En hommage à

Rafia du Moulin de Labatut
2000 / 2011


En hommage à

Rafia du Moulin de Labatut
2000 / 2011

Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Mail Privé
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Carnet d'adresses
La page de Rafia du Moulin de Labatut a été vue  699 917  fois.
699 917 vues
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris
Favoris
Connectez vous pour utilisez Mails privés, carnet d'adresses et favoris



18 personnes aiment cette page
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages

Vous n'êtes pas connecté.

En hommage à
Rafia du Moulin de Labatut
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIER
Il est né le:24/10/2000
Il nous a quittés le:03/11/2011

Ma "Totote"....qu'est ce que tu ns manques....Le vide que tu as laissé ne sera jamais comblé. Tu es partie, bien malgré toi car tu n'avais qu'un désir : celui de vivre.
Tu t'es battue, 21 mois, avec une force extraordinaire, un courage incroyable contre ce maudit diabète qui, hélas, a bien réussi à t'emporter.
Toi...la toute petite...celle que l'on avait envie de protéger tu ns a donné une magnifique leçon de vie.
Là où tu es maintenant, j'espère que ce n'est pas le néant...là où tu dors maintenant...j'espère que c'est aussi confortable qu'à la maison...quoique ma t^^ete de lit doit bcp de manquer...car tu aimais tant dormir...au-dessus de ma t^^ete, lovée ds les coussins.
Toi...la reine de beauté..celle qui gagnait ts les concours...j'espère que tu es restée aussi belle. M^^eme la maladie...et ta cécité n'avaient m^^eme pas réussi à l'enlaidir, c'est dire !!!
Je te serre sur mon coeur ma toute petite, et je ne suis pas la seule.
Ah !!! j'ai oublié de te dire...depuis que tu es partie...Paramour se trouve très seule au jardin...et elle ne chasse plus.




41 bougies

19977 Fleurs
Seules les fleurs déposées depuis moins d'un an sont visibles



 
4348 messages

Déposé par seensouaree le 23/01/2015  
La mort n'est rien
L'amour ne disparaît jamais.
La mort n’est rien.
Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté.
Je suis moi, tu es toi :
Ce que nous étions l’un pour l’autre,
Nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné.
Parle-moi comme tu l’as toujours fait.
N’emploie pas un ton différent.
Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Prie, souris, pense à moi, prie pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison
Comme il l’a toujours été,
Sans emphase d’aucune sorte,
Sans trace d’ombre.
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié.
Elle est ce qu’elle a toujours été.
Le fil n’est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée
Parce que je suis hors de ta vue ?
Je t’attends, je ne suis pas loin,
Juste de l’autre côté du chemin.
Tu vois tout est bien.
(Henry Scott Holland)
Bon week-end avec toute mon amitié et de gros bisous

Déposé par mindy le 23/01/2015  
A toi qui as perdu un être qui t'était cher,
Retiens les souvenirs qui t'ont tant fait frémir,
Tu déplores ta tristesse, tu maudis l'éphémère,
Tu rêves de sa main pour pouvoir la tenir,
Il entame une autre ère comme on joue un prélude,
Regarde autour de toi même si tu ne le vois pas,
Offre-lui quelques mots malgré les habitudes,
Ressens donc sa présence car son âme est vers toi,
Les ailes lui ont poussé, il est devenu ange,
Bien heureux et posé il guidera tes pas,
Il veut te sentir bien, que surtout rien ne change,
La mort des âmes n'est pas, écoute le tout bas,
Il viendra te trouver sous forme déguisée,
Et malgré son absence, il va te soutenir,
Il te lance un message, celui de continuer,
Sur le chemin de la vie il veut te voir sourire..

