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En hommage à
SETTER-GORDONRUBENS
Il est né le:03/06/2000
Il nous a quittés le:04/03/2013
130 bougies
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64967 Fleurs
6854 messages
Déposé par bouledogue le 09/11/2015N'abandonne surtout pas ! Lorsque dans la vie rien ne va plus, que les problèmes tourmentent ton esprit et que l'argent te cause tant de soucis... Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas. |
Déposé par nounours le 09/11/2015. .........................BEL ANGE................... . ....Le ciel ne sera plus jamais aussi noir qu'il n'est aujourd'hui..... ....Comme un soleil ensorcelé tes yeux se perdent dans mes nuits...... ....On n'était pas du même monde mais qu'est-ce que ça fait maintenant........ ....Puisque les anges et les colombes se sont enfuis avec le vent........ . ....Depuis que t'es montée là-haut les anges n'ont jamais été plus beaux......... ....Depuis que t'es montée là-haut ici moi je me sens toujours de trop......... . ....Et la lumière viendra,éclairer ces ténèbres à la lueur du feu,qui s'éteint déjà..... ....Et toi tu partiras,et moi qui suis là si tu veux de moi,si tu veux de moi........ ....Et je t'emmènerai loin de ce monde,et je remercierai Dieu de t'avoir fait......... ....Et les bras vers le ciel,je te tiendrai la lune si tu veux de moi,si tu veux de moi........ ....Et si un jour la mort nous séparait,promis,là-haut,moi,je t'attendrai....... ....Et sur tes nuits je veillerai,comme une étoile,comme une étoile........... ....Il paraît que t'étais un princes moi je n'en ai jamais connue..... ....Juste des larmes et des détresses et ma chanson un peu perdue................. ....Si un jour tu veux redescendre sache que mon cœur est ouvert......... ....Et qu'il saigne à n'en plus comprendre où est l'éden où est l'enfer........ ....Depuis que t'es montée là-haut les anges n'ont jamais été plus beaux......... ....Depuis que t'es montée là-haut ici moi je me sens toujours de trop........ ....Depuis que t'es montée là-haut ici moi je me sens toujours de trop...... . .........................AMITIER A MAMAN..................... . |
Déposé par colombine67 le 09/11/2015Solitude, sais-tu pourquoi je t’aime ? Solitude, sais-tu pourquoi je t’attends ? Solitude, sais-tu pourquoi je t’espère ? Solitude, sais-tu pourquoi je t’ai apprise ? En toi, je trouve le refuge face au regard étranger, En toi, je trouve le silence face à l’inexplicable, En toi, je trouve la paix face à l’épuisement, En toi, je trouve celle que je suis devenue. Avec toi, j’ai parcouru des chemins inconnus, Avec toi, j’ai parcouru l’espoir et la désespérance, Avec toi, j’ai parcouru la vie et la souffrance, Avec toi, j’ai appris à tout réapprendre. Alors, Solitude, quand ma main tu lâcheras, Et qu’une main nouvelle viendra se tendre, Alors, Solitude, souvent mon cœur reviendra, Car pour aimer, il faut savoir attendre. Elisabeth Lafont |
Déposé par ovanek le 08/11/2015💖 💖 💖 109 💖 💖 ******* Notre étoile ******* merci de scintiller pour nous les nuits venues tu éclaires les chemins sur lesquels on te regarde et nous sommes heureux quand on s'endort auprès de tes pensées si toi tu es sur les nuages des anges ton cœur lui. Est dans le nôtre pour toujours tu es notre passé… !! Mais nous restons présents et futur pour Toi. On t'aime .....Veilles sur nous .... Tu es gravé dans nos âmes ... ... Mes Pensées.…Phil 💖 |
Déposé par poutounou le 08/11/2015Le plus beau cadeau * Faire le plus beau cadeau à quelqu'un : Ce n'est pas l'aider, Ce n'est pas combler ses désirs, Ce n'est pas lui apporter la sécurité, Ce n'est pas l'Aimer. NON. * C'est lui donner sa liberté, C'est l'accompagner QUELS QUE SOIENT ses choix, C'est lui montrer sa propre lumière, C'est croire en lui, C’est toujours rester dans la vérité, ET SURTOUT, C'est être à son écoute et lui donner l'occasion de s'Aimer... |
