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In tribute to
RUBENS
SETTER-GORDON
Born on :03/06/2000
left us on:04/03/2013

Et voilà, tu es parti mon ange
Comme tu étais venu, sans faire de bruit
Maintenant tu gambades au paradis
Tes pattes de velours glissent sur les nuages
J'ai mal, tellement mal,
Tu étais mon meilleur ami
Quand la vie s'acharnait, je venais te voir
Tu posais ta tête contre la mienne
Et tout allait mieux
Tu étais si beau à regarder et si doux à aimer
J'ai tant de beaux souvenirs avec toi
Je sais qu'il fallait te laisser partir
Mon chagrin passera sans doute
Mes souvenirs resteront
Je t'aime fort mon p'tit bouchon, ma puce
Mon poutounou d'amour
Tu dors à jamais paisiblement
Dans un coin de mon coeur

****************

UN AN QUE TU ES PARTI

Cela fait un an que tu es parti pour le paradis, mon Ange. Cela fait un an et j’ai l’impression que c’était hier, mon cœur. Cela fait un an que je t’ai ramené, un « fameux » 4 mars, en fin d’après-midi, chez le vétérinaire pour qu’il t’aide à monter au ciel sans trop de douleur. Je me souviens t’avoir porté dans la voiture car tu étais déjà trop faible pour y aller tout seul. Je me souviens de mes jambes qui tremblaient quand je conduisais, de mon cœur qui tapait très fort, de cette douleur dans ma poitrine, de ma gorge nouée, de ma tête dans la brume. Lorsque nous sommes arrivés chez le vétérinaire, tu es tombé sur les marches qui menaient à son cabinet. Alors je t’ai porté une dernière fois, mon Trésor. Dans la salle d’attente, tu m’as fait une grande léchouille tout le long du visage. C’était ton dernier geste d’amour, un peu comme un adieu. Puis tout est allé très vite : la véto, la seringue, toi endormi sur la table. Un bout de moi est parti avec toi dans ce monde merveilleux où tu gambades à présent. Je suis rentrée chez nous, mais je ne sais plus comment !!! Je t’ai aidé à partir par Amour, mais Dieu que c’était dur. JE T’AIME TANT, Amour de ma vie. Tu étais si beau, si doux, si tendre, si drôle aussi. Tu étais si tout, mon petit bouchon. Un vrai petit Prince qui galopait comme un petit étalon avec un cœur gros comme ça ! Nous avons passé tant de beaux moments ensemble ; j’ai tant d’inoubliables souvenirs… Mon cœur pleure d’avoir perdu un ami comme toi. Je mets ma tête contre ta tête, mon nez dans tes poils, je respire ton odeur, je te fais plein de papouilles, plein de bisouxxx, et une tonne de poutounouxxx. Tu as ta place bien au chaud dans mon cœur et dans mon âme, éternellement. Un jour, Dieu nous réunira et nous nous baladerons ensemble dans les forêts enchantées du Paradis des Anges à 4 pattes…….Coucounouxxx tout plein, mon Trésor…. Je ne t’oublierai jamais……….

******************

2 ANS QUE TU T'EN ES ALLE

Pour tes 2 ans au Paradis blanc, j’ai « composé » ce petit poème pour toi, rien que pour toi, mon doux Mamour :

*******

J’ai rêvé….
*
J’ai rêvé que je me promenais en forêt.
Il y avait une douce brise
Qui faisait chanter les feuilles des arbres.
Mille oiseaux sifflaient leurs plus belles ritournelles.
*
C’était une belle journée de printemps ;
Le soleil caressait ma peau de ses doux rayons ;
On entendait au loin hennir un cheval ;
Dans l’air flottait le doux parfum des genêts.
*
Je marchais d’un pas tranquille et léger.
Devant moi, courait une robe noire et feu ;
De grandes oreilles aux longs poils
Se promenaient et sautillaient dans les airs.
*
Tantôt la truffe en l‘air, tantôt la truffe au sol,
Tes pattes légères semblaient glisser sur l’herbe.
On aurait dit un petit étalon au vent.
Au trot, au galop, cours mon bel Ange.
*
Ce n’était qu’un beau rêve,
Mais je me souviens et me souviens encore
De nos balades, de nos jeux, de nos rires.
Nous nous aimions si fort et c’était le Bonheur.


*************************

3 ans déjà ! Encore un petit poème pour toi "Amour"...

*

De toi, il me reste…
*
Ton regard si tendre,
Ton odeur si douce,
Ta voix si grave, si belle,
Tes léchouilles sur mon nez, dans mes oreilles,
Ta truffe froide dans mon cou,
Nos tête-à-tête quand j’allais mal,
Mes larmes quand tu souffrais,
Mes rires quand tu faisais le pitre,
Nos jeux de baballe à n’en plus finir,
Tes bains de boue ; tu adorais la boue…
Nos belles balades en forêt et au bord de mer,
Il me reste tant de toi… tant d’Amour
A jamais en moi.


