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En hommage à
RUBENS
SETTER-GORDON
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013

Et voilà, tu es parti mon ange
Comme tu étais venu, sans faire de bruit
Maintenant tu gambades au paradis
Tes pattes de velours glissent sur les nuages
J'ai mal, tellement mal,
Tu étais mon meilleur ami
Quand la vie s'acharnait, je venais te voir
Tu posais ta tête contre la mienne
Et tout allait mieux
Tu étais si beau à regarder et si doux à aimer
J'ai tant de beaux souvenirs avec toi
Je sais qu'il fallait te laisser partir
Mon chagrin passera sans doute
Mes souvenirs resteront
Je t'aime fort mon p'tit bouchon, ma puce
Mon poutounou d'amour
Tu dors à jamais paisiblement
Dans un coin de mon coeur

****************

UN AN QUE TU ES PARTI

Cela fait un an que tu es parti pour le paradis, mon Ange. Cela fait un an et j’ai l’impression que c’était hier, mon cœur. Cela fait un an que je t’ai ramené, un « fameux » 4 mars, en fin d’après-midi, chez le vétérinaire pour qu’il t’aide à monter au ciel sans trop de douleur. Je me souviens t’avoir porté dans la voiture car tu étais déjà trop faible pour y aller tout seul. Je me souviens de mes jambes qui tremblaient quand je conduisais, de mon cœur qui tapait très fort, de cette douleur dans ma poitrine, de ma gorge nouée, de ma tête dans la brume. Lorsque nous sommes arrivés chez le vétérinaire, tu es tombé sur les marches qui menaient à son cabinet. Alors je t’ai porté une dernière fois, mon Trésor. Dans la salle d’attente, tu m’as fait une grande léchouille tout le long du visage. C’était ton dernier geste d’amour, un peu comme un adieu. Puis tout est allé très vite : la véto, la seringue, toi endormi sur la table. Un bout de moi est parti avec toi dans ce monde merveilleux où tu gambades à présent. Je suis rentrée chez nous, mais je ne sais plus comment !!! Je t’ai aidé à partir par Amour, mais Dieu que c’était dur. JE T’AIME TANT, Amour de ma vie. Tu étais si beau, si doux, si tendre, si drôle aussi. Tu étais si tout, mon petit bouchon. Un vrai petit Prince qui galopait comme un petit étalon avec un cœur gros comme ça ! Nous avons passé tant de beaux moments ensemble ; j’ai tant d’inoubliables souvenirs… Mon cœur pleure d’avoir perdu un ami comme toi. Je mets ma tête contre ta tête, mon nez dans tes poils, je respire ton odeur, je te fais plein de papouilles, plein de bisouxxx, et une tonne de poutounouxxx. Tu as ta place bien au chaud dans mon cœur et dans mon âme, éternellement. Un jour, Dieu nous réunira et nous nous baladerons ensemble dans les forêts enchantées du Paradis des Anges à 4 pattes…….Coucounouxxx tout plein, mon Trésor…. Je ne t’oublierai jamais……….

******************

2 ANS QUE TU T'EN ES ALLE

Pour tes 2 ans au Paradis blanc, j’ai « composé » ce petit poème pour toi, rien que pour toi, mon doux Mamour :

*******

J’ai rêvé….
*
J’ai rêvé que je me promenais en forêt.
Il y avait une douce brise
Qui faisait chanter les feuilles des arbres.
Mille oiseaux sifflaient leurs plus belles ritournelles.
*
C’était une belle journée de printemps ;
Le soleil caressait ma peau de ses doux rayons ;
On entendait au loin hennir un cheval ;
Dans l’air flottait le doux parfum des genêts.
*
Je marchais d’un pas tranquille et léger.
Devant moi, courait une robe noire et feu ;
De grandes oreilles aux longs poils
Se promenaient et sautillaient dans les airs.
*
Tantôt la truffe en l‘air, tantôt la truffe au sol,
Tes pattes légères semblaient glisser sur l’herbe.
On aurait dit un petit étalon au vent.
Au trot, au galop, cours mon bel Ange.
*
Ce n’était qu’un beau rêve,
Mais je me souviens et me souviens encore
De nos balades, de nos jeux, de nos rires.
Nous nous aimions si fort et c’était le Bonheur.


*************************

3 ans déjà ! Encore un petit poème pour toi "Amour"...

*

De toi, il me reste…
*
Ton regard si tendre,
Ton odeur si douce,
Ta voix si grave, si belle,
Tes léchouilles sur mon nez, dans mes oreilles,
Ta truffe froide dans mon cou,
Nos tête-à-tête quand j’allais mal,
Mes larmes quand tu souffrais,
Mes rires quand tu faisais le pitre,
Nos jeux de baballe à n’en plus finir,
Tes bains de boue ; tu adorais la boue…
Nos belles balades en forêt et au bord de mer,
Il me reste tant de toi… tant d’Amour
A jamais en moi.


***********************************


PETIT CONTE POUR TOI, PARTI IL Y A 4 ANS UN 4 MARS....

