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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
50 bougies
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20057 Fleurs
5869 messages
Déposé par nikita le 03/12/2015Mon PUNKY joli prince d'amour Merci pour toute ta vie qui a marqué la mienne, Pour tout ce que tu m’as apporté de beau et de grand, Pour tout ton amour à jamais inscrit dans mon cœur, Pour la lumière de ta frimousse et la clarté de ton regard, Pour tout ce que j’ai pu lire au fond de tes yeux, Pour les chemins parcourus, ensemble, parfois rudes et fatigants, Mais que nous avons eu le bonheur de vivre ensemble, Ta place est irrémédiablement vide, et ton absence fait mal, Tu me manques aujourd’hui et tu me manqueras encore demain. Merci de me donner le courage d’avancer encore En attendant de te rejoindre sur l'autre rive OU ce jour là nous deux seront réunis pour toujours bisous remplis de tendresse sur ta jolie frimousse à partager avec ta douce maman |
Déposé par colombine67 le 03/12/2015Vivre en soi, ce n'est rien ; il faut vivre en autrui. A qui puis-je être utile et agréable, aujourd'hui ? Voilà, chaque matin, ce qu'il faudrait se dire. Et, le soir, quand des cieux la clarté se retire, heureux à qui son coeur tout bas a répondu : "Ce jour qui va finir, je ne l'ai pas perdu. Grâce à mes soins, j'ai vu, sur une face humaine, la trace d'un plaisir ou l'oubli d'une peine". Anonyme |
Déposé par poutounou le 02/12/2015Connaissez-vous Grognongnon ? * Grosgnongnon le cochon * Grosgnongnon le cochon Rouspète en toute saison Pour un oui, pour un non Au printemps quand il fait doux Il dit qu'il se sent tout mou En été, quand il fait chaud Et qu'il se met en maillot Il se trouve un peu trop gros Lorsque s'approche l'automne, Grosgnongnon baille et frissonne. Et, quand arrive l'hiver Grosgnongnon est en colère : Il n'aime pas son bonnet Qui lui tombe sur le nez! C'est ainsi toute l'année Ce qu'il aime, c'est rouspéter. * Claude Clément |
Déposé par choupinou le 02/12/2015a ma douce maîtresse ,que dis-je maman Oh ma si douce maman, ici bas je t'ai laissé dans un désarroi tu es si vide,planter là et maintenanT tu te répète pourquoi encore et encore... Si regarder en arrière, te donne du chagrin, et regarder en avant, t'inspire du chagrin, alors.... REGARDE A COTE DE TOI... JE SERAI TOUJOURS LA POUR TOI N'OUBLIE PAS ECOUTE,EXHALE, LE SILENCE TE PARLES.... |
Déposé par colombine67 le 02/12/2015Je suis coupable de guerre quand j'exerce orgueilleusement mon intelligence au détriment de mes frères humains. Je suis coupable de guerre quand je déforme les opinions des autres lorsqu'elles diffèrent des miennes. Je suis coupable de guerre quand je ne tiens pas compte des droits et des possessions des autres. Je suis coupable de guerre quand je convoite ce qu'un autre a honnêtement acquis. Je suis coupable de guerre quand je cherche à maintenir la supériorité de ma position en privant les autres de leurs opportunités d'avancement. Je suis coupable de guerre si je m'imagine que ma famille et moi-même devons être privilégiés. Je suis coupable de guerre si je crois qu'un héritage me donne le droit de monopoliser les ressources de la nature. Je suis coupable de guerre quand je crois que les autres doivent penser et vivre comme je le fais. Je suis coupable de guerre quand je fais dépendre le succès dans la vie, de la force, de la réputation et de la richesse. Je suis coupable de guerre quand je pense que la conscience des gens devrait être soumise par la force plutôt que suivre la raison. Je suis coupable de guerre quand je crois que le Dieu que je conçois est celui que les autres doivent admettre. Je suis coupable de guerre quand je pense que le pays qui a vu naître quelqu'un doit nécessairement être le lieu où il doit passer sa vie. Ralph Maxwell Lewis |
Déposé par Biscuit le 02/12/2015Si tu prends la peine d'écouter dans le courant d'air de la maison, tu peux entendre ma voix qui te dit : « Ne sois pas triste, ne pleure plus mon départ, où je me trouve maintenant, je suis bien ». Entourée de l'amour de ceux qui m'ont précédée, je ne souffre plus, mon corps me laisse enfin le repos tant demandé, fini le tourment Je me repose sans douleur, sans contrainte Je te quitte, mais je reste dans ta mémoire, pense à moi souvent, mais ne soit pas attristée par mon absence, je serai partout avec toi, dans les moments de peine, comme dans les moments de joie. Dans les villes, dans les forêts et dans les plaines, chaque fois que le vent des contraintes de la vie te couvrira, tends les bras vers le ciel, je t' envelopperai de mes ailes pour te réchauffer de mon amour et chasser tous tes tracas., Tendresse |