Déposé par Biscuit le 08/11/2015“ S'il vous plaît ne dite plus que la mort n'est rien. S'il vous plaît ne dite plus que cela passera avec le temps. S'il vous plait ne donnez plus de conseils... A ceux, à celles qui perdent un être cher... Parti toujours trop vite, trop tôt.... Laissez les pleurer de l'été, à l'automne, de l'hiver au printemps... Laissez les pleurer aussi longtemps qu'ils en éprouve le besoin... Laissez les parler, ne faites que les écouter. Il n'y a pas de temps limite pour faire son deuil. ” tu es gravé dans mon coeur , petit ange . Veille sur nous de la -haut |
Déposé par bouffie le 08/11/2015Quelques mots en hommage à nos merveilleux petits anges qui illuminent, telles des étoiles filantes, nos vies sur cette pauvre terre. Le destin m'a donné la chance de te rencontrer La douleur de te perdre Mais jamais il ne m'enlèvera le bonheur de ton souvenir Mon âme restera pour toujours Emplie de toi et de ta tendre et chaleureuse présence. Je t'aime mon chien, petit Etre d'amour pur amitié |
Déposé par rafia le 08/11/2015Savoir attendre Sans vouloir tout comprendre Savoir hurler Sans pour autant se résigner, Savoir pleurer Sans pour cela désespérer. Essayer d'avancer Pour ne pas retomber, Essayer d'oublier Pour ne pas se noyer, Essayer d'espérer Pour ne pas se révolter. Laisser couler son coeur Comme s'ouvre une fleur, Laisser sortir son âme Comme s'élève une flamme, Laisser renaître la vie Comme pousse l'épi. Regarder l'horizon Pour une autre ascension, Attendre un navire Pour un autre avenir, Guetter l'Espérance Pour une autre naissance. ( Elisabeth Lafont ) , , |
Déposé par colombine67 le 08/11/2015Comment puis-je attendre demain Tout en souffrant jusqu’à la limite Que j’espère que Dieu me tendra la main Me libérant du mal qui m’habite De devoir ainsi me demander Quand surviendra la prochaine crise Rend difficile pour moi d’espérer Pouvoir vivre sans cette hantise Mais je sais que je ne suis pas seul Et qu’autour on a besoin de moi Il faudra donc faire face aux écueils Et chercher à conserver la foi Pourra-t-on enfin m’aider un jour Voir le miracle se réaliser De pouvoir effacer pour toujours La douleur qui ne cesse d’accabler Mais je m’accroche encore à la vie Ma raison ne peut abandonner Je n’ai pas fini mon rôle ici Il me reste beaucoup à donner Malgré ce que j’ai à endurer Le sort me réserve du bonheur Et je prends le temps de savourer Même s'il ne dure que quelques heures Je dois compter sur le courage Dont tout mon être est habité Pour taire en moi toute cette rage Que le destin a su éveiller Je trouve la force à chaque jour Pour mon fils, mes parents, mes amis De puiser dans mon coeur de l’amour Et me coucher en disant merci Claude |
Déposé par Galinette3 le 08/11/2015Le petit chien 🐶 Je suis un petit chien Mais j’ai déjà quinze ans. Si je présente bien, Mon âge, je le sens. 🐶 Mon cœur est fatigué, J’ai des douleurs partout, Ma vue a bien baissé, Je n’entends plus du tout. 🐶 J’aimais bien la montagne Quand j’étais casse cou. Le vertige me gagne, Je fatigue beaucoup. 🐶 Je vais plus doucement Et je marche très peu. Je dors bien plus longtemps, J’ai caché tous mes jeux. 🐶 Quand une chienne passe, Je redeviens fringant, Je fais preuve d’audace, Je me sens élégant. 🐶 Mais dès qu’elle est partie, Je retrouve mon âge Et mon dos s’arrondit : Ce n’était qu’un mirage. 🐶 Mes maîtres m’aiment autant Que quand j’étais petit. Ils me disent souvent Que j’ai changé leur vie. 🐶 La mienne aura été Faite de grandes joies, J’aurai été choyé, J’aurai été un roi. 🐶 Quand il faudra partir, Je ne gémirai pas. Je voudrais m’endormir Blotti entre leurs bras. 🐶 Madeleine Reynaud. |
Déposé par rafia le 07/11/2015La tombe dit à la rose La tombe dit à la rose : – Des pleurs dont l’aube t’arrose Que fais-tu, fleur des amours ? La rose dit à la tombe : – Que fais-tu de ce qui tombe Dans ton gouffre ouvert toujours ?La rose dit : – Tombeau sombre, De ces pleurs je fais dans l’ombre Un parfum d’ambre et de miel. La tombe dit : – Fleur plaintive, De chaque âme qui m’arrive Je fais un ange du ciel !Par Victor Hugo, |
