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In tribute to
CANICHEThéo
Born on :01/04/2003
left us on:23/03/2022
91 candles
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22636 Flowers
1716 messages
left by poutounou on 10/07/2024Juste toi et moi mon Ange * JUSTE * Si j'avais juste une seconde pour te voir Juste une minute le temps de te faire une caresse Juste un après-midi pour un moment dans tes pattes à rêver Juste une journée toi et moi Juste une semaine en vacances loin ensemble Juste un mois pour me faire une place à tes côtés Juste un an pour pouvoir m'épanouir à tes côtés Juste une vie pour te dire : « Je t'aime » * Nathalie Auclair |
left by valetheo on 09/07/2024Mon doux Théo ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️ Le bilan de toutes ces années a vivre avec toi ...que du bonheur 💞💗💗💗💓💓💓💓💓💗❤️💞💗💓💓💓💓 Je t aime mon Théo tu me manques tellement |
left by valetheo on 08/07/2024Mon doux Théo ❤️💞❤️💞❤️💞❤️ J aimerais tant glisser mes doigts dans tes poils boucles ...sentir cette douceur ❤️💞❤️❤️❤️❤️💞💞💞💞💞💞 je t aime tant mon theo adoré ♥️❤️💞💗💗💓💗💗💓💗💗 |
left by spanky on 08/07/2024De là-haut, ---- De ce temps-là, je n'entends plus ma voix De ce temps-là, je ne guide plus mes pas De ce temps-là, je sais que je vais mais ne marche pas Sans aucun repos, j'avance puisqu'il le faut De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Désormais, s'il fait un peu plus frais Ce n'est pas que le temps soit mauvais Mais il est vrai que je me perds dans ce monde imparfait Ni meilleur, ni plus laid mais juste un pâle reflet De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau? Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud? Et s'ils te réconfortent, là où il t'emportent Je ne rêve qu'en noir et blanc Mes souvenirs se mêlent de sang et pourtant Je me lève pour faire semblant de vivre comme un vivant De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau? Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud? S'ils te réconfortent, là où ils t'emportent... de là haut ---- Interprète Thierry AMIEL. ---- |
left by choupinou on 08/07/2024Vous savez ce que c'est la mélancolie ? Vous avez déjà vu une éclipse ? Et bien c'est ça : la lune qui se glisse devant le coeur, et le coeur qui ne donne plus sa lumière. La nuit en plein jour. La mélancolie c'est doux et noir. C'est la tristesse du coeur. |
left by valetheo on 07/07/2024Mon beau Théo ❤️💞💗💓💓💓💗❤️ Rester a tes côtés quand il faisait mauvais ...cela valait tout l or du monde ❤️💓💓💓💓💓💓 |
left by poutounou on 07/07/2024Attention les neurones !!! * C'EST L'HISTOIRE DE... * C'est l'histoire de quatre individus: Chacun, Quelqu'un, Quiconque et Personne. Un travail important devait être fait, et on avait demandé à Chacun de s'en occuper. Chacun était assuré que Quelqu'un allait le faire. Quiconque aurait pu s'en occuper, mais Personne ne l'a fait. Quelqu'un s'est emporté parce qu'il considérait que ce travail était la responsabilité de Chacun. Chacun croyait que Quiconque pouvait le faire, mais Personne ne s'était rendu compte que Chacun ne le ferait pas. À la fin, Chacun blâmait Quelqu'un du fait que Personne n'avait fait ce que Quiconque aurait dû faire... * (Lamartine) |
left by valetheo on 06/07/2024Mon doux Théo ❤️❤️❤️❤️❤️ Une douce nuit bordée de beaux et doux rêves ♥️♥️♥️ Bisous mon Théo adoré ♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️ |
