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In tribute to
CANICHENudji
Born on :05/06/1997
left us on:20/11/2013
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left by colombine67 on 10/07/2016TĂ©moignage d'un chien abandonnĂ©. "Je ne sais pas oĂč tu mâemmĂšnes, mais je sais que tu es en colĂšre contre moi. Tout Ă lâheure tu mâas fais monter dans la voiture, et tu mâas ordonnĂ© sĂšchement de me coucher Ă cĂŽtĂ© du siĂšge passager. La voiture est pleine de poils je ne le fais pas exprĂšs tu sais, mais tu ne mâas pas brossĂ© depuis longtemps. Je sais quâhier, jâai Ă©tĂ© un VILAIN CHIEN. Jâai pourtant essayĂ© de vous faire comprendre, Ă toi et Ă ELLE, que jâavais une grosse envie que câĂ©tait pour la grosse commission. Mais tu mâas dit de me taire et de filer dans mon coin. Je te promets que jâai essayĂ©, aussi longtemps ,que jâai pu, de retenir la commission lorsquâ ELLE et toi, vous ĂȘtes partis. Jai tournĂ© en rond et puis câest parti. Je sais que jâai fait CA au milieu de la cuisinevje mâen suis beaucoup voulu tu sais, je me suis mordu les pattes, jâai beaucoup pleurĂ© Et puis je ne sais pas ce qui ma pris, jâai ressenti beaucoup de colĂšre pour toi et pour ELLE, tous ces moments oĂč je me suis senti dĂ©laissĂ©, et de trop entre vous deux, me sont revenus et jâai fais toutes ces bĂȘtises, jâai mordu les coussins et arrachĂ© un peu de papier peint. Jâai eu peur lorsque tu es rentrĂ©, jâai vu de la colĂšre dans tes yeux, et jâai su que la punition allait ĂȘtre terrible. CâĂ©tait si bien au dĂ©but toi et moi seuls contre les imbĂ©ciles tu mâemmenais partout avec toi et jâavais le droit de venir tâembĂȘter avec ma baballe pleine de bave et me coucher sur tes pieds pour mĂąchouiller tes pantoufles, on faisait de longues balades dans la forĂȘt, et au retour jâavais droit Ă pleins de cĂąlins et puis ELLE est arrivĂ©e. Au dĂ©but, je ne la gĂȘnais pas trop et je pouvais encore circuler librement dans lâappartement, comme je lâavais toujours fait avec toi. Et puis elle a commencĂ© Ă se plaindre : tu me donnais trop dâaffection, je mangeais trop je perdais mes poils, jâĂ©tais sale, je sentais mauvais⊠et puis elle Ă©tait allergique (hahaha) Hier lorsque vous ĂȘtes rentrĂ©s elle tâa dit câest lui ou moi et tu mâas lancĂ© un regard triste mais rĂ©signĂ©. Nous nous sommes arrĂȘtĂ©s. Tu mâas emmenĂ© dans la forĂȘt oĂč nous venions souvent, avant, tu as nouĂ© ma laisse autour du tronc dâarbre et tu es parti dans ta grosse voiture pleine de mes poils. Câest une blague ? un nouveau jeu ? une punition ? tu vas revenir ? Je me souviens du premier regard que tu mâas lancĂ© Ă travers la grille de ma cage. Tu tâes arrĂȘtĂ© et agenouillĂ© devant moi et je suis venu mordiller ton doigt. Tu as dit Ă la dame du refuge que tu vivais seul et que tu aurais largement le temps de tâoccuper de moi. Moi je tâaimais dĂ©jĂ , au premier regard. La grande cage sâest ouverte et jâai sautĂ© dans tes bras. JâĂ©tais tout chiot Ă lâĂ©poque ça fait dĂ©jĂ deux ans ! Et que de bonheur depuis !! JusquâĂ ce jour. Il y a longtemps que tu es parti maintenant. Je mâennuie, jâai peur et jâai commencĂ© Ă ronger ma laisse mais elle est en acier et je me suis fait mal aux dents. Mon collier me sert car je nâai pas assez de mou pour ne serait ce que mâallonger. Et puis jâai faim, jâai soif. Deux jours que je suis lĂ jâai arrĂȘtĂ© de compter les minutes et de japper, Ă force de pleurer je nâai plus de voix et tu nâes pas revenu. Le collier a entamĂ© ma peau Ă force de tirer dessus et cela me fait trĂšs mal. Jai trĂšs peur Est-ce donc si terrible de faire la commission Ă lâintĂ©rieur ?Je ne sais plus depuis combien de temps je suis lĂ Ă force de tirer sur la laisse jâai rĂ©ussi Ă pouvoir mâallonger un peu mais jai trĂšs mal au cou et cela me brĂ»le beaucoup les mouches commencent Ă me tourner autour. Je ne me sens plus trĂšs bien, je nâai mĂȘme plus soif, mĂȘme plus faim et je crois que jâaimerais rester seulement lĂ , allongĂ© et attendre que tout sâarrĂȘte autour de moi. Juste un murmure qui se rapproche je distingue quelques voix serait ce toi mon amour dâhumain qui revient me chercher ? Suis-je assez puni ? Je me suis rĂ©veillĂ© Ă lâhĂŽpital pour chiens. Une dame trĂšs gentille ma dit que dĂ©sormais jâallai dĂ©pendre du refuge SPA. Ăa je connais. Jây ai passĂ© les premiers mois de ma vie. La dame est trĂšs gentille. Je viens de passer deux longues semaines Ă la clinique vĂ©tĂ©rinaire et jâai quinze points de suture au cou. Le collier en acier avait entamĂ© ma chair, et les mouches avaient commencĂ© Ă pondre dans la plaie. Je suis un miraculĂ© me dit la dame trĂšs gentille. Elle me dit que je suis beau et que je ne devrais pas tarder Ă trouver de nouveaux maĂźtres. Mais ce ne sont pas de nouveaux que je veux ! Pourquoi ne vient- il pas me chercher ? je ne comprend pas. Ma compagne de cellule est une adorable border collie de quatorze ans. Elle se nomme Mitsy. La directrice du refuge la chargĂ©e de me mettre au courant en ce qui concerne la vie au pensionnat, les horaires de promenade, de repas, le rĂšglement intĂ©rieur. Mitsy est lĂ depuis quâelle a neuf ans. A la mort de sa maĂźtresse, elle a Ă©tĂ© amenĂ© au refuge, car aucun des cinq enfants (que Mitsy a pourtant vu grandir) nâa voulu assumer un vieux chien malade et Ă demi aveugle. Mais elle ne leur garde pas rancune. Et puis depuis quâelle est lĂ , Mitsy est devenue en quelques sortes la mascotte du refuge. Elle rentre, elle sort Ă sa guise, si bien quâen gĂ©nĂ©ral, la journĂ©e je me retrouve tout seul. Dans la cage de droite, il y Snoop, un vieux briard, que lâenfermement a rendu aigri et qui passe ses journĂ©es Ă grogner. A force de sâen prendre Ă ses compagnons de cellule, les humains ont Ă©tĂ© obligĂ© de lâisoler. Et puis Ă droite, il y a Roots Trois ans dĂ©jĂ quâil traĂźne ses pattes au refuge, et pourtant il ne perd pas espoir de repartir un jour. Quand un humain arrive, il fait le beau, il jappe il frĂ©tille, il amuse la galerie. Au dĂ©but jâai pris des cours avec Lui et je faisais le singe dans ma cage espĂ©rant attirer lâattention sur moi, mais les visiteurs vite Ă©coeurĂ©s dĂ©tournaient la tĂȘte de mon pelage, terni et de ma longue balafre boursouflĂ©e, longue dune dizaine de centimĂštres, entravant mon cou. Petit Ă petit mon espoir est mort. Les gens me regardaient et sâen allaient. A chaque fois que je ressentais quelque espoir, une main caressante, un regard appuyĂ©, les gens me donnaient quelques mots affectueux puis continuaient leur promenade. Je me sentais mourir Ă petit feu. Dâabord ce fut ma jeunesse. Elle me quitta. Je me dĂ©sintĂ©ressais des balles et des pouics pouics en tout genres. Et puis un jour, je me dĂ©sintĂ©ressai mĂȘme de ma gamelle. Jamais plus je ne connaĂźtrai la chaleur dâun panier garni dâune douce couverture pour mes