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En hommage à
CANICHEcapi
Il est né le:01/07/2003
Il nous a quittés le:04/07/2015
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En hommage à
capi
25 bougies
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21475 Fleurs
Déposé par gervais bon noel mon capi tu me manque tant mais je sais que tu es entoure de plein d amis gros bisous maman Déposé par Jacky50 Bonnes fĂȘtes de NoĂ«l de la part de Hardy et Pierrot Ă toute votre famille et Capi Déposé par dianthe âââââââđ đ»đ đ»đ đ»đ đ»đ đ»đđđđđđđ |
1240 messages
Déposé par poutounou le 03/07/2024Petite pensĂ©e ! C'est tellement vrai ! Essayons juste de faire preuve d'indulgence..... * AVANT DE JUGER... * C'est tellement facile de trouver ce qui ne fonctionne pas dans la vie des autres. Nous nous disons souvent : "Si j'Ă©tais Ă sa place, je ferais telle chose, telle chose, telle chose !" Mais avons-nous dĂ©jĂ pensĂ© que si nous Ă©tions rĂ©ellement Ă la place de l'autre personne, vraiment dans ses souliers, nous serions alors aux prises avec ses Ă©motions, ses prĂ©jugĂ©s, ses rĂ©actions, ses inquiĂ©tudes, ses ambitions, ses objectifs, ses inhibitions, ses instincts ; bref, nous aurions son passĂ©, son prĂ©sent et son avenir et il est fort probable que nous agirions exactement de la mĂȘme façon qu'elle. * Avant de condamner quelqu'un, essayons non seulement de le comprendre, mais de vibrer au mĂȘme diapason que lui et nous constaterons alors que nos Ă©motions ressemblent aux siennes. * (Auteur inconnu) |
Déposé par spanky le 02/07/2024 «â Va la chercher! â» : Un chien hĂ©roĂŻque sauve la vie d'une fillette. Lâhomme aperçoit une fillette qui se dĂ©bat dans lâeau glacĂ©e, hors de sa portĂ©e. Il crie aussitĂŽt Ă son chienâ: «â Va la chercher! â» ISA FITTERMAN Deux jeunes sĆurs empruntent un sentier non loin dâune passerelle. De lĂ , elles contemplent la riviĂšre Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallĂ©e entre deux rives gelĂ©es. Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression rĂ©solue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette dâun an, visage rond et dâadorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mĂšre leur a dĂ©fendu dâapprocher⊠la riviĂšre. Et ses festons de glace. Les fillettes avancent Ă petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans lâeau. Puis il se produit un craquement sourd. Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant dâarriver au camion de son maĂźtre. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjouĂ©, avec un brin dâindĂ©pendance. Il nâest pas prĂȘt Ă rentrer Ă la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout sâil faut se mouiller. Venus de Fort Saskatchewan, Ă 25 km au nord dâEdmonton, les Shaw ont passĂ© un bel aprĂšs-midi au parc. Ici, les grands sentiers dĂ©gagĂ©s permettent de bien circuler avec la poussette oĂč dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils nâont croisĂ© quâune poignĂ©e de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. Câest alors quâils entendent des cris. Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pĂ©trifiĂ©s quelques secondes par une scĂšne dâhorreurâ: une petite fille a traversĂ© la glace, une autre essaie de la tirer de lĂ . «âOn vous voitâ! hurlent-ils. On arriveâ!â» Pendant que sa femme fait le 911, Adam lanceâ: «âRocky, on descendâ!â» Lâhomme de 28 ans dĂ©vale le mĂȘme talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusquâaux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frĂšre et meilleur ami, tuĂ© dans une collision frontale sur lâautoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. «âPas aujourdâhui, se dit-il. Personne ne mourra aujourdâhui.â» Krymzen voit le couple sâĂ©gosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendreâ: sa sĆur est dans lâeau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et sâest mise en sĂ»retĂ©. Samara, non. Ă prĂ©sent, Krymzen donnerait nâimporte quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurĂ©es sur la glaceâ? «âPeux-tu attraper ma mainâ?â» crie-t-elle Ă sa sĆur qui se dĂ©bat Ă la surface. Mais voilĂ que la glace cĂšde sous son poids et elle tombe Ă lâeau, elle aussi, tout en se cramponnant Ă un Ă©peron de glace. Puis lâhomme au chien se penche au-dessus dâelle, la soulĂšve et la dĂ©pose en sĂ»retĂ©. «âMa femme est lĂ , sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelĂ© les secours et va tâaider. Attends-la. Ne bouge pas.â» Krymzen frissonne. «âMa sĆurâ! OĂč est ma sĆurâ?â» Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe Ă la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pĂ©trole, est en congĂ© Ă la maison, mais ne peut rĂ©pondre, car il sâoccupe des deux fils cadets. Elle sâessuie les mains, ouvre. Câest le petit voisin de six ans qui est lĂ , trĂšs Ă©nervĂ©. «âLes filles sont Ă lâeauâ! ââDans une mareâ? ââNon, dans la riviĂšre, rĂ©pond le garçon. Samara flotte Ă la dĂ©rive.