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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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In tribute to
Nudji
58 candles
13321 Flowers
left by martine335 Repose en paix , et veille sur mon Heliott ! parti rejoindre le paradis des Toutous! left by Myriam Doux repos au paradis étoilés bel ange Nudji, courage à vous...magnifique hommage que vous lui avez rendu...amicalement Myriam |
3839 messages
left by choupinou on 16/12/2015Le sapin de noĂ«l (ou le petit sapin sous la neige) Le petit sapin sous la neige RĂȘvait aux beaux Ă©tĂ©s fleuris. Bel Ă©tĂ© quand te reverrai-je ? Soupirait-il sous le ciel gris. Dis moi quand reviendra lâĂ©tĂ© ! Demandait-il au vent qui vente Mais le vent sans jamais parler Sâenfuyait avec la tourmente. Vint Ă passer sur le chemin Un gaillard Ă grandes moustaches Hop lĂ ! en deux coups de sa hache, A coupĂ© le petit sapin. Il ne reverra plus lâĂ©tĂ© , Le petit sapin des montagnes, Il ne verra plus la gentiane, LâanĂ©mone et le foin coupĂ©. Mais on lâa parĂ© de bougies, SaupoudrĂ© de neiges dâargent. Des clochettes de fĂ©erie Pendent Ă ses beaux rameaux blancs. Le petit sapin de noĂ«l Ne regrette plus sa clairiĂšre Car il rĂȘve quâil est au ciel Tout vĂȘtu dâor et de lumiĂšre. Pernette ChaponniĂšre pour toi mon NUDJI j'espĂšre qu'il en ai de mĂȘme la haut dans ton jardin ou tu vis dĂ©sormĂ© ,vĂȘtu d'or et de lumiĂšre,d'amour et de joie,de friandises ,de jouets,entourait de tous tes ami(e)s, |
left by colombine67 on 16/12/2015 Lorsque les bergers s'en furent allĂ©s et que la quiĂ©tude fut revenue, l'enfant de la crĂšche leva sa tĂȘte et regarda vers la porte entrebĂąillĂ©e. Un jeune garçon timide se tenait lĂ ... tremblant et apeurĂ©. - Approche, lui dit JĂ©sus. Pourquoi as-tu si peur ? - Je n'ose... je n'ai rien Ă te donner, rĂ©pondit le garçon. - J'aimerais tant que tu me fasses un cadeau, dit le nouveau-nĂ©. Le petit Ă©tranger rougit de honte. - Je n'ai vraiment rien... rien ne m'appartient ; si j'avais quelque chose, je te l'offrirais... regarde. Et en fouillant dans les poches de son pantalon rapiĂ©cĂ©, il retira une vieille lame de couteau rouillĂ©e qu'il avait trouvĂ©e. - C'est tout ce que j'ai, si tu la veux, je te la donne. - Non, rĂ©torqua JĂ©sus, garde-la. Je voudrais tout autre chose de toi. J'aimerais que tu me fasses trois cadeaux. - Je veux bien, dit l'enfant, mais que puis-je pour toi ? - Offre-moi le dernier de tes dessins. Le garçon, tout embarrassĂ©, rougit. Il s'approcha de la crĂšche et, pour empĂȘcher Marie et Joseph de l'entendre, il chuchota dans l'oreille de l'enfant JĂ©sus : - Je ne peux pas... mon dessin est trop moche... personne ne veut le regarder ! - Justement, dit l'enfant dans la crĂšche, c'est pour cela que je le veux... Tu dois toujours m'offrir ce que les autres rejettent et ce qui ne leur plaĂźt pas en toi. Ensuite, poursuivit le nouveau-nĂ©, je voudrais que tu me donnes ton assiette. - Mais je l'ai cassĂ©e ce matin ! bĂ©gaya le garçon. - C'est pour cela que je la veux... Tu dois toujours m'offrir ce qui est brisĂ© dans ta vie, je veux le recoller... Et maintenant, insista JĂ©sus, rĂ©pĂšte-moi la rĂ©ponse que tu as donnĂ©e Ă tes parents quand ils t'ont demandĂ© comment tu avais cassĂ© ton assiette... Le visage du garçon s'assombrit, il baissa la tĂȘte honteusement et, tristement, il murmura : - Je leur ai menti... J'ai dit que l'assiette m'avait