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In tribute to
poupous
Born on :15/07/1997
left us on:12/05/2016
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212 Flowers
647 messages
left by Biscuit on 06/11/2017Tu es sorti de notre vie comme tu es entré, Brusquement sans crier garde. Tu es parti, libéré, ta vie sur cette terre est terminée même Si ce n'est pas ton choix, mais celui du destin. Nous laissant derrière toi avec notre chagrin et notre cœur déchiré... Commence alors pour toi une autre vie, une vie d'ange où tu seras à jamais heureux. Toi petit ange . Même si tu n'es plus là petit ange , pour nous tu seras une étoile qui brillera à jamais dans notre cœur., |
left by poutounou on 05/11/2017Oui, tu vis à l'infini mon Ange... * À l'infini * Là-haut, tu es. Là-haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle à jamais que rien ne sépare de la pure lumière ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es là, hors d'atteinte, hors du monde où meurent les âmes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis à l'infini. * André Velter ("L'amour extrème, poèmes pour Chantal Mauduit", éditions Gallimard, 2000) |
left by poutounou on 01/11/2017Celui qui perd sa vie, un jour la retrouvera… * Il restera de toi… * Il restera de toi ce que tu as donné Au lieu de le garder dans des coffres rouillés. Il restera de toi, de ton jardin secret, Une fleur oubliée qui ne s'est pas fanée. * Ce que tu as donné En d'autres fleurira. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Il restera de toi ce que tu as offert Entre tes bras ouverts un matin au soleil. Il restera de toi ce que tu as perdu, Que tu as attendu plus loin que tes réveils. * Ce que tu as souffert En d'autres revivra. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Il restera de toi une larme tombée, Un sourire germé sur les yeux de ton cœur. Il restera de toi ce que tu as semé, Que tu as partagé aux mendiants du bonheur. * Ce que tu as semé En d'autres germera. Celui qui perd sa vie Un jour la retrouvera. * Michel Scouarnec * En ce jour de Toussaint, je vous souhaite à toutes et tous, chiens, chats, et autres, ainsi qu’aux membres du cimetière virtuel, une bonne tonne de « beaux souvenirs ». |
left by zenelle on 31/10/2017Toussaint. Les "saints" que j’honore et que je propose d’associer aux souvenirs des vôtres, n’ont pas de visage, pas de nom inscrit sur une stèle ou au Panthéon. De convictions diverses, religieuse ou athée, ils ont leur sang et leur chair mêlés à la terre que l’on cultive et qui nous nourrit chaque jour. Dans l’abnégation, la solidarité sans haine, de multiples souffrances et le souci du travail bien fait, ils ont tout construit de ce monde, dans l’espoir de nous permettre de mieux Peut-être, vous aussi, en silence, avez-vous envie d’associer leur "mémoire" au souvenir des vôtres. Merci pour eux. Jean-pierre Bilski |
left by poutounou on 29/10/2017Et bientôt ce sera l'hiver ! Brrr... * Quand l'automne en saison revient * Quand l'automne en saison revient, La forêt met sa robe rousse Et les glands tombent sur la mousse Où dansent en rond les lapins. * Les souris font de grands festins Pendant que les champignons poussent. Ah ! que la vie est douce, douce Quand l'automne en saison revient. * Samivel |
left by Biscuit on 29/10/2017> > La vie sur terre est un passage > > L’amour est un mirage, > > Mais l’amitié est un « Fil d’or » > > Qui ne se brise qu’à la mort. > > Tu sais ! l’enfance passe, > > La jeunesse suit, la vieillesse la remplace > > Puis la mort nous ramasse… > > La plus belle fleur du monde perd sa beauté, > > Mais une amitié fidèle dure pour l’éternité. > > Vivre sans amis, c’est mourir sans témoin. , |