left by spanky on 06/07/2024CHANSON DES ESCARGOTS QUI VONT A L’ENTERREMENT ----------- A l’enterrement d’une feuille morte Deux escargots s’en vont Ils ont la coquille noire Du crêpe autour des cornes Ils s’en vont dans le noir Un très beau soir d’automne Hélas quand ils arrivent C’est déjà le printemps Les feuilles qui étaient mortes Sont toutes ressuscitées Et les deux escargots Sont très désappointés Mais voilà le soleil Le soleil qui leur dit Prenez prenez la peine La peine de vous asseoir Prenez un verre de bière Si le cœur vous en dit Prenez si ça vous plaît L’autocar pour Paris Il partira ce soir Vous verrez du pays Mais ne prenez pas le deuil C’est moi qui vous le dis Ça noircit le blanc de l’œil Et puis ça enlaidit Les histoires de cercueils C’est triste et pas joli Reprenez vos couleurs Les couleurs de la vie Alors toutes les bêtes Les arbres et les plantes Se mettent à chanter A chanter à tue-tête La vraie chanson vivante La chanson de l’été Et tout le monde de boire Tout le monde de trinquer C’est un très joli soir Un joli soir d’été Et les deux escargots S’en retournent chez eux Ils s’en vont très émus Ils s’en vont très heureux Comme ils ont beaucoup bu Ils titubent un petit peu Mais là-haut dans le ciel La lune veille sur eux. ----- Dit par dit par François PÉRIER. ---- |
left by valetheo on 05/07/2024Mon beau Théo 💞❤️💗💓💓 Toute la douceur de la terre est concentrée en toi mon trésor 💓💓💓💓💓💓💓💓💓💓 je t aime mon Théo 💗💗💓💓💓 |
left by valetheo on 04/07/2024Mon beau Théo 💞❤️💗💓💗 Douceur...câlins...doux moments...partage...toi et moi ...moi et toi....pour toujours 💗💓❤️💞💓💓❤️💞❤️💓❤️❤️💞💞 |
left by spanky on 04/07/2024UNE HISTOIRE QUI VAUT LA PEINE D'ÊTRE ENTENDUE --- LE MARCHAND ET LE CHIEN --- Un riche marchand entra dans la jungle avec beaucoup d'argent. Il s'approcha d'un lion et lui demanda : -- "Qu'est-ce que tu veux le plus dans la vie ? Dis-moi combien ça coûtera, et je t'offrirai l'argent pour l'obtenir." -- Le lion réfléchit un court instant, puis dit avec un regard extatique : -- "Oh marchand, je veux acheter une maison avec un grand jardin. Je veux un endroit où je me sentirais à l'aise, et vivre comme un roi. Ça coûterait 3 millions de dahma." -- Le riche marchand offrit immédiatement au lion la somme exacte d'argent. Le lion sauta de joie et ne cessa de répéter quelle belle journée c'était. -- Ensuite, le riche marchand se rendit auprès d'un hippopotame et lui demanda : -- "Qu'est-ce que tu veux le plus dans la vie ? Dis-le-moi et dis-moi combien ça coûtera, je t'offrirai l'argent." -- L'hippopotame hésita quelques secondes, puis murmura avec excitation : -- "Eh bien, je veux une piscine privée. Les poissons et les oiseaux me dérangent toujours quand je nage dans la rivière. Ça coûterait 2 millions de dahma." -- Le riche marchand offrit immédiatement à l'hippopotame la somme exacte d'argent. Celui-ci poussa un cri de joie et dansa autour du marchand avec un immense plaisir. -- Ensuite, le riche marchand s'approcha d'un chien et lui posa la même question : -- "Combien te faut-il pour obtenir ce que tu veux le plus dans la vie ? Dis-le-moi." -- Le chien répondit humblement, après un long silence : -- "Oh marchand, je n'ai vraiment pas besoin de ton argent parce que ce que je veux le plus dans la vie est gratuit. Ce sont : des câlins, des sourires, des amis, des baisers, la famille, le sommeil, l'amour, le rire et de bons souvenirs. En fait, l'argent ne peut pas acheter ces choses." --- Le riche marchand fut complètement