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En hommage à
capi
CANICHE
Il est né le:01/07/2003
Il nous a quittés le:04/07/2015
 


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En hommage à capi

pour toi mon capi ces hommages toi qui m a tant donne pendant 10 annee amour gentillesse je ne peux t oublier je pense sans cesse a toi tu as fait avec moi un trop court chemin j aurai tant voulu te garder d avantage tu etais mon fidel compagnon je ne t oublirai jamais bisous bisous maman




25 bougies

21475 Fleurs
Déposé par gervais
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bon noel mon capi tu me manque tant mais je sais que tu es entoure de plein d amis gros bisous maman
Déposé par rustiditbibi
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Déposé par Jacky50
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Bonnes fĂȘtes de NoĂ«l de la part de Hardy et Pierrot Ă  toute votre famille et Capi
Déposé par gervais
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tu me manques mon capcap
Déposé par lili2248
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Je te dépose avec douceur et tendresse ce joli bouquet pour toi bel
Déposé par rustiditbibi
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Déposé par dianthe
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â˜ƒâ˜ƒâ˜ƒâ„â„â„â„đŸŽ…đŸ»đŸŽ…đŸ»đŸŽ…đŸ»đŸŽ…đŸ»đŸŽ…đŸ»đŸŽ„đŸŽ„đŸŽ„đŸŽ„đŸŽ„đŸŽ„đŸŽ„
Déposé par gervais
Déposé par gervais
aujourd hui mon capi je t offre ta 1300 fleurs merci a tous pour lui
Déposé par dianthe
Déposé par dianthe
tendres bisous avec plein de joujouxđŸŒș🎁🎄🎄🎄🎄🎇 pour toi
Déposé par Jacky50
Déposé par Jacky50
Gros cĂąlins et plein de bisous Capi
Déposé par jc
Déposé par jc
Pour toi petit Capi.