Déposé par choupinou le 23/01/2015  
Souvenir.
En vain le jour succède au jour,
Ils glissent sans laisser de trace ;
Dans mon âme rien ne t'efface,
Ô dernier songe de l'amour !
Je vois mes rapides années
S'accumuler derrière moi,
Comme le chêne autour de soi
Voit tomber ses feuilles fanées.
Mon front est blanchi par le temps ;
Mon sang refroidi coule à peine,
Semblable à cette onde qu'enchaîne
Le souffle glacé des autans.
Mais ta jeune et brillante image,
Que le regret vient embellir,
Dans mon sein ne saurait vieillir
Comme l'âme, elle n'a point d'âge.
Non, tu n'as pas quitté mes yeux ;
Et quand mon regard solitaire
Cessa de te voir sur la terre,
Soudain je te vis dans les cieux.
Là, tu m'apparais telle encore
Que tu fus à ce dernier jour,
Quand vers ton céleste séjour
Tu t'envolas avec l'aurore.
Ta pure et touchante beauté
Dans les cieux même t'a suivie ;
Tes yeux, où s'éteignait la vie,
Rayonnent d'immortalité !
L'ombre de ce voile incertain
Adoucit encor ton image,
Comme l'aube qui se dégage
Des derniers voiles du matin.
Du soleil la céleste flamme
Avec les jours revient et fuit ;
Mais mon amour n'a pas de nuit,
Et tu luis toujours sur mon âme.
C'est toi que j'entends, que je vois,
Dans le désert, dans le nuage ;
L'onde réfléchit ton image ;
Le zéphyr m'apporte ta voix.
Tandis que la terre sommeille,
Si j'entends le vent soupirer,
Je crois t'entendre murmurer
Des mots sacrés à mon oreille.
Si j'admire ces feux épars
Qui des nuits parsèment le voile,
Je crois te voir dans chaque étoile
Qui plaît le plus à mes regards.
Et si le souffle du zéphyr
M'enivre du parfum des fleurs.
Dans ses plus suaves odeurs
C'est ton souffle que je respire.
C'est ta patte qui sèche mes pleurs,
Quand je vais, triste et solitaire,
Répandre en secret ma prière
Près des autels consolateurs.
Quand je dors, tu veilles dans l'ombre ;
Tes ailes reposent sur moi ;
Tous mes songes viennent de toi,
Doux comme le regard d'une ombre.
Comme deux rayons de l'aurore,
Comme deux soupirs confondus,
Nos deux âmes ne forment plus
Qu'une âme, et je soupire encore !
Alphonse de Lamartin

Déposé par mindy le 22/01/2015  
La nuit n’est jamais complète
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin
Une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler, Faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue, une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie, la vie à se partager.
(La nuit n’est jamais complète - Paul Eluard)

Déposé par goulou50 le 22/01/2015  
Mon Ange,
Aujourd'hui j'aimerais tant que tu sois encore avec moi,
je sais que tu es parmi les étoiles
et que de là-haut tu brille pour nous protéger,
que tu es près de nous à chaque instant,
que tu me donnes la force de surmonter ton absence.
a chaque jour qui passe...
ton absence se fait sentir très fort,
quand j'ai le coeur lourd de tristesse,
quand mes larmes coulent,
je peux sentir tes baisers de papillon
qui par tes Ailes d'Ange,
tu viens me les sécher.
avec ta douceur qui est la tienne...
je sais que tu seras toujours là
jusqu'au jour ou l'on se retrouveras...
Je t'aime mon petit ange

Déposé par Anne54 le 20/01/2015  
Le chien
Tête de boule chaude qu’on nourrit, qu’on élève.
Petit animal qui cahote sur ses pattes, glisse sur les postérieurs, écroulé sur son ventre tendre et mou de bébé trop nourri.
Chien enfant que l’on aime, que l’on instruit du mieux qu’il peut.
Dont on a la fierté de la patte donnée.
Dont on a la tendresse, la chaleur, le silence qui parle, les yeux qui vous regardent. Chien compagnon, chien de la promenade qui gambade avec vous, s’en va pour revenir avec le plus beau des présents : un caillou, une branche, son amour qui rythme votre vie et vous force à la vie.
Chien qui donne : un regard, la poussée d’une tête, un œil doré d’amour, une patte. Chien qui accepte un soin, une caresse, une tape, un reproche.
Chien qui est votre enfant, mais qui devient le parent qui vieillit avant vous, que vous voyez marcher lorsqu’il aimait courir, se lever pesamment, venir vers vous
avec la lenteur de l’âge.
Chien qui s’abîme, s’use avec la vie, chien qui déroule en douze ans une vie, vieux chien qu’on aime, et qui s’éloigne, et qui s’en va, qui est parti et que l’on pleure.
Christian Chabellard,
Amitiés à vous Chère Maryem, des câlins à vos anges... Anne