***********************************


PETIT CONTE POUR TOI, PARTI IL Y A 4 ANS UN 4 MARS....

*

Il était une fois un « petit étalon » noir et feu.
Tous les jours il s’en allait promener dans les bois.
Qu’il était beau quand il « galopait » sur les chemins,
Ses longs poils soyeux au vent.
Sa maîtresse n’avait d’yeux que pour lui ;
On pouvait y lire tout l’amour qu’elle lui portait,
Et Dieu sait qu’elle l’aimait fort.
Puis un jour « petit étalon » est parti
Courir au-dessus des nuages
Dans d’autres bois, d’autres prairies,
Laissant sa maîtresse seule et désemparée
Avec, pour consolation,
Tous les beaux souvenirs gravés à tout jamais
Dans sa tête et dans son cœur.


***********************************


POUR MON MAGNIFIQUE PRINCE DES ETOILES PARTI IL Y A 5 ANS...

*

Et si tu revenais pour tes 5 ans !!!
*
Et si tu revenais,
Ne serait-ce qu’une fois !!!
Que ferais-je ?
Je te serrerais fort dans mes bras,
Je te couvrirais de baisers,
Tous plus doux les uns que les autres ;
Je me remplirais de ton odeur,
Afin de ne l’oublier jamais ;
Je caresserais ton beau pelage,
Encore et encore…
Je te répèterais cent fois, mille fois,
Combien je t’aime,
Et combien tu me manques.
Si tu revenais
Ne serait-ce qu’une fois…
Je ne te laisserai plus repartir…


***************************************


Petit poème pour tes 6 ans de vie loin de moi… Jamais je ne t’oublierai…!!! Jamais…!!!
*
Quelques mots…
*
Que te dire que je ne t’aie déjà dit ?
Je ne sais pas…je ne sais plus !
Les mots qui me viennent
Sont toujours les mêmes :
Amour, tendresse, douceur
Absence, manque, douleur
Mais une chose est sûre :
« Il y a plus fort que la mort :
C’est le souvenir des absents
Dans la mémoire des vivants ».
Et, jusqu’à mon dernier souffle,
Je me souviendrai de toi
De ta douceur, de ta beauté,
De ton odeur, de ton intelligence
De tout l’amour que tu m’apportais
Jamais, tu m’entends,
Jamais je ne t’oublierai…jamais…!!!


******************************************


7 ans que tu m’as quittée mon trésor. 7 ans, un maudit 4 mars !!! J’aurais aimé que tu restes encore quelques années à mes côtés. Nous étions si bien ensemble. Tous les gens qui ont croisé ta route te trouvaient beau. Mais tu n’étais pas que beau : tu étais très doux, très obéissant et très intelligent aussi. Je ne te dis pas cela parce que tu étais mon chien, mais parce que c’est la vérité. Lorsque nous partions en vacances, on pouvait t’emmener partout avec nous. Quand nous allions au restaurant, tu restais sagement couché à mes pieds. A l’hôtel, tu dormais tranquillement sur ta couche. On louait toujours des maisons avec jardin et bien clôturées pour que tu aies de la place pour gambader et jouer à la baballe. Que de souvenirs, que de souvenirs !!! Tu n’as jamais rien cassé, rien abimé. Tu étais un Amour de chien tout simplement. Alors voilà ! Encore une année de plus sans toi, mon doux Coeur. Heureusement que j’ai ton petit cousin Iron. Il ne te remplacera jamais, mais il me fait des mamours comme toi et il me fait bien rire avec ses pitreries. Tu trouveras ci-dessous un petit poème pour te redire à quel point je t’aime mon poutounou tout doux. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz tout plein et tout partout.



Quelques mots d’Amour…
*
Allongé sur ton beau nuage,
De là-haut, tu me regardes.
Je sens tes yeux remplis d’amour
Me réchauffer tendrement.
*
Je me laisse aller à la rêverie ;
Je me souviens de tous nos doux moments,
Qui laissent une empreinte indélébile
Dans mon petit cœur.
*
Je sais, je me répète !
Mais, les souvenirs, c’est tout ce qu’il me reste
Depuis que ton « corps » a cessé de battre
Et que ton « âme » s’est envolée…
*
Alors oui, je rêve encore et encore
De toi mon doux Amour.
Et les ciels gris se transforment
En arcs-en-ciel éblouissants.


**************************************


8 ans, 8 ans, déjà 8 ans !!!