1240 messages

Déposé par poutounou le 03/07/2024  
Petite pensée ! C'est tellement vrai ! Essayons juste de faire preuve d'indulgence.....
*
AVANT DE JUGER...
*
C'est tellement facile de trouver ce qui ne fonctionne pas dans la vie des autres.
Nous nous disons souvent :
"Si j'Ă©tais Ă  sa place, je ferais telle chose, telle chose, telle chose !"
Mais avons-nous dĂ©jĂ  pensĂ© que si nous Ă©tions rĂ©ellement Ă  la place de l'autre personne, vraiment dans ses souliers, nous serions alors aux prises avec ses Ă©motions, ses prĂ©jugĂ©s, ses rĂ©actions, ses inquiĂ©tudes, ses ambitions, ses objectifs, ses inhibitions, ses instincts ; bref, nous aurions son passĂ©, son prĂ©sent et son avenir et il est fort probable que nous agirions exactement de la mĂȘme façon qu'elle.
*
Avant de condamner quelqu'un, essayons non seulement de le comprendre, mais de vibrer au mĂȘme diapason que lui et nous constaterons alors que nos Ă©motions ressemblent aux siennes.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par spanky le 02/07/2024  
«  Va la chercher!  » : Un chien hĂ©roĂŻque sauve la vie d'une fillette.
L’homme aperçoit une fillette qui se dĂ©bat dans l’eau glacĂ©e, hors de sa portĂ©e. Il crie aussitĂŽt Ă  son chien : «  Va la chercher!  »
ISA FITTERMAN
Deux jeunes sƓurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle.
De là, elles contemplent la riviÚre Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées.
Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige.
Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit.
Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mĂšre leur a dĂ©fendu d’approcher
 la riviĂšre.
Et ses festons de glace.
Les fillettes avancent Ă  petits pas prudents sur la glace.
Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau.
Puis il se produit un craquement sourd.
Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maütre.
Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjouĂ©, avec un brin d’indĂ©pendance.
Il n’est pas prĂȘt Ă  rentrer Ă  la maison.
Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller.
Venus de Fort Saskatchewan, Ă  25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passĂ© un bel aprĂšs-midi au parc.
Ici, les grands sentiers dĂ©gagĂ©s permettent de bien circuler avec la poussette oĂč dorment leurs jumeaux.
En trois heures, ils n’ont croisĂ© qu’une poignĂ©e de marcheurs endurcis dans leur genre.
Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement.
C’est alors qu’ils entendent des cris.
Ils regardent par-dessus la rambarde.
Ils sont alors pĂ©trifiĂ©s quelques secondes par une scĂšne d’horreur : une petite fille a traversĂ© la glace, une autre essaie de la tirer de lĂ .
« On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! »
Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! »
L’homme de 28 ans dĂ©vale le mĂȘme talus que les deux fillettes.
Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir.
Le souvenir lui revient de Ben, son frĂšre et meilleur ami, tuĂ© dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin.
« Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. »
Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sƓur est dans l’eau.
En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sĂ»retĂ©. Samara, non.
À prĂ©sent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre.
Pourquoi se sont-elles aventurĂ©es sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle Ă  sa sƓur qui se dĂ©bat Ă  la surface.
Mais voilĂ  que la glace cĂšde sous son poids et elle tombe Ă  l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant Ă  un Ă©peron de glace.
Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulĂšve et la dĂ©pose en sĂ»retĂ©.
« Ma femme est lĂ , sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelĂ© les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. »
Krymzen frissonne. « Ma sƓur ! OĂč est ma sƓur ? »
Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe Ă  la porte.
Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pĂ©trole, est en congĂ© Ă  la maison, mais ne peut rĂ©pondre, car il s’occupe des deux fils cadets.
Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est lĂ , trĂšs Ă©nervĂ©.
« Les filles sont Ă  l’eau !
— Dans une mare ?
— Non, dans la riviĂšre, rĂ©pond le garçon. Samara flotte Ă  la dĂ©rive. »
Sa petite fille potelĂ©e, tombĂ©e Ă  l’eau ? Miranda reste figĂ©e. Puis elle secoue la tĂȘte, hurle Ă  son mari de surveiller les garçons et se prĂ©cipite Ă  l’extĂ©rieur.
Une priĂšre muette remue ses lĂšvres. Les paroles du gamin rĂ©sonnent dans sa tĂȘte.
Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la mĂȘme ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette.
« De grĂące, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a dĂ©jĂ  perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intĂ©rieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas lĂ -dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont Ă©coulĂ©es -depuis qu’elle est tombĂ©e Ă  l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est comptĂ©.
Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sƓur des yeux. Il la repĂšre rapidement, un peu plus loin en aval, grĂące Ă  son t-shirt rouge et Ă  son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte Ă  un mĂštre et demi de la croĂ»te solide, emportĂ©e comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver Ă  cinq kilomĂštres d’Adam  chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pĂ©trole et qui pratique le plein air, Adam reconnaĂźt bien les symptĂŽmes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysĂ©s parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les rĂ©chauffer. BientĂŽt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrĂȘteront. Elle n’a plus que quelques minutes Ă  vivre.
Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cĂšde sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant Ă  cĂŽtĂ© du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergĂ© sur lequel il s’appuie se dĂ©robe sous ses pieds, et il doit nager frĂ©nĂ©tiquement pour se sauver lui-mĂȘme.
Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort Ă  son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relĂšve en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mĂštres, il aperçoit une tĂȘte sombre et une tache rouge.
L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cĂšde de nouveau. Adam reste lĂ , impuissant, Rocky Ă  ses cĂŽtĂ©s.
Que faire ?
La rĂ©ponse fuse dans sa tĂȘte dictĂ©e par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinĂ©ma devenu champion contre toute attente.
Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a dĂ©jĂ  creusĂ© une grotte dans la neige et jouĂ© dedans par moins 46 degrĂ©s Celsius. Rocky, prĂȘt Ă  tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochĂ©e Ă  sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ?
« Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien Ă  l’eau un peu plus bas, hurle-t-il Ă  Samara. Accroche-toi Ă  lui, Ă  la laisse, Ă  sa fourrure, Ă  n’importe quoi et ne lĂąche pas. »
Le chien est leur derniĂšre chance.
« Rocky, vas-y ! » L’animal se jette Ă  l’eau et nage vigoureusement Ă  contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collĂ©es au crĂąne. Elle aime les chiens, mĂȘme les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est Ă  peine si elle parvient Ă  garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse.
Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « DĂ©pĂȘche-toi, nous n’avons pas de temps Ă  perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait.
« Tiens-toi Ă  deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! »
Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramùne au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon.
« Tiens bon, dit-il. Tiens bon. »
Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore aprĂšs son bain forcĂ©. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil.
Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont Ă©coulĂ©es depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempĂ© se prĂ©pare Ă  attendre.Rocky et Adam encadrent
Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer.
« C’est bon », murmure sans arrĂȘt Adam comme s’il rĂ©citait un mantra.
Miranda entre en trombe Ă  l’hĂŽpital de l’UniversitĂ© de l’Alberta en rĂ©clamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dĂ©gĂšle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les mĂ©decins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes Ă  vivre lorsque Rocky l’a remorquĂ©e jusqu’à la berge.
« Maman, j’ai failli mourir. »
Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue.
Mais elle ne peut que serrer trĂšs fort Samara contre elle.
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Déposé par ovanek le 01/07/2024  
Le chien que tu aimes aujourd'hui, avec une fourrure si brillante
A Ă©tĂ© envoyĂ© par le chien qui a volĂ© ton cƓur la nuit
Celui qui remuait la queue avec une grĂące joyeuse
Et rempli ta vie d'amour et d'une Ă©treinte chaleureuse
🌾╭══‱ àł‹â€ąâœ§àč‘đŸ’™àč‘âœ§â€ąàł‹ ‱══╼🌾
Le compagnon d'hier, avec des yeux si vrais
Envoyé le cher ami d'aujourd'hui, pour aimer et renouveler
Le lien que vous partagez, un fil sans fin
Tisser des souvenirs, de joie et d'amour non-dits
💩╰══‱ àł‹â€ąâœ§àč‘đŸ’™àč‘âœ§â€ąàł‹ ‱══╯💩
Le chien que tu aimes aujourd'hui, avec des cùlins si serrés
A été apporté par l'amour qui brille si fort
Aux yeux de l'ami fidĂšle d'hier
Tu vois l'amour qui ne finira jamais
🌾╭══‱ àł‹â€ąâœ§àč‘đŸ’™àč‘âœ§â€ąàł‹ ‱══╼🌾
Car dans leurs cƓurs, une place spĂ©ciale que tu occupes
Un amour si fort qu'il transcende le temps et l'Ăąge vieux
Le chien que tu aimes aujourd'hui, un cadeau de la haut
Envoyé par l'amour, que vous avez partagé avec un amour infini
💩╰══‱ àł‹â€ąâœ§àč‘đŸ’™àč‘âœ§â€ąàł‹ ‱══╯💩
Alors chérissez chaque moment, chaque cùlin et chaque jeu
Car l'amour que vous partagez ne disparaĂźtra jamais
Le chien que tu aimes aujourd'hui, une bénédiction du passé
Un rappel de l'amour qui durera toujours