left by Biscuit on 23/10/2017Que Savent les Hommes ? Nous sommes leurs petites bêtes Leurs domestiques Animaux Ils nous font la fête Nous frottent souvent le dos Ils cherchent nos caresses Nos tendres ronronnements Mais notre noble sagesse Pour eux ce n'est rien, c'est du vent Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que nos cœurs battent comme leurs propres cœurs ? Et que du bonheur C'est de faire leur bonheur Ils nous garde bien au chaud Dans leurs hermétiques maisons Nourrissent nos petits corps A coups de boîtes de ronron Nous sommes décoratifs Dans leurs impersonnels décors Mais leurs mains qui souvent nous caressent N'apaisent pas notre détresse Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que nos yeux Ou brillent des ombres noires Ne sont que les reflets De leur secret désespoir ? Nous leur apportons le calme Les allégeons de leurs angoisses Quand nous restons en silence C'est pour le bien-être de leurs ÂMES Nous les aidons a vivre A supporter leur monde d'Hommes Et quand ils partent a la dérive Nous esquissons un pas de danse Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que dans nos yeux L'univers entier se reflète Et que s'ils nous trouvent étranges C'est parce que nous sommes des ANGES ? PHILIPPE MUYL, |
left by poutounou on 22/10/2017Il n'y a rien à ajouter : c'est l'homme qui ne va pas sur cette terre, enfin certains "hommes"... * Autocritique * Qu’est-ce qui ne va pas sur Terre ? C’est le chat dit la souris C’est le lion dit la gazelle C’est le loup dit l’agneau C’est l’homme dit l’homme. * Jean-Pierre Develle |
left by choupinou on 17/10/2017tout oeuvre digne de ce nom,un poème,une fleur,une musique,une peinture,une sculture,une photo,tente de transformer la solitude en ouverture,la souffrance en communion,les cris d'appel en chant,un chant qui raisonne au delà des abîmes creusées par la séparation et la mort François Chang merci pour mon petit Bullgum qui me manque tant,tendre caresses a votre petit coeur,ange d'amour choupinou, |
left by poutounou on 15/10/2017Un déjeuner au Paradis, sauf que nos Anges ne s'ennuient jamais, même le Dimanche... * Un déjeuner de fous * J’organise aujourd’hui un déjeuner de fous une chasse à l’herbe folle un braconnage de fruits verts. Nous boirons sous les pommiers du cidre de la pleine lune, nous ferons un jardin des moissons d’amitié de mots sans trèves et de soleils givrés. Et dans ce paysage de rêveries bruissantes nous danserons sur l’ennui des dimanches. * Luce Guilbaud ("La petite feuille aux yeux bleus" - Éditions Le farfadet bleu/Le dé bleu, 1998) |
left by Biscuit on 14/10/2017Allongée, je suis perdue dans mes pensées. je pense à toi, partie loin de moi... je regarde les étoiles, comme on le fesait avant que tu t'en ailles. le soir, quand il fesait bon, nous nous installions sur la terrasse pendant des heures à contempler ces belles lueurs... à chaque foi que je vois une étoile filante, je fait un voeu, un souhait que je désire : TE RETROUVER TOI QUI ME HANTE serait mon plus grand désir... je serais heureuse de te retrouver après toutes ces années passées sans toi à mes côtés pour m'épauler et me guider... avec toi, j'avais la joie de vivre. elle est partie avec ton dernier soupir. je n'aurais jamais cru pouvoir souffrir autant que ce jour où tu as du partir... |
left by Biscuit on 11/10/2017…Passe ma chance, tournent les vents Reste l’absence, obstinément. J’ai beau me dire que c’est comme ça Que sans vieillir, on n’oublie pas. QUOI QUE JE FASSE , OU QUE JE SOIS RIEN NE T’EFFACE, JE PENSE A TOI…., |