glissĂ© des mains par inadvertance ; mais ce n'Ă©tait pas vrai... J'Ă©tais en colĂšre et j'ai poussĂ© furieusement mon assiette de la table, elle est tombĂ©e sur le carrelage et elle s'est brisĂ©e ! - C'est ce que je voulais t'entendre dire ! dit JĂ©sus. Donne-moi toujours ce qu'il y a de mĂ©chant dans ta vie, tes mensonges, tes calomnies, tes lĂąchetĂ©s et tes cruautĂ©s. Je veux t'en dĂ©charger... Tu n'en as pas besoin... Je veux te rendre heureux et sache que je te pardonnerai toujours tes fautes. Et en l'embrassant pour le remercier de ces trois cadeaux, JĂ©sus ajouta : - Maintenant que tu connais le chemin de mon Coeur, j'aimerais tant que tu viennes me voir tous les jours... Anonyme |
left by poutounou on 15/12/2015Dans la vie il y a plein de « petits riens » qui nous font tant de bienâŠ.. * DES PETITS RIENS * Les petits riens qui font les grands moments Qui vont qui viennent, quand ils ont le temps Les atomes de vie qu'on attrape en rĂȘvant * Ces petits riens ont tous quelque chose Quelque chose en commun qui nous mĂ©tamorphose Ces Ă©clairs de vie qui courent entre les choses * Saurions-nous les retrouver ? Voudrais-tu les partager ? Ces moments de vĂ©ritĂ© * Les petits dĂ©tails qui ne paient pas de mine Les petits bouts de gestes qui soudain illuminent Un souffle entre les mots, un rire qui culmine * Ces petits riens qui font nos grands moments Ils vont ils viennent ils prennent tout leur temps Et plus on les dĂ©sire, plus on les attend. * Boris |
left by Biscuit on 15/12/2015Je me souviens de toi Au jour du sans lendemain J'ai gardé le souvenir de mes mains Qui te pressais tout contre moi Tu ne disais mot, pourtant je t'écoutais Seul le silence, se faisait entendre Mes larmes perlées, nos ùmes s'entretenaient La tristesse de ce moment, se faisait comprendre Tu me disais, de ne pas en vouloir à Dame Nature Que je devais poursuivre mon chemin Et que tu serais toujours là pour l'aventure Qu'il n'y aurait pas de sans lendemain Tu parcourais déjà les étoiles Que mes entrailles hurlaient encore Mon visage portait le voile La souffrance, le vide, emplissaient mon corps La souffrance ne m'a pas quittée Mais le vide s'est apaisé Dans mon coeur, tu es resté Sans jamais pouvoir, te caresser..., |
left by colombine67 on 15/12/2015Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons rĂ©chauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fĂȘte, Nous nous croirons encor de jeunes amoureux, Et je te sourirai tout en branlant la tĂȘte, Et nous ferons un couple adorable de vieux ; Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec de petits yeux attendris et brillants, Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs. Sur le banc familier, tout verdĂątre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer ; Nous aurons une joie attendrie et trĂšs douce, La phrase finissant souvent par un baiser. Combien de fois jadis j'ai pu dire : « Je t'aime ! » Alors, avec grand soin, nous le recompterons ; Nous nous ressouviendrons de mille choses, mĂȘme De petits riens exquis dont nous radoterons. Un rayon descendra, d'une caresse douce, Parmi nos cheveux blancs, tout rose, se poser, Quand, sur notre vieux banc tout verdĂątre de mousse, Sur le banc d'autrefois nous reviendrons causer. Et, comme chaque jour je t'aime davantage - Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain -, Qu'importeront alors les rides du visage, Si les mĂȘmes rosiers parfument le chemin. Songe Ă tous les printemps qui dans nos coeurs s'entassent, Mes souvenirs Ă moi seront aussi les tiens, Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens ; C'est vrai, nous serons vieux, trĂšs vieux, faiblis par l'Ăąge. Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main, Car, vois-tu, chaque jour je t'aime davantage : Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain ! Et de ce cher amour qui passe comme un rĂȘve Je veux tout conserver dans le fond de mon coeur, Retenir, s'il se peut, l'impression trop brĂšve, Pour la ressavourer plus tard avec lenteur ; J'enferme ce qui vient de lui comme un avare, ThĂ©saurisant avec ardeur pour mes vieux jours ; Je serai riche alors d'une tristesse rare, J'aurai gardĂ© tout l'or de mes jeunes amours ; Ainsi, de ce passĂ© de bonheur qui s'achĂšve, Ma mĂ©moire parfois me rendra la douceur, Et de ce cher amour qui passe comme un rĂȘve J'aurai tout conservĂ© dans le fond de mon coeur. Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs, Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille, Nous irons rĂ©chauffer nos vieux membres tremblants. Comme le renouveau mettra nos coeurs en fĂȘte, Nous nous croirons encore aux heureux jours d'antan, Et je te sourirai tout en branlant la tĂȘte, Et tu me parleras d'amour en chevrotant ; Nous nous regarderons, assis sous notre treille, Avec des yeux remplis des pleurs de nos vingt ans... Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs ! Rosemonde GĂ©rard |
left by colombine67 on 14/12/2015Dans quinze jours Nous fĂȘterons la douce nuit. La nuit synonyme d'amour Celle oĂč l'unique Ă©toile luit.  Certains partiront en voyage Et d'autres resteront chez eux On donnera comme des sages Des cadeaux aux enfants heureux.  Moi je voudrais que dans vos coeurs Quoi que vous fassiez ce jour lĂ RĂšgnent la joie et le bonheur Et donc je vous envoie pour ça :  Une pluie de feuilles dorĂ©es Portant dans leur douces nervures A chaque fois mon plus beau souhait : Qu'en vous le bel amour perdure.  Que vos yeux ne voient que le beau Que votre coeur s'ouvre un peu plus Il faut chanter toujours plus haut De cette vie soyez goulus !  Aimez à travers et Ă tort Aimez sans cesse comme des fous Quoi qu'il arrive aimez encore Il n'y a vraiment rien de plus doux  Je vous laisse en compagnie De votre esprit de votre coeur Car c'est avec eux aujourd'hui Que vous devez croire au bonheur  Et je vous envoie pour finir Tous mes souhaits et tous mes soupirs De joie, de rire et de dĂ©sir De vous voir cette nuit sourire. |
left by viana67 on 13/12/2015Petit mot d'un ange pour sa maman : ... Rappelle-toi, quand sous la froide terre Mon coeur brisé pour toujours dormira ; Rappelle-toi, quand la fleur solitaire Sur mon tombeau doucement s'ouvrira. Je ne te verrai plus ; mais mon ùme immortelle Reviendra prÚs de toi comme une soeur fidÚle. Ecoute, dans la nuit, Une voix qui gémit : Rappelle-toi. Alfred de Musset |
left by colombine67 on 13/12/2015 Le firmament est plein de la vaste clartĂ© ; Tout est joie, innocence, espoir, bonheur, bontĂ©. Le beau lac brille au fond du vallon qui le mure ; Le champ sera fĂ©cond, la vigne sera mĂ»re ; Tout regorge de sĂšve et de vie et de bruit, De rameaux verts, d'azur frissonnant, d'eau qui luit, Et de petits oiseaux qui se cherchent querelle. Qu'a donc le papillon ? qu'a donc la sauterelle ? La sauterelle a l'herbe, et le papillon l'air ; Et tous deux ont avril, qui rit dans le ciel