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En hommage à
Shanira
Il est né le:10/01/2012
Il nous a quittés le:01/10/2020
30 bougies
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4647 Fleurs
1076 messages
Déposé par poutounou le 02/11/2022En ce jour de la fête des morts, nous pensons fort à ceux qui sont partis vers d’autres cieux, humains ou animaux. « Il n’y a pas de mort, il n’y a que des métamorphoses… ». * Vivre et croire * Vivre et croire, c’est aussi accepter que la vie contienne la mort et que la mort contienne la vie. C’est savoir, au plus profond de soi, qu’en fait, rien ne meurt jamais. Il n’y a pas de mort, il n’y a que des métamorphoses. * Tu ne nous as pas quittés Mais tu t’en es allé au pays de la Vie, Là où les fleurs Plus jamais ne se fanent, * Là où le temps Ne sait plus rien de nous, ignorant les rides et les soirs, Là où c’est toujours matin, Là où c’est toujours serein. * Tu as quitté nos ombres, Nos souffrances et nos peines. Tu as pris de l’avance Au pays de la Vie. * Je fleurirai mon cœur En souvenir de toi, Là où tu vis en moi, Là où je vis pour toi. * Et je vivrai deux fois… * Par Père André Marie |
Déposé par spanky le 30/10/2022Je suis debout au bord de la plage. Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l'océan. Il est la beauté, il est la vie. Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon. Quelqu'un à mon côté dit : "Il est parti !" Parti ? Vers où ? Parti de mon regard, c'est tout... Son mât est toujours aussi haut, sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi,pas en lui. Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit : "Il est parti !", il en est d'autres qui, le voyant poindre à l'horizon et venir vers eux, s'exclament avec joie : "Le voilà !"... C'est cela la mort. Auteur : William Blake |
Déposé par poutounou le 30/10/2022Merci Monsieur Hugo pour cette petite poésie toute mignonne… !!! * La tombe dit à la rose * La tombe dit à la rose : – Des pleurs dont l’aube t’arrose Que fais-tu, fleur des amours ? La rose dit à la tombe : – Que fais-tu de ce qui tombe Dans ton gouffre ouvert toujours ? * La rose dit : – Tombeau sombre, De ces pleurs je fais dans l’ombre Un parfum d’ambre et de miel. La tombe dit : – Fleur plaintive, De chaque âme qui m’arrive Je fais un ange du ciel ! * Victor Hugo |
Déposé par poutounou le 26/10/2022Cette jolie petite histoire m’a fait verser une larme…Un simple geste d’Amour qui ne coûte rien qu’un peu d’encre et fait tant de bien… !!! Nos Anges aussi nous font plein de « wouf » tous les jours et on les garde précieusement dans notre cœur… * En avril dernier, Mary et Roberto Westbrook ont dû dire adieu à Moe, leur fidèle beagle âgé de 13 ans. Mais pour Luke, un garçonnet de 3 ans et demi, la perte de son compagnon de jeu a été plus difficile à comprendre… La famille a donc décidé d’écrire des lettres au chien en les envoyant au « Paradis des chiens » afin de prendre de ses nouvelles. * « On ne pouvait pas leurrer notre fils : nous allions régulièrement mettre les lettres dans notre boîte aux lettres », indique Mary Westbrook à la presse. « Le soir, quand notre fils dormait, j’allais rechercher le courrier avant que le facteur ne l’emporte. » * « Je te « wouf » Luke ! » Mais un jour, Mary a oublié de récupérer la lettre. « Je pensais que la lettre allait être jetée par le facteur ou qu’on allait se moquer de nous », dit-elle. Elle ne s’attendait certainement pas à trouver une réponse à ce courrier dans sa boîte aux lettres le lendemain. * Signée de la patte de Moe, la carte disait : * « Je suis au paradis des chiens. Je joue toute la journée et je suis heureux. Merci d’être mon ami. Je te « wouf » Luke ! » * Le garçonnet était aux anges après avoir reçu ce mot. Ses parents sont émus. « La gentillesse de cet inconnu m’a bouleversée », ajoute la mère du petit bonhomme. * « C’est juste de l’amour » * Après avoir raconté cette magnifique histoire aux médias locaux, The Virginian-Pilot a réussi à retrouver l’auteur de cette lettre touchante. Il s’agit en fait d’une employée de la poste, Zina Owens. * La jeune femme, âgée de 25 ans, dit n’avoir écouté que son cœur : « Il y avait un enfant qui avait perdu son chien, et chaque fois que l’on perd quelqu’un ou quelque chose qu’on aime, cela fait mal. Cette lettre m’a touchée, je voulais y répondre. C’est juste de l’amour. » |
