In tribute to

Budy
2006 / 2020


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In tribute to
Budy
SHIH-TZU
Born on :20/04/2006
left us on:11/08/2020
 
 

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In tribute to Budy

A mon Bébé d'amour, trésor de ma vie tu m'as quitté et mon coeur est brisé a jamais, tu m'a offert 14 ans d'amour de joie de bonheur qui resteront gravés dans mon coeur pour l'éternité.
Tu étais un petit compagnon exceptionnel toujours de bonne humeur, tes yeux souriaient sans arrêt tu aimais tant tes jouets, tes promenades, tes copains chiens et chats,dormir à mes côtés dans mon lit sans oublier les bisous avant de dormir, j'ai du mal à accepter que je ne pourrai plus te caresser, t'embrasser comme avant, la maison est vide sans toi, je n'arrête pas de tourner en rond j'ai l'impression de te voir partout ça ne fais que 2 jours que tu es parti au ciel mais je crois que je ne m'en remettrai jamais, j'espère de tout mon coeur que tu es encore à es côtés que tu es bien maintenant la ou tu es et que tu m'enverra des signes de ton petit paradis.
Le dernier geste d'amour que j'ai pu t'offrir est de faire venir le vétérinaire à la maison pour t'endormir, tu es parti sereinement dans mes bras sans souffrir car cette terrible maladie des reins qui vers la fin t’empêchait de manger, boire et marcher a malheureusement eu raison de toi malgré tous les soins prodigués .
Je sais que tu as lutté longtemps pour rester à mes côtés et je te serai éternellement reconnaissante et je suis sure que l'on se retrouvera car notre amour est trop fort.
Petite bouille d'amour et de tendresse , petit ange, je t'aime et t'embrasse de tout mon coeur et de toute mon âme et je t'aimerai toujours
ta maman Sabine qui souffre beaucoup de ton absence




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douce nuit petit amour je suis là avec toi
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🐶💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖💖🐶
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Mille tendres bisous pour toi magnifique toutou😘😘💖🐕💫Bien à vous 💫💫💫
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💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗💗
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Ce bouquet d'Amour pour Toi petit Trésor tant aimé.....
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pour un petit ange de tendres calins remplis de douceur
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1034 messages

left by colombine67 on 23/07/2024  
Je suis mort sans nom
Un long mais superbe texte, très émouvant....
Je suis mort sans nom
Sans une marque d’affection…
Je ne connais la définition
Du mot humain émotion
Que par la douleur de l’abandon.
J’ai attendu si longtemps,
D’hivers glaciaux en printemps,
Un rayon d’espoir, et souvent
Pétrifié dans le silence et le temps,
J’ai voulu fuir ce tourment.
Seul et apeuré dans ma cage,
Je m’accrochais à ce mirage…
De votre sourire, de votre visage
Qui m’ont apporté courage
L’instant d’un ciel sans nuage…
Je me suis habitué à la faim,
Au froid, à la peur du lendemain.
Mais jamais, je le crains,
De ne pas connaître enfin
Le plaisir de lécher votre main.
Mon corps martyrisé
N’en pouvant plus de lutter,
À bout de souffle et de fierté,
C’est sans bruit et sans dignité
Que je vous ai quittés.
Une seule caresse aurait suffi
À me permettre, sans bruit,
De quitter mes amis.
Qui encore aujourd’hui.
Vous appellent dans la nuit.
Je ne vous en veux pas
De n’avoir entendu mon désarroi.
J’avais pourtant en moi,
Au fil des jours et des mois,
La confiance, l’espoir et la foi.
Même si j’ai hurlé dans la nuit,
Tandis que mourraient mes petits,
La souffrance et la maladie
Ont eu raison aujourd’hui
De mon instinct de survie.
Ils ont tué mes espoirs
De pouvoir un jour voir
Le soleil et votre peignoir…
De fuir mon désespoir…
Fuir ma cellule dans le noir.
Je suis venu et passé,
Sans jamais être remarqué.
Pourtant, je vous ai toujours espéré…
Je ne demandais qu’à vous aimer…
Pourquoi m’avez-vous abandonné?
J’ai eu faim, j’ai eu froid,
J’ai eu peur et malgré moi,
De ce qui me restait de voix,
Votre nom j’ai appelé mille fois…
Où étiez-vous, dites-moi...
Ma carcasse incinérée
Aura pour l’éternité
Ce champ, ces fleurs et ce pré
Que j’ai longtemps espéré,
Et dont j’ai tellement rêvé.
J’aurais aimé avoir un jouet,
Un seul s’il-vous plait…
J’aurais voulu courir et qui sait,
Trébucher dans le gazon tout frais
À vos côtés, fier et coquet…
J’aurais dormi à vos pieds,
L’hiver vous aurais réchauffé,
La nuit vous aurais rassuré,
Et sans jamais rien demander,
Vous aurais écouté et aimé…
Je suis mort triste et seul,
Sans que l’on porte mon deuil.
On m’a offert pour tout linceul,
Un feu de paille et de feuilles,
Je suis libre, délivré et encore seul…
Ne m’offrez pas de fleurs…
Retenez vos pleurs…
Je ne veux plus que le bonheur,
De ceux qui ont dans leur cœur
D’encore espérer avec ferveur…
De quoi donc ai-je été coupable
Pour mériter une vie si misérable
Un destin aussi pitoyable,
Une mort cruelle et minable…
De cela vous m’êtes redevable…
Je vous aime encore
Je vous aime si fort…
À la vie et à la mort,
Je vous aime encore,
Bien au-delà de la mort…
Dites-moi que vous voulez,
Par amour et par pitié,
Encore quelques-uns sauver…
Ainsi ma cruelle destinée
N’aura été ni vaine ni oubliée…
Il est trop tard pour moi,
Voyez, je suis mort et froid…
Mais pour mes petits croyez-moi,
Par vous, ils ne le seront pas.
Sauvez-les en souvenir de moi…
Un chien parmi tant d’autres.

