En hommage à

Doudoune
1998 / 2009


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En hommage à
Doudoune
BERGER-ALLEMAND
Il est né le:30/10/1998
Il nous a quittés le:11/09/2009
 


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En hommage à Doudoune

Ma fille, mon bébé,
Tu nous manque énormément
On t' aime




26 bougies

23294 Fleurs
Déposé par colombine67
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Ce n'est pas mon animal de compagnie, c'est ma famille
Déposé par choupinou
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“Les étoiles sont lointaines mais leur lumière est chaude, elles effacent les ténèbres de la nuit et la tristesse du coeur des hommes.” Driss Chraïbi ; douce nuit petit ange d'amour ,belle étoile ⭐
Déposé par prixy
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Toujours dans nos pensées et notre Coeur malgré le temps qui passe
Déposé par nina1997
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Déposé par Rebelwriter
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Déposé par goulou50
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Une petite fleur pour un adorable petit ange
Déposé par Rafiarock
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Que ce bouquet t'apporte mes plus tendres pensées et mes plus doux câlins..
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Que ce bouquet t'apporte mes plus tendres pensées et mes plus doux câlins..
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Une brassée de câlinous pour toi petit amour
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Une brassée de câlinous pour toi petit amour
Déposé par poutounou
Déposé par poutounou
Parfois, je me demande si la vie vaut la peine d’être vécue sans toi. Puis, je me dis que tu m’en voudrais de baisser les bras. Alors, je relève la tête et je continue d’avancer…
Déposé par colombine67
Déposé par colombine67
Donne ton cœur à un animal, il ne le brisera jamais
Déposé par nina1997
Déposé par nina1997
Déposé par prixy
Déposé par prixy
C'est la tournée des bisous et des câlins
Déposé par goulou50
Déposé par goulou50
Une averse de bisous, accompagnée de petites gouttes de tendresse
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Une brassée de câlinous avec ce joli bouquet
Déposé par Rafiarock
Déposé par Rafiarock
Une brassée de câlinous avec ce joli bouquet
Déposé par Rebelwriter
Déposé par Rebelwriter
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Une corbeille de bisous et de papouilles pour toi petit ange
Déposé par rafia
Déposé par rafia
Une corbeille de bisous et de papouilles pour toi petit ange


