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In tribute to
RUBENS
SETTER-GORDON
Born on :03/06/2000
left us on:04/03/2013

Et voilà, tu es parti mon ange
Comme tu étais venu, sans faire de bruit
Maintenant tu gambades au paradis
Tes pattes de velours glissent sur les nuages
J'ai mal, tellement mal,
Tu étais mon meilleur ami
Quand la vie s'acharnait, je venais te voir
Tu posais ta tête contre la mienne
Et tout allait mieux
Tu étais si beau à regarder et si doux à aimer
J'ai tant de beaux souvenirs avec toi
Je sais qu'il fallait te laisser partir
Mon chagrin passera sans doute
Mes souvenirs resteront
Je t'aime fort mon p'tit bouchon, ma puce
Mon poutounou d'amour
Tu dors à jamais paisiblement
Dans un coin de mon coeur

****************

UN AN QUE TU ES PARTI

Cela fait un an que tu es parti pour le paradis, mon Ange. Cela fait un an et j’ai l’impression que c’était hier, mon cœur. Cela fait un an que je t’ai ramené, un « fameux » 4 mars, en fin d’après-midi, chez le vétérinaire pour qu’il t’aide à monter au ciel sans trop de douleur. Je me souviens t’avoir porté dans la voiture car tu étais déjà trop faible pour y aller tout seul. Je me souviens de mes jambes qui tremblaient quand je conduisais, de mon cœur qui tapait très fort, de cette douleur dans ma poitrine, de ma gorge nouée, de ma tête dans la brume. Lorsque nous sommes arrivés chez le vétérinaire, tu es tombé sur les marches qui menaient à son cabinet. Alors je t’ai porté une dernière fois, mon Trésor. Dans la salle d’attente, tu m’as fait une grande léchouille tout le long du visage. C’était ton dernier geste d’amour, un peu comme un adieu. Puis tout est allé très vite : la véto, la seringue, toi endormi sur la table. Un bout de moi est parti avec toi dans ce monde merveilleux où tu gambades à présent. Je suis rentrée chez nous, mais je ne sais plus comment !!! Je t’ai aidé à partir par Amour, mais Dieu que c’était dur. JE T’AIME TANT, Amour de ma vie. Tu étais si beau, si doux, si tendre, si drôle aussi. Tu étais si tout, mon petit bouchon. Un vrai petit Prince qui galopait comme un petit étalon avec un cœur gros comme ça ! Nous avons passé tant de beaux moments ensemble ; j’ai tant d’inoubliables souvenirs… Mon cœur pleure d’avoir perdu un ami comme toi. Je mets ma tête contre ta tête, mon nez dans tes poils, je respire ton odeur, je te fais plein de papouilles, plein de bisouxxx, et une tonne de poutounouxxx. Tu as ta place bien au chaud dans mon cœur et dans mon âme, éternellement. Un jour, Dieu nous réunira et nous nous baladerons ensemble dans les forêts enchantées du Paradis des Anges à 4 pattes…….Coucounouxxx tout plein, mon Trésor…. Je ne t’oublierai jamais……….

******************

2 ANS QUE TU T'EN ES ALLE

Pour tes 2 ans au Paradis blanc, j’ai « composé » ce petit poème pour toi, rien que pour toi, mon doux Mamour :

*******

J’ai rêvé….
*
J’ai rêvé que je me promenais en forêt.
Il y avait une douce brise
Qui faisait chanter les feuilles des arbres.
Mille oiseaux sifflaient leurs plus belles ritournelles.
*
C’était une belle journée de printemps ;
Le soleil caressait ma peau de ses doux rayons ;
On entendait au loin hennir un cheval ;
Dans l’air flottait le doux parfum des genêts.
*
Je marchais d’un pas tranquille et léger.
Devant moi, courait une robe noire et feu ;
De grandes oreilles aux longs poils
Se promenaient et sautillaient dans les airs.
*
Tantôt la truffe en l‘air, tantôt la truffe au sol,
Tes pattes légères semblaient glisser sur l’herbe.
On aurait dit un petit étalon au vent.
Au trot, au galop, cours mon bel Ange.
*
Ce n’était qu’un beau rêve,
Mais je me souviens et me souviens encore
De nos balades, de nos jeux, de nos rires.
Nous nous aimions si fort et c’était le Bonheur.


*************************

3 ans déjà ! Encore un petit poème pour toi "Amour"...

*

De toi, il me reste…
*
Ton regard si tendre,
Ton odeur si douce,
Ta voix si grave, si belle,
Tes léchouilles sur mon nez, dans mes oreilles,
Ta truffe froide dans mon cou,
Nos tête-à-tête quand j’allais mal,
Mes larmes quand tu souffrais,
Mes rires quand tu faisais le pitre,
Nos jeux de baballe à n’en plus finir,
Tes bains de boue ; tu adorais la boue…
Nos belles balades en forêt et au bord de mer,
Il me reste tant de toi… tant d’Amour
A jamais en moi.


***********************************


PETIT CONTE POUR TOI, PARTI IL Y A 4 ANS UN 4 MARS....