left by spanky on 22/07/2024  
Ce texte n'est pas de moi....
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Choupette n'était pas une chienne comme les autres. Elle était un chienne de laboratoire et s'est vu offrir une seconde vie grâce à sa famille adoptante.
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Je m’appelais Choupette… Je venais de fêter mes 16 ans..
Je suis née dans une cage, comme ma maman d’ailleurs, comme mes frères et sœurs, comme mes enfants aussi… J’y suis restée 9 ans et demi..
Jusqu’à ce qu’ils décrètent que je ne servais plus à rien… et oui, j’étais ce qu’on appelle un chien de labo .
Il paraît que se sont des recherches pour les humains, que les labradors sont tous comme mes copains les beagles, des chiens.
---
« adéquats ».
Ils m’avaient inoculé la myopathie, ou peut-être que c’est ma maman qui m’avait filé cette s*****rie, je ne saurai jamais.
Au bout de 9 ans, j’étais pas morte alors à quoi bon continuer des tests sur un chien qui résiste ?? Ils ont dû considérer que soit leur traitement était efficace,
soit j’étais trop résistante… bref, leur conclusion m’a sauvé la vie, elle aurait pu être mon arrêt de mort.
---
C’est à ce moment-là qu’une dame du labo a mis une annonce pour me trouver une famille, certainement pour m’éviter la piqure qui les aurait débarrassés.
Je suis sortie pour la 1ère fois dans l’univers extérieur.
Qu’est-ce que j’ai eu peur ! De tout, des humains, des congénères que je ne connaissais pas, des voitures, des bruits, des mains,…
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Je ne connaissais rien à rien, j’ai du tout apprendre comme un bébé. A + de 9 ans, si vous saviez comme c’est dur .
Il parait que la nature se débarrasse de ce qui ne sert pas, alors je crois que mon cerveau avait éliminé tout ce qui ne m’avait pas servi depuis 9 ans comme courir, monter les escaliers, aboyer, jouer, montrer des sentiments comme la joie, la peur, la tristesse et même la douleur.
J’ai eu du mal à mettre les pattes dans l’herbe, dans l’eau, dans la neige ; à faire mes besoins lors des sorties.
Mais mes parents m’ont tout fait faire, on ne s’est jamais découragés.
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J’ai, toute ma vie, conserver une peur farouche lorsqu’on me touchait.
J’ai jamais réussi à communiquer, à créer des liens particuliers avec mes congénères même si, dans mon fort intérieur, je tenais à eux.
Je les ai tous aimés à ma façon.
Je me suis accrochée pendant ces 6 ans et demi de vie de sursis, comme je pouvais, comme mes parents et toute ma famille, pouvaient.
J’étais leur « petite autiste ».
On avait beaucoup de mal à communiquer mais la seule chose dont on était sûr, c’est qu’on s’aimait très fort et qu’on resterait fidèles jusqu’au bout.
Ce bout est arrivé …
J’ai fait un incident cardiaque il y a 10 jours, et vu mon âge, j’ai pas réussi à remonter la pente… j’ai peut-être même fait en plus un avc a dit le véto.
Bref, mon corps a lâché, je ne tenais plus debout, j’avais de grosses grosses difficultés à respirer.
Je savais depuis 2 jours que je n’y arriverais pas, et je l’ai fait comprendre à mes parents, je ne voulais plus être seule, j’avais trop peur de partir sans eux..
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Voilà, j’espère que la haut, si ça existe ( ??) je retrouverai mon Toto, mon Fidèle et ma copine Doly, la seule avec qui j’ai réussi à tisser des liens particuliers d’amitié visibles.