â» Sa petite fille potelĂ©e, tombĂ©e Ă lâeauâ? Miranda reste figĂ©e. Puis elle secoue la tĂȘte, hurle Ă son mari de surveiller les garçons et se prĂ©cipite Ă lâextĂ©rieur. Une priĂšre muette remue ses lĂšvres. Les paroles du gamin rĂ©sonnent dans sa tĂȘte. Dans le courant qui lâemporte, Samara prie elle aussi, avec la mĂȘme ferveur quâĂ lâĂ©cole catholique Sainte-Bernadette. «âDe grĂące, Seigneur, laissez-moi vivreâ», implore-t-elle silencieusement. Elle a dĂ©jĂ perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieuxâ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intĂ©rieure. Il fait si froid, plus froid quâelle nâaurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas lĂ -dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont Ă©coulĂ©es -depuis quâelle est tombĂ©e Ă lâeau. Elle a beau nâavoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est comptĂ©. Krymzen sanglote pendant quâAdam cherche sa sĆur des yeux. Il la repĂšre rapidement, un peu plus loin en aval, grĂące Ă son t-shirt rouge et Ă son collant rose. Rocky et lui sâĂ©lancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et lâenfant flotte Ă un mĂštre et demi de la croĂ»te solide, emportĂ©e comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver Ă cinq kilomĂštres dâAdamâ chaque fois quâil tente dâavancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. «âJe ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambesâ», crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pĂ©trole et qui pratique le plein air, Adam reconnaĂźt bien les symptĂŽmes dâhypothermie. Les muscles de Samara sont paralysĂ©s parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les rĂ©chauffer. BientĂŽt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales sâarrĂȘteront. Elle nâa plus que quelques minutes Ă vivre. Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais â Dieuâ! â la glace cĂšde sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans lâeau jusquâau cou, Rocky nageant Ă cĂŽtĂ© du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergĂ© sur lequel il sâappuie se dĂ©robe sous ses pieds, et il doit nager frĂ©nĂ©tiquement pour se sauver lui-mĂȘme. Dix secondes, puis vingt â lâheure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de lâeau et sort Ă son tour en sâaccrochant au cou du chien. Il se relĂšve en titubant et cherche Samara des yeux. Ă une quinzaine de mĂštres, il aperçoit une tĂȘte sombre et une tache rouge. Lâhomme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cĂšde de nouveau. Adam reste lĂ , impuissant, Rocky Ă ses cĂŽtĂ©s. Que faireâ? La rĂ©ponse fuse dans sa tĂȘte dictĂ©e par la confiance quâil met dans son chien â ce chien qui porte le nom dâun boxeur de cinĂ©ma devenu champion contre toute attente. Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid quâil a dĂ©jĂ creusĂ© une grotte dans la neige et jouĂ© dedans par moins 46 degrĂ©s Celsius. Rocky, prĂȘt Ă tirer jusquâĂ la rive une Kelsey paresseusement accrochĂ©e Ă sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourdâhuiâ? «âJe vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien Ă lâeau un peu plus bas, hurle-t-il Ă Samara. Accroche-toi Ă lui, Ă la laisse, Ă sa fourrure, Ă nâimporte quoi et ne lĂąche pas.â» Le chien est leur derniĂšre chance. «âRocky, vas-yâ!â» Lâanimal se jette Ă lâeau et nage vigoureusement Ă contre-courant pour rejoindre Samara. Ă bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collĂ©es au crĂąne. Elle aime les chiens, mĂȘme les grands, et nâa pas peur de lui, mais câest Ă peine si elle parvient Ă garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle nâessaie pas dâattraper la laisse. Rocky lui donne un coup de patte comme pour direâ: «âDĂ©pĂȘche-toi, nous nâavons pas de temps Ă perdre.â» Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait. «âTiens-toi Ă deux mainsâ», crie Adam avant dâordonnerâ: «âRocky, viensâ!â» Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramĂšne au bord. Adam la tire de lâeau et la serre dans ses bras. Il a lâimpression de tenir un glaçon. «âTiens bon, dit-il. Tiens bon.â» Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que lâappareil fonctionne encore aprĂšs son bain forcĂ©. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil. Il est 16 h 35. Ă peine 15 minutes se sont Ă©coulĂ©es depuis quâAdam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempĂ© se prĂ©pare Ă attendre.Rocky et Adam encadrent Samara pour la soutenir et tenter de la rĂ©chauffer. «âCâest bonâ», murmure sans arrĂȘt Adam comme sâil rĂ©citait un mantra. Miranda entre en trombe Ă lâhĂŽpital de lâUniversitĂ© de lâAlberta en rĂ©clamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond dâun lit, sous une couverture chauffante. Samara dĂ©gĂšle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les mĂ©decins lui expliquent que sa fille nâavait que deux petites minutes Ă vivre lorsque Rocky lâa remorquĂ©e jusquâĂ la berge. «âMaman, jâai failli mourir.â» Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue. Mais elle ne peut que serrer trĂšs fort Samara contre elle. ------ |