clair. Un refrain joyeux sort de la nature entiĂšre ; Chanson qui doucement monte et devient priĂšre. Le poussin court, l'enfant joue et danse, l'agneau Saute, et, laissant tomber goutte Ă goutte son eau, Le vieux antre, attendri, pleure comme un visage ; Le vent lit Ă quelqu'un d'invisible un passage Du poĂšme inouĂŻ de la crĂ©ation ; L'oiseau parle au parfum ; la fleur parle au rayon ; Les pins sur les Ă©tangs dressent leur verte ombelle ; Les nids ont chaud ; l'azur trouve la terre belle, Onde et sphĂšre, Ă la fois tous les climats flottants ; Ici l'automne, ici l'Ă©tĂ© ; lĂ le printemps. Ă coteaux ! ĂŽ sillons ! souffles, soupirs, haleines ! L'hosanna des forĂȘts, des fleuves et des plaines, S'Ă©lĂšve gravement vers Dieu, pĂšre du jour ; Et toutes les blancheurs sont des strophes d'amour ; Le cygne dit : LumiĂšre ! et le lys dit : ClĂ©mence ! Le ciel s'ouvre Ă ce chant comme une oreille immense. Le soir vient ; et le globe Ă son tour s'Ă©blouit, Devient un oeil Ă©norme et regarde la nuit ; Il savoure, Ă©perdu, l'immensitĂ© sacrĂ©e, La contemplation du splendide empyrĂ©e, Les nuages de crĂȘpe et d'argent, le zĂ©nith, Qui, formidable, brille et flamboie et bĂ©nit, Les constellations, ces hydres Ă©toilĂ©es, Les effluves du sombre et du profond, mĂȘlĂ©es A vos effusions, astres de diamant, Et toute l'ombre avec tout le rayonnement ! L'infini tout entier d'extase se soulĂšve. Et, pendant ce temps-lĂ , Satan, l'envieux, rĂȘve. Victor Hugo, Les contemplations, avril 1840 |
left by colombine67 on 12/12/2015J'aimerais leur dire Ta présence au milieu de nous la joie de Te connaitre et de Te rencontrer leur dire Ton Amour fou le bonheur de vivre avec Toi et de t'aimer J'aimerais leur dire que Tu es une nourriture un frÚre, un pÚre fou d'amour leur dire que Tu t'es donné en pùture à notre monde de vautour. J'aimerais leur dire Ta présence vivante dans la communion Ton chemin de croix et le mont Golgotha leur dire l'abandon et la Résurection. J'aimerais leur dire que Tu es trois, Amour et don de Toi leur dire que Tu es faiblesse et abandon miséricorde et résurection. J'aimerais leur dire tout ce que de Toi je sais Et plus encore tout ce que par Toi je vis. J'aimerais leur dire que Tu es un inconnu à découvrir un fiancé délaissé leur dire qu'il suffit d'un coeur à ouvrir J'aimerais leur dire - Dieu t'aime Il est là , Il sait tout de toi leur dire - Il est plus encore et je ne sais rien de Lui. Marie-HélÚne |
left by poutounou on 11/12/2015Nos Anges nous donnent tout au long de leur vie, et mĂȘme aprĂšs, plein de sous dâAmour, de vrai Amour.âŠet ça fait du bien dâĂȘtre aimĂ© ainsi⊠* La priĂšre aux Ă©toiles * Et on sâembrasse, et on se dit « Je tâaime », Et on se fait du charme Et tout le reste, et ça va trĂšs bien⊠Et tout dâun coup, il y en a un qui donne Ă lâautre⊠Un sou dâamour. Mais de vrai Amour, tu comprends ! Un sou, pas plus. Oh⊠ce nâest presque rien, Câest peut-ĂȘtre une nouvelle robe de la couleur de sa cravate, Câest peut-ĂȘtre de rĂ©pĂ©ter une phrase quâil a dite la veille⊠Câest une façon de tenir une main, Un regard plus bleu, Un petit tremblement dans la voix⊠Alors il faut que lâautre le comprenne⊠IL faut que, tout Ă coup, Il sente que ce nâest pas trois mille francs de coquetterie, Ou dix mille francs de flirt, Mais que câest beaucoup plus que ça, Parce que câest un sou dâAmour. Et alors, tout de suite, Il faut que, pour un sou, Il rende tout Ă coup⊠deux sous dâAmour. * Marcel Pagnol |