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Au revoir tout le monde, je n’oublierai personne…ne m’oubliez pas !
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left by colombine67 on 22/07/2024  
Pataud
Dans ses yeux brillait encore une lueur d’espoir. En compagnon fidèle il était sûr qu’ils étaient en train de courir vers lui fous d’inquiétude.
Son crâne lui faisait mal, sœur battait avec peine et cette douleur au creux des reins, dieu qu’elle était atroce !
Ils s’étaient arrêtés sur une aire de repos, tout joyeux de pouvoir se dégourdir les muscles et de calmer leur soif par cette matinée torride de juillet. Durant le trajet, les enfants n’avaient pas cessé d’houspiller leur père : « On arrive quand ? Y aura une piscine ? On va où ? » Il n’avait répondu que par bribes, concentré sur la circulation. Son épouse somnolait ou elle faisait semblant. Après un petit déjeuner copieux, le père avait tout rangé soigneusement dans le coffre pendant que la maman avait accompagné les petits diables aux toilettes. Lui avait attendu sagement à l’ombre de la table en bois épais. Il s’était assoupi.
Le claquement des portières le fit sursauter. Il redressa la tête, déjà la voiture démarrait. « Ben et moi ? » pensa-t-il. Les grands yeux étonnés des petits qui lui faisaient de grands signes à la fenêtre arrière lui donnèrent du courage pour se lancer à la poursuite du véhicule. « C’est un jeu » se dit-il, « ils veulent voir combien de temps je mettrai à les rattraper, ils vont s’arrêter plus loin et se cacher. » Il galopa de plus en plus vite, sans peur, confiant en l’innocence de ce nouveau défi. C’était sans compter avec les bolides hurlants qui le frôlèrent. Il en évita un, puis un autre. Il louvoyait entre les carrosseries étincelantes sous le soleil de plomb, essayant de ne pas perdre de vue la belle voiture blanche où l’attendait sa couverture écossaise derrière le siège conducteur.
« Qu’est-ce qui s’est passé ? Sûr, ils se sont arrêtés et je suis en train de rêver aux pieds du petit Marco. »
Il sentit sur lui le souffle répété des véhicules qui passaient devant lui.
« Il y en a bien un qui va me voir, s’arrêter pour m’aider à les retrouver… »
Il sentait autour de lui le parfum de l’herbe écrasée qui se mêlait aux vapeurs des échappements. Le soleil lui sembla moins brûlant, il avait froid tout à coup, il ne sentait plus la douleur qui lui taraudait le dos il y avait à peine quelques minutes, ou était-ce quelques heures… ?
« Où sont-ils ? » Son esprit s’égarait, il avait envie de mordre et tenta de relever la tête. Il se sentait très faible.
« Eh, les petits ! Marco ! Suzy ! Je suis là ! » Il n’entendait plus la circulation que de loin. L’herbe autour de lui était humide à présent, elle avait changé d’odeur et dégageait un parfum qui curieusement réveillait son appétit.
A force de concentration il pu soulever les paupières et ne vit devant lui que le ciel d’un bleu si intense qu’il lui sembla irréel. Ce fut cette image qu’il emporta avec lui au paradis des amis à quatre pattes.
Il ne comprenait pas pourquoi il se retrouvait là ni où étaient ses maîtres, cependant il ne souffrait plus de ses blessures si ce n’est dans son cœur qui cherchait encore une réponse à la question qu’il se poserait à l’infini.
Marie Deluneq

