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En hommage à
RUBENS
SETTER-GORDON
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013

Et voilà, tu es parti mon ange
Comme tu étais venu, sans faire de bruit
Maintenant tu gambades au paradis
Tes pattes de velours glissent sur les nuages
J'ai mal, tellement mal,
Tu étais mon meilleur ami
Quand la vie s'acharnait, je venais te voir
Tu posais ta tête contre la mienne
Et tout allait mieux
Tu étais si beau à regarder et si doux à aimer
J'ai tant de beaux souvenirs avec toi
Je sais qu'il fallait te laisser partir
Mon chagrin passera sans doute
Mes souvenirs resteront
Je t'aime fort mon p'tit bouchon, ma puce
Mon poutounou d'amour
Tu dors à jamais paisiblement
Dans un coin de mon coeur

****************

UN AN QUE TU ES PARTI

Cela fait un an que tu es parti pour le paradis, mon Ange. Cela fait un an et j’ai l’impression que c’était hier, mon cœur. Cela fait un an que je t’ai ramené, un « fameux » 4 mars, en fin d’après-midi, chez le vétérinaire pour qu’il t’aide à monter au ciel sans trop de douleur. Je me souviens t’avoir porté dans la voiture car tu étais déjà trop faible pour y aller tout seul. Je me souviens de mes jambes qui tremblaient quand je conduisais, de mon cœur qui tapait très fort, de cette douleur dans ma poitrine, de ma gorge nouée, de ma tête dans la brume. Lorsque nous sommes arrivés chez le vétérinaire, tu es tombé sur les marches qui menaient à son cabinet. Alors je t’ai porté une dernière fois, mon Trésor. Dans la salle d’attente, tu m’as fait une grande léchouille tout le long du visage. C’était ton dernier geste d’amour, un peu comme un adieu. Puis tout est allé très vite : la véto, la seringue, toi endormi sur la table. Un bout de moi est parti avec toi dans ce monde merveilleux où tu gambades à présent. Je suis rentrée chez nous, mais je ne sais plus comment !!! Je t’ai aidé à partir par Amour, mais Dieu que c’était dur. JE T’AIME TANT, Amour de ma vie. Tu étais si beau, si doux, si tendre, si drôle aussi. Tu étais si tout, mon petit bouchon. Un vrai petit Prince qui galopait comme un petit étalon avec un cœur gros comme ça ! Nous avons passé tant de beaux moments ensemble ; j’ai tant d’inoubliables souvenirs… Mon cœur pleure d’avoir perdu un ami comme toi. Je mets ma tête contre ta tête, mon nez dans tes poils, je respire ton odeur, je te fais plein de papouilles, plein de bisouxxx, et une tonne de poutounouxxx. Tu as ta place bien au chaud dans mon cœur et dans mon âme, éternellement. Un jour, Dieu nous réunira et nous nous baladerons ensemble dans les forêts enchantées du Paradis des Anges à 4 pattes…….Coucounouxxx tout plein, mon Trésor…. Je ne t’oublierai jamais……….

******************

2 ANS QUE TU T'EN ES ALLE

Pour tes 2 ans au Paradis blanc, j’ai « composé » ce petit poème pour toi, rien que pour toi, mon doux Mamour :

*******

J’ai rêvé….
*
J’ai rêvé que je me promenais en forêt.
Il y avait une douce brise
Qui faisait chanter les feuilles des arbres.
Mille oiseaux sifflaient leurs plus belles ritournelles.
*
C’était une belle journée de printemps ;
Le soleil caressait ma peau de ses doux rayons ;
On entendait au loin hennir un cheval ;
Dans l’air flottait le doux parfum des genêts.
*
Je marchais d’un pas tranquille et léger.
Devant moi, courait une robe noire et feu ;
De grandes oreilles aux longs poils
Se promenaient et sautillaient dans les airs.
*
Tantôt la truffe en l‘air, tantôt la truffe au sol,
Tes pattes légères semblaient glisser sur l’herbe.
On aurait dit un petit étalon au vent.
Au trot, au galop, cours mon bel Ange.
*
Ce n’était qu’un beau rêve,
Mais je me souviens et me souviens encore
De nos balades, de nos jeux, de nos rires.
Nous nous aimions si fort et c’était le Bonheur.


*************************

3 ans déjà ! Encore un petit poème pour toi "Amour"...

*

De toi, il me reste…
*
Ton regard si tendre,
Ton odeur si douce,
Ta voix si grave, si belle,
Tes léchouilles sur mon nez, dans mes oreilles,
Ta truffe froide dans mon cou,
Nos tête-à-tête quand j’allais mal,
Mes larmes quand tu souffrais,
Mes rires quand tu faisais le pitre,
Nos jeux de baballe à n’en plus finir,
Tes bains de boue ; tu adorais la boue…
Nos belles balades en forêt et au bord de mer,
Il me reste tant de toi… tant d’Amour
A jamais en moi.