*

Il était une fois un « petit étalon » noir et feu.
Tous les jours il s’en allait promener dans les bois.
Qu’il était beau quand il « galopait » sur les chemins,
Ses longs poils soyeux au vent.
Sa maîtresse n’avait d’yeux que pour lui ;
On pouvait y lire tout l’amour qu’elle lui portait,
Et Dieu sait qu’elle l’aimait fort.
Puis un jour « petit étalon » est parti
Courir au-dessus des nuages
Dans d’autres bois, d’autres prairies,
Laissant sa maîtresse seule et désemparée
Avec, pour consolation,
Tous les beaux souvenirs gravés à tout jamais
Dans sa tête et dans son cœur.


***********************************


POUR MON MAGNIFIQUE PRINCE DES ETOILES PARTI IL Y A 5 ANS...

*

Et si tu revenais pour tes 5 ans !!!
*
Et si tu revenais,
Ne serait-ce qu’une fois !!!
Que ferais-je ?
Je te serrerais fort dans mes bras,
Je te couvrirais de baisers,
Tous plus doux les uns que les autres ;
Je me remplirais de ton odeur,
Afin de ne l’oublier jamais ;
Je caresserais ton beau pelage,
Encore et encore…
Je te répèterais cent fois, mille fois,
Combien je t’aime,
Et combien tu me manques.
Si tu revenais
Ne serait-ce qu’une fois…
Je ne te laisserai plus repartir…


***************************************


Petit poème pour tes 6 ans de vie loin de moi… Jamais je ne t’oublierai…!!! Jamais…!!!
*
Quelques mots…
*
Que te dire que je ne t’aie déjà dit ?
Je ne sais pas…je ne sais plus !
Les mots qui me viennent
Sont toujours les mêmes :
Amour, tendresse, douceur
Absence, manque, douleur
Mais une chose est sûre :
« Il y a plus fort que la mort :
C’est le souvenir des absents
Dans la mémoire des vivants ».
Et, jusqu’à mon dernier souffle,
Je me souviendrai de toi
De ta douceur, de ta beauté,
De ton odeur, de ton intelligence
De tout l’amour que tu m’apportais
Jamais, tu m’entends,
Jamais je ne t’oublierai…jamais…!!!


******************************************


7 ans que tu m’as quittée mon trésor. 7 ans, un maudit 4 mars !!! J’aurais aimé que tu restes encore quelques années à mes côtés. Nous étions si bien ensemble. Tous les gens qui ont croisé ta route te trouvaient beau. Mais tu n’étais pas que beau : tu étais très doux, très obéissant et très intelligent aussi. Je ne te dis pas cela parce que tu étais mon chien, mais parce que c’est la vérité. Lorsque nous partions en vacances, on pouvait t’emmener partout avec nous. Quand nous allions au restaurant, tu restais sagement couché à mes pieds. A l’hôtel, tu dormais tranquillement sur ta couche. On louait toujours des maisons avec jardin et bien clôturées pour que tu aies de la place pour gambader et jouer à la baballe. Que de souvenirs, que de souvenirs !!! Tu n’as jamais rien cassé, rien abimé. Tu étais un Amour de chien tout simplement. Alors voilà ! Encore une année de plus sans toi, mon doux Coeur. Heureusement que j’ai ton petit cousin Iron. Il ne te remplacera jamais, mais il me fait des mamours comme toi et il me fait bien rire avec ses pitreries. Tu trouveras ci-dessous un petit poème pour te redire à quel point je t’aime mon poutounou tout doux. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz tout plein et tout partout.



Quelques mots d’Amour…
*
Allongé sur ton beau nuage,
De là-haut, tu me regardes.
Je sens tes yeux remplis d’amour
Me réchauffer tendrement.
*
Je me laisse aller à la rêverie ;
Je me souviens de tous nos doux moments,
Qui laissent une empreinte indélébile
Dans mon petit cœur.
*
Je sais, je me répète !
Mais, les souvenirs, c’est tout ce qu’il me reste
Depuis que ton « corps » a cessé de battre
Et que ton « âme » s’est envolée…
*
Alors oui, je rêve encore et encore
De toi mon doux Amour.
Et les ciels gris se transforment
En arcs-en-ciel éblouissants.


**************************************


8 ans, 8 ans, déjà 8 ans !!!

Quand souffle le vent
Quand tombe la pluie
Quand rayonne le soleil
C'est un signe de toi que tu m'envoies
*
Tu resteras toujours dans ma mémoire
Et je t'aimerai toujours
Tout fort, tout beaucoup
Jamais je ne pourrai t'oublier
*
Toi, mon bel ange
Mon coeur rempli d'Amour
Ma truffe de tendresse
Je t'aime, je t'aime, oui, je t'aime


