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In tribute to
BERGER-BELGE-GROENENDAELSpirou
Born on :--/05/2001
left us on:24/04/2017
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501 messages
left by poutounou on 19/08/2018Tout à l'envers !!! Que c'est drôle !!! * Le monde à l'envers * Un jour où je dormais les yeux ouverts, J'ai rêvé qu’après un grand tremblement de mer, Le monde entier fonctionnait à l'envers, Les Esquimaux se retrouvèrent en paréos et Les Hawaïens dans des igloos, Les libellules rampaient comme des limaces, Les tortues fendaient l'air de leur carapace, Les escargots filaient à toutes pattes et Les zèbres pesants laissaient passer les mille-pattes, Les poissons perchaient dans les bois, Les oiseaux nageant chantaient sous l'eau à pleine voix, Les crabes marchaient droit, Les arbres plantaient leurs racines dans l'espace, Les nuages se roulaient dans la mer et Les vagues bruissaient dans le ciel, Et moi, je marchais à travers tout cela, La tête en bas, et tout émerveillée, Je souriais de tous mes orteils. * Lucie Spède |
left by poutounou on 13/08/2018Regardons vite sous notre oreiller !!! C'est lorsque nous rêvons de nos Anges !!! * Le petit rêve * C’est un petit rêve léger Un rêve bien plié sous mon oreiller C’est un rêve doux et chaud Qui va pieds nus dans l’herbe fraîche, Un rêve transparent Qui glisse entre les yeux Et se blottit sous les paupières. C’est un rêve coloré Qui murmure encore en moi Quand le soleil ouvre ma porte. C’est un petit rêve léger Qui accompagne ma journée. * Luce Guilbaud ("Les oiseaux sont pleins de nuages" - éditions Soc et Foc) |
left by Biscuit on 10/08/2018*** Sous le vent *** (Céline Dion et Garou) Et si tu crois que j'ai eu peur c'est faux je donne des vacances a mon cœur un peu de repos et si tu crois j'ai eu tort attends respire un peu le souffle d'or qui me pousse en avant et c'est comme si j'avais pris la mer j'ai sorti la grand voile et j'ai glissé sous le vent c'est comme si je quittais la terre j'ai trouvé mon étoile, je l'ai suivie un instant sous le vent et si tu crois que c'est fini, jamais c'est juste une pause, un répit après les dangers et si tu crois que je t'oublie écoute ouvre ton grand au vent de la nuit et ferme les yeux et c'est comme si j'avais pris la mer j'ai sorti la grand voile et j'ai glissé sous le vent c'est comme si je quittais la terre j'ai trouvé mon étoile je l'ai suivie un instant sous le vent et si tu crois que c'est fini jamais sous le vent c'est juste une pause, un répit, après les dangers c'est comme si j'avais pris la mer, j'ai sorti la grand voile, j'ai glissé sous le vent c'est comme si je quittais la terre, j'ai trouvé mon étoile je l'ai suivie un instant c'est comme j'avais pris la mer j'ai sorti la grand voile, j'ai glissé sous le vent j'ai glissé sous le vent c'est comme si je quitais la terre j'ai trouvé mon étoile, je l'ai suivie un instant suivie un instant sous le vent sous le vent |
left by poutounou on 05/08/2018Trop drôle cette version de la cigale et la fourmi !!! * La fourmi et la cigale * "Fini, fini !" Dit la fourmi. "Au diable la parcimonie ! Dès aujourd’hui Je convie Toutes cigales affranchies A me chanter leurs mélodies, Et nous fêterons, en compagnie, La vie qui bouge, La vie qui fuit !" * "Holà, holà !" Fit la cigale Poussant un cri très vertical. "Pour moi, adieu le carnaval ! L’hiver, l’hiver m’a tant appris, Et le souci tant rétrécie, Que j’ai rangé toutes mes rêveries Pour m’établir En Bourgeoisie !" * Andrée Chedid |
left by goulou50 on 31/07/2018Je voudrais tellement t'avoir à mes côtés, Rien qu'un instant pour pouvoir te toucher, Sentir ton odeur, sentir ta chaleur, Rien qu'un moment pour envoler mes malheurs, Je voudrais tellement te revoir, Rien qu'un instant, Mais les anges sont venus te chercher, Ce fut ton heure, la cloche a sonnée, Je voudrais écouter le doux son de ton aboiement, Rien qu'un moment, rien qu'une seule fois, Pensive, j'admire les divines étoiles, Et je me dis que parmi lune d'elles, Il y a toi, mon ange qui veille sur moi, |
left by poutounou on 29/07/2018Les Anges c'est fait pour se noyer dans de beaux rêves... * La trompe de l'éléphant * La trompe de l'éléphant, c'est pour ramasser les pistaches : pas besoin de se baisser. * Le cou de la girafe, c'est pour brouter les astres : pas besoin de voler. * La peau du caméléon, verte, bleue, mauve, blanche, selon sa volonté, c'est pour se cacher des animaux voraces : pas besoin de fuir. * La carapace de la tortue, c'est pour dormir à l'intérieur, même l'hiver : pas besoin de maison. * Le poème du poète, c'est pour dire tout cela et mille et mille et mille autres choses : pas besoin de comprendre. * Alain Bosquet ("Le cheval applaudit" - Enfance heureuse, éditions Ouvrières, 1977) |