***********************************


PETIT CONTE POUR TOI, PARTI IL Y A 4 ANS UN 4 MARS....

*

Il était une fois un « petit étalon » noir et feu.
Tous les jours il s’en allait promener dans les bois.
Qu’il était beau quand il « galopait » sur les chemins,
Ses longs poils soyeux au vent.
Sa maîtresse n’avait d’yeux que pour lui ;
On pouvait y lire tout l’amour qu’elle lui portait,
Et Dieu sait qu’elle l’aimait fort.
Puis un jour « petit étalon » est parti
Courir au-dessus des nuages
Dans d’autres bois, d’autres prairies,
Laissant sa maîtresse seule et désemparée
Avec, pour consolation,
Tous les beaux souvenirs gravés à tout jamais
Dans sa tête et dans son cœur.


***********************************


POUR MON MAGNIFIQUE PRINCE DES ETOILES PARTI IL Y A 5 ANS...

*

Et si tu revenais pour tes 5 ans !!!
*
Et si tu revenais,
Ne serait-ce qu’une fois !!!
Que ferais-je ?
Je te serrerais fort dans mes bras,
Je te couvrirais de baisers,
Tous plus doux les uns que les autres ;
Je me remplirais de ton odeur,
Afin de ne l’oublier jamais ;
Je caresserais ton beau pelage,
Encore et encore…
Je te répèterais cent fois, mille fois,
Combien je t’aime,
Et combien tu me manques.
Si tu revenais
Ne serait-ce qu’une fois…
Je ne te laisserai plus repartir…


***************************************


Petit poème pour tes 6 ans de vie loin de moi… Jamais je ne t’oublierai…!!! Jamais…!!!
*
Quelques mots…
*
Que te dire que je ne t’aie déjà dit ?
Je ne sais pas…je ne sais plus !
Les mots qui me viennent
Sont toujours les mêmes :
Amour, tendresse, douceur
Absence, manque, douleur
Mais une chose est sûre :
« Il y a plus fort que la mort :
C’est le souvenir des absents
Dans la mémoire des vivants ».
Et, jusqu’à mon dernier souffle,
Je me souviendrai de toi
De ta douceur, de ta beauté,
De ton odeur, de ton intelligence
De tout l’amour que tu m’apportais
Jamais, tu m’entends,
Jamais je ne t’oublierai…jamais…!!!


******************************************


7 ans que tu m’as quittée mon trésor. 7 ans, un maudit 4 mars !!! J’aurais aimé que tu restes encore quelques années à mes côtés. Nous étions si bien ensemble. Tous les gens qui ont croisé ta route te trouvaient beau. Mais tu n’étais pas que beau : tu étais très doux, très obéissant et très intelligent aussi. Je ne te dis pas cela parce que tu étais mon chien, mais parce que c’est la vérité. Lorsque nous partions en vacances, on pouvait t’emmener partout avec nous. Quand nous allions au restaurant, tu restais sagement couché à mes pieds. A l’hôtel, tu dormais tranquillement sur ta couche. On louait toujours des maisons avec jardin et bien clôturées pour que tu aies de la place pour gambader et jouer à la baballe. Que de souvenirs, que de souvenirs !!! Tu n’as jamais rien cassé, rien abimé. Tu étais un Amour de chien tout simplement. Alors voilà ! Encore une année de plus sans toi, mon doux Coeur. Heureusement que j’ai ton petit cousin Iron. Il ne te remplacera jamais, mais il me fait des mamours comme toi et il me fait bien rire avec ses pitreries. Tu trouveras ci-dessous un petit poème pour te redire à quel point je t’aime mon poutounou tout doux. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz tout plein et tout partout.



Quelques mots d’Amour…
*
Allongé sur ton beau nuage,
De là-haut, tu me regardes.
Je sens tes yeux remplis d’amour
Me réchauffer tendrement.
*
Je me laisse aller à la rêverie ;
Je me souviens de tous nos doux moments,
Qui laissent une empreinte indélébile
Dans mon petit cœur.
*
Je sais, je me répète !
Mais, les souvenirs, c’est tout ce qu’il me reste
Depuis que ton « corps » a cessé de battre
Et que ton « âme » s’est envolée…
*
Alors oui, je rêve encore et encore
De toi mon doux Amour.
Et les ciels gris se transforment
En arcs-en-ciel éblouissants.


**************************************


8 ans, 8 ans, déjà 8 ans !!!