papattes, oĂč de juteux restes de repas glissĂ©s avec amour dans ma gamelle. Je fus rĂ©signĂ© Ă attendre la fin couchĂ© sur ma paillasse, Ă lâautre bout de la cage, bien loin des manifestations dâintĂ©rĂȘt du genre bipĂšde. JâĂ©tais devenu maigre Ă faire peur, mes pattes ne me portaient plus. Bien quâĂągĂ© de quatre ans, jâen paraissais 10 de plus. Ils vinrent. Deux bipĂšdes. Ils se tenaient par la main, expliquant Ă la dame du refuge quâils avaient mĂ»rement rĂ©flĂ©chi, quâils avaient dĂ©cidĂ© dâadopter un chien de la SPA plutĂŽt que de prendre un chiot chez un Ă©leveur. Ils sâen remettaient au choix de la directrice, mĂȘme si celui ci se portait sur un pas trĂšs beau, plus trĂšs neuf leur seul envie Ă©tait de faire trois heureux. Ils sâarrĂȘtĂšrent devant ma cage. On se regarda longuement, et je voyais bien que LUI comptait mes cĂŽtes, trĂšs apparentes sous mon pelage, et quâ ELLE dĂ©taillait ma longue cicatrice inesthĂ©tique. - ORLY a Ă©tĂ© trouvĂ© attachĂ© Ă un arbre, dans la forĂȘt, parce que son maĂźtre nâa pas eu le courage de sâen dĂ©barrasser au refuge. Il est restĂ© cinq jours dans les bois, sans boire sans manger, couchĂ© dans ses excrĂ©ments. La plaie que vous lui voyez au cou, câest le collier qui a entamĂ© sa peau. Sachez bien que la cicatrice sâestompera mais ne disparaĂźtra pas complĂštement. Ce nâest pas une bĂȘte de concours. Mais il est avec nous depuis un an et la vie au refuge lui pĂšse. Je crois quâil a dĂ©cidĂ© de se laisser mourir, malgrĂ© toute notre affection. ELLE sâapprocha doucement de moi. Je grognai. AprĂšs tout pourquoi leur accorder la moindre importance. Ils me cajoleraient, puis me laisseraient tomber comme tous les autres avant eux. ELLE passa une main douce dans mes poils et sur mon museau, me toucha les oreilles et je vis que ses yeux brillaient. LUI se tenait Ă quelques pas derriĂšre elle. La directrice dansait dâun pied sur lâautre pleine dâun secret espoir.. ELLE Ă©tait si douce, et en cet instant je me sentais si bien, que je vins me blottir contre elle et posait ma grande tĂȘte sur ses genoux. Et puis je fermai les yeux. Jâattendis la sentence. Une voix trĂšs Ă©mue au loin, hors de mon rĂȘve Câest possible de lâemmener aujourdhui ? La directrice battit des mains, joyeuse. Bien sĂ»r ! je vais vous expliquer pour les papiers, et les dĂ©marches. Elle voulut refermer la cage mais ELLE me prit par le collier et me dit doucement de venir avec elle . Je la regardais, impuissant, nây croyant pas vraiment. Je passai devant Roots et tous les autres qui me jappaient des fĂ©licitations et des cris de joie. Mitsy, confortablement installĂ©e dans un vieux fauteuil en cuir passĂ©, me fit un clin dâoeil en me voyant arriver dans le bureau des adoptions. Mon nouveau maĂźtre , tout en me caressant longuement, me promit que tout ce que jâavais vĂ©cu lĂ Ă©tait terminĂ© et que jâallais avoir droit Ă une vie de rĂȘve, bien mĂ©ritĂ©e, un bon panier bien moelleux, des restes de repas bien juteux et Ă lâavenir un jardin oĂč je pourrai creuser Ă volontĂ©. Je partis avec eux, allongĂ© sur le siĂšge arriĂšre de la voiture, avec un dernier regard sur le refuge, oĂč attendent encore des centaines de mes compagnons Ă quatre pattes, et ne pensait quâĂ ma nouvelle vie. |
left by colombine67 on 08/07/2016clickable links, images or videos cause slowdowns they are no longer allowed in messages |
left by poutounou on 07/07/2016Petit poĂšme sur "l'habitude" qui nous aide Ă poursuivre notre chemin malgrĂ© les durs moments de la vie... * L'habitude * La tranquille habitude aux mains silencieuses Panse, de jour en jour, nos plus grandes blessures ; Elle met sur nos coeurs ses bandelettes sĂ»res Et leur verse sans fin ses huiles oublieuses ; * Les plus nobles chagrins, qui voudraient se dĂ©fendre, DĂ©sireux de durer pour l'amour qu'ils contiennent, Sentent le besoin cher et dont ils s'entretiennent Devenir, malgrĂ© eux, moins farouche et plus tendre ; * Et, chaque jour, les mains endormeuses et douces, Les insensibles mains de la lente Habitude, Resserrent un peu plus l'Ă©trange quiĂ©tude OĂč le mal assoupi se soumet et s'Ă©mousse ; * Et du mĂȘme toucher dont elle endort la peine, Du mĂȘme frĂŽlement dĂ©licat qui repasse Toujours, elle dĂ©lustre, elle Ă©teint, elle efface, Comme un reflet, dans un miroir, sous une haleine, * Les gestes, le sourire et le visage mĂȘme Dont la prĂ©sence Ă©tait divine et meurtriĂšre ; Ils pĂąlissent couverts d'une fine poussiĂšre ; La source des regrets devient voilĂ©e et blĂȘme. * A chaque heure apaisant la souffrance amollie, Otant de leur Ă©clat aux voluptĂ©s perdues, Elle rapproche ainsi de ses mains assidues, Le passĂ© du prĂ©sent, et les rĂ©concilie ; * La douleur s'amoindrit pour de moindres dĂ©lices ; La blessure adoucie et calme se referme ; Et les hauts dĂ©sespoirs, qui se voulaient sans terme, Se sentent lentement changĂ©s en cicatrices ; * Et celui qui chĂ©rit sa sombre inquiĂ©tude. Qui verserait des pleurs sur sa douleur dissoute, Plus que tous les tourments et les cris vous redoute, Silencieuses mains de la lente Habitude. * Auguste ANGELLIER (1848-1911) |
left by colombine67 on 07/07/2016Comme des milliers de chiens abattus pour leur viande en Chine, Tiger Ă©tait destinĂ© Ă ĂȘtre mangĂ©. Mais sa bonne Ă©toile en a dĂ©cidĂ© autrement. Dans les rues de Beijing (PĂ©kin), une jeune femme chinoise passait tous les jours devant un chien enfermĂ© dans une cage beaucoup trop petite pour lui. Une triste banalitĂ©, qui a toutefois fini par lâinterpeller. Elle demanda au vendeur ce quâil adviendrait de ce chien. Et lâhomme de lui rĂ©pondre quâil serait envoyĂ© Ă lâabattoir. Sans plus tarder, la jeune femme dĂ©cida dâacheter le chien pour le sauver. Dans sa nouvelle maison, ce beau Berger allemand sâavĂ©ra un merveilleux chien de compagnie. Il sâentendait particuliĂšrement bien avec les enfants. Un nom lui fut donnĂ©Â : Tiger. Mais sa sauveuse ne pouvant le garder, elle se promit de trouver des adoptants pour ce merveilleux chien. Une famille amĂ©ricaine Lorsque la famille sâenvola pour San Francisco, Tiger fut de la partie. Pris en charge par lâassociation Duo Duo Project, qui vient en aide aux chiens sauvĂ©s de lâabattage en Chine, il fut proposĂ© Ă lâadoption. Câest lĂ que son chemin croisa celui de Jenny Sehic. Auparavant, cette amĂ©ricaine avait eu lâoccasion de voyager en Chine, et elle avait vu les camions pleins de chiens entassĂ©s dans des cages minuscules qui Ă©taient conduits Ă lâabattoir. « Jâai commencĂ© Ă suivre Duo Duo Project sur les rĂ©seaux sociaux pour mieux comprendre ce commerce de la viande de chien et chat, et ce que nous, en tant quâAmĂ©ricains, pourrions faire pour arrĂȘter cette pratique », a expliquĂ© Jenny Sehic Ă The Dodo. Alors quâelle cherchait un chien Ă adopter provenant de Chine, la jeune femme a dĂ©couvert la photo de Tiger. « Nous avons su immĂ©diatement que nous avions trouvĂ© notre chien », se souvient-elle. Une amie pour la vie Lorsque Tiger est arrivĂ© dans sa nouvelle maison, « il avait lâair dâun vieux chien tant il Ă©tait maigre et sans muscles. Il Ă©tait recroquevillĂ©, et sur son dos, il y avait encore la cicatrice du haut de la cage qui Ă©tait clairement trop petite pour lui ». Timide et anxieux au dĂ©but, Tiger a rapidement trouvĂ© en Sloane, 3 ans, une alliĂ©e et une meilleure amie pour la vie. Amoureuse des animaux, la petite fille de la famille est vite devenue une partenaire de jeu idĂ©ale pour le jeune Tiger. Les deux acolytes grandissent dĂ©sormais ensemble, loin de la tragĂ©die qui frappe des milliers de chiens et chats en Chine. Rappelons que le seul festival de Yulin, qui a commencĂ© le 21 juin, cause la mort de 40 000 chiens et 10 000 chats chaque annĂ©e. |