2387 messages

Déposé par poutounou le 30/06/2024  
Avoir ta patte dans ma main, l’instant seulement d’une pause....
*
L'INSTANT D'UNE PAUSE
*
L’instant d'une pause
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
De se lever le matin
Sans plus en chercher la cause
De savoir que le chemin
Parfois peut-être morose
Et dans un sourire malin
Être prêt pour une pause
Il y a des jours où tout est gris
Et où l'on ne voudrait rien voir
Et puis, il y a notre coeur aussi
Qui nous conduit jusqu'au soir
Il y a cette solitude intense
Qui existe et qui est là
C'est dans ces moments, je pense,
Que je peux rêver de toi
À chercher, à tout comprendre
Je me demande si je verrais
Un jour les fleurs en décembre
Et la neige en été
Sur le site de mon coeur
Il y a tant de va-et-vient
Et j'en ressens la douleur
De la nuit jusqu'au matin
Le bonheur est fait de rien
Et de mille petites choses
D'avoir ta patte dans ma main
L'instant seulement d'une pause.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par colombine67 le 30/06/2024  
Ils m’ont dit que ce grand Labrador noir s’appelait “Reggie”, tandis que je l’observais allongé dans son enclos. Le refuge était propre, et les gens qui y travaillaient avaient l’air sympathique. Cela faisait à peine six mois que je venais d’emménager dans cette petite ville universitaire, mais je trouvais déjà que les gens étaient chaleureux et très accueillants. Tout le monde vous disait bonjour quand vous les croisiez dans la rue.
Mais une chose manquait encore à ma nouvelle vie dans ce paisible endroit, et je m’étais dit qu’adopter un chien ne me ferait pas de mal. Cela me ferait un peu de compagnie. Et j’avais vu l’annonce concernant Reggie dans un journal local. Les gens du refuge m’ont dit qu’ils avaient reçu de nombreux appels, mais que les personnes qui étaient venues jusque-là ne leur semblaient pas être des “personnes à Labrador”, pour reprendre leurs mots. Ils ont dû penser que j’étais la bonne personne.
Mais au début, je me suis vite rendu à l’évidence et je me suis dit qu’ils m’avaient mal jugé en me confiant Reggie et les objets qui lui appartenaient, qui consistaient en une petite niche, un sac de jouets dont la plupart étaient des balles de tennis encore neuves, sa gamelle, et une lettre scellée de la part de son ancien propriétaire. En fait, Reggie et moi nous n’avons pas particulièrement accroché, une fois de retour à la maison. Ça a été la galère pendant deux semaines (le temps que les personnes du refuge m’avaient demandé de lui donner pour qu’il s’habitue à sa nouvelle maison).Peut-être que moi aussi, il aurait fallu que je m’habitue. Peut-être que lui et moi nous étions, au fond, un peu trop semblables…
Je ne sais pas pourquoi, mais ses affaires (mis à part les balles de tennis—il n’allait nulle part sans en avoir deux englouties dans sa bouche) se sont retrouvées dans un coin avec le reste des cartons que je n’avais pas encore déballés. Je m’étais dit qu’il n’aurait pas vraiment besoin de tous ces vieux trucs, que je lui achèterais de nouveaux jouets une fois que ça irait mieux. Mais j’ai compris très vite que cela ne serait pas le cas.
J’ai d’abord essayé de lui dire les paroles que les gens du refuge m’avaient dit qu’il connaissait, comme “assis”, “reste là” “viens ici” et il écoutait - enfin, quand il lui prenait l’envie. Il n’avait jamais l’air de vraiment m’écouter quand je l’appelais par son nom - bien sûr, il regardait vaguement vers moi après la quatrième ou cinquième fois, mais il reprenait presque immédiatement le cours de ses occupations. Quand je l’appelais encore, on aurait presque cru l’entendre soupirer avant qu’il obéisse enfin à contrecœur.
Je savais que cela n’allait pas être possible. Il a mâché deux paires de chaussures et il a détruit l’un de mes cartons. J’étais peut-être un peu trop froid avec lui, et je savais qu’il ressentait cela. Cela ne collait pas du tout entre nous, au point que j’ai fini par attendre avec impatience la fin de la deuxième semaine pour pouvoir le rapporter au refuge. Le moment venu, je cherchais frénétiquement mon téléphone au milieu de mes cartons. Je me suis souvenu que je l’avais laissé sur l’un des cartons de la chambre d’amis, mais j’ai dit cyniquement entre mes dents que ce “foutu corniaud l’a probablement mangé”.