Quand souffle le vent
Quand tombe la pluie
Quand rayonne le soleil
C'est un signe de toi que tu m'envoies
*
Tu resteras toujours dans ma mémoire
Et je t'aimerai toujours
Tout fort, tout beaucoup
Jamais je ne pourrai t'oublier
*
Toi, mon bel ange
Mon coeur rempli d'Amour
Ma truffe de tendresse
Je t'aime, je t'aime, oui, je t'aime


*******************************************


Pour tes 9 ans loin de moi


Coucou mon « doux cœur », la « prunelle de mes yeux »,

L’année dernière, pour tes 8 ans d’anniversaire de départ, je ne devais pas être en forme du tout. Je t’ai juste déposé un petit poème. Cette année, ça va un peu mieux. J’ai toujours mes problèmes de santé et ça ne va pas en s’arrangeant, mais je suis là pour tes 9 ans, loin de moi…J’aime beaucoup ce site qui me permet de venir te voir tous les jours, de t’envoyer des fleurs, des poèmes, des bougies…9 ans, ça fait 9 ans, et le souvenir de ton dernier jour parmi nous est toujours aussi « vif ». C’est comme si cela était arrivé hier. Le 4 mars 2013 : maudite date, mais aussi un moment « fort », parce que j’ai eu ce courage de te laisser partir. Je t’aimais tant que mettre fin à tes douleurs était la plus belle manière de te dire tout mon amour pour toi, mon Poutounou n’à moi !!! Je n’en menais pas large tu sais. Je tremblais de tous mes membres lorsque je t’ai ramené chez le véto, ce fameux jour là… Mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Si c’était à refaire, je ferais venir le vétérinaire à domicile. Quand le moment sera venu pour Iron, je l’espère, pas tout de suite, et si je suis encore là, je ferai venir le véto à la maison. Ce sera beaucoup moins stressant et pour lui et pour moi. Je regrette de ne l’avoir pas fait pour toi, mon bel étalon ! Je t’ai écrit un petit poème pour « marquer » tes 9 ans de départ pour le Paradis blanc. Je t’embrasse tout tendrement. Plein de petits bisous partout, partout, mon trésor…Je finirai bien par monter aussi tout là-haut. Garde-moi une belle place bien au chaud, à côté de toi de préférence…. Bizzzz ma grosse puce adorée… !!!


Tu es toujours là !
*
Le temps passe :
La pluie de l’automne
Chasse le beau ciel bleu de l’été.
Les bourgeons du printemps
Chassent la neige de l’hiver.
Les saisons se suivent ;
Les mois vont et viennent ;
Et tu es toujours là,
Blotti tout au fond de mon cœur,
Et présent dans un coin de ma tête.
Toujours là, mon bel Ange, toujours là…même 9 ans après !!!
*
Par moi pour toi


*******************************************************************


Comme le temps passe ! 10 ans déjà, 10 ans ma noble âme soeur...!!!



Mon doux mamour !

Et voilà, cela fait 10 ans que tu t’es envolé pour cet autre monde merveilleux. Le vide que tu as laissé a été en partie comblé par Monsieur Iron, setter gordon comme toi. Plus il vieillit, plus il te ressemble. Tu sais à quel point j’adore les câlins, les bisousss, les truffes humides dans le cou, les caresses sur un doux pelage, le nez dans les papattes... Je ne me voyais pas continuer le rude chemin de la vie toute seule. Voilà pourquoi Iron est entré dans ma vie quelques mois seulement après ton départ. Mais il ne t’a pas remplacé, oh non ! Je l’aime aussi fort que toi maintenant, mais tu es Rubens et tu resteras Rubens dans mon cœur pour l’éternité. Tu m’as accompagnée pendant 13 années de ma vie, des années pas toujours faciles. Mais je trouvais près de toi cet Amour si pur, si beau, si droit, si fort comme du cristal qui ne se briserait jamais. Bien souvent, lorsque j’étais à terre, tu m’aidais à me relever. Ton doux regard, ta douce et chaude truffe qui me « poussait » doucement en me disant : « allez courage, continue le combat, je suis là » ! Oui, tu as toujours été là, mon adorable et beau « Prince noir », mon « Poutounou na moi », comme j’aimais à t’appeler. Nous finissons tous par monter au ciel un jour, c’est sûr... Je voudrais que, pour l’occasion, tu me gardes une belle place tout près de toi, si possible. Et la première chose que je ferai en te revoyant, c’est enfoncer mon nez dans les coussinets de tes papattes et sentir ta bonne odeur de biscuits sortis du four. J’étais folle de tes papattes, tu t’en souviens ??? Et ton poitrail aussi avec tes poils si longs et doux. J’adorais y enfouir ma tête. Tu vois, je n’ai rien oublié ! Mais comment pourrais-je oublier un si bel Amour ??? Je t’embrasse tendrement, affectueusement pour tes 10 ans au Paradis blanc. A un de ces jours mon magnifique Prince noir et feu… !!!


Oh toi !!!
*
Toi qui n’es plus là !
10 ans que tu es parti aujourd’hui
10 ans que tu as quitté ma vie
D’aucuns diront : il te reste les souvenirs…!
Oui mais ce n’est pas toi…
J’essaye de me rappeler ta truffe froide dans mon cou
Tes tendres léchouilles sur ma joue
Oui j’essaye mais tout devient flou
Une fois, une fois seulement
Ressentir ton souffle chaud
Mettre mon nez dans tes papattes
Te serrer fort, très fort à t’étouffer
Je voulais juste te dire à quel point je t’aimais
Et que je suis très fière d’avoir passé
Une partie de ma vie à tes côtés, mon doux cœur…


***************************************************************

Coucou mon doux coeur...!!!