*

Il était une fois un « petit étalon » noir et feu.
Tous les jours il s’en allait promener dans les bois.
Qu’il était beau quand il « galopait » sur les chemins,
Ses longs poils soyeux au vent.
Sa maîtresse n’avait d’yeux que pour lui ;
On pouvait y lire tout l’amour qu’elle lui portait,
Et Dieu sait qu’elle l’aimait fort.
Puis un jour « petit étalon » est parti
Courir au-dessus des nuages
Dans d’autres bois, d’autres prairies,
Laissant sa maîtresse seule et désemparée
Avec, pour consolation,
Tous les beaux souvenirs gravés à tout jamais
Dans sa tête et dans son cœur.


***********************************


POUR MON MAGNIFIQUE PRINCE DES ETOILES PARTI IL Y A 5 ANS...

*

Et si tu revenais pour tes 5 ans !!!
*
Et si tu revenais,
Ne serait-ce qu’une fois !!!
Que ferais-je ?
Je te serrerais fort dans mes bras,
Je te couvrirais de baisers,
Tous plus doux les uns que les autres ;
Je me remplirais de ton odeur,
Afin de ne l’oublier jamais ;
Je caresserais ton beau pelage,
Encore et encore…
Je te répèterais cent fois, mille fois,
Combien je t’aime,
Et combien tu me manques.
Si tu revenais
Ne serait-ce qu’une fois…
Je ne te laisserai plus repartir…


***************************************


Petit poème pour tes 6 ans de vie loin de moi… Jamais je ne t’oublierai…!!! Jamais…!!!
*
Quelques mots…
*
Que te dire que je ne t’aie déjà dit ?
Je ne sais pas…je ne sais plus !
Les mots qui me viennent
Sont toujours les mêmes :
Amour, tendresse, douceur
Absence, manque, douleur
Mais une chose est sûre :
« Il y a plus fort que la mort :
C’est le souvenir des absents
Dans la mémoire des vivants ».
Et, jusqu’à mon dernier souffle,
Je me souviendrai de toi
De ta douceur, de ta beauté,
De ton odeur, de ton intelligence
De tout l’amour que tu m’apportais
Jamais, tu m’entends,
Jamais je ne t’oublierai…jamais…!!!


******************************************


7 ans que tu m’as quittée mon trésor. 7 ans, un maudit 4 mars !!! J’aurais aimé que tu restes encore quelques années à mes côtés. Nous étions si bien ensemble. Tous les gens qui ont croisé ta route te trouvaient beau. Mais tu n’étais pas que beau : tu étais très doux, très obéissant et très intelligent aussi. Je ne te dis pas cela parce que tu étais mon chien, mais parce que c’est la vérité. Lorsque nous partions en vacances, on pouvait t’emmener partout avec nous. Quand nous allions au restaurant, tu restais sagement couché à mes pieds. A l’hôtel, tu dormais tranquillement sur ta couche. On louait toujours des maisons avec jardin et bien clôturées pour que tu aies de la place pour gambader et jouer à la baballe. Que de souvenirs, que de souvenirs !!! Tu n’as jamais rien cassé, rien abimé. Tu étais un Amour de chien tout simplement. Alors voilà ! Encore une année de plus sans toi, mon doux Coeur. Heureusement que j’ai ton petit cousin Iron. Il ne te remplacera jamais, mais il me fait des mamours comme toi et il me fait bien rire avec ses pitreries. Tu trouveras ci-dessous un petit poème pour te redire à quel point je t’aime mon poutounou tout doux. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz tout plein et tout partout.



Quelques mots d’Amour…
*
Allongé sur ton beau nuage,
De là-haut, tu me regardes.
Je sens tes yeux remplis d’amour
Me réchauffer tendrement.
*
Je me laisse aller à la rêverie ;
Je me souviens de tous nos doux moments,
Qui laissent une empreinte indélébile
Dans mon petit cœur.
*
Je sais, je me répète !
Mais, les souvenirs, c’est tout ce qu’il me reste
Depuis que ton « corps » a cessé de battre
Et que ton « âme » s’est envolée…
*
Alors oui, je rêve encore et encore
De toi mon doux Amour.
Et les ciels gris se transforment
En arcs-en-ciel éblouissants.


**************************************


8 ans, 8 ans, déjà 8 ans !!!

Quand souffle le vent
Quand tombe la pluie
Quand rayonne le soleil
C'est un signe de toi que tu m'envoies
*
Tu resteras toujours dans ma mémoire
Et je t'aimerai toujours
Tout fort, tout beaucoup
Jamais je ne pourrai t'oublier
*
Toi, mon bel ange
Mon coeur rempli d'Amour
Ma truffe de tendresse
Je t'aime, je t'aime, oui, je t'aime