left by ovanek on 06/07/2016đ đ đ 87 đ đ **** Manque de Toi **** Pour l'un de tes jouets que j'avais oubliĂ© tout au fond du hasard et viens de retrouver ma vie qui se lĂ©zarde, je me sens chavirer Je caresse ton ombre...surtout ne pas pleurer, tu ne le voudrais pas et je te dois ma joie Bien sĂ»r que je peine Ă longueur de journĂ©e, bien sĂ»r quand vient la nuit je me laisse couler au bord de l'oreiller Ă qui je parle de toi Le deuil d'un chien se tait quand on est un humain Je raconte un ami, la perte de quelqu'un pour ne pas inquiĂ©ter ou entendre ricaner mais dans mon cĆur meurtri je te garde cachĂ© comme un Amour secret qu'on ne peut avouer. Quand mes pensĂ©es s'envolent et quittent les chemins d'une sage raison c'est vers toi que je viens. Reprennent ĂŽ quel bonheur tous nos jeux insensĂ©s Chahut c'est au jardin, on aime tant s'amuser RĂąleront les voisins quand tu vas aboyer Qu'on me laisse cet instant, j'ai retrouvĂ© mon chien on ne fait rien de mal et on ne casse rien Il est mon tout fidĂšle et ma sĂ©curitĂ©. Lui seul sait me dĂ©fendre et puis me cajoler Il sait me comprendreâŠje sais le pensĂ©e Il reconstruit mes failles et panse mon passĂ©. On se comprend d'un geste, de mots pas Ă©noncĂ©s Il est mon compagnon pour aller vers demain et puis je me sens vivre quand il lĂšche ma main Museau contre visage on apprend Ă aimer Son parfum, sa chaleur en moi restent gravĂ©s Ne perdez pas de temps Ă vouloir l'effacer, jamais au dangerâŠn'atteindrez ce qu'on a partagĂ© Vous dites qu'il n'est qu'un chien, je sais mais c'est le mien laissez moi Ă mes rĂȘves, chacun a droit aux siens Je t'aime mon FidĂšle...Phil đ đ đ 88 đ đ **** de Toi **** Je garderai Pour toujours enfermĂ© Tout au fond de mon cĆur une idĂ©e du bonheur A toi je resterai Ă jamais attachĂ©e Et tu seras toujours comme au premier jour Pour toi jâavais bravĂ© contre vents et marĂ©es La houle de la vie les jours parfois si gris Avec toi je restais Tu savais patienter Ne jamais me quitter en boule, tu te roulais Que toi pour aboyer et puis tâimpatienter Quand je parlais parfois Ă un autre que toi Comme toi, moi jâaimais Mâen aller promener Et tu te rĂ©galais de courir dans les prĂ©s Sans toi, je ne sais plus Vraiment ce que je suis Dans ton regard de chien Je me sentais si bien *** PensĂ©e *** đ |
left by colombine67 on 06/07/2016Salut l'Homme, Tu m'as proclamĂ©, moi, le Chien, ton meilleur Ami. Mon Dieu, quand je vois ce que tu fais Ă ton meilleur ami, alors que fais-tu donc Ă tes ennemis ? En ces temps troublĂ©s pour la race canine, j'en ai assez de serrer mes machoires, de fermer mes babines et de raser les murs. Alors j'ai dĂ©cidĂ© de prendre la plume pour te dire tout ce que j'ai sur le coeur, car trop c'est trop ! Tu as la mĂ©moire courte l'Homme. Toi qui vis maintenant dans une Ăšre technologique dĂ©mentielle; tu vas sur la lune, tu envois des sondes sur Mars, tu ne vis plus que via Internet, tu ne sais plus te passer de ta TV, ton GSM, ton four Ă micro-ondes, ta machine Ă laver, ta voiture, tes vacances Ă l'Ă©tranger, ton air conditionnĂ© et j'en passe... As-tu dĂ©jĂ oubliĂ© qui te rĂ©chauffait les os Ă l'Ă©poque ou tu vivais encore dans des cavernes ? Qui a assurĂ© ta pitance en t'aidant Ă chasser ? Qui t'a sauvĂ© de la famine en protĂ©geant tes champs et en gardant ton bĂ©tail ? Qui t'a sauvĂ© la vie en se battant contre les bĂȘtes "sauvages" Ă ta place ? Qui t'a assurĂ© une descendance en veillant sur tes enfants ? N'oublie jamais que c'est toi qui es venu me chercher. Je n'avais pas besoin de toi. Bien sĂ»r, tu as surtout su vite profiter de mes points faibles, Ă savoir mon bon coeur et l'amour de mon ventre... En veillant sur toi, c'est mon existence que j'ai assurĂ© pour les temps Ă venir. Je t'ai donnĂ© une bonne leçon l'Homme. Tu as jouĂ© avec la gĂ©nĂ©tique, tu m'as spĂ©cialisĂ© selon tes dĂ©sirs : du plus petit au plus grand, du plus lĂ©ger au plus lourd, du plus poilu au plus rasĂ©, tu m'as crĂ©Ă© chiens de Bergers, chiens de montagne, chiens de chasse, chiens de compagnie, chiens bĂątards... mais... malgrĂ© toutes ces diffĂ©rences de races, nous nous reconnaissons toujours entre nous comme Ă©tant Chien avant tout. Et toi, l'Homme ? Sais-tu encore Ă quelle race tu appartiens ? Tu t'es divisĂ© en blancs, noirs, jaunes, bruns... tu as prĂŽnĂ© la supĂ©rioritĂ© de ta catĂ©gorie raciale, toi qui es vert de rage, bleu de froid, rouge de colĂšre, blanc de peur, tu as crĂ©Ă© des "sous-races", des races "impures". Tu as prĂŽnĂ© l'extermination de tout ce qui te faisait peur ou tous ceux qui ne partageaient pas tes idĂ©es, tu as crĂ©Ă© l'horreur, le racisme, la XĂ©nophobie... Moi le Chien, je me bats uniquement pour une question de hiĂ©rarchie et encore, quand cela est nĂ©cessaire. Mais toi l'Homme ? Tu te bats pour tes idĂ©es, pour un bout de territoire, pour un Dieu, pour du fric. Tu te bats par patriotisme, par peur, par haine, par plaisir, par habitude, et c'est moi le chien que tu qualifies d'"animal" ? Tu te dis civilisĂ© l'Homme. Tu es pour la paix dans le monde, pour le progrĂšs technologique, mĂ©dical, Ă©conomique. Tu dis que la prospĂ©ritĂ© rĂšglera tous les diffĂ©rents entre humains. Bon, soit. Cela dit, ton vernis civilisĂ© craque de toute part. Tu deviens Ă©goĂŻste, paranoĂŻaque, Ă©gocentrique. Tu te drogues, tu cours de psychiatre en psychiatre, tu bois Ă en perdre la raison, tu fumes comme un pompier, tu dĂ©truis la nature au nom de la viabilitĂ© Ă©conomique, tu vis Ă 100 Ă l'heure 24 heures sur 24. Tu dois ĂȘtre sans cesse productif, alors tu sacrifies ta santĂ©, tu manges des "cochonneries", tu dĂ©natures tout, tu nĂ©gliges l'Ă©ducation de tes enfants, tu attrapes toutes sortes de maladies incurables. Alors pour te venger tu te dĂ©foules sur ton meilleur ami... Tu me prends pour tes expĂ©rimentations animales, pour tester tes savons, tes shampooings, tes mĂ©dicaments; tu me prends pour rĂ©gler tes problĂšmes de solitude, de