*******************************************


Pour tes 9 ans loin de moi


Coucou mon « doux cœur », la « prunelle de mes yeux »,

L’année dernière, pour tes 8 ans d’anniversaire de départ, je ne devais pas être en forme du tout. Je t’ai juste déposé un petit poème. Cette année, ça va un peu mieux. J’ai toujours mes problèmes de santé et ça ne va pas en s’arrangeant, mais je suis là pour tes 9 ans, loin de moi…J’aime beaucoup ce site qui me permet de venir te voir tous les jours, de t’envoyer des fleurs, des poèmes, des bougies…9 ans, ça fait 9 ans, et le souvenir de ton dernier jour parmi nous est toujours aussi « vif ». C’est comme si cela était arrivé hier. Le 4 mars 2013 : maudite date, mais aussi un moment « fort », parce que j’ai eu ce courage de te laisser partir. Je t’aimais tant que mettre fin à tes douleurs était la plus belle manière de te dire tout mon amour pour toi, mon Poutounou n’à moi !!! Je n’en menais pas large tu sais. Je tremblais de tous mes membres lorsque je t’ai ramené chez le véto, ce fameux jour là… Mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Si c’était à refaire, je ferais venir le vétérinaire à domicile. Quand le moment sera venu pour Iron, je l’espère, pas tout de suite, et si je suis encore là, je ferai venir le véto à la maison. Ce sera beaucoup moins stressant et pour lui et pour moi. Je regrette de ne l’avoir pas fait pour toi, mon bel étalon ! Je t’ai écrit un petit poème pour « marquer » tes 9 ans de départ pour le Paradis blanc. Je t’embrasse tout tendrement. Plein de petits bisous partout, partout, mon trésor…Je finirai bien par monter aussi tout là-haut. Garde-moi une belle place bien au chaud, à côté de toi de préférence…. Bizzzz ma grosse puce adorée… !!!


Tu es toujours là !
*
Le temps passe :
La pluie de l’automne
Chasse le beau ciel bleu de l’été.
Les bourgeons du printemps
Chassent la neige de l’hiver.
Les saisons se suivent ;
Les mois vont et viennent ;
Et tu es toujours là,
Blotti tout au fond de mon cœur,
Et présent dans un coin de ma tête.
Toujours là, mon bel Ange, toujours là…même 9 ans après !!!
*
Par moi pour toi


*******************************************************************


Comme le temps passe ! 10 ans déjà, 10 ans ma noble âme soeur...!!!



Mon doux mamour !

Et voilà, cela fait 10 ans que tu t’es envolé pour cet autre monde merveilleux. Le vide que tu as laissé a été en partie comblé par Monsieur Iron, setter gordon comme toi. Plus il vieillit, plus il te ressemble. Tu sais à quel point j’adore les câlins, les bisousss, les truffes humides dans le cou, les caresses sur un doux pelage, le nez dans les papattes... Je ne me voyais pas continuer le rude chemin de la vie toute seule. Voilà pourquoi Iron est entré dans ma vie quelques mois seulement après ton départ. Mais il ne t’a pas remplacé, oh non ! Je l’aime aussi fort que toi maintenant, mais tu es Rubens et tu resteras Rubens dans mon cœur pour l’éternité. Tu m’as accompagnée pendant 13 années de ma vie, des années pas toujours faciles. Mais je trouvais près de toi cet Amour si pur, si beau, si droit, si fort comme du cristal qui ne se briserait jamais. Bien souvent, lorsque j’étais à terre, tu m’aidais à me relever. Ton doux regard, ta douce et chaude truffe qui me « poussait » doucement en me disant : « allez courage, continue le combat, je suis là » ! Oui, tu as toujours été là, mon adorable et beau « Prince noir », mon « Poutounou na moi », comme j’aimais à t’appeler. Nous finissons tous par monter au ciel un jour, c’est sûr... Je voudrais que, pour l’occasion, tu me gardes une belle place tout près de toi, si possible. Et la première chose que je ferai en te revoyant, c’est enfoncer mon nez dans les coussinets de tes papattes et sentir ta bonne odeur de biscuits sortis du four. J’étais folle de tes papattes, tu t’en souviens ??? Et ton poitrail aussi avec tes poils si longs et doux. J’adorais y enfouir ma tête. Tu vois, je n’ai rien oublié ! Mais comment pourrais-je oublier un si bel Amour ??? Je t’embrasse tendrement, affectueusement pour tes 10 ans au Paradis blanc. A un de ces jours mon magnifique Prince noir et feu… !!!


Oh toi !!!
*
Toi qui n’es plus là !
10 ans que tu es parti aujourd’hui
10 ans que tu as quitté ma vie
D’aucuns diront : il te reste les souvenirs…!
Oui mais ce n’est pas toi…
J’essaye de me rappeler ta truffe froide dans mon cou
Tes tendres léchouilles sur ma joue
Oui j’essaye mais tout devient flou
Une fois, une fois seulement
Ressentir ton souffle chaud
Mettre mon nez dans tes papattes
Te serrer fort, très fort à t’étouffer
Je voulais juste te dire à quel point je t’aimais
Et que je suis très fière d’avoir passé
Une partie de ma vie à tes côtés, mon doux cœur…


***************************************************************

Coucou mon doux coeur...!!!