Déposé par mindy le 20/01/2015  
Je marchais à l’épicerie,
pas particulièrement intéressée par mes achats de nourriture.
Je n’avais pas faim.
La récente perte de mon mari de 57 ans était encore trop vive.
Cette épicerie renfermait de si beaux souvenirs.
Il venait souvent avec moi et, presque à chaque fois,
il s’éloignait faisant semblant de chercher autre chose.
Je savais ce qu’il planifiait.
Tout à coup, je l’apercevais, marchant dans l’allée,
avec trois roses jaunes dans sa main.
Il savait que j’affectionnais tout particulièrement les roses jaunes.
Subitement, le cœur rempli de chagrin,
je voulais rapidement prendre les quelques items dont j’avais besoin et partir.
Depuis qu’il n’était plus là, même faire l’épicerie devenait éprouvant.
Magasiner, pour un, prenait du temps…
Un peu plus de temps qu’il n’en prenait pour deux!
Debout devant le comptoir des viandes, je cherchais le petit steak parfait
et me suis souvenue à quel point il aimait son steak.
Soudainement, une femme approcha tout près de moi.
Elle était blonde, mince et jolie, et portait une robe verte.
Je la regardais alors qu’elle prenait, dans ses mains,
un gros paquet de T-Bones. Elle le déposa dans son panier,
hésita, et le remit dans le comptoir.
Elle se tourna pour partir,
mais décida de reprendre le paquet de steaks.
Elle s’aperçut alors que je la regardais,
et, en souriant, elle me dit : mon mari adore les T-Bones,
mais, honnêtement, à ce prix, je ne suis plus certaine!
Ravalant l’émotion,
je rejoignis ses yeux bleus et lui dit:
mon mari vient tout juste de mourir il y a huit jours.
Achetez-lui les steaks!
Et chérissez tous les moments que vous avez ensemble!
Elle secoua la tête.
Lisant l’émotion dans ses yeux, elle reprit le paquet,
le déposa dans son panier, et partit.
Je me retournai et poussai mon panier jusqu’au comptoir des produits laitiers.
J’étais là me demandant quel format me procurer.
Je décidai pour le demi-litre et, ensuite, poussai le panier vers l’allée de la crème glacée.
S’il n’y avait rien d’autre, je pourrais toujours me préparer un cornet de crème glacée.
Je déposai la crème glacée dans mon panier, et me dirigeai vers l’allée menant aux caisses.
J’ai vu la robe verte en premier, puis j'ai reconnu la jolie femme s’approchant vers moi.
Dans ses bras, elle portait un paquet.
Son visage affichait un sourire magnifique.
J’aurais juré avoir aperçu un halo tout autour de ses cheveux blonds.
Alors qu’elle s’approchait de moi,
j’ai vu ce qu’elle tenait dans ses mains,
et mes yeux ne purent s’empêcher de s’emplir d’eau.
Ceci est pour vous, me dit-elle,
en me remettant trois belles roses jaunes dans les bras.
Lorsque vous passerez à la caisse, ils sauront qu’elles ont déjà été payées.
Elle se pencha et déposa un délicat baiser sur ma joue, et me sourit à nouveau.
J’ai voulu lui expliquer ce qu’elle venait de faire,
ce que les roses représentaient.
Incapable de sortir un mot, je l’ai regardé s’éloigner,
les larmes brouillant ma vision…
J’ai contemplé les magnifiques roses nichées dans le papier vert
les trouvant presque irréelles!
Comment pouvait-elle savoir?
Soudainement, la réponse m’apparut clairement.
Je n’étais pas seule.
Tu ne m’as pas oubliée, n’est-ce pas? J'ai chuchoté ceci, les larmes aux yeux!
Il était encore ici, avec moi, et elle était son ange.
(source internet canadienne : « chez maya »)