Quand souffle le vent
Quand tombe la pluie
Quand rayonne le soleil
C'est un signe de toi que tu m'envoies
*
Tu resteras toujours dans ma mémoire
Et je t'aimerai toujours
Tout fort, tout beaucoup
Jamais je ne pourrai t'oublier
*
Toi, mon bel ange
Mon coeur rempli d'Amour
Ma truffe de tendresse
Je t'aime, je t'aime, oui, je t'aime


*******************************************


Pour tes 9 ans loin de moi


Coucou mon « doux cœur », la « prunelle de mes yeux »,

L’année dernière, pour tes 8 ans d’anniversaire de départ, je ne devais pas être en forme du tout. Je t’ai juste déposé un petit poème. Cette année, ça va un peu mieux. J’ai toujours mes problèmes de santé et ça ne va pas en s’arrangeant, mais je suis là pour tes 9 ans, loin de moi…J’aime beaucoup ce site qui me permet de venir te voir tous les jours, de t’envoyer des fleurs, des poèmes, des bougies…9 ans, ça fait 9 ans, et le souvenir de ton dernier jour parmi nous est toujours aussi « vif ». C’est comme si cela était arrivé hier. Le 4 mars 2013 : maudite date, mais aussi un moment « fort », parce que j’ai eu ce courage de te laisser partir. Je t’aimais tant que mettre fin à tes douleurs était la plus belle manière de te dire tout mon amour pour toi, mon Poutounou n’à moi !!! Je n’en menais pas large tu sais. Je tremblais de tous mes membres lorsque je t’ai ramené chez le véto, ce fameux jour là… Mon cœur cognait fort dans ma poitrine. Si c’était à refaire, je ferais venir le vétérinaire à domicile. Quand le moment sera venu pour Iron, je l’espère, pas tout de suite, et si je suis encore là, je ferai venir le véto à la maison. Ce sera beaucoup moins stressant et pour lui et pour moi. Je regrette de ne l’avoir pas fait pour toi, mon bel étalon ! Je t’ai écrit un petit poème pour « marquer » tes 9 ans de départ pour le Paradis blanc. Je t’embrasse tout tendrement. Plein de petits bisous partout, partout, mon trésor…Je finirai bien par monter aussi tout là-haut. Garde-moi une belle place bien au chaud, à côté de toi de préférence…. Bizzzz ma grosse puce adorée… !!!


Tu es toujours là !
*
Le temps passe :
La pluie de l’automne
Chasse le beau ciel bleu de l’été.
Les bourgeons du printemps
Chassent la neige de l’hiver.
Les saisons se suivent ;
Les mois vont et viennent ;
Et tu es toujours là,
Blotti tout au fond de mon cœur,
Et présent dans un coin de ma tête.
Toujours là, mon bel Ange, toujours là…même 9 ans après !!!
*
Par moi pour toi


*******************************************************************


Comme le temps passe ! 10 ans déjà, 10 ans ma noble âme soeur...!!!



Mon doux mamour !

Et voilà, cela fait 10 ans que tu t’es envolé pour cet autre monde merveilleux. Le vide que tu as laissé a été en partie comblé par Monsieur Iron, setter gordon comme toi. Plus il vieillit, plus il te ressemble. Tu sais à quel point j’adore les câlins, les bisousss, les truffes humides dans le cou, les caresses sur un doux pelage, le nez dans les papattes... Je ne me voyais pas continuer le rude chemin de la vie toute seule. Voilà pourquoi Iron est entré dans ma vie quelques mois seulement après ton départ. Mais il ne t’a pas remplacé, oh non ! Je l’aime aussi fort que toi maintenant, mais tu es Rubens et tu resteras Rubens dans mon cœur pour l’éternité. Tu m’as accompagnée pendant 13 années de ma vie, des années pas toujours faciles. Mais je trouvais près de toi cet Amour si pur, si beau, si droit, si fort comme du cristal qui ne se briserait jamais. Bien souvent, lorsque j’étais à terre, tu m’aidais à me relever. Ton doux regard, ta douce et chaude truffe qui me « poussait » doucement en me disant : « allez courage, continue le combat, je suis là » ! Oui, tu as toujours été là, mon adorable et beau « Prince noir », mon « Poutounou na moi », comme j’aimais à t’appeler. Nous finissons tous par monter au ciel un jour, c’est sûr... Je voudrais que, pour l’occasion, tu me gardes une belle place tout près de toi, si possible. Et la première chose que je ferai en te revoyant, c’est enfoncer mon nez dans les coussinets de tes papattes et sentir ta bonne odeur de biscuits sortis du four. J’étais folle de tes papattes, tu t’en souviens ??? Et ton poitrail aussi avec tes poils si longs et doux. J’adorais y enfouir ma tête. Tu vois, je n’ai rien oublié ! Mais comment pourrais-je oublier un si bel Amour ??? Je t’embrasse tendrement, affectueusement pour tes 10 ans au Paradis blanc. A un de ces jours mon magnifique Prince noir et feu… !!!


Oh toi !!!
*
Toi qui n’es plus là !
10 ans que tu es parti aujourd’hui
10 ans que tu as quitté ma vie
D’aucuns diront : il te reste les souvenirs…!
Oui mais ce n’est pas toi…
J’essaye de me rappeler ta truffe froide dans mon cou
Tes tendres léchouilles sur ma joue
Oui j’essaye mais tout devient flou
Une fois, une fois seulement
Ressentir ton souffle chaud
Mettre mon nez dans tes papattes
Te serrer fort, très fort à t’étouffer
Je voulais juste te dire à quel point je t’aimais
Et que je suis très fière d’avoir passé
Une partie de ma vie à tes côtés, mon doux cœur…


***************************************************************

Coucou mon doux coeur...!!!