Que t’écrire pour tes 11 ans au Paradis blanc ? Je t’ai déjà tout écrit : que tu me manques, que je me souviens de tous nos doux moments passés ensemble, que j’aimerais que tu reviennes, ne serait-ce qu’une fois... Cette nuit, si tu le peux, viens me rejoindre dans un merveilleux rêve sans fin. Prends Iron avec toi. Vous me manquez tellement tous les deux. Je sais, parce que j’y crois, que je vous reverrai un de ces jours. Nous sommes si peu de chose sur terre. Un petit « coup de vent » et hop nous nous envolons vers les cieux. Cela peut arriver ce soir, demain, n’importe quand, n’importe où. Alors à bientôt peut-être mon bel étalon (encore un petit surnom). Une chose est sûre : lorsqu’on a vécu un Amour ou des Amours si beaux, si forts, si purs, on se sent forte, prête à affronter tout et n’importe quoi. Alors, quand le Bon Dieu décidera que mon moment est venu, je m’en irai sereinement, le cœur plein à craquer de beaux sentiments et de cette folle envie de vous revoir tous enfin et de vous serrer fort, tout fort contre mououaaa… !!! Et les larmes coulent…
*
Bizzzzzzzzzz mon trésor,
*
Ta maman Martine

*

Devant ma feuille blanche…
*
Je suis assise devant ma feuille blanche,
A essayer de t’écrire un joli poème
Pour tes 11 ans loin de moi.
La gorge est serrée comme toujours
Lorsque cette fichue date approche.
*
Cette année, Iron est venu te rejoindre.
Lui aussi est parti tout là-haut !
Mais c’est ton jour aujourd’hui !
Alors je vais juste te faire
Un Poutounou…
*
Non, je t’en fais plein et partout,
Je t’étouffe littéralement de bisous :
Un sur la truffe, un sur le front et les joues,
Un énorme sur ton beau poitrail.
Et, pour finir, je mets mon nez dans tes papattes… J’adooore !!!
*
Attends, ne t’en vas pas s’il te plait…
Pas déjà ! Je n’ai pas fini…
J’approche mes lèvres de tes grandes oreilles,
Et je te murmure tendrement,
Tous les petits surnoms que je te donnais.
*
Les voilà :
« Truffinette, Petite crotte, grand gamin,
Loustic, Peste, Bandit, Canaille, Chikoun,
Schtrumpf, Choupinette, Voyou, Petit Diable ».
Et le meilleur pour la fin : « P’tit Cul-Beaux Yeux »,
Parce que tu avais un petit cul et de très beaux yeux.
*
Voilà, mon doux cœur, mon petit poème pour tes 11 ans.
Passe le bonjour à ton cousin Iron…
Vous me manquez tous les deux…
Je n’arriverai jamais à faire mon deuil,
Je vous aimais beaucoup trop pour cela
*
Ta maman de cœur,
Qui ne vous oubliera jamais…





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Déposé par scoubidoo
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qu'importe les paroles, les actes de bienveillance sont supérieurs
Déposé par goulou50
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Une brassée de fleurs avec plein de câlins et de bisous
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Une corbeille de bisous et de papouilles pour toi petit ange, mes amitiés à ta maman
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doux calins joli Rubens
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Plein de bisous et de câlins de la part de ton copain Gipsy.
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tendresse et douces pensées pour toi et ceux qui t'aiment tant le souvenir est la présence invisible
Déposé par rustiditbibi
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Sans l'amitié la vie est un fardeau
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mille merci pour mon petit rocky..bisous
Déposé par amandinejeromee
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bonne journée bel ange
Déposé par jojo46
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FamilleTT.Bonne journée.
Déposé par rafia
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Amitié dans la peine, amitié certaine. Proverbe français
Déposé par Galinette3
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le paradis existe et toi Rubens tu gambades avec tous nos compagnons. nous ne vous oublions pas.
Déposé par mouette
Déposé par mouette
Mille et une caresses sur ta jolie frimousse bel ange
Déposé par myriam31
Déposé par myriam31
Pour toi joli coeur , un bouquet parfumé avec plein de bisous à partager avec maman
Déposé par rafia
Déposé par rafia
La véritable amitié est une seconde parenté. Proverbe de la France
Déposé par sultandu02
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bonne nuit belle ange de gros bisous pour toi
Déposé par scoubidoo
Déposé par scoubidoo
Une seconde a suffi pour t’aimer mais une vie sera trop courte pour t’oublier…
Déposé par Boomer
Déposé par Boomer
Une belle pensée pour toi, cher ami. Merci à ta maman de venir visiter mon Boomer. Amusez vous bien là-haut
Déposé par florence
Déposé par florence
doux bisous pour l'adorable Rubens
Déposé par myriam31
Déposé par myriam31
une averse de bisous, accompagnée de petites gouttes de tendresse, bien affectueusement



 
6858 messages

Déposé par colombine67 le 05/11/2015  
Quand lui n'achève pas son travail,
je me dis, il est paresseux.
Quand moi, je n'achève pas mon travail,
c'est que je suis trop occupé, trop surchargé.
Quand lui parle de quelqu'un,
c'est de la médisance.
Quand je le fais,
c'est de la critique constructive.
Quand lui tient à son point de vue,
c'est un entêté.
Quand moi je tiens à mon point de vue,
c'est de la fermeté.
Quand lui prend du temps pour faire quelque chose,
il est lent.
Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose,
je suis soigneux.
Quand lui est aimable,
il doit avoir une idée derrière la tête.
Quand moi je suis aimable,
je suis vertueux.
Quand lui est rapide pour faire quelque chose,
il bâcle.
Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose,
je suis habile.
Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise,
il s'occupe de ce qui ne le regarde pas.
Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise,
je prends des initiatives.
Quand lui défend ses droits,
c'est un mauvais esprit.
Quand moi je défends mes droits,
je montre du caractère.
Pierre Descouvemont