left by poutounou on 21/07/2024  
Qu’elle est belle cette petite prière de Saint François d’Assise. C’est ce que nos Amours à quatre pattes font : Ils nous consolent, nous comprennent et nous aiment surtout… !!!
*
PRIÈRE SIMPLE
*
Seigneur, faites de moi un instrument de votre paix.
Là où il y a de la haine, que je mette l'amour.
Là où il y a l'offense, que je mette le pardon.
Là où il y a la discorde, que je mette l'union.
Là où il y a l'erreur, que je mette la vérité.
Là où il y a le doute, que je mette la foi.
Là où il y a le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où il y a les ténèbres, que je mette votre lumière.
Là où il y a la tristesse, que je mette la joie.
*
Que je ne cherche pas tant
À être consolé, qu'à consoler ;
À être compris, qu'à comprendre ;
À être aimé, qu'à aimer.
*
• Car,
C'est en donnant, qu'on reçoit ;
C'est en s'oubliant, qu'on trouve ;
C'est en pardonnant, qu'on est pardonné ;
C'est en mourant, qu'on ressuscite à l'éternelle vie.
• *
(Saint François d'Assise)

left by colombine67 on 21/07/2024  
Quand ils ont claqué la portière
Il n'a pas compris tout de suite
Il a couru longtemps derrière
Mais la voiture allait trop vite
Et pendant des journées entières
Il a vu les autos passer
Mais vous, auriez-vous fait marche arrière
En voyant ce chien sans collier ?
Car après les premières caresses
Puis quelques mois d'indifférence
Beaucoup de chiens perdent leur laisse
Au début des grandes vacances…
Comme un objet que l'on jette
Quand il n'est plus au goût du jour
Il sera remplacé peut-être
Par un chien plus jeune au retour…
Le chien abandonné en été par ses maîtres
Flaire toujours la route et fait des kilomètres
Il traverse les villages et s'approche des enfants
Qui n'osent le caresser de peur qu'il soit méchant,
De peur qu'il soit méchant
Il n'a pas oublié ses maîtres
Depuis le jour qu'il vagabonde
Et pour les retrouver peut-être
Il ira jusqu'au bout du monde
Il n'a plus d'âge et plus de race
Qu'importe comment il s'appelle
Mais à le voir suivre leurs traces
Moi, je vais l'appeler Fidèle
Le chien abandonné en été par ses maîtres
Sur le bord d'un fossé vaut bien que l'on s'arrête
Qu'on ouvre sa portière pour le faire monter
Pour qu'un jour en été il n'y ait plus jamais
De chien abandonné.

left by spanky on 20/07/2024  
"Je déménage je ne peux pas emmener mon chien avec moi"
« Le bébé est allergique »
"Je suis trop occupé pour lui"
"Mon propriétaire ne veut pas de chiens"
---
Celui-ci.
C'est ici que ton chien finit.
Je suis fatigué des excuses des gens.
J'en ai marre que les chiens finissent morts sur le sol du refuge.
Je suis fatigué.
Un chien est une responsabilité à vie.
---
Un engagement de plus de 10 ans.
Ce chien que vous avez envoyé à la fourrière pour n'importe quelle excuse, vous a fait confiance et vous a aimé.
Pas d'excuses.
Je ne veux pas l'entendre.
---
Réfléchissez à deux fois avant de trouver une petite excuse insignifiante sur la raison pour laquelle vous devriez abandonner votre chien.
Si vous devez abandonner un chien, faites un effort sincère pour lui trouver un foyer aimant et pour toujours.
---
Soyez une meilleure personne.
Fais mieux que ça !
Les chiens ne sont pas jetés
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left by colombine67 on 19/07/2024  
C'est dans l'aube chère à Verlaine
Que tu courais notre domaine
Humant l'air des quatre saisons
Odeurs de thym et de bruyère.
Sous tes pattes fraîches légères
S'élevaient comme une oraison,
Berger des landes familières
Tu vivais digne et solitaire.
Animal doué de raison
J'écris ce jour anniversaire
Où tu reposes sous la terre
A deux pas de notre maison
Jour après jour il faut l'admettre
Voir ceux qu'on aime disparaître
C'est ce qui fait vieillir trop tôt.
Au paradis des chiens peut-être
Ton long museau à la fenêtre
Tu nous accueilleras bientôt.
Au triple galop caracole,
Je vois tes pattes qui s'envolent,
Chevauchant l'herbe et les nuées.
Le vent siffle dans ton pelage,
Vole vole mon loup sauvage
Comme au temps des vertes années.
Jean Ferrat