left by Biscuit on 29/07/2018Petits anges, Si loin de nos coeurs Vous devez avoir peur. Peur d'être oubliés Et de n'être plus jamais aimés. Mais comment chasser de notre coeur Vos facéties, ces tendres bonheurs Que vous nous avez donnés, Tout au long de votre courte vie Et à chacun de nos câlins ? Petits anges partis Mais restant à jamais dans nos vies, Chaque jours décomptés Nous aident à nous rapprocher. Faut-il y croire ? Ou bien est-ce une légende ? Alors, si loin de vous, La vie devient floue..... Pour nous rassurer, Faites-nous un petit signe, pour apaiser notre peine. Le temps passe vite, mais l'amour que nous avons pour vous Restera à jamais gravé, Dans nos coeurs et dans nos pensées |
left by poutounou on 22/07/2018C'est vrai qu'elle est belle cette terre ! Il faut la préserver coûte que coûte !!! * J'aime cette terre * Même si j'étais un oiseau avec mon gosier enroué je chanterais cette terre fouettée par les tempêtes ces fleuves où déferlent nos colères et nos peines ce vent furieux qui n'en finit pas de souffler et cette aube infiniment tendre venue de la forêt... Enfin avec la mort je laisserais mes plumes se décomposer dans la terre Ah! pourquoi mes yeux sont-ils toujours embués de larmes Parce que j'aime cette terre d'un amour très profond... * Ai Qing - 1938 (traduction : Zhang Yunsh) |
left by Biscuit on 16/07/2018Une autre vie... Une autre vie Il est peut-être une autre vie Loin de ce monde bien trop petit Une autre vie. Une autre vie Crois-tu qu'il est une autre vie ? De grand silence et d'infini Une autre vie. Qui a su dire Les chemins de l'au-delà, Qui l'a su dire Qui le dira ? Quoi qu'il arrive, J'y veux un monde pour toi et moi Oui seulement pour toi et moi. Une autre vie Il est sans doute une autre vie Au bout du rêve, de la folie Une autre vie. Qui peut nous dire Ce qui advient dans l'au-delà ? Et si l'amour, l'amour est roi ? Arrive-t-il que les grands amours d'ici-bas, Ailleurs ne se retrouvent pas ? De grand silence et d'infini Une autre vie. Une autre vie Nous serons dans une autre vie. |
left by poutounou on 15/07/2018Il est où le "chemin de clarté" ??? C'est peut-être le chemin du coeur !!! * Le veilleur solitaire * Il y a toujours dans la nuit de la ville une petite fenêtre qui brille très loin au bord du ciel une fenêtre au loin, une lampe qui brûle, un homme ou peut-être un enfant penché sur la page d'un livre où les mots brûlent et brillent. Et le cœur de l'homme ou de l'enfant brûle d'un sang plus vif, s'exalte, s'illumine. * Il y a toujours au bord du ciel un veilleur solitaire qui cherche dans la nuit son chemin de clarté. * Jean Joubert ("La maison du poète" - Pluie d'étoiles éditions, 1999) |
left by Biscuit on 14/07/2018COMME UN PAPILLON................ Comme ce papillon,il faut arriver à laisser partir notre « bébé » notre animal tant aimé........ Comme ce papillon,c’est le laisser rejoindre en toute sérénité le pays des toutous........ Comme ce papillon,c’est le laisser rejoindre la lumière.......... Comme ce papillon,c’est ne penser qu’aux bons moments passés ensembles,à lui faire pleins de câlins et jouer avec...... Comme ce papillon,ouvrir les mains,c'est de le laisser « partir »........... Mon adorable loulou je t’ai dans la peau,c’est comme ça,tu me manque trop............................... ENCORE POUR TOI BEL ANGE..................... A l’horizon le soleil s’efface,a grands pas la nuit le dépasse, les yeux fixés au ciel, je contemple les portes de l’arc-en-ciel, j’espère en vain un signe, un signe de toi, une petite étoile qui brillera, cette étoile ce sera toi, je ne peux pas te voir, mais tu m’aperçois, je ne suis plus là près de toi, mais tu es là, dans mon cœur, au chaud, caché au fond de moi, ce n’est qu’un au revoir mon ange, pas un adieu car je n’ai pas encore fermé les yeux, |
left by Biscuit on 12/07/2018Se n'est pas la mort qui nous prend ceux que nous aimons ; elle nous les garde au contraire et les fixe dans leur jeunesse adorable. Si la mort est la Paix, tu as la douce éternité devant toi |
left by poutounou on 08/07/2018Et oui ! C'est ça la vie... * Festins L'oiseau a mangé le ver Le renard a mangé l'oiseau Le loup a mangé le renard L'ours a mangé le loup L'homme a mangé l'ours Et le ver mangera l'homme et tout va recommencer Le jour mangera la nuit La nuit mangera le jour. anonyme (réf "Anthologie de poèmes sur la nature, l'homme et son environnement" - Jean-Marie Henry - éditions Rue du monde). |