Déposé par ovanek le 30/06/2024  
Dans le jardin des souvenirs, oĂč le soleil brille toujours
Un ami Ă  fourrure est couchĂ© en train de dormir, avec un cƓur divin
Tes pattes ne vagabondent plus ta queue ne balance plus
Mais dans nos cƓurs, ton amour ne disparaütra jamais
ê§đŸ’ŠÂ°â€â‹±â€ż.âœ«đŸ’Šâ•­âŠ± đŸ’™âŠ±â•źđŸ’ŠÂ°â€â‹±â€ż.âœ«đŸ’Šê§‚
Au revoir cher compagnon notre bougie dans la nuit
Ton amour Ă©tait un phare, brillant si fort et vrai
MĂȘme si tu es parti, ta mĂ©moire reste, un amour qui ne disparaĂźtra jamais
Adieu cher ami nos cƓurs ne seront plus jamais les mĂȘmes
ê§đŸ’ŠÂ°â€â‹±â€ż.âœ«đŸ’Šâ•­âŠ± đŸ’™âŠ±â•źđŸ’ŠÂ°â€â‹±â€ż.âœ«đŸ’Šê§‚
Tu as chassé nos ombres, avec un remÚde de ta queue
Vos cñlins et vos bisous ont fait que nos cƓurs ne faillissent jamais
Dans tes yeux, nous avons vu l'amour, pur, vrai et gentil
Maintenant tu cours libre, dans un monde laissé derriÚre toi
ê§đŸ’ŠÂ°â€â‹±â€ż.âœ«đŸ’Šâ•­âŠ± đŸ’™âŠ±â•źđŸ’ŠÂ°â€â‹±â€ż.âœ«đŸ’Šê§‚
Au revoir cher compagnon notre bougie dans la nuit
Ton amour Ă©tait un phare, brillant si fort et vrai
MĂȘme si tu es parti, ta mĂ©moire reste, un amour qui ne disparaĂźtra jamais
Adieu cher ami nos cƓurs ne seront plus jamais les mĂȘmes
ê§đŸ’ŠÂ°â€â‹±â€ż.âœ«đŸ’Šâ•­âŠ± đŸ’™âŠ±â•źđŸ’ŠÂ°â€â‹±â€ż.âœ«đŸ’Šê§‚
On va tenir les moments qu'on a partagé au fil des années
Les rires, les aventures, la joie et les larmes
Ton amour était un cadeau, un trésor si rare
Dans nos cƓurs ta mĂ©moire sera Ă  jamais lĂ 
ê§đŸ’ŠÂ°â€â‹±â€ż.âœ«đŸ’Šâ•­âŠ± đŸ’™âŠ±â•źđŸ’ŠÂ°â€â‹±â€ż.âœ«đŸ’Šê§‚
Au revoir cher compagnon notre bougie dans la nuit
Ton amour Ă©tait un phare, brillant si fort et vrai
MĂȘme si tu es parti, ta mĂ©moire reste, un amour qui ne disparaĂźtra jamais
Adieu cher ami nos cƓurs ne seront plus jamais les mĂȘmes

Déposé par spanky le 30/06/2024  
DESSINE-MOI...un ESPOIR
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C’’est une petite voix que j’’entends, depuis mercredi, dans le dĂ©sert de ma tĂȘte, une petite voix qui me demande : Dessine-moi un espoir !!!
J’’aimerais bien, mais on dessine ça comment un espoir, quand on vient de voir des gens se faire tuer à cause de leurs dessins ???
On dessine un soleil ???
Un gros soleil. Un rond jaune avec plein de lignes autour.
De nos jours, le soleil, ce n’’est plus l’’espoir. Le soleil, c’’est le danger.
C’’est la folie des hommes qui a transformĂ© l’’astre de la vie en bombe Ă  retardement, Ă  cause de leur fumĂ©e.
De leur progrĂšs. De leur argent.
On dessine une maison ???
Un carrĂ© avec un triangle par-dessus pour faire le toit.... Une porte et deux fenĂȘtres.
Et on se dit que dans la maison, il y a des gens heureux....
Mais s’’ils ne l’’étaient pas ? Il y a tellement de maisons avec des habitants malheureux dedans.
Avec des frÚres qui méprisent les maisons qui les entourent.
Et qui dĂ©barquent dans l’’une d’’elles, pour commettre l’’irrĂ©parable.
On dessine un coeƓur ? ??
Un grand coeƓur..... Et on le colore tout rouge pour qu’’il ne soit pas vide.
Parce qu’’il n’’y a rien de plus triste qu’’un cƓoeur vide. Mais un coeƓur tout rouge, ça devient un coeƓur qui saigne. L’’amour et le sang ont la mĂȘme couleur.......
Et c’’est toujours pour le premier que coule le second.
On dessine une fleur ? Un rond, des pĂ©tales autour et une tige.... C’’est beau, une fleur.
Mais aujourd’hui, impossible d’’en voir une sans penser qu’’il y a un mort en-dessous.
Comme toutes ces fleurs laissées sur le trottoir devant le 10, rue Nicolas-Appert.....
J’’ai peur qu’’un jour, il n’’y ait plus assez de fleurs pour tous les morts que l’’on fait.
On dessine un bonhomme allumette ???
Un rond pour la tĂȘte, une ligne pour le corps, deux lignes pour les jambes, deux lignes pour les bras.
Un ĂȘtre humain, ça devrait ĂȘtre ça, le symbole de l’’espoir.....
Pourtant, il n’’y a rien de plus dĂ©sespĂ©rant qu’’un ĂȘtre humain.
Il peut tuer son voisin parce qu’’il n’’aime pas son dessin....
L’’espoir, c’’est croire que demain, ça ira mieux. Que demain, le monde sera meilleur.
Les journalistes de Charlie Hebdo le croyaient.... C’’est pour ça qu’’ils se tenaient debout.
C’est pour ça qu’’ils riaient. On leur a fait peur.... Ça n’’a rien changĂ©.
La peur n’’a pas eu raison de leur foi en l’’homme.....
Ils sont restés debout. Ils ont continué à rire. Des vrais. Pour tuer leur espoir, il fallait les tuer.
C’’est ce que des fous ont fait.
Et nous qui assistons à ça, nous qui ne sommes pas aussi braves que les victimes, ni aussi lùches que les agresseurs,
comment on fait pour continuer de croire qu’’un jour, ça ira mieux ?
Quand les plus convaincus sont partis Ă  cause de leurs convictions?? ?
Et que la tuerie se poursuit, le lendemain ????
C’’est l’’ultime but des terroristes : tuer l’’espoir. Ils veulent rendre tout le monde semblable à eux.
Il n’’y a, en eux, aucun espoir. C’’est pour ça qu’’ils sont prĂȘts Ă  tuer. C’’est pour ça qu’’ils sont prĂȘts Ă  mourir.
L’’espoir fait vivre. L’’absence d’’espoir fait tuer.
Pourquoi en sont-ils rendus là ??? Sûrement à cause des hommes...!!!
D’autres hommes...... DĂ©sespĂ©rĂ©s avant eux. Et la roue tourne. Gigantesque.....
Et elle Ă©crase tous ceux qui ont le malheur d’’ĂȘtre sur son chemin.
Bien sĂ»r, la solidaritĂ© qui naĂźt aprĂšs l’’horreur est Ă©mouvante. Ça rĂ©conforte.
Nous sommes tous Charlie. C’’est joli. Mais un coup que c’’est dit, qu’’est-ce qu’’on fait ???
On redevient Stéphane, Martine ou François. Et on pense à soi. En premier.
Comment rester Charlie ???
Depuis mercredi, j’’ai la tĂȘte comme un dĂ©sert. VidĂ©e de mes repĂšres. VidĂ©e de mes beautĂ©s.
Chaque fois que l’’homme est un loup pour l’’homme, ça m’’anĂ©antit. Vous aussi.
Et l’’enfant en moi qui supplie : Dessine-moi un espoir !!! Dessine-moi un espoir !!!
Mon soleil, ma maison, mon coeƓur, ma fleur, mon bonhomme n’’ont pas fait l’’affaire.....
Je m’’essaie une derniùre fois. Je prends une feuille blanche. Et je n’’y dessine rien....
Je la lui tends : Tiens mon enfant, c’’est ça l’’espoir. Une page blanche.... Il la prend. Il est content.... Il comprend.
L’’espoir est une page blanche..... Tant que la page est blanche, il est permis de croire que l’’on va faire le plus beau des dessins.
Tellement beau qu’’il nous rendra heureux.
Si on tournait la page de nos marques et de nos blessures.