stupéfait par ce que le chien venait de dire. Il sourit et ajouta chaleureusement : -- "Écoute, chien, ce sont les meilleures choses de la vie. Tu devrais venir vivre avec moi dans ma maison. Sois mon meilleur ami, et partageons ensemble les meilleures choses de la vie. Désormais, tu n'appartiendras plus à la jungle." -- La vie est vraiment simple, mais nous insistons pour la compliquer. Au fur et à mesure que les gens deviennent plus riches, ils semblent ajouter plus de choses à leurs vies. Les gens utilisent des maisons et des trésors pour prouver qu'ils ont gagné le jeu de la vie. Les hommes et les femmes dépensent beaucoup d'argent pour des vêtements, des gadgets et des choses qui les font se sentir 'supérieurs'. Mais ironiquement, ces tas de choses nous retiennent de la paix intérieure avec nous-mêmes. Les choses les plus précieuses de la vie ne coûtent pas d'argent. Et il est important de ne jamais perdre de vue cela. Alors regarde autour de toi. Partout où tu vois des câlins, des sourires, des amis, de la famille, de l'amour, du rire, etc., voilà ton trésor. ---- Maxime Y. Kpodji ---- Mes histoires enseignent des leçons de vie. -------- |
left by valetheo on 03/07/2024Mon beau Théo ❤️💞💗💗 Quelle tristesse cette vie sans soleil ni chaleur... Mais mon coeur se réchauffe en pensant à toi 💞❤️♥️❤️❤️♥️♥️❤️♥️♥️❤️ |
left by poutounou on 03/07/2024Petite pensée ! C'est tellement vrai ! Essayons juste de faire preuve d'indulgence..... * AVANT DE JUGER... * C'est tellement facile de trouver ce qui ne fonctionne pas dans la vie des autres. Nous nous disons souvent : "Si j'étais à sa place, je ferais telle chose, telle chose, telle chose !" Mais avons-nous déjà pensé que si nous étions réellement à la place de l'autre personne, vraiment dans ses souliers, nous serions alors aux prises avec ses émotions, ses préjugés, ses réactions, ses inquiétudes, ses ambitions, ses objectifs, ses inhibitions, ses instincts ; bref, nous aurions son passé, son présent et son avenir et il est fort probable que nous agirions exactement de la même façon qu'elle. * Avant de condamner quelqu'un, essayons non seulement de le comprendre, mais de vibrer au même diapason que lui et nous constaterons alors que nos émotions ressemblent aux siennes. * (Auteur inconnu) |
left by valetheo on 02/07/2024Mon doux Théo ❤️❤️💞💗💓💓💓 Tu es présent chaque jour de ma vie 💞💓❤️ tu fais et feras toujours partie de ma vie mon Théo adoré ♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️ |
left by spanky on 02/07/2024 « Va la chercher! » : Un chien héroïque sauve la vie d'une fillette. L’homme aperçoit une fillette qui se débat dans l’eau glacée, hors de sa portée. Il crie aussitôt à son chien : « Va la chercher! » ISA FITTERMAN Deux jeunes sœurs empruntent un sentier non loin d’une passerelle. De là, elles contemplent la rivière Saskatchewan-Nord qui serpente dans la vallée entre deux rives gelées. Mais elles se lassent vite. Cheveux bruns et expression résolue, Krymzen descend un sentier recouvert de neige. Elle a 10 ans. Samara, sa cadette d’un an, visage rond et d’adorables fossettes, la suit. Elles se dirigent vers le seul lieu que leur mère leur a défendu d’approcher… la rivière. Et ses festons de glace. Les fillettes avancent à petits pas prudents sur la glace. Leurs bottes de caoutchouc baignent dans l’eau. Puis il se produit un craquement sourd. Rocky court devant Adam et Kelsey Shaw, essayant de renifler un maximum avant