Déposé par rafia le 04/11/2015  
L'Adieu
J'ai cueilli ce brin de bruyère
L'automne est morte souviens-t'en.
Nous ne nous verrons plus sur terre
Odeur du temps brin de bruyère
Et souviens-toi que je t'attends.
Guillaume Apollinaire
Bien chères amies/chers amis...je vs offre ce quintil...avec toute mon amitié...et avec mes remerciements les plus chaleureux.
Maryem, votre amie

Déposé par poutounou le 04/11/2015  

Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ?
*
Gros cailloux
*
Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière".
Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?".
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".
"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?".
"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)".
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.
*
Anonyme

Déposé par colombine67 le 04/11/2015  
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à me donner des conseils,
je n'ai pas de réponse à ma demande.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela,
je ne me sens pas respecté.
Quand je te demande de m'écouter
et que tu commences à vouloir faire quelque chose pour résoudre mon problème,
je ne me sens pas aidé, aussi étrange que cela puisse paraître.
Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'écoutes.
Non pas que tu parles ou que tu fasses quelque chose :
je te demande simplement de m'écouter.
Les conseils sont bon marché.
Pour deux euros, j'aurai dans le même journal
le courrier du cœur et mon horoscope.
Je veux agir par moi-même, je ne suis pas impuissant,
peut-être un peu découragé ou hésitant,
mais non impotent.
Quand tu fais quelque chose pour moi,
que je peux et ai besoin de faire moi-même,
je me sens dévalorisé et je ne progresse pas.
Mais quand tu acceptes comme un simple fait
que je ressente ce que je ressens (peu importe la rationalité),
je peux arrêter de chercher à te convaincre,
et je peux essayer de commencer à comprendre
ce qu'il y a derrière mes sentiments apparemment irrationnels.
Lorsque je vois clair, les réponses deviennent évidentes
et je n'ai pas besoin de conseil.
Les sentiments qui semblaient irrationnels deviennent intelligibles
quand nous comprenons ce qu'il y a derrière.
Peut-être est-ce pour cela que la prière marche, parfois, car Dieu ne parle pas.
Il ne donne pas de conseils à ceux qui n'en demandent pas.
Il n'essaye pas d'arranger les choses sans se soucier de ma liberté.
Alors, s'il te plaît, écoute-moi.
Et quand tu voudras que je t'écoute, demande-le-moi et je t'écouterai.
Auteur anonyme indien

Déposé par rafia le 03/11/2015  
Si je pouvais être certaine qu'un Paradis existe bien ???
Dédicace à TOUS : Amours-Canins.....félins...et autres.
Dont mes cinq AMOURS/WESTIES.
Sur l'échelle du Ciel, je voudrais monter...
Pas tout en haut, mais un peu quand même,
Pas bien longtemps, mais juste assez,
Pour m'assurer que vs êtes bien arrivés
Je voudrais tendre le cou,
Pour voir si votre nouvelle vie vs plait..???
Me persuader que vs êtes bien entourés,
Mais surtout que la vie est meilleure ici.....
J'observerais tous ces êtres innocents partis d'en bas,
Bien trop tôt,
M'émerveillerais de leurs ailes qui ont poussé,
Depuis qu'ils sont là-haut.
Je voudrais monter sur cette échelle,
Contre mon coeur, vs serrer une dernière fois,
Que vs me disiez, dans un battement d'aile,
"Continue Maman.... ns veillons....
Ns sommes tjrs aussi près de toi"
Avec toute ma bien sincère Amitié.
Maryem, votre amie

Déposé par Biscuit le 03/11/2015  
l'animal, il ne vous abandonne jamais
que vous soyez beau ou laid
roi reine ou simple valet
il sera toujours a vos cotés
quand vos amis seront partis
quand vous vous sentirez trahi
le coeur vide plein de depit
avec cette envie que tout soit fini
il posera sa tete sur vos genoux
il sera là tout près de vous
avec son regard plein de douceur
qui vous rechauffe le coeur
en lui vous pourez avoir confiance
il ne divulguera pas vos confidences
il gardera vos plus lourds secrets
et ne vous trahira jamais
cet etre plus sincère que certain humain
n'est autre qu'un chien
mais chien ou chat ou autre peut importe
avec tout se qu'il nous apporte
partagera nos joies,nos soucis
et nous aimera toute sa vie

