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En hommage à
YORKSHIRE-TERRIERPierrot
Il est né le:27/05/1999
Il nous a quittés le:26/11/2012
15 personnes aiment cette page |
En hommage à
Pierrot
10 bougies
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15069 Fleurs
Déposé par tinou20042001 Merci pour ces merveilleuses pensées d’amour et de compassion qui réchauffe le cœur en ces moments douloureux. Amitiés et gros câlins à Pierrot et Hardy |
485 messages
Déposé par ovanek le 02/11/2016💖 ❤ 💖 💖 💖 44 💖 💖 **** Tu es parti...Souffrir ou mourir **** Depuis que tu m’as quitté J’ai l’impression que tout s’est écroulé Le temps avance sans ta présence Je reste sur place et tout me lasse Le rêve est ma seule trêve Sans toi je ne suis plus que chagrin Je ne veux pas briser ce lien Qui me maintient en vie Alors je t’en prie ne m’oublies pas Car dans mon cœur A jamais tu seras ***** Pensée ***** 💖 ❤ 💖 |
Déposé par lili2248 le 25/09/2016Chanson d’automne Paul Verlaine Les sanglots longs Des violons De l’automne Blessent mon coeur D’une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l’heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m’en vais Au vent mauvais Qui m’emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte., |
Déposé par lili2248 le 15/09/2016e veux la même et je ne la tuerai pas ; promis ! J'en ferai profiter tout le monde... * La Poule aux oeufs d'or * L'avarice perd tout en voulant tout gagner. Je ne veux, pour le témoigner, Que celui dont la Poule, à ce que dit la fable, Pondait tous les jours un oeuf d'or. Il crut que dans son corps elle avait un trésor. Il la tua, l'ouvrit, et la trouva semblable A celles dont les oeufs ne lui rapportaient rien, S'étant lui-même ôté le plus beau de son bien. Belle leçon pour les gens chiches : Pendant ces derniers temps, combien en a-t-on vus Qui du soir au matin sont pauvres devenus Pour vouloir trop tôt être riches ? * Jean de La Fontaine Mes poésies préférées , |
Déposé par ovanek le 06/09/2016💖 💖 💖 43 💖 💖 **** Le Vœux d’un Ange … ! TOI **** La muraille Tremble et se fend Comme un cœur qui éclate en deux Et toi mon compagnon Entre dans l´histoire…la tienne … ! La mienne … ! La nôtre Comme arrive l´œuvre d´un Dieu L´homme né sans mémoire Reconnaît l´Ève qu´il veut Brise l´avenir Et nous fait monter aux yeux Les sanglots Le péché leur fait chaud Dieu que c´est beau… ! Dieu que c’est triste… ! Alors la muraille Penche et se tord Pour faire un toit entre nous et la Vie Au tumulte sans fin et sans forme Se remplit d´un nouveau feu L´homme sur l´avenir n’est rien sans Amour alors tends ses mains et fait un vœu la déesse doit souffrir Pour faire naître sous nos yeux cette Ange d’Amour Qui sort sous les regards émerveillés Dieu que c´est beau… ! Dieu que tu es Beau… ! *** Pour Toi …… Mes Pensées Phil *** 💖 ❤ 💖 |
Déposé par ovanek le 30/08/2016💖 💖 42 💖 💖 Des milliers de caresses et plein de tendresse Dans un tourbillon de Pensée Pour toi bel Ange qui a apporté temps de bonheur *** Mes pensées pour Toi…. *** 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par NathalieB le 18/08/2016 |
Déposé par NathalieB le 11/08/2016Essuie tes larmes et ne pleure pas. Si tu m'aimes, ton sourire est ma paix ... La mort n'est rien ... Je suis juste passé de l'autre côté; c'est comme si j'étais dans la pièce d'à côté. Je suis moi et tu es toi. Ce que nous étions, auparavant, l'un pour l'autre, nous le sommes encore. Appelle-moi par le nom que tu me donnais, celui qui t'est familier; Parle-moi de la même manière affectueuse. Ne change pas de ton, n'adopte pas un air solennel ou triste. Ris encore de ce qui nous faisait rire, de ces petites choses, qui nous plaisaient tellement, alors que nous étions ensemble. Souris et pense à moi! Que mon nom reste toujours aussi familier; prononce-le sans la moindre trace d'ombre ou de tristesse. Notre vie gardera tout son sens, celui qu'elle a toujours eu. C'est toujours la même, il existe une continuité qui ne peut se rompre. Pourquoi devrais-je quitter tes pensées, ton esprit, car je suis hors de vue? Je ne suis pas loin, je suis juste derrière toi. Rassure-toi, tout va bien. Tu retrouveras mon coeur, tu y retrouveras la tendresse à l'état pur. Jole Dessi |
Déposé par NathalieB le 10/08/2016Je vais à la maison, mais je n'ai pas de maison ... oh love Je vais à la maison, mais je ne sais pas où elle est J'ai essayé d'être sans toi ... oh love Je suis perdu et je suis trahi Mais je suis en train de te flairer Et je suis en train de te chercher Mais je ne sais pas où tu es Très fatigué, fatigué au vent Il pleut déjà Il pleuvine Dans cette nuit seule Qui efface les pas et le temps M'efface moi, efface le monde Nuit ouverte que je n'ai plus fermée ... pour toi Appelle et peut-être t'entendrai-je Appelle fort car je suis perdu ... oh love Je suis trahi et je suis perdu Mais je suis en train de te chercher Je suis en train de te flairer Et je ne sais pas encore où tu es Très fatigué, fatigué au vent Il pleut déjà Il pleuvine Dans cette nuit seule Qui efface les pas et le temps M'efface moi, efface le monde Je regarde dehors Où va la route Des odeurs perdues (Viens, la nuit t'es ouverte) Cette nuit faite de portes, de caresses Et d'étoiles ouvertes de nuit J'ai besoin de quelqu'un à aimer Amour dans les mains du vent Il ne pleut pas Mais il est en train de pleuviner Dans cette nuit seule Qui efface les pas, qui efface le temps M'efface moi, efface le monde J'ai besoin d'avoir quelqu'un à aimer. |