Déposé par spanky le 25/10/2022Je t'aime mon chien, Tu m'as offert les plus beaux moments de ma vie, Dans mon coeur, tous nos bons souvenirs resteront, ne l'oublie jamais. En voici quelques-un en espérant que je n'en ai pas oublié. -Ne jamais me noyer, dans tes yeux de tendresse, -Songer que ton sourire est à jamais enfui, -Être seul chaque jour, telle une âme en détresse, -Et sangloter sans fin, de tous ses beaux souvenirs que tu ma laisser, -Ne plus sentir ta patte dans ma main, -Ne poser qu'en rêve, un bisou sur ta frimousse ! -M'éveiller en sursaut, pleurant ton absence ! -Ne plus pouvoir dormir avec toi à mes cotés, -Écouter dans le vent un amour qui s'envole, -Et pleurer tristement, des moments de bonheur -Ne plus entendre au loin, l'écho de ta romance, -Contempler chaque objet qui me parle de toi, -Et vivre chaque jour, ma peine et ma souffrance, -Ne plus te serrer, toi si doux, si gracieux, -Ni te serrer bien fort, à l'étau de mes bras, -Ne plus entendre alors, tes soupirs, -Ni ton pas si léger, à l'éveil du matin ! -Rêver pourtant, d'un petit être tel que toi, -De ce cadeau du ciel, à jamais disparu, -Et mourir chaque jour, d'un coeur qui ne bat plus ! -Mourir de ces doux yeux, que je ne verrais plus -Cet Univers d'amour, qui était le nôtre. |
Déposé par poutounou le 23/10/2022Petite poésie rigolote en ce dimanche d’automne… * Chien-chien à sa mémère * Qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce qu’on me met ? De quoi j’ai l’air ? Un bonnet, Un manteau en mohair, Des gants À mes pattes de devant, Des genouillères Et des chaussons À celles de derrière. * Non mais ! Quelle idée Vous avez, Vous les mémères À chien-chien ! * C’est peut-être l’hiver, Mais je n’ai pas froid ! Je me porte bien. J’ai mes poils à moi. Alors s’il vous plaît, Laissez mon derrière À l’air ! * de Jean-Pierre Andrevon |
Déposé par spanky le 22/10/2022Tête de boule chaude qu’on nourrit, qu’on élève. Petit animal qui cahote sur ses pattes, glisse sur les postérieures, écroulé sur son ventre tendre et mou de bébé trop nourri. Chien enfant que l’on aime, que l’on instruit du mieux qu’il peut. Dont on a la fierté de la patte donnée. Dont on a la tendresse, la chaleur, le silence qui parle, les yeux qui vous regardent. Chien compagnon, chien de la promenade qui gambade avec vous, s’en va pour revenir avec le plus beau des présents: un caillou, une branche, son amour qui rythme votre vie et vous force à la vie. Chien qui donne: un regard, la poussée d’une tête, un oeil doré d’amour, une patte. Chien qui accepte un soin, une caresse, une tape, un reproche. Chien qui est votre enfant, mais qui devient le parent qui vieillit avant vous, que vous voyez marcher lorsqu’il aimait courir, se lever pesamment, venir vers vous avec la lenteur de l’âge. Chien qui s’abîme, s’use avec la vie, chien qui déroule en douze ans une vie, vieux chien qu’on aime, et qui s’éloigne, et qui s’en va, qui est parti et que l’on pleure. Christian Chabellard, |
Déposé par spanky le 19/10/2022LA SÉPARATION Puisque la vie nous à séparée Et avant de là-haut nous retrouver Nous devons apprendre à vivre sans toi Ce n'est pas évident crois-moi On n'a rien d'autre à quoi se raccrocher Ton sourire est éteint à tout jamais Nous avons appris à faire de tes souvenirs Une force qui nous permet de tenir Tu nous à quitté brutalement Pour rejoindre la lumière des étoiles Maintenant nous regardons le firmament Quand notre coeur nous fait mal Tu as laissé une trace de toi et d’émois Ta vie est finie ici, mais continue dans l'au-delà Tu nous as laissé des beaux souvenirs Et en parlant de toi, cela fait parfois sourire Mais c'est ce que tu voulais Car tu détestais nous voir pleurer Sois heureux toi qui as semé le bonheur Tu resteras vivant à jamais dans nos coeurs |
