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En hommage à
COLLEYPANDORE DE Moï MIR dit PRIXY
Il est né le:16/05/1979
Il nous a quittés le:24/07/1990
152 bougies
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107864 Fleurs
5118 messages
Déposé par spanky le 18/03/2018Sans toi je ne suis que chagrin Mon meilleur ami Que j’aimais à la folie Tu seras toujours dans mon cœur Car tu as fais tout mon bonheur Malgré ton envol sur ta nouvelle étoile Pour moi tu resteras mon trésor Tu m’as envoûté Depuis que tu es parti tout est déchiré La page est trop dure, trop lourde et je ne peux la tourner Tu étais tellement beau, gentil... Que pour rien au monde je ne pourrais t’oublier Tu ne méritais pas de monter là haut |
Déposé par colombine67 le 18/03/2018Il était moins une. Tout a commencé avec un post sur les réseaux sociaux rédigés par Josiane Almeida, une militante brésilienne pour les droits des animaux. Sur la photo partagée, on voit une maman chien et ses petits chiots abandonnés sur une route. Pire encore, quelqu’un avait attaché la maman chien dans un sac… Une scène horrible Lorsque Josiane Almeida a découvert la chienne et ses chiots, ces derniers étaient déshydratés et affolés. Rapidement, elle a fait sortir la chienne de sa prison avant de mettre toute la petite famille dans sa voiture pour une visite chez le vétérinaire plus que nécessaire. Une fois chez le vétérinaire, c’est le choc. Le vétérinaire découvre que la maman chien souffre en réalité d’une tumeur cancéreuse. C’est d’ailleurs sans doute à cause de cela qu’elle a été abandonnée aussi cruellement. Les chiots quant à eux étaient déshydratés, mais en bonne santé. Afin de trouver une solution pour soigner la chienne, Josiane Almeida fait appel à la générosité des gens pour avoir un peu d’aide. Grâce à son appel à l’aide, elle reçoit de nombreux fonds et le traitement de la chienne peut enfin avoir lieu. Aujourd’hui, elle a de bonnes chances de se remettre totalement. Les chiots ont pu être adoptés quand ils ont été en âge de l’être. |
Déposé par colombine67 le 17/03/2018A tous ceux qui idéalisent le fait d'avoir un chien, qui souhaitent en avoir un pour les mauvaises raisons ou qui sont imprégnés d'idées reçues... Voici ce que veut vraiment dire le fait "d'avoir un chien". Avoir un chien, ce n’est pas posséder. Avoir un chien, c’est être. Ce n’est pas être « propriétaire ». C’est être « responsable ». Ce n’est pas être « maître ». C’est être « partenaire ». Le vrai « maître », c’est le chien. Pas parce qu’il nous domine, mais parce qu’il nous enseigne. Avoir un chien, c’est exister. C’est exister pour un être qui n’a d’yeux que pour vous. Qui ne vit que pour vous. Ce n’est pas céder à un « il est trop mignon », à un caprice ou à une pulsion. Même s’il en faut un peu, du caprice. Il faut être capricieux envers soi-même pour avoir le courage de sauter le pas, de se dire un jour « je ne serai plus un. » Deux, on peut l’être pendant plus de 15 ans. Il faut une part de courage pour décider d’avoir deux ombres pendant si longtemps. Mais avoir un chien, ce n’est pas « je prends ce qui m’arrange ». Ce n’est pas prendre le mignon, la douceur et l’affection, et faire abstraction du reste. Ce n’est pas demander à un animal d’être une peluche ou un robot. C’est accepter l’imperfection. C’est se faire à l’idée que tous les chiens ne sont pas exactement comme on les avait rêvés. C’est s’adapter à lui autant que lui fait d’efforts pour s’adapter à nous. C’est apprendre à le comprendre et même à l’anticiper. C’est lâcher son écran pour lancer une balle. C’est enlever ses chaussons et mettre ses chaussures. C’est quitter sa couette pour sortir dans le froid et sous la pluie. C’est ramasser des crottes, éponger des vomis ou d’éventuels pipis. C’est aller chez le vétérinaire de nuit, un jour férié. C’est faire face aux contrariétés, de la bêtise la plus anecdotique à la douleur la plus insurmontable. C’est dépasser les incompréhensions en se donnant les moyens de bâtir une relation forte, saine et harmonieuse. Et digne, jusqu’au bout. Avoir un chien, c’est avoir ce que les autres appellent des « contraintes ». Mais avoir un chien, c’est être convaincu que ce que les autres appellent des « contraintes »... n’en sont pas. Parce que tout ce qui peut être considéré comme une contrainte est précisément ce dont le chien a besoin. Par amour, il faut répondre à ces besoins. Et aucune preuve d’amour sur Terre n’est une contrainte. |