Déposé par lili2248 le 30/07/2016Un être qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit. C’est un immortel qui commence. C’est pourquoi en allant confier où il dormira doucement à coté des siens, en attendant que j’aille l’y rejoindre, je ne lui dis pas adieu, je lui dis à bientôt. Car la douleur qui me serre le coeur raffermit, à chacun de ses battements, ma certitude qu’il est impossible d’autant aimer un être et de le perdre pour toujours. Ceux que nous avons aimés et que nous avons perdus ne sont plus où ils étaient, mais ils sont toujours et partout où nous sommes. Cela s’appelle d’un beau mot plein de poésie et de tendresse : le souvenir. Doris Lussier , |
Déposé par NathalieB le 27/07/2016A CES AMES ENVOLÉES Ces âmes que tu rappelles, Mon coeur, ne reviennent pas. Pourquoi donc s’obstinent-elles, Hélas ! à rester là-bas ? Dans les sphères éclatantes, Dans l’azur et les rayons, Sont-elles donc plus contentes Qu’avec nous qui les aimions ? Nous avions sous les tonnelles Une maison près Saint-Leu. Comme les fleurs étaient belles ! Comme le ciel était bleu ! Parmi les feuilles tombées, Nous courions au bois vermeil ; Nous cherchions des scarabées Sur les vieux murs au soleil ; On riait de ce bon rire Qu’Éden jadis entendit, Ayant toujours à se dire Ce qu’on s’était déjà dit ; Je contais la Mère l’Oie ; On était heureux, Dieu sait ! On poussait des cris de joie Pour un oiseau qui passait. Victor HUGO |
Déposé par lili2248 le 25/07/2016C’était nous Ces amoureux du bout du monde C’était nous Ces amoureux de n’importe où Ces deux- à Au bord de l’eau Qui se parlent Comme des oiseaux Qui se disent « mon amour » Avec des mots de tous les jours Qui se regardent dans les yeux Avec un beau sourire heureux C’était nous Ces amoureux C’était nous F DEGUELT , |
Déposé par lili2248 le 21/07/2016bonjour je suis désole de pas passe tout les jour me suis toujours pas bien dans tète je vais pas encore bien de a voir perdu ma fille mes je pence a vous gros bisous |
Déposé par NathalieB le 12/07/2016Si je suis le (la) premier (ère) à décéder. Que le deuil n`obscurcisse pas longtemps ton ciel. Que ton chagrin soit courageux mais discret. Il y a eu un changement mais pas un départ. La mort fait partie de la vie. Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants. Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage. Les moments de partage, les mystères explorés ensemble. Les strates d`intimité sans cesse accumulées. Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter. La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps. Le savoir… Chacun donnant et chacun recevant. Autant de fleurs qui ne flétrissent pas. Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent. Que même les pierres… Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie. Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse. Sont réduites à du sable. Ce que nous étions, nous le sommes encore. Ce que nous avions, nous l`avons encore. Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent. Alors, quand tu marcheras dans les bois. Comme nous l`avons déjà fait ensemble. Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés. Et tu t`arrêteras au sommet de la colline. Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine. Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant. Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là. Et si tu te sens envahie par le chagrin. Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur. Je ne t`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur ! |
Déposé par poutounou le 11/07/2016Encore une histoire qui nous démontre à quel point ils sont "indispensables", nos amours à 4 pattes.... * Pétrus, un véritable chien héros Nous avons vécu, l'automne dernier, un moment difficile qui, sans la présence de notre Fox Pétrus aurait pu être dramatique, voire même catastrophique. Dans la nuit du 6 au 7 octobre, nous sommes profondément endormis. Pétrus aboie, cela lui arrive rarement : il est respectueux du sommeil de ses maîtres et s'il se manifeste c'est qu'il y a quelque chose : présence de chats sur son territoire, passage et ou stationnement prolongé de véhicules devant la maison, bruits inhabituels... * Cette nuit -là donc Pétrus aboie. Comme chaque fois que cela se produit, je lui ordonne, depuis la chambre, de se coucher et de se taire, et les choses en restent là. Mais cette nuit-là il n'obéit pas et il continue à donner de la voix, moi à lui