left by spanky on 18/07/2024  
Le Paradis des animaux (de Paulo Coelbo) 
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Un homme, son cheval et son chien cheminaient sur une route.                 
Alors qu'ils passaient près d'un arbre gigantesque, un  éclair les frappa, les tuant instantanément.             
Mais le voyageur ne se rendit pas compte qu'il avait quitté ce monde et continua à cheminer,
accompagné de ses animaux.            
---      
Parfois, les morts prennent quelque temps pour se rendre compte de leur nouvel état...            
---          
Le chemin était très long; ils devaient gravir une colline, le soleil frappait fort et ils étaient en sueur et assoiffés.                                
A un virage de la route, ils virent un magnifique grand portail, en marbre, qui conduisait à une place            
pavée de blocs d'or, au centre de laquelle s'élevait une fontaine d'où coulait une eau cristalline.           
Le voyageur s'adressa à l'homme qui surveillait l'entrée.                 
---
"Bonjour;"                 
---      
"Bonjour", répondit le gardien.             
---              
-Quel est donc ce lieu, tellement beau?"                  
---             
"C'est le ciel."
 ---                            
"Qu'il est bon d'être arrivés au ciel, nous avons une telle soif !"             
 ---
 Entrez donc et buvez à volonté." Le gardien indiqua la fontaine. 
---                  
"Mon cheval  et mon chien, aussi, ont soif."
---            
"Je suis désolé", dit le gardien, "mais ici l'entrée est interdite aux animaux."           
---
L'homme fut profondément déçu: sa soif était grande, mais il n'aurait jamais bu seul. Il remercia le gardien et poursuivit sa route.
---
Après avoir cheminé longuement sur la colline, le voyageur et les animaux arrivèrent en un lieu dont l'entrée
était constituée d'une vieille porte, qui s'ouvrait sur un sentier de terre battue, bordée d'arbres.                
A l'ombre de l'un de ceux-ci, un homme qui portait un chapeau, était étendu; il était probablement endormi.               
--- 
"Bonjour", dit le voyageur.
---
L'homme fit un signe de la tête.
--- 
"Moi, mon cheval et mon chien, nous avons très soif."
---
"Il y a une source entre ces rochers", dit l'homme et indiquant l'endroit, ajouta: "Vous pouvez boire à volonté."
---
L'homme, le cheval et le chien s'approchèrent de la source et se désaltérèrent. Le voyageur s'en alla remercier.
---
"Revenez quand vous voulez", répondit l'homme.
---
"A propos, comment s'appelle cet endroit ?"                 
--- 
"Ciel."   
---
"Ciel ? Mais le gardien du portail en marbre a dit que le ciel était celui-là !"   
---
"Cela n'est pas le ciel, c'est l'enfer." Le voyageur resta perplexe.
---
"Vous devriez leur interdire d'utiliser votre nom ! Assurément, cette fausse information cause de
Assurément, cette fausse information cause de grandes confusions !"
---
"Absolument pas.En réalité, ils nous rendent un grand service. Parce que, là, s'arrêtent tous ceux qui n'hésitent pas à abandonner leurs meilleurs amis..."
--------

left by poutounou on 17/07/2024  
Ce n’est pas l’amour qui fait si mal, c’est d’être sans toi…
*
TU ME MANQUES
*
Je suis assise ici, seule, si triste et solitaire. Je pense à toi souvent -- chaque minute du jour, me demandant comment tu vas, ce que tu fais, souhaitant te serrer dans mes bras.
*
Je suis assise, me souvenant de tout ce que nous avons partagé, rêvant à tout ce qui sera, et je verse une larme pour chaque minute sans toi.
*
Parfois, je crois en ma force et que le temps qui nous sépare s'écoulera vite, et puis parfois, je m'assieds et pleure et me demande pourquoi faut-il que l'amour fasse si mal...
*
Bien que parfois dans la solitude... quelque part dans le vide je me sente pourtant très aimée, et je réalise que ce n'est pas l'amour qui fait si mal... c'est d'être sans toi.
*
(Cathy Lynn Oaks)