Finalement, j’ai retrouvé le téléphone mais avant d’avoir pu taper le numéro du refuge, j’ai trouvé son panier et d’autres jouets. J’ai balancé le panier dans la direction de Reggie, et c’est là qu’il a commencé à le renifler et à remuer la queue. C’était la première fois que je le voyais si enthousiaste, mais quand je l’ai appelé, il m'a lancé un regard vide et il s’est couché au sol. En me tournant le dos.
Bon, cela ne va pas s’arranger comme ça, ai-je pensé. Alors, j’ai composé le numéro.
Mais j’ai raccroché immédiatement quand j’ai vu l’enveloppe scellée. Ça aussi, je l’avais complètement oublié. “Ok, Reggie,”ai-je dit à voix haute,” voyons si ton ancien maître a des conseils à me donner.” J'ouvre alors l'enveloppe et tombe sur une lettre:
À celui qui adoptera mon chien :
Bon, je ne peux pas vraiment dire que je sois heureux que tu lises cette lettre, que j’ai confiée au refuge en leur disant qu’elle ne pourrait être ouverte que par le nouveau maître de Reggie. Je ne suis pas non plus heureux de devoir l’écrire. Si tu lis ceci, cela signifie que je viens de rentrer de mon dernier trajet en voiture avec mon chien, après l’avoir laissé au refuge. Il savait que cette fois, quelque chose était différent. J’ai déjà emballé toutes ses affaires pour les mettre dans le coffre arrière de la voiture, mais cette fois-là… C’est comme si il savait que quelque chose n’allait pas. Et quelque chose ne va pas… c’est pourquoi je dois tout faire pour que tout aille bien.
Alors, laisse-moi te parler un peu de mon Labrador, dans l’espoir que cela vous aide à vous lier d’amitié tous les deux.
Tout d’abord, tu l’auras remarqué, il adore les balles de tennis. Plus il en a, plus il est content. Parfois je me demande s-il n’est pas croisé avec un écureuil, vu comme il aime les collectionner. D’habitude, il en a toujours deux fourrées dans sa bouche, et il essaye d’en faire rentrer une troisième. Jusqu’ici, il n’a jamais réussi. Tu peux les lancer ou tu veux, il se mettra à courir après - alors attention à ne pas le faire près d’une route. J’ai fait cette erreur une fois, et il a bien failli se faire renverser.
Ensuite, il y a les mots qu’il connaît. Les gens du refuge te l’ont peut-être déjà dit, mais il connaît les mots les plus courants— “assis”, “reste là”, “viens ici.” Il sait aussi donner la patte et il est réactif aux signes de la main. Il fait “couché” quand il a envie - mais je suis sûr que tu pourras travailler cela avec lui. Il connaît les mots “balle” “croquette” et “os”. Je l’ai dressé en lui donnant des petites récompenses. Le mieux pour qu’il ouvre grand les oreilles, c’est des petits morceaux de saucisse.
Il est à jour dans ses vaccins. Appelle le vétérinaire pour récupérer le dossier, c’est un type bien et il te rappellera quand il faudra l’amener là-bas. Mais sois prévenu : Reggie déteste le vétérinaire. Bonne chance pour le faire monter dans la voiture (je ne sais pas comment il sait quand on l’y emmène, mais crois-moi, il sait !)
Enfin, laisse-lui le temps de s’adapter. Je n’ai jamais été marié, alors ça a toujours été juste lui et moi, depuis qu’il est né. Il me suivait partout, alors si tu peux, amène-le en voiture avec toi quand c’est possible. Il a l’habitude, il est propre et n’aboie pas. Il adore sortir et passer du temps avec des gens, et avec moi tout particulièrement.
Ce qui signifie que la transition sera très dure pour lui, puisqu’il n’a jamais vécu dans une autre maison que la mienne.
Et c’est pourquoi il est temps que je te dise la vérité et que je te donne quelques informations supplémentaires…
Son nom n’est pas Reggie.
Je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela, mais quand je l’ai laissé au refuge, je leur ai dit qu’il s’appelait Reggie. Je n’ai tout simplement pas pu leur dire son vrai nom. Si je l’avais fait, cela m’aurait paru si extrême que cela aurait été comme admettre le fait que je ne le reverrais plus jamais. Et si jamais je reviens, que je le récupère et que je déchire cette lettre, cela voudra dire que tout va bien. Mais si tu es en train de lire ceci, alors… alors ça veut dire que son nouveau propriétaire doit connaître son vrai nom. Cela t’aidera à te lier d’amitié avec lui. Qui sait, peut-être même que tu remarqueras quelques changements, s’il te pose des problèmes au début.
