|
|
|
|
||||||
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris |
31 personnes aiment cette page |
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages |
Vous n'êtes pas connecté. |
En hommage à
SETTER-GORDONRUBENS
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
118 bougies
|
11757 Fleurs
6925 messages
Déposé par colombine67 le 26/11/2015 As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel ou écouter la pluie tomber sur le toit ? Déjà suivi un papillon volant gaiement ou bien admiré un coucher de soleil ? Tu devrais t'y arrêter. Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas éternellement. Est-ce que tu cours toute la journée, toujours pressé ? Lorsque tu demandes "Comment ça va ?", est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ? Lorsque la journée est terminée, est-ce que tu t'étends dans ton lit avec 100.000 choses à faire qui courent dans ta ête ? Tu devrais ralentir. As-tu déjà dis à ton enfant : "Nous le ferons demain" et le remettre au surlendemain ? Déjà perdu contact avec un ami, laisser une amitié mourir parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour. La vie est si courte. Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitié du plaisir d'y être. Lorsque tu t'inquiètes et te fais du souci toute la journée, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais. La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'écouter la musique avant que la chanson ne soit terminée. Anonyme |
Déposé par nikita le 25/11/2015RUBENS mon beau petit cœur Ça fait bien du temps que tu n’es plus là ! Et que j’essaye de vivre sans toi Je me souviens encore du jour ou tu es parti Ce jour ou ma vie a été anéantie Depuis que tu as quitté cette terre J'ai juste envie de te dire à quel point mon cœur se serre Dans ces moments là malgré mes petits bonheurs Je ne peux retenir mes larmes et mes pleurs Sais tu seulement que tu me manques à chaque instants Simplement te dire que je t 'aime tant Tu es présent dans mes moindres pensées Je sais que tu es là juste à mes cotés Et que si mes yeux ne te voies pas Mon cœur bat toujours pour toi pour toi mon beau RUBENS un envol de doux baisers qui sur ta jolie frimousse vont se déposer avec des douces pensées pour toi et ta maman à qui tu manques tant |
Déposé par monkillou le 25/11/2015Chers Rubens et sa maman, * Je viens de constater que tu es en compagnie d'une charmante jeune fille qui aux périples de sa vie et décédée pour la France... Moi également, j'ai eu la rage au ventre, quand j'ai appris qu'un fidèle compagnon avait péri pendant l'assaut des forces de l'ordre. Pauvre victime... innocente elle aussi, comme toutes celles qui ont été tuées sauvagement. Ta maman a voulu lui faire un hommage comme d'autres personnes et je trouve cela très gentil. Mais "revenons à nos moutons" car si je suis là aujourd'hui sur ta stèle c'est pour remercier ta fidèle maîtresse pour sa compassion. Elle vient régulièrement déposer de beaux poèmes et en particulier en ce 25 novembre, jour de l'anniversaire de décès de mon Dex d'amour. Je lui adresse par ces mots toute ma reconnaissance et ma sympathie. Une énorme caresse pour TOI bel étalon ainsi qu'à ton cousin, qui, j'espère se porte bien. À tantôt |
Déposé par colombine67 le 25/11/2015Un petit garçon de 8 ans. Son père, un scientifique, cherche à résoudre les problèmes de l’humanité. Le petit entre, lui tire la manche et lui dit : « Papa, je veux t’aider ! » Son père le renvoie : « Non, mon fils, j’ai beaucoup de travail. » Mais le petit insiste. Il y a là une revue avec une carte du monde. Alors, le père prend la carte, avec des ciseaux il la découpe en tout petits morceaux, qu’il lui remet avec de la colle : « Voilà, essaie de reconstruire le monde. » Croyant occuper ainsi son fils pour une dizaine de jours. Mais après deux heures, le fils a résolu le problème. « Comment as-tu pu faire cela ? » « Eh bien, Papa, j’ai vu que l’autre côté de la carte, il y avait la figure d’un homme. Le monde, je ne le connais pas. mais l’homme, si. Alors, j’ai retourné tous les petits papiers. Et j’ai d’abord reconstruit l’homme. Puis, j’ai retourné le papier, j’avais reconstruit le monde aussi. » Anonyme |