left by spanky on 16/07/2024  
L'AMOUR ABSOLU
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La dame au petit chien
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Dans le cimetière de Colón à Cuba, une tombe avec une sculpture d'une femme allongée, et à ses pieds,
un petit chien, l'œuvre réalisée en pierre de carrière, a été inaugurée en 1944, avec la bénédiction de l'archevêque de La Havane.
Mais qui était la Dame au chien ?
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Jeannette Ryder, une Américaine aux sentiments nobles et humanitaires,
est arrivée à La Havane au début du XXe siècle,
où elle a fondé en 1906 le Bando de Piedad de Cuba, une société dédiée au soin et à la protection des enfants et des animaux.
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Le chien Rinti était le plus fidèle compagnon de Jeannette ;
il la suivait partout, veillait sur son sommeil et partageait ses joies et ses peines.
C'est pourquoi l'inséparable ami l'a également suivie au cimetière le 11 avril 1931, lors de son enterrement.
---
Les animaux n'étant pas admis, Rinti était sorti de force à la tombée de la nuit,
mais chaque matin, à l'ouverture des portes du cimetière, il revenait au pied de la tombe de sa maîtresse et y restait sans boire ni manger,
attendant que la faucheuse les réunisse à nouveau, jusqu'à ce qu'elle le fasse.
---
Depuis, cet émouvant acte d'amour et de noblesse a été ajouté à cette œuvre sculpturale,
preuve que même l'au-delà ne peut briser la loyauté d'un petit chien !
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left by spanky on 14/07/2024  
"Ce soir, je suis mort.
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Je suis un oiseau.
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Je connais la caresse de la brise, je connais le bruit du vent.
--
Je sais le déchaînement des tempêtes, lorsque les frondaisons deviennent impétueuses.
--
Je connais le grondement du tonnerre qui frappe mes oreilles et fait vibrer mon plumage.
--
Je goûte les caprices de la nature, seul et sans abri. Blotti entre deux feuilles ou caché dans un buisson, j'attends.
--
Pour moi, le temps qui passe est toujours un instant d'éternité. Nulle météo ne me donne l'avenir, nulle connaissance ne me rassure.
--
Oui, mais voilà : l'orage, je le connais. Il prévient. Il frappe à la porte.
--
Oh, on ne l'invite bien sûr jamais à entrer, mais il a la délicatesse de prévenir de son arrivée : il gronde, dans le lointain. Puis il envoie de brèves images de sa colère à venir.
--
Je le connais, cet orage, car de tous temps mes ancêtres ont vécu avec ses coups de sang.
--
Et puis il y a cet autre vacarme, dont la nature n'est pas l'artisane.
--
Un bruit violent et un bruit brusque.
--
Lui ne prévient jamais. Il s'impose avec violence, il saisit le cœur, il affole.
--
Et il ne vient jamais seul : une lumière épileptique l'accompagne toujours.
--
Alors, je me retrouve dans l'incompréhension.
--
Et j'ai soudain très peur.
--
Pour un temps oublieux de toute prudence, je prends mon envol.
--
Il fait nuit. Je ne vois rien, sauf ces flashs qui m'aveuglent, me désorientent.
--
Je vole, je tourne en rond, je crie, mais les déflagrations se poursuivent avec ce goût d'éternité qui me bouleverse.
--
Le rythme augmente, ma poitrine vibre, je ne sais plus où je vais.
--
Je ne vois rien mais je fonce, tentative désespérée d'échapper à cet enfer terrifiant.
--
Et puis soudain, un mur. Et tout se fait noir."
--
Chers membres, la période des feux d'artifice va démarrer.
--
L'occasion, pour beaucoup d'entre nous, d'avoir un peu de bonheur en famille.
--
Mais saviez-vous que, contrairement à ce que prétendent les artificiers, le comportement des oiseaux a été sérieusement étudié par les scientifiques, lors des feux?
--
En utilisant des radars météo, notamment, ils ont pu suivre les envols paniqués d'oiseaux diurnes.
--
Il arrive, certaines années, que des oiseaux meurent par centaines lors de feux d'artifice.
--
Ils s'envolent, mais sont aveugles.
--
Et dans l'affolement, ils percutent des voitures, des bâtiments, laissant parfois des juvéniles qui mourront de faim.
--
Est-ce que nous voulons encore de cela?
--
La prochaine fois que vous irez voir des feux, ayez conscience que chaque nouveau tir bouleverse l'univers du vivant, même si vous ne le voyez pas.
-----

left by poutounou on 14/07/2024  
Que c’est bien dit : « elle crie dans le silence ». Nous en avons « crié » des larmes quand vous êtes partis, doux Anges…
*
UNE LARME
*
Soudain elle surgit venue des profondeurs,
sa valeur est inestimable tant elle est vraie.
Plus riche qu'un trésor, elle perle au gré du moment,
scintillante de vérité et pourtant si indéchiffrable
qu'aucun n'eut pensé de la comprendre.
Merveille qu'elle est, elle s'écoule vivement
pour laisser fuir l'autre qui la suit.
Rempli de joie ou de mélancolie,
seul l'être qui la laisse filer peut la comprendre
car elle crie dans le silence.
*
Où il y a une larme,
il y a un coeur.