Si on avait tous devant nous une page blanche
!!!!

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Déposé par poutounou le 30/06/2024  
Avoir ta patte dans ma main, l’instant seulement d’une pause....
*
L'INSTANT D'UNE PAUSE
*
L’instant d'une pause
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
De se lever le matin
Sans plus en chercher la cause
De savoir que le chemin
Parfois peut-ĂȘtre morose
Et dans un sourire malin
Être prĂȘt pour une pause
Il y a des jours oĂč tout est gris
Et oĂč l'on ne voudrait rien voir
Et puis, il y a notre coeur aussi
Qui nous conduit jusqu'au soir
Il y a cette solitude intense
Qui existe et qui est lĂ 
C'est dans ces moments, je pense,
Que je peux rĂȘver de toi
À chercher, à tout comprendre
Je me demande si je verrais
Un jour les fleurs en décembre
Et la neige en été
Sur le site de mon coeur
Il y a tant de va-et-vient
Et j'en ressens la douleur
De la nuit jusqu'au matin
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
D'avoir ta patte dans ma main
L'instant seulement d'une pause.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par spanky le 28/06/2024  
Petite colombe, dis lui
----
Petite colombe,
dis lui que je tombe,
moi je n'ai pas d'aile,
pour aller vers lui ...
---
Petite colombe,
souvent je retombe,
dans les vieux souvenirs,
pour encore essayer de le retenir,
voulant le faire revenir...
---
Petite colombe,
dis lui que je succombe,
souvent, bien trop souvent,
face Ă  mes sentiments,
qui sont voués à s'envoler dans le vent...
---
Petite colombe, dis lui,
comme il manque Ă  ma vie,
que son paradis, bien que joli,
n'a peut ĂȘtre pas de prix,
mais celui qui me l'a prit, c'est lui...
-----
Texte de Sundhauser Flaviené
----

Déposé par ovanek le 27/06/2024  
Le don du temps
Dans les moments tranquilles, je reflĂšte,
A temps on a partagé, l'amour, le respect.
Ta douce nature, ta joie sans limites,
Un cadeau qui grandit avec chaque année
╚════════ ❃àŒșđŸŽ€àŒ» ❃àŒșđŸŽ€àŒ»âƒ ═════════╝
Tu m'as appris la patience, la joie, et la paix
Dans ton Ă©treinte, mes soucis cessent
Bien que maintenant tu sois allé dans des royaumes lointains
Tu es toujours mon Ă©toile la plus brillante et qui guide
╚════════ ❃àŒșđŸŽ€àŒ» ❃àŒșđŸŽ€àŒ»âƒ ═════════╝
Chaque jour sans toi semble si long
Mais les souvenirs jouent une douce chanson
Dans chaque battement, dans chaque souffle
Ton esprit vit au-delĂ  de la mort
╚════════ ❃àŒșđŸŽ€àŒ» ❃àŒșđŸŽ€àŒ»âƒ ═════════╝
Le temps que nous avons passé était bien trop bref
Pourtant remplie d'amour et de peu de chagrin
Je merci pour chaque jour précieux
Dans mon cƓur tu restera toujours