Déposé par luc78 le 25/11/2015De toi, je garderai Pour toujours enfermé Tout au fond de mon cœur, Une idée du bonheur A toi je resterai A jamais attaché. Et tu seras toujours Comme au premier jour. Pour toi j’avais bravé, Contre vents et marées, La houle de la vie, Les jours parfois si gris. Avec toi je restais, Tu savais patienter Ne jamais me quitter, En boule, tu te roulais Que toi pour aboyer, Et puis t’impatienter Quand je parlais parfois A un autre que toi. Comme toi, moi j’aimais M’en aller promener Et tu te régalais De courir dans les prés. Sans toi, je ne sais plus Vraiment ce que je suis, Dans ton regard de chien Je me sentais si bien. |
Déposé par poutounou le 24/11/2015Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus légère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec précaution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, légère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pénètre de sa paix. * Même fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le réel, Alors que la pensée remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La découverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'être aimé. * Et malgré la nuit du monde, Malgré les destructions, Tenons notre lampe allumée, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
Déposé par colombine67 le 24/11/2015 Pour apprendre la valeur d'une année, demande à l'étudiant qui a raté un examen. Pour apprendre la valeur d'un mois, demande à la mère qui a mis un enfant au monde trop tôt. Pour apprendre la valeur d'une semaine, demande à l'éditeur d'un journal hebdomadaire. Pour apprendre la valeur d'une heure, demande aux fiancés qui attendent de se revoir. Pour apprendre la valeur d'une minute, demande à celui qui a raté son train, son bus ou son avion. Pour apprendre la valeur d'une seconde, demande à celui qui a perdu quelqu'un dans un accident. Pour apprendre la valeur d'une milliseconde, demande à celui qui a gagné une médaille d'argent aux Jeux Olympiques. Le temps n'attend personne. Rassemble chaque instant qu'il te reste et il sera de grande valeur. Partage les avec une personne de choix et ils deviendront encore plus précieux. Anonyme |
Déposé par choupinou le 23/11/2015Pour un regard, un geste, un silence, un mot, une fleur, une prière,votre présence,en ce triste jour de l'anniversaire de mon NUDJI, Je n’ai qu’un mot à dire “Merci”mais qui veut dire beaucoup... Tendre pensée a vous et petits amours disparus ; Choupinou et mon Nunu d'amour, |
Déposé par colombine67 le 23/11/2015Les gens sont déraisonnables, illogiques et égocentriques Aimez-les tout de même ! Si vous faites le bien, les gens vous prêtent des motifs égoïstes ou calculateurs Faites le bien tout de même ! Si vous réussissez, vous gagnerez de faux amis et de vrais ennemis Réussissez tout de même ! Le bien que vous faites sera oublié demain Faites le bien tout de même ! L'honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable Soyez honnête et franc tout de même ! Ce que vous avez mis des années à construire peut être détruit du jour au lendemain Construisez tout de même ! Les pauvres ont vraiment besoin de votre secours mais certains peuvent vous attaquer si vous les aidez Aidez-les tout de même ! Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même vous risquez d'y laisser des plumes Donnez ce que vous avez de mieux tout de même ! Texte placardé sur le mur de Shishu Bhavan, le foyer des enfants de Mère Teresa, à Calcutta |