left by colombine67 on 14/07/2024  
Il y a un pont qui relie le Paradis et la Terre.
On l'appelle le 'Pont de l'Arc-en-ciel' à cause de ses nombreuses couleurs.
Au bout du Pont de l'Arc-en-ciel, il y a un pays de prairies,
de collines et de vallées luxuriantes.
Quand un de nos compagnons fidèle décède, il va là-bas.
Il y a toujours de l'eau et de la nourriture et un soleil d'un temps printanier.
Les animaux vieux et faibles sont jeunes à nouveau.
Ceux qui ont été blessés ou mutilés sont de nouveau en pleine forme.
Ils jouent ensemble toute la journée, Ils y sont heureux.
Une chose manque tout de même :
ils ne sont pas avec ceux qui les ont aimés sur terre.
Alors, chaque jour ils courent et jouent, jusqu'au moment où l'un d'eux
s'arrête soudain de jouer et regarde en l'air. Son nez s'agite !
Ses yeux fixent l'horizon ! Et tout d'un coup, il s'éloigne en courant
du groupe, volant au-dessus de l'herbe verte,
ses jambes le portant de plus en plus vite.
Il vous a vu, et, quand vous vous rencontrez,
vous prenez votre compagnon dans vos bras, et vous l'étreignez.
Les bisous pleuvent sur votre visage encore et encore et encore,
et vous caresser enfin à nouveau votre ami tant adoré.
Alors vous traversez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel,
pour ne plus jamais être séparé.

left by spanky on 12/07/2024  
Silverton Bobbie : l'histoire d'un chien extraordinaire
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Aujourd’hui, je vais vous raconter une petite histoire, celle d’un chien au courage et à la loyauté incroyable : Silverton Bobbie.
J'espère que cela va renforcer votre amour pour le meilleur ami de l’Homme !
Silverton Bobbie est né en 1921, dans l’Etat de l’Oregon, dans la ville de Silverton aux Etats-Unis ;
c’était un chien croisé Collie et Berger Anglais, avec un long museau, des poils doux et des yeux vifs.
Il fut adopté par une famille, où il vivait heureux, entouré d’amour.
En 1923, toute la famille décida de partir en vacances dans l’Etat de l’Indiana ; évidemment, ils emmenèrent avec eux leur compagnon adoré.
Mais au bout de quelques jours, lorsqu’il fut temps de rentrer à la maison, personne ne retrouva Silverton Bobbie !
La famille le chercha partout, ainsi que leurs amis et les habitants de la ville où ils se trouvaient.
Mais hélas, ils ne retrouvèrent pas leur chien.
Epuisés par leurs recherches, les membres de la famille durent malgré tout rentrer dans l’Oregon, le cœur brisé.
Ils étaient effondrés, car ils savaient qu’ils ne reverraient jamais leur chien.
Six mois plus tard, un beau jour, ils découvrirent un animal blessé devant leur porte :
c’était leur fidèle Silverton Bobbie qui avait réussit à retrouver le chemin de la maison !
Le pauvre chien était décharné, déshydraté et épuisé, avec une patte presque cassée :
en effet, il avait tout seul parcouru les quelques 2551 miles, soient 4105 kilomètres qui le séparaient de sa famille chérie !
Pour cela, il avait du marcher dans des plaines, des déserts et des montagnes, et tout cela pendant un hiver particulièrement rude.
Un vrai héro !
Après son arrivée, il fut l’objet d’une grande attention (méritée !) :
des dizaines d’articles ont paru dans les journaux locaux et nationaux, des livres ont été écrits en son honneur ainsi qu’un film.
En 1924, il joua d’ailleurs son propre rôle dans un long métrage muet appelé The Call of The West.
La famille de Silverton Bobbie reçu des centaines de lettres venues des quatre coins des Etats-Unis,
et il se vit offrir les clés de la ville de Silverton ainsi qu’un superbe collier en pierres précieuses.
A sa mort en 1927, il fut enterré avec les honneurs au cimetière des animaux de la Oregon Humane Society à Portland.
Sa pierre tombale fut honorée par Rin Tin Tin, le célèbre chien.
A Silverton, sa ville natale, on célébra son courage et sa loyauté durant des parades, dont la première fut menée par son fils Pal.
En 2012, un groupe de fans commença même à manifester dans la ville dans le but de rapatrier les restes de Silverton Bobbie dans sa ville natale ;
il existe même un site pour leur cause.
Voici l’histoire d’un compagnon extraordinaire, qui nous rappelle que le chien est un animal très loyal et courageux,
qui serait capable d’énormément de choses pour son maître.
Tâchons d’être digne de cette confiance qu’ils portent en nous, et de leur rendre cet amour inconditionnel.
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Site officiel de Silverton Bobbie
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Source : wikipedia.
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left by spanky on 10/07/2024  
Faut pas rêver !!!!
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Faire parler notre petit chien
Ce serait bien !!
Y penser, c'est encore plus bête..
Pourtant je vais essayer.... .
Oh ! ma maîtresse,
Comme tu m'as aimé,
Je ne sais comment te remercier,
De m'avoir dorloté,
De m'avoir tant choyé.
Merci pour ta tendresse
Ton amour et ta gentillesse,
Ma vie auprès de toi
A été une merveille,
Merci !
Merci de ne pas m'avoir laissé souffrir
Il n'y avait plus de solution pour me guérir,
J'aurai voulu rester près de toi
Ne pas te causer de peine,
En te laissant seule dans la détresse.
De là où je suis, je te vois
Sur toi je veille...
Encore MERCI...
Ma maitresse, ma maman, mon amie,
Je t'aime et jamais, O grand jamais,
Je ne t'oublierai !!
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left by choupinou on 10/07/2024  
Que le vent que vous souffle votre petit ange vous pousse toujours en avant et que le soleil illumine votre visage, que les vents du destin l'emmènent danser avec vous, auprès de vous, pour que celui ci vous énivre de sa douceur lorsque un instant vous fermez les yeux dans la chaleur de ce vent chaud, c'est votre petit amour qui vous étreint de son amour éternel