santĂ©, pour faire "plaisir" Ă tes gosses (tu veux surtout avoir la paix); par mode, pour frimer, pour ĂȘtre supĂ©rieur Ă tes voisins; pour garder du toc, pour te dĂ©fendre, par peur des autres; ou pour faire du fric dans des combats, des courses, des concours, de la reproduction... Et quand tu es fatiguĂ© de moi, tu me jettes sur l'autoroute quand tu pars en vacances, tu m'abandonnes dans un refuge (comme par hasard, tu m'as trouvĂ© sur la rue), tu m'euthanasies si je te gĂȘne, tu veux Ă©radiquer des "races" parce que tu es incapable de t'en occuper convenablement, tu prends des lois stupides, tu crĂ©es des phobies chiens, si je t'encombre dans ta maison, tu me fourres dans une cage dehors, ou tu m'attaches au bout d'une chaĂźne... Ta soif d'holocauste est-elle si irrĂ©pressible pour que tu t'en prennes maintenant Ă ton "meilleur" ami ? Tu es soi-disant "propre" l'Homme, toi qui n'arrĂȘtes pas de rĂąler sur les dĂ©jections canines dans les rues de tes villes, toi qui rouspĂštes quand ton ami lĂšve sa patte partout oĂč il passe, quand il saccage tes plantations, et quand il fait des trous dans ton gazon anglais... Mais... t'es-tu dĂ©jĂ bien regardĂ© ? Ce n'est pas moi le Chien qui laisse dĂ©border les poubelles dans tes villes, ce n'est pas moi qui jette mes dĂ©tritus de pique-nique dans la nature, ce n'est pas moi qui pollue les rues avec tes emballages, tes canettes de biĂšre, tes sachets de frites bien gras, ce n'est pas moi qui fait des dĂ©pĂŽts d'o*****s clandestins Ă la campagne, ce n'est pas moi qui saccage les murs de tes villes avec de la peinture, ce n'est pas moi qui dĂ©verse du lisier dans les riviĂšres, ce n'est pas moi qui vandalise les cabines tĂ©lĂ©phoniques, les magasins, les oeuvres d'arts... Ce n'est pas moi qui laisse traĂźner des seringues usagĂ©es sur les plages, ce n'est pas moi qui ai inventĂ© les marĂ©es noires, les accidents nuclĂ©aires, le CO2 de tes prĂ©cieuses voitures, les dĂ©versements chimiques dans les fleuves, le dĂ©versement des Ă©gouts dans les riviĂšres et j'en passe... Et c'est moi que tu qualifies de "sale" ? Alors bon, qu'est-ce que je dois faire ? Parce qu'un jour lointain j'ai dĂ©cidĂ© de t'aider, me voilĂ incapable de me dĂ©brouiller seul. Je dĂ©pends de toi, l'Homme ! EntiĂšrement de toi ! La vie serait pourtant si belle si tu m'accordais un peu d'attention. Je te donne ma fidĂ©litĂ©, mon amour, je ne te juge pas. Que tu sois riche ou pauvre, jeune ou vieux, en bonne santĂ© ou malade, blanc ou noir, croyant ou non croyant : tout cela m'importe peu car je suis TON ami. Regarde autour de toi, je suis toujours lĂ quand tu as besoin de moi, je suis chien d'avalanche, chien de dĂ©combres, chien d'aveugle, chien pour les handicapĂ©s moteurs, chien policier pour te protĂ©ger, chien garde-malade, chien farceur, chien jouet avec tes enfants ou avec toi, chien sportif, chien de troupeau... Regarde autour de toi l'Homme, dans le monde que tu t'es fabriquĂ©, tu ne trouveras pas de meilleur ami que moi. Mais concluons un nouveau pacte toi et moi. Toi qui me vois chiot rondelet, canaille avec des yeux suppliants qui te disent prends-moi, arrĂȘte-toi un instant et rĂ©flĂ©chi : tu me prends uniquement pour tes enfants ? Ne me prends pas, tu sais que les enfants changent d'avis trĂšs vite et tu sais aussi qu'un enfant n'est pas capable de s'occuper d'un chien. Tu me prends pour te protĂ©ger dans tes banlieues parce que tu as peur ? Ne me prends pas, ta peur est contagieuse et tu voudras faire de moi un chien dangereux. Tu me prends parce que je suis spĂ©cial, gros, puissant (tout ce que tu veux ĂȘtre) ? Ne me prends pas, tu seras incapable de m'Ă©duquer, je deviendrai le chef et c'est moi qui finirai Ă la fourriĂšre. Tu me prends sur un coup de tĂȘte Ă la veille de tes vacances ? Ne me prends pas, je n'ai pas envie de courir aprĂšs ta voiture sur l'autoroute... Si tu veux me prendre pour pleins de mauvaises raisons : peur, coup de tĂȘte, reproduction, frime, cadeau, alors NE ME PRENDS PAS ! Laisse donc sa chance Ă un autre. Mais, si tu es prĂȘt Ă me prendre pour moi, si tu es prĂȘt Ă m'Ă©duquer correctement, fermement mais avec bontĂ©, si tu es prĂȘt Ă partager tes loisirs avec moi, si tu es prĂȘt Ă gambader avec moi dans la nature, qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente, qu'il fasse chaud, si tu es prĂȘt Ă faire un minimum de sacrifices, (quelques trous dans ta pelouse, quelques fleurs grignotĂ©es, des pattes de boues dans ta maison, des poils sur ta moquette... , si tu as les moyens financiers nĂ©cessaires pour me nourrir dĂ©cemment et me soigner en cas de besoins, si tu es prĂȘt Ă me considĂ©rer comme un partenaire dans ta vie de tous les jours, si tu es prĂȘt Ă me dĂ©fendre contre les lois stupides de tes semblables, contre les comportements imbĂ©ciles de certains, alors PRENDS-MOI, je n'attends que cela, partager ta vie et ĂȘtre ton meilleur ami, aime-moi pour ce que je suis, un coeur tendre avec des poils autour, et non pas pour ce que tu voudrais que je sois ! Ton meilleur ami : le Chien. |
left by colombine67 on 05/07/2016Il suffit simplement dâobserver nos chiens ou les animaux en gĂ©nĂ©ral pour nous rappeler ces leçons de vie que nous, les humains, avons oubliĂ© dans notre sociĂ©tĂ© de course Ă la consommation, dâĂ©gocentrisme et de perte de ces valeurs fondamentales qui pourtant, nous permettraient de vivre plus en harmonie les uns avec les autres. Nous vous parlons trĂšs rĂ©guliĂšrement, et Ă travers de belles histoires, de ces leçons de vie exemplaires que nous enseignent nos chiens. Dans cet article, nous avons choisi de vous Ă©noncer six dâentres elles, illustrĂ©es dâhistoires Ă©mouvantes que nous vous avons narrĂ© sur Guide du Chien : 1. La fidĂ©litĂ© Depuis les dĂ©buts de la civilisation, le chien a toujours incarnĂ© un vĂ©ritable symbole de fidĂ©litĂ© et un exemple de celle-ci pour lâhumanitĂ©. Le chien est le meilleur ami de lâhomme, son plus fidĂšle compagnon, qui ne lui fait jamais dĂ©faut. Le chien est prĂȘt Ă donner sa vie pour dĂ©fendre celle de son maĂźtre comme en tĂ©moignent les histoires de Chako et  Lefty, ces deux magnifiques Pit Bulls qui ont risquĂ© leur vie pour sauver celle de leur maĂźtre. Mais pour aller encore plus loin et prouver encore cette incroyable fidĂ©litĂ© de nos amis Ă quatre pattes, certains chiens ont mĂȘme dĂ©diĂ© le reste de leur vie Ă veiller sur la tombe de leur maĂźtre dĂ©funt. Pour preuve, nous vous avons racontĂ© lâhistoire de Bobby qui est restĂ© sur la tombe de son maĂźtre pendant 14 ans ou encore Coly qui veillĂ© la tombe de son maĂźtre pendant 9 ans. 2. Le pardon Combien de chiens ont Ă©tĂ© lĂąchement battus, maltraitĂ©s et abandonnĂ©s par des maĂźtres odieux ? HĂ©las il est impossible de compter tant il y en a. Mais nos chiens ont cette incroyable facultĂ© Ă pardonner leur bourreau, le responsable de leurs plus grands maux sur cette terre : lâĂȘtre humain. Les chiens font preuve dâune incroyable clĂ©mence Ă notre Ă©gard et malgrĂ© toutes leurs souffrances, sont capables de nous ouvrir Ă nouveau leur cĆur et placer toute leur confiance en nous. Ces chiens sont nombreux Ă attendre dans les refuges et sauront bien vous le rendre, croyez-moi⊠Les histoires de Gideon et Cadence en sont de parfaits exemples. 