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En hommage à
LABRADORJunior
Il est né le:21/11/1999
Il nous a quittés le:11/07/2012
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2827 messages
Déposé par Cupidon le 31/07/2020 "Vole" Vole vole petite aile Ma douce, mon hirondelle Va t'en loin, va t'en sereine Qu'ici rien ne te retienne Rejoins le ciel et l'éther Laisse-nous laisse la terre Quitte manteau de misère Change d'univers Vole vole petite soeur Vole mon ange, ma douleur Quitte ton corps et nous laisse Qu'enfin ta souffrance cesse Va rejoindre l'autre rive Celle des fleurs et des rires Celle que tu voulais tant Ta vie d'enfant |
Déposé par poutounou le 26/07/2020Qu'est ce qu'on est bien quand on rêve.....de nos Anges… * Extrait du « Grand Sommeil » d'Etienne Daho * Je ne peux plus me réveiller, rien à faire Sans moi le monde peut bien tourner à l'envers Engourdi par le sommeil et prisonnier de mon lit J'aimerais que cette nuit dure toute la vie * Lorsque je rêve tu es tout près de moi C'est la seule façon de rester avec toi C'est la raison pour laquelle je n'veux plus quitter mon lit Pour qu'enfin toutes les nuits durent toute la vie. |
Déposé par poutounou le 19/07/2020Si seulement je pouvais revenir te chercher, mon Ange… * Je reviens te chercher (extrait) * Je reviens te chercher Je savais que tu m'attendais Je savais que l'on ne pourrait Se passer l'un de l'autre longtemps Je reviens te chercher Ben tu vois, j'ai pas trop changé Et je vois que de ton côté Tu as bien traversé le temps * Gilbert Bécaud |
Déposé par poutounou le 12/07/2020SOUVENIRS * Voyez partir l’hirondelle, Elle fuit à tire d’aile, Mais revient toujours fidèle, A son nid, Sitôt que des hivers le grand froid est fini *. L’homme, au gré de son envie, Errant promène sa vie Par le souvenir suivie De ces lieux Où sourit son enfance, où dorment ses aïeux *. Et puis, quand il sent que l’âge A glacé son grand courage, Il les regrette et, plus sage, Vient chercher Un tranquille bonheur près de son vieux clocher *. (Rouen, 1869) Guy de Maupassant, Poésie Diverses |
Déposé par spanky le 11/07/2020Aujourd'hui mon coeur cela fait 8 ans que tu t'es envolé pour le paradis blanc Et tu me manques toujours énormément mon Juju d'Amour. Comme j'aimerais pouvoir te toucher, te caresser, te bizouiller ... Mais la distance est bien trop grande... Donc il ne me reste qu'à attendre... J'arrive à sentir ton odeur En imaginant ta douceur, Et je vois ton si beau visage Qui apparaît dans les nuages. Je veux me blottir dans tes pattes Et que tu ne me lâches pas, Pour ne plus jamais te quitter Et puis enfin pouvoir tout oublier. Ma vie sans toi n'est plus la même Car, encore et toujours, je t'aime. Dans ce petit pays flottant Il me manque mon prince charmant. Certains diront : "ce n'était qu'un chien" ... Et je leur répondrais de la fermer! Tellement ils se trompent et tellement, ils n'ont rien compris, Les gens parlent mais ils ne savent pas. Comprendraient ils seulement, combien tu as compté pour moi, Combien aujourd'hui j'ai mal de t'avoir perdu mon coeur, Leur décrire ce si grand vide et cet étau que j'ai dans la gorge, Qui m'empêchent de respirer... Je leur dirais combien tu as été là avec moi pendant ces 12ans et 8 mois, Mon chien, mon Juju d'Amour, mon plus fidèle compagnon, Mon confident et mon meilleur ami. Je leur raconterais combien tous les deux nous nous aimions, Comment tu m'as sorti de toutes mes galères et de mes envies de me foutre en l'air... Et combien tu me manques. Aujourd'hui, il fait froid dans mon cœur, Je me sens tellement seule. Tout me rappelle toi, J'entends ta voix, Te revois étendu sur le canapé, Venant me chercher pour jouer, Me faisant la fête quand je rentrais du travail, M'apportant mes pantoufles lorsque le réveil sonnait Ou me réclamant à manger. Tu étais tellement là, Tu représentais tellement pour moi. Tu es parti dans mes bras, Tes yeux dans mes yeux, Et mes larmes t'ont dit toute ma peine, Toute cette douleur de devoir te dire adieu. Alors oui, tu n'étais qu'un chien, Mais quel merveilleux chien! Tu étais MON chien, Mon chien parfait, Câlin, présent, gentil, d'une tendresse incroyable... Et j'espère qu'un jour l'on se retrouvera au même paradis ... Je t'aime mon Juju d'Amour, tout comme mon Spanky et mon Paco vous habitez dans mon coeur. Gros bisous volants à vous trois. |