Que t’écrire pour tes 11 ans au Paradis blanc ? Je t’ai déjà tout écrit : que tu me manques, que je me souviens de tous nos doux moments passés ensemble, que j’aimerais que tu reviennes, ne serait-ce qu’une fois... Cette nuit, si tu le peux, viens me rejoindre dans un merveilleux rêve sans fin. Prends Iron avec toi. Vous me manquez tellement tous les deux. Je sais, parce que j’y crois, que je vous reverrai un de ces jours. Nous sommes si peu de chose sur terre. Un petit « coup de vent » et hop nous nous envolons vers les cieux. Cela peut arriver ce soir, demain, n’importe quand, n’importe où. Alors à bientôt peut-être mon bel étalon (encore un petit surnom). Une chose est sûre : lorsqu’on a vécu un Amour ou des Amours si beaux, si forts, si purs, on se sent forte, prête à affronter tout et n’importe quoi. Alors, quand le Bon Dieu décidera que mon moment est venu, je m’en irai sereinement, le cœur plein à craquer de beaux sentiments et de cette folle envie de vous revoir tous enfin et de vous serrer fort, tout fort contre mououaaa… !!! Et les larmes coulent…
*
Bizzzzzzzzzz mon trésor,
*
Ta maman Martine

*

Devant ma feuille blanche…
*
Je suis assise devant ma feuille blanche,
A essayer de t’écrire un joli poème
Pour tes 11 ans loin de moi.
La gorge est serrée comme toujours
Lorsque cette fichue date approche.
*
Cette année, Iron est venu te rejoindre.
Lui aussi est parti tout là-haut !
Mais c’est ton jour aujourd’hui !
Alors je vais juste te faire
Un Poutounou…
*
Non, je t’en fais plein et partout,
Je t’étouffe littéralement de bisous :
Un sur la truffe, un sur le front et les joues,
Un énorme sur ton beau poitrail.
Et, pour finir, je mets mon nez dans tes papattes… J’adooore !!!
*
Attends, ne t’en vas pas s’il te plait…
Pas déjà ! Je n’ai pas fini…
J’approche mes lèvres de tes grandes oreilles,
Et je te murmure tendrement,
Tous les petits surnoms que je te donnais.
*
Les voilà :
« Truffinette, Petite crotte, grand gamin,
Loustic, Peste, Bandit, Canaille, Chikoun,
Schtrumpf, Choupinette, Voyou, Petit Diable ».
Et le meilleur pour la fin : « P’tit Cul-Beaux Yeux »,
Parce que tu avais un petit cul et de très beaux yeux.
*
Voilà, mon doux cœur, mon petit poème pour tes 11 ans.
Passe le bonjour à ton cousin Iron…
Vous me manquez tous les deux…
Je n’arriverai jamais à faire mon deuil,
Je vous aimais beaucoup trop pour cela
*
Ta maman de cœur,
Qui ne vous oubliera jamais…





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left by rafia on 27/05/2014  
Balto et sa course contre la mort
Connaissez-vous l’histoire de Balto ?
Balto était un chien de traîneau de race husky sibérien né en 1919 en Alaska dans l'élevage de Leonhard Seppala qui travaillait pour une compagnie minière en tant que conducteur de traîneaux à chiens.
Il est célèbre pour sa participation à la course au sérum de 1925, pendant laquelle un médicament antidiphtérique dut être transporté d’urgence de Anchorage à Nome (en Alaska) par chemin de fer puis par traîneaux à chiens.
Balto à Central Park
En janvier 1925, la diphtérie, maladie mortelle pour les enfants, se développe à Nome. Du sérum est demandé en urgence à tous les hôpitaux des alentours. Les autorités apprennent qu'il en reste dans la ville d'Anchorage, à 1 600 kms de là. Le blizzard qui souffle en violentes rafales empêche l'acheminement par avion. Par contre, un train pourra transporter le sérum jusqu'à la ville de Nenana, mais pas plus loin, faute de chemin de fer. Or, Nenana se trouve encore à 1085 kms de Nome. Une seule solution : faire l'aller-retour en traîneau à chiens, un voyage de 25 jours en temps normal. Cette mission fut confiée à Leonhard Seppala qui partit de Nome en direction de Nenana avec un attelage de 20 huskies dirigé par Togo, son meilleur chien de tête.
Alors que Seppala était déjà en route, les autorités pensèrent qu'un relais de plusieurs attelages avait des chances de délivrer le précieux sérum plus rapidement. C'est ainsi que 20 mushers et plus de 100 huskies prirent part à la course.
On demanda à Gunnar Kassen, l'assistant de Seppala, dont l'équipage de huskies était dirigée par Balto, de faire partie du relais. Arrivant au dernier point de contrôle avant Nome, Kassen trouva son remplaçant endormi. Considérant que son équipage se comportait bien, il décida alors de poursuivre jusqu'à Nome. Le sérum fut ainsi livré de Nenana à Nome en seulement 5 jours et demi.
Bien que Seppala et Togo aient parcouru près du double de distance dans la portion la plus dangereuse du parcours, la presse, qui s'empara de l'histoire, fit de Balto le nouveau héros de la nation. À la fin de l'année, une statue sculptée par F.G. Roth, fut érigée à Central Park, à New York, avec ces mots : « Endurance - Fidélité - Intelligence ».
Après la mort de Balto le 14 mars 1933, ses restes empaillés furent donnés au musée d'histoire naturelle de Cléveland aux Etats-Unis.
Le chemin parcouru par Balto donne lieu à une course de traîneau annuelle, nommée Iditarod, dont la première édition répertoriée eut lieu en 1973.,
********************
Ma très chère amie
Je suis ravie de vs retrouver..vs m'avez bcp manqué. Mille mercis pr avoir aussi bien accueilli Ma¨¨el...mais aussi pr vos messages et bouquets...offerts avec une si grande générosité.
Je vs écrirai..plus tard..car très fatiguée par le décalage horaire. merci pr votre compréhension.
Mille bisous.
Tendresse pr Iron...en pleine forme, je l'espère.
Votre amie Maryem