left by poutounou on 10/07/2024  
Juste toi et moi mon Ange
*
JUSTE
*
Si j'avais juste une seconde pour te voir
Juste une minute le temps de te faire une caresse
Juste un après-midi pour un moment dans tes pattes à rêver
Juste une journée toi et moi
Juste une semaine en vacances loin ensemble
Juste un mois pour me faire une place à tes côtés
Juste un an pour pouvoir m'épanouir à tes côtés
Juste une vie pour te dire : « Je t'aime »
*
Nathalie Auclair

left by spanky on 08/07/2024  
De là-haut,
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De ce temps-là, je n'entends plus ma voix
De ce temps-là, je ne guide plus mes pas
De ce temps-là, je sais que je vais mais ne marche pas
Sans aucun repos, j'avance puisqu'il le faut
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Désormais, s'il fait un peu plus frais
Ce n'est pas que le temps soit mauvais
Mais il est vrai que je me perds dans ce monde imparfait
Ni meilleur, ni plus laid mais juste un pâle reflet
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau?
Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud?
Et s'ils te réconfortent, là où il t'emportent
Je ne rêve qu'en noir et blanc
Mes souvenirs se mêlent de sang et pourtant
Je me lève pour faire semblant de vivre comme un vivant
De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux?
Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud?
Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends?
Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau?
Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud?
S'ils te réconfortent, là où ils t'emportent...
de là haut
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Interprète Thierry AMIEL.
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left by choupinou on 08/07/2024  
Vous savez ce que c'est la mélancolie ? Vous avez déjà vu une éclipse ? Et bien c'est ça : la lune qui se glisse devant le coeur, et le coeur qui ne donne plus sa lumière. La nuit en plein jour. La mélancolie c'est doux et noir. C'est la tristesse du coeur

left by poutounou on 07/07/2024  
Attention les neurones !!!
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C'EST L'HISTOIRE DE...
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C'est l'histoire de quatre individus: Chacun, Quelqu'un, Quiconque et Personne. Un travail important devait être fait, et on avait demandé à Chacun de s'en occuper. Chacun était assuré que Quelqu'un allait le faire. Quiconque aurait pu s'en occuper, mais Personne ne l'a fait. Quelqu'un s'est emporté parce qu'il considérait que ce travail était la responsabilité de Chacun. Chacun croyait que Quiconque pouvait le faire, mais Personne ne s'était rendu compte que Chacun ne le ferait pas. À la fin, Chacun blâmait Quelqu'un du fait que Personne n'avait fait ce que Quiconque aurait dû faire...
*
(Lamartine)




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Highslide JS
bubud tout jeune à croquer
Highslide JS
bubud et nestor
Highslide JS
bubud et diego
Highslide JS
sur le balcon
Highslide JS
je t'apporte un jouet
Highslide JS
mes jouets
Highslide JS
bubud adoré
Highslide JS
bouille d'amour
Highslide JS
budy et diego
Highslide JS
budy tout jeune adorable
Highslide JS
budy ses jouets et ses friandises
Highslide JS
la bouille d'amour
Highslide JS
je suis fier...
Highslide JS
mon amour Budy dans sa poussette
Highslide JS
budy et ses jouets
Highslide JS
Budy dans le jardin
Highslide JS
budy qui sourit
Highslide JS
budy avec ses yeux pleins de malice
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