d’arriver au camion de son maître. Rocky est un grand chien de huit ans au poil hirsute, enjoué, avec un brin d’indépendance. Il n’est pas prêt à rentrer à la maison. Il adore chasser et rapporter, surtout s’il faut se mouiller. Venus de Fort Saskatchewan, à 25 km au nord d’Edmonton, les Shaw ont passé un bel après-midi au parc. Ici, les grands sentiers dégagés permettent de bien circuler avec la poussette où dorment leurs jumeaux. En trois heures, ils n’ont croisé qu’une poignée de marcheurs endurcis dans leur genre. Vers 16 h 20, ils empruntent la passerelle du parc pour regagner le stationnement. C’est alors qu’ils entendent des cris. Ils regardent par-dessus la rambarde. Ils sont alors pétrifiés quelques secondes par une scène d’horreur : une petite fille a traversé la glace, une autre essaie de la tirer de là. « On vous voit ! hurlent-ils. On arrive ! » Pendant que sa femme fait le 911, Adam lance : « Rocky, on descend ! » L’homme de 28 ans dévale le même talus que les deux fillettes. Il enfonce dans la neige, parfois jusqu’aux hanches, mais pas question de ralentir. Le souvenir lui revient de Ben, son frère et meilleur ami, tué dans une collision frontale sur l’autoroute six semaines auparavant, durant un blizzard le jour de la Saint-Valentin. « Pas aujourd’hui, se dit-il. Personne ne mourra aujourd’hui. » Krymzen voit le couple s’égosiller du haut de la passerelle, mais elle ne peut attendre : sa sœur est dans l’eau. En entendant le craquement, elle a fait demi-tour et s’est mise en sûreté. Samara, non. À présent, Krymzen donnerait n’importe quoi pour retourner en haut et ne jamais descendre. Pourquoi se sont-elles aventurées sur la glace ? « Peux-tu attraper ma main ? » crie-t-elle à sa sœur qui se débat à la surface. Mais voilà que la glace cède sous son poids et elle tombe à l’eau, elle aussi, tout en se cramponnant à un éperon de glace. Puis l’homme au chien se penche au-dessus d’elle, la soulève et la dépose en sûreté. « Ma femme est là, sur le pont, dit-il en la montrant du doigt. Elle a appelé les secours et va t’aider. Attends-la. Ne bouge pas. » Krymzen frissonne. « Ma sœur ! Où est ma sœur ? » Miranda Wagner vient de sortir la dinde du four quand on frappe à la porte. Son mari Cory Sunshine, un travailleur du pétrole, est en congé à la maison, mais ne peut répondre, car il s’occupe des deux fils cadets. Elle s’essuie les mains, ouvre. C’est le petit voisin de six ans qui est là, très énervé. « Les filles sont à l’eau ! — Dans une mare ? — Non, dans la rivière, répond le garçon. Samara flotte à la dérive. » Sa petite fille potelée, tombée à l’eau ? Miranda reste figée. Puis elle secoue la tête, hurle à son mari de surveiller les garçons et se précipite à l’extérieur. Une prière muette remue ses lèvres. Les paroles du gamin résonnent dans sa tête. Dans le courant qui l’emporte, Samara prie elle aussi, avec la même ferveur qu’à l’école catholique Sainte-Bernadette. « De grâce, Seigneur, laissez-moi vivre », implore-t-elle silencieusement. Elle a déjà perdu son manteau et une botte rose. Ses parents seront furieux ! Pour avoir des ennuis, tu dois survivre, lui chuchote une voix intérieure. Il fait si froid, plus froid qu’elle n’aurait cru possible. Elle sait nager, mais en est incapable. Pas là-dedans. Ses membres refusent. Huit minutes se sont écoulées -depuis qu’elle est tombée à l’eau. Elle a beau n’avoir que neuf ans, elle sait que le temps lui est compté. Krymzen