left by inaya on 26/05/2014  
Qu'il était beau votre trésor ...vos mots m'ont amené les larmes aux yeux , et je comprend si bien votre tristesse, votre manque ...je pense qu'un amour aussi fusionnel est à jamais ancre dans nos cœurs et âmes ...quand nos amours de poils partent, c'est un tel gouffre de souffrance à l'intérieur de nous ...mais bon , je sais aussi qu'ils sont heureux dans leur joli paradis, et qu'ils continuent de veiller sur nous ....amitié .

left by poutounou on 25/05/2014  
Coucou Touaaa,
je viens te donner quelques nouvelles d'en bas.....Moi ça va à peu près. J'ai un genou qui me fait horriblement souffrir et je suis toujours autant fatiguée. J'ai beaucoup de mal à sortir du lit le matin. Mais bon, il faut faire avec, n'est ce pas ???!!! C'est la vie comme on dit ! A chacun sa croix. Sinon, Iron va bien. Plus de tiques pour l'instant. Je l'ai fait vacciner contre la piro en début de semaine. Il aura encore un rappel vers la mi-juin et c'est tout. Cet après-midi, j'ai un peu travaillé dans le jardin. A un moment, je n'entendais plus Iron. Je suis allée le voir, et le bougre avait un oisillon dans la gueule. J'ai échangé mon balai-brosse contre l'oisillon. Il respirait encore, mais est mort peu de temps après. Il doit être au paradis maintenant ! Je n'en veux pas à Iron. C'est la dure loi de la nature. Toi aussi tu avais attrapé une petite mésange qui s'approchait de moi sans crainte, et je ne t'en n'ai pas voulu pour autant...La semaine prochaine, je vais m'attaquer à la petite terrasse en bois en bas du jardin. On y passait de bons moments tous les deux... Il y a beaucoup à faire. Peut-être même redonner un coup de peinture. Enfin, je verrai d'après mon état de fatigue. Sinon, je ferai un peu le lundi, un peu le mardi et ainsi de suite....
Bon, je vais te quitter mon Cœur. Tu sais, je pense encore très souvent à toi. Iron est là bien sûr, mais toi aussi, dans mon cœur et dans ma tête...pour toujours...
Bizzzzzzzzzz ma Truffe d'amour.

left by monkillou on 25/05/2014  
Pour ma maman,
Ouvre grand,
La fenêtre Maman...
Ouvre grand,
Chut! écoute le vent,
Qui te porte un poème,
Avec des milliers de "JE T'AIME...".
Chut! écoute le vent,
Comme en ce jour de printemps.
Il t'apporte un baiser,
Celui de ton Rubens, ton confident...
Et te dire "bonne fête maman!".
JE T'AIME!
************
De la part de votre magnifique Setter Gordon Rubens, que vous aimez tant ainsi que de nous quatre...
Câlins également pour le petit coquin d'Iron...
Bon dimanche!
Amitiés.