Déposé par ovanek le 01/07/2024Le chien que tu aimes aujourd'hui, avec une fourrure si brillante A Ă©tĂ© envoyĂ© par le chien qui a volĂ© ton cĆur la nuit Celui qui remuait la queue avec une grĂące joyeuse Et rempli ta vie d'amour et d'une Ă©treinte chaleureuse đžââââą àłâąâ§àčđàčâ§âąàł âąâââźđž Le compagnon d'hier, avec des yeux si vrais EnvoyĂ© le cher ami d'aujourd'hui, pour aimer et renouveler Le lien que vous partagez, un fil sans fin Tisser des souvenirs, de joie et d'amour non-dits đŠâ°âââą àłâąâ§àčđàčâ§âąàł âąâââŻđŠ Le chien que tu aimes aujourd'hui, avec des cĂąlins si serrĂ©s A Ă©tĂ© apportĂ© par l'amour qui brille si fort Aux yeux de l'ami fidĂšle d'hier Tu vois l'amour qui ne finira jamais đžââââą àłâąâ§àčđàčâ§âąàł âąâââźđž Car dans leurs cĆurs, une place spĂ©ciale que tu occupes Un amour si fort qu'il transcende le temps et l'Ăąge vieux Le chien que tu aimes aujourd'hui, un cadeau de la haut EnvoyĂ© par l'amour, que vous avez partagĂ© avec un amour infini đŠâ°âââą àłâąâ§àčđàčâ§âąàł âąâââŻđŠ Alors chĂ©rissez chaque moment, chaque cĂąlin et chaque jeu Car l'amour que vous partagez ne disparaĂźtra jamais Le chien que tu aimes aujourd'hui, une bĂ©nĂ©diction du passĂ© Un rappel de l'amour qui durera toujours |
Déposé par ovanek le 30/06/2024Dans le jardin des souvenirs, oĂč le soleil brille toujours Un ami Ă fourrure est couchĂ© en train de dormir, avec un cĆur divin Tes pattes ne vagabondent plus ta queue ne balance plus Mais dans nos cĆurs, ton amour ne disparaĂźtra jamais ê§đŠÂ°ââ±âż.â«đŠââ± đâ±âźđŠÂ°ââ±âż.â«đŠê§ Au revoir cher compagnon notre bougie dans la nuit Ton amour Ă©tait un phare, brillant si fort et vrai MĂȘme si tu es parti, ta mĂ©moire reste, un amour qui ne disparaĂźtra jamais Adieu cher ami nos cĆurs ne seront plus jamais les mĂȘmes ê§đŠÂ°ââ±âż.â«đŠââ± đâ±âźđŠÂ°ââ±âż.â«đŠê§ Tu as chassĂ© nos ombres, avec un remĂšde de ta queue Vos cĂąlins et vos bisous ont fait que nos cĆurs ne faillissent jamais Dans tes yeux, nous avons vu l'amour, pur, vrai et gentil Maintenant tu cours libre, dans un monde laissĂ© derriĂšre toi ê§đŠÂ°ââ±âż.â«đŠââ± đâ±âźđŠÂ°ââ±âż.â«đŠê§ Au revoir cher compagnon notre bougie dans la nuit Ton amour Ă©tait un phare, brillant si fort et vrai MĂȘme si tu es parti, ta mĂ©moire reste, un amour qui ne disparaĂźtra jamais Adieu cher ami nos cĆurs ne seront plus jamais les mĂȘmes ê§đŠÂ°ââ±âż.â«đŠââ± đâ±âźđŠÂ°ââ±âż.â«đŠê§ On va tenir les moments qu'on a partagĂ© au fil des annĂ©es Les rires, les aventures, la joie et les larmes Ton amour Ă©tait un cadeau, un trĂ©sor si rare Dans nos cĆurs ta mĂ©moire sera Ă jamais lĂ ê§đŠÂ°ââ±âż.â«đŠââ± đâ±âźđŠÂ°ââ±âż.â«đŠê§ Au revoir cher compagnon notre bougie dans la nuit Ton amour Ă©tait un phare, brillant si fort et vrai MĂȘme si tu es parti, ta mĂ©moire reste, un amour qui ne disparaĂźtra jamais Adieu cher ami nos cĆurs ne seront plus jamais les mĂȘmes |
Déposé par spanky le 30/06/2024DESSINE-MOI...un ESPOIR ----- Cââest une petite voix que jââentends, depuis mercredi, dans le dĂ©sert de ma tĂȘte, une petite voix qui me demande : Dessine-moi un espoir !!! Jââaimerais bien, mais on dessine ça comment un espoir, quand on vient de voir des gens se faire tuer Ă cause de leurs dessins ??? On dessine un soleil ??? Un gros soleil. Un rond jaune avec plein de lignes autour. De nos jours, le soleil, ce nââest plus lââespoir. Le soleil, cââest le danger. Cââest la folie des hommes qui a transformĂ© lââastre de la vie en bombe Ă retardement, Ă cause de leur fumĂ©e. De leur progrĂšs. De leur argent. On dessine une maison ??? Un carrĂ© avec un triangle par-dessus pour faire le toit.... Une porte et deux fenĂȘtres. Et on se dit que dans la maison, il y a des gens heureux.... Mais sââils ne lââĂ©taient pas ? Il y a tellement de maisons avec des habitants malheureux dedans. Avec des frĂšres qui mĂ©prisent les maisons qui les entourent. Et qui dĂ©barquent dans lââune dââelles, pour commettre lââirrĂ©parable. On dessine un coeĆur ? ?? Un grand coeĆur..... Et on le colore tout rouge pour quââil ne soit pas vide. Parce quââil nâây a rien de plus triste quââun cĆoeur vide. Mais un coeĆur tout rouge, ça devient un coeĆur qui saigne. Lââamour et le sang ont la mĂȘme couleur....... Et cââest toujours pour le premier que coule le