Déposé par lili2248 le 01/12/2015Le paradis des animaux Regardez, mais regardez donc là haut ! Oui levez les yeux ! Ne le voyez-vous pas ce Paradis de nos Chers Animaux ? Là ! Au-dessus de ce nuage dont la forme est un chien, Et à côté de celui-ci dont la forme est un chat, Il est là ce Paradis ! Et puis si votre regard se coule vers la droite, Il y a le coin des rongeurs : Regardez, mais regardez donc ! Laissez aller maintenant votre regard vers la gauche : Là est le coin des chevaux, des ânes. Vous le voyez n'est-ce-pas ? Dans le ciel si bleu, au-dessus de nos têtes, Ils sont là, Ils vivent ailleurs en pleine santé, Dans de grands prés verts bien fleuris, Où coule la Source du Paradis, et, Quand vient la nuit Ils allument pour nous Les étoiles afin que nous ayons nous aussi Cette lumière qui les entoure. Le Paradis des Animaux : il est là ! Vous le voyez n'est-ce-pas ?, |
Déposé par colombine67 le 01/12/2015"Dis-moi, combien pèse un flocon de neige ?", demanda la mésange à la colombe. "Rien d'autre que rien", fut la réponse. Et la mésange raconta alors à la colombe : "J'étais sur une branche d'un sapin quand il se mit à neiger. Pas une tempête, non, juste comme un rêve, doucement, sans violence. Comme je n'avais rien de mieux à faire, je commençais à compter les flocons qui tombaient sur la branche où je me tenais. Il en tomba 3.751.952. Lorsque le 3.751.953ème tomba sur la branche - rien d'autre que rien comme tu l'as dit - celle-ci cassa." Sur ce, la mésange s'envola. La colombe, une autorité en matière de paix depuis l'époque d'un certain Noé, réfléchit un moment et se dit finalement : "Peut-être ne manque-t-il qu'une personne pour que tout bascule et que le monde vive en paix !" ACAT (Action des Chrétiens pour l'Abolition de la Torture), |
Déposé par ovanek le 30/11/2015 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 ** Fleurs de nous ** Dans l’existence de mon bonheur tu as dans mon cœur. Ta fidélité vie comme une lumière. Qui éclaire mon chemin et noie mon chagrin Les fleurs poussent sur tes jardins Leurs parfums de tendresse, épouse ton destin Leurs présences me réchauffent d'une caresse, De pétale sucré, comme les bras du soleil, Embellissent mes journées, Leurs beautés enracinées... malgré le temps qui s'évapore, Restent encrées en nous, telle une épave au fonds de l'océan Au cours de ce voyage, mes pensées restent auprès de toi, Je laisse sur cet écrit un peu de moi. Avec toi je continuerai de partager, Ce qu'on appelle si joliment la fidélité... Je t'aime mon chien 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par colombine67 le 30/11/2015 Laissez-moi rêver qu'jai de beaux souliers ne me dites pas la vérité... Laissez-moi penser qu'j'ai tout'la vie pour aimer même si je sais qu'mon crédit est épuisé... Ne détruisez pas mon royaume à moi où je suis la reine du miel et des arcs en ciel Ne me dites pas... J'veux pas être sage Je veux plus d'images Je veux mon bonhomme à moi en chocolat J'veux des bras, des jambes, et même des menottes toutes pleines de doigts... Je veux être légère une bulle d'air explosant de joie... J'veux des chants d'oiseaux un monde plus beau sans cris ni couteaux... Alors... Laissez-moi rêver, Ne me dites pas... La vérité Cristal |
Déposé par colombine67 le 29/11/2015 La véritable amitié est pure. Elle ne recherche aucune faveur en retour. Elle élève celui qui la donne. La véritable amitié est généreuse. Elle est plus forte que tous les préjugés. Elle anoblit celui qui la donne. La véritable amitié est fidèle. Elle n’est pas altérée par le temps. Elle honore celui qui la donne. La véritable amitié est tenace. Elle est faite de loyauté et de franchise. Elle grandit celui qui la donne. La véritable amitié est magnanime. Elle ne pose aucune condition. Elle embellit celui qui la donne. La véritable amitié est absolue. Elle n’est jamais donnée par miettes. Elle fait honneur à celui qui la donne. La véritable amitié est spontanée. Elle ne fait l’objet d’aucun marchandage. Elle récompense celui qui la donne. La véritable amitié est sincère. Elle ne pose pas de conditions. Elle enrichit celui qui la donne. Henri de Lacordaire, (1802-1861) |