Déposé par poutounou le 07/11/2015Coucou mon Cœur, je pensais fort à toi... alors j'ai décidé de t'écrire un petit mot. La vie n'est pas toujours facile ici bas. J'ai pas mal de problèmes de santé comme tu le sais. Je passe d'un médecin à l'autre. J'ai des douleurs à droite, à gauche. Mardi prochain je passe un scanner abdominal. Je devais le passer cette semaine, mais l'appareil est tombé en panne le jour de mon rendez-vous. Je sais que tu seras avec moi ce mardi. Une des pires "choses" dans la vie, c'est d'avoir des douleurs et de ne pas pouvoir mettre de nom dessus. Le doute prend beaucoup de place dans ta tête, beaucoup d'énergie, et t'empêche de vivre normalement. C'est pénible. Ca va finir par me rendre complètement dingue tout "ça". Heureusement que je vous ai, toi et Iron. Tu sais comment la toiletteuse appelle ton cousin ? Tu vas rire : elle l'appelle "Monsieur Bisou". Avant de repartir de chez elle, ce jeudi, elle s'est penchée vers lui pour lui mettre la laisse et hop, un bisou sur la bouche ou presque... C'était trop drôle. Voilà mon Trésor... Je t'embrasse fort et continue de veiller sur nous de ton Paradis tout là-haut... * Ta maman qui t'adore... |
Déposé par colombine67 le 07/11/2015 N'abandonne surtout pas ! Lorsque dans la vie rien ne va plus, que les problèmes tourmentent ton esprit et que l'argent te cause tant de soucis... Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas. Lorsque trop d'erreurs ont été commises, que tout ton univers menace de s'écrouler et que, fatigué, tu sens la confiance t'abandonner... Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas. Tu sais, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus, et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir, ni combien d'obstacles nous devront surmonter avant d'atteindre le bonheur et la réussite. Combien de gens ont malheureusement cessé de lutter alors qu'il n'aurait peut-être fallu qu'un petit pas de plus pour transformer un échec en réussite ? Et, pourtant, un pas à la fois n'est jamais trop difficile. Tu dois donc avoir le courage et la ténacité nécessaire pour faire ce petit pas de plus, en affirmant que la vie est une grande et puissante amie qui se tient toujours à tes côtés, prête à te porter secours. Tu verras alors que cette attitude appelleras, du plus profond de toi-même, des forces de vie que tu ne soupçonnais même pas et qui t'aideront à réaliser ce que tu entreprendras. Mais surtout et avant tout, rappelle-toi bien: Quand dans ta vie, des moments difficiles viendront... Repose-toi s'il le faut, mais n'abandonne surtout pas. Anonyme |
Déposé par colombine67 le 06/11/2015Ne te laisse pas tromper par moi. Ne te laisse pas tromper par le visage que je porte, car je porte un masque, mille masques, masques que j'ai peur d'enlever, et je ne suis aucun d'entre eux. Faire semblant est un art qui est une seconde nature pour moi, mais ne sois pas dupe, pour l'amour de Dieu, ne sois pas dupe. Je te donne l'impression que je suis sûr, que tout est bien et sans problème avec moi, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur, que je suis la confiance même et que je plane au-dessus de tout, que l'eau est calme et que je suis bien aux commandes et que j'ai besoin de personne, mais ne me crois pas. A la surface, je suis lisse et sans faille, mais ce n'est que mon masque, toujours différent et toujours caché. En dessous, il n'y a aucune complaisance. En dessous résident la confusion, la peur et la solitude. Mais je les cache. Je ne veux pas que quiconque le sache. Je panique à l'idée que ma faiblesse soit exposée. C'est pourquoi, je crée avec frénésie un masque pour me cacher derrière, une façade nonchalante et sophistiquée, pour m'aider à faire semblant, pour me protéger des regards qui savent. Mais ce regard est précisément mon salut, mon seul espoir, et je le sais. S'il est suivi par l'acceptation, et s'il est suivi par l'amour. C'est la seule chose qui puisse me libérer de moi-même, des murs de la prison que j'ai érigés moi-même, des barrières que j'ai dressées avec tant d'efforts. C'est la seule chose qui puisse m'assurer de ce que je ne peux m'assurer par moi-même, que j'ai vraiment une valeur. Mais je ne te le dis pas. Je n'ose pas, j'ai peur de le faire. J'ai peur que ton regard ne soit pas suivi d'acceptation, ne soit pas suivi d'amour. J'ai peur que tu penses moins de moi, que tu ries et tes rires me tueraient. J'ai peur, qu'au fond, je ne sois rien, que tu le voies et me rejettes. Donc, je joue mon jeu, un jeu désespéré à faire semblant, portant