left by Biscuit on 11/12/2015ETRE FIDELE A CEUX QUI SONT MORTS ************************************ Etre fidĂšle Ă ceux qui sont morts, Ce nâest pas sâenfermer dans la douleur. Il faut continuer de creuser son sillon, droit et profond. Comme ils lâauraient fait eux-mĂȘmes. Comme on lâaurait fait avec eux, pour eux. Etre fidĂšle Ă ceux qui sont morts, câest vivre comme ils auraient vĂ©cu. Et les faire vivre avec nous. Et transmettre leur visage, leur voix, leur message, aux autres. A un fils, Ă un frĂšre, ou Ă des inconnus, aux autres, quels quâils soient. Et la vie tronquĂ©e des disparus, alors, germera sans fin. Martin Gray , |
left by colombine67 on 11/12/2015Savais-tu que les efforts que fait une personne sont d'autant plus concluants quâils sont vraiment dĂ©sirĂ©s ? Savais-tu que les personnes les plus autoritaires sont souvent les plus faibles hors de leur trĂŽne ? Savais-tu que les personnes qui sont les plus secourables sont souvent les plus pauvres ? Savais-tu que les trois phrases les plus difficiles Ă dire sont, pour beaucoup : "Je t'aime", "Pardonne-moi" et "Aide-moi" ? Savais-tu que lorsque tu aides quelqu'un avec bon coeur, tu es deux fois plus aidĂ© ? Savais-tu que les personnes qui ont le plus besoin de toi sont celles qui ne le disent pas ? Savais-tu que ce qui te coĂ»te Ă faire ou Ă dire a plus de valeur que ce qui te coĂ»te et que tu dois payer avec de l'argent ? Mais, ne crois pas tout ce que je viens de te dire jusqu'Ă ce que tu lâaies vĂ©rifiĂ© par toi-mĂȘme. Si tu connais quelqu'un qui a besoin de quelque chose parmi celles que jâai citĂ©es, et que tu penses pouvoir l'aider, donne-lui ton aide de bon coeur et tu verras qu'en retour tu recevras le double. Ou alors, aide-toi toi-mĂȘme et regarde les rĂ©sultats⊠Anonyme |
left by colombine67 on 10/12/2015 Mes mains sont petites ; ne t'attends donc pas Ă la perfection quand je fais mon lit, quand je dessine ou que j'envoie un ballon. Mes jambes sont courtes ; ralentis pour que je puisse te suivre. Mes yeux n'ont pas vu le monde comme toi ; laisse-moi l'explorer en toute sĂ©curitĂ©, mais sans interdit inutile. Il y aura toujours des choses Ă faire Ă la maison, mais moi je ne suis jeune que pour quelques annĂ©es. Prends le temps de m'expliquer les choses, avec patience et bonne volontĂ©. Mon monde intĂ©rieur est celui d'un enfant, laisse-moi le temps de grandir. Je suis fragile, mĂȘme si je ne le montre pas. Sois sensible Ă mes besoins, Ă ce que je ressens. Ne te moque pas de moi sans arrĂȘt. Traite-moi comme tu aimerais ĂȘtre traitĂ© ou, mieux, comme tu aurais aimĂ© ĂȘtre traitĂ© quand tu avais mon Ăąge. Je suis un cadeau de la nature ; traite-moi s'il te plait comme tel. Je suis responsable de mes actions, mais c'est toi qui me donne l'exemple et conviens avec moi de contrats et d'ententes - avec amour. J'ai besoin de tes encouragements pour grandir. Mets la pĂ©dale douce pour les critiques. Souviens-toi : tu peux critiquer ce que je fais sans me critiquer, moi. Si tu me donnes des Ă©tiquettes, je vais avoir du mal Ă m'en dĂ©faire. Donne-moi le droit de prendre des dĂ©cisions moi-mĂȘme. Autorise-moi Ă expĂ©rimenter l'Ă©chec, pour que j'apprenne de mes erreurs. De cette façon, je serai prĂȘt Ă prendre plus tard les dĂ©cisions que la vie me demandera de prendre. S'il te plaĂźt, cesse de me comparer. Je suis unique. Si tu as des attentes trop fortes pour moi, je ne me sentirai pas Ă la hauteur, et