Déposé par choupinou le 10/07/2020En cette veille de ton jour anniversaire (je ne serais pas là ce week-end,mais tu seras dans mon coeur Junior) Oui,JUNIOR tu vis à l'infini mon Ange... * À l'infini * Là-haut, tu es. Là-haut quoiqu'il advienne, ange-soleil d'un miracle à jamais que rien ne sépare de la pure lumière ni du souffle ascendant de notre amour promis * A une autre altitude, tu es là, hors d'atteinte, hors du monde où meurent les âmes et les corps. Tu danses sur l'horizon que je porte en moi pour abolir l'espace et le temps. Tu vis à l'infini. * André Velter Tendres pensées aujourd'hui et pour demain 🌈⭐😪🐾💝 |
Déposé par ourson le 08/07/2020Regarde ton chien dans les yeux et tu ne pourras pas affirmer qu'il n'a pas d'âme |
Déposé par poutounou le 05/07/2020Partout, je t'ai vu, bel Ange... * Air vif * J'ai regardé devant moi Dans la foule, je t'ai vu Parmi les blés, je t'ai vu Sous un arbre, je t'ai vu * Au bout de tous mes voyages Au fond de tous mes tourments Au tournant de tous les rires Sortant de l'eau et du feu * L'été, l'hiver je t'ai vu Dans ma maison, je t'ai vu Entre mes bras, je t'ai vu Dans mes rêves, je t'ai vu * Je ne te quitterai plus. * Paul Éluard ("Derniers poèmes d'amour") |
Déposé par spanky le 30/06/2020L'ESSENTIEL RESTERA Oui, nos mains vont disparaître... Mais nos poignées de mains, mais nos signes de bonjour, nos gestes d’adieu, nos câlins et nos caresses, l'étreinte de nos bras... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos pieds vont disparaître... Mais la foulée de nos promenades, l’élan de nos courses, le saut de nos jeux, le pas de nos danses et de nos rendez-vous... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos visages vont disparaître, et nos oreilles, et nos lèvres et nos yeux... Mais nos sourires, nos paroles, nos éclats de rires, nos écoutes, nos secrets échangés, notre complicité, nos regards, nos baisers... nous n’allons jamais les enterrer. Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, tout ce que nous avons vécu ensemble, tout ces moments partagés resteront à jamais dans nos Cœurs ,L'essentiel restera a l'infini. Je t'Aime mon Juju d'Amour |
Déposé par poutounou le 28/06/2020Voilà à quoi ressemble l'école au Paradis... * Notre école * Notre école se trouve au ciel. Nous nous asseyons prés des anges. Comme des oiseaux sur les branches. Nos cahiers d'ailleurs ont des ailes. * A midi juste, on y mange, Avec du vin de tourterelle, Des gaufres glacées à l'orange Les assiettes sont en dentelle. * Pas de leçon, pas de devoirs Nous jouons quelque fois, le soir Au loto avec les étoiles. * Jamais nous ne rêvons la nuit Dans notre petit lit de toile L'école est notre paradis. * Maurice Carême ("le moulin de papier" - Nathan) |
Déposé par poutounou le 21/06/2020Quel beau programme ! * FARNIENTE * Quand je n’ai rien à faire, et qu’à peine un nuage Dans les champs bleus du ciel, flocon de laine, nage, J’aime à m’écouter vivre, et, libre de soucis, Loin des chemins poudreux, à demeurer assis Sur un moelleux tapis de fougère et de mousse, Au bord des bois touffus où la chaleur s’émousse. Là, pour tuer le temps, j’observe la fourmi Qui, pensant au retour de l’hiver ennemi, Pour son grenier dérobe un grain d’orge à la gerbe, Le puceron qui grimpe et se pend au brin d’herbe, La chenille traînant ses anneaux veloutés, La limace baveuse aux sillons argentés, Et le frais papillon qui de fleurs en fleurs vole. Ensuite je regarde, amusement frivole, La lumière brisant dans chacun de mes cils, Palissade opposée à ses rayons subtils, Les sept couleurs du prisme, ou le duvet qui flotte En l’air, comme sur l’onde un vaisseau sans pilote ; Et lorsque je suis las, je me laisse endormir, Au murmure de l’eau qu’un caillou fait gémir, Ou j’écoute chanter près de moi la fauvette, Et là-haut dans l’azur gazouiller l’alouette. * Théophile Gautier, Premières Poésies |