sanglote pendant qu’Adam cherche sa sœur des yeux. Il la repère rapidement, un peu plus loin en aval, grâce à son t-shirt rouge et à son collant rose. Rocky et lui s’élancent, mais la glace fondante est recouverte de 15 cm de neige, et l’enfant flotte à un mètre et demi de la croûte solide, emportée comme un morceau de bois par le courant. Elle pourrait tout aussi bien se trouver à cinq kilomètres d’Adam chaque fois qu’il tente d’avancer vers elle, il sent la glace ployer sous lui. « Je ne peux pas bouger mes bras, ni mes jambes », crie-t-elle. En homme qui travaille dans les champs de pétrole et qui pratique le plein air, Adam reconnaît bien les symptômes d’hypothermie. Les muscles de Samara sont paralysés parce que tout son sang afflue aux organes internes pour les réchauffer. Bientôt, elle perdra connaissance, et ses fonctions vitales s’arrêteront. Elle n’a plus que quelques minutes à vivre. Adam lance la laisse de Rocky dans sa direction. Trop court. Il recommence un peu plus loin, mais – Dieu ! – la glace cède sous son poids et celui du chien, et il se retrouve dans l’eau jusqu’au cou, Rocky nageant à côté du lui. Quand il essaie de se soulever, le bloc de glace immergé sur lequel il s’appuie se dérobe sous ses pieds, et il doit nager frénétiquement pour se sauver lui-même. Dix secondes, puis vingt – l’heure tourne. Rocky prend enfin appui sur une plaque qui tient bon. Adam le pousse hors de l’eau et sort à son tour en s’accrochant au cou du chien. Il se relève en titubant et cherche Samara des yeux. À une quinzaine de mètres, il aperçoit une tête sombre et une tache rouge. L’homme et le chien repartent en courant, se rapprochent, mais la glace cède de nouveau. Adam reste là, impuissant, Rocky à ses côtés. Que faire ? La réponse fuse dans sa tête dictée par la confiance qu’il met dans son chien – ce chien qui porte le nom d’un boxeur de cinéma devenu champion contre toute attente. Rocky, chasseur et rapporteur hors pair, si heureux au froid qu’il a déjà creusé une grotte dans la neige et joué dedans par moins 46 degrés Celsius. Rocky, prêt à tirer jusqu’à la rive une Kelsey paresseusement accrochée à sa laisse. Pourquoi ne recommencerait-il pas aujourd’hui ? « Je vais attacher solidement la laisse et faire sauter le chien à l’eau un peu plus bas, hurle-t-il à Samara. Accroche-toi à lui, à la laisse, à sa fourrure, à n’importe quoi et ne lâche pas. » Le chien est leur dernière chance. « Rocky, vas-y ! » L’animal se jette à l’eau et nage vigoureusement à contre-courant pour rejoindre Samara. À bout de forces, elle le regarde approcher, les oreilles collées au crâne. Elle aime les chiens, même les grands, et n’a pas peur de lui, mais c’est à peine si elle parvient à garder les yeux ouverts quand il la pousse de sa truffe. Elle n’essaie pas d’attraper la laisse. Rocky lui donne un coup de patte comme pour dire : « Dépêche-toi, nous n’avons pas de temps à perdre. » Il est calme, solide comme le roc. Samara sent une partie de cette force passer en elle. Elle attrape la laisse. Rocky fera le reste, elle le sait. « Tiens-toi à deux mains », crie Adam avant d’ordonner : « Rocky, viens ! » Samara ferme enfin les yeux, le chien la ramène au bord. Adam la tire de l’eau et la serre dans ses bras. Il a l’impression de tenir un glaçon. « Tiens bon, dit-il. Tiens bon. » Il sursaute en entendant la sonnerie de son portable. Difficile de croire que l’appareil fonctionne encore après son