*******************************************


Pour tes 9 ans loin de moi


Coucou mon « doux cœur », la « prunelle de mes yeux »,

L’année dernière, pour tes 8 ans d’anniversaire de départ, je ne devais pas être en forme du tout. Je t’ai juste déposé un petit poème. Cette année, ça va un peu mieux. J’ai toujours mes problèmes de santé et ça ne va pas en s’arrangeant, mais je suis là pour tes 9 ans, loin de moi…J’aime beaucoup ce site qui me permet de venir te voir tous les jours, de t’envoyer des fleurs, des poèmes, des bougies…9 ans, ça fait 9 ans, et le souvenir de ton dernier jour parmi nous est toujours aussi « vif ». C’est comme si cela était arrivé hier. Le 4 mars 2013 : maudite date, mais aussi un moment « fort », parce que j’ai eu ce courage de te laisser partir. Je t’aimais tant que mettre fin à tes douleurs était la plus belle manière de te dire tout mon amour pour toi, mon Poutounou n’à moi !!! Je n’en menais pas large tu sais. Je tremblais de tous mes membres lorsque je t’ai ramené chez le véto, ce fameux jour là… Mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Si c’était à refaire, je ferais venir le vétérinaire à domicile. Quand le moment sera venu pour Iron, je l’espère, pas tout de suite, et si je suis encore là, je ferai venir le véto à la maison. Ce sera beaucoup moins stressant et pour lui et pour moi. Je regrette de ne l’avoir pas fait pour toi, mon bel étalon ! Je t’ai écrit un petit poème pour « marquer » tes 9 ans de départ pour le Paradis blanc. Je t’embrasse tout tendrement. Plein de petits bisous partout, partout, mon trésor…Je finirai bien par monter aussi tout là-haut. Garde-moi une belle place bien au chaud, à côté de toi de préférence…. Bizzzz ma grosse puce adorée… !!!


Tu es toujours là !
*
Le temps passe :
La pluie de l’automne
Chasse le beau ciel bleu de l’été.
Les bourgeons du printemps
Chassent la neige de l’hiver.
Les saisons se suivent ;
Les mois vont et viennent ;
Et tu es toujours là,
Blotti tout au fond de mon cœur,
Et présent dans un coin de ma tête.
Toujours là, mon bel Ange, toujours là…même 9 ans après !!!
*
Par moi pour toi


*******************************************************************


Comme le temps passe ! 10 ans déjà, 10 ans ma noble âme soeur...!!!



Mon doux mamour !

Et voilà, cela fait 10 ans que tu t’es envolé pour cet autre monde merveilleux. Le vide que tu as laissé a été en partie comblé par Monsieur Iron, setter gordon comme toi. Plus il vieillit, plus il te ressemble. Tu sais à quel point j’adore les câlins, les bisousss, les truffes humides dans le cou, les caresses sur un doux pelage, le nez dans les papattes... Je ne me voyais pas continuer le rude chemin de la vie toute seule. Voilà pourquoi Iron est entré dans ma vie quelques mois seulement après ton départ. Mais il ne t’a pas remplacé, oh non ! Je l’aime aussi fort que toi maintenant, mais tu es Rubens et tu resteras Rubens dans mon cœur pour l’éternité. Tu m’as accompagnée pendant 13 années de ma vie, des années pas toujours faciles. Mais je trouvais près de toi cet Amour si pur, si beau, si droit, si fort comme du cristal qui ne se briserait jamais. Bien souvent, lorsque j’étais à terre, tu m’aidais à me relever. Ton doux regard, ta douce et chaude truffe qui me « poussait » doucement en me disant : « allez courage, continue le combat, je suis là » ! Oui, tu as toujours été là, mon adorable et beau « Prince noir », mon « Poutounou na moi », comme j’aimais à t’appeler. Nous finissons tous par monter au ciel un jour, c’est sûr... Je voudrais que, pour l’occasion, tu me gardes une belle place tout près de toi, si possible. Et la première chose que je ferai en te revoyant, c’est enfoncer mon nez dans les coussinets de tes papattes et sentir ta bonne odeur de biscuits sortis du four. J’étais folle de tes papattes, tu t’en souviens ??? Et ton poitrail aussi avec tes poils si longs et doux. J’adorais y enfouir ma tête. Tu vois, je n’ai rien oublié ! Mais comment pourrais-je oublier un si bel Amour ??? Je t’embrasse tendrement, affectueusement pour tes 10 ans au Paradis blanc. A un de ces jours mon magnifique Prince noir et feu… !!!


Oh toi !!!
*
Toi qui n’es plus là !
10 ans que tu es parti aujourd’hui
10 ans que tu as quitté ma vie
D’aucuns diront : il te reste les souvenirs…!
Oui mais ce n’est pas toi…
J’essaye de me rappeler ta truffe froide dans mon cou
Tes tendres léchouilles sur ma joue
Oui j’essaye mais tout devient flou
Une fois, une fois seulement
Ressentir ton souffle chaud
Mettre mon nez dans tes papattes
Te serrer fort, très fort à t’étouffer
Je voulais juste te dire à quel point je t’aimais
Et que je suis très fière d’avoir passé
Une partie de ma vie à tes côtés, mon doux cœur…


***************************************************************

Coucou mon doux coeur...!!!