Déposé par Cupidon le 19/06/2020J’étais sans vie et sans voix Sans espérance et sans joie Presque rendu au bout de mon temps Mais, voici que se sont ouverts Les grands bras de la lumière Et voilà que je pars vers l’univers Je pars, je parsJe monte, je monte Je vole Le ciel est à moi Je parle aux étoiles Je plane de soleil en soleil Je vole, je vole, Je brille, je brille, Je vis Le ciel est à moi L’infini est bleu Bleu et doux et bon et merveilleux ! J’étais sans vie et sans voix L’âme pleine de « pourquoi » Perdu dans les silences et dans le mots Quelle est la raison des choses Des galaxies et des roses ? On le sait quand on sait Que tout est beau Je pars, je pars Je monte, je monte Je vole Le ciel est à moi Je parle aux étoiles Je plane de soleil en soleil Je vole, je vole, Je brille, je brille, Je vis Le ciel est à moi L’infini est bleu Bleu et doux et bon et merveilleux ! J’étais sans vie et sans voix Sans espérance et sans joie Presque rendu au bout de mon temps Mais, voici que se sont ouverts Les grands bras de la lumière Et voilà que je pars vers l’univers ! Le ciel est à moi – Chanson du film Le papillon bleu (2004)Paroles et musique de Stéphane Venne |
Déposé par poutounou le 14/06/2020Et si nos anges descendaient nous faire un petit coucou ! * L'ange de l'étoile du matin * L'ange de l'étoile du matin Descendit en son jardin Et s'approchant d'Elle : * " Viens, lui dit-il, je te montrerai Les beaux vallons et les bois secrets Où vivent encore, en d'autres rêves, Les esprits subtils De la terre. " * Elle étendit le bras, et rit, Regardant entre ses cils L'ange en flamme dans le soleil, Et le suivit en silence. * Et l'ange, tandis qu'ils allaient Vers les ombreux bosquets, L'enlaçait, et posait Dans ses clairs cheveux plus longs que ses ailes, Des fleurs qu'il cueillait Aux branches au-dessus d'Elle. * Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) |
Déposé par poutounou le 07/06/2020Oh le joli mois de juin !!! * Juin * Les prés ont une odeur d’herbe verte et mouillée, Un frais soleil pénètre en l’épaisseur des bois, Toute chose étincelle, et la jeune feuillée Et les nids palpitants s’éveillent à la fois. * Les cours d’eau diligents aux pentes des collines Ruissellent, clairs et gais, sur la mousse et le thym ; Ils chantent au milieu des buissons d’aubépines Avec le vent rieur et l’oiseau du matin. * Les gazons sont tout pleins de voix harmonieuses, L’aube fait un tapis de perles aux sentiers, Et l’abeille, quittant les prochaines yeuses, Suspend son aile d’or aux pâles églantiers. * Sous les saules ployants la vache lente et belle Paît dans l’herbe abondante au bord des tièdes eaux ; La joug n’a point encor courbé son cou rebelle, Une rose vapeur emplit ses blonds naseaux. * Et par delà le fleuve aux deux rives fleuries Qui vers l’horizon bleu coule à travers les prés, Le taureau mugissant, roi fougueux des prairies, Hume l’air qui l’enivre, et bat ses flancs pourprés. * La Terre rit, confuse, à la vierge pareille Qui d’un premier baiser frémit languissamment, Et son oeil est humide et sa joue est vermeille, Et son âme a senti les lèvres de l’amant. * O rougeur, volupté de la Terre ravie ! Frissonnements des bois, souffles mystérieux ! Parfumez bien le coeur qui va goûter la vie, Trempez-le dans la paix et la fraîcheur des cieux ! * Assez tôt, tout baignés de larmes printanières, Par essaims éperdus ses songes envolés Iront brûler leur aile aux ardentes lumières Des étés sans ombrage et des désirs troublés. * Alors inclinez-lui vos coupes de rosée, O fleurs de son Printemps, Aube de ses beaux jours ! Et verse un flot de pourpre en son âme épuisée, Soleil, divin Soleil de ses jeunes amours ! * Charles Leconte de Lisle, |
Déposé par poutounou le 31/05/2020N’entendez-vous pas, dans l’infini, battre les ailes de nos Anges ? * L’ombre est bleue et la nuit palpite d’ors tremblants Dans l’azur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frémissent au souffle onduleux du mystère * Les longs voiles traînants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, En une ascension dont l’essor tremble au clair de lune * N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ? Les étoiles, au chant des sphères éternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées, * Qui lentement, parmi les ombres embaumées, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pâmer les roses. * Fernand Gregh |