Déposé par colombine67 le 16/03/2018Le petit Oreo a bien changé. C’était une journée tout ce qu’il y a de plus normale pour Oreo le chiot. Une journée seul à la maison à explorer les moindres recoins de son domicile, flairer tout ce qu’il y a à flairer, manger, dormir et jouer autant que possible. Bref, une journée comme les autres dans la vie d’un chien. Mais visiblement cette journée n’était pas suffisamment amusante pour Oreo qui a décidé d’y ajouter une bonne dose de fun en faisant des choses interdites. Un changement total (et une grosse bêtise) En rentant chez elle, la maîtresse du turbulent Oreo n’avait qu’une hâte : faire un gros câlin à son magnifique chiot blanc. Mais là, face à elle, c’est un chiot entièrement gris qu’elle a retrouvé ! Visiblement, Oreo a trouvé quelque chose d’amusant avec lequel joué, et ce n’était pas une chaussure à mâchouiller ! Rapidement, la maîtresse d’Oreo comprend. Son chiot a été joué dans un sac de charbon de bois et a visiblement trouvé très amusant de se rouler dedans encore et encore, jusqu’à devenir complètement gris. Plusieurs bains ont été nécessaires pour que le petit chiot puisse retrouver son apparence normale. |
Déposé par colombine67 le 15/03/2018Abandonner Titus n’a jamais été une option. Il y a quatre mois de cela, Lewis Jimenez a dû faire quelque chose de très difficile : ramener son Pitbull dans le refuge où il l’avait adopté. Mais il ne faut pas toujours se fier aux apparences. Une belle rencontre Tout commence en 2013 à Austin au Texas. Lewis Jimenez est alors dans le seul refuge de la ville et tombe sous le charme de Titus, un Pitbull en train de faire une promenade. Il décide alors de l’adopter et durant cinq années, les deux amis vivent un vrai conte de fée. Totalement inséparable de son chien adoré, Lewis Jimenez explique ne pas envisager sa vie sans lui. Mais l’année dernière, quelque chose a finalement séparé ces deux meilleurs amis… Un abandon forcé et des retrouvailles A sa grande surprise, Lewis Jimenez reçoit un courrier lui demandant de se séparer de Titus s’il ne voulait pas se faire expulser de son domicile. Ne connaissant personne qui pouvait garder le chien en attendant de trouver autre chose, Lewis Jimenez prend la difficile décision de le ramener au refuge où il l’avait adopté, tout en promettant au personnel qu’il reviendrait le chercher le plus vite possible. Evidemment, le personnel doute un peu de tout cela car ils entendent très régulièrement des maîtres dire qu’ils reviendront alors qu’il ne le font jamais… Et pour ne rien arranger, Titus n’a pas du tout apprécié de se retrouver au refuge et s’est montré déprimé. Pourtant, dès qu’il en avait la possibilité, Lewis Jimenez venait lui rendre visite. Mais cela ne faisait que compliquer un peu plus les séparations. Une situation déchirante qui a duré quatre longs mois. Des mois durant lesquels Lewis Jimenez n’a jamais abandonné son chien et a tout fait pour le récupérer le plus vite possible. Finalement, Lewis Jimenez a trouvé un nouveau logement et est revenu chercher Titus. Tous deux étaient fous de joie et s’échangeaient de nombreux baisers. Un moment qui faisait chaud au coeur et a mis les larmes aux yeux à tous les membres du refuge. Aujourd’hui, Titus vit très heureux avec Lewis Jimenez dans sa nouvelle maison où il adore courir partout et se prélasser dans la canapé ! |