sans assurance une façade et un enfant tremblotant à l'intérieur. C'est ainsi que débute la belle, mais irréelle parade des masques, et ma vie devient une façade. Je bavarde avec toi de manière suave de sujets éphémères. Je te dis tout de rien, et rien de ce qui est tout, de ce qui pleure à l'intérieur de moi. Alors, quand je passe à travers mon scénario ne te laisse pas berner par cette sérénade. S'il te plaît, essaye d'écouter attentivement et écoute ce que je ne te dis pas, ce que j'aimerais être capable de te dire, ce que j'ai besoin de te dire pour survivre, mais ce que je ne peux dire. Je n'aime pas me cacher. Je n'aime pas jouer les jeux superficiels. Je veux arrêter de jouer. Je veux être authentique, spontané et moi-même, mais tu dois m'aider. Tu dois me tendre la main même si c'est la dernière chose que je semble vouloir. Tu es la seule personne qui puisse effacer de mes yeux le regard vide d'un mort vivant. Tu es la seule personne qui puisse m'inviter à la vie. Chaque fois que tu es aimable, doux et encourageant, chaque fois que tu essaies de comprendre parce que tu portes attention, mon coeur commence à avoir des ailes qui poussent - de très petites ailes, de très faibles ailes, mais des ailes ! Avec ton pouvoir de toucher et de me faire sentir, tu peux m'insuffler la vie. Je veux que tu le saches. Je veux que tu saches combien tu es une personne importante pour moi, comment tu peux être un créateur - un créateur fidèle à Dieu - de la personne que je suis si tu le choisis. Toi seul peux briser le mur derrière lequel je tremble, toi seul peux enlever mon masque, toi seul peux me libérer de mon monde ombragé par la panique, de ma prison solitaire, si tu le choisis. S'il te plaît, choisis-le. Ne passe pas à côté de moi. Ça ne sera pas facile pour toi. Plusieurs années à croire que je ne vaux rien ont érigé des murs très solides. Plus tu approches de moi plus je peux combattre aveuglément. C'est irrationnel, mais en dépit de ce que les livres disent sur l'homme, je suis souvent irrationnel. Je lutte précisément contre la chose dont j'ai besoin. Mais on dit que l'amour est plus fort que les murs et c'est là que réside mon espoir. S'il te plaît, essaye d'enfoncer les murs avec une main ferme, mais douce, car un enfant, c'est très sensible. Qui suis-je, tu te demandes peut-être ? Je suis quelqu'un que tu connais très bien. Car je suis chaque homme que tu rencontres et je suis chaque femme que tu rencontres. Charles C. Finn |
Déposé par rafia le 06/11/2015Adieu Je viens te dire adieu, toi que j’aimais, Je viens te remettre à Dieu, à jamais. Rejoins tous ceux que nous avons aimés, Tous ceux qui nous ont déjà quittés. Tu es parti, nous ne te verrons plus Nos cœurs pleurent l’inconsolable douleur, En déposant ces gerbes de fleurs. Désormais tu es parti, adieu.... Mes yeux te chercheront dans les cieux, Pour toujours tu seras dans nos cœurs. Aide-nous à ce que la joie demeure. La vie a décidé de ton départ Et je dois te dire "au revoir". Je t’ai aimé et je te remets à Dieu, Cette nouvelle absence, quelle violence, Quelle déchirure et blessure immenses. Pourrai-je donner un sens à l’insensé Pourrai-je un jour enfin l’accepter ??? Désormais tu es parti, adieu Mes yeux te chercheront dans les cieux, Pour toujours tu seras dans nos cœurs. Aide-nous à ce que la joie demeure, La vie a décidé de ton départ Et je dois te dire "au revoir", Je t’ai aimé et je te remets à Dieu. Jamais plus rien ne sera comme avant, Depuis ton dernier souffle dans le vent, Je te rejoindrai mais pas maintenant Car la vie va toujours de l’avant. Merci pour tout cet amour partagé Nous serons plus grands de t’avoir aimé, Merci pour tout l’amour en héritage Ce chant nous te l’offrons en hommage. Adieu … Paroles et musique de Fleur-Lise, |