second. On dessine une fleur ? Un rond, des pĂ©tales autour et une tige.... Cââest beau, une fleur. Mais aujourdâhui, impossible dââen voir une sans penser quââil y a un mort en-dessous. Comme toutes ces fleurs laissĂ©es sur le trottoir devant le 10, rue Nicolas-Appert..... Jââai peur quââun jour, il nâây ait plus assez de fleurs pour tous les morts que lââon fait. On dessine un bonhomme allumette ??? Un rond pour la tĂȘte, une ligne pour le corps, deux lignes pour les jambes, deux lignes pour les bras. Un ĂȘtre humain, ça devrait ĂȘtre ça, le symbole de lââespoir..... Pourtant, il nâây a rien de plus dĂ©sespĂ©rant quââun ĂȘtre humain. Il peut tuer son voisin parce quââil nââaime pas son dessin.... Lââespoir, cââest croire que demain, ça ira mieux. Que demain, le monde sera meilleur. Les journalistes de Charlie Hebdo le croyaient.... Cââest pour ça quââils se tenaient debout. Câest pour ça quââils riaient. On leur a fait peur.... Ăa nââa rien changĂ©. La peur nââa pas eu raison de leur foi en lââhomme..... Ils sont restĂ©s debout. Ils ont continuĂ© Ă rire. Des vrais. Pour tuer leur espoir, il fallait les tuer. Cââest ce que des fous ont fait. Et nous qui assistons à ça, nous qui ne sommes pas aussi braves que les victimes, ni aussi lĂąches que les agresseurs, comment on fait pour continuer de croire quââun jour, ça ira mieux ? Quand les plus convaincus sont partis Ă cause de leurs convictions?? ? Et que la tuerie se poursuit, le lendemain ???? Cââest lââultime but des terroristes : tuer lââespoir. Ils veulent rendre tout le monde semblable Ă eux. Il nâây a, en eux, aucun espoir. Cââest pour ça quââils sont prĂȘts Ă tuer. Cââest pour ça quââils sont prĂȘts Ă mourir. Lââespoir fait vivre. Lââabsence dââespoir fait tuer. Pourquoi en sont-ils rendus lĂ ??? SĂ»rement Ă cause des hommes...!!! Dâautres hommes...... DĂ©sespĂ©rĂ©s avant eux. Et la roue tourne. Gigantesque..... Et elle Ă©crase tous ceux qui ont le malheur dââĂȘtre sur son chemin. Bien sĂ»r, la solidaritĂ© qui naĂźt aprĂšs lââhorreur est Ă©mouvante. Ăa rĂ©conforte. Nous sommes tous Charlie. Cââest joli. Mais un coup que cââest dit, quââest-ce quââon fait ??? On redevient StĂ©phane, Martine ou François. Et on pense Ă soi. En premier. Comment rester Charlie ??? Depuis mercredi, jââai la tĂȘte comme un dĂ©sert. VidĂ©e de mes repĂšres. VidĂ©e de mes beautĂ©s. Chaque fois que lââhomme est un loup pour lââhomme, ça mââanĂ©antit. Vous aussi. Et lââenfant en moi qui supplie : Dessine-moi un espoir !!! Dessine-moi un espoir !!! Mon soleil, ma maison, mon coeĆur, ma fleur, mon bonhomme nââont pas fait lââaffaire..... Je mââessaie une derniĂšre fois. Je prends une feuille blanche. Et je nâây dessine rien.... Je la lui tends : Tiens mon enfant, cââest ça lââespoir. Une page blanche.... Il la prend. Il est content.... Il comprend. Lââespoir est une page blanche..... Tant que la page est blanche, il est permis de croire que lââon va faire le plus beau des dessins. Tellement beau quââil nous rendra heureux. Si on tournait la page de nos marques et de nos blessures.⊠Si on avait tous devant nous une page blancheâŠ!!!!⊠------ |
Déposé par poutounou le 30/06/2024Avoir ta patte dans ma main, lâinstant seulement dâune pause.... * L'INSTANT D'UNE PAUSE * Lâinstant d'une pause Le bonheur est fait de rien Et de mille petites choses De se lever le matin Sans plus en chercher la cause De savoir que le chemin Parfois peut-ĂȘtre morose Et dans un sourire malin Ătre prĂȘt pour une pause Il y a des jours oĂč tout est gris Et oĂč l'on ne voudrait rien voir Et puis, il y a notre coeur aussi Qui nous conduit jusqu'au soir Il y a cette solitude intense Qui existe et qui est lĂ C'est dans ces moments, je pense, Que je peux rĂȘver de toi Ă chercher, Ă tout comprendre Je me demande si je verrais Un jour les fleurs en dĂ©cembre Et la neige en Ă©tĂ© Sur le site de mon coeur Il y a tant de va-et-vient Et j'en ressens la douleur De la nuit jusqu'au matin Le bonheur est fait de rien Et de mille petites choses D'avoir ta patte dans ma main L'instant seulement d'une pause. * (Auteur inconnu) |
Déposé par spanky le 28/06/2024Petite colombe, dis lui ---- Petite colombe, dis lui que je tombe, moi je n'ai pas d'aile, pour aller vers lui ... --- Petite colombe, souvent je retombe, dans les vieux souvenirs, pour encore essayer de le retenir, voulant le faire revenir... --- Petite colombe, dis lui que je succombe, souvent, bien trop souvent, face Ă mes sentiments, qui sont vouĂ©s Ă s'envoler dans le vent... --- Petite colombe, dis lui, comme il manque Ă ma vie, que son paradis, bien que joli, n'a peut ĂȘtre pas de prix, mais celui qui me l'a prit, c'est lui... ----- Texte de Sundhauser FlavienĂ© ---- |
