverture dans le froid
Ses yeux sont un miroir pour son âme
Une histoire dans son regard racontée
Un amour qui a rendu son esprit entier
✰🌸✰┌───── •✧✧• ─────┐✰🌸✰└───── •✧✧• ─────┘✰🌸✰
Mais les saisons tournent et les jours passent vite
Et l'âge s'est emparé d'une douce grâce
Pourtant, dans son cœur, son amour durerait
Un endroit chéri et inoublié
✰🌸✰┌───── •✧✧• ─────┐✰🌸✰└───── •✧✧• ─────┘✰🌸✰
Maintenant elle marche avec des souvenirs chérie
Sa présence ressentait dans chaque brise
Dans les vents murmurés, elle le sent près de lui
Dans le bruissement des feuilles d'arbres anciens
✰🌸✰┌───── •✧✧• ─────┐✰🌸✰└───── •✧✧• ─────┘✰🌸✰
Elle lui parle dans le silence de minuit
Et il entend aboyer dans ses rêves la nuit
Dans le rouge céleste de chaque étoile
Son esprit brille à jamais
✰🌸✰┌───── •✧✧• ─────┐✰🌸✰└───── •✧✧• ─────┘✰🌸✰
Bien qu'il ait franchi la portée de l'arc-en-ciel
Son amour demeure, sa lumière qui guide
Un lien qu'aucun simple temps ne peut interdire
Une balise dans la nuit la plus sombre
✰🌸✰┌───── •✧✧• ─────┐✰🌸✰└───── •✧✧• ─────┘✰🌸✰
Un jour, au-delà de l'étreinte de ce monde
Ils se reverront, dans des champs d'or
Une fille et son chien face à face
Leur histoire dans l'éternité racontée
✰🌸✰┌───── •✧✧• ─────┐✰🌸✰└───── •✧✧• ─────┘✰🌸✰
Jusque-là, elle le tient dans son cœur
À chaque rythme, son amour coule
Une partie d'elle, ils ne sont jamais séparés
Dans le doux reflux et le doux flux de la vie
✰🌸✰┌───── •✧✧• ─────┐✰🌸✰└───── •✧✧• ─────┘✰🌸✰
Jeune pour toujours, libre pour toujours
Dans un amour sans fin
Une fille et son chien éternellement
Dans les bras du paradis

Dans l'étreinte étouffée du doux soupir du crépuscule
Là où les étoiles émergent et où la nuit commence à se tisser
Je ressens la perte de toi, un adieu doux
Un espace où les ombres se mêlent à ce que je souffre
❤═══ ❁════════ ✰💦💜💦 ✰ ════════❁ ═══ ❤
Ta présence était un phare, brillant et vrai
Une constante dans le tourbillon de la propre tempête de la vie
Maintenant dans le calme, les souvenirs passent par là
Un tendre fantôme où autrefois votre chaleur était chaude
❤═══ ❁════════ ✰💦💜💦 ✰ ════════❁ ═══ ❤
Le bruissement de vos pattes, un son apaisant
Maintenant résonne dans les coins de mon esprit
Chaque regard chéri et chaque attache de joie
Ça laisse une douleur persistante qui est difficile à lier
❤═══ ❁════════ ✰💦💜💦 ✰ ════════❁ ═══ ❤
Les endroits où tu t'es reposé autrefois, doux et immobile
Maintenant garde un silence lourd avec ton nom
La douleur de ton absence, une pilule amère
Transforme chaque joie en une flamme tordu
❤═══ ❁════════ ✰💦💜💦 ✰ ════════❁ ═══ ❤
Pourtant, dans la nuit, je sens ton esprit proche
Un doux murmure sur la brise du soir
Dans les rêves, je te trouve libéré de la douleur et de la peur
En paix sous les anciens arbres chuchotant
❤═══ ❁════════ ✰💦💜💦 ✰ ════════❁ ═══ ❤
Bien que vous ayez quitté cet avion terrestre
Ton amour reste, un phare dans mon âme
Dans chaque larme et chaque tendresse
La lumière de ta mémoire rendra mon cœur entier
❤═══ ❁════════ ✰💦💜💦 ✰ ════════❁ ═══ ❤
Alors repose-toi maintenant, cher compagnon, libre et léger
Dans les champs où la douleur et le chagrin s'estompent
Dans chaque étoile qui brille à travers la nuit
Je trouve ton esprit qui me guide chaque jour

LE SILENCE
C'est le silence que tu rentres à la maison
Quand leurs pattes ne marchent plus
Un calme si assourdissant
Ça remplit le cœur de peur
꧁╚════════ ❃✰ 🌸✰ 🌸✰🌸 ✰ ❃ ═════════╝꧂
Pas d'aboiement joyeux pour vous saluer
Pas de queue remuante en vue
L'espace qu'ils habitaient autrefois
Maintenant enveloppé dans la nuit
꧁╚════════ ❃✰ 🌸✰ 🌸✰🌸 ✰ ❃ ═════════╝꧂
Les échos de leurs rires
Toujours en l'air
Pourtant le silence parle plus fort
De l'amour qui était là autrefois
꧁╚════════ ❃✰ 🌸✰ 🌸✰🌸 ✰ ❃ ═════════╝꧂
Leur lit est immobile et vide
Leurs jouets intacts, désolés
Une maison autrefois remplie de vie et de chaleur
Maintenant, il fait si froid et usé
꧁╚════════ ❃✰ 🌸✰ 🌸✰🌸 ✰ ❃ ═════════╝꧂
Mais dans les moments de calme
Quand les larmes coulent doucement
On se souvient de tout le bonheur
Leur présence s'est dotée
꧁╚════════ ❃✰ 🌸✰ 🌸✰🌸 ✰ ❃ ═════════╝꧂
Le silence est un testament
À un lien qui ne disparaîtra pas
Car l'amour transcende le physique
Dans les souvenirs que nous avons créés
꧁╚════════ ❃✰ 🌸✰ 🌸✰🌸 ✰ ❃ ═════════╝꧂
Alors même si le silence fait tellement mal
Et laisse un espace creux
Leur esprit vit dans nos cœurs
Un amour que nous embrassons encore

Les Yeux...
---
Bleus ou noirs,tous aimés, tous beaux,
Des yeux sans nombre ont vu l’aurore;
Ils dorment au fond des tombeaux
Et le soleil se lève encore.
Les nuits plus douces que les jours
Ont enchanté des yeux sans nombre;
Les étoiles brillent toujours
Et les yeux se sont remplis d’ombre.
Oh!qu’ils aient perdu le regard,
Non,non, cela n’est pas possible!
Ils se sont tournés quelque part
Vers ce qu’on nomme l’invisible;
Et comme les astres penchants,
Nous quittent, mais au ciel demeurent,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent:
Bleus ou noirs,tous aimés, tous beaux,
Ouverts à quelque immense aurore,
De l’autre côté des tombeaux
Les yeux qu’on ferme voient encore.
----