Déposé par poutounou le 22/11/2015Mon Ange adoré, Je te présente Diesel. C’est une jolie demoiselle « berger malinois » pour laquelle j’ai fait une page. Elle est morte pendant une action du raid contre des terroristes, le 18 novembre. Désormais je m’occuperai de ta page et de la sienne également. Je ne la connaissais pas, bien sûr, mais son tragique destin m’a tiré les larmes et a fait monter ma colère. Je ne suis pas la seule à avoir fait une page pour elle. Je pense que nous sommes tous, français que nous sommes, sous le choc de cette barbarie qui a eu lieu dans notre beau pays. Chacun réagit comme il le peut. Et je pense aussi que bon nombre de français ont peur de ce qui peut encore se passer à l’avenir, comme moi par exemple. Certains diront et disent d’ailleurs que Diesel n’était qu’un chien et qu’il faut d’abord penser à toutes ces personnes assassinées. On peut penser à toutes les victimes y compris cette chienne qui n’a rien demandé à personne. On entend dire aussi qu’elle aurait été sacrifiée. Si c’est vrai, c’est grave parce qu’une vie est une vie, du moins à mes yeux. Et si on avait pu faire autrement, il aurait fallu faire autrement….. même si ça coûte plus cher. Voilà mon cœur ! Prends bien soin de cette courageuse demoiselle. Montre lui comme le Paradis blanc est beau et présente lui tous tes amis (es). Fais lui oublier sa tragique fin de vie… * Je vous embrasse fort, elle et toi….tout, tout fort…. |
Déposé par Annie le 22/11/2015Un grand merci chère Martine pour vos nombreux passages sur les pages de mes amours et plus particulièrement pour ma Sally que vous avez gâtée pour le 36e anniversaire de son envol. Douces caresses à votre bel ami de ma part. |
Déposé par rafia le 22/11/2015DE LA PART DE MARYEM♥ Pour TOUS vos trésors/Canins....félins...et autres. L'AMOUR♥ ne connaît pas de ségrégation...j'ai adapté cette belle chanson. - Je vs remercie, très chaleureusement, pr TOUS vos TRES nombreux témoignages d'Amitié et de soutien. -Je vs dis..."à très bientôt"..je l'espère. Mille mercis aussi pr Maël. - Avec toute mon amitié. Maryem, votre amie ------------------------------------------------------------------------ C'est pas facile de regarder des photos de TOI♥, C'est pas facile de n'pas pleurer lorsque je pense à TOI♥ J'veux plus me dire que c'est fini, J'veux plus me dire que t'es parti//e Que tu es là tout/e seul//e là-haut au paradis. C'est pas facile d'aimer la vie quand elle nous a tout pris, De te chercher dans cette maison où TU as grandi♥ Autour de nous tout continue, Même si les autres s'habituent Ici maman♥ ne s'ra jamais plus comme avant. C'est pas facile.. C'est pas facile d'imaginer que tu n'seras plus là C'est pas facile d'oublier le timbre de tes aboiements, J'veux te revivre dans ma vie, J'veux te revivre dans mes rêves Et me construire un monde où tout n'est pas fini. C'est pas facile de la chanter cette chanson, tu vois, C'est pas facile de n'pas chialer parce qu'elle parle de TOI♥ Ta mort trop injuste, J'ai pas fini de la maudire, Les poings serrés vers TOI♥ jusqu'à l'éternité. C'est pas facile… C'est pas facile de regarder des photos de TOI♥ C'est pas facile de n'pas pleurer parce qu'elles parlent de TOI♥ J'veux plus me dire que c'est fini, J'veux plus me dire que t'es parti//e, Que tu es là tout//e seu//e, là-haut au paradis C'est pas facile (3x) |