Déposé par rafia le 05/11/2015Les yeux.. Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l’aurore ; Ils dorment au fond des tombeaux Et le soleil se lève encore. Les nuits plus douces que les jours Ont enchanté des yeux sans nombre ; Les étoiles brillent toujours🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠🌠 Et les yeux se sont remplis d’ombre. Oh ! qu’ils aient perdu le regard, Non, non, cela n’est pas possible ! Ils se sont tournés quelque part Vers ce qu’on nomme l’invisible ; Et comme les astres penchants, Nous quittent, mais au ciel demeurent, Les prunelles ont leurs couchants, Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent : Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Ouverts à quelque immense aurore, De l’autre côté des tombeaux Les yeux qu’on ferme voient encore. Par Sully Prudhomme, |
Déposé par colombine67 le 05/11/2015Quand lui n'achève pas son travail, je me dis, il est paresseux. Quand moi, je n'achève pas mon travail, c'est que je suis trop occupé, trop surchargé. Quand lui parle de quelqu'un, c'est de la médisance. Quand je le fais, c'est de la critique constructive. Quand lui tient à son point de vue, c'est un entêté. Quand moi je tiens à mon point de vue, c'est de la fermeté. Quand lui prend du temps pour faire quelque chose, il est lent. Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose, je suis soigneux. Quand lui est aimable, il doit avoir une idée derrière la tête. Quand moi je suis aimable, je suis vertueux. Quand lui est rapide pour faire quelque chose, il bâcle. Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose, je suis habile. Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise, il s'occupe de ce qui ne le regarde pas. Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise, je prends des initiatives. Quand lui défend ses droits, c'est un mauvais esprit. Quand moi je défends mes droits, je montre du caractère. Pierre Descouvemont |
Déposé par rafia le 04/11/2015L'Adieu J'ai cueilli ce brin de bruyère L'automne est morte souviens-t'en. Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps brin de bruyère Et souviens-toi que je t'attends. Guillaume Apollinaire Bien chères amies/chers amis...je vs offre ce quintil...avec toute mon amitié...et avec mes remerciements les plus chaleureux. Maryem, votre amie |
Déposé par poutounou le 04/11/2015Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? * Gros cailloux * Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience". De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?". Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire". "Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?". "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)". D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle. * Anonyme |
Déposé par colombine67 le 04/11/2015 Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me donner des conseils, je n'ai pas de réponse à ma demande. Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela, je ne me sens pas respecté. Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à vouloir faire quelque chose pour résoudre mon problème, je ne me sens pas aidé, aussi étrange que cela puisse paraître. Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'écoutes. Non pas que tu parles ou que tu fasses quelque chose : je te demande simplement de m'écouter. Les conseils sont bon marché. Pour deux euros, j'aurai dans le même journal le courrier du cœur et mon horoscope. Je veux agir par moi-même, je ne suis pas impuissant, peut-être un peu découragé ou hésitant, mais non impotent. Quand tu fais quelque chose pour moi, que je peux et ai besoin de faire moi-même, je me sens dévalorisé et je ne progresse pas. Mais quand tu acceptes comme un simple fait que je ressente ce que je ressens (peu importe la rationalité), je peux arrêter de chercher à te convaincre, et je peux essayer de commencer à comprendre ce qu'il y a derrière mes sentiments apparemment irrationnels. Lorsque je vois clair, les réponses deviennent évidentes et je n'ai pas besoin de conseil. Les sentiments qui semblaient irrationnels deviennent intelligibles quand nous comprenons ce qu'il y a derrière. Peut-être est-ce pour cela que la prière marche, parfois, car Dieu ne parle pas. Il ne donne pas de conseils à ceux qui n'en demandent pas. Il n'essaye pas d'arranger les choses sans se soucier de ma liberté. Alors, s'il te plaît, écoute-moi. Et quand tu voudras que je t'écoute, demande-le-moi et je t'écouterai. Auteur anonyme indien |
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