3. Lâamour inconditionnel Les chiens nous aiment de tout leur cĆur et nous le montrent chaque jour que nous passons Ă leurs cotĂ©s. Votre chien vous a-t-il un jour fait dĂ©faut lorsque vous ĂȘtes rentrĂ© Ă la maison aprĂšs une longue journĂ©e de travail ? Vous a-t-il un jour boudĂ© parce que la veille vous ne vous ĂȘtes pas promenĂ© assez longtemps avec lui ? Ou alors un jour lorsque vous vous ĂȘtes emportĂ© et lâavez grondĂ© excessivement et Ă tord ? Certainement que non, ou alors votre chien peut souffrir dâun grave problĂšme mĂ©dical et il faut consulter un vĂ©tĂ©rinaire trĂšs rapidement. Quelles que soient les circonstances de la vie, heureuses ou malheureuses, votre chien Ă©prouvera et vous montrera un amour inconditionnel et sans faille. Notre article sur les 20 plus belles citations canines contemporaines illustre parfaitement cet amour absolu. 4. Lâaltruisme Votre chien nâest pas votre plus fidĂšle ami par intĂ©rĂȘt, parce que vous le nourrissez chaque jour et lui apportez un confort matĂ©riel. Non, votre chien vous aime du plus profond de son ĂȘtre parce quâil a de profonds sentiments pour vous et ce, de façon complĂštement dĂ©sintĂ©ressĂ©e. Si vous devriez vivre demain (ou plutĂŽt survivre) dans la rue et que vous Ă©prouviez les pires difficultĂ©s financiĂšres et matĂ©rielles, votre chien sera toujours Ă vos cotĂ©s pour vous apporter le rĂ©confort nĂ©cessaire et vous donner ce sourire qui sâesquisse Ă la simple vue de son regard et de sa queue qui remue. Votre chien sera toujours Ă vos cotĂ©s, peu importe que vous soyez riche ou pauvre, notable ou ouvrier, triste ou heureux. 5. Aider ou sauver son prochain LâĂȘtre humain est de plus en plus Ă©goĂŻste. Nos sociĂ©tĂ©s Ă priori « civilisĂ©es », Ă travers les mĂ©dias et les politiques, nous vĂ©hiculent peur et mĂ©fiance de « lâĂ©tranger » au sens le plus large du terme (un voisin, un passant ou simplement quelquâun qui ne nous « ressemble » pas). Jâai le souvenir marquant dâune Ă©tude qui mettait en situation une personne qui simulait un malaise dans la rue et qui avait pour but de mesurer le nombre de personnes qui sâarrĂȘteraient pour lui prĂȘter secours. Les rĂ©sultats ont Ă©tĂ© sidĂ©rants : les trois quarts des personnes ne sâarrĂȘtaient pas et pire, changeaient de trottoir Ă la vue de lâacteur Ă©tendu sur le sol, qui pourtant simulait Ă la perfection un malaise nĂ©cessitant un secours dâurgence. Ă notre diffĂ©rence, les chiens se portent au secours de nâimporte quelle personne ou animal en danger, inconnue ou non, et en faisant preuve dâun grand courage. Nous vous avons relatĂ© lâhistoire de ces chiens errants sauvant une jeune fille en proie Ă un prĂ©dateur sexuel ou encore lâhistoire de cette conductrice gravement blessĂ©e et qui doit le vie Ă un chien abandonnĂ©. 6. Lâesprit de famille Ou si je puis me permettre « lâesprit de meute » pour faire un parallĂšle logique avec nos amis les chiens. Combien de nos aĂźnĂ©s sont abandonnĂ©s dans des maisons de retraite dans des conditions parfois exĂ©crables, recevant une visite par mois tout au plus de leurs enfants ou leur proche famille ? Dans leur plus grande sagesse, nos parents ĂągĂ©s, nos grand-mĂšres et grand-pĂšres nous ont portĂ©, soutenu et jamais abandonnĂ©. Pourtant combien de ces pensionnaires contraints malgrĂ© eux dans la solitude des ces maisons de retraite meurent dans le plus grand anonymat pour des pseudos « querelles de familles » ou Ă cause de lâindiffĂ©rence de leur proches ? Nos chiens nous montrent quant Ă eux un tout autre exemple du respect des « anciens » et des malades Ă©galement Pour illustrer cela, nous pouvons simplement prendre lâexemple de chiens qui vivent Ă lâĂ©tat sauvage ou des nombreux chiens errants qui peuplent certaines de nos villes. Ces chiens font tout pour leurs semblables, vieux ou malades, quitte Ă risquer leur vie pour sauver lâun des leurs. Nous vous en parlions lors de notre article sur lâexceptionnel sauvetage dâun chien errant par lâun de ses congĂ©nĂšres Ă©galement abandonnĂ©, alors quâil sâĂ©tait fait percutĂ© par un camion. Pour conclure Nous avons vu dans cet article 6 leçons de vie que nous enseignent les chiens au quotidien et dans leur plus grande authenticitĂ©. Bien entendu il en existe encore beaucoup dâautres telles que le courage, la compassion ou encore la sincĂ©ritĂ© pour ne prendre que trois exemples supplĂ©mentaires. NâhĂ©sitez pas Ă enrichir lâarticle par vos commentaires plus-bas et nous parlez de vos expĂ©riences sur le sujet. Nous conclurons cet article par une citation dâAlphonse Lamartine (poĂšte français, 1790-1869) : « Partout oĂč il y a un malheureux, Dieu envoie un chien. » |
left by colombine67 on 04/07/2016Pas Ă©tonnant que le chien soit le meilleur ami de l'homme. Sa loyautĂ©, son intelligence, son dĂ©vouement et son affection sont incroyablement gratifiants. Il n'y a rien de mieux qu'une longue marche avec son compagnon, voir la joie de son chien lorsqu'on l'emmĂšne jouer au parc, ou simplement se reposer Ă la maison en compagnie l'un de l'autre. Et bien sĂ»r, pour tout l'amour que vous exprimez Ă un chien, il vous le rend dix fois. Des Ă©tudes rĂ©centes ont montrĂ© que ceux d'entre nous qui ont un animal de compagnie sont gĂ©nĂ©ralement en meilleure santĂ© et plus heureux que ceux qui n'en ont pas. Mais pourquoi le chien est-il un animal de compagnie idĂ©al ? Promener son chien rĂ©guliĂšrement entretient la forme physique. Promener son chien augmente l'interaction sociale : beaucoup de personnes se lient d'amitiĂ© avec les propriĂ©taires de chiens qu'ils rencontrent rĂ©guliĂšrement. La marche Ă pied aide Ă oublier le stress et les tensions de la vie quotidienne et offre un moment prĂ©cieux Ă l'extĂ©rieur : l'occasion de laisser tout derriĂšre soi et de passer du temps avec un compagnon fidĂšle. Les chiens nous donnent un sens du bien-ĂȘtre Ă©motionnel grĂące Ă l'amour inconditionnel qu'ils nous portent. Les propriĂ©taires de chiens ont gĂ©nĂ©ralement un systĂšme immunitaire plus solide, ce qui les aide Ă se tenir Ă l'Ă©cart des maladies. Le fait de possĂ©der un chien aide les gens Ă se remettre d'un traumatisme personnel, tel que le deuil. Les propriĂ©taires de chiens ont gĂ©nĂ©ralement une pression artĂ©rielle moins Ă©levĂ©e que les autres. Les propriĂ©taires de chiens se remettent souvent plus rapidement des maladies et prĂ©sentent un taux de survie plus Ă©levĂ© aprĂšs un infarctus. Les enfants possĂ©dant des chiens manquent moins souvent l'Ă©cole pour cause de maladie. Par ailleurs, plus encore que tous ces avantages non nĂ©gligeables, les chiens reprĂ©sentent tout simplement une grande source d'amusement. Ils peuvent vous faire rire, en particulier lorsque vous avez passĂ© une trĂšs mauvaise journĂ©e, et ils sont toujours lĂ pour vous rĂ©conforter par un cĂąlin lorsque vous en avez besoin. Rien ne peut mieux vous remonter le moral que de voir votre chien tenir sa laisse avec espoir, sa queue battant fortement, les yeux brillants d'excitation pour sa premiĂšre promenade de la journĂ©e. |