cela minera ma confiance en moi. Je sais que c'est difficile, mais ne me compare pas Ă ma soeur ou Ă mon frĂšre, aux copains, Ă toi quand tu Ă©tais enfant. Je n'ai pas peur que mon papa et ma maman partent tous les 2 pour un week-end. Les enfants ont eux aussi besoin de vacances, sans leurs parents - tout comme les parents ont besoin de vacances sans leurs enfants. En plus, c'est une façon de me montrer combien votre relation est forte et combien vous vous aimez. Apprends-moi la relaxation, la mĂ©ditation ou la priĂšre. Montre-moi l'exemple en te recueillant toi-mĂȘme. J'ai besoin moi aussi d'une dimension intĂ©rieure. J'aime que tu me racontes des histoires, et qu'on en parle ensuite. J'aime Ă©couter des histoires avec toi. Ce temps que tu partages avec moi est du bonheur pour moi. J'en ai besoin. Anonyme |
left by colombine67 on 09/12/2015Les heures sont des fleurs l'une aprĂšs l'autre Ă©closes Dans l'Ă©ternel hymen de la nuit et du jour ; Il faut donc les cueillir comme on cueille les roses Et ne les donner qu'Ă l'amour. Ainsi que de l'Ă©clair, rien ne reste de l'heure, Qu'au nĂ©ant destructeur le temps vient de donner ; Dans son rapide vol embrassez la meilleure, Toujours celle qui va sonner. Et retenez-la bien au grĂ© de votre envie, Comme le seul instant que votre Ăąme rĂȘva ; Comme si le bonheur de la plus longue vie Ătait dans l'heure qui s'en va. Vous trouverez toujours, depuis l'heure premiĂšre Jusqu'Ă l'heure de nuit qui parle douze fois, Les vignes, sur les monts, inondĂ©s de lumiĂšre, Les myrtes Ă l'ombre des bois. Aimez, buvez, le reste est plein de choses vaines ; Le vin, ce sang nouveau, sur la lĂšvre versĂ©, Rajeunit l'autre sang qui vieillit dans vos veines Et donne l'oubli du passĂ©. Que l'heure de l'amour d'une autre soit suivie, Savourez le regard qui vient de la beautĂ© ; Ătre seul, c'est la mort ! Ătre deux, c'est la vie ! L'amour c'est l'immortalitĂ© ! GĂ©rard de Nerval |
left by choupinou on 08/12/2015Elle a des yeux tourbillon Comme perdus dans le temps Des pensĂ©es ou des dĂ©mons Cache-t-elle donc des tourments ? Elle a un coeur amoureux RĂ©chauffant bien ses instants LâintensitĂ© dâavoir Ă©tait deux Quel est ce regard souffrant ? Son visage est pĂąlichon Telle la neige du temps Elle frissonne Ă lâhorizon Et enterre ses tourments⊠Elle a des yeux tourbillon EgarĂ©s loin de son Ăąme Elle subit lĂ ,il n'y a plus de raison Pourquoi je vis avec des larmes⊠C'est d'avoir trop p'aimĂ© Mon amour disparu ,pour toujours Et dans mon coeur je ne suit pas libĂ©rĂ© De ton image mon chien,mon amour.... |
left by colombine67 on 08/12/2015Le bonheur, c'est le sourire de maman Il m'enveloppe comme un vent chaud. Le bonheur, c'est mon chandail neuf Il est beau et me garde au chaud. Le bonheur, c'est aimer la vie Parce qu'elle est remplie d'amis(e). Le bonheur, c'est ĂȘtre content de soi Sentir tout l'amour que je reçois. Le bonheur, c'est la neige qui tombe Demain, je pourrai aller glisser. Le bonheur, c'est ma petite soeur Elle court tout partout dans mon coeur. Le bonheur, c'est mille et un petit riens Qui m'appartiennent comme des trĂ©sors Rire en classe, savoir Ă©crire et lire FlĂąner sur le divan Ă regarder le temps... Le bonheur, c'est comme une station service : C'est mon essence qui me donne le goĂ»t de vivre... Ăcrit collectif d'enfants de 10 ans, organisĂ© par Jean-Guy Audit et Lise Gaudet |