Déposé par colombine67 le 22/11/2015 Vous me dites, Monsieur, que j'ai mauvaise mine, Qu'avec cette vie que je mène, je me ruine, Que l'on ne gagne rien à trop se prodiguer, Vous me dites enfin que je suis fatigué. Oui je suis fatigué, Monsieur, et je m'en flatte. J'ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate, Je m'endors épuisé, je me réveille las, Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas. Ou quand je m'en soucie, je me ridiculise. La fatigue souvent n'est qu'une vantardise. On n'est jamais aussi fatigué qu'on le croit ! Et quand cela serait, n'en a-t-on pas le droit ? Je ne vous parle pas des sombres lassitudes, Qu'on a lorsque le corps harassé d'habitude, N'a plus pour se mouvoir que de pâles raisons... Lorsqu'on a fait de soi son unique horizon... Lorsqu'on a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre... Cette fatigue-là est mauvaise à entendre ; Elle fait le front lourd, l'oeil morne, le dos rond. Et vous donne l'aspect d'un vivant moribond... Mais se sentir plier sous le poids formidable Des vies dont un beau jour on s'est fait responsable, Savoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses mains, Savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain, Savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source, Aider une existence à continuer sa course, Et pour cela se battre à s'en user le coeur... Cette fatigue-là, Monsieur, c'est du bonheur. Et sûr qu'à chaque pas, à chaque assaut qu'on livre, On va aider un être à vivre ou à survivre ; Et sûr qu'on est le port et la route et le quai, Où prendrait-on le droit d'être trop fatigué ? Ceux qui font de leur vie une belle aventure, Marquant chaque victoire, en creux, sur la figure, Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus Parmi tant d'autres creux il passe inaperçu. La fatigue, Monsieur, c'est un prix toujours juste, C'est le prix d'une journée d'efforts et de luttes. C'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit, Non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit. C'est le prix d'un travail, d'une journée remplie, C'est la preuve, Monsieur, qu'on marche avec la vie. Quand je rentre la nuit et que ma maison dort, J'écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ; Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance, Et ma fatigue alors est une récompense. Et vous me conseillez d'aller me reposer ! Mais si j'acceptais là, ce que vous me proposez, Si j'abandonnais à votre douce intrigue... Mais je mourrais, Monsieur, tristement... de fatigue. Robert Lamoureux |
Déposé par Biscuit le 21/11/2015PARCE QUE… Pour tous les bêtes qui cherche un Maître…Et un ami. Parce que l’oiseau blessée A qui j’ai donné asile dans mes mains Et revenu souvent, chanter sous ma fenêtre, Et que le chien perdu, affamer de tendresse Et venu contre moi, confier sa tendresse, L’échant la main surprise, qui donna la caresse. Parce que le petit chat, jeté tel un jouet, Qui n’intéresser plus, les enfants trop gâtés Ma criée son immense peine, De découvrir les hommes laids. Je sens monter en moi, Cet élan de tendresse envers les animaux, Qui souffrent et qui sans cessent, Quémandeur du regret de tristesse. L’attention d’un ami, rencontré au hasard D’un coin gris de leurs vies… Pour vous qui lisez, il n’est pas trop tard, Pour aimer, adopter, soigner et rendre libre Un animal perdu, croisant votre chemin… Il attend de vous, tendez-lui la main, Vous lui dites « amitié », il vous répond « sans cesse » ! Un amour donner ? Voilà mille tendresses. Donnez, Vous recevrez un trésor de caresse |
Déposé par ovanek le 21/11/2015💖 💖 💖 💖 111 💖 💖 Un compagnon est celui qui connaît tes sentiments Que tu as dans ton cœur et qui peut te les murmurer Quand tu en as oublié les paroles … Mon Chien…. les nôtres sont liés à jamais et ne s’effacerons jamais ** Pensée ** 💖 |