left by poutounou on 03/07/2016Il y a des jours comme ça⊠* Il y a des jours comme ça, Des jours oĂč ça ne va pas. Des jours oĂč on aimerait Serrer notre Ange contre soi. Lui murmurer des mots doux, Lui faire des cĂąlinous tout partout Il y a des jours comme ça⊠Depuis quâil nâest plus lĂ . |
left by colombine67 on 03/07/2016Un chien reste aux cĂŽtĂ©s de son maĂźtre, que celui-ci soit riche ou pauvre, en bonne santĂ© ou malade, pourvu qu'il soit auprĂšs de lui. Il dormira sur le sol froid quand les vents glacials souffleront et que la neige tombera avec force. Il embrassera la main qui n'a pas de nourriture Ă lui offrir, lĂ©chera les plaies et les blessures causĂ©es par la rudesse de ce monde. Il veillera sur le sommeil d'un pauvre comme si ce dernier Ă©tait un prince. Quand les ami(es) font dĂ©faut, le chien LUI reste fidĂšle. Lorsque la richesse s'envole et que la rĂ©putation s'effrite, son amour demeure aussi immuable que la trajectoire du soleil Ă travers le ciel. Si le sort fait de son maĂźtre un proscrit en ce monde, sans ami(es) ni maison, il ne demande pas de plus grand privilĂšge que celui de l'accompagner pour le protĂ©ger et se battre contre ses ennemis. Et quand vient le dernier moment, que la mort Ă©treint son maĂźtre et que le corps de celui-ci est abandonnĂ© dans la terre froide, peu importe si tous les amis poursuivent leur route, on trouvera le noble chien lĂ , sur la tombe, la tĂȘte entre ses pattes, les yeux tristes mais vigilants, fidĂšle et loyal jusque dans la mort !!!! |
left by colombine67 on 02/07/2016TEXTE LONG MAIS A LIRE ! Journal d'un chien (Ăąme sensible s'abstenir) Le journal d'un chien: Semaine 1: Ca fait aujourd'hui une semaine que je suis nĂ©,quel bonheur d'ĂȘtre arrivĂ© dans ce monde! Mois 01: Ma maman s'occupe trĂšs bien de moi. C'est une maman exemplaire. Mois 02: Aujourd'hui j'ai Ă©tĂ© sĂ©parĂ© de maman. Elle Ă©tait trĂšs inquiĂšte et m'a dit adieu du regard. En espĂ©rant que ma nouvelle "famille humaine" s'occupera aussi bien de moi qu'elle l'a fait. Mois 04: J'ai grandi vite, tout m'attire et m'intĂ©resse. Il y a plusieurs enfants Ă la maison, ils sont pour moi comme des "petits frĂšres". Nous sommes trĂšs polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer. Mois 05: Aujourd'hui, ils m'ont disputĂ©. Ma maĂźtresse m'a grondĂ© parce que j'ai fait "pipi" Ă l'intĂ©rieur de la maison, mais ils ne m'ont jamais dit oĂč je devais le faire. En plus je dors dans la rĂ©serve... et je ne me plaignais pas! Mois 12: Aujourd'hui j'ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maĂźtres disent que j'ai grandi plus qu'ils ne le pensaient. Qu'est-ce qu'ils doivent ĂȘtre fiers de moi ! Mois 13: Aujourd'hui, je me suis senti trĂšs mal. Mon "petit frĂšre" m'a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes mĂąchoires sont devenues fortes et je l'ai blessĂ© sans le vouloir. AprĂšs la peur, ils Ă©taient furieux et ils m'ont enchaĂźnĂ©, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu'ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne comprends rien Ă ce qui se passe. Mois 15: Plus rien n'est pareil... je vis sur le balcon. Je me sens trĂšs seul, ma famille ne m'aime plus. Ils oublient parfois que j'ai faim et soif. Quand il pleut, je n'ai pas de toit pour m'abriter. Mois 16: Aujourd'hui, ils m'ont fait descendre du balcon. J'Ă©tais sĂ»r que ma famille m'avait pardonnĂ© et j'Ă©tais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m'emmĂšnent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d'un coup, ils se sont arrĂȘtĂ©s. Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journĂ©e Ă la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermĂ© la porte et sont partis. "Ăcoutez, attendez !" Vous... vous m'oubliez. J'ai courru derriĂšre la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j'allais m'Ă©vanouir et qu'ils ne s'arrĂȘtaient pas : ils m'avaient oubliĂ©. Mois 17: J'ai essayĂ© en vain de retrouver le chemin pour rentrer Ă la maison. Je me sens et je suis perdu. Sur mon chemin, il y a des gens de coeur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu Ă manger. Je les remercie du regard et du fond du coeur. J'aimerais qu'ils m'adoptent et je leur serais loyal comme personne. Mais ils disent juste "pauvre petit chien", il a dĂ» se perdre. Mois 18: L'autre jour, je suis passĂ© devant une Ă©cole et j'ai vu plein d'enfants et de jeunes comme mes "petits frĂšres". Je me suis approchĂ© et un groupe, en riant, m'a lancĂ© une pluie de pierres pour "voir qui visait le mieux". Une des pierres m'a abĂźmĂ© l'oeil et depuis je ne vois plus de celui-ci. Mois 19: Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitiĂ© de moi quand j'Ă©tais plus joli. Maintenant je suis trĂšs maigre, mon aspect Ă changĂ©. J'ai perdu mon Ćil et les gens me font partir Ă coup de balais quand j'essaie de me coucher dans un petit coin d'ombre. Mois 20: Je ne peux presque pas bouger. Aujourd'hui, en essayant de traverser la rue oĂč circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais ĂȘtre dans un endroit sĂ»r appelĂ© fossĂ©, mais je n'oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a mĂȘme fait un Ă©cart pour essayer de m'Ă©craser. Si au moins il m'avait tuĂ© ! Mais il m'a Ă©clatĂ© la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arriĂšres ne rĂ©agissent plus et je me suis difficilement tirĂ© vers un peu d'herbe au bord de la route. Mois 21: Cela fait 10 jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger. Je ne peux pas bouger. La douleur est insupportable. Je me sens trĂšs mal, je suis dans un lieu humide et on dirait mĂȘme que mon poil tombe. Des gens passent, ils ne me voient mĂȘme pas, d'autres disent "ne t'approche pas". Je suis presque inconscient, mais une force Ă©trange m'a fait ouvrir les yeux... la douceur de sa voix m'a fait rĂ©agir. Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel Ă©tat ils t'ont laissĂ©"... avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m'a touchĂ© et a dit "je regrette madame, mais ce chien ne peut plus ĂȘtre soignĂ©, il vaut mieux arrĂȘter ses souffrances". La gentille dame s'est mise Ă pleurer et a approuvĂ©. Comme je le pouvais, j'ai bougĂ© la queue et je l'ai regardĂ©, la remerciant de m'aider Ă trouver enfin le repos. Je n'ai senti que la piqĂ»re de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j'Ă©tais nĂ© si personne ne me voulait. Voici une chose rĂ©elle qui vas encore se produire cette annĂ©e, se texte est assez dur, faites un copier collĂ© et le mettez le sur votre forum, et a ces gens lĂ , je dit merci! ( moi je l'est fait) La solution n'est pas de jeter un chien Ă la rue, mais de l'Ă©duquer. Ne transforme pas en problĂšme une compagnie fidĂšle. Aide Ă faire prendre conscience et Ă mettre fin au problĂšme des chiens abandonnĂ©s. S'il vous plais faites un copier coller de cette article sur votre forum, si vous ne le faite pas c'est que vous n'avez pas de cĆur,je sais que ce texte est dur, mais faite un effort, car eux en font tous les jours au prĂšs DE TOI |