Que t’écrire pour tes 11 ans au Paradis blanc ? Je t’ai déjà tout écrit : que tu me manques, que je me souviens de tous nos doux moments passés ensemble, que j’aimerais que tu reviennes, ne serait-ce qu’une fois... Cette nuit, si tu le peux, viens me rejoindre dans un merveilleux rêve sans fin. Prends Iron avec toi. Vous me manquez tellement tous les deux. Je sais, parce que j’y crois, que je vous reverrai un de ces jours. Nous sommes si peu de chose sur terre. Un petit « coup de vent » et hop nous nous envolons vers les cieux. Cela peut arriver ce soir, demain, n’importe quand, n’importe où. Alors à bientôt peut-être mon bel étalon (encore un petit surnom). Une chose est sûre : lorsqu’on a vécu un Amour ou des Amours si beaux, si forts, si purs, on se sent forte, prête à affronter tout et n’importe quoi. Alors, quand le Bon Dieu décidera que mon moment est venu, je m’en irai sereinement, le cœur plein à craquer de beaux sentiments et de cette folle envie de vous revoir tous enfin et de vous serrer fort, tout fort contre mououaaa… !!! Et les larmes coulent…
*
Bizzzzzzzzzz mon trésor,
*
Ta maman Martine

*

Devant ma feuille blanche…
*
Je suis assise devant ma feuille blanche,
A essayer de t’écrire un joli poème
Pour tes 11 ans loin de moi.
La gorge est serrée comme toujours
Lorsque cette fichue date approche.
*
Cette année, Iron est venu te rejoindre.
Lui aussi est parti tout là-haut !
Mais c’est ton jour aujourd’hui !
Alors je vais juste te faire
Un Poutounou…
*
Non, je t’en fais plein et partout,
Je t’étouffe littéralement de bisous :
Un sur la truffe, un sur le front et les joues,
Un énorme sur ton beau poitrail.
Et, pour finir, je mets mon nez dans tes papattes… J’adooore !!!
*
Attends, ne t’en vas pas s’il te plait…
Pas déjà ! Je n’ai pas fini…
J’approche mes lèvres de tes grandes oreilles,
Et je te murmure tendrement,
Tous les petits surnoms que je te donnais.
*
Les voilà :
« Truffinette, Petite crotte, grand gamin,
Loustic, Peste, Bandit, Canaille, Chikoun,
Schtrumpf, Choupinette, Voyou, Petit Diable ».
Et le meilleur pour la fin : « P’tit Cul-Beaux Yeux »,
Parce que tu avais un petit cul et de très beaux yeux.
*
Voilà, mon doux cœur, mon petit poème pour tes 11 ans.
Passe le bonjour à ton cousin Iron…
Vous me manquez tous les deux…
Je n’arriverai jamais à faire mon deuil,
Je vous aimais beaucoup trop pour cela
*
Ta maman de cœur,
Qui ne vous oubliera jamais…





93 bougies

11727 Fleurs
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6928 messages

Déposé par viana67 le 24/05/2014  

Pour fêter sa maman chérie, votre ange vous envoie ce petit message d’amour :
« J'ai de toi une image
Qui ne vit qu'en mon cœur.
Là, tes traits sont si purs
Que tu n'as aucun âge.
Là, tu peux me parler
Sans remuer les lèvres,
Tu peux me regarder
Sans ouvrir les paupières.
Et lorsque le malheur
M'attend sur le chemin,
Je le sais par ton cœur
Qui bat contre le mien. »
Maurice Carême (1899 - 1976)
Bonne fête des mères

Déposé par rafia le 23/05/2014  
«  Va la chercher!  » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette
L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : «  Va la chercher!  »
LISA FITTERMAN
Deux jeunes soeurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle. De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées.
Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière. Et ses festons de glace.
Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau. Puis il se produit un craquement sourd.
Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance. Il n’est pas prêt à rentrer à la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller.
Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc. Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. C’est alors qu’ils entendent des cris.
Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là.
« On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! » Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! » L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. « Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. »
Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non. À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface. Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace. Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté.
« Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. »
Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? »
Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets. Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé.
« Les filles sont à l’eau !
— Dans une mare ?
— Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. »
Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur. Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête.
Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette.
« De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté.
Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam  chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre.
Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même.
Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge.
L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés.
Que faire ?
La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente.
Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ?
« Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. »
Le chien est leur dernière chance.
« Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse.
Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait.
« Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! »
Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon.
« Tiens bon, dit-il. Tiens bon. »
Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil.
Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre. Rocky et Adam encadrent
Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer.
« C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra.
Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge.
« Maman, j’ai failli mourir. »
Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue.
Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle.