Déposé par choupinou le 20/01/2015  
Je suis sortie ce soir,
seule, sous l'ombre troublée,
à travers la pluie du miroir,
aux larmes de mes pensées.
Pour attraper un peu de toi,
je n'avais plus qu'à me cacher,
sous ce parapluie noir d'émoi
et laisser les gouttes m'inonder.
C'était pas il y à demain...
C'était pas, il y des mois...
Le temps est une traine de toi,
qui oublie la pluie sans fin.
Il transporte les rivières.
Transforme les torrents d'hier.
Déverse ses larmes aux abois,
qui dégoulinent à soif de toi.
Sur l'horizon blême,
au ciel sans but même.
Cachée sous l'ombrelle,
j'écoute la pluie ruisselle.
C'était pas il y a des heures...
C'était pas il a des siècles...
Le temps de toi qui passe,
me traine tant qu'il me glace.
Sur mes joues de chagrin,
il pleut de toi sans fin.
J'entends pleurer la pluie,
en silence dans la nuit.
Je n'avais plus qu'à me fondre,
sous cette ondée de tristesse.
Me décomposer et me confondre,
en pluie de larmes caresse.
Myriam Ghibaudo
douces pensées

Déposé par sandra40 le 19/01/2015  
L 'enfant et le chien
Un enfant seul,
Tout seul avec en main
Une belle tranche de pain.
Un enfant seul,
Avec un chien
Qui le regarde comme un dieu
Qui tiendrait dans sa main,
La clé du paradis des chiens.
Un enfant seul
Qui mord dans sa tranche de pain,
Et que le monde entier
Observe pour le voir donner
Avec simplicité,
Alors qu'il a très faim,
La moitié de son pain
Bien beurré à son chien.
Maurice Carême.

Déposé par poutounou le 18/01/2015  
L'arbre de la tolérance
*
Pour toi, bel Ange…
*
Quels mots veux-tu que j'apprivoise pour toi aujourd'hui ?
Pendre, prendre, prétendre
Ils sont bien trop enferrés aux boulets de la vanité
*
Prévaloir, pouvoir, avoir
Ceux-ci vivent leur deuil
Au fond des prisons d'orgueil
*
Imposer, condamner, spéculer
Tous sont opprimés
Dans les étaux de la cupidité
*
Pour toi j'apprivoiserai plutôt les mots
Ecouter, respecter, partager
Et si c'est leur préférence
Je leur offrirai les fleurs de la tolérance
*
Pour toi, j'apprivoiserai plutôt les mots
Apprendre, comprendre, entendre
Et si c'est leur volonté
Je leur offrirai les branches de l'humilité
*
Pour toi, j'apprivoiserai surtout les mots
S'ouvrir, sourire, offrir
Et si c'est pour toujours
Je leur offrirai l'arbre d'amour

Déposé par tinou20042001 le 18/01/2015  
C'ETAIT HIER
C'était hier
Ce matin-là
C'était hier
C'est loin déjà
C'était hier
Il y a longtemps
Et tu te perds
Dans la nuit des temps
Peu m'importe de savoir où tu es
Puisque tu ne reviendras plus jamais
Simplement, pour que mon cœur ait moins froid
Simplement, je te revois
Tout comme hier
Ce matin-là
C'était hier
Et c'est loin déjà
Il a brillé
Ce vieux soleil
Pour saluer
Notre réveil
Le beau temps aura quitté l'horizon
Il pleuvra, ce sera triste à mourir
Et la neige couvrira la maison
Les lilas pourront fleurir
Tout comme hier
Je serai là
Tout comme hier
Et c'est loin déjà
Ce matin-là
C'était hier
Ce matin-là
C'est loin déjà.
Henri SALVADOR,