Déposé par ovanek le 27/06/2024Le don du temps Dans les moments tranquilles, je reflĂšte, A temps on a partagĂ©, l'amour, le respect. Ta douce nature, ta joie sans limites, Un cadeau qui grandit avec chaque annĂ©e âââââââââ âàŒșđàŒ» âàŒșđàŒ»â ââââââââââ Tu m'as appris la patience, la joie, et la paix Dans ton Ă©treinte, mes soucis cessent Bien que maintenant tu sois allĂ© dans des royaumes lointains Tu es toujours mon Ă©toile la plus brillante et qui guide âââââââââ âàŒșđàŒ» âàŒșđàŒ»â ââââââââââ Chaque jour sans toi semble si long Mais les souvenirs jouent une douce chanson Dans chaque battement, dans chaque souffle Ton esprit vit au-delĂ de la mort âââââââââ âàŒșđàŒ» âàŒșđàŒ»â ââââââââââ Le temps que nous avons passĂ© Ă©tait bien trop bref Pourtant remplie d'amour et de peu de chagrin Je merci pour chaque jour prĂ©cieux Dans mon cĆur tu restera toujours |
Déposé par ovanek le 26/06/2024Si lâon a pas connu lâamitiĂ© dâun animal La complicitĂ© sincĂšre qui nous lie Ă ce frĂšre du monde du vivant âȘž.âą*š*âą.žâȘž.âą*š*âą.žâ„ž.âą*š*âą.žâȘž.âą*š*âą.žâ„ž.âą*š*âą.ž âȘž Alors je crains que nous ayons manquĂ© lâune des plus belles aventures Qui nous soit donnĂ©e de connaĂźtre sur cette terre âȘ.âą*š*âą.žâ„ž.âą*š*âą.žž.âą*š*âą.žâȘž.âą*š*âą.žâ„ž.âą*š*âą.žâȘ Guillaume Prevel |
Déposé par poutounou le 26/06/2024Que de sagesse ! * LES LEĂONS DE LA VIE * AprĂšs un certain temps, Tu apprends la diffĂ©rence entre Tenir la main d'un ami et l'enchaĂźner. * Tu apprends que l'amour Ne signifie pas se reposer sur quelqu'un, Mais lui apporter un soutien. * Tu commences Ă accepter tes dĂ©faites Avec la dignitĂ© d'un adulte Et non le dĂ©sespoir d'un enfant. * Tu dĂ©cides de construire ta vie Au jour le jour parce que Les lendemains sont trop incertains. * Tu aides Ă semer un jardin PlutĂŽt que d'attendre Que l'on t'apporte des fleurs. |
Déposé par spanky le 26/06/2024Suite Ă une dispute avec son mari, Shannon Lorio a pris sa voiture et a empruntĂ© une des routes prĂšs de chez elle qui Ă©tait particuliĂšrement sinueuse et venteuse. Et malheureusement, en empruntant l'un des virages, Shannon a perdu le contrĂŽle de son vĂ©hicule qui a zigzaguĂ© avant de terminer sa course prĂšs des arbres, la rendant ainsi invisible des automobilistes empruntant la mĂȘme route qu'elle. ---- Le choc l'ayant propulsĂ© Ă travers le pare-brise arriĂšre de sa voiture, Shannon Ă©tait inconsciente. Mais lorsqu'elle a repris ses esprits, elle a senti une prĂ©sence et a dĂ©couvert qu'il s'agissait d'un grand chien. Celui-ci s'est approchĂ© d'elle et a lĂ©chĂ© le sang qui se trouvait sur son visage. De peur, la femme a perdu Ă nouveau connaissance mais lorsqu'elle s'est rĂ©veillĂ©e, elle s'est rendu compte que l'animal Ă©tait en train d'essayer de la sortir de la carcasse de la voiture en tirant sur sa chemise et sur sa veste. Une fois hors du vĂ©hicule, le chien a continuĂ© Ă la tirer par ses vĂȘtements afin de l'approcher de la route. ---- C'est alors que Shannon a aperçu un vĂ©hicule et s'est redressĂ©e en prenant appui sur le chien. La voiture s'est alors arrĂȘtĂ©e et elle a pu demander de l'aide et ĂȘtre rapidement amenĂ© dans l'hĂŽpital le plus proche. Depuis, Shannon va beaucoup mieux mĂȘme si elle boite encore un peu. Le chien errant, quant Ă lui, a hĂ©ritĂ© du nom de "Hero" et a Ă©tĂ© adoptĂ© par une dresseuse de chiens de sauvetage. Ainsi, il pourra venir en aide Ă beaucoup d'autres personnes et en particulier lors de l'effondrement de bĂątiments ou de catastrophes naturelles. ----- |
Déposé par ovanek le 25/06/2024Nous allons tous mourir Le secret c'est que la mort n'est pas une fin Mais une transition vers la renaissance, le dĂ©but d'un long voyage... Nous sommes sur Terre que de passage, jusqu'au moment du retour âââââââââ â° â° â° â°àŒșđșàŒ» â° â° â° â° âââââââââ A chacun d'en faire un beau moment, une renaissance dans les sphĂšres divines Il y a tant de croyances illusoires sur cette Terre Pourquoi avoir fait de la mort un tel chĂątiment que la plupart des gens ne veulent pas y penser Et vivent comme s'ils Ă©taient Ă©ternels ? âââââââââ â° â° â° â°àŒșđșàŒ» â° â° â° â° âââââââââ La vie n'est qu'un temps d'expĂ©rimentation dans le monde tridimensionnel terrestre Avec un corps humain fragile et un esprit ayant tout oubliĂ© des plans subtils et de son destin stellaire Notre chemin sur Terre ne sera-t-il pas justement de retrouver l'Ă©tincelle divine en nous ? âââââââââ â° â° â° â°àŒșđșàŒ» â° â° â° â° âââââââââ Changeons notre regard, plaçons-nous dans une perspective oĂč la mort serait l'aboutissement heureux d'une vie consciente Une renaissance vers un monde que nous connaissons puisque nous en venons Elle est une grĂące, un envol, un Ă©vĂšnement heureux Ă fĂȘter, heureux pour celui qui est parti MĂȘme si son absence apparente nous attriste La mort est un voyage au loin, dans une autre dimension, oĂč nous sommes vouĂ©s Ă nous retrouver àŒșđșàŒ» đ”đÌđđđđđÌđđ đđ đ”đđđđđđĄ |