left by ovanek on 25/05/2014  
Bonne fête à maman,
Une fête c'est comme une fleur
ça ne dure que quelques heures
mais ça laisse dans le cœur
un souvenir de bonheur
°*°Amitié°*°

left by seensouaree on 25/05/2014  
De la part de votre petit ange
Joli petit papillon tout charmant
Envole-toi vers ma maman
Apporte-lui mes plus tendres baisers
Pour aujourd' hui et pour toute l' année.
Bonne fête ma gentille maman
Amicalement.Seensouarée

left by rafia on 24/05/2014  
La brebis et le chien
La brebis et le chien, de tous les temps amis,
Se racontaient un jour leur vie infortunée.
- Ah ! disait la brebis, je pleure et je frémis
Quand je songe aux malheurs de notre destinée.
Toi, l'esclave de l'homme, adorant des ingrats,
Toujours soumis, tendre et fidèle,
Tu reçois, pour prix de ton zèle,
Des coups et souvent le trépas.
Moi, qui tous les ans les habille,
Qui leur donne du lait, et qui fume leurs champs,
Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille
Assassiné par ces méchants.
Leurs confrères, les loups, dévorent ce qu'il reste.
Victimes de ces inhumains,
Travailler pour eux seuls, et mourir par leurs mains,
Voilà notre destin funeste !
- Il est vrai, dit le chien, mais crois-tu plus heureux
Les auteurs de notre misère ?
Va, ma soeur, il vaut encore mieux
Souffrir le mal que de le faire.
Fable de Jean-Pierre Claris de Florian,

left by bouffie on 24/05/2014  
de la part d'un ange nommé Rubens
Bonne fête petite maman de cœur
petite maman bonheur
toi qui m'as donné tout ton amour
et qui me l'a promis pour toujours
même si pour tes yeux, invisible je suis devenu
saches que mon âme a choisi ton cœur
comme nouvelle demeure
bonne fête petite maman de mon coeur

left by ovanek on 24/05/2014  

Chaque soir avant de t’endormir
regarde à la fenêtre
et toutes les étoiles
que tu verras sont les milliers de papouilles que
je t'envoie !!!
*****

left by myriam31 on 24/05/2014  
Ces quelques lignes de la part de votre petit ange, pour fêter la fête des mères, pour une maman formidable et aimante. Il ne lui manquait que la parole pour vous adresser ce petit message de tendresse.
"En l'honneur de la fête des mères, une maman que je connais bien mérite d'être tout particulièrement célébrée. C'est certainement la plus douce, la plus aimante des mamans qui existent au monde. Et puis, par chance, il se trouve que c'est la mienne ! Bonne fête à ma maman chérie."
Bien amicalement

left by poutounou on 24/05/2014  
CHANSON DES ESCARGOTS
QUI VONT A L'ENTERREMENT
A l'enterrement d'une feuille morte
Deux escargots s'en vont
Ils ont la coquille noire
Du crêpe autour des cornes
Ils s'en vont dans le soir
Un très beau soir d'automne
Hélas quand ils arrivent
C'est déjà le printemps
Les feuilles qui étaient mortes
Sont toutes ressuscitées
Et les deux escargots
Sont très désappointés
Mais voilà le soleil
Le soleil qui leur dit
Prenez, prenez la peine
La peine de vous asseoir
Prenez un verre de bière
Si le coeur vous en dit
Prenez si ça vous plaît
L'autocar pour Paris
Il partira ce soir
Vous verrez du pays
Mais ne prenez pas le deuil
C'est moi qui vous le dis
Ça noircit le blanc de l’œil
Et puis ça enlaidit
Les histoires de cercueil
C'est triste et pas joli
Reprenez vos couleurs
Les couleurs de la vie
Alors toutes les bêtes
Les arbres et les plantes
Se mettent à chanter
A chanter à tue-tête
La vraie chanson vivante
La chanson de l'été
Et tout le monde de boire
Tout le monde de trinquer
C'est un très joli soir
Un joli soir d'été
Et les deux escargots
S'en retournent chez eux
Ils s'en vont très émus
Ils s'en vont très heureux
Comme ils ont beaucoup bu
Ils titubent un p'tit peu
Mais là-haut dans le ciel
La lune veille sur eux.
Jacques Prévert

left by monkillou on 24/05/2014  
L’amitié est comme un arc-en-ciel...
Rouge est comme une pomme, tendre jusqu’au noyau...
Orange, comme une flamme qui ne s’éteint pas...
Jaune, comme le soleil qui éclaire votre journée...
Vert, comme les plantes qui ne cessent de grandir...
Bleu, comme l’eau si pure...
Violet, comme une fleur prête à éclore...
Indigo, comme un rêve qui meuble votre coeur...
******
Merci pour cette jolie citation et excellent week-end à vous sans oublier votre beau et regretté Rubens, qui reste à l'abri et bien au chaud dans le fond de votre coeur...
Câlins aussi pour Iron!
Amitiés!