ordonner de se taire et de se coucher ; cependant il se manifeste d'une manière tellement impérieuse et inhabituelle que je me vois obligée de me lever. *Arrivée dans l'entrée, je trouve notre chien qui m'ignore et qui cherche à sortir, je lui intime l'ordre de se coucher, il persiste dans sa demande de sortie. Avec le recul aujourd'hui, je réalise que j'aurais dû commencer à m'inquiéter. Mais dans les brumes du sommeil, je n'ai pensé qu'à faire taire Pétrus pour retrouver mon lit au plus tôt. J'ai donc pris mon chien sous le bras et l'ai ramené autoritairement dans la cuisine dans son panier, et c'est à ce moment que j'ai compris le pourquoi des aboiements de Pétrus : par la fenêtre de la cuisine, j'ai vu notre garage en flammes. * Le temps de réveiller mon mari, d'appeler les pompiers, d'aller confier Pétrus aux voisins et déjà les flammes dépassaient le toit. Le seul élément qui a souffert de l'incendie est le garage ; il est attenant à la maison par un auvent, celle-ci a juste eu les façades noircies. La chaleur y était telle que les murs ont éclaté. Il y avait à l'intérieur deux bouteilles de gaz qui, Dieu merci, n'ont pas explosé. * Tout ce qui se trouvait dans le garage a été totalement détruit : 2 voitures, salon de jardin, tondeuse, machinerie piscine, etc. Tout le monde est d'accord pour dire que nous devons beaucoup à Pétrus. Sans lui, la maison aurait été gravement endommagée, nos bouteilles de gaz auraient pu provoquer des dégâts dans tout le quartier et serions-nous aujourd'hui là pour le raconter ? Comme disait Marie, la fille d'amis, après qu'on lui ait raconté ces événements: « On devrait tous avoir un chien ». Et j'ajouterai : un Fox ! Depuis Pétrus a retrouvé ses habitudes : Farniente sur le canapé, chasse aux lézards, piscine avec les jeunes. |
Déposé par NathalieB le 08/07/2016LE PARADIS DE NOS ANGES Regardez, mais regardez donc là haut ! Oui levez les yeux !, Ne le voyez-vous pas ce Paradis de nos Chers Animaux ? Là ! Au-dessus de ce nuage dont la forme est un chien Et à côté de celui-ci dont la forme est un chat ! Il est là ce Paradis ! Et puis si votre regard se coule vers la droite, Il y a le coin des rongeurs : Regardez, mais regardez donc ! Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche : Là est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez n'est-ce-pas ?! Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes Ils sont là, Ils vivent ailleurs en pleine santé, Dans de grands prés verts bien fleuris Où coule la Source du Paradis, et, Quand vient la nuit Ils allument pour nous Les étoiles afin que nous ayons nous aussi Cette lumière qui les entoure. Le Paradis des Animaux : il est là ! Vous le voyez n'est-ce-pas ? |
Déposé par poutounou le 07/07/2016Petit poème sur "l'habitude" qui nous aide à poursuivre notre chemin malgré les durs moments de la vie... * L'habitude * La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sûres Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; * Les plus nobles chagrins, qui voudraient se défendre, Désireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgré eux, moins farouche et plus tendre ; * Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'étrange quiétude Où le mal assoupi se soumet et s'émousse ; * Et du même toucher dont elle endort la peine, Du même frôlement délicat qui repasse Toujours, elle délustre, elle éteint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, * Les gestes, le sourire et le visage même Dont la présence était divine et meurtrière ; Ils pâlissent couverts d'une fine poussière ; La source des regrets devient voilée et blême. * A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Otant de leur éclat aux voluptés perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passé du présent, et les réconcilie ; * La douleur s'amoindrit pour de moindres délices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts désespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changés en cicatrices ; * Et celui qui chérit sa sombre inquiétude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
Déposé par lili2248 le 05/07/2016Nous devions nous aimer, c'était écrit là-haut... Les âmes sœurs finissent par se trouver quand elles savent attendre... Théophile GAUTIER , |
Déposé par poutounou le 03/07/2016Il y a des jours comme ça… * Il y a des jours comme ça, Des jours où ça ne va pas. Des jours où on aimerait Serrer notre Ange contre soi. Lui murmurer des mots doux, Lui faire des câlinous tout partout Il y a des jours comme ça… Depuis qu’il n’est plus là. |