Déposé par ovanek le 26/06/2024  
Si l’on a pas connu l’amitiĂ© d’un animal
La complicité sincÚre qui nous lie à ce frÚre du monde du vivant
â™Șž.‱*š*‱.žâ™Șž.‱*š*‱.ž♄ž.‱*š*‱.žâ™Șž.‱*š*‱.ž♄ž.‱*š*‱.ž â™Șž
Alors je crains que nous ayons manquĂ© l’une des plus belles aventures
Qui nous soit donnée de connaßtre sur cette terre
â™Ș.‱*š*‱.ž♄ž.‱*š*‱.žž.‱*š*‱.žâ™Șž.‱*š*‱.ž♄ž.‱*š*‱.žâ™Ș
Guillaume Prevel

Déposé par poutounou le 26/06/2024  
Que de sagesse !
*
LES LEÇONS DE LA VIE
*
AprĂšs un certain temps,
Tu apprends la différence entre
Tenir la main d'un ami et l'enchaĂźner.
*
Tu apprends que l'amour
Ne signifie pas se reposer sur quelqu'un,
Mais lui apporter un soutien.
*
Tu commences à accepter tes défaites
Avec la dignité d'un adulte
Et non le désespoir d'un enfant.
*
Tu décides de construire ta vie
Au jour le jour parce que
Les lendemains sont trop incertains.
*
Tu aides Ă  semer un jardin
PlutĂŽt que d'attendre
Que l'on t'apporte des fleurs.

Déposé par spanky le 26/06/2024  
Suite à une dispute avec son mari, Shannon Lorio a pris sa voiture et a emprunté une des routes prÚs de chez elle
qui Ă©tait particuliĂšrement sinueuse et venteuse.
Et malheureusement, en empruntant l'un des virages, Shannon a perdu le contrÎle de son véhicule qui a zigzagué
avant de terminer sa course prĂšs des arbres, la rendant ainsi invisible des automobilistes empruntant la mĂȘme route qu'elle.
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Le choc l'ayant propulsé à travers le pare-brise arriÚre de sa voiture, Shannon était inconsciente.
Mais lorsqu'elle a repris ses esprits, elle a senti une présence et a découvert qu'il s'agissait d'un grand chien.
Celui-ci s'est approché d'elle et a léché le sang qui se trouvait sur son visage.
De peur, la femme a perdu à nouveau connaissance mais lorsqu'elle s'est réveillée,
elle s'est rendu compte que l'animal Ă©tait en train d'essayer de la sortir de la carcasse de la voiture en tirant sur sa chemise et sur sa veste.
Une fois hors du vĂ©hicule, le chien a continuĂ© Ă  la tirer par ses vĂȘtements afin de l'approcher de la route.
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C'est alors que Shannon a aperçu un véhicule et s'est redressée en prenant appui sur le chien.
La voiture s'est alors arrĂȘtĂ©e et elle a pu demander de l'aide et ĂȘtre rapidement amenĂ© dans l'hĂŽpital le plus proche. Depuis,
Shannon va beaucoup mieux mĂȘme si elle boite encore un peu.
Le chien errant, quant à lui, a hérité du nom de "Hero" et a été adopté par une dresseuse de chiens de sauvetage.
Ainsi, il pourra venir en aide Ă  beaucoup d'autres personnes et en particulier lors de l'effondrement de bĂątiments ou de catastrophes naturelles.
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Déposé par ovanek le 25/06/2024  
Nous allons tous mourir
Le secret c'est que la mort n'est pas une fin
Mais une transition vers la renaissance, le début d'un long voyage...
Nous sommes sur Terre que de passage, jusqu'au moment du retour
❁════════ ✰ ✰ ✰ ✰àŒșđŸŒșàŒ» ✰ ✰ ✰ ✰ ════════❁
A chacun d'en faire un beau moment, une renaissance dans les sphĂšres divines
Il y a tant de croyances illusoires sur cette Terre
Pourquoi avoir fait de la mort un tel chĂątiment que la plupart des gens ne veulent pas y penser
Et vivent comme s'ils Ă©taient Ă©ternels ?
❁════════ ✰ ✰ ✰ ✰àŒșđŸŒșàŒ» ✰ ✰ ✰ ✰ ════════❁
La vie n'est qu'un temps d'expérimentation dans le monde tridimensionnel terrestre
Avec un corps humain fragile et un esprit ayant tout oublié des plans subtils et de son destin stellaire
Notre chemin sur Terre ne sera-t-il pas justement de retrouver l'Ă©tincelle divine en nous ?
❁════════ ✰ ✰ ✰ ✰àŒșđŸŒșàŒ» ✰ ✰ ✰ ✰ ════════❁
Changeons notre regard, plaçons-nous dans une perspective oĂč la mort serait l'aboutissement heureux d'une vie consciente
Une renaissance vers un monde que nous connaissons puisque nous en venons
Elle est une grĂące, un envol, un Ă©vĂšnement heureux Ă  fĂȘter, heureux pour celui qui est parti
MĂȘme si son absence apparente nous attriste
La mort est un voyage au loin, dans une autre dimension, oĂč nous sommes vouĂ©s Ă  nous retrouver
àŒșđŸŒșàŒ»
đ”đ‘’Ìđ‘Ÿđ‘’đ‘›đ‘”đ‘’Ì€đ‘Ÿđ‘’ 𝑑𝑒 đ”đ‘œđ‘‘đ‘–đ‘›đ‘Žđ‘Ą