Son vrai nom est Tank. Parce que c’est ce que je conduis.
Si tu lis ce message et que tu habites dans le coin, peut-être que tu auras lu mon nom dans les journaux. J’ai dit aux gars du refuge qu’ils ne proposent pas “Reggie” à l’adoption tant qu’ils n’auront pas reçu un appel de la part du commandant de ma compagnie. Tu comprends, mes parents sont partis, je n’ai pas de frère et sœurs, personne à qui j’aurais pu confier Tank… Et la seule requête que j’ai fait à l’armée quand ils m’ont annoncé mon déploiement en Irak, c’était de prévenir le refuge… en cas d’”accident”... pour leur dire que Tank était prêt à avoir un nouveau maître. Heureusement, mon colonel adore lui aussi les chiens, et il savait bien vers où ma division avait été envoyée. Il m’a donné sa parole qu’il s’en occuperait personnellement. Et si tu lis ceci, alors cela signifie qu’il a tenu sa parole.
Bon, désolé, cette lettre devient vraiment déprimante même si, franchement, je l’écris juste pour mon chien. Je n’imagine même pas ce que cela aurait été si j’avais dû le faire pour une femme et des enfants… mais quand même, Tank a été ma seule famille au cours des six dernières années.
Et à présent, j’espère que tu sauras lui faire une place au sein de ta famille à toi, qu’il s’habituera et qu’il finira par t’aimer tout comme il a pu m’ aimer.
Cet amour inconditionnel, c’est ce que j’ai emporté avec moi, comme une source d’inspiration pour faire don de moi-même pour protéger les autres. Si je devais abandonner Tank pour le faire, alors je suis heureux de faire ce sacrifice. Il était pour moi un exemple d’amour et de dévouement. J’espère l’avoir honoré par mon dévouement envers mes camarades de front.
C’est bon, c’en est assez. Ce soir, je serais envoyé au front, et je dois encore déposer cette lettre au refuge. Je ne pense pas que j’irais dire au revoir à Tank une nouvelle fois. J’ai bien assez pleuré la première fois. Peut-être que je glisserai juste un regard, pour voir s'il a finalement réussi à mettre cette troisième balle de tennis dans sa bouche.
Bonne chance avec Tank. Soigne-le bien, et donne-lui une caresse en plus de ma part, chaque soir, pour lui dire bonne nuit.
Merci,
Paul Mallory
J’ai replié la lettre, et je l’ai replacée avec précaution dans l’enveloppe. Bien sûr, j’avais entendu parler de Paul Mallory, tout le monde en ville le connaissait, même les nouveaux habitants comme moi. Un gosse du coin, mort en Irak quelques mois auparavant et décoré à titre posthume de la croix d’honneur, pour avoir sauvé trois de ses compagnons avant de mourir. Les drapeaux avaient été en berne tout l’été.
Je me suis penché en avant, les coudes posés sur les genoux, et j’ai regardé le chien.
“Hé, Tank,” ai-je murmuré. La tête du chien s’est soudainement redressée, ses oreilles se sont dressées et son regard s’est illuminé.
“Viens par ici.” Il était debout, ses ongles ont cliqueté sur le parquet. Il s’est assis devant moi, la tête penchée, comme s’il cherchait ce nom qu’il n’avait pas entendu depuis des mois.
“Tank,” ai-je murmuré. Sa queue se mit à battre l’air.
J’ai continué à murmurer ce nom, encore et encore, et chaque fois, ses oreilles se baissaient un peu plus, son regard d’adoucissait et son corps se détendait tandis qu’une vague de bonheur semblait le traverser. J’ai frotté ses oreilles, j’ai gratté son dos, j’ai enfoui mon visage dans sa fourrure tout en le serrant contre moi.
“C’est moi, Tank, juste toi et moi. Ton vieil ami t’a confié à moi.” Tank a tendu la tête et m’a léché la joue. “Alors, tu veux jouer à la balle?” Ses oreilles se sont alors dressées d’un coup. “Hein? La balle? T’aimes ça, hein ? La balle ?” Tank s’arracha de mes bras et disparut d’un bond dans l’autre pièce.
Quand il est revenu, trois balles de tennis se trouvaient dans sa bouche...