Déposé par poutounou le 19/10/2022Quelles jolies « paroles » de Monsieur Jean Ferrat, ce grand poète, en hommage à son chien Oural. C’est sûr qu’au Paradis des chiens ils nous attendent, leur long museau à la « fenêtre »… * Oural Ouralou * C'est dans l'aube chère à Verlaine Que tu courais notre domaine Humant l'air des quatre saisons Odeurs de thym et de bruyère Sous tes pattes fraîches légères S'élevaient comme une oraison Berger des landes familières Tu vivais digne et solitaire Animal doué de raison J'écris ce jour anniversaire Où tu reposes sous la terre A deux pas de notre maison * Hourrah oural ouralou Oural ouralou * Hourrah oural ouralou Oural ouralou * On voit souvent des souveraines A la place des rois qui règnent Rien qu'en posant leurs yeux dessus Il faut se méfier du paraître De nous deux qui était le maître Nous ne l'avons jamais bien su Tu vécus la vie parisienne La nuit sur les quais de la Seine Les music-halls et les tournées Et cette vie qui fut la mienne Il me semble que tu l'entraînes A la semelle de tes souliers * Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou * Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou * Jour après jour il faut l'admettre Voir ceux qu'on aime disparaître C'est ce qui fait vieillir trop tôt Au paradis des chiens peut-être Ton long museau à la fenêtre Tu nous accueilleras bientôt Au triple galop caracole Je vois tes pattes qui s'envolent Chevauchant l'herbe et les nuées Le vent siffle dans ton pelage * Vole vole mon loup sauvage Comme au temps des vertes années * Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou * Hourrah Oural Ouralou Oural Ouralou * Jean Ferrat |
Déposé par poutounou le 16/10/2022Qui nous surveille ??? Notre Ange peut-être !!! * Quelqu'un * De l'autre côté du miroir Quelqu'un nous épie Quelqu'un compte nos fils d'argent un à un. Quelqu'un regarde se serrer l'épervier des rides Quelqu'un nous garde Quelqu'un nous emporte Quelqu'un ouvre et ferme des portes à l'envers. Quelqu'un nous oublie Quelqu'un vend de l'espoir Quelqu'un au visage blanc ou doré de l'autre côté du miroir sur le tain de la nuit. Quelqu'un, quelqu'un, quelqu'un mais qui ? * Armand Lanoux ("La tulipe orageuse " Seghers 1959) |
Déposé par spanky le 15/10/2022Paroles de la chanson "Un Jour" par Damien Sargue Où vont ceux qu’on aime Quand ils disparaissent, Tout à coup ? Quelqu’un qui nous laisse, Quelqu’un qui vous blesse Quand il s’en va trop loin de nous. Ils sont en nous-mêmes, À portée de nos souvenirs. Pas un mot de trop, Que le geste qu’il faut, Pour une dernière fois, Les retenir Personne ne finit dans l’oubli, Si quelqu’un l’attend encore ici. Un ami manque toujours, On pense toujours à son retour. Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! Que font ceux qui restent Quand leur peine est plus forte que tout, Quand ils se détestent D’être ceux qui restent, Ceux qui doivent aller jusqu’au bout ? Personne ne finit dans l’oubli, Si quelqu’un l’attend encore ici. Un ami manque toujours, On pense toujours à son retour Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Les présents, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! |
Déposé par spanky le 13/10/2022Pour mon chien qui me manque, Je suis un bel oiseau, au milieu de mes frères, je vole et puis je plane, au dessus des montagnes, au dessus des déserts, je vole et puis je plane, bien au-delà des mers, vers ce bel horizon qui m’attire et m’appelle. Au dessus des grands champs ! Au dessus des forêts! Je vole et puis je plane, je file bec aux vents, rejoindre mon destin, survolant les vallées, survolant les rivières, bien entre ciel et terre, je vole par tous les temps, fatigué mais heureux, aussi libre que le vent. Passant les marécages, je sens comme le présage, d'un bien mauvais passage. Au dessus des marais! Je vois se miroiter, le reflet argenté du plaisir assassin, et puis soudain