Déposé par poutounou le 23/06/2024  
Et oui ! Parfois la chance passe tout prùs sans faire de bruit
!!!
*
10 COMMANDEMENTS DU BONHEUR
*
Sois toujours le premier Ă  dire bonjour.
Fais toi de nouveaux amis mais n'oublie pas les anciens.
Ne perds pas ton temps à apprendre les trucs du métier... Apprends le métier.
Sers toi de l'humour pour faire rire les gens, pas pour rire des gens.
Embrasse tes enfants aprÚs les avoir disputés.
A la bourse, n'investis jamais plus que ce que tu es prĂȘt Ă  perdre.
Prends l'habitude de rendre service Ă  des gens qui ne sauront mĂȘme pas que tu les as aidĂ©s.
RĂ©pĂšte souvent Ă  tes enfants qu'ils sont fantastiques et que tu leur fais confiance.
Apprends Ă  Ă©couter... Parfois la chance passe tout prĂšs, sans faire de bruit.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par ovanek le 22/06/2024  
Ce qui est bouleversant
C'est que quand tout est détruit
Il n’y a pas la mort et le vide comme on le croirait
Pas du tout ...
Je vous le jure ...
💩‱───── ❁💜🍃💜❁ ─────‱💩
Quand il n'y a plus rien
Il n'y a que l'Amour
Il n'y a plus que l'Amour
Tous les barrages craquent
C'est la noyade , l'immersion
L'amour n'est pas un sentiment
C'est la substance mĂȘme de la crĂ©ation ...
💩‱───── ❁💜🍃💜❁ ─────‱💩
Je croyais jusqu'alors que l'amour Ă©tait reliance
Qu'il nous reliait les uns aux autres
Mais cela va beaucoup plus loin !
Nous n'avons pas mĂȘme Ă  ĂȘtre reliĂ©s
Nous sommes à l'intérieur les uns des autres
C'est cela le plus grand vertige
De l'autre cÎté du pire t'attend l'Amour
Il n'y a en vérité rien à craindre
💩‱💜‱💩
Christiane Singer

Déposé par spanky le 22/06/2024  
JE SUIS UN CHEVAL DE CORRIDA.
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J’AI LES CORDES VOCALES COUPÉES POUR NE PAS HENNIR DE DOULEUR.
J’AI LES YEUX BANDÉS POUR NE PAS RECULER DE PEUR.
J’AI DE LA VASELINE DANS LES NARINES POUR NE PAS SENTIR L’ODEUR DU SANG.
J’AI DU COTON DANS LES OREILLES POUR NE PAS ENTENDRE LES PLEURS DU TAUREAU

JE RISQUE MA VIE POUR UN PLAISIR SADIQUE.
JE SUIS UNE VICTIME OUBLIÉE, SILENCIEUSE DES CORRIDAS

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Déposé par spanky le 20/06/2024  
Lettre d’une maman chien aux maĂźtres de son bĂ©bĂ©:
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Je suis Dolly !
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Je suis la maman du bĂ©bĂ© que tu serres dans tes bras comme si c’était toi qui l’avais mit au monde.
D’un cĂŽtĂ©, je vois que tu ne lui veux que du bien, mais fais attention s’il te plaĂźt !
Il n’a pas l’habitude d’ĂȘtre portĂ© aussi haut !
Oui, Il tremble ! Non, il n’a pas froid ! Il ne te connaüt pas...
Tu sais, mon bébé à déjà des sentiments !
Il n’a connu Ă  prĂ©sent que moi, ses frĂšres, et nos maĂźtres, alors forcĂ©ment, il ne comprends pas tout !
Il ne comprend déjà pas pourquoi tu colles ton nez sur sa truffe !
Nous nous disons bonjour en nous reniflant le derriĂšre, nous !!!
Mais je lui ai dis que ce jour arriverait et je l’ai prĂ©parĂ© !
Regarde... il te lÚche déjà !
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Non !! Il ne t’a pas choisi !
Il est comme ça... il ne connaüt pas autre chose que l’amour !
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Non, je ne suis pas triste que tu le prennes avec toi !
Je veux juste que tu le respectes déjà...
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Tu poses plein de questions sur lui ! "Est-il propre? Est-il sage?"
Les enfants humains sont ils parfaits si tĂŽt ?
Pourquoi mon bĂ©bĂ© devrait l’ĂȘtre et pas le tien?
"ConnaĂźt il la laisse?".
Non, et si tu veux ĂȘtre complice avec lui, il va falloir que ce soit toi qui le lui apprenne !
Pas demain, il ne te connait pas.
Pourquoi devrait il te suivre ?
Tu ne sais pas comment faire ?
Lui non plus !
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Tu vas partir dans ta maison avec mon bébé.
S’il te plaüt, comprends donc qu’il ne soit pas parfait !
Il va pleurer parce qu’il va se retrouver tout seul ce soir, et il ne connaüt ni toi, ni ton chez toi !
Il fera pipi et caca sĂ»rement et pas lĂ  oĂč tu voudras.
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Si les premiers jours seront compliquĂ©s pour toi, qui l’a choisi, dis toi que pour mon bĂ©bĂ©, c’est un chamboulement aussi.
Prends soin de lui, comprends un peu ce qu’il vit.
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Ne laisse pas tes enfants le chicaner ou l’étouffer de tout leur amour.
Laisse le arriver, prendre ses marques et comprendre que c’est sa maison !
Il nous oubliera vite moi et sa fratrie.
Il n’aura d’yeux que pour toi.
Mais sois patient !
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Il te suivra partout et tu devras lui apprendre Ă  rester seul aussi, sinon... il pleurera.
Il n’aura pas conscience qu’il gĂȘnera ta voisine et d’ailleurs le vrai drame, c’est que tu ne seras pas lĂ  !!!
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Peut ĂȘtre mordillera-t-il tes chaussures, les meubles, tes tapis ou tes mains.
Mon bĂ©bĂ© n’a pas de mains pour toucher Ă  tout!
Il touche avec sa bouche... le tien faisait comment ?
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Mon bĂ©bĂ© pourra peut-ĂȘtre manger ta tapisserie, moi j’ai vu un petit garçon humain dessiner sur un placard !!!
Mais... mon bébé va grandir plus vite que le tien !
Il deviendra ado !
Oui, chez nous aussi nous devenons ados !
Il voudra ĂȘtre le chef et retombera en enfance... et toi, tu vas te tirer les cheveux !!!
Mais s’il te plaüt, montre lui que tu n’es pas d’accord, garde ton sang froid, et n’oublie pas que l’adolescence ne dure qu’un temps !
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Et puis il deviendra adulte, et lĂ , il sera ce chien dont tu as rĂȘvĂ© ...
Seulement si tu l’as bien Ă©duquĂ© !
S’il tire en laisse, par exemple, c’est parce que tu l’as laissĂ© tirer !!
S’il saute sur ton canapĂ© plein de boue, en rentrant de la balade... c’est parce que dĂšs le premier jour, tu l’as pris sur tes genoux pour regarder la tĂ©lĂ© !
S’il mange tes jolis talons tout neufs, c’est parce que tu lui as donnĂ© une vieille pantoufle un jour !
Moi mĂȘme, je n’ai jamais vraiment compris la diffĂ©rence entre vieille pantoufle et talons Louboutins !
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Maintenant que tu pars avec lui, une fois passé la porte, commence ton travail !
S’il te plaĂźt, fais le, pour son bien ĂȘtre et le tien, ou laisse le moi.
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Si tu pars avec lui, tu dois le garder toute sa vie et prendre soin de lui !
Si toi tu as une vie Ă  cĂŽtĂ©, lui, il n’aura que toi... parce que TOI, tu seras toute sa vie !
Ou alors, laisse le moi...
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Mon bĂ©bĂ© n’est pas un caprice, ni un jouet, .....ni un cadeau... c’est vrai !
Mon bĂ©bĂ© est un ĂȘtre vivant, avec des sentiments.. capable du pire, comme du meilleur, et si, tu suis mes conseils, et si, tu tiens tes promesses... alors tu pleureras toutes les larmes de ton cƓur Ă  son dernier jour, tu ressentiras un Ă©norme vide, et tu diras que ton chien, ton meilleur ami, TON bĂ©bĂ© Ă©tait ...
... PARFAIT !"
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Dolly.
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Déposé par ovanek le 20/06/2024  
J'ai commencé un grand voyage, à travers l'éternité
avec mon ùme comme seul bagage pour accomplir ma destinée...
J'ai perdu ma forme humaine? pas mon identité...
đŸ’ŠïœĄ:*‱.───── â­âœżđŸŒžđŸ€đŸŒžâœżâ­ ─────.‱*:ïœĄđŸ’Š
Et comme avant je suis auprĂšs de vous, je continue Ă  vous aimer...
Je ne suis pas solitaire, ni perdu ni délaissé...
J'ai simplement quitté la terre, une autre vie a commencé...
đŸ’ŠïœĄ:*‱.───── â­âœżđŸŒžđŸ€đŸŒžâœżâ­ ─────.‱*:ïœĄđŸ’Š
Pour surmonter ce vide, laissez parler vos sentiments
Je sÚcherai vos visages humides car je serai toujours présent...