Déposé par nikita le 03/11/2015  
Mon RUBENS doux trésor
Le vent souffle calmement sur les rivages
Mon cœur s’envole vers toi au gré des nuages
Tu manques tant à mes bras devenus orphelins
Je voudrais tant me réveiller près de toi chaque matin
La distance qui nous sépare n’est qu’une route
Un pont que je parcours vers toi sans doute
Mais tu manques tant à mon petit cœur
avec toi c'était le bonheur
Aujourd’hui tu me manques tant mon RUBENS tant aimé
que je suis triste à pleurer
Je pense à toi sans cesse
Avec toute ma tendresse
bisous de tendresse sur ta belle truffe d'amour mon joli prince

Déposé par Annie le 03/11/2015  

Cher ami Rubens
Je peux te dire que nous relisons souvent les messages du 21 octobre dernier où le petit couple d'amoureux que tu n'as pas voulu nommer s'est reconnu (éclat de rire) et celui du 28 où ta maman clame si justement la tolérance dont nous sommes adeptes.
Julie te remercie plus particulièrement pour être passé la voir le jour de ce fatal anniversaire que notre maman chérie vit toujours aussi mal malgré le temps qui s'est écoulé. Dans un premier temps ses amis essayaient de la consoler puis ils ont voulu la raisonner alors elle n'en a plus parlé à personne mais depuis que nous demeurons sur Magicland elle a retrouvé des oreilles attentives qui la comprennent.
Puisque tu aimes les amoureux veux-tu venir dimanche prochain partager un moment de liesse et un bon buffet avec nous ? Pour cela tu vas jusqu'à l'allée Shéhérazade et de là tu prends le petit sentier, à côté de la cabane de Cadichon, qui débouche sur le "bosquet aux oiseaux" où nous allons fêter le petit couple d'inséparables ailés que tu connais et quelques-uns de leurs amis.
En espérant te voir toute l'ennéade te fait de bien amicales léchouilles et maman Anne a une gentille pensée pour maman Martine.
Chin & Co


Déposé par choupinou le 03/11/2015  
POÈME POUR LA TOUSSAINT
Je veux écrire de la poésie pour nos petits chiens que l’on a vu mourir
Les morts ne meurent pas, ils vivent au pays des rêves sans plus souffrir
Le jour de La Toussaint, ils reviennent sur terre habiter nos souvenirs
Les amours ont pour nous un message : un jour la vie doit finir
Message spirituel pour La Toussaint pour nos petits coeurs qui manquent à nos vies
Prière de poésie pour nos amours perdus, partis bien trop tôt au pays des rêves
Prière poétique pour un être cher, chaire a notre chaire, dont la vie est en trêve
Mots d’amour en ce jour qui célèbre les morts, où le souvenir à la mort survit
A toi qui as rejoint le Paradis des animaux et des Hommes justes, je veux dédier ce poème
Discours au ciel pour te dire en ce jour saint combien je pense à toi et combien je t’aime
La mort n’est rien quand la vie a été aussi belle, tu vis à travers nos souvenirs de toi
Mourir n’est pas une fin quand la Foi en notre amour te rend si présent sous notre toit
En ce jour de Toussaint, je veux te tenir la patte pour ne plus jamais la lâcher
Tu me manques tellement, je n’ai jamais cessé de t’aimer, un amour pour l’éternité
Je me souviens de tes aboiements qui même dans le désespoir me faisaient espérer
Je me souviens de tes regards et de tes léchouilles, les messages de tes yeux pleins de beauté
Ton décès m’a tellement fait pleurer, je me suis noyé dans des larmes de douleurs
Ton âme est venue me visiter pour me dire de vivre, de ne jamais renoncer au bonheur
Ta mort fut un naufrage, j’ai perdu tous mes repères, j’ai perdu le goût de la douceur
Ta belle âme est venue me visiter pour m’enseigner que tu restes vivant en mon cœur
Texte sur La Toussaint écrit par Hamoudi quelques peu changer pour l'approprier a nos petits anges,

Déposé par colombine67 le 03/11/2015  
Tu ne peux pas retenir le temps.
Il passe.
Il coule entre tes doigts
comme l'eau de la fontaine.
Il glisse dans ta main
comme le sable de la mer.
Tu ne peux rattraper le passé.
Il n'est plus.
Il s'en est allé
comme le couchant d'hier.
Il est disparu
comme un souvenir perdu.
Tu ne peux emprisonner le futur.
Il n'est pas encore.
Il viendra à son heure
comme le levant de demain.
Il te rejoindra
comme la vague qui s'approche du rivage.
Mais tu peux toujours cueillir le présent
comme un beau présent de Dieu.
Ce présent est comme un grand arbre :
il plonge ses profondes racines
dans ton passé tout plein
de souvenir et d'expérience,
comme une sagesse accumulée.
Et il lance ses longues branches
vers ton futur tout plein
de promesse et d'espérance,
comme un projet emballant.
Le présent est fait
de ton passé qui n'est plus
et de ton futur qui n'est pas encore.
Prends le temps qui t'est donné
à chaque instant qui passe.
Cueille-le précieusement
comme l'eau du ruisseau
qui t'est toujours disponible.
Ne gaspille pas ton temps,
c'est un cadeau de Dieu.
Ne passe pas ton temps
à courir après le temps.
Prends ton temps.
Ne dis pas : je n'ai pas le temps.
Dis plutôt : j'ai tout mon temps.
Ne sois pas avare de ton temps.
Donne de ton temps aux autres
comme Dieu te le donne à toi.
Ne cours pas tout le temps,
prends ton temps.
Et laisse au temps
le temps
de faire son temps.
Alors, tu gagneras du temps.
Et tu découvriras
que c'est beau et bon le temps,
que c'est plein de Dieu dedans.
Jules Beaulac