Déposé par poutounou le 23/06/2024Et oui ! Parfois la chance passe tout prĂšs sans faire de bruitâŠ!!! * 10 COMMANDEMENTS DU BONHEUR * Sois toujours le premier Ă dire bonjour. Fais toi de nouveaux amis mais n'oublie pas les anciens. Ne perds pas ton temps Ă apprendre les trucs du mĂ©tier... Apprends le mĂ©tier. Sers toi de l'humour pour faire rire les gens, pas pour rire des gens. Embrasse tes enfants aprĂšs les avoir disputĂ©s. A la bourse, n'investis jamais plus que ce que tu es prĂȘt Ă perdre. Prends l'habitude de rendre service Ă des gens qui ne sauront mĂȘme pas que tu les as aidĂ©s. RĂ©pĂšte souvent Ă tes enfants qu'ils sont fantastiques et que tu leur fais confiance. Apprends Ă Ă©couter... Parfois la chance passe tout prĂšs, sans faire de bruit. * (Auteur inconnu) |
Déposé par ovanek le 22/06/2024Ce qui est bouleversant C'est que quand tout est dĂ©truit Il nây a pas la mort et le vide comme on le croirait Pas du tout ... Je vous le jure ... đŠâąâââââ âđđđâ ââââââąđŠ Quand il n'y a plus rien Il n'y a que l'Amour Il n'y a plus que l'Amour Tous les barrages craquent C'est la noyade , l'immersion L'amour n'est pas un sentiment C'est la substance mĂȘme de la crĂ©ation ... đŠâąâââââ âđđđâ ââââââąđŠ Je croyais jusqu'alors que l'amour Ă©tait reliance Qu'il nous reliait les uns aux autres Mais cela va beaucoup plus loin ! Nous n'avons pas mĂȘme Ă ĂȘtre reliĂ©s Nous sommes Ă l'intĂ©rieur les uns des autres C'est cela le plus grand vertige De l'autre cĂŽtĂ© du pire t'attend l'Amour Il n'y a en vĂ©ritĂ© rien Ă craindre đŠâąđâąđŠ Christiane Singer |
Déposé par spanky le 22/06/2024JE SUIS UN CHEVAL DE CORRIDA. ---- JâAI LES CORDES VOCALES COUPĂES POUR NE PAS HENNIR DE DOULEUR. JâAI LES YEUX BANDĂS POUR NE PAS RECULER DE PEUR. JâAI DE LA VASELINE DANS LES NARINES POUR NE PAS SENTIR LâODEUR DU SANG. JâAI DU COTON DANS LES OREILLES POUR NE PAS ENTENDRE LES PLEURS DU TAUREAU⊠JE RISQUE MA VIE POUR UN PLAISIR SADIQUE. JE SUIS UNE VICTIME OUBLIĂE, SILENCIEUSE DES CORRIDAS⊠----- |
Déposé par spanky le 20/06/2024Lettre dâune maman chien aux maĂźtres de son bĂ©bĂ©: ---------- Je suis Dolly ! ---- Je suis la maman du bĂ©bĂ© que tu serres dans tes bras comme si câĂ©tait toi qui lâavais mit au monde. Dâun cĂŽtĂ©, je vois que tu ne lui veux que du bien, mais fais attention sâil te plaĂźt ! Il nâa pas lâhabitude dâĂȘtre portĂ© aussi haut ! Oui, Il tremble ! Non, il nâa pas froid ! Il ne te connaĂźt pas... Tu sais, mon bĂ©bĂ© Ă dĂ©jĂ des sentiments ! Il nâa connu Ă prĂ©sent que moi, ses frĂšres, et nos maĂźtres, alors forcĂ©ment, il ne comprends pas tout ! Il ne comprend dĂ©jĂ pas pourquoi tu colles ton nez sur sa truffe ! Nous nous disons bonjour en nous reniflant le derriĂšre, nous !!! Mais je lui ai dis que ce jour arriverait et je lâai prĂ©parĂ© ! Regarde... il te lĂšche dĂ©jĂ ! ---- Non !! Il ne tâa pas choisi ! Il est comme ça... il ne connaĂźt pas autre chose que lâamour ! ---- Non, je ne suis pas triste que tu le prennes avec toi ! Je veux juste que tu le respectes dĂ©jĂ ... ---- Tu poses plein de questions sur lui ! "Est-il propre? Est-il sage?" Les enfants humains sont ils parfaits si tĂŽt ? Pourquoi mon bĂ©bĂ© devrait lâĂȘtre et pas le tien? "ConnaĂźt il la laisse?". Non, et si tu veux ĂȘtre complice avec lui, il va falloir que ce soit toi qui le lui apprenne ! Pas demain, il ne te connait pas. Pourquoi devrait il te suivre ? Tu ne sais pas comment faire ? Lui non plus ! ---- Tu vas partir dans ta maison avec mon bĂ©bĂ©. Sâil te plaĂźt, comprends donc quâil ne soit pas parfait ! Il va pleurer parce quâil va se retrouver tout seul ce soir, et il ne connaĂźt ni toi, ni ton chez toi ! Il fera pipi et caca sĂ»rement et pas lĂ oĂč tu voudras. ---- Si les premiers jours seront compliquĂ©s pour toi, qui lâa choisi, dis toi que pour mon bĂ©bĂ©, câest un chamboulement aussi. Prends soin de lui, comprends un peu ce quâil vit. ---- Ne laisse pas tes enfants le chicaner ou lâĂ©touffer de tout leur amour. Laisse le arriver, prendre ses marques et comprendre que câest sa maison ! Il nous oubliera vite moi et sa fratrie. Il nâaura dâyeux que pour toi. Mais sois patient ! ---- Il te suivra partout et tu devras lui apprendre Ă rester seul aussi, sinon... il pleurera. Il nâaura pas conscience quâil gĂȘnera ta voisine et dâailleurs le vrai drame, câest que tu ne seras pas lĂ !!! ---- Peut ĂȘtre mordillera-t-il tes chaussures, les meubles, tes tapis ou tes mains. Mon bĂ©bĂ© nâa pas de mains pour toucher Ă tout! Il touche avec sa bouche... le tien faisait comment ? ---- Mon bĂ©bĂ© pourra peut-ĂȘtre manger ta tapisserie, moi jâai vu un petit garçon humain dessiner sur un placard !!! Mais... mon