Déposé par poutounou le 19/06/2024  
Et non ! La vie ce n’est pas toujours comme marcher sur du velours
 !!! C’est des clous, des planches abimĂ©es, des trous, et des fois il fait noir et on n’y voit rien
 mais il faut continuer car ça en vaut la peine : il y a tellement de beaux moments, de belles rencontres, comme celles avec nos Amours de chien, qui nous font oublier pour un temps la duretĂ© de la vie

*
LA MÈRE À SON FILS
*
C'est moi qui te le dis, petit,
La vie, c'est pas comme marcher sur du velours,
C'est un escalier qu'il faut grimper.
Y'a des clous qui dépassent,
Et des planches abßmées,
Et des bouts oĂč y'a mĂȘme pas de plancher :
Des trous.
Et tout ce temps-lĂ ,
On n'arrĂȘte pas de grimper,
De changer de palier,
De tourner les coins.
MĂȘme que des fois y'a pas de lumiĂšre
Et qu'on n'y voit rien.
Alors, petit, te retourne pas,
Va pas redescendre l'escalier.
C'est assez dur, fais pas exprĂšs,
Va pas dégringoler maintenant
Parce que moi, je continue,
J'ai pas fini de grimper.
Et c'est moi qui te le dis,
La vie, c'est pas comme marcher sur du velours.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par spanky le 18/06/2024  
Les Malheureux de Louise Ackermann
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A tous les animaux martyres , abandonnés, esclaves
La trompette a sonné. Des tombes entr'ouvertes
Les pùles habitants ont tout à coup frémi.
Ils se lÚvent, laissant ces demeures désertes
OĂč dans l'ombre et la paix leur poussiĂšre a dormi.
Quelques morts cependant sont restés immobiles ;
Ils ont tout entendu, mais le divin clairon
Ni l'ange qui les presse Ă  ces derniers asiles
Ne les arracheront.
« Quoi ! renaßtre ! revoir le ciel et la lumiÚre,
Ces témoins d'un malheur qui n'est point oublié,
Eux qui sur nos douleurs et sur notre misĂšre
Ont souri sans pitié !
Non, non ! PlutĂŽt la Nuit, la Nuit sombre, Ă©ternelle !
Fille du vieux Chaos, garde-nous sous ton aile.
Et toi, sƓur du Sommeil, toi qui nous as bercĂ©s,
Mort, ne nous livre pas ; contre ton sein fidĂšle
Tiens-nous bien embrassés.
Ah! l'heure oĂč tu parus est Ă  jamais bĂ©nie ;
Sur notre front meurtri que ton baiser fut doux !
Quand tout nous rejetait, le néant et la vie,
Tes bras compatissants, ĂŽ notre unique amie !
Se sont ouverts pour nous.
Nous arrivions Ă  toi, venant d'un long voyage,
Battus par tous les vents, haletants, harassés.
L'EspĂ©rance elle-mĂȘme, au plus fort de l'orage,
Nous avait délaissés.
Nous n'avions rencontré que désespoir et doute,
Perdus parmi les flots d'un monde indifférent ;
OĂč d'autres s'arrĂȘtaient enchantĂ©s sur la route,
Nous errions en gémissant.
PrÚs de nous la Jeunesse a passé, les mains vides,
Sans nous avoir fĂȘtĂ©s, sans nous avoir souri.
Les sources de l'amour sous nos babines avides,
Comme une eau fugitive, au printemps ont tari.
Dans nos sentiers brûlés pas une fleur ouverte.
Si, pour aider nos pas, quelque soutien chéri
Parfois s'offrait à nous sur la route déserte,
Lorsque nous les touchions, nos appuis se brisaient :
Tout devenait roseau quand nos cƓurs s'y posaient.
Au gouffre que pour nous creusait la Destinée
Une invisible main nous poussait acharnée.
Comme un bourreau, craignant de nous voir Ă©chapper,
A nos cÎtés marchait le Malheur inflexible.
Nous portions une plaie Ă  chaque endroit sensible,
Et l'aveugle Hasard savait oĂč nous frapper.
Peut-ĂȘtre aurions-nous droit aux celestes dĂ©lices ;
Non ! ce n'est point Ă  nous de redouter l'enfer,
Car nos fautes n'ont pas mérité de supplices :
Si nous avons failli, nous avons tant souffert !
Eh bien, nous renonçons mĂȘme Ă  cette espĂ©rance
D'entrer dans ton royaume et de voir tes splendeurs,
Seigneur ! nous refusons jusqu'à ta récompense,
Et nous ne voulons pas du prix de nos douleurs.
Nous le savons, tu peux donner encor des ailes
Aux Ăąmes qui ployaient sous un fardeau trop lourd ;
Tu peux, lorsqu'il te plaĂźt, loin des sphĂšres mortelles,
Les Ă©lever Ă  toi dans la grĂące et l'amour ;
Tu peux, parmi les chƓurs qui chantent tes louanges,
A tes pieds, sous tes yeux, nous mettre au premier rang,
Nous faire couronner par la main de tes anges,
Nous revĂȘtir de gloire en nous transfigurant.
Tu peux nous pénétrer d'une vigueur nouvelle,
Nous rendre le désir que nous avions perdu