Déposé par colombine67 le 14/03/2018STOP !!! A L' EUTHANASIE DE COMPLAISANCE NOUS DEMANDONS UNE JURISPRUDENCE CONTRE L'EUTHANASIE DE COMPLAISANCE JE M'APPEL NUTS J'AVAIS 9 MOIS ET TOUTE LA VIE DEVANT MOI . MON CRIME !!! AVOIR ÉTÉ UN CHIOT ET AVOIR TIRÉ UN PEU FORT SUR MA LAISSE . MA PUNITION , CONDAMNÉ A MORT !!!!. NUTS n’aurait jamais dû être assassiné Né le 02 avril 2017 Adopté en juillet 2017 a 3 mois sous contrat associatif avec une close selon l'arrêté du 23 septembre 1999 a été signé par les adoptants. « je m'engage à ne pas me dessaisir de l'animal adopté avant l'expiration d'un délai de douze mois, sauf auprès du gestionnaire du refuge qui me l'a confié et dont les coordonnées sont susmentionnées » Octobre 2017 un bilan complet prise de sang , scanner ; radio , Résultat « en bonne santé » certificat de bonne santé des 90 jours , TOUT VA BIEN POUR NUTS 26 Janvier 2018 EUTHANASIER en bonne santé POURQUOI ??? VOICI SON HISTOIRE L'équipe SOS ANIMAUX EN DÉTRESSE- PROTECTION ANIMALE est sous le choc et très en colère du décès de NÉO (Nuts de son vrai nom ) Vous nous aviez promis monde et merveilles à NEO (Nuts) , vous qui avez promis de tout faire pour l’aider à avancer malgré sa surdité! Vous qui avez fait des kilomètres pour venir l’adopter .... Aujourd’hui, après un contrôle de nos animaux que nous faisons régulièrement n'ayant plus de nouvelle depuis novembre 2017 du petit NEO (Nuts) nous nous nous apercevons qu’il est déclaré décédé fin janvier a l'icad , donc nous nous renseignons sur les circonstances du décès puisque nous n’avons pas été informé. Et là, nous apprenons avec stupéfaction que vous l’avez fait faire EUTHANASIÉ, car lors d’une promenade il vous a fait tomber et vous vous êtes fêlées quelques côtes COMMENT AVEZ-VOUS PU ? Il n’avait que 9 mois et toute la vie devant lui . Il avait tout à apprendre ! Vous avez préféré lui ôter la vie que nous le restituer a l'association comme il été convenu dans votre contrat en cas de problèmes , il était jeune, foufou, joueurs, pleins de vie et en bonne santé Mais nous ferons notre possible, pour que cela ne se reproduise plus ! Vole petit ange ❤️ Je suis NUTS , Je suis MORT pour rien . JE SUIS NUTS , TUÉ par complaisance JE SUIS NUTS ET JE deviens LA VOIX DES SANS VOIX pour que plus jamais ne soit euthanasier un animal en bonne santé . Je suis vieux = je suis assassiné j'ai un trouble du comportement = je suis assassiné Mon maître n’a pas les moyens de me soigner = je suis assassiné je suis handicapé = je suis assassiné STOOOOP !!!!! SOS ANIMAUX EN DÉTRESSE dépose plainte auprès du tribunal pour que plus jamais une euthanasie par convenance personnelle ne soit possible et que soit établie une jurisprudence . Nous invitons toutes les associations , confédérations et fondations de la protection animal à se porter civil avec nous pour que la mort d'un animal ne soit plus un acte de l’acheté . Nous invitons toute les personnes qui le souhaite à venir nous soutenir et participer aux frais Judiciaire qui s élève a 1500 € Pour participer a cette cause , Pour dire STOP à l'euthanasie de complaisance personnel AIDER NOUS !!! POUR SIGNER LA PETITION, VOICI LE LIEN : https://www.change.org/p/sos-animaux-en-d%C3%A9tresse-protection-animale-stop-a-l-euthanasie-de-complaisance |
Déposé par colombine67 le 13/03/2018Le pauvre chien, qui était régulièrement battu, a été tué à coups de couteau. Imaginez qu’en ouvrant votre porte, vous voyiez des trainées de sang dans le couloir de votre immeuble… C’est exactement ce qu’ont vécu les habitants d’une résidence de la rue de la Montcient, à Seraincourt (Val-d’Oise), ce vendredi soir. Il était environ 19h30 lorsque Mireille a entendu le chien d’un voisin pleurer fort et longtemps. Son propriétaire avait « l’habitude » de le battre. Mais après ces longs gémissements, plus rien. Un silence. « J’ai trouvé ça bizarre », raconte Mireille au Parisien. « Je l’ai entendu sortir et quand il est remonté, j’ai ouvert ma porte. C’est là que j’ai vu les traînées de sang dans le couloir qui mène à son appartement ». L’homme venait d’égorger son Malinois et de jeter son corps dans le local à poubelles. Un « psychopathe » Immédiatement, Mireille prévient un voisin, qui décide d’appeler les gendarmes. Dépêchées sur place, les forces de l’ordre ont dû forcer la porter pour entrer dans l’appartement du tortionnaire. Il avait encore l’arme du crime, un couteau, entre les mains. Ivre et vraisemblablement sous l’effet de stupéfiants, l’homme