left by viana67 on 24/05/2014  

Pour fêter sa maman chérie, votre ange vous envoie ce petit message d’amour :
« J'ai de toi une image
Qui ne vit qu'en mon cœur.
Là, tes traits sont si purs
Que tu n'as aucun âge.
Là, tu peux me parler
Sans remuer les lèvres,
Tu peux me regarder
Sans ouvrir les paupières.
Et lorsque le malheur
M'attend sur le chemin,
Je le sais par ton cœur
Qui bat contre le mien. »
Maurice Carême (1899 - 1976)
Bonne fête des mères

left by rafia on 23/05/2014  
«  Va la chercher!  » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette
L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : «  Va la chercher!  »
LISA FITTERMAN
Deux jeunes soeurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle. De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées.
Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière. Et ses festons de glace.
Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau. Puis il se produit un craquement sourd.
Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance. Il n’est pas prêt à rentrer à la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller.
Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc. Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. C’est alors qu’ils entendent des cris.
Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là.
« On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! » Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! » L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. « Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. »
Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non. À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface. Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace. Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté.
« Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. »
Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? »
Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets. Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé.
« Les filles sont à l’eau !
— Dans une mare ?
— Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. »
Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur. Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête.
Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette.
« De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté.
Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam  chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre.
Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même.
Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge.
L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés.
Que faire ?
La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente.
Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ?
« Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. »
Le chien est leur dernière chance.
« Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse.
Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait.
« Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! »
Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon.
« Tiens bon, dit-il. Tiens bon. »
Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil.
Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre. Rocky et Adam encadrent
Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer.
« C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra.
Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge.
« Maman, j’ai failli mourir. »
Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue.
Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle.

left by CHIPIE66 on 23/05/2014  
Nous préparons notre avenir mais rarement notre voyage pour l'éternité.
Ce qui est tout a fait compréhensible me direz-vous.
Nous y réfléchissons bien sûr mais intérieurement nous pensons,
Que le plus tard sera le mieux et pourtant,
Nous savons qu'un moment donné cet instant arrivera.
Nous ne pourrons y échapper car celui-ci sera furtif et imprévu.
Pourquoi écrire sur ce sujet et bien...
En peu de temps j'ai eu près de moi des personnes proches
Qui sont parties pour ce voyage inédit.
Ceci est loin d'être facile car cette situation comporte de la souffrance.
Leurs yeux se sont fermés pour l'éternité et une autre destination.
Elles sont hors de notre portée et,
Ce qui est douloureux c'est de ne pas savoir où elles sont.
Et paradoxalement nous avons des témoignages qui nous disent,
Qu'elles sont juste de l'autre côté de la route
Alors vous me direz, c'est facile à dire mais difficile à imaginer.
Nous savons que notre voyage terrestre est temporaire.
Que nous sommes ici bas pour une raison bien précise.
Nous sommes là pour grandir et évoluer.
Nous ne pouvons imaginer justement que ce voyage s'arrêtera complètement sans rien après.
C'est impossible et ceci n'aurait aucun sens.
Je vais vous dire comment je vois ce voyage intemporel.
Pour ma part moi qui crois aux anges depuis mon enfance.
Je sais que je les retrouverai comme tous ceux que j'ai aimé inconditionnellement.
Pour moi c'est une destination vers l'amour empreinte de douceur et de tendresse infinie.
Evidemment quand une personne proche quitte le plan terrestre.
La souffrance est immense car nous ne la verrons plus.
Son absence physique nous manquera beaucoup.
Et pourtant notre énergie Divine la rejoindra à travers les rêves que nous ferons.
La musique que nous écouterons nous la rappellera.
Elle sera là d'une autre façon.
Ce que les yeux ne voient pas le coeur peut le ressentir.
Elles nous rejoindrons à travers notre âme.
C'est ainsi que nous commencerons notre voyage.
Tout simplement en imaginant que nos proches sont juste de l'autre côté de la route.
Avant de partir faire ce voyage pour l'éternité.
Faisons de celui-ci un voyage extraordinaire.
Qu'il soit fait d'amour et des plus beaux sentiments qui existent.
Et le moment venu nous serons prêt pour ce voyage vers l'éternité.
Mais le plus tard possible...
************
Caresses à RUBENS ....
Prenez bien soin de vous.
Amitié.
***********

left by rafia on 22/05/2014  
Publié par Alpharococo in Chiens
Tags11 septembre 2001, héros canin
Michael Hingson était à son bureau du 78e étage de la tour nord du World Trade Center le matin du 11 septembre 2001. Il a survécu pour raconter son histoire grâce à son chien guide, Roselle. La labrador blonde a calmement guidé son maitre non-voyant parcourant les 1463 pieds les séparant de la sortie de l’édifice et alors que débris et poussière tombait sur eux, elle trouva une station de métro, assurant leur sécurité.
Roselle est décédée en juin 2011 à l’âge de 13 ans mais sont héroïsme vivra à jamais. "Elle m’a sauvé la vie" écrivit Hingson sur le site de l’American Humane Association. Juste comme ils sortaient du building le jour du 11 septembre, la tour sud s’effondrait. "Pendant que tout le monde paniquait, Roselle est demeurée complètement concentrée sur son travail" mentionna Hingson.
11 ans après ces tragiques attentats, j’aimerais souligner et saluer le courage dont Roselle a fait preuve.