Déposé par rafia le 02/11/2015  
OFFERT A VOS AMOURS CANINS, FELINS ...ET AUTRES.
L'AMOUR SINCERE EST UNIVERSEL.
OFFERT AUSSI A MES CINQ AMOURS/WESTIES.
Pr vs mes amies/amis, toute ma bien sincère amitié.
Sans oublier mes chaleureux remerciements.
Maryem
CONJUGUONS LE VERBE AIMER
En conjuguant le verbe aimer à ts les temps
A l’imparfait, au passé simple ou au présent
Ns ns aimons, conditionnel, indicatif
Au singulier ou au pluriel, au subjonctif !
Au futur simple ou antérieur, je vs aimerai
Toute ma vie, avec souvenir, plus que parfait
En auxiliaire, c’est vs que j’avais choisis
Avoir et être, je vs ai tant chéris
Par votre absence, je suis désarmée.
Passé, présent, ce sont les temps du participe
Impératif, souffrir d’aimer, l’infinitif
Amour, tendresse, partagés, lien sacré,
Durant toutes ces années, ns ns sommes aimés.
Combien la tendresse Canine, vaut la nôtre !
Vs et moi... vs et ns, mes amours/westies, en ayant conjugué
A l’infini ce mot, nous l’avons énoncé,
Je vs l'envoie "là haut" pour toutes ces années,
Vers ce lieu pr moi, inconnu.
Pour d'utopiques retrouvailles.....
Pourtant, je ne demande qu'à y croire.

Déposé par seensouaree le 02/11/2015  
Vous pouvez dire n'importe quelle bêtises à un chien, il vous lancera un regard signifiant " mon Dieu vous avez raison je n'aurai jamais pensé à une telle chose ."
Gros bisous sur ta jolie frimouse.
Bonne semaine à ta maman avec toute mon amitié

Déposé par ovanek le 02/11/2015  
💖 💖 108 💖 💖
**** Vivre ailleurs ****
On peut survivre encore s'il ne reste plus que l'amour d'accord
On peut survivre encore ensemble, nous deux
Et quand on vous écorche qu'on vous ôte l'épaule qui vous supporte
On peut souffrir encore longtemps…. longtemps
C'est quand on n'y croit plus que le ciel vous entends et pardonne
Le temps a ses vertus en somme
Et j'ai trouvé la lumière au plus profond de ses yeux
J'ai pu quitter la terre ferme entre les ailes d'un Ange
Et j'ai trouvé au moment où je n'avais plus d'espoir
Ma religion dans son regard .... Le jour de mon départ
Et on a beau se dire que ce ne sera jamais plus pareil qu'avant
mais quand la force nous abandonne….lentement ….alors avance le temps
Et apprendre à sourire sans trahir nos pensées. Nos désirs
Essayez à nouveau de faire confiance dans ce nouveau monde
Pour finalement s'ouvrir et saisir sa chance
Ohm !! vivre encore…. mais vivre ailleurs.
**** Petit mot du jardin étoilé ****
💖

Déposé par colombine67 le 02/11/2015  
Savoir attendre
Sans vouloir tout comprendre,
Savoir hurler
Sans pour autant se résigner,
Savoir pleurer
Sans pour cela désespérer.
Essayer d’avancer
Pour ne pas retomber,
Essayer d’oublier
Pour ne pas se noyer,
Essayer d’espérer
Pour ne pas se révolter.
Laisser couler son cœur
Comme s’ouvre une fleur,
Laisser sortir son âme
Comme s’élève une flamme,
Laisser renaître la vie
Comme pousse l’épi.
Regarder l’horizon
Pour une autre ascension,
Attendre un navire
Pour un nouvel avenir,
Guetter l’Espérance
Pour une autre naissance.
Elisabeth Lafont

Déposé par lili2248 le 01/11/2015  
Mon chien *****
À mes côtés tu te tiens
Toute ta vie durant
Remplis de fidélité et d’amour
Que je ne mérite pas
Mais si tu savais comme je t’aime mon ami
Tu me consoles de mes peines
Et me soignes de mes maladies
Tu poses ton doux regard sur moi
Pour une caresse
Car Pauvre ou riche
Beau ou laid
Heureux ou triste
Tu m’aimes comme je suis
Tu portes en toi tout l’amour du monde
Toujours là pour moi
Toi mon compagnon, et mon meilleur ami
Tu es dans mon cœur pour la vie
Car le paradis n’existe pas sans toi à mes côtés
Mon chien