a refusé d’obtempérer, se débattant violemment et refusant de parler. Ce sont finalement les pompiers qui l’ont emmené. Décrit comme un « psychopathe » qui « se drogue tout le temps aux médicaments », cet homme de 47 ans, aurait, d’après un voisin, « déjà menacé des enfants de mort », et certains habitants auraient « déménagé tellement ils avaient peur ». Il serait également en procédure judiciaire avec son propriétaire en raison de loyers impayés. Parce qu’il n’était pas en mesure d’être entendu compte tenu de son état, il a été placé sous surveillance médicale pour une durée indéterminée. Ce terrible fait divers nous rappelle à quel point la vigilance du voisinage et les témoignages sont importants. Les habitants de cet immeuble ont malheureusement réagi trop tard… S’ils avaient prévenu la police ou des associations de protection animale plus tôt, ce chien aurait sans doute pu être sauvé. |
Déposé par colombine67 le 12/03/2018Au refuge, ils voient un chien en train de pleurer et prennent une photo qui va changer sa vie Parfois un petit geste change tout. On dit souvent qu’une photo vaut mille mots. Parfois, une photo peut aussi sauver des vies. C’est le cas dans cette histoire. Tout commence dans un refuge situé au Nouveau-Mexique. L’association High Plains Humane Society est venue dans ce refuge pour photographier tous les chiens afin d’aider à leur trouver des familles pour la vie. C’est en uploadant les photos sur Facebook, qu’un membre de l’association tombe sur un cliché qui attire tout particulièrement son attention. Il s’agit d’un chien au regard très triste, qui pleure. En réalité, il ne pleure pas vraiment mais souffre d’une infection aux yeux. Mais qu’importe, la photo est bouleversante. Une nouvelle vie Une fois mise en ligne, la photo fait le tour du monde et les propositions d’adoption pleuvent de partout. Heureux, les membres du refuge épluchent chaque candidature afin de trouver la famille idéale pour ce chien qui le mérite tant. C’est finalement une femme qui viendra chercher le brave toutou pour lui offrir la vie dont il rêvait depuis tant de mois. Aujourd’hui, c’est un chien heureux, qui vit entouré d’amour et d’autres toutous ! Une vraie renaissance et une nouvelle preuve de la puissance des réseaux sociaux. |
Déposé par poutounou le 11/03/2018Tu es tout ça, mon Ange... * À mon Ange, * Tu es mon palais, mon soir et mon automne, Et ma voile de soie et mon jardin de lys, Ma cassolette d’or et ma blanche colonne, Mon parc et mon étang de roseaux et d’iris. * Tu es mes parfums d’ambre et de miel, ma palme Mes feuillages, mes chants de cigales dans l’air, Ma neige qui se meurt d’être hautaine et calme, Et mes algues et mes paysages de mer. * Et tu es ma cloche au sanglot monotone, Mon île fraîche et ma secourable oasis … Tu es mon palais, mon soir et mon automne, Et ma voile de soie et mon jardin de lys. * Renée Vivien ("À l’heure des mains jointes", éditions Alphonse Lemerre,1906) |
Déposé par Rafiarock le 11/03/2018💻💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💻 MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Vous dit. La famille S-M. POUR. Votre immense GENEROSITE. Envers leur petit Rock adoré. 30000 💐! C'est génial ❗ ET Vous êtes GENIAUX ❗ MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII 💻💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💌💐💻 |
Déposé par colombine67 le 11/03/2018Une histoire réellement bouleversante. Le mois dernier, Cristine Sardella était à un rendez-vous à l’hôpital quand elle a vu un chien qui attendait assis sur le pas de la porte, seul. Si les chiens errants ne sont pas rares au Brésil, celui-ci avait quelque chose de particulier dans son regard, comme s’il était triste. Et si le gentil toutou se levait volontiers pour laisser passer les gens qui voulaient entrer, il se remettait toujours exactement au même endroit. Cristine Sardella découvrit peu de temps après que le chien n’était pas un chien errant, mais un chien qui attendait quelqu’un qui ne reviendrait jamais… Une histoire déchirante Touchée par ce chien pas comme les autres, Cristine Sardella se