left by poutounou on 07/12/2015On les trouve oĂč ces « grands chevaux » ? * La chevauchĂ©e * Certains, quand ils sont en colĂšre, Crient, trĂ©pignent, cassent des verres... Moi, je n'ai pas tous ces dĂ©fauts : Je monte sur mes grands chevaux. * Et je galope, et je voltige, Bride abattue, jusqu'au vertige Des Ă©tincelles sous leurs fers, Mes chevaux vont un train d'enfer. * Je parcours ainsi l'univers, Monts, forĂȘts, campagnes, dĂ©serts... Quand mes chevaux sont fatiguĂ©s, Je rentre Ă l'Ă©curie - calmĂ©. * Jacques CHARPENTREAU |
left by colombine67 on 07/12/2015Vous aviez mon coeur, Moi, j'avais le vĂŽtre : Un coeur pour un coeur ; Bonheur pour bonheur ! Le vĂŽtre est rendu, Je n'en ai plus d'autre, Le vĂŽtre est rendu, Le mien est perdu ! La feuille et la fleur Et le fruit lui-mĂȘme, La feuille et la fleur, L'encens, la couleur : Qu'en avez-vous fait, Mon maĂźtre suprĂȘme ? Qu'en avez-vous fait, De ce doux bienfait ? Comme un pauvre enfant QuittĂ© par sa mĂšre, Comme un pauvre enfant Que rien ne dĂ©fend, Vous me laissez lĂ , Dans ma vie amĂšre ; Vous me laissez lĂ , Et Dieu voit cela ! Savez-vous qu'un jour L'homme est seul au monde ? Savez-vous qu'un jour Il revoit l'amour ? Vous appellerez, Sans qu'on vous rĂ©ponde ; Vous appellerez, Et vous songerez !... Vous viendrez rĂȘvant Sonner Ă ma porte; Ami comme avant, Vous viendrez rĂȘvant. Et l'on vous dira : " Personne !... elle est morte. " On vous le dira ; Mais qui vous plaindra ? Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859) |
left by Biscuit on 06/12/2015par Biscuit le 06/12/2015 Dans notre monde vivent des ĂȘtres magiques. Certains dâentre nous ont eu la chance de les rencontrer et mĂȘme de vivre avec eux. Parrfois ils ne font que passer dâautres fois ils restent des annĂ©es Mais quâimporte le temps. Quand on les rencontre jamais on ne les oublie, câest la magie quâils crĂ©ent. Dâun seul regard ils nous apprivoisent Et pour toujours Nous les aimons. MĂȘme quand ils sâen vontâŠ., |
left by colombine67 on 06/12/2015 Ne me laisse pas former de mauvaise habitudes. Je dois compter sur toi pour les dĂ©tecter pendant que je suis jeune. Ne me fais pas sentir plus petit que je suis. Cela me fait agir stupidement pour montrer que je suis grand. Ne me corrige pas en public, si tu le peux. Je comprends beaucoup mieux quand tu me parles seul. Ne me protĂšge pas trop des consĂ©quences. Je dois parfois apprendre de la façon la plus dure. Ne sois pas trop fĂąchĂ© quand je te dis : je te hais. Ce n'est pas toi que je hais mais ton pouvoir de commander. Ne rĂ©pĂšte pas toujours la mĂȘme chose. Si tu agis ainsi, je devrai me protĂ©ger en faisant la sourde oreille. Ne fais pas de promesse que tu ne peux pas tenir. Je suis trĂšs déçu quand les promesses sont brisĂ©es. N'oublie pas que je ne peux pas m'exprimer aussi bien que je le voudrais. C'est pourquoi je ne suis pas toujours prĂ©cis. Ne discute pas trop mon honnĂȘtetĂ©. Si tu me fais peur, je raconterai des mensonges. Ne sois pas de ceux qui changent toujours d'idĂ©es. Je deviens confus et je perds confiance en toi. Ne me tracasse pas quand je te questionne. Si tu fais cela, je devrai trouves des rĂ©ponses ailleurs. Ne me dis pas que mes craintes sont stupides. Elles sont horriblement rĂ©elles. N'oublie pas que j'aime faire des expĂ©riences. Je ne peux pas vivre sans elles. Sois patient. N'oublie pas que je grandis rapidement. C'est difficile de me suivre, mais essaie ! Anonyme |
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