bain forcé. Le responsable des urgences 911 est au bout du fil. Il est 16 h 35. À peine 15 minutes se sont écoulées depuis qu’Adam a gravi la passerelle, dans une autre vie. Le trio trempé se prépare à attendre.Rocky et Adam encadrent Samara pour la soutenir et tenter de la réchauffer. « C’est bon », murmure sans arrêt Adam comme s’il récitait un mantra. Miranda entre en trombe à l’hôpital de l’Université de l’Alberta en réclamant ses filles. Elle trouve une Krymzen contrite et larmoyante au fond d’un lit, sous une couverture chauffante. Samara dégèle au centre de traumatologie dans un cocon de couvertures. Le sang de Miranda se glace quand les médecins lui expliquent que sa fille n’avait que deux petites minutes à vivre lorsque Rocky l’a remorquée jusqu’à la berge. « Maman, j’ai failli mourir. » Miranda voudrait rire, hurler, pleurer. Sermonner ses filles, les raisonner, ne plus jamais les laisser hors de sa vue. Mais elle ne peut que serrer très fort Samara contre elle. ------ |
left by valetheo on 01/07/2024Mon beau Théo 💞💞❤️💗💗💗💗💗💗 Toute ta douceur ...toutes tes léchouilles .... Tout toi 💗❤️❤️💞💞💞💞 love forever mon theo adoré ♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️❤️💓💓💓💗❤️ |
left by valetheo on 30/06/2024Mon beau Théo 💞💗💓💓💓💗💗💗💗 Aide moi a choisir le chemin qui m amené vers la lumière 💗💗💗💗 Sois a mes côtés comme avant 💓💞💞💞💞💞💞💞❤️❤️💓💞💞❤️❤️❤️❤️ Tu me manques mon Théo adoré ♥️♥️♥️♥️♥️♥️❤️💓💓💓💓💓💓💓💓 |
left by spanky on 30/06/2024DESSINE-MOI...un ESPOIR ----- C’’est une petite voix que j’’entends, depuis mercredi, dans le désert de ma tête, une petite voix qui me demande : Dessine-moi un espoir !!! J’’aimerais bien, mais on dessine ça comment un espoir, quand on vient de voir des gens se faire tuer à cause de leurs dessins ??? On dessine un soleil ??? Un gros soleil. Un rond jaune avec plein de lignes autour. De nos jours, le soleil, ce n’’est plus l’’espoir. Le soleil, c’’est le danger. C’’est la folie des hommes qui a transformé l’’astre de la vie en bombe à retardement, à cause de leur fumée. De leur progrès. De leur argent. On dessine une maison ??? Un carré avec un triangle par-dessus pour faire le toit.... Une porte et deux fenêtres. Et on se dit que dans la maison, il y a des gens heureux.... Mais s’’ils ne l’’étaient pas ? Il y a tellement de maisons avec des habitants malheureux dedans. Avec des frères qui méprisent les maisons qui les entourent. Et qui débarquent dans l’’une d’’elles, pour commettre l’’irréparable. On dessine un coeœur ? ?? Un grand coeœur..... Et on le colore tout rouge pour qu’’il ne soit pas vide. Parce qu’’il n’’y a rien de plus triste qu’’un cœoeur vide. Mais un coeœur tout rouge, ça devient un coeœur qui saigne. L’’amour et le sang ont la même couleur....... Et c’’est toujours pour le premier que coule le second. On dessine une fleur ? Un rond, des pétales autour et une tige.... C’’est beau, une fleur. Mais aujourd’hui, impossible d’’en voir une sans penser qu’’il y a un mort en-dessous. Comme toutes ces fleurs laissées sur le trottoir devant le 10, rue Nicolas-Appert..... J’’ai peur qu’’un jour, il n’’y ait plus assez de fleurs pour tous les morts que l’’on fait. On dessine un bonhomme allumette ??? Un rond pour la tête, une ligne pour le corps, deux lignes pour les jambes, deux lignes pour les bras. Un être humain, ça devrait être ça, le symbole de l’’espoir..... Pourtant, il n’’y a rien de plus désespérant qu’’un être humain. Il peut tuer