Que t’écrire pour tes 11 ans au Paradis blanc ? Je t’ai déjà tout écrit : que tu me manques, que je me souviens de tous nos doux moments passés ensemble, que j’aimerais que tu reviennes, ne serait-ce qu’une fois... Cette nuit, si tu le peux, viens me rejoindre dans un merveilleux rêve sans fin. Prends Iron avec toi. Vous me manquez tellement tous les deux. Je sais, parce que j’y crois, que je vous reverrai un de ces jours. Nous sommes si peu de chose sur terre. Un petit « coup de vent » et hop nous nous envolons vers les cieux. Cela peut arriver ce soir, demain, n’importe quand, n’importe où. Alors à bientôt peut-être mon bel étalon (encore un petit surnom). Une chose est sûre : lorsqu’on a vécu un Amour ou des Amours si beaux, si forts, si purs, on se sent forte, prête à affronter tout et n’importe quoi. Alors, quand le Bon Dieu décidera que mon moment est venu, je m’en irai sereinement, le cœur plein à craquer de beaux sentiments et de cette folle envie de vous revoir tous enfin et de vous serrer fort, tout fort contre mououaaa… !!! Et les larmes coulent…
*
Bizzzzzzzzzz mon trésor,
*
Ta maman Martine

*

Devant ma feuille blanche…
*
Je suis assise devant ma feuille blanche,
A essayer de t’écrire un joli poème
Pour tes 11 ans loin de moi.
La gorge est serrée comme toujours
Lorsque cette fichue date approche.
*
Cette année, Iron est venu te rejoindre.
Lui aussi est parti tout là-haut !
Mais c’est ton jour aujourd’hui !
Alors je vais juste te faire
Un Poutounou…
*
Non, je t’en fais plein et partout,
Je t’étouffe littéralement de bisous :
Un sur la truffe, un sur le front et les joues,
Un énorme sur ton beau poitrail.
Et, pour finir, je mets mon nez dans tes papattes… J’adooore !!!
*
Attends, ne t’en vas pas s’il te plait…
Pas déjà ! Je n’ai pas fini…
J’approche mes lèvres de tes grandes oreilles,
Et je te murmure tendrement,
Tous les petits surnoms que je te donnais.
*
Les voilà :
« Truffinette, Petite crotte, grand gamin,
Loustic, Peste, Bandit, Canaille, Chikoun,
Schtrumpf, Choupinette, Voyou, Petit Diable ».
Et le meilleur pour la fin : « P’tit Cul-Beaux Yeux »,
Parce que tu avais un petit cul et de très beaux yeux.
*
Voilà, mon doux cœur, mon petit poème pour tes 11 ans.
Passe le bonjour à ton cousin Iron…
Vous me manquez tous les deux…
Je n’arriverai jamais à faire mon deuil,
Je vous aimais beaucoup trop pour cela
*
Ta maman de cœur,
Qui ne vous oubliera jamais…





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6910 messages

left by choupinou on 19/09/2024  
Je voudrais que tu reviennes,
que tu grattes à la porte,
et que j'entende ton jappement,
pour me faire comprendre :
regarde ce que je vais t'offrir,
et j'ouvrirai, dans l'espoir,
et tu seras là, bien revenu de la haut.
Mais je sais que ce n'est qu'un rêve,
et dieu sait comme il fait mal ....

left by spanky on 18/09/2024  
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Des yeux sans nombre ont vu l'aurore ;
Ils dorment au fond des tombeaux
Et le soleil se lève encore.
Les nuits plus douces que les jours
Ont enchanté des yeux sans nombre ;
Les étoiles brillent toujours
Et les yeux se sont remplis d'ombre.
Oh ! qu'ils aient perdu le regard,
Non, non, cela n'est pas possible !
Ils se sont tournés quelque part
Vers ce qu'on nomme l'invisible ;
Et comme les astres penchants,
Nous quittent, mais au ciel demeurent,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent :
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Ouverts à quelque immense aurore,
De l'autre côté des tombeaux
Les yeux qu'on ferme voient encore.
----

left by poutounou on 18/09/2024  
Vous croyez qu’ils jouent aux billes là-haut nos Anges ? Et pourquoi pas !!! Moi j’adorais jouer aux billes…
*
Un Ange parfois joue aux billes…
*
Ah ! que de merveilles scintillent
Lorsque danse une goutte d'eau !
Un ange parfois joue aux billes,
Une étoile tombe au ruisseau.
On ne sait jamais quel manteau
De fée courant dans les jonquilles
On peut coudre avec une aiguille
En rêvant derrière un carreau.
*
Maurice Carême

left by rustiditbibi on 17/09/2024  

LE PARADIS DES CHIENS
A ta mémoire
Chaque jour était accueilli par la joie de nous dire bonjour,
Tu allais alors, te recoucher,
Apaisée de nous savoir à tes côtés.
La vieillesse, cette ennemie, n'épargne pas les chiens ;
Et c'est le silence absolu
Qui désormais, le matin, nous salue.
Cette séparation devient pesante,
Ainsi, je me mets à te parler, comme si tu étais encore vivante.
Pourtant, la réalité se devra d'être acceptée,
Tu nous as quittés.
La nuit a gelé le camélia sur ta tombe,
Les fleurs aussi, au chagrin, succombe.
Ma petite Boulette, avec toi, c'est toute une lignée qui s'est éteinte,
Tu t'es endormie dans une dernière étreinte.
Mais où peuvent bien aller l'âme des chiens ?
Eux les fidèles, pleins de vertu
Et nous, sans eux, perdus ?
Ô D.ieu créateur de toute chair,
Ne peux-tu nous ramener aux jours d'hier ?
Aux jours enchantés de notre jeunesse,
A ces moments de richesse,
Où nos chiens nous entouraient,
Où avec eux, nos enfants jouaient, riaient ?
Toi , le D.ieu si généreux !
Ne peux-tu nous restituer ses moments heureux ?
Dans l'instant, une sainte pensée me vint à l'esprit,
Je compris que tout ceci,
Nous était réservé au Paradis !