Déposé par poutounou le 24/05/2020Un Ange parfois joue aux billes… * Ah ! que de merveilles scintillent Lorsque danse une goutte d'eau ! Un ange parfois joue aux billes, Une étoile tombe au ruisseau. On ne sait jamais quel manteau De fée courant dans les jonquilles On peut coudre avec une aiguille En rêvant derrière un carreau. * Maurice Carême |
Déposé par spanky le 23/05/2020Regardez.Mais regardez donc là-haut.Que voyez vous? Ne le voyez vous pas, ce paradis de nos chers animaux? Là, au dessus de ce nuage où la forme est un chien. Et à côté de celui-ci, où la forme est un chat. Il est là ce paradis. Et puis, si votre regard se tourne vers la droite, Il y a le coin des rongeurs. Regardez.Mais regardez donc. Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche. Là, est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez, n'est ce pas? Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes, Ils sont là.Ils vivent ailleurs, en pleine santé, Dans de grands prés verts bien fleuris, Où coule la source du paradis. Et quand vient la nuit, Ils allument pour nous les étoiles, Afin que nous ayons nous aussi, Cette lumière qui les entoure. Le paradis des animaux, il est là. Vous le voyez, n'est ce pas? Je t'Aime mon Juju d'Amour |
Déposé par poutounou le 21/05/2020Petit problème pour Dimanche et Lundi – Excuses !!! * N’entends-tu pas dans l’infini, battre leurs ailes ? * L' envol des anges * L'ombre est bleu et la nuit palpite d'ors tremblants Dans l'azur, on croit voir flotter des voiles blancs Qui frémissent au souffle onduleux du mystère. * Les longs voiles traînants des anges de la terre Qui montent vers les cieux, sans fin, sans bruit, en une ascension dont l'essor tremble au clair de lune. * N'entends-tu pas dans l'infini, battre leurs ailes ? Les étoiles, au chant des sphères éternelles, Palpitent dans le vent de ces ailes rythmées, * Qui lentement, parmi les ombres embaumées, Et le soleil immense et bleu de toutes choses, Eventent le silence et font pâmer les roses. * Fernand Gregh |
Déposé par Cupidon le 15/05/2020J’ai écrit ton nom sur le sable, Mais la vague l’a effacé. J’ai gravé ton nom sur un arbre, Mais l’écorce est tombée. J’ai incrusté ton nom dans le marbre, Mais la pierre a cassé. J’ai enfoui ton nom dans mon cœur, Et le temps l’a gardé. Paul Eluard |
Déposé par Cupidon le 12/05/2020**** Ne soit pas Triste **** Ce que tu vois aujourd'hui, ce n'est pas moi. Ce n'est qu'une enveloppe qui m'a été prêtée, Le temps d'une vie terrestre. Elle m'a permis de te connaître et de t'aimer à ma façon. Mon vrai moi, l'Âme que je suis, Vient de traverser une nouvelle étape vers l'accomplissement de soi. Ne sois pas triste, sois heureuse pour moi. Là où je suis, la lumière et l'Amour m'enivrent puisque, En plus de nager dans un Océan d'Amour limpide, J'ai emporté avec moi celui que tu m'as Si gentiment et inconditionnellement offert ! J'aimais la Vie, tu le sais bien. La mort physique, ce n'est pas la mort de l'Âme ! Ce que j'avais à apprendre ou à faire Dans cette vie-ci est accompli. Je n'emporte que de bons souvenirs car, Un événement triste ou encore un obstacle, Dans mon ancien monde, Est un privilège, c'est une occasion de grandir Qui est offerte, une occasion d'évoluer Un peu plus à chaque fois. S'il y a quelque chose que tu aurais aimé me dire, Il n'est pas trop tard. Je suis maintenant "conscience" Je peux, par le fait même, percevoir tes pensées Et tes vibrations les plus pures. Ce soir ou même ici, installe-toi dans un coin calme, Entre en toi, Ouvre ton cœur et perçois mon image Au centre d'un radieux soleil. Sens son incommensurable chaleur qui t'apaise et t'irradie. C'est à ce moment-là que je t'enverrai d'ici, Tout l'Amour à l'état cristallin Qu'il t'est humainement possible de recevoir ! N'oublie pas que c'est ici, en toi, Que tu pourras toujours reprendre contact. Même si, parfois, tu ne me percevais pas, Sois certaine que j'y serai tout de même !! Ta vie continue, La mienne aussi… Rendez-vous dans une autre dimension, Au moment opportun. Je t'y accueillerai Pensée |
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