bĂ©bĂ© va grandir plus vite que le tien ! Il deviendra ado ! Oui, chez nous aussi nous devenons ados ! Il voudra ĂȘtre le chef et retombera en enfance... et toi, tu vas te tirer les cheveux !!! Mais sâil te plaĂźt, montre lui que tu nâes pas dâaccord, garde ton sang froid, et nâoublie pas que lâadolescence ne dure quâun temps ! ---- Et puis il deviendra adulte, et lĂ , il sera ce chien dont tu as rĂȘvĂ© ... Seulement si tu lâas bien Ă©duquĂ© ! Sâil tire en laisse, par exemple, câest parce que tu lâas laissĂ© tirer !! Sâil saute sur ton canapĂ© plein de boue, en rentrant de la balade... câest parce que dĂšs le premier jour, tu lâas pris sur tes genoux pour regarder la tĂ©lĂ© ! Sâil mange tes jolis talons tout neufs, câest parce que tu lui as donnĂ© une vieille pantoufle un jour ! Moi mĂȘme, je nâai jamais vraiment compris la diffĂ©rence entre vieille pantoufle et talons Louboutins ! ---- Maintenant que tu pars avec lui, une fois passĂ© la porte, commence ton travail ! Sâil te plaĂźt, fais le, pour son bien ĂȘtre et le tien, ou laisse le moi. ---- Si tu pars avec lui, tu dois le garder toute sa vie et prendre soin de lui ! Si toi tu as une vie Ă cĂŽtĂ©, lui, il nâaura que toi... parce que TOI, tu seras toute sa vie ! Ou alors, laisse le moi... ---- Mon bĂ©bĂ© nâest pas un caprice, ni un jouet, .....ni un cadeau... câest vrai ! Mon bĂ©bĂ© est un ĂȘtre vivant, avec des sentiments.. capable du pire, comme du meilleur, et si, tu suis mes conseils, et si, tu tiens tes promesses... alors tu pleureras toutes les larmes de ton cĆur Ă son dernier jour, tu ressentiras un Ă©norme vide, et tu diras que ton chien, ton meilleur ami, TON bĂ©bĂ© Ă©tait ... ... PARFAIT !" ---- Dolly. ----- |
Déposé par ovanek le 20/06/2024J'ai commencĂ© un grand voyage, Ă travers l'Ă©ternitĂ© avec mon Ăąme comme seul bagage pour accomplir ma destinĂ©e... J'ai perdu ma forme humaine? pas mon identitĂ©... đŠïœĄ:*âą.âââââ ââżđžđ€đžâżâ âââââ.âą*:ïœĄđŠ Et comme avant je suis auprĂšs de vous, je continue Ă vous aimer... Je ne suis pas solitaire, ni perdu ni dĂ©laissĂ©... J'ai simplement quittĂ© la terre, une autre vie a commencĂ©... đŠïœĄ:*âą.âââââ ââżđžđ€đžâżâ âââââ.âą*:ïœĄđŠ Pour surmonter ce vide, laissez parler vos sentiments Je sĂšcherai vos visages humides car je serai toujours prĂ©sent... |
Déposé par poutounou le 19/06/2024Et non ! La vie ce nâest pas toujours comme marcher sur du velours⊠!!! Câest des clous, des planches abimĂ©es, des trous, et des fois il fait noir et on nây voit rien⊠mais il faut continuer car ça en vaut la peine : il y a tellement de beaux moments, de belles rencontres, comme celles avec nos Amours de chien, qui nous font oublier pour un temps la duretĂ© de la vie⊠* LA MĂRE Ă SON FILS * C'est moi qui te le dis, petit, La vie, c'est pas comme marcher sur du velours, C'est un escalier qu'il faut grimper. Y'a des clous qui dĂ©passent, Et des planches abĂźmĂ©es, Et des bouts oĂč y'a mĂȘme pas de plancher : Des trous. Et tout ce temps-lĂ , On n'arrĂȘte pas de grimper, De changer de palier, De tourner les coins. MĂȘme que des fois y'a pas de lumiĂšre Et qu'on n'y voit rien. Alors, petit, te retourne pas, Va pas redescendre l'escalier. C'est assez dur, fais pas exprĂšs, Va pas dĂ©gringoler maintenant Parce que moi, je continue, J'ai pas fini de grimper. Et c'est moi qui te le dis, La vie, c'est pas comme marcher sur du velours. * (Auteur inconnu) |
Déposé par spanky le 18/06/2024Les Malheureux de Louise Ackermann ----- A tous les animaux martyres , abandonnĂ©s, esclaves La trompette a sonnĂ©. Des tombes entr'ouvertes Les pĂąles habitants ont tout Ă coup frĂ©mi. Ils se lĂšvent, laissant ces demeures dĂ©sertes OĂč dans l'ombre et la paix leur poussiĂšre a dormi. Quelques morts cependant sont restĂ©s immobiles ; Ils ont tout entendu, mais le divin clairon Ni l'ange qui les presse Ă ces derniers asiles Ne les arracheront. « Quoi ! renaĂźtre ! revoir le ciel et la lumiĂšre, Ces tĂ©moins d'un malheur qui n'est point oubliĂ©, Eux qui sur nos douleurs et sur notre misĂšre Ont souri sans pitiĂ© ! Non, non ! PlutĂŽt la Nuit, la Nuit sombre, Ă©ternelle ! Fille du vieux Chaos, garde-nous sous ton aile. Et toi, sĆur du Sommeil, toi qui nous as bercĂ©s, Mort, ne nous livre pas ; contre ton sein fidĂšle Tiens-nous bien embrassĂ©s. Ah! l'heure oĂč tu parus est Ă jamais bĂ©nie ; Sur notre front meurtri que ton baiser fut doux ! Quand tout nous rejetait, le nĂ©ant et la vie, Tes bras compatissants, ĂŽ notre unique amie ! Se sont ouverts pour nous. Nous arrivions Ă toi, venant d'un long voyage, Battus par tous les vents, haletants, harassĂ©s. L'EspĂ©rance elle-mĂȘme, au plus fort de l'orage, Nous avait dĂ©laissĂ©s. Nous n'avions rencontrĂ© que dĂ©sespoir et doute, Perdus parmi les flots d'un monde