Déposé par colombine67 le 21/11/2015Si quelqu'un ne parvient pas à voir clair dans son être, son esprit est une vitre opaque qui le cache à lui-même ; il est aveugle à son âme : feu divin qui flamboie dans l'âtre de son corps ; il parle et agit obscurément. Mais s'il arrive à être lucide, il laisse filtrer la lumière, la vérité sur sa nature, qu'il saisit et offre aux autres sous la forme éclairante de paroles et d'actes sages. Laurent GRENIER |
Déposé par poutounou le 20/11/2015C’est toujours l’automne mais nous nous rapprochons à grands pas de l’hiver et du froid. L’important c’est d’avoir chaud au cœur, le reste n’est que détail…. * Un village * Des murs crépis, de pauvres toits, Un pont, un chemin de halage, Et le moulin qui fait sa croix De haut en bas, sur le village. Les appentis et les maisons S'échouent ainsi que des choses mortes ; Le filet dort : et les poissons sèchent, Pendus au seuil des portes. Un chien sursaute en longs abois ; Des cris passent, lourds et funèbres ; Le menuisier coupe son bois, Presque à tâtons, dans les ténèbres. Une pauvresse aux longues mains Du bout de son bâton tâtonne De seuil en seuil, par les chemins ; Le soir se fait, et c'est l'automne. * Emile Verhaeren |
Déposé par colombine67 le 20/11/2015 Je t'offre, mon Dieu, mon regard et mes bras. Je t'offre mes mains pour soigner la souffrance. Je t'offre mon expérience et quel qu'en soit le prix je t'offre mes efforts et ma persévérance. Donne-moi d'écouter celui qui vient me voir, celui qui me demande de le réconforter. Donne-moi d'écouter sans relâche. Donne-moi de soigner celui qui dit : « J'ai mal », celui qui me demande encore de l'apaiser. Donne-moi de soigner sans relâche. Donne-moi de donner mes instants à tous ceux qui demandent le soulagement. Donne-moi de me donner sans cesse. Donne-moi de ne pas oublier que si j'ai le pouvoir de soigner, je suis fait avant tout pour servir. Donne-moi de ne pas m'affaiblir. Garde-moi de la peur et de l'indifférence, garde-moi de l'oubli. Donne-moi de voir l'ami, le frère, dans la main tendue. Aide-moi à marcher avec lui. Je t'offre, mon Dieu, ma joie pour accueillir, mon coeur pour soulager, ma force pour tenir, et ma vie pour soigner. Anonyme |
Déposé par rafia le 20/11/2015Un ange Canin s'en est allé..... ça y est tu es parti//e enfin libéré//e de ton poids ta vie sur cette terre est, hélas, finie, Malgré toi, Car de ns quitter Ce n'était pas ton choix. Commence alors une autre vie pour toi.... une vie d'ange, au Ciel Où tu seras à jamais heureux//se Enfin..c'est ce que l'on dit... De toi à moi, Je ne suis pas sûr/sûre d'y croire. Pr éloigner la souffrance, Faut-il s'obliger à adhérer A cette gloire ??? Croire en ce paradis hypothétique En cette vie Eternelle Ds les Cieux Peut-être près d'un Dieu... Mais laisse-moi te dire, Mon Trésor//Canin Même si tu n'es plus là, Je te l'assure Pr tjrs ton étoile brillera Pr tjrs ns, ta famille, Ns t'aimerons, Merveilleux Amour/Canin. |
Déposé par rafia le 19/11/2015Après le départ de votre/vos trésor canin/trésors/canins.....SURTOUT ne restez pas seul/e; Réfugiez-vs ds l'Amitié bienveillante. L'Amité se porte à votre secours...sans rien attendre en retour. Passez un excellent WE. Avec toute ma bien sincère Amitié. Maryem votre amie Lorsqu'un arbre est seul, il est battu des vents et dépouillé de ses feuilles ; ses branches, au lieu de s'élever, s'abaissent comme si elles cherchaient la terre. Lorsqu'une plante est seule, ne trouvant point d'abri contre l'ardeur du soleil, elle languit et se dessèche, et meurt. Lorsque l'homme est seul, le vent de la puissance le courbe vers la terre, et l'ardeur de la convoitise des grands de ce monde absorbe la sève qui le nourrit. Ne soyez donc point comme la plante et comme l'arbre qui sont seuls : mais unissez-vous les uns aux autres, et appuyez-vous, et abritez-vous mutuellement. Citation de Félicité Robert de Lamennais ; Paroles d'un croyant (1833), |
L'Album photo contient 32 photos