rend alors à l’accueil de l’hôpital pour en savoir plus à son sujet. C’est là qu’elle découvre son histoire. Le chien appartenait en réalité à un sans-abri qui a été poignardé dans un parc il y a quatre mois de cela. Lorsque l’ambulance a emporté son maître, le chien a couru derrière sans jamais s’arrêter. Il s’est ensuite installé sur le pas de la porte pour attendre le retour de son maître. Malheureusement, son maître n’a pas survécu à ses blessures et ne reviendra jamais. C’est pour cette raison que depuis plusieurs mois le chien attend, avec l’espoir de le revoir et sans bouger. Depuis que le chien est là, tous les membres de l’hôpital font en sorte que son séjour soit agréable en lui offrant à manger et une couverture. Mais cela n’est pas suffisant pour Cristine Sardella qui est bien décidée à agir. Un chien fidèle Elle poste alors un message sur les réseaux sociaux et les réponses pleuvent. Bientôt, un homme vient chercher le brave toutou, mais les choses ne se passent pas bien. Le chien s’échappe et retourne directement à l’hôpital. Ne sachant plus quoi faire, Cristine Sardella découvre que finalement un membre du personnel hospitalier s’est proposé pour adopter le chien quand il sera prêt. En attendant, il reste au chaud à l’hôpital où il est chouchouté par tout le monde. |
Déposé par colombine67 le 10/03/2018Noé le Jack Russell, a eu le malheur de se retrouver au mauvais endroit, au mauvais moment… A seulement 7 mois, Noé le Jack Russell est mort dimanche dernier, après avoir fait une rencontre qui lui a vraisemblablement coûté la vie. Ce jour-là, il s’est échappé de sa propriété de La Seyne-sur-mer (Var) en passant par un trou que des sangliers avaient creusé. Il s’est dirigé vers la forêt, située tout près, et s’est mis à suivre un groupe de quatre personnes qui promenaient deux chiens de type Bouledogue. Une passante, qui se baladait également, a alors été témoin d’une scène tragique : visiblement importunée par la présence du Jack Russell, une femme du groupe aurait prononcé, d’après la passante : « Il nous fait chier, on ne va pas pouvoir se balader tranquille ». La témoin s’apprêtait à rentrer chez elle lorsqu’elle a soudain entendu des aboiements stridents. Elle a donc choisi de faire machine arrière. C’est alors qu’elle a découvert le pauvre Jack Russel dans un fossé, avec du sang qui coulait de sa bouche. Selon toute vraisemblance, il avait été frappé. Immédiatement, la femme a contacté les propriétaires du chien grâce au collier qu’il portait, sur lesquelles des coordonnées étaient inscrites. Il a été conduit chez un vétérinaire de garde, mais c’était hélas trop tard : avant même d’arriver, Noé avait perdu la vie sans que le vétérinaire ait pu faire quoi que ce soit. Il est mort d’une hémorragie interne, et d’un décollement de la plèvre. La pétition a recueilli plus de 30 000 signatures A la suite de ce terrible événement, une pétition a été lancée pour tenter de retrouver les coupables et que justice soit faite. « Sa famille pleure ce chiot joueur mais toujours tendre, et demande justice pour cet acte de violence inouïe », indique la pétition. « Le seul tort de Noé est d'avoir été au mauvais endroit au mauvais moment, et de croiser le chemin d'individus sans âme et pétris de haine. Il n'a fait de mal à personne, tout le monde le connaissait dans le quartier, une escapade un dimanche matin n'était pas supposée finir dans le sang et les larmes ». Les auteurs de la pétition, qui déplorent que « des scènes de crimes » soient « classées sans suite », espèrent que « les auteurs de ce crime soient retrouvés et punis » pour Noé, « victime de la bêtise crasse, de méchanceté féroce, de pulsions morbides et de brutalité barbare ». La pétition a d’ores et déjà recueilli plus de 30 000 signatures. Un appel à témoins a été lancé, et les suspects seraient « deux couples, respectivement de 30 et 50 ans, les deux hommes auraient une forte corpulence et la plus jeune des femmes, âgée d’une trentaine d’années, avait les cheveux mi-longs, noirs et bouclés ». Parallèlement, une plainte a été déposée. |