Déposé par CHIPIE66 le 23/05/2014  
Nous préparons notre avenir mais rarement notre voyage pour l'éternité.
Ce qui est tout a fait compréhensible me direz-vous.
Nous y réfléchissons bien sûr mais intérieurement nous pensons,
Que le plus tard sera le mieux et pourtant,
Nous savons qu'un moment donné cet instant arrivera.
Nous ne pourrons y échapper car celui-ci sera furtif et imprévu.
Pourquoi écrire sur ce sujet et bien...
En peu de temps j'ai eu près de moi des personnes proches
Qui sont parties pour ce voyage inédit.
Ceci est loin d'être facile car cette situation comporte de la souffrance.
Leurs yeux se sont fermés pour l'éternité et une autre destination.
Elles sont hors de notre portée et,
Ce qui est douloureux c'est de ne pas savoir où elles sont.
Et paradoxalement nous avons des témoignages qui nous disent,
Qu'elles sont juste de l'autre côté de la route
Alors vous me direz, c'est facile à dire mais difficile à imaginer.
Nous savons que notre voyage terrestre est temporaire.
Que nous sommes ici bas pour une raison bien précise.
Nous sommes là pour grandir et évoluer.
Nous ne pouvons imaginer justement que ce voyage s'arrêtera complètement sans rien après.
C'est impossible et ceci n'aurait aucun sens.
Je vais vous dire comment je vois ce voyage intemporel.
Pour ma part moi qui crois aux anges depuis mon enfance.
Je sais que je les retrouverai comme tous ceux que j'ai aimé inconditionnellement.
Pour moi c'est une destination vers l'amour empreinte de douceur et de tendresse infinie.
Evidemment quand une personne proche quitte le plan terrestre.
La souffrance est immense car nous ne la verrons plus.
Son absence physique nous manquera beaucoup.
Et pourtant notre énergie Divine la rejoindra à travers les rêves que nous ferons.
La musique que nous écouterons nous la rappellera.
Elle sera là d'une autre façon.
Ce que les yeux ne voient pas le coeur peut le ressentir.
Elles nous rejoindrons à travers notre âme.
C'est ainsi que nous commencerons notre voyage.
Tout simplement en imaginant que nos proches sont juste de l'autre côté de la route.
Avant de partir faire ce voyage pour l'éternité.
Faisons de celui-ci un voyage extraordinaire.
Qu'il soit fait d'amour et des plus beaux sentiments qui existent.
Et le moment venu nous serons prêt pour ce voyage vers l'éternité.
Mais le plus tard possible...
************
Caresses à RUBENS ....
Prenez bien soin de vous.
Amitié.
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Déposé par rafia le 22/05/2014  
Publié par Alpharococo in Chiens
Tags11 septembre 2001, héros canin
Michael Hingson était à son bureau du 78e étage de la tour nord du World Trade Center le matin du 11 septembre 2001. Il a survécu pour raconter son histoire grâce à son chien guide, Roselle. La labrador blonde a calmement guidé son maitre non-voyant parcourant les 1463 pieds les séparant de la sortie de l’édifice et alors que débris et poussière tombait sur eux, elle trouva une station de métro, assurant leur sécurité.
Roselle est décédée en juin 2011 à l’âge de 13 ans mais sont héroïsme vivra à jamais. "Elle m’a sauvé la vie" écrivit Hingson sur le site de l’American Humane Association. Juste comme ils sortaient du building le jour du 11 septembre, la tour sud s’effondrait. "Pendant que tout le monde paniquait, Roselle est demeurée complètement concentrée sur son travail" mentionna Hingson.
11 ans après ces tragiques attentats, j’aimerais souligner et saluer le courage dont Roselle a fait preuve.

Déposé par monkillou le 22/05/2014  
Ah si j'étais!
Si j'étais un papillon et TOI une fleur,
Je passerai ma vie à butiner ton coeur!
Si j'étais un ange gardien,
Ce serait le tien...
Si j'étais un oiseau et que je savais voler,
Je viendrai sur ton front y déposer un baiser!
Si j'étais un son,
Ce serait celui de nos coeurs à l'unisson...
Si j'étais plus près de toi,
Nul doute que je te chérirai plus d'une fois!
Et même si je suis loin de toi, mon plus grand malheur,
N'oublie pas ce que l'on dit : loin des yeux près du coeur...
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En retour ce poème pour votre Rubens et pour vous-même...
Merci à vous, pour votre délicate attention et votre générosité!
Caresses virtuelles à votre magnifique étoile et d'autres également à votre Iron (en espérant qu'il aille bien).
Sincères amitiés