Déposé par Galinette3 le 28/11/2015💖«Que les étoiles emportent ta tristesse. Que les fleurs remplissent ton cœur de beauté. Que l’espérance essuie tes larmes pour toujours et par-dessus tout que le silence te fortifie »💖 |
Déposé par poutounou le 28/11/2015Et si on se préparait une énorme salade de baisers !!! * Ce matin * Ce matin, j'ai mangé de la colère à la petite cuillère. J'ai mis plein de mauvaise humeur sur ma tartine de beurre. Toute la journée, je l'ai passée à grogner, à donner des coups de pieds, et à dire "C'est bien fait !". Mais maintenant, ça suffit, j'ai envie que ce soit fini. Et avant d'aller me coucher, je voudrais vous apporter une salade de baisers bien frais, bien doux, bien sucrés. C'est très facile à préparer. Qui veut la goûter ? * Monique Müller |
Déposé par colombine67 le 28/11/2015 La seringue a tué le rire Plus d'une fois j'ai pensé atteindre la rive, chaque fois je suis retombé ; sur mon bras droit est tatouée une seringue. Mon esprit est marqué. Combien d'années ont passé depuis que j'ai, mon sac de couchage sous le bras, fermé la porte de ma maison, depuis que j'ai fumé ma première pipe de hachisch ? Quatre, cinq ? Je ne veux pas y penser ! Je veux oublier ! Quelques amis ont essayé de m'aider, puis sont repartis. Que pouvaient-ils faire ? Je ne vois pas la lourde porte de ma prison ni les barreaux à ma fenêtre. Quelque part dehors, dans Oslo qui se réveille après un long hiver, mon fils et ma femme m'attendent. Je rêve ! Des images défilent devant mes yeux, des souvenirs... Paris, l'Afrique, le hachisch, puis, en relief, une seringue, Istamboul, l'opium, Téhéran, l'héroïne... Tout est vague ! Une seringue à mort lente ! Ai-je vingt et un ans ou un siècle ? La seringue a tué le rire. La prison ne m'a pas changé. Souvent j'y ai séjourné, puis je suis reparti, de ville en ville, de pays en pays, pour fuir l'obsession. J'ai tenté avec violence de toucher la rive sans jamais y parvenir. Un jour je suis retourné à la maison, les bras percés, et lentement j'ai guéri. C'est très loin. Le brouillard se dispersait, je suis reparti, mes vieilles bottes aux pieds, retrouver les amis de la dernière heure. Les amis ? Non, la seringue ! J'ai renié mes amis. J'ai renié jusqu'à l'idée de l'amour. J'ai renié la vie. J'ai vécu frileux et caché, sans lever la tête, une seringue dans la poche. Des jours, des années ! Puis le soleil délicatement est venu sur mon couvre-lit à la clinique de Cery. Les semaines ont passé, j'ai refait mes premiers pas, le voile se levait mais des périodes sont restées obscures, puis j'ai pu rentrer chez moi quelques heures, avant de repartir. J'avais été expulsé ! La route, un cahier de vers dans la poche, un livre de Nerval, les nuits dans les villes étrangères... sans fin... Dans un parc d'Oslo, j'ai rencontré une jeune fille merveilleuse avec un enfant. La veille de notre mariage j'ai été arrêté une fois de plus pour possession illégale de stupéfiants. Les journées passent, les semaines aussi. Dehors on m'attend. Deux fois par semaine elle vient me voir dix minutes, un geôlier me conduit au parloir... Encore une fois je vais essayer, je ne suis pas seul, et je lui dirai : Voilà, cette fois j'y arriverai ! Combien d'années ont passé ? J'aimerais que cette lettre soit publiée. Si d'autres peuvent ainsi éviter cette voie, tout n'aura pas été inutile. Anonyme, Prison d'Oslo, le 31 mai 1970 |
Déposé par Biscuit le 28/11/2015Dans un petit coin de mon coeur. Ton amitié vit comme une fleur. Son parfum de tendresse, Me réchauffe comme une caresse, Ses pétales colorés,telle la rosée, Rafraichissent ma vie, Ses racines malgré le temps qui fuit, Restent solides entre nos vies. Au cours de ce voyage, je pense à toi, Je laisse sur cette page un peu de moi. Avec toi je continuerai de partager, Ce qu'on appelle si joliment amitié... |