j'entends! Un grand coup de tonnerre! Qui me blesse et m'emporte au dessus des marais. Je tombe! Je tourne! Je plane! Puis je plonge dans les eaux qui me brise et me glace. Dans la gueule du chien, j'ai peur! je crie! j’ai mal! Mes yeux s’en vont s’éteindre, et d’un ultime regard, j'aperçois tout là haut, s'éloigner tous mes frères, vers ce bel horizon qui ne sera plus le mien. Moi! Je ne demandais rien, je volais fièrement, bien heureux dans les cieux, accompagné des miens, écouter tous les sons, du ciel et de la terre, parcourir le chemin qui mène à l’horizon, mais le coup de fusil fût là mon dernier son. Puis je n’y vois plus rien, mes yeux se sont éteints, et je n’ai même plus mal. Adieu mon horizon ! Moi, j’ai fini le voyage, tel était mon destin. Mais je suis bien là haut, dans cet autre là haut, Je suis encore plus beau! Je vole encore plus haut, accompagné des anges qui me prennent en photo. Au revoir les copains! Au revoir petits frères! On se reverra bientôt, mais juste un peu plus haut… |
Déposé par poutounou le 12/10/2022Oh oui, des bons marrons rôtis dans la cendre avec un délicieux vin chaud à la cannelle ! Quelle régalade…Je m’en lèche les “babines”!!! * L'automne * On voit tout le temps, en automne Quelque chose qui vous étonne, C'est une branche tout à coup, Qui s'effeuille dans votre cou ; C'est un petit arbre tout rouge, Un, d'une autre couleur encor, Et puis partout, ces feuilles d'or Qui tombent sans que rien ne bouge. Nous aimons bien cette saison, Mais la nuit si tôt va descendre ! Retournons vite à la maison Rôtir nos marrons dans la cendre. * Lucie Delarue-Mardrus |
Déposé par poutounou le 11/10/2022Petite histoire drôle pour rire un peu. On en a bien besoin ces derniers temps ! * Un chien intelligent ? Un jour, un boucher voit arriver un joli labrador dans son magasin avec un porte-monnaie dans sa gueule. Le boucher lui dit : « Et bien alors qu'est-ce que tu veux toi ? De la viande ? Le labrador lui répond : « Wouuf » Le boucher « Et bien dit donc tu as l'air très intelligent ! Qu'est que tu voudrais exactement ? Une bavette ?.........Une entrecôte ? …...Un steak ? Le labrador : « Wouuf » Le boucher : « Eh bien t'es vraiment intelligent toi ! » Le boucher lui met le steak dans un sac, prend l'argent dans le porte-monnaie et redonne le tout au chien. * Le chien s'en va alors et le boucher toujours étonné décide de suivre le labrador pour féliciter son maître. Le labrador arrive en bas d'un immeuble, monte au 1er étage, et frappe à la porte avec sa patte. Au bout de quelques secondes, un homme ouvre la porte et insulte le chien de tous les noms. Le boucher : « Mais monsieur, arrêtez de disputer ce pauvre chien ! C'est la première fois que je vois un chien aussi intelligent !!! » * Et le maître du chien de lui répondre : « Ce chien, intelligent ? Vous plaisantez. C'est la troisième fois ce mois-ci qu'il oublie ses clés ! » |
Déposé par spanky le 09/10/2022Un petit ange-canin part, Un petit ange-canin vient, Et pour un ange-canin qui part, Une étoile devient. Et brille tout aussi bien, En Occident qu'en Orient. Là-haut, bercée par les nuages, Sa maison est là, à présent. C'est la fin du voyage Il faut vivre ici, maintenant. Mais l'absence fait si mal... Un petit ange-canin gémissant Veut retrouver sa tendre maman. Pr lui ce Paradis lointain N'est pas un pays de Cocagne. Alors il pleure longuement. Ses sanglots déchirants, Sont portés par les vents Lorsqu'il appelle sa maman. Alors, miracle de l'Amitié Son désespoir fait pitié, Un autre petit ange- canin Veut le consoler, mais en vain. Mais il en vient, Un autre et un autre encore. Quelle belle miséricorde, Cette entraide au Paradis-Canin. C'est plus fort que chez les humains. Ils sont tous là, pour lui, maintenant, Autour de lui, en lui disant Que toujours il sera présent, Dans le cœur de sa maman Bien évidemment.... Le nouveau venu est apaisé, Par cette démonstration de l'Amitié, Et c'est presque en souriant Qu'il s'endort maintenant, En murmurant "maman"..... |