Déposé par NathalieB le 03/07/2016TEXTE LONG MAIS A LIRE ! Journal d'un chien (âme sensible s'abstenir) Le journal d'un chien: Semaine 1: Ca fait aujourd'hui une semaine que je suis né,quel bonheur d'être arrivé dans ce monde! Mois 01: Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman exemplaire. Mois 02: Aujourd'hui j'ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et m'a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle "famille humaine" s'occupera aussi bien de moi qu'elle l'a fait. Mois 04: J'ai grandi vite, tout m'attire et m'intéresse. Il y a plusieurs enfants à la maison, ils sont pour moi comme des "petits frères". Nous sommes très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer. Mois 05: Aujourd'hui, ils m'ont disputé. Ma maîtresse m'a grondé parce que j'ai fait "pipi" à l'intérieur de la maison, mais ils ne m'ont jamais dit où je devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaignais pas! Mois 12: Aujourd'hui j'ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres disent que j'ai grandi plus qu'ils ne le pensaient. Qu'est-ce qu'ils doivent être fiers de moi ! Mois 13: Aujourd'hui, je me suis senti très mal. Mon "petit frère" m'a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes mâchoires sont devenues fortes et je l'ai blessé sans le vouloir. Après la peur, ils étaient furieux et ils m'ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu'ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne comprends rien à ce qui se passe. Mois 15: Plus rien n'est pareil... je vis sur le balcon. Je me sens très seul, ma famille ne m'aime plus. Ils oublient parfois que j'ai faim et soif. Quand il pleut, je n'ai pas de toit pour m'abriter. Mois 16: Aujourd'hui, ils m'ont fait descendre du balcon. J'étais sûr que ma famille m'avait pardonné et j'étais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m'emmènent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d'un coup, ils se sont arrêtés. Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermé la porte et sont partis. "Écoutez, attendez !" Vous... vous m'oubliez. J'ai courru derrière la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j'allais m'évanouir et qu'ils ne s'arrêtaient pas : ils m'avaient oublié. Mois 17: J'ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la maison. Je me sens et je suis perdu. Sur mon chemin, il y a des gens de coeur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger. Je les remercie du regard et du fond du coeur. J'aimerais qu'ils m'adoptent et je leur serais loyal comme personne. Mais ils disent juste "pauvre petit chien", il a dû se perdre. Mois 18: L'autre jour, je suis passé devant une école et j'ai vu plein d'enfants et de jeunes comme mes "petits frères". Je me suis approché et un groupe, en riant, m'a lancé une pluie de pierres pour "voir qui visait le mieux". Une des pierres m'a abîmé l'oeil et depuis je ne vois plus de celui-ci. Mois 19: Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi quand j'étais plus joli. Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé. J'ai perdu mon œil et les gens me font partir à coup de balais quand j'essaie de me coucher dans un petit coin d'ombre. Mois 20: Je ne peux presque pas bouger. Aujourd'hui, en essayant de traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n'oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de m'écraser. Si au moins il m'avait tué ! Mais il m'a éclaté la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arrières ne réagissent plus et je me suis difficilement tiré vers un peu d'herbe au bord de la route. Mois 21: Cela fait 10 jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger. Je ne peux pas bouger. La douleur est insupportable. Je me sens très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe. Des gens passent, ils ne me voient même pas, d'autres disent "ne t'approche pas". Je suis presque inconscient, mais une force étrange m'a fait ouvrir les yeux... la douceur de sa voix m'a fait réagir. Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel état ils t'ont laissé"... avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m'a touché et a dit "je regrette madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux arrêter ses souffrances". La gentille dame s'est mise à pleurer et a approuvé. Comme je le pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardé, la remerciant de m'aider à trouver enfin le repos. Je n'ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j'étais né si personne ne me voulait. Voici une chose réelle qui vas encore se produire cette année, se texte est assez dur, faites un copier collé et le mettez le sur votre forum, et a ces gens là, je dit merci! ( moi je l'est fait) La solution n'est pas de jeter un chien à la rue, mais de l'éduquer. Ne transforme pas en problème une compagnie fidèle. Aide à faire prendre conscience et à mettre fin au problème des chiens abandonnés. S'il vous plais faites un copier coller de cette article sur votre forum, si vous ne le faite pas c'est que vous n'avez pas de cœur,je sais que ce texte est dur, mais faite un effort, car eux en font tous les jours au près DE TOI |
Déposé par Galiama le 30/06/2016Nous devions nous aimer, c'était écrit là-haut... Les âmes sœurs finissent par se trouver quand elles savent attendre... Théophile GAUTIER |
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