Déposé par ovanek le 17/01/2015  
❤ ❤ ❤
L'Histoire!
Cette compilation incertaine de notre fugitive apparition sur ce globe de sang et de boue! L'Histoire! que nous pouvons à peine écrire quand nous en sommes les contemporains; nous qui voulons citer les siècles dans nos pages mensongères; nous qui voulons deviner les mystères de la nature, et le dernier secret de Celui qui l'a créée!!! Et nous mettrions de l'importance à quelque chose, nous qui sommes nés d'hier, qui mourrons demain, nous qui foulons une terre qui périra comme nous? et qui écrivons quelques pages de notre histoire; tandis que toutes les pages de la vie sont déchirées, que le grand livre de l'univers sera lui-même effacé, et qu'il ne restera plus que l'immensité du néant!
Comment expliquer l'attrait qui nous pousse à laisser un souvenir sur des débris et parmi des ruines? L'homme a donc un penchant à disputer quelques dépouilles à la mort, à déposer quelques traces de lui-même, à propager des pensées qui furent contemporaines de son passage dans la vie.. Il espère que ses écrits lui survivront de quelques jours: il aime à lutter avec le néant.
❤ ❤ ❤

Déposé par poutounou le 15/01/2015  
Mon hiver
*
Mon hiver est parfumé
De cendres, de feux de cheminées,
D’encens et de lavande
pour tous mes enrhumés...
Mon hiver est beau,
De blanc et de glace,
De givre sur les arbres,
De palais transparents.
Mon hiver je l’entends
Grincer dans les branches,
Craquer sous mes pas,
Souffler dans les ruelles...
Je colle mon nez à la vitre
Mon hiver est buée
A nouveau il m’invite,
à me recroqueviller.
*
Veronik Leray

Déposé par ovanek le 15/01/2015  

*****
L'étoile qu'incarne ton être
fait briller mes yeux
chaque fois que je te regarde
L'amour que tu m'envoies
me fera vivre une éternité
*** Je t'aime ***


Déposé par larrydoudou le 15/01/2015  
Il était notre ami , notre compagnon d'aventure
Le confident de nos doutes , le copain qui rassure
Il a traversé notre vie de sa gentillesse
Se contentant d'un sourire , d'un mot doux , d'une caresse
Tant de balades sous la pluie , dans le vent
A l'abri du soleil sous les feuillages chantants
Aujourd'hui notre cœur saigne de son départ
Nous avions encore tant à faire nous , les inséparables
Devant notre feuille , sous le poids de notre plume nous étouffons nos cris
Nous trébuchons sur les lettres nos yeux remplis de pluie
Dans un endroit charmant , entre deux arbres , à présent il dort
Là où les oiseaux chantent et veillent sur sa mort
Il était notre ami , notre chien , notre plus beau cadeau de NOËL
Il nous plaît à penser , que maintenant , il gambade dans le ciel
A un être d'exception avec tout notre amour

Déposé par spanky le 15/01/2015  
Personne ne te remplacera...
Dans mon coeur toujours tu seras...
Je ne passe aucune journée
Sans que tu ne sois dans mes pensées...
Je n'aime que toi,
J'ai besoin de toi...
Personne ne peut m'apporter
Ce que tu as su me donner...
Plus que tu ne crois,
Mon amour n'est désormais que pour toi...
Je suis perdue, vois-tu,
je suis noyée,
inondée d'amour;
je ne sais plus si je vis,
si je mange,
si je respire,
si je parle;
Tout ce que je sais c'est que je t'aime.