Oui, mais le Souvenir, cette ronce immortelle
AttachĂ©e Ă  nos cƓurs, l'en arracheras-tu ?
Quand de tes chérubins la phalange sacrée
Nous saluerait Ă©lus en ouvrant les saints lieux,
Nous leur crierions bientÎt d'une voix éplorée :
« Nous élus ? nous heureux ? Mais regardez nos yeux !
Les plaintes y sont encor, angoisse amers, pleurs sans nombre.
Ah ! quoi que vous fassiez, ce voile Ă©pais et sombre
Nous obscurcit vos cieux. »
Contre leur gré pourquoi ranimer nos poussiÚres ?
Que t'en reviendra-t-il ? et que t'ont-elles fait ?
Tes dons mĂȘmes, aprĂšs tant d'horribles misĂšres,
Ne sont plus un bienfait.
Au ! tu frappas trop fort en ta fureur cruelle.
Tu l'entends, tu le vois ! la Souffrance a vaincu.
Dans un sommeil sans fin, ĂŽ puissance Ă©ternelle !
Laisse-nous oublier que nous avons vécu.
-------

Déposé par ovanek le 17/06/2024  
Dans la lumiÚre dorée d'un jour d'automne
Nous sommes partis pour notre derniĂšre promenade
Ta queue un métronome de joie
Tes yeux, un discours silencieux et affectueux
ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚ ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚
Le monde autour, une tapisserie
De feuilles d'ambre et d'arbres chuchotant
Le chemin que nous empruntons, terrain familier
Pourtant, c'est comme de la magie dans la brise
ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚ ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚
Tes pattes pressent doucement sur la terre
Chaque Ă©tape un souvenir dans le temps
Une symphonie de vie et d'amour
Dans chaque pantalon doux et grimpe
ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚ ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚
Nous faisons une pause Ă  cĂŽtĂ© du vieux chĂȘne
Ses branches comme un bras accueillant
Tu t'approches, une touche tendre
Un lien ininterrompu, pur et chaud
ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚ ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚
La riviĂšre chante sa chanson intemporelle
Une mélodie que nous connaissons si bien
Vous lapez l'eau, fraĂźche et claire
Un verre oĂč d'innombrables histoires habitent
ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚ ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚
Nous errons dans les prairies vertes
OĂč les fleurs dansent et oĂč les oiseaux sauvages jouent
Ton esprit libre, ton cƓur si pur
Un phare en ce jour sacré
ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚ ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚
Le soleil commence sa descente lente
Peindre des cieux avec des nuances d'or
Nous nous asseyons et regardons le monde se transformer
Dans le silence, des histoires encore inédites
ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚ ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚
Ta tĂȘte repose doucement sur mes genoux
Un dernier souffle, un soupir paisible
Je murmure des mots d'amour et de remerciements
Alors que le crépuscule s'approfondit dans le ciel
ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚ ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚
Notre voyage ici a atteint sa fin
Mais dans mon coeur tu restera toujours
Mon ami fidĂšle, ma douce Ăąme
Chaque aube, chaque jour
ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚ ê§âœżđŸŒžâ•­âŠ±âŠ±â•źđŸŒžâœżê§‚
La derniĂšre promenade Ă©tait un testament
À toute la joie que tu m'as apportĂ©
Un chapitre clos, mais pas le livre
Ton amour, un héritage sans fin




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un bouquet de tes fleurs preferees
tes fleurs preferees capcap
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capi apres toilettage
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il adorait enlever le bouchon des bouteilles en plastique
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capi premier jour a la maison apres son adoption de la spa
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ton ami le pigeon vient toujours a la maison
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capi marie hugo lucas
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ton coussin prefere
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capi et marie
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