Déposé par rafia le 01/11/2015  
Toussaint
Bouquet blanc dans le cimetière,
Rose rouge dans les oeillets blancs,
Bouquet d'amour taché de sang.
Rose rouge, ou poignard vibrant,
Enfant tombeau, Maman de pierre,
Petit berceau de marbre blanc.
Rose rouge, mon coeur, griffant,
Larmes cachées, séchées au vent,
Bouquet blanc dans le cimetière,
Rouge baiser
Sur masque blanc.
Jacques Prévost ,

Déposé par mindy le 01/11/2015  
Nos absents nous accompagnent
de
Yves Duteil
Où s’en vont ceux qui nous manquent ?
Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?
Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire : « Je veille sur vous » ?
Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux.
Nos absents nous accompagnent.
On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire conforté.
Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes.
Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant leurs yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole.
Peut-être ont-il besoin, eux aussi, de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ?
Le chagrin n’est que le revers de l’amour.
Mais c’est encore de l’amour.
Qu’il serait « triste de n’être plus tristes sans eux… ».
Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison.
Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement.
C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter ou se perdre dans leur sourire.
Il y a un peu d’infini dans cet amour-là.
Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches comme en apesanteur…
Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers « Ailleurs » ?
Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés.
Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ?
Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un « après », un moyen de poursuivre la route ensemble.
L’absence n’est pas qu’un vide.
C’est aussi de l’amour qui nous accompagne.
Servir encore, être utile à quelqu’un…
Un beau destin pour nos absents.

Déposé par colombine67 le 01/11/2015  
Nos absents nous accompagnent
de
Yves Duteil
Où s’en vont ceux qui nous manquent ?
Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ?
Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire : « Je veille sur vous » ?
Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux.
Nos absents nous accompagnent.
On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire conforté.
Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes.
Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant leurs yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole.
Peut-être ont-il besoin, eux aussi, de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ?
Le chagrin n’est que le revers de l’amour.
Mais c’est encore de l’amour.
Qu’il serait « triste de n’être plus tristes sans eux… ».
Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison.
Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement.
C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter ou se perdre dans leur sourire.
Il y a un peu d’infini dans cet amour-là.
Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches comme en apesanteur…
Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers « Ailleurs » ?
Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés.
Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ?
Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un « après », un moyen de poursuivre la route ensemble.
L’absence n’est pas qu’un vide.
C’est aussi de l’amour qui nous accompagne.
Servir encore, être utile à quelqu’un…
Un beau destin pour nos absents.

Déposé par rafia le 31/10/2015  
Quelques lignes, sans prétention, afin d'honorer, en nostalgique jour de TOUSSAINT, la mémoire de nos anges canins, félins et...autres, adorés.
Petits anges,
Si loin de nos coeurs
Vs devez avoir peur.
Peur d'être oubliés
Et de n'être plus jamais aimés.
Mais comment chasser de notre coeur
Vos facéties, ces tendres bonheurs
Que vs ns avez donnés,
Tout au long de votre courte vie
Et à chacun de nos câlins ???
Petits anges partis
Mais restant à jamais dans nos vies,
Chaque jours décomptés
Ns aident à ns rapprocher.
Faut-il y croire ???
Ou bien est-ce une légende ???
Alors, si loin de vs,
La vie devient floue.....
Pr ns rassurer,
Faites-ns un petit signe, pr apaiser notre peine.
Le temps passe vite, mais l'amour que ns avons pour vs
Restera à jamais gravé,
Dans nos coeur et dans nos pensées
Pour mes Amours/Westies, mais aussi pour tous les Anges leurs AMIS/AMIES,
et leur chère famille.
Avec toute mon amitié.
Maryem, votre amie..qui ne vs oublie pas.

Déposé par poutounou le 31/10/2015  
Pour la Toussaint et la fête des morts, un tendre poème sur une « belle dame », fidèle à son amour comme nous le sommes à nos anges….
*
Une ombre qui passe...
*
Toute de noir vêtue et sa canne à la main,
Elle avance à pas lents dans la petite allée
En serrant sur son coeur cette fleur d'azalée
Qu'elle va déposer juste au bout du chemin.
*
Qui pourrait maintenant dire quel est son âge?
Elle vient chaque jour retrouver un moment
Celui dont le départ a causé son tourment.
La douleur a creusé les traits de son visage.
*
Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas,
dans le calme apaisant du petit cimetière,
Qu'elle adresse au seigneur une ardente prière
Pour aller au plus tôt le rejoindre là-bas.
*
Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite :
C'est le jour de l'année où chacun se souvient
Qu'un être cher repose en la tombe qu'il vient
Couvrir de belles fleurs, comme pour une fête.
*
Présence inopportune où sombre sa douleur,
Elle ne peut ce soir, comme à son habitude,
partager un instant de tendre solitude
Avec celui qui fut sa source de bonheur.
*
Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe,
En essuyant un pleur du revers de la main.
Elle sera fidèle au rendez-vous demain,
Lorsque les visiteurs auront quitté la place.




L'Album photo contient 32 photos
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En Bretagne dans une flaque d'eau. Tu aimais l'eau mais pas les vagues...
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Tu viens ! On joue...
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Tu étais beau comme un coeur !
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P'tite tête dans les sapins !
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Sieste dans le jardin...
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Quel doux regard !
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Dodo mon mamour à moi...
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