left by poutounou on 08/10/2017Et oui ! C'est quoi la vie ? * Le Secret * D'où viennent-ils ? Où vont-ils Tous ces humains que cherchent-ils ? * Il court, il court, le Secret ! Et les hommes lui courent après ! * Il est passé par ici Il repassera par là. * C'est comment, c'est quoi la vie ? Bien malin qui le dira ! * Elle est passée par ici, Elle repassera par là. * Il court, il court, le Secret ! Et les hommes lui courent après ! * Andrée Chedid ("Fêtes et lubies" - éditions Flammarion - 1973) |
left by poutounou on 01/10/2017Des nuages au Paradis ! Oui, mais de gentils nuages... * Les nuages * Trois petits nuages S’en venaient de Paris, Mais oui, mais oui. Mon Dieu, qu’ils étaient jolis ! Derrière eux le vent riait. Allez, allez ! Et claque, claque son fouet. Le premier nuage Etait léger comme un duvet. Le second petit nuage Avait de beaux cheveux frisés. Passant trop près du soleil, Le pauvre petit dernier S’y était brûlé le nez. Tant pis, tant pis Ils ne pouvaient pas s’arrêter Pensez ! Trois petits nuages S’en allaient au Paradis ! |
left by Biscuit on 01/10/2017La vie est la vie, que ce soit un chat, un chien ou un homme. Il n'y a pas de différence entre un chat, un chien, un homme. L'idée de différence est une conception humaine pour mettre l'homme à son avantage ». Sri Aurobindo. "En tant que mammifère, il est vraiment étonnant que l’homme ait pu commettre autant de crimes envers ceux que les indigènes - et les initiés - appelaient nos frères ! Imaginons dans quel état émotionnel nous serions (et donc celui, permanent, des animaux) après le rapt de nos enfants, les uns après les autres dès leur naissance, sachant qu’ils seront sacrifiés sur une broche, dans un four ou sur un grill et découpés en côtelettes ? Imaginons comment supporter toute une vie dans un ghetto puant (à l’identique de ceux dans lesquels les animaux sont obligés de vivre), gavés de chimie, marchant sur les cadavres des plus faibles, sans voir la lumière du jour et, pour certains, encerclés de bois ou de fer et ne pouvant marcher ni parfois même se lever ?… Imaginons les sentiments qui seraient les nôtres (et sont ceux des animaux) en voyant nos pères, mères, frères, sœurs, enfants et compagnons d’infortune embarquer de force et sans ménagement dans des camions vers la chaise électrique puis le dépeçage immédiat – parfois même encore vivants - pour le plaisir d’une autre espèce ? Cela ne nous rappelle-t-il rien ? Quelle personnalité propre à son espèce peut développer un petit veau, agneau, porcelet, poussin, etc., privé des soins, de l’amour et de l’éducation de sa mère ? Quand on y réfléchit, les souffrances que nous leur infligeons sont incommensurables et indignes ! Comment excuser un tel comportement ? Chaque animal sur terre (du plus humble au plus gros, domestique autant que sauvage) est un individu à part entière capable de ressentir - au même titre que nous - des émotions intenses de joie ou de tristesse, de peurs et même de terreur, de douleur et de dépression, des sentiments d’amour et de tendresse (où ils peuvent même choisir de vivre des liens de fidélité) et de concevoir des raisonnements intelligents, exactement comme vous et moi !" Hatem |
left by choupinou on 26/09/2017AUTOMNE -dans les forêts dépouillées déjà les feuilles rouillées font un tapis de velours et l'on entend de l'Automne gémir ce chant monotone coupé par des sanglots lourds -les frileuses hirondelles rasent le sol de coups d'ailes se rassemblent a grands cris et tous les oiseaux sauvages s'appellent sur les plaines et rivages près des étangs défleuris -c'est la saison triste et douce ou l'on rêve,ou sur la mousse en pleurant ont vient s'asseoir pour voir le soleil oblique dans le ciel mélancolique verser les joyaux du soir Jean Richepin et je rajoute... -ces véritables petits bijoux qui scintillent dans la nuit ces petites étoiles,c'est si doux au firmament,ce trésors luit et dans chacune d'elle,je peux voir nos petits anges que nous pleurons,notre désespoir choupinou |