son voisin parce qu’’il n’’aime pas son dessin.... L’’espoir, c’’est croire que demain, ça ira mieux. Que demain, le monde sera meilleur. Les journalistes de Charlie Hebdo le croyaient.... C’’est pour ça qu’’ils se tenaient debout. C’est pour ça qu’’ils riaient. On leur a fait peur.... Ça n’’a rien changé. La peur n’’a pas eu raison de leur foi en l’’homme..... Ils sont restés debout. Ils ont continué à rire. Des vrais. Pour tuer leur espoir, il fallait les tuer. C’’est ce que des fous ont fait. Et nous qui assistons à ça, nous qui ne sommes pas aussi braves que les victimes, ni aussi lâches que les agresseurs, comment on fait pour continuer de croire qu’’un jour, ça ira mieux ? Quand les plus convaincus sont partis à cause de leurs convictions?? ? Et que la tuerie se poursuit, le lendemain ???? C’’est l’’ultime but des terroristes : tuer l’’espoir. Ils veulent rendre tout le monde semblable à eux. Il n’’y a, en eux, aucun espoir. C’’est pour ça qu’’ils sont prêts à tuer. C’’est pour ça qu’’ils sont prêts à mourir. L’’espoir fait vivre. L’’absence d’’espoir fait tuer. Pourquoi en sont-ils rendus là ??? Sûrement à cause des hommes...!!! D’autres hommes...... Désespérés avant eux. Et la roue tourne. Gigantesque..... Et elle écrase tous ceux qui ont le malheur d’’être sur son chemin. Bien sûr, la solidarité qui naît après l’’horreur est émouvante. Ça réconforte. Nous sommes tous Charlie. C’’est joli. Mais un coup que c’’est dit, qu’’est-ce qu’’on fait ??? On redevient Stéphane, Martine ou François. Et on pense à soi. En premier. Comment rester Charlie ??? Depuis mercredi, j’’ai la tête comme un désert. Vidée de mes repères. Vidée de mes beautés. Chaque fois que l’’homme est un loup pour l’’homme, ça m’’anéantit. Vous aussi. Et l’’enfant en moi qui supplie : Dessine-moi un espoir !!! Dessine-moi un espoir !!! Mon soleil, ma maison, mon coeœur, ma fleur, mon bonhomme n’’ont pas fait l’’affaire..... Je m’’essaie une dernière fois. Je prends une feuille blanche. Et je n’’y dessine rien.... Je la lui tends : Tiens mon enfant, c’’est ça l’’espoir. Une page blanche.... Il la prend. Il est content.... Il comprend. L’’espoir est une page blanche..... Tant que la page est blanche, il est permis de croire que l’’on va faire le plus beau des dessins. Tellement beau qu’’il nous rendra heureux. Si on tournait la page de nos marques et de nos blessures.… Si on avait tous devant nous une page blanche…!!!!… ------ |
left by poutounou on 30/06/2024Avoir ta patte dans ma main, l’instant seulement d’une pause.... * L'INSTANT D'UNE PAUSE * L’instant d'une pause Le bonheur est fait de rien Et de mille petites choses De se lever le matin Sans plus en chercher la cause De savoir que le chemin Parfois peut-être morose Et dans un sourire malin Être prêt pour une pause Il y a des jours où tout est gris Et où l'on ne voudrait rien voir Et puis, il y a notre coeur aussi Qui nous conduit jusqu'au soir Il y a cette solitude intense Qui existe et qui est là C'est dans ces moments, je pense, Que je peux rêver de toi À chercher, à tout comprendre Je me demande si je verrais Un jour les fleurs en décembre Et la neige en été Sur le site de mon coeur Il y a tant de va-et-vient Et j'en ressens la douleur De la nuit jusqu'au matin Le bonheur est fait de rien Et de mille petites choses D'avoir ta patte dans ma main L'instant seulement d'une pause. * (Auteur inconnu) |
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