left by colombine67 on 01/07/2016Hier auprÚs de son maßtre, aujourd'hui seul et perdu. Hier protégé et soigné, aujourd'hui en danger. Hier aimé, aujourd'hui oublié et délaissé... Un animal ne pleure pas ... il souffre en silence ! |
left by Galiama on 30/06/2016Nous devions nous aimer, c'Ă©tait Ă©crit lĂ -haut... Les Ăąmes sĆurs finissent par se trouver quand elles savent attendre... ThĂ©ophile GAUTIER |
left by colombine67 on 30/06/2016DEMAIN MATIN, JE VAIS MOURIRâŠ. Demain matin je vais mourir, car je suis un chien classĂ© deuxiĂšme catĂ©gorie. Je suis un Rottweiler, et pour moi il nây a pas de pitiĂ©, je dois payer de ma vie. A lâaube de mes trois ans, je suis en pleine forme, et je ne demande quâĂ jouer, Je suis docile, doux, gentil, je ne comprends pas la loi des hommes qui mâa jugĂ©. Je nâai pas connu mes parents ; tout petit jâĂ©tais chez un marchand qui mâa vendu Comme mes sĆurs et frĂšres, dans les sous-sols dâune citĂ©, que je nâai jamais vue. Dans un appartement je fus alors gardĂ©, au milieu des enfants venant me taquiner, Sâamusant avec moi, tout en se chamaillant, pour savoir qui pourrait me caresser. Quelques mois sont passĂ©s, dans cette famille jâai vĂ©cu des jours de grand bonheur, Je mangeais bien, je promenais toutes les nuits, et ça durait une, deux ou trois heures. Câest au parc quâon mâemmenait, je pouvais gambader et mĂȘme aller jusquâĂ lâĂ©tang, JâĂ©tais heureux, jâen profitais pour me baigner, et revenais me secouer prĂ©s des enfants. Je croisais quelques congĂ©nĂšres, qui comme moi se promenaient, et tout se passait bien. Quelques chats aussi croisaient mon chemin, ils me narguaient parfois, je ne disais rien, Car jâentendais mon Chef, le plus vieux des enfants, celui qui devait avoir dix huit ans, Me dire : « pas bouger », « sage », et je savais que lui obĂ©ir Ă©tait nĂ©cessaire et prudent. Alors pourquoi beaucoup de gens me regardaient dâun air bizarre, ou mĂȘme interrogateur. Ils me donnaient lâimpression de se mĂ©fier de moi, cherchant Ă mâĂ©viter, ils avaient peur. Jâavais remarquĂ©, les mamans serraient de beaucoup plus prĂ©s, protĂ©geant leurs enfants. Pourtant, leurs petites mains se tendaient vers moi, leurs yeux pĂ©tillaient en me voyant. Et ce soir fatidique, du dĂ©but de juillet, en rentrant au quartier, jâai vu surgir trois ombres, Et jâentendrais toujours : « halte, Police ! » Il en arriva dâautres, je ne sais plus le nombre, Mais tous autour de nous, menaçants de leurs armes, disant : « sâil nous mord on le plombe » Ils Ă©taient lĂ pour moi, en mission trĂšs spĂ©ciale, commençant ici pour finir⊠dans ma tombe. Mon jeune maĂźtre du sâexpliquer, je fus mis en laisse et muselĂ©, puis enfermĂ© dans une cage, Pendant que ces messieurs de la police, constataient que jâĂ©tais illĂ©gal, ni papiers ni tatouage. Alors Ă la fourriĂšre on mâemmena, ou sans mĂ©nagement on me jeta dans un bien triste chenil, Ou finissent beaucoup de chiens errants, qui sont retrouvĂ©s aux environs ou au centre ville. A partir de cet instant, jâĂ©tais condamnĂ©, victime innocente dâune loi aussi bĂȘte quâinjuste, Un peu du mĂȘme genre que celle que lâon voudrait prendre en ce moment pour les « putes ». Il est vrai, jâĂ©tais « sans papiers », mais je nâen veux pas Ă ma famille, ils nâen ont jamais eu, Vivant dans un ghetto depuis dix ans, jâĂ©tais le cadeau des enfants quâils ne reverront plus. Bien sur et je le sais, certains chiens de ma race ont commis des forfaits, mĂȘme des drames, Souvent rendus mĂ©chants par des MaĂźtres infĂąmes, ils ont mordu enfants, messieurs ou dames. Mais moi je suis gentil, doux et caressant, je nâai jamais mordu ni grognĂ©, et je dois partir, Laissant tous seuls ces enfants qui mâadorent, qui ne comprennent pas pourquoi je dois mourir. La sociĂ©tĂ© humaine ainsi a dĂ©cidĂ©, quâĂȘtre un Rottweiler en famille immigrĂ©e, sans papiers, Etait un acte grave, passible de la mort, sans autre alternative et surtout sans procĂšs, ni pitiĂ©. Soyez bien surs que sâils osaient, ils ne se contenteraient pas dâeuthanasier seulement le chien, Mais pour lâinstant la vie humaine, heureusement vaut bien plus cher, et câest ce qui les retient. Texte de : Gilbert DUMAS |
left by lili2248 on 29/06/2016Un joli bouquet de roses de toutes les couleurs pour chaque Ange du Paradis blancâŠ. * LA ROSE * Rose !!! J'aime tellement ton parfum, le matin Quand tu te lĂšves, mouillĂ©e dans ta robe de satin Toute belle tu t'es Ă©panouie dans ton jardin J'ai du plaisir Ă te voir et du mal Ă croire Comme tu es belle, quand je te regarde J'ai cultivĂ© un jardin et me suis fait un bouquet De roses pour moi, une blanche pour l'amitiĂ© Une jaune pour le sourire, une rose pour la tendresse Une rouge pour l'amour. Mais ma plus belle rose c'est toi mon amour de lili2248 |
left by poutounou on 29/06/2016Un joli bouquet de roses de toutes les couleurs pour chaque Ange du Paradis blancâŠ. * LA ROSE * Rose !!! J'aime tellement ton parfum, le matin Quand tu te lĂšves, mouillĂ©e dans ta robe de satin Toute belle tu t'es Ă©panouie dans ton jardin J'ai du plaisir Ă te voir et du mal Ă croire Comme tu es belle, quand je te regarde J'ai cultivĂ© un jardin et me suis fait un bouquet De roses pour moi, une blanche pour l'amitiĂ© Une jaune pour le sourire, une rose pour la tendresse Une rouge pour l'amour. Mais ma plus belle rose c'est toi mon amour * - Candy - |
left by colombine67 on 29/06/2016 Certains sont dans un jardin Parfois au bout d'une chaĂźne Et servent de gardiens Certains sont lĂ pour faire bien Et les voir en manque d'amour fait de la peine Lorsque l'on vit tous les jours avec son chien Il devient notre double autant que notre gamin Notre psy autant que notre frangin Notre bouillote autant que notre copain Nos oreilles autant que notre ange-gardien Et le voir tous les jours Ă©panoui et sain Fait notre bonheur au quotidien |