Déposé par rafia le 21/05/2014  
Les golden retriever, héros du World Trade Center
Bear, un golden retriever, s'est illustré après les attentats du 11 septembre 2001, accompagné de plus de 300 de ses congénères. Tout comme April Moon, une jolie golden retriever de deux ans, qui sauve Marie, non-voyante : Marie reçoit April Moon le jour-même des attentats ; son chien-guide la conduira à travers 51 étages. Le calvaire dure près d'une heure, et Marie sortira indemne du World Trade Center peu avant que ses bâtiments s'effondrent.
Les autres races canines s'illustrent également : un doberman a retrouvé un enfant d'un an et demi qui s'était égaré en campagne lors d'un mariage dans un hôtel, un border collie a localisé un ouvrier au fond d'une tranchée de plusieurs mètres qui s'était effondrée, un berger allemand a retrouvé une victime suite à une explosion... La liste est longue et non exhaustive.
Nombreux sont les animaux qui resteront anonymes en dépit d'une brillante carrière. De nombreux organismes leur rendent fréquemment hommage, soyez attentif !

Déposé par rafia le 20/05/2014  
L'amitié et l'ami
La réelle amitié d'un ami est sacrée,
Un merveilleux trésor qu'il faut protéger.
On peut se passer de l'amour,
Mais l'amitié il en faut toujours.
À qui confier nos joies, nos chagrins ?
Si ce n'est à un ami, tel un frangin.
Il est agréable de se sentir indispensable,
Quand lui vit des problèmes semblables.
L'amitié c'est beau, mais tellement rare,
Que la vie parfois ainsi nous sépare.
On oubliera jamais le véritable ami,
À qui on s'est confié sur sa vie.
Mais on oubliera bien plus vite,
Ces faux amis qui autour de nous gravitent.
Maxalexis.,
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Pas encore familiarisé avec les messages joints aux bouquets.
Je fais de mon mieux.
Espérant que ce soit positif.
Très respectueusement.
Maël S-M

Déposé par rafia le 19/05/2014  
Ecoute moi
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Accorde-moi seulement quelques instants,
Accepte ce que je vis, ce que je sens,
Sans réticence, sans jugement.
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Ne me bombarde pas de conseils et d'idées,
Ne te crois pas obligé de règler mes difficultés.
Manquerais-tu de confiance en mes capacités ?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser,
Je croirais que tu ne comprends pas
L'importance de ce que je vis en moi
Écoute-moi, s"il te plaît, j'ai besoin de parler.
Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas.
Voudrais-tu que ta moralité
Me fasse crouler de culpabilité ?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne te crois pas non plus obligé d'approuver
Si j'ai besoin de me raconter
C'est simplement pour être libéré
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser
Je me sentirais incompris et manipulé
Et je ne pourrais plus rien te communiquer
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Ne m'interromps pas pour me questionner,
N'essaie pas de forcer mon domaine caché.
Je sais jusqu'où je peux et veux aller
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Respecte les silences qui me font cheminer.
Gardes-toi bien de les briser,
C'est par eux bien souvent que je suis éclairé.
Alors maintenant que tu m'as bien écouté
Je t'en prie, tu peux parler
Avec tendresse et disponibilité
À mon tour, je t'écouterai
Jacques Salomé
,

Déposé par bouffie le 19/05/2014  
pour toi gentil Rubens
Mon ami mon chien, l'amitié sans toi, ce n'est rien,
Mon ami mon chien, qui pourrait m'aimer aussi bien?
Toi qui sais donner, et ne demander jamais rien
C'est la première fois, tu sais, que tu me fais du chagrin
Mon ami mon chien, pourquoi es tu mort ce matin?
Je ne peux pas croire que je ne vais plus te revoir
Toi et tes beaux yeux qui me comprenaient tellement bien
C'est la première fois, tu sais, que tu me fais du chagrin
A toi je pouvais tout dire
Tu avais l'air de me sourire
Tu as toujours veillé sur moi
Comment vais-je vivre sans toi.
Mon ami mon chien, l'amitié sans toi, ce n'est rien,
Mon ami mon chien, qui pourrait m'aimer aussi bien?
Non jamais jamais, je ne t'oublierai, crois-le bien
Toi qui pour la première fois, tu sais, viens de me faire du chagrin.,
magnifique chanson de Chantal Kelly
qu'importe comment ni quand ni où
mais un jour ou l'autre
c'est une évidence
nos âmes seront à nouveau ensemble
aamitiés

Déposé par goulou50 le 19/05/2014  
Deux cœurs qui battaient à l'unisson
c'était le tien, c’était le mien
Le tien fatigué s'est arrête de battre et le mien a continué
pour que ton souvenir perdure
malgré la douleur...
J'ai longé le gouffre qui s'ouvrait devant moi, sans y tomber
pour continuer à dire ton nom
malgré les larmes.
Chaque jour est une bataille
mais pour continuer à dire ton nom
cette bataille je la gagnerais, chaque jour...
Rubens....,