Déposé par poutounou le 26/06/2024  
Que de sagesse !
*
LES LEÇONS DE LA VIE
*
Après un certain temps,
Tu apprends la différence entre
Tenir la main d'un ami et l'enchaîner.
*
Tu apprends que l'amour
Ne signifie pas se reposer sur quelqu'un,
Mais lui apporter un soutien.
*
Tu commences à accepter tes défaites
Avec la dignité d'un adulte
Et non le désespoir d'un enfant.
*
Tu décides de construire ta vie
Au jour le jour parce que
Les lendemains sont trop incertains.
*
Tu aides à semer un jardin
Plutôt que d'attendre
Que l'on t'apporte des fleurs.

Déposé par poutounou le 23/06/2024  
Et oui ! Parfois la chance passe tout près sans faire de bruit…!!!
*
10 COMMANDEMENTS DU BONHEUR
*
Sois toujours le premier à dire bonjour.
Fais toi de nouveaux amis mais n'oublie pas les anciens.
Ne perds pas ton temps à apprendre les trucs du métier... Apprends le métier.
Sers toi de l'humour pour faire rire les gens, pas pour rire des gens.
Embrasse tes enfants après les avoir disputés.
A la bourse, n'investis jamais plus que ce que tu es prêt à perdre.
Prends l'habitude de rendre service à des gens qui ne sauront même pas que tu les as aidés.
Répète souvent à tes enfants qu'ils sont fantastiques et que tu leur fais confiance.
Apprends à écouter... Parfois la chance passe tout près, sans faire de bruit.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par poutounou le 19/06/2024  
Et non ! La vie ce n’est pas toujours comme marcher sur du velours… !!! C’est des clous, des planches abimées, des trous, et des fois il fait noir et on n’y voit rien… mais il faut continuer car ça en vaut la peine : il y a tellement de beaux moments, de belles rencontres, comme celles avec nos Amours de chien, qui nous font oublier pour un temps la dureté de la vie…
*
LA MÈRE À SON FILS
*
C'est moi qui te le dis, petit,
La vie, c'est pas comme marcher sur du velours,
C'est un escalier qu'il faut grimper.
Y'a des clous qui dépassent,
Et des planches abîmées,
Et des bouts où y'a même pas de plancher :
Des trous.
Et tout ce temps-là,
On n'arrête pas de grimper,
De changer de palier,
De tourner les coins.
Même que des fois y'a pas de lumière
Et qu'on n'y voit rien.
Alors, petit, te retourne pas,
Va pas redescendre l'escalier.
C'est assez dur, fais pas exprès,
Va pas dégringoler maintenant
Parce que moi, je continue,
J'ai pas fini de grimper.
Et c'est moi qui te le dis,
La vie, c'est pas comme marcher sur du velours.
*
(Auteur inconnu)

Déposé par poutounou le 16/06/2024  
C’est tellement important d’écouter l’autre et de lui apprendre à s’aimer… C’est le but de la vie… !!!
*
Le plus beau cadeau
*
Faire le plus beau cadeau à quelqu'un :
Ce n'est pas l'aider,
Ce n'est pas combler ses désirs,
Ce n'est pas lui apporter la sécurité,
Ce n'est pas l'Aimer. NON.
*
C'est lui donner sa liberté,
C'est l'accompagner QUELS QUE SOIENT ses choix,
C'est lui montrer sa propre lumière,
C'est croire en lui,
C’est toujours rester dans la vérité,
ET SURTOUT,
C'est être à son écoute et lui donner l'occasion de s'Aimer...

Déposé par choupinou le 13/06/2024  
hommage a Françoise Hardy
hommage a nos petits coeurs qui sont nés,
puis grandis auprès de nous, avec leur amour
qui ont vieilli, et qui nous ont quitté
pour repartir poussière.....
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose
Me l'a dit ce matin
À l'aurore je suis née
Baptisée de rosée
Je me suis épanouie
Heureuse et amoureuse
Aux rayons du soleil
Me suis fermée la nuit
Me suis réveillée vieille
Pourtant j'étais très belle
Oui, j'étais la plus belle
Des fleurs de ton jardin
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose
Me l'a dit ce matin
Vois le dieu qui m'a faite
Me fait courber la tête
Et je sens que je tombe
Et je sens que je tombe
Mon cœur est presque nu
J'ai le pied dans la tombe
Déjà je ne suis plus
Tu m'admirais hier
Et je serai poussière
Pour toujours demain
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose
Est morte ce matin
La lune cette nuit
A veillé mon amie
Moi en rêve j'ai vu
Éblouissante et nue
Son âme qui dansait
Bien au-delà des nues
Et qui me souriait
Croit, celui qui peut croire
Moi, j'ai besoin d'espoir
Sinon je ne suis rien
Ou bien si peu de chose
C'est mon amie la rose
Qui l'a dit hier matin

Déposé par poutounou le 12/06/2024  
Aimer C'est Plus Que Vivre
*
Gérard Berliner (d’après Victor Hugo)
*
Demain dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne
Je partirai vois-tu, je sais que tu m’attends
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
*
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit
*
Aimer c’est plus que vivre. Aimer c’est plus que vivre.
Laissez-moi lui parler, incliné sur ses restes
Le soir quand tout se tait
Comme si dans la nuit rouvrant ses yeux célestes
Cet ange m’écoutait !
*
Aimer c’est plus que vivre. Aimer c’est plus que vivre.
Maintenant, ô mon dieu ! que j’ai ce calme sombre
De pouvoir désormais
Voir de mes yeux la pierre où je sais que dans l’ombre
Il dort pour jamais
*
Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleurs
*
Aimer c’est plus que vivre. Aimer c’est plus que vivre.
Laissez-moi lui parler, incliné sur ses restes
Le soir quand tout se tait,
Comme si dans la nuit rouvrant ses yeux célestes
Cet ange m’écoutait !
*
Aimer c’est plus que vivre. Aimer c’est plus que vivre.
Maintenant, ô mon dieu ! que j’ai ce calme sombre
De pouvoir désormais
Voir de mes yeux la pierre où je sais que dans l’ombre
*
Il dort pour jamais
Voir de mes yeux la pierre où je sais que dans l’ombre
Il dort pour jamais
Aimer c’est plus que vivre. Aimer c’est plus que vivre.