left by ovanek on 16/09/2024  
┊ ┊ ┊ ┊ ┊┊✫˚⭐⋆。
┊ ┊ ✫ ˚🩷⋆。❀🌸
┊ ☪︎⋆ .⭐✫ ˚⭐⋆。❀🌸
Ce Dernier message pour vous Remercier
Loin des 👀...Près du 💖...
La page est en mode privé pour un temps indéterminé
⭐❁════════ ✰🌸✰ ════════❁⭐
« Bien que tu ne marches plus à côté de moi physiquement
Je te vois dans tous les souvenirs
Je te sens dans chaque battement de cœur
Je t'entends dans chaque chanson
Je te connais dans chaque pensée
🌸❁════════ ✰ ✰ ✰ ✰⭐ ✰ ✰ ✰ ✰ ════════❁🌸
Je ris avec toi dans chaque joie
Je pleure avec toi dans chaque douleur
🌸❁════════ ✰ ✰ ✰ ✰⭐ ✰ ✰ ✰ ✰ ════════❁🌸
Car bien que tu ne marches plus à côté de moi
Tu ne m'as jamais vraiment quitté
🌸❁════════ ✰ ✰ ✰ ✰⭐ ✰ ✰ ✰ ✰ ════════❁🌸
Car je sens ta présence avec moi à chaque étape du chemin
Et tu n'es jamais vraiment parti... ”
🦋
Tahlia Hunter

left by spanky on 16/09/2024  
Le petit chien Ploton
----
Ploton fut doux comme un agneau,
Ploton fut gai comme un moineau,
Simple comme une colombelle,
Loyal comme une tourterelle,
Friand comme un rat foleton,
Mignard comme un petit chaton;
Bref Ploton fut plus agréable,
Plus frétillant,
Plus amiable,
Plus bénin, plus obéissant,
Plus avisé, plus connaissant,
Plus vigilant et plus habile,
Et de nature plus gentille,
Et plus digne d'en dire rien,
Que ne fut jamais petit chien.
----
Olivier de MAGNY,
---

left by poutounou on 15/09/2024  
Coulez, ô larmes éternelles, car ici-bas je reste seul…
*
L'ange envolé.
*
Mon ange a reployé ses ailes
Et dort glacé sous un linceul ;
Coulez, ô larmes éternelles,
Car ici-bas je reste seul.
*
Ô chère ombre au ciel envolée,
Chaque nuit sous les noirs cyprès
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens épancher mes regrets.
*
Cette douce sœur de mon âme,
Pour charmer mon cœur attristé,
Me parlait encore de sa flamme
Sur le seuil de l'éternité.
*
Ô chère ombre au ciel envolée,
Chaque nuit sous les noirs cyprès
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens épancher mes regrets.
*
Si jusqu'à toi, de cette terre
S'élève mon chant désolé,
Sois attentive à ma prière
En ton beau royaume étoilé.
*
Ô chère ombre au ciel envolée,
Chaque nuit sous les noirs cyprès
Versant des pleurs sur ton blanc mausolée,
Je viens épancher mes regrets.
*
François-Marie Robert-Dutertre (1815-1898)