Déposé par rafia le 18/05/2014  
Le vieux et son chien
S'il était le plus laid
De tous les chiens du monde,
Je l'aimerais encore
A cause de ses yeux.
Si j'étais le plus laid
De tous les vieux du monde,
L'amour luirait encore
Dans le fond de ses yeux.
Et nous serions tous deux,
Lui si laid, moi si vieux,
Un peu moins seuls au monde
A cause de ses yeux.
Pierre Menanteau
( Ce que m'a dit l'alouette )

Déposé par elise2512 le 18/05/2014  
Nos Absents (Grand corps malade)
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C´est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte
Qu´elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte
C´est ceux qu´on a aimés qui créent un vide presque tangible
Car l´amour qu´on leur donnait est orphelin et cherche une cible
Pour certains on le savait, on s´était préparé au pire
Mais d´autres ont disparu d´un seul coup, sans prévenir
On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord
Car la mort a ses raisons que notre raison ignore
Alors on s´est regroupé d´un réconfort utopiste
À plusieurs on est plus fort mais on n´est pas moins triste
C´est seul qu´on fait son deuil, car on est seul quand on ressent
On apprivoise la douleur et la présence de nos absents
Nos absents sont toujours là, à l´esprit, dans nos souvenirs
Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires
Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés
Ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n´était
On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou
En se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous
Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure
Dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur
Nous, on a des projets, on dessine nos lendemains
On décide du chemin, on regarde l´avenir entre nos mains
Et au cœur de l´action, dans nos victoires ou nos enfers
On imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire
Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant
Je me suis bien renseigné, on n´en sortira pas vivant
Il faut apprendre à l´accepter pour essayer de vieillir heureux
Mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux
Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle
Mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel
Ce temps qui, pour une fois, est un véritable allié
Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers
Moi, les morts, les disparus, je n´en parle pas beaucoup
Alors j´écris sur eux, je titille mes sujets tabous
Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous
Qui fait qu´on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses
C´est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte
Qu´elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte
C´est ceux qu´on a aimés qui créent un vide presque infini
Qu´inspirent des textes premier degré
Faut dire que la mort manque d´ironie

Déposé par seensouaree le 16/05/2014  
La voix des animaux
Demain je ne serais plus là
Alors je profite de chaque instant
Même si je commence à sentir les effets du réchauffement
Demain je ne serais plus là
Alors je chante pour la dernière fois
Même si les humains ne m' écoutent pas
Demain je ne serais plus là
Alors j'admire ce monde éblouissant
Même si je vois des machines détruire mon environnement
Demain je ne serais plus là
Alors je cours,je saute, je joue
Même si je sens que cette joie me laisse un arrière goût
Demain je ne serais plus là
Alors je donne tout mon coeur à mes petits
Même si je ne trouve plus de nourriture pour assurer leur survie
Demain je ne serais plus là
Alors je continue à vivre et espérer
Même si j' ai de plus en plus de mal à respirer
Demain je ne serais plus là
Alors vous saurez que c' est bientôt votre tour
Même si vous saviez déjà que ça arriverait un jour
Voici le triste sort qui guette nos frères
Et ça à cause de l' activité humaine...
Prenons soin de notre planète et des animaux qui la peuplent,

Déposé par Annie le 16/05/2014  

Bonjour Rubens
Que vas-tu penser d'une maman qui n'a pas encore remercié pour les jolies histoires que ta maman nous offre ? J'espère que Chin et mes filles, qui en ont reçu chacun un exemplaire, ont eu l'occasion de te dire qu'ils les lisaient souvent le soir à la veillée.
Je ne sais pas si maman Martine a lu le récit que Chin avait fait de sa mésaventure avec les tiques qui avaient aussi infesté ma petite Juliette. Je n'ai vu une telle invasion qu'une fois dans ma vie et je t'assure que c'était impressionnant. Pour mes chérinets heureusement il n'y a pas eu de conséquences comme pour ton pauvre petit frère et je me réjouis de le savoir sorti d'affaires.
L'inauguration du cabanon n'a pas encore eu lieu, les travaux traînent un peu car Chin et ses amis qui l'aident veulent bien faire les choses et ils ne sont pas aussi grands et aussi costauds que toi mais ne t'inquiète pas tu recevras un petit bristol et j'espère que tu passeras un aussi bon moment que celui qu'ils ont passé dans la «salle du Paradis des Anges à quatre pattes» le jour de ton anniversaire.
Bon week end Rubens, j'admire ta belle prestance tout comme ta générosité envers les amis de l'allée des Myosotis qui sont nés sous une mauvaise étoile.

Déposé par ovanek le 15/05/2014  
*****
Tu as pris ton envol….pour une nouvelle destination celle du paradis
mais saches qu'on ne t'oubliera jamais ..... et qu'un jour on te reverras
nos pensées pour toi sont gravées dans notre cœur à jamais.
Si les oiseaux peuvent voler, nous on sait t'aimer.
Si les oiseaux s'arrête de voler pour ce reposer,
nous on ne sait pas s'arrêter de t'aimer.