Déposé par colombine67 le 09/03/2018Avocate et sensible à la cause animale, Maître Isabelle Terrin revient dans cette chronique sur l’affaire du chien Rocky. A la fin de l’année 2017, il avait été traîné derrière une voiture par un voisin après s’être malencontreusement échappé de son jardin. Rocky, le chien à la tête de nounours, traîné et retrouvé sérieusement blessé le 29 décembre 2017 à Saint-Etienne-des-sorts (Gard) a créé une vive émotion dans ce calme village où les gens vivent en bonne intelligence, se croisent et se saluent. Mais personne ne pouvait se douter qu’à quelques encablures de chez Eric, et alors qu’il était au travail, un drame se jouerait, qu’un chasseur voisin provoquerait de graves blessures à Rocky, Léonberg pataud âgé de 18 mois qui s’était échappé de son jardin pour aller batifoler. Il n’aura guère eu le temps de se réjouir de cette liberté convoitée mais dangereuse, bébé Rocky. Il aura fallu qu’il croise la route de ce voisin qui, de manière cruelle et énigmatique a eu l’idée de l’attacher à son pick-up, pour le traîner, et lui occasionner de graves blessures. L’affaire a tout de suite ébranlé les habitants, et la colère a grondé chez les gens qui ne supportent plus la violence faite aux animaux. Mélanie, la fille d’Eric, a contacté la presse tant l’affaire lui paraissait grave, ouvert une page Facebook, et reçu quantité de soutiens. La violence envers les êtres sensibles et sans défense a quelque chose de profondément dérangeant. « Comme si traîner un chien derrière un pick-up était un acte normal » Présenté devant les gendarmes, C.M., homme d’une soixantaine d’années au casier judiciaire vierge s’est arc-bouté sur ses certitudes de ne pas avoir mal agi, comme si traîner un chien derrière un pick-up était un acte normal, cohérent et inoffensif. Il faut féliciter la Justice qui a mis C.M. en garde à vue, puis sous contrôle judiciaire avec notamment obligation de se soumettre à une expertise psychiatrique. A Nîmes, ils ont pris ça très au sérieux. « Une défense infantile » Le jour du procès est arrivé, Eric le maître de Rocky, et C.M. dans une salle comble de badauds et de journalistes, tous venus comprendre, et découvrir les ressorts psychologiques qui conduisent un citoyen lambda à passer à l’acte. Aidés par le CCMA (collectif contre la maltraitance animale), Eric s’était constitué partie civile, pour demander a minima remboursement des frais vétérinaires, et une somme en dédommagement de ce mal fait à l’animal de la famille, gentil, et aimé de tous. Accoudé à la barre des prévenus, calme, sûr de lui, C.M. a expliqué qu’il n’avait pas voulu blesser le chien, mais qu’il avait eu une mauvaise idée, c’est tout. Et il s’est claquemuré dans cette défense infantile, obtuse, supposée l’éloigner du centre névralgique de sa responsabilité. Impassible, il a subi les assauts verbaux des parties civiles et du procureur, sans jamais reconnaître ni ciller. Non, il n’a pas voulu faire du mal à Rocky, même si le chien présentait des blessures jusqu’à l’os, même si Eric en est à presque 700 € de frais de vétérinaire… Non, il ne comprend pas pourquoi tant de vacarme et d’émotion pour un chien… Eh oui, Monsieur le chasseur, la vie et la souffrance de Rocky nous touchent, parce qu’il est innocent, et sans défense, parce que c’est un bon gros nounours qui fait le bonheur de sa famille, et que par-dessus tout, la vie, sous toutes ses formes mérite respect. Et Rocky qui a suivi ce voisin en toute confiance ne méritait pas qu’on le fasse souffrir, qu’on atteigne à son intégrité physique, car Rocky n’est pas un renard ou un lapin que vous chassez, mais un animal domestique, qui fait partie intégrante d’une famille qui l’aime. Oui, Monsieur le chasseur, et tenez-le-vous pour dit, les actes de cruauté sont sanctionnés en France par une peine pouvant aller jusqu’à 2 années de prison et 30 000 € d’amende. 6 mois de prison avec sursis Les enceintes de Justice renferment beaucoup d’émotion, de sentiments mitigés, mais ce jour-là, toute la salle semblait du côté de l’animal et compatissait aux blessures importantes qui lui avaient été infligées. Une grande avancée, une prise de conscience citoyenne qui rassure. Le procureur a balayé les dénégations de C.M. d’un revers de manche, et réclamé une peine sérieuse de 6 mois de prison assortie de sursis, et une interdiction définitive de détenir des animaux. Le tribunal a suivi ces réquisitions tout en limitant à 10 années l’interdiction. Le tribunal a condamné C.M. à régler 686 € de frais de vétérinaires, et 1 000 € en réparation du préjudice. C.M. a 10 jours pour faire appel. Maître Isabelle Terrin Avocate |