left by spanky on 14/09/2024  
Voici ce que votre chien pense réellement de vous.
Cela risque de vous toucher profondément.
-----------
Nous avons tous conscience de l’affection que les chiens ont pour nous.
Ils nous câlinent, et nous réconfortent lorsque nous en avons le plus besoin.
----
Mais vous êtes-vous jamais demandé à quoi pensaient les chiens, et à quoi ils rêvaient ?
----
Pour vous en donner une petite idée, continuez donc votre lecture, et découvrez ce que, selon nous, votre chien pense vraiment de vous.
----
Je suis ton chien, et j’aimerais bien te murmurer quelque chose à l’oreille ; je sais que vous autres humains menez une vie très remplie.
Certains travaillent, d’autres élèvent leurs enfants.
Vous donnez toujours l’impression de courir dans tous les sens, bien souvent sans prêter attention autour de vous, et sans profiter des plaisirs de la vie.
----
Regarde-moi, en bas, alors que tu es assis devant ton ordinateur.
Est-ce que tu vois mes grands yeux sombres qui te regardent ?
Ils sont de moins en moins clairs, désormais.
C’est un effet de l’âge.
Je commence à avoir des poils gris autour de mon doux museau.
Tu me souris ; je peux voir l’amour dans ton regard.
Que vois-tu dans le mien ?
Est-ce que tu vois une âme ?
Une âme en moi, qui t’aime comme personne d’autre ne le pourra jamais ?
Un esprit qui te pardonnerait tous tes crimes pour passer quelques instants avec toi ?
---
C’est tout ce que je te demande ; ralentis un peu, ne serait-ce que pour passer quelques minutes avec moi.
Très souvent, tu as été ému en lisant, sur ton écran, l’annonce de la mort d’autres membres de ma race.
Parfois nous mourrons jeunes et rapidement, parfois même tellement brusquement que cela te brise le cœur.
Parfois, nous vieillissons si lentement en ta compagnie que tu ne sembles même pas t’en apercevoir avant qu’il ne soit trop tard, et que nous te regardions,
avec notre museau grisonnant et nos yeux aveuglés par la cataracte.
Mais notre affection est toujours bel et bien là, même lorsque nous devons te faire nos adieux, et partir courir, enfin libres, dans ce pays très lointain et imaginaire.
----
Je ne serai peut-être plus là demain ; je ne serai peut-être plus là la semaine prochaine.
Un jour, tu pleureras toutes les larmes de ton corps, celles que les humains versent lorsqu’ils sont bouleversés, et tu te maudiras de ne pas avoir pu passer
« une journée de plus » en ma compagnie.
----
Comme je t’aime énormément, ta tristesse me touche et me blesse.
Nous sommes ensemble, MAINTENANT.
Alors approche-toi, assieds-toi près de moi sur le sol, et regarde-moi bien dans les yeux.
Qu’est-ce que tu vois ?
Si tu regardes avec attention, nous pourrons échanger, toi et moi, à cœur ouvert.
----
Ne t’adresse pas à moi comme un mâle dominant, un dresseur, ou même un maître/une maîtresse ; considère-moi comme une autre âme vivante, caresse mon pelage,
regardons-nous dans les yeux, et parlons.
Je te raconterai peut-être à quel point il est amusant de courir après une balle de tennis, ou bien te dirai-je quelque chose de profond à mon sujet,
ou bien au sujet de la vie en général.
----
Tu as décidé de m’avoir dans ta vie, car tu voulais avoir quelqu’un avec qui partager ce genre de choses.
Quelqu’un de très différent de toi… et je suis là.
----
Je suis un chien, mais je suis un être vivant à part entière.
Je ressens des émotions, j’ai des sens physiques, et j’adore les différences qui existent entre toi et moi.
Je ne te vois pas comme un « chien sur deux pattes » – je sais ce que tu es.
Tu es un humain, avec toutes les bizarreries que cela implique, et pourtant je t’aime quand même.
----
Maintenant, assieds-toi par terre à mes côtés.
Entre dans mon monde, et laissons le temps ralentir pendant au moins 15 minutes.
Regarde-moi droit dans les yeux, et murmure dans mes oreilles.
----
Parle-moi avec ton cœur, avec ta joie, et je connaîtrai alors ton moi profond. Demain ne viendra peut-être jamais, et la vie est beaucoup trop courte.
----
Alors je t’en prie, assieds-toi à mes côtés, et partageons ces moments précieux qui nous restent à vivre ensemble.
----
Avec tout mon amour,
Ton Chien.
----
Partagez ce merveilleux message avec tous vos amis !
----

left by colombine67 on 14/09/2024  
On m’a dit...
Que ma maison
Sentait le chien...
Alors je lui ai demandé...
Tu sais qu’est-ce que sent un chien...?
Un chien sent de la :
Gratitude...
Fidélité...
Noblesse...
Affection...
Amour pur et inconditionnel...
Et malgré
Tout ce qu’ils ont souffert
Ils ne sentent pas la rancoeur...
Alors oui...
Je me sens privilégié
Que ma maison sente le chien...

left by spanky on 12/09/2024  
Mon chien ne reviendra pas.
---
Mon chien ne reviendra pas,
Il est loin de moi,
Si loin de moi...
--
Mon chien ne redescendra pas,
Dans le ciel, il restera...
Et même si il le voulait,
Il ne le pourrait...
---
Mon chien ne reviendra pas,
Il ne viendra plus près de moi,
Les jours de chagrin,
Qui reviennent tous les matins...
---
Le ciel est sa prison,
Me condamnant mon amour
Pour lui...
---
Mon chien ne reviendra pas,
Il est loin de moi,
Si loin de moi...
----

left by poutounou on 11/09/2024  
Le Bonheur c’est une truffe fraîche dans le cou…
*
Le bonheur
*
Le bonheur est une plume
La plus légère qui soit.
Il faut l'attraper
Quand elle passe.
*
Le bonheur se cueille dans l'instant,
Avec précaution
Comme une fleur,
Avant qu'elle ne se fane.
*
Le bonheur est cette poudre de soie,
Qui passe, légère, devant la lune,
L'effleure, l'enserre,
Et la pénètre de sa paix.
*
Même fragile, le bonheur
Transfigure les choses insignifiantes,
Il fait oublier le réel,
Alors que la pensée remodèle nos traits.
*
La joie monte en nous, quand nous la donnons.
C'est cela le moteur du bonheur.
La découverte du bonheur d'aimer
S'ajoute au bonheur d'être aimé.
*
Et malgré la nuit du monde,
Malgré les destructions,
Tenons notre lampe allumée,
Pour que vive au dehors la lumière du bonheur.
*
Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne

left by spanky on 10/09/2024  
LE DERNIER CRI
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"Ce matin, après une longue nuit à appeler mes belles et à me battre pour ne pas perdre ma place de chef au sein de ce harem, j'ai poussé mon dernier cri...
Pourtant, le ciel était beau ce matin et la journée s'annonçait belle...
J'étais là sur ma place de brame où je revenais depuis quelques années à attendre que les rayons du soleil viennent me frôler
et me disent qu'il est temps pour moi de repartir au plus profond de la forêt afin de fuir le danger et d'aller me reposer.
Mais ce matin, les rayons du soleil ne sont pas parvenus à me frôler...ce matin après un dernier cri, un bruit assourdissant a raisonné dans la forêt,
cette forêt qui m'a vu naître et dans laquelle j'ai grandi et dans laquelle je revenais tous les ans à la même période.
Ce matin, alors que j'étais là à regarder l'horizon... j'ai chuté sans trop comprendre pourquoi...ma tête posée sur l'herbe humidifiée par la rosée du matin,
je ne pouvais plus bouger et là j'ai entendu des pas lourds et des rires s'approcher de moi...
à ce moment là j'ai compris que ce matin de septembre, j'avais poussé mon dernier cri...
"Aujourd'hui, l'amoureux et le passionné de la nature que je suis est triste et en colère...
Stop à la chasse aux trophées pendant le brame!!!
Ce magnifique cerf a chuté pour satisfaire des riches chasseurs venus de loin avec les poches remplies de billets, ce matin de septembre,
ce magnifique 12 cors, que je connaissais depuis quelques années et qui revenait tous les ans sur cette même place de brame,
avant même de pouvoir se reproduire a été tué pour finir sur une photo souvenir et sur un blason accroché sur un mur...
Voilà la triste réalité de la chasse aux trophées en période de brame.
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left by spanky on 08/09/2024  
Mémoire immortelle
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Colombe blanche qui côtoie les cieux
Demeure avec les anges et le bon dieu
Elle est telle une note de musique qui plait à l’ouïe
Si rayonnante comme une fleur qui s’épanouit
Juvénile, d’une blancheur pure et angélique
Et un sourire qui nous emmène vers un monde féerique
Jadis, on cheminait à destination en chantant
La main dans la main souvent en galopant
Cette image je la garde de bien avant
Ce jour damné qui à ton existence a mis un trait Houda…
Ta mémoire je la garde dans mon cœur d’enfant
Elle sera intacte, je veillerai à ce qu’elle soit autant…
Car ton authenticité et ton amitié furent à part
Quoi qu’aujourd’hui ton esprit ait erré loin de mon regard
Je me rappellerai toujours de nos dires, nos rires, et même de nos larmes
En priant le bon dieu pour qu’il prenne bien soin de ton âme
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Rhita Benjelloun, 2012
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left by poutounou on 08/09/2024  
La joie
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O ces larges beaux jours dont les matins flamboient !
La terre ardente et fière est plus superbe encor
Et la vie éveillée est d'un parfum si fort
Que tout l'être s'en grise et bondit vers la joie.
*
Soyez remerciés, mes yeux,
D'être restés si clairs, sous mon front déjà vieux,
Pour voir au loin bouger et vibrer la lumière ;
Et vous, mes mains, de tressaillir dans le soleil ;
Et vous, mes doigts, de vous dorer aux fruits vermeils
Pendus au long du mur, près des roses trémières.
*
Soyez remercié, mon corps,
D'être ferme, rapide, et frémissant encor
Au toucher des vents prompts ou des brises profondes ;
*
O ces matins de fête et de calme beauté !
Roses dont la rosée orne les purs visages,
Oiseaux venus vers nous, comme de blancs présages,
Jardins d'ombre massive ou de frêle clarté !
*
A l'heure où l'ample été tiédit les avenues,
Je vous aime, chemins, par où s'en est venue
Celle qui recélait entre ses mains, mon sort ;
*
Je vous aime, lointains marais et bois austères,
Et sous mes pieds, jusqu'au tréfonds, j'aime la terre
Où reposent mes morts.
*
J'existe en tout ce qui m'entoure et me pénètre.
Gazons épais, sentiers perdus, massifs de hêtres,
Eau lucide que nulle ombre ne vient ternir,
Vous devenez moi-même étant mon souvenir.
*
Emile Verhaeren, La Multiple Splendeur