indiffĂ©rent ; OĂč d'autres s'arrĂȘtaient enchantĂ©s sur la route, Nous errions en gĂ©missant. PrĂšs de nous la Jeunesse a passĂ©, les mains vides, Sans nous avoir fĂȘtĂ©s, sans nous avoir souri. Les sources de l'amour sous nos babines avides, Comme une eau fugitive, au printemps ont tari. Dans nos sentiers brĂ»lĂ©s pas une fleur ouverte. Si, pour aider nos pas, quelque soutien chĂ©ri Parfois s'offrait Ă nous sur la route dĂ©serte, Lorsque nous les touchions, nos appuis se brisaient : Tout devenait roseau quand nos cĆurs s'y posaient. Au gouffre que pour nous creusait la DestinĂ©e Une invisible main nous poussait acharnĂ©e. Comme un bourreau, craignant de nous voir Ă©chapper, A nos cĂŽtĂ©s marchait le Malheur inflexible. Nous portions une plaie Ă chaque endroit sensible, Et l'aveugle Hasard savait oĂč nous frapper. Peut-ĂȘtre aurions-nous droit aux celestes dĂ©lices ; Non ! ce n'est point Ă nous de redouter l'enfer, Car nos fautes n'ont pas mĂ©ritĂ© de supplices : Si nous avons failli, nous avons tant souffert ! Eh bien, nous renonçons mĂȘme Ă cette espĂ©rance D'entrer dans ton royaume et de voir tes splendeurs, Seigneur ! nous refusons jusqu'Ă ta rĂ©compense, Et nous ne voulons pas du prix de nos douleurs. Nous le savons, tu peux donner encor des ailes Aux Ăąmes qui ployaient sous un fardeau trop lourd ; Tu peux, lorsqu'il te plaĂźt, loin des sphĂšres mortelles, Les Ă©lever Ă toi dans la grĂące et l'amour ; Tu peux, parmi les chĆurs qui chantent tes louanges, A tes pieds, sous tes yeux, nous mettre au premier rang, Nous faire couronner par la main de tes anges, Nous revĂȘtir de gloire en nous transfigurant. Tu peux nous pĂ©nĂ©trer d'une vigueur nouvelle, Nous rendre le dĂ©sir que nous avions perdu⊠Oui, mais le Souvenir, cette ronce immortelle AttachĂ©e Ă nos cĆurs, l'en arracheras-tu ? Quand de tes chĂ©rubins la phalange sacrĂ©e Nous saluerait Ă©lus en ouvrant les saints lieux, Nous leur crierions bientĂŽt d'une voix Ă©plorĂ©e : « Nous Ă©lus ? nous heureux ? Mais regardez nos yeux ! Les plaintes y sont encor, angoisse amers, pleurs sans nombre. Ah ! quoi que vous fassiez, ce voile Ă©pais et sombre Nous obscurcit vos cieux. » Contre leur grĂ© pourquoi ranimer nos poussiĂšres ? Que t'en reviendra-t-il ? et que t'ont-elles fait ? Tes dons mĂȘmes, aprĂšs tant d'horribles misĂšres, Ne sont plus un bienfait. Au ! tu frappas trop fort en ta fureur cruelle. Tu l'entends, tu le vois ! la Souffrance a vaincu. Dans un sommeil sans fin, ĂŽ puissance Ă©ternelle ! Laisse-nous oublier que nous avons vĂ©cu. ------- |
Déposé par ovanek le 17/06/2024Dans la lumiĂšre dorĂ©e d'un jour d'automne Nous sommes partis pour notre derniĂšre promenade Ta queue un mĂ©tronome de joie Tes yeux, un discours silencieux et affectueux ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ Le monde autour, une tapisserie De feuilles d'ambre et d'arbres chuchotant Le chemin que nous empruntons, terrain familier Pourtant, c'est comme de la magie dans la brise ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ Tes pattes pressent doucement sur la terre Chaque Ă©tape un souvenir dans le temps Une symphonie de vie et d'amour Dans chaque pantalon doux et grimpe ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ Nous faisons une pause Ă cĂŽtĂ© du vieux chĂȘne Ses branches comme un bras accueillant Tu t'approches, une touche tendre Un lien ininterrompu, pur et chaud ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ La riviĂšre chante sa chanson intemporelle Une mĂ©lodie que nous connaissons si bien Vous lapez l'eau, fraĂźche et claire Un verre oĂč d'innombrables histoires habitent ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ Nous errons dans les prairies vertes OĂč les fleurs dansent et oĂč les oiseaux sauvages jouent Ton esprit libre, ton cĆur si pur Un phare en ce jour sacrĂ© ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ Le soleil commence sa descente lente Peindre des cieux avec des nuances d'or Nous nous asseyons et regardons le monde se transformer Dans le silence, des histoires encore inĂ©dites ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ Ta tĂȘte repose doucement sur mes genoux Un dernier souffle, un soupir paisible Je murmure des mots d'amour et de remerciements Alors que le crĂ©puscule s'approfondit dans le ciel ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ Notre voyage ici a atteint sa fin Mais dans mon coeur tu restera toujours Mon ami fidĂšle, ma douce Ăąme Chaque aube, chaque jour ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ ê§âżđžââ±â±âźđžâżê§ La derniĂšre promenade Ă©tait un testament Ă toute la joie que tu m'as apportĂ© Un chapitre clos, mais pas le livre Ton amour, un hĂ©ritage sans fin |
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