Déposé par colombine67 le 27/11/2015Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. J'écoute quelquefois le soir Des nouvelles à la télévision. On y voit haine et désespoir, Détruire notre monde sans raison. On nous annonce au fil des jours Que femmes et enfants sont agressés Et qu'aussi certains vautours, Vont jusqu’à tuer pour dominer On a beau se parler d'amour, De partager son amitié. Qu'aussitôt dans le détour, La rose sort ses épines acérées. Pourquoi sommes-nous si violents ? Pourquoi sommes-nous insouciants ? Pourquoi sommes-nous si impatients ? Pourquoi sommes-nous intolérants ? Il est temps de faire la paix. Autour de soi et sans délai. Ne cherchez pas ailleurs, paix et bonheur, Ils sont au seuil de votre coeur. Roger Kemp |
Déposé par colombine67 le 26/11/2015 As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel ou écouter la pluie tomber sur le toit ? Déjà suivi un papillon volant gaiement ou bien admiré un coucher de soleil ? Tu devrais t'y arrêter. Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas éternellement. Est-ce que tu cours toute la journée, toujours pressé ? Lorsque tu demandes "Comment ça va ?", est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ? Lorsque la journée est terminée, est-ce que tu t'étends dans ton lit avec 100.000 choses à faire qui courent dans ta ête ? Tu devrais ralentir. As-tu déjà dis à ton enfant : "Nous le ferons demain" et le remettre au surlendemain ? Déjà perdu contact avec un ami, laisser une amitié mourir parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour. La vie est si courte. Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitié du plaisir d'y être. Lorsque tu t'inquiètes et te fais du souci toute la journée, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais. La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'écouter la musique avant que la chanson ne soit terminée. Anonyme |
Déposé par nikita le 25/11/2015PUNKY mon beau petit coeur Ça fait bien du temps que tu n’es plus là ! Et que j’essaye de vivre sans toi Je me souviens encore du jour ou tu es parti Ce jour ou ma vie a été anéantie Depuis que tu as quitté cette terre J'ai juste envie de te dire à quel point mon cœur se serre Dans ces moments là malgré mes petits bonheurs Je ne peux retenir mes larmes et mes pleurs Sais tu seulement que tu me manques à chaque instants Simplement te dire que je t 'aime tant Tu es présent dans mes moindres pensées Je sais que tu es là juste à mes cotés Et que si mes yeux ne te voies pas Mon cœur bat toujours pour toi pour toi mon beau corsaire un envol de doux baisers qui sur ta jolie frimousse vont se déposer avec des douces pensées pour toi et ta maman et MAËL à qui tu manques tant |
Déposé par colombine67 le 25/11/2015Un petit garçon de 8 ans. Son père, un scientifique, cherche à résoudre les problèmes de l’humanité. Le petit entre, lui tire la manche et lui dit : « Papa, je veux t’aider ! » Son père le renvoie : « Non, mon fils, j’ai beaucoup de travail. » Mais le petit insiste. Il y a là une revue avec une carte du monde. Alors, le père prend la carte, avec des ciseaux il la découpe en tout petits morceaux, qu’il lui remet avec de la colle : « Voilà, essaie de reconstruire le monde. » Croyant occuper ainsi son fils pour une dizaine de jours. Mais après deux heures, le fils a résolu le problème. « Comment as-tu pu faire cela ? » « Eh bien, Papa, j’ai vu que l’autre côté de la carte, il y avait la figure d’un homme. Le monde, je ne le connais pas. mais l’homme, si. Alors, j’ai retourné tous les petits papiers. Et j’ai d’abord reconstruit l’homme. Puis, j’ai retourné le papier, j’avais reconstruit le monde aussi. » Anonyme |
Déposé par poutounou le 24/11/2015Le bonheur * Le bonheur est une plume La plus légère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. * Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec précaution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. * Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, légère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pénètre de sa paix. * Même fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le réel, Alors que la pensée remodèle nos traits. * La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La découverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'être aimé. * Et malgré la nuit du monde, Malgré les destructions, Tenons notre lampe allumée, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. * Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
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