left by spanky on 06/09/2024  
Je suis entièrement d accord !
Toujours bon a se rappeler.
Les espèces animales sont douées de conscience, d'intelligence, d'émotions, ce qui nous sépare n'est pas le fond mais le degré d'expression de caractéristiques communes.
Chaque animal est un individu, jeté dans un monde construit par l'homme dont les règles échappent à son mode propre de fonctionnement.
Enfermer un animal c'est le privé d'un de ses droits fondamentaux.
Vivre sa vie en toute liberté et en harmonie avec un nombre incalculable d’interactions tant au sein de son espèce qu'avec l'environnement.
Quelle que soit la prison - dorée ou non - la souffrance ou plutôt les souffrances, physiologiques éthologiques comportementales sont toujours au rendez-vous.
Visiter un zoo c'est participer.
C'est accepter et devenir complice de ces souffrances.
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Dr Yvan Beck
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left by spanky on 04/09/2024  
L'enfant précoce
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Une lampe naquit sous la mer
Un oiseau chanta
Alors dans un village reculé
Une petite fille se mit à écrire
Pour elle seule
Le plus beau poème
Elle n'avait pas appris l'orthographe
Elle dessinait dans le sable
Des locomotives
Et des wagons pleins de soleil
Elle affrontait les arbres gauchement
Avec des majuscules enlacées et des cœurs
Elle ne disait rien de l'amour
Pour ne pas mentir
Et quand le soir descendait en elle
Par ses joues
Elle appelait son chien doucement
Et disait
« Et maintenant cherche ta vie ».
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René-Guy Cadou ("Les amis d'enfance" - 1965)
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left by poutounou on 04/09/2024  
L'écho
*
Rôdant, triste et solitaire
Dans la forêt du mystère,
J’ai crié le coeur très las :
- « La vie est triste ici-bas ! »
L’Écho m’a répondu : « Bah ! »
– « Écho, la vie est méchante ! »
Et, d’une voix bien touchante,
L’Écho m’a répondu : « Chante ! »
– « Écho, Écho des grands bois,
Lourde, trop lourde est ma croix ! »
L’Écho m’a répondu : « Crois ! »
– « La haine en moi va germer,
Dois-je rire ou blasphémer ? »
Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! »
Comme l’Écho des grands bois
M’a conseillé de le faire :
J’aime, je chante et je crois !
Et je suis heureux sur terre !
*
Théodore Botrel (1868-1925)

left by ovanek on 03/09/2024  
Tes petites pattes, une touche douce
J'ai laissé des empreintes sur mon cœur, une embrayage aimante
A chaque pas, un souvenir fait
Un voyage partagé, un lien affiché
💕༺♥༻❀༺♥༻💕༺♥༻❀༺♥༻💕
Vos sniff curieux, un son joyeux
Explorer des mondes, les pieds sur terre
Ta queue remuante, un guide heureux
Un ami constant, toujours à mes côtés
💕༺♥༻❀༺♥༻💕༺♥༻❀༺♥༻💕
Dans tes grands yeux bruns, un amour si vrai
Un reflet du cœur, je tiens pour toi
A chaque câlin, un cœur bat vite
Un amour si fort, pour toujours
💕༺♥༻❀༺♥༻💕༺♥༻❀༺♥༻💕
Même si votre temps avec moi a été court et doux
Les souvenirs que nous avons créés, ne peuvent pas être battus
Tu es peut-être parti, mais dans mon cœur
Vos empreintes de pattes restent, une œuvre d'art🐾🐾🐾

left by colombine67 on 03/09/2024  
"Le chien"
....Sur la tombe du Maître il s'obstine à mourir
Il n'a pas oublié les soldats qui l'aimaient
Et dont il partagea la gamelle de soupe...
Il a toujours suivi docilement la troupe
De ceux qui ne sont plus et qui le caressaient.
Pauvre chien! il a vu succomber ses amis...
Il était là quand se déroulait la bataille...
Il les a vus, fauchés par la rude mitraille
Et sait que pour toujours ils se sont endormis.
Hélas! Jusqu’à la mort il leur sera fidèle...
Il ne veut pas quitter le glorieux tombeau
Et près de l'humble croix que voisine un drapeau
Il garde leur dépouille et parfois les appelle.
Il n'a pas oublié les soldats qui l'aimaient
Et dont il partagea la gamelle de soupe...
Il a toujours suivi docilement la troupe
De ceux qui ne sont plus et qui le caressaient.
Et quand le soir descend sur la plaine endeuillée,
Il a des aboiements lugubres qui font peur.
Pauvre chien, qui n'eût pas le suprême bonheur
De mourir avec eux, là-bas, dans la tranchée.
Poème écrit par un soldat de la guerre 1914-1918

left by ovanek on 02/09/2024  
Je t'enverrai un baiser avec le vent
Et je sais que tu l'entendras
💦꧂💦꧁꧂💦꧂💦꧁꧂💦
Tu te retourneras et, sans me voir, je serai là
En un baiser, tu sauras tout ce que je ne t’ai pas dit
🦋
Pablo Neruda




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Dis-le ! Des fois, maman fait n'importe quoi ! Elle a un grain, un gentil grain, mais quand même un grain...!!!
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Votre petit "chez vous" à Diesel et toi au Paradis...
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Le chemin vers le Paradis blanc...
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Maintenant tu es tout là-haut...mon Ange...
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Le nain de jardin te cherche partout...
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Une belle rose du jardin pour un bel Ange...
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Ton premier canapé a tenu un peu plus d'une semaine...
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Rubens "jardinier" !
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Ah les balais !
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A la mer avec les baballes...
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Promenade en forêt. Tu étais infatigable...
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Monsieur "câlin" sur son lit...
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Un petit bain de boue... C'est bon pour les rhumatismes...
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