Déposé par mindy le 15/01/2015  
Citation:
De temps en temps les gens me disent. Voyons, c’est juste un chien ou tu en dépenses de l’argent juste pour un chien.
Ils ne comprennent pas les distances parcourues, le temps passé ou les coûts que ça implique pour juste un chien.
Pourtant, plusieurs des moments dont je suis le plus fier sont survenus à cause de juste un chien.
Jai passé bien des heures avec, pour seul compagnon, juste un chien et je ne me suis jamais senti moindrement seul.
Certains de mes moments les plus tristes sont survenus à cause de juste un chien et, dans ces jours sombres, le doux contact de juste un chien ma donné du réconfort et permis de traverser la journée.
Si vous, aussi, pensez que c’est juste un chien alors vous comprendrez probablement des phrases comme juste un ami, juste un lever de soleil ou juste une promesse .
Juste un chien apporte dans ma vie la véritable essence de l’amitié, de la confiance et dune joie passionnée.
Juste un chien fait ressortir la compassion et la patience qui fait de moi une meilleure personne.
A cause de juste un chien je me lèverai de bonne heure, prendrai de longues marches et regarderai vers le futur.
Alors pour moi et les gens comme moi, ce n’est pas juste un chien mais l’incarnation de tous les espoirs et rêves du futur, le doux souvenir du passé et la pure joie du moment.
Juste un chien fait sortir ce qu’il y a de bon en moi et me détourne de mes pensées et des problèmes de la journée.
J’espère qu’un jour ils pourront comprendre que ce n’est pas juste un chien mais l’être qui ma donné l’humanité et qui ma préservé de n’être que juste un homme .
Alors la prochaine fois que vous entendrez la phrase juste un chien souriez parce que c’est juste qu’ils n’ont pas compris.
Publié dans Versatile Hunting Dog Magazine en février 2006 (auteur inconnu). Source internet

Déposé par mindy le 14/01/2015  
Ce qui compte, ce ne sont pas les années qu’il y a eu dans la vie.
C’est la vie qu’il y a eu dans les années - Abraham Lincoln

Déposé par Pelagie le 14/01/2015  
Certains sont pour toujours
Parfois quelqu'un entre dans votre vie et,
ce faisant la transforme completement
Quelqu'un capable de vous faire
rire aux éclats
Quelqu'un qui vous montre ce qu'il y a
de bon en ce monde
Quelqu'un qui vous convainc
d'ouvrir une porte
Derrière laquelle vous attend
Une amitié éternelle...
Milles Baisers
Votre amie Brigitte

Déposé par Anne54 le 14/01/2015  
Si je suis le premier (ère) à décéder.
Que le deuil n`obscurcisse pas longtemps ton ciel.
Que ton chagrin soit courageux mais discret.
Il y a eu un changement mais pas un départ.
La mort fait partie de la vie.
Et les défunts ne cessent de vivre dans les vivants.
Toutes les richesses cueillies au cours de notre voyage.
Les moments de partage, les mystères explorés ensemble.
Les strates d`intimité sans cesse accumulées.
Ce qui nous a fait rire ou pleurer, ou chanter.
La joie de la neige sous le soleil et l`éclosion du printemps.
Le savoir…
Chacun donnant et chacun recevant.
Autant de fleurs qui ne flétrissent pas.
Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent.
Que même les pierres…
Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie.
Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse.
Sont réduites à du sable.
Ce que nous étions, nous le sommes encore.
Ce que nous avions, nous l`avons encore.
Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent.
Alors, quand tu marcheras dans les bois.
Comme nous l`avons déjà fait ensemble.
Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés.
Et tu t`arrêteras au sommet de la colline.
Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine.
Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant.
Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là.
Et si tu te sens envahie par le chagrin.
Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur.
Je n`ai pas quitté, je marche tout simplement dans ton cœur !
Amitiés, Anne




L'Album photo contient 71 photos
Highslide JS
BIZZZZZZZ. Ma SORELLA.
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
BIZZZZZZZ. Ma SORELLA.
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIII mA SORELLA
Highslide JS
Ma Sorella. Je T'M !
Highslide JS
BIZZZZZZZ. Ma SORELLA.
Highslide JS
MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISUPER SORELLA
Highslide JS
BIZZZZZZZZ Ma Sorella.
Highslide JS

Highslide JS
Ma Poupouyette adorée.
Tendres MERCIS. MA Sorella ton Maël).
Retourner en haut