left by Biscuit on 06/07/2018Avance,si tu as tout perdu Avance encore un pas Même si tu ne crois plus en toi Avance encore un pas Même si la route est sombre Avance encore un pas Même si tu n'as pas la force Avance encore un pas Avance et tu verras Tu t'en sortiras Car il y a toujours une lumière au bout du tunnel La lumière est là,et parfois elle attend avant de se manifester. Avance,avance,et tu la trouveras !, |
left by poutounou on 01/07/2018On ferme les yeux et on s’imagine ce matin d’été à la ferme… * MATIN D'ETE A LA FERME * Les pigeons dans le ruisseau clair Prennent leur petit déjeuner. Le chat bâille et renifle l'air En se frottant le bout du nez. Les capucines sur le bord De la fenêtre et du sommeil Déplissent leurs pétales d'or Pour dire bonjour au soleil. L'hirondelle sous la corniche Pousse un cri aigu dans le vent. Le chien s'étire dans sa niche Et gobe une mouche en rêvant. Le petit âne va partir Au village avec ses couffins. Un jour nouveau va se bâtir Et l'on n'en verra pas la fin. * Marguerite-Marie Peyraube |
left by Biscuit on 30/06/2018Si j'écris ces mots c'est pour toi Toi qui habite loin de moi sache que je ne t'oublie pas Toi qui connaissait tout de moi Tu étais mon ami , mon chien au fil du temps et des lendemains je sais qu'un jour on se croisera sur ce grand chemin ... |
left by choupinou on 28/06/2018J'ai rêvé de toi, de Henri-Frédéric Amiel J'ai rêvé de toi. Recueil : La part du rêve (1863) Depuis que je t'ai vue, ébloui par l'éclair, Mon œil s'est voilé d'un mirage ; Je regarde sans voir, ou je ne vois dans l'air Flotter qu'une forme, ta douce image ; Le jour, tout éveillé, je songe ; et, dans la nuit, Comme un feu follet qui se lève, Cette image, la tienne, apparaît, et me suit Au plus profond de mon âme et de mon rêve. choupinou,celibab,cyprien,pouilledamour,maclo , |
left by Biscuit on 25/06/2018Les adieux sont seulement pour ceux qui aiment avec leurs yeux. Parce que pour ceux qui aiment avec leur coeur et leur âme, il n'y a pas de séparation. Repose en paix, tu ne seras jamais oublié..., , |
left by poutounou on 24/06/2018Le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre...Avec tout l'amour que nous donnons et que nous donnent nos Anges, nous existons et nous vivons...!!! * Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent (extrait) * Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; Ce sont ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front. Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime. Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime. Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour, Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. C'est le prophète saint prosterné devant l'arche, C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche. Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins. Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains. Car de son vague ennui le néant les enivre, Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre. Inutiles, épars, ils traînent ici-bas Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. * Victor Hugo ("Les Châtiments" - 1844) |
left by choupinou on 21/06/2018Début d'été Quand je n’ai rien à faire, et qu’à peine un nuage Dans les champs bleus du ciel, flocon de laine, nage, J’aime à m’écouter vivre, et, libre de soucis, Loin des chemins poudreux, à demeurer assise Sur un moelleux tapis de fougère et de mousse, Au bord des bois touffus où la chaleur s’émousse. Là, pour tuer le temps, j’observe la fourmi Qui, pensant au retour de l’hiver ennemi, Pour son grenier dérobe un grain d’orge à la gerbe, Le puceron qui grimpe et se pende au brin d’herbe, La chenille traînant ses anneaux veloutés, La limace baveuse aux sillons argentés, Et le frais papillon qui de fleurs en fleurs vole. Ensuite je regarde, amusement frivole, La lumière brisant dans chacun de mes cils, Palissade opposée à ses rayons subtils, Les sept couleurs du prisme, ou le duvet qui flotte En l’air, comme sur l’onde un vaisseau sans pilote ; Et lorsque je suis lasse je me laisse endormir, Au murmure de l’eau qu’un caillou fait gémir, Ou j’écoute chanter près de moi la fauvette, Et là-haut dans l’azur gazouiller l’alouette. Elle me siffle la mélodie de ton amour Qui me dit que tu seras là près de moi pour toujours. Théophile Gautier (1811-1872), , |
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