left by poutounou on 24/09/2017Au revoir l'été !!! * Voici que la saison * Voici que la saison décline, L’ombre grandit, l’azur décroit, Le vent fraichit sur la colline, L’oiseau frissonne, l’herbe a froid. * Aout contre septembre lutte; L’océan n’a plus d’alcyon ; Chaque jour perd un minute, Chaque aurore pleure un rayon. * La mouche, comme prise au piège, Est immobile à mon plafond ; Et comme un blanc flocon de neige, Petit à petit, l’été fond. * Victor Hugo |
left by poutounou on 17/09/2017Voilà à quoi ressemble l'école au Paradis... * Notre école * Notre école se trouve au ciel. Nous nous asseyons prés des anges. Comme des oiseaux sur les branches. Nos cahiers d'ailleurs ont des ailes. * A midi juste, on y mange, Avec du vin de tourterelle, Des gaufres glacées à l'orange Les assiettes sont en dentelle. * Pas de leçon, pas de devoirs Nous jouons quelque fois, le soir Au loto avec les étoiles. * Jamais nous ne rêvons la nuit Dans notre petit lit de toile L'école est notre paradis. * Maurice Carême ("le moulin de papier" - Nathan) |
left by Biscuit on 17/09/2017Le paradis blanc (Michel Berger) Il y a tant de vagues et de fumée Qu'on arrive plus à distinguer Le blanc du noir Et l'énergie du désespoir Le téléphone pourra sonner Il n'y aura plus d'abonné Et plus d'idée Que le silence pour respirer Recommencer là où le monde a commencé Je m'en irai dormir dans le paradis blanc Où les nuits sont si longues qu'on en oublie le temps Tout seul avec le vent Comme dans mes rêves d'enfant Je m'en irai courir dans le paradis blanc Loin des regards de haine Et des combats de sang Retrouver les baleines Parler aux poissons d'argent Comme, comme, comme avant Y a tant de vagues, et tant d'idées Qu'on arrive plus à décider Le faux du vrai Et qui aimer ou condamner Le jour où j'aurai tout donné Que mes claviers seront usés D'avoir osé Toujours vouloir tout essayer Et recommencer là où le monde a commencé Je m'en irai dormir dans le paradis blanc Où les manchots s'amusent dès le soleil levant Et jouent en nous montrant Ce que c'est d'être vivant Je m'en irai dormir dans le paradis blanc Où l'air reste si pur Qu'on se baigne dedans A jouer avec le vent Comme dans mes rêves d'enfant Comme, comme, comme avant Parler aux poissons d'argent Et jouer avec le vent Comme dans mes rêves d'enfant Comme avant __________ , |
left by poutounou on 10/09/2017Un magnifique lac comme au Paradis blanc.... * J'ai pour toi un lac * J'ai pour toi un lac quelque part au monde Un beau lac tout bleu Comme un œil ouvert sur la nuit profonde Un cristal frileux Qui tremble à ton nom comme tremble feuille À brise d'automne et chanson d'hiver S'y mire le temps, s'y meurent et s'y cueillent Mes jours à l'endroit, mes nuits à l'envers. * J'ai pour toi, très loin Une promenade sur un sable doux Des milliers de pas sans bruits, sans parade Vers on ne sait où Et les doigts du vent des saisons entières Y ont dessiné comme sur nos fronts Les vagues du jour fendues des croisières Des beaux naufragés que nous y ferons. * J'ai pour toi défait Mais refait sans cesse les mille châteaux D'un nuage ami qui pour mon Ange Se ferait bateau Se ferait pommier, se ferait couronne Se ferait panier plein de fruits vermeils Et moi je serai celui qui te donne La Terre et la Lune avec le soleil. * J'ai pour toi l'amour quelque part au monde Ne le laisse pas se perdre à la ronde. * Gilles Vigneault |
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