Déposé par colombine67 le 08/03/2018Elle a vu ce chien agrippé à la porte de cette maison, puis elle a compris ce qu’il faisait et a eu envie de fondre en larmes… Que fait ce chien agrippé ainsi à la porte de cette maison ? C’est à San Luis Potosí au Mexique qu’Edith Govea a vu cette scène incroyable. Elle se promenait quand elle est passée devant une maison et a vu ce petit chien blanc, agrippé au portail de cette maison. Si elle a été amusée par la scène, elle s’est quand même demandée ce que pouvait bien faire ce toutou. Etait-il devant chez lui enfermé dehors et cherchait-il à rentrer ? Était-il inquiet pour quelqu’un à l’intérieur ? Ou bien traquait-il un chat ? Mystère. Edith a alors décidé de rester un moment et a observé le toutou. Puis un autre chien est apparu. Les deux chiens semblaient bien se connaître et s’apprécier. Ils ont échangé quelques léchouilles à travers les barreaux et le plus petit est monté sur le muret de la maison. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus, à ce moment là, Edith a assisté à une scène aussi incroyable qu’hilarante. Le petit toutou blanc était bien déterminé à rejoindre son pote de l’autre côté des barreaux, chez lui. Et pour cela, il y a mis de l’énergie. Mais il a pu compter sur le soutien de son acolyte le berger allemand qui, même s’il ne pouvait rien faire concrètement pour l’aider, lui a montré un soutien sans failles. Une amitié sans égal Une chose est sûre, c’est qu’entre ces deux chiens, il y a un lien très fort. Une amitié sans égal. Un amour incroyable. Personne ne mettrait autant d’énergie pour rejoindre quelqu’un qu’il n’aime pas ! Est-ce que ces deux toutous font ça tous les jours ? Est-ce toujours le même qui vient chez l’autre ? Ou est-ce que parfois ils alternent ? Leurs maîtres sont-ils au courant de cette complicité incroyable ? En tout cas, on leur souhaite de passer beaucoup de temps ensemble aussi longtemps que possible. Edith qui a filmé la scène a été très touchée par cette complicité et avait les larmes aux yeux. |
Déposé par colombine67 le 07/03/2018Le policier voit un chien qui a besoin d’aide, mais il fait demi-tour pour une très bonne raison Une belle leçon de générosité. En pleine tournée dans la ville de Fresno en Californie, l’agent de police William McCarty repère un chien errant qui semble mourir de faim. Il regarde l’animal de plus près – depuis sa voiture – et constate aussi que le pauvre toutou tient à peine sur ses pattes. Il est dans un état très inquiétant et a besoin d’aide. Une aide immédiate. De son côté, le chien jette un regard désespéré à la voiture de William McCarty et semble dépité quand il voit le véhicule faire demi-tour et le laissé seul. Mais ce que le pauvre toutou ne savait pas encore, c’est que l’agent de police serait vite de retour. Un homme au grand cœur Après avoir vu le chien, William McCarty a conduit jusqu’à la boutique la plus proche pour acheter de la nourriture pour chien. Il est ensuite rapidement retourné là où il avait vu l’animal afin de pouvoir l’aider. Une fois près du chien, William McCarty s’est assis à côté de lui et lui a tendu un bol de nourriture. Mais les choses ne se sont pas arrêtées là. Un homme nommé Marty Solis a assisté à toute la scène et a pris ce beau moment en photo afin de le partager sur les réseaux sociaux. Travaillant dans une école, l’homme souhaitait prouver aux jeunes que les agents de police n’étaient pas uniquement là pour réprimander les gens, mais aussi pour faire de belles choses. Depuis ce partage sur les réseaux sociaux, William McCarty reçoit de nombreux messages pour le féliciter de cette belle action. |