Déposé par poutounou le 14/05/2014  
Coucou mon cœur,
il est déjà tard et je suis très fatiguée, mais je voulais te faire un petit coucou, Trésor. Ici bas tout va bien, à part cette grosse fatigue qui ne me quitte pas. Cette semaine, il faut encore que je tonde le gazon. L'herbe est déjà bien haute... J'espère que je vais y arriver. Je ferai tout pour, quitte à tondre sur 2 jours. Aujourd'hui, je suis allée au cimetière, rendre une petite visite à Norbert et à mémé. Demain j'irai voir Gaby. Sinon, Iron se porte bien. Depuis que je lui ai mis le super-collier et la super-pipette, je ne trouve plus de tiques. Mais je vais quand même le faire vacciner : trois précautions valent mieux que deux.
Voilà mon doux Ange...Je t'embrasse fort. Je vais aller me jeter dans les bras de Morphée. J'adore Morphée....Bizzzzzzzzzzzz

Déposé par cathy46 le 13/05/2014  

Le chien
"Il possède la beauté sans la vanité, la force sans l'insolence,
le courage sans la férocité et toutes les vertus de l'hommes sans ses vices."
"Dans la vie, le plus sûr des amis,
Le premier à vous accueillir, le premier à vous défendre,
Celui dont le coeur honnête appartient pour toujours à son maître,
Qui travaille, se bat, vit et respire pour lui seul."
Georges GORDON (poète anglais) ,

Déposé par mimita le 13/05/2014  

Un Grand Merci à vous tous nombreux qui ont déposés de belles fleurs et de beaux messages pour la mémoire de ma petite Mimie.
je serai absente pour quelques jours pour causes de santé, je vous souhaite une bonne semaine avec santé et joie.
Amitiés à vous.
L'AMITIÉ
L'amitié peut être fragile mais superbe quand on sait lui faire grâce de la nôtre...
Simplement tendre l'oreille et écouter, ce sont deux choses essentielles pour acquérir une belle amitié stable...
Ne demande rien à la vie, laisse-toi guider simplement par ton jugement et tu pourras connaître la quiétude de savoir que dans le futur, c'est avec un ami que tu te sentiras bien...
Car tu apprendras à le connaître et à te confier, comme celà, tu obtiendras une joie de te sentir soulagé et paisible, tout en voulant explorer la route de l'amitié...
Tends la main, et tu trouveras sur ton chemin, une personne qui sera présente pour toi...
Qui que tu sois, elle t'offrira cette belle amitié que toi seul tu sentiras lors de ton passage et qui demeurera intacte, si tu acceptes de la protéger...
Souris à la vie, elle t'apportera bien du plaisir et de belles discussions pour égayer ta vie de tous les jours.
Sois toujours en confiance avec toi-même et les portes s'ouvriront à toi pour te satisfaire dans ce nouveau monde de la communication virtuelle mais si réaliste que tu te sentiras comme chez toi...,

Déposé par ovanek le 13/05/2014  
*****
T'oublier, Toi ?
Jamais
Ca m'as pris une minute pour te remarquer
Une heure pour t'apprécier
Un jour pour t'aimer...
Et j'aurais besoin de toute une vie
pour T'oublier !!

Déposé par rafia le 12/05/2014  
'Amitié
Comme un arbre, l'amitié grandit au fil des ans.
Ses racines prennent de la vigueur
et lui permettent de devenir grande et forte.
C'est de cette façon que la nôtre s'est développée,
et malgré nos hauts et nos bas, nous avons vu grandir
ce partage de notre quotidien.
Aujourd'hui, pour s'apercevoir que l'autre a besoin d'un peu
d'attention ou simplement de notre présence,
nul n'est besoin de se parler.
Je remercie la vie de t'avoir mis sur ma route; vraiment,
ce fut l'un des plus beaux cadeaux qu'elle m'a fait.
Tout comme moi, tu es un arbre qui a essuyé
bien des tempêtes et des ouragans.
Contre vents et marées, nous avons toujours su garder
le moral, apprécier le retour du soleil et régénérer
nos forces dans les moments d'accalmie.
Le plus merveilleux pour moi est de voir que nous
sommes encore côte à côte.
Comme deux vieux arbres, nous sommes toujours empreints
de la même vigueur et du même besoin de survie qui nous
ont permis de rester debout jusqu'à ce jour.
La vie nous réserve sûrement encore bien des surprises,
mais rien ne pourra détruire ce merveilleux bien qui nous unit.
Continuons à prendre soin des racines de notre amitié,
de façon à ce que nous puissions encore longtemps partager
notre quotidien et apprécier chaque jour que nous vivons.
Andrée Lapierre.,




L'Album photo contient 32 photos
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En Bretagne dans une flaque d'eau. Tu aimais l'eau mais pas les vagues...
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Tu viens ! On joue...
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Tu étais beau comme un coeur !
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P'tite tête dans les sapins !
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Sieste dans le jardin...
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Quel doux regard !
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Dodo mon mamour à moi...
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