Déposé par tazounette le 11/06/2024  
177 mois de manque de toi
177 mois de torture
177 mois ........
On t'aime pour toujours
Ma fille Ma bébé mon ange mon étoile

Déposé par goulou50 le 10/06/2024  
L'ABSENCE:
Au-delà des peines, des souffrances
aucun mot ne peut d'écrire l'absence
Le coeur, avec raison, saigne
Le corps, en silence, traine
sa grande peine et sa solitude
Aucun mot ne remplace l'habitude
les souvenirs alimentent la peine omniprésente
sourde et parfois muette
Longtemps je serais prisonnière
de cette absence, mais le pionnier
de ma mémoire fatiguée et usée
afin de te garder dans mon coeur blessé
Je t’aime mon petit chien

Déposé par poutounou le 09/06/2024  
Au jardin de mon coeur...
*
Au jardin de mon coeur
Vous y trouverez
Un petit coin caché
Une oasis charmante
Un chapeau de paille oublié
Sur le petit banc...
Un cahier d'écolière
Une plume d'oiseau
Pour graver mes mystères
Et, la complainte des mots...
*
Au jardin de mon coeur
Vous y découvrirez
Une cabane d'enfant...
Quelques nids pour l'oiseau...
Un bassin de pierre
Un colibri enivré
Du muguet en grelots
Et, une coupe de rosée...
*
Au jardin de mon coeur
Vous y croiserez
Le geai bleu et la tourterelle
La sittelle et l'hirondelle
Le bourdon et l'abeille
Dansant la gigue du printemps...
Au jardin de mon coeur
Je vous y attendrai
En soupirant...
L'air du temps présent !
*
© Jovette Mimeault (1952-2003)

Déposé par choupinou le 05/06/2024  
Le coeur est fait pour aimer ainsi que l'eau de nos yeux pour couler ; un coeur peut bien avoir ses hivers, ses cristallisations, ses léthargies, mais il se dilate, se fond et se remet en mouvement aux premières chaudes brises du printemps, au premier rayon de soleil.
Auguste Guyard

Déposé par poutounou le 05/06/2024  
Comme c’est joliment dit : Bonjour « Messieurs les bourgeons« …
*
Bonjour
*
Comme un diable au fond de sa boîte,
le bourgeon s'est tenu caché...
mais dans sa prison trop étroite
il baille et voudrait respirer.
Il entend des chants, des bruits d'ailes,
il a soif de grand jour et d'air...
il voudrait savoir les nouvelles,
il fait craquer son corset vert.
Puis, d'un geste brusque, il déchire
son habit étroit et trop court
"enfin, se dit-il, je respire,
je vis, je suis libre... bonjour !"
*
Paul Geraldy

Déposé par poutounou le 02/06/2024  
Toi c’est Toi, à jamais en moi… !!!
*
Toi
Esther Granek
*
Toi c’est un mot
Toi c’est une voix
Toi c’est tes yeux et c’est ma joie
*
Toi c’est si beau
Toi c’est pour moi
Toi c’est bien là et je n’y crois
*
Toi c’est soleil
Toi c’est printemps
Toi c’est merveille de chaque instant
*
Toi c’est présent
Toi c’est bonheur
Toi c’est arc-en-ciel dans mon cœur
*
Toi c’est distant…
Toi c’est changeant…
Toi c’est rêvant et esquivant…
*
Toi c’est pensant…
Toi c’est taisant…
Toi c’est tristesse qui me prend…
*
Toi c’est fini.
Fini ? Pourquoi ?
Toi c’est le vide dans mes bras…
Toi c’est mon soleil qui s’en va…
Et moi, je reste, pleurant tout bas.
*
Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978