Déposé par poutounou le 06/03/2018"Merci" * Mot tout simple à écrire Et facile à prononcer et à lire Régulièrement peut être employé Coût nul pour qui ose l'utiliser Inconnu encore pour beaucoup de personnes * MERCI, mille fois "Merci" pour vos fleurs, vos messages, vos poèmes pour le 5ème anniversaire de départ de mon Ange Rubens. Ca fait tellement chaud au coeur de voir ces "délicates attentions" sur la page de mon Trésor adoré. Je terminerai par ces quelques mots si vrais : * J'ai mal... dit le coeur Tu vas oublier... dit le temps Mais je vais toujours revenir... dit la mémoire. * Martine, * P.S. : encore MERCI |
Déposé par colombine67 le 06/03/2018Depuis qu’elle a posté une photo de sa fille et de son chien, cette maman est au cœur d’une polémique. Maman de sept enfants, Kate Gosselin partage régulièrement son quotidien sur les réseaux sociaux. Et si généralement tout se passe bien, une de ses récentes photos a fait polémique. Une photo qui buzz Sur la fameuse photo, on peut voir sa fille prénommée Alexis qui embrasse Mak le chien. Jusqu’ici, un cliché qui semble avoir tout pour plaire et qui est même franchement mignon à regarder. En guise de légende, Kate Gosselin écrit « L'amour entre mon enfant humain et mon enfant poilu me fait fondre un peu plus chaque jour ! Mak nous aime tant - et c’est exactement pareil pour nous ! » Un joli message d’amour qui pourtant est mal passé. C’est dans les commentaires que l’on peut voir que la photo fait polémique. Plusieurs personnes ont ainsi souligné le fait qu’il est particulièrement peu hygiénique de laisser son chien lécher ainsi le visage d’une enfant. Il est vrai que les chiens ont tendance à mettre leur truffe et leur langue un peu partout… « il y a aussi des humains très peu hygiénique et on ne fait pas un tel scandale pour ça » |
Déposé par colombine67 le 05/03/2018Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette chienne a un très grand cœur. La plupart du temps, les chiens et les chats sont présentés comme des ennemis, mais ce n’est en réalité pas toujours le cas, bien au contraire même. Cette belle histoire va vous le prouver. Tout commence quand un homme croise une chienne errante et constate qu’elle attend des petits. Touché, il décide alors de lui construire un abri afin qu’elle puisse se mettre au chaud et se protéger de la pluie, mais aussi pour qu’elle ait un endroit où mettre bas en toute sécurité. Quelques jours plus tard, il revient voir comment les choses se passent pour la chienne et n’en revient pas de ce qu’il découvre ! Une jolie surprise En arrivant près de la niche, l’homme découvre que la chienne n’est plus seule dedans et qu’une chatte gestante s’y est installée ! Immédiatement, l’homme comprend que la chienne a croisé la route de cette chatte gestante et a décidé de lui proposer un toit. Une très belle invitation. Ce sont donc trois chiots et quatre chatons qui logent désormais dans cette petite niche avec leurs mamans. Et le plus adorable dans tout ça, c’est que ni les chats, ni les chiens ne semblent gêner par cette cohabitation inhabituelle. |
Déposé par ovanek le 04/03/2018💖 💖 💖 55 💖 💖 J’ai frappé à ta porte J'ai frappé à ton cœur Pour avoir un bon lit Pour avoir un bon cœur Ne t’inquiète pas pour moi Là ou je suis, je me sens Roi Une étoile filante est passée, et je m’y suis accroché Et elle m’a transporté dans ce paradis enchanté Cet être familier de tes tendres années sera toujours présent à chaque instant Je resterai avec toi par la pensée ***** Pensée ***** 💖 |
Déposé par poutounou le 04/03/2018Un bon lait bouillant au miel ou un chocolat chaud avec quelques madeleines... Mium !!! * Bien au chaud * Dans ma maison, bien au chaud, je vois le jour qui s'enfuit et les étoiles là-haut qui s'allument dans la nuit. J'entends le vent qui s'élance entre les tuiles du toit et les grands arbres qui dansent à la lisière du bois. Chez moi, je suis à l'abri. Je bois un bon lait bouillant. Je n'ai pas peur de la pluie, de l'hiver et du grand vent. * Ann Rocard |
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