Déposé par poutounou le 09/10/2022Toi c’est Toi, à jamais en moi… !!! * Toi Esther Granek * Toi c’est un mot Toi c’est une voix Toi c’est tes yeux et c’est ma joie * Toi c’est si beau Toi c’est pour moi Toi c’est bien là et je n’y crois * Toi c’est soleil Toi c’est printemps Toi c’est merveille de chaque instant * Toi c’est présent Toi c’est bonheur Toi c’est arc-en-ciel dans mon cœur * Toi c’est distant… Toi c’est changeant… Toi c’est rêvant et esquivant… * Toi c’est pensant… Toi c’est taisant… Toi c’est tristesse qui me prend… * Toi c’est fini. Fini ? Pourquoi ? Toi c’est le vide dans mes bras… Toi c’est mon soleil qui s’en va… Et moi, je reste, pleurant tout bas. * Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978 |
Déposé par poutounou le 05/10/2022Que c’est bien écrit : « toutes les larmes sont figées, quelque chose y pleure toujours. » * Les pleurs * Poète : René-François Sully Prudhomme (1839-1907) * Recueil : Les solitudes (1869). * J'aime les grottes où la torche Ensanglante une épaisse nuit, Où l'écho fait, de porche en porche, Un grand soupir du moindre bruit. * Les stalactites à la voûte Pendent en pleurs pétrifiés Dont l'humidité, goutte à goutte, Tombe lentement à mes pieds. * Il me semble qu'en ces ténèbres Règne une douloureuse paix ; Et devant ces longs pleurs funèbres Suspendus sans sécher jamais, * Je pense aux âmes affligées Où dorment d'anciennes amours : Toutes les larmes sont figées, Quelque chose y pleure toujours. * René-François Sully Prudhomme. |
Déposé par spanky le 04/10/2022Mourir auprès de mon amour..de Demis Roussos S´il faut mourir un jour Je veux que tu sois là Car c´est ton amour Qui m´aidera A m´en aller vers l´au-delà. Alors, je partirai Sans peur et sans regrets Et dans mon délire Je revivrai toute une vie De souvenirs. Pour traverser le miroir Je ne veux que ton regard Pour mon voyage sans retour Mourir auprès de mon amour Et m´endormir sur ton sourire. Le temps qui nous poursuit Ne peut nous séparer Même après la vie Nos joies passées Pour nos unir à l´infini. Pour traverser le miroir Je ne veux que ton regard Pour mon voyage sans retour Mourir auprès de mon amour Et m´endormir sur ton sourire |
Déposé par spanky le 02/10/2022A vous, meilleur Ami de l’homme Votre corps, à jamais, repose en paix Mais on ne vous oubliera jamais, Grâce à ce magnifique regard qui était là Le soleil dans nos coeurs y entra. Complice d’un frôlement Avec autant d’étonnement, A quoi bon s'inquiéter d'aimer ou d'être aimé Nous avons toujours su que vous, vous nous avez aimé. Vous êtes toujours là près de nous Et, quand nous pensons à vous, Nous rions aux éclats car jamais on oublie le passé Beau, superbe, magnifique même si c’est terminé…. De nos échanges amoureux bien que virtuels L’amour reste présent et éternel, Que dire ! Rien, à part un sourire. Nous sommes là, ne pouvant nous passer de vous Vos aboiements raisonnent encore en nous, Avec vous nos soirées avaient la douceur du Miel Mais hélas vous êtes montés au Ciel. Notre plus grand bonheur à nous serait un jour de vous revoir Pour enfin apaiser notre désespoir, Et une fois de plus apprécier votre regard Vous, merveilleux Amis et rares. Le vide dans nos coeurs Recherche la chaleur, Alors de là-haut, cher « Etre » De votre amour, faites nous renaître... |
Déposé par poutounou le 02/10/2022On ne dit pas assez souvent « je t’aime » ! On devrait le dire sans cesse, le matin, l’après-midi, le soir, la nuit…à son compagnon ou sa compagne, à ses amis (es), à son chien bien sûr ou, tout simplement, à ceux que nous aimons… !!! * Je t’aime * Aucun jour je ne me suis dit Que tu pouvais être mortel. Tu ressembles au Paradis, À tout ce qu'on croit éternel ! Mais, ce soir, j'ai senti, dans l'air Humide d'un parc triste et blême, La terreuse odeur des asters Et du languissant chrysanthème... Quoi ! tu peux mourir ! et je t'aime ! * Poème de l'amour Poèmes de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles |
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