left by colombine67 on 28/06/2016 Le BĂTARD et le CLOCHARD. Je suis un beau « bĂątard » qui fĂȘte ses deux ans, Et je vis dans la rue depuis pas mal de temps. Je nâai pas choisi, tout petit il mâa pris Ă ma mĂšre, Et depuis, je suis lĂ , le compagnon de sa misĂšre. Tous les jours, tous les deux, on fait la manche, Du matin du lundi, jusquâau soir du Dimanche. Câest pour quelques Euros, car il faut bien manger, Un peu pour lui, beaucoup pour moi, faut lâavouer. Toujours poli, toujours gentil, au coin de ce trottoir, Nous venons tard le matin, et repartons tĂŽt le soir. Elle est longue lâattente, aux pieds de tous ces gens, Qui jettent un dur regard, Ă ces gueux, ces mendiants. Il me tient dans ses bras, tendrement il me caresse, Baissant les yeux, honteux, devant tant de dĂ©tresse, CondamnĂ©s que nous sommes Ă vivre de la quĂȘte, Nous savons que pour nous ce nâest jamais la fĂȘte. Nous sommes heureux pourtant, nous nous aimons, Dâun Amour sain, dâun Amour pur, de la passion. Nous ne possĂ©dons rien, et ne sommes pas jaloux De voir ce qui se passe, ici, partout autour de nous. Il est un homme, je suis un chien, drĂŽle de couple, Mais nous partageons tout, et la vie est plus souple, Que pour ceux qui pensent au succĂšs, et Ă la rĂ©ussite, PrĂȘts Ă se battre ou se haĂŻr⊠pour rĂ©ussir plus vite. Alors, gens de bonnes maniĂšres, responsables civils, Qui faites les beaux jours des villages et des villes, Nâenlevez jamais Ă cet homme, nommĂ© « Le Clochard », Ce vilain chien, son seul Ami, bien quâil fĂ»t un «bĂątard». |
left by Biscuit on 26/06/2016Mes larmes qui couleront lentement Ă jamais. Avec toi j'ai connu le sens du bonheur. Je me rĂ©pĂšte et le rĂ©pĂšte. Je vois et regarde souvent ces endroits ou nous Ă©tions toi et moi. Je me souviens comme si câĂ©tait hier sensation indicible. A mon Ăąme. tu as apportĂ© un Grand Bonheur. et beaucoup de lumiĂšre dans ma vie. A chaque fois je pense Ă toi et je pleure. Câest comme ça ... Je ne le montre pas au autres. Je ne le dit pas. Mais je triche. Tu me manque. A jamais tu as marquĂ© mon existence mon coeur. Tu me Manque Mon Pâtit Ange d'amour...Tellement... Dâun chagrin si intense |
left by colombine67 on 26/06/2016Chien⊠Tu es si noble! Ta mĂ©decine nous enseigne Ă aller jusquâau bout de nous-mĂȘmes Avec fidĂ©litĂ©, patience et sincĂ©ritĂ©. Tous les Indiens du Sud-Ouest et des Plaines avaient des chiens. Ces nobles animaux lançaient le cri dâalarme devant un danger imminent. Ils aidaient aussi Ă la chasse et gardaient leurs maĂźtres au chaud pendant les longues soirĂ©es dâhiver. Puisquâil existe plusieurs espĂšces de chiens, les premiers chiens des Indiens Ă©taient habituellement Ă demi sauvages. Toutefois, lâĂ©tat sauvage ne les dĂ©tournait pas de la fidĂ©litĂ© innĂ©e Ă leurs maĂźtres. Tout au long de lâhistoire, on a considĂ©rĂ© le Chien comme le serviteur de lâhumanitĂ©. Les porteurs de la mĂ©decine du Chien se dĂ©vouent habituellement de quelque façon au service des autres ou Ă celui de lâhumanitĂ©. Ce sont des bĂ©nĂ©voles, des philanthropes, des infirmiĂšres, des conseillers, des prĂȘtres ou des soldats. Le Chien, câest le soldat de service, gardien vigilant des loges de la tribu contre les attaques surprises. La mĂ©decine du Chien allie la tendre dĂ©licatesse du meilleur ami Ă lâĂ©nergie protectrice mi-sauvage, liĂ©e aux exigences territoriales. Comme Anubis, le chien-chacal qui protĂšge lâĂgypte, le chien monte la garde. Ă travers lâhistoire, le Chien a Ă©tĂ© Ă la fois gardien des enfers, des secrets anciens, des trĂ©sors cachĂ©s et des bĂ©bĂ©s â pendant que les mĂšres prĂ©paraient les repas ou travaillaient aux champs. FidĂšle Ă sa nature, cet animal mĂ©rite la confiance quâon lui accorde. En Ă©tudiant la mĂ©decine du Chien, vous dĂ©couvrirez peut-ĂȘtre de doux souvenirs personnels reliĂ©s Ă un chien que vous avez aimĂ©. Cela vous poussera peut-ĂȘtre Ă mieux examiner le message que ce fidĂšle gardien veut transmettre : approfondissez votre sens du service aux autres. LâespĂšce canine est vraiment orientĂ©e vers le service ; la fidĂ©litĂ© de ces animaux passe outre aux mauvais traitements reçus. MĂȘme quand le Chien a Ă©tĂ© victime de cris ou de coups, il continue Ă aimer la personne qui lâa maltraitĂ©, non pas par stupiditĂ© mais plutĂŽt par comprĂ©hension : une comprĂ©hension profonde et compatissante des dĂ©fauts des humains. II semble bien quâau coeur de tout chien rĂ©side un esprit de tolĂ©rance qui ne cherche quâĂ servir. Par ailleurs, il peut se trouver des chiens chez qui les mauvais traitements ont Ă©touffĂ© toute trace de fidĂ©litĂ©. Ils tremblent et se lamentent au moindre signe de dĂ©sapprobation, mais ce nâest pas lĂ leur nature vĂ©ritable. Quelques espĂšces de chiens ont mĂȘme Ă©tĂ© entraĂźnĂ©s Ă ĂȘtre brutaux et mĂ©chants. Dans un esprit de service, ces espĂšces ont rĂ©pondu aux dĂ©sirs agressifs de leurs maĂźtres. Ils sont victimes dâune altĂ©ration de leur mĂ©moire gĂ©nĂ©tique oĂč le service prend un tout autre sens parce quâil est reliĂ© Ă lâapprobation de leurs maĂźtres. La mĂ©decine du Chien nous demande de considĂ©rer combien aisĂ©ment notre besoin dâapprobation peut dĂ©naturer lâesprit de notre fidĂ©litĂ©. Si vous avez tirĂ© la carte du Chien, plusieurs questions se posent selon la situation qui vous a poussĂ© Ă tirer les cartes. 1) RĂ©cemment, ai-je oubliĂ© que je devais dâabord respecter ma vĂ©ritĂ© personnelle ? 2) Est-il possible que les commĂ©rages et lâopinion des autres aient diminuĂ© ma fidĂ©litĂ© Ă un certain ami ou Ă un certain groupe ? 3) Ai-je rejetĂ© ou ignorĂ© quelquâun qui tente dâĂȘtre un ami fidĂšle ? 4) Ai-je Ă©tĂ© fidĂšle et sincĂšre face Ă mes buts ? Ă LâENVERS : En position contraire, le Chien vous rappelle peut-ĂȘtre que vous ĂȘtes devenu trop critique,voire mĂȘme mĂ©chant et que câest dĂ» aux gens que vous frĂ©quentez. Lâaspect contraire de cette mĂ©decine peut aussi vouloir dire quâil est temps de cesser de trembler de peur et quâil vaut mieux maintenant vous attaquer Ă tout ce qui mine votre confiance. La clĂ© du succĂšs, câest de vous rendre compte que lâennemi est Ă lâintĂ©rieur de vous : il sâagit de formes-pensĂ©es qui vous disent que vous nâĂȘtes pas digne de fidĂ©litĂ© â soit envers vous-mĂȘme, soit envers les autres. Vous voudrez peut-ĂȘtre examiner les schĂ©mas dâinfidĂ©litĂ© dans votre vie. Par exemple, rapportez-vous les potins ? Ăvitez-vous de prendre la parole pour faire taire ou rectifier les propos de quelquâun qui propage des rumeurs ? Faites-vous des farces qui abaissent les autres ? Refusez-vous de rendre des services ? Ces comportements sont caractĂ©ristiques de la peur, particuliĂšrement dâune peur commune aux humains de la famille des bipĂšdes : la peur de ne pas faire partie du groupe ou de ne pas ĂȘtre approuvĂ©. RĂ©appropriez-vous le pouvoir dâĂȘtre fidĂšle Ă vous-mĂȘme et Ă vos vĂ©ritĂ©s. Devenez comme le Chien â votre meilleur ami. |
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