left by monkillou on 22/05/2014  
Ah si j'étais!
Si j'étais un papillon et TOI une fleur,
Je passerai ma vie à butiner ton coeur!
Si j'étais un ange gardien,
Ce serait le tien...
Si j'étais un oiseau et que je savais voler,
Je viendrai sur ton front y déposer un baiser!
Si j'étais un son,
Ce serait celui de nos coeurs à l'unisson...
Si j'étais plus près de toi,
Nul doute que je te chérirai plus d'une fois!
Et même si je suis loin de toi, mon plus grand malheur,
N'oublie pas ce que l'on dit : loin des yeux près du coeur...
********
En retour ce poème pour votre Rubens et pour vous-même...
Merci à vous, pour votre délicate attention et votre générosité!
Caresses virtuelles à votre magnifique étoile et d'autres également à votre Iron (en espérant qu'il aille bien).
Sincères amitiés

left by rafia on 21/05/2014  
Les golden retriever, héros du World Trade Center
Bear, un golden retriever, s'est illustré après les attentats du 11 septembre 2001, accompagné de plus de 300 de ses congénères. Tout comme April Moon, une jolie golden retriever de deux ans, qui sauve Marie, non-voyante : Marie reçoit April Moon le jour-même des attentats ; son chien-guide la conduira à travers 51 étages. Le calvaire dure près d'une heure, et Marie sortira indemne du World Trade Center peu avant que ses bâtiments s'effondrent.
Les autres races canines s'illustrent également : un doberman a retrouvé un enfant d'un an et demi qui s'était égaré en campagne lors d'un mariage dans un hôtel, un border collie a localisé un ouvrier au fond d'une tranchée de plusieurs mètres qui s'était effondrée, un berger allemand a retrouvé une victime suite à une explosion... La liste est longue et non exhaustive.
Nombreux sont les animaux qui resteront anonymes en dépit d'une brillante carrière. De nombreux organismes leur rendent fréquemment hommage, soyez attentif !

left by rafia on 20/05/2014  
L'amitié et l'ami
La réelle amitié d'un ami est sacrée,
Un merveilleux trésor qu'il faut protéger.
On peut se passer de l'amour,
Mais l'amitié il en faut toujours.
À qui confier nos joies, nos chagrins ?
Si ce n'est à un ami, tel un frangin.
Il est agréable de se sentir indispensable,
Quand lui vit des problèmes semblables.
L'amitié c'est beau, mais tellement rare,
Que la vie parfois ainsi nous sépare.
On oubliera jamais le véritable ami,
À qui on s'est confié sur sa vie.
Mais on oubliera bien plus vite,
Ces faux amis qui autour de nous gravitent.
Maxalexis.,
====================================================================================================
Pas encore familiarisé avec les messages joints aux bouquets.
Je fais de mon mieux.
Espérant que ce soit positif.
Très respectueusement.
Maël S-M

left by rafia on 19/05/2014  
Ecoute moi
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Accorde-moi seulement quelques instants,
Accepte ce que je vis, ce que je sens,
Sans réticence, sans jugement.
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Ne me bombarde pas de conseils et d'idées,
Ne te crois pas obligé de règler mes difficultés.
Manquerais-tu de confiance en mes capacités ?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
N'essaie pas de me distraire ou de m'amuser,
Je croirais que tu ne comprends pas
L'importance de ce que je vis en moi
Écoute-moi, s"il te plaît, j'ai besoin de parler.
Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas.
Voudrais-tu que ta moralité
Me fasse crouler de culpabilité ?
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
Ne te crois pas non plus obligé d'approuver
Si j'ai besoin de me raconter
C'est simplement pour être libéré
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler
N'interprète pas et n'essaie pas d'analyser
Je me sentirais incompris et manipulé
Et je ne pourrais plus rien te communiquer
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Ne m'interromps pas pour me questionner,
N'essaie pas de forcer mon domaine caché.
Je sais jusqu'où je peux et veux aller
Écoute-moi, s'il te plaît, j'ai besoin de parler.
Respecte les silences qui me font cheminer.
Gardes-toi bien de les briser,
C'est par eux bien souvent que je suis éclairé.
Alors maintenant que tu m'as bien écouté
Je t'en prie, tu peux parler
Avec tendresse et disponibilité
À mon tour, je t'écouterai
Jacques Salomé
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Dis-le ! Des fois, maman fait n'importe quoi ! Elle a un grain, un gentil grain, mais quand même un grain...!!!
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Votre petit "chez vous" à Diesel et toi au Paradis...
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Le chemin vers le Paradis blanc...
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Maintenant tu es tout là-haut...mon Ange...
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Le nain de jardin te cherche partout...
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Une belle rose du jardin pour un bel Ange...
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Ton premier canapé a tenu un peu plus d'une semaine...
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Rubens "jardinier" !
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Ah les balais !
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A la mer avec les baballes...
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Promenade en forêt. Tu étais infatigable...
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Monsieur "câlin" sur son lit...
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Un petit bain de boue... C'est bon pour les rhumatismes...
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