Déposé par choupinou le 31/05/2024  
Nos vie est comparable aux tempêtes de sable que nous affrontons, à chaque pas il y a tout ces trésors amassés, qui ne brillent pour personne d'autre que chacun de nous, ces souvenirs qui perdurent et vivent mais illuminent le coeur et l'âme de celui qui les découvre sur vos pages, en les lisant, et qui partage de par son vécu, l'histoire de ces amours fabuleux, exceptionnel à la fois inaccessible, qui fût et fuse encore et se façonne un peu plus chaque jour, et qui redonne de la couleur, de la vie a nos mémoires, vous y serez toujours bien vivant petits anges tant aimés
choupinou

Déposé par choupinou le 30/05/2024  
Pour toi petit ange, toi qui vit la haut. Je sais vraiment que ta maman aurait voulu te garder plus longtemps dans sa vie. Vous ne vous quittiez presque jamais, elle te tenais la patte dans sa main. Je crois juste en l'amour qui te lie encore très fort à elle et qui au-delà de l'absence offre une présence dans un souffle de vent, un rayon de soleil, une goutte de pluie qui tombe de son nuage. Tu es dans son coeur, son regard peut-être sur une photo de toi et ses yeux me semblent aussi pleins de larmes. Mais te sentir est essentiel pour ta maman, alors qu'importe la raison. Tu lui manques...tu lui manqueras toujours...

Déposé par poutounou le 29/05/2024  
Merci, Monsieur Hugo, pour ce très beau poème…Ce sont nos Anges que nous entendons chanter dans l’infini… !!!
*
Printemps
*
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers.
Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ;
Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre,
A travers l’ombre immense et sous le ciel béni,
Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
*
Victor Hugo,

Déposé par colombine67 le 29/05/2024  
Met ta main sur ma patte, je ne te laisserai jamais partir
Met ta confiance en moi, je ne te laisserai jamais, jamais
Met ton cœur dans mon cœur, je te donnerai toujours de l'amour
Met ma patte dans ta main, je veillerai toujours sur toi
Tout ce que je demande en retour, c'est de l'amour

Déposé par colombine67 le 28/05/2024  
Je suis mort sans nom
Un long mais superbe texte, très émouvant....
Je suis mort sans nom
Sans une marque d’affection…
Je ne connais la définition
Du mot humain émotion
Que par la douleur de l’abandon.
J’ai attendu si longtemps,
D’hivers glaciaux en printemps,
Un rayon d’espoir, et souvent
Pétrifié dans le silence et le temps,
J’ai voulu fuir ce tourment.
Seul et apeuré dans ma cage,
Je m’accrochais à ce mirage…
De votre sourire, de votre visage
Qui m’ont apporté courage
L’instant d’un ciel sans nuage…
Je me suis habitué à la faim,
Au froid, à la peur du lendemain.
Mais jamais, je le crains,
De ne pas connaître enfin
Le plaisir de lécher votre main.
Mon corps martyrisé
N’en pouvant plus de lutter,
À bout de souffle et de fierté,
C’est sans bruit et sans dignité
Que je vous ai quittés.
Une seule caresse aurait suffi
À me permettre, sans bruit,
De quitter mes amis.
Qui encore aujourd’hui.
Vous appellent dans la nuit.
Je ne vous en veux pas
De n’avoir entendu mon désarroi.
J’avais pourtant en moi,
Au fil des jours et des mois,
La confiance, l’espoir et la foi.
Même si j’ai hurlé dans la nuit,
Tandis que mourraient mes petits,
La souffrance et la maladie
Ont eu raison aujourd’hui
De mon instinct de survie.
Ils ont tué mes espoirs
De pouvoir un jour voir
Le soleil et votre peignoir…
De fuir mon désespoir…
Fuir ma cellule dans le noir.
Je suis venu et passé,
Sans jamais être remarqué.
Pourtant, je vous ai toujours espéré…
Je ne demandais qu’à vous aimer…
Pourquoi m’avez-vous abandonné?
J’ai eu faim, j’ai eu froid,
J’ai eu peur et malgré moi,
De ce qui me restait de voix,
Votre nom j’ai appelé mille fois…
Où étiez-vous, dites-moi...
Ma carcasse incinérée
Aura pour l’éternité
Ce champ, ces fleurs et ce pré
Que j’ai longtemps espéré,
Et dont j’ai tellement rêvé.
J’aurais aimé avoir un jouet,
Un seul s’il-vous plait…
J’aurais voulu courir et qui sait,
Trébucher dans le gazon tout frais
À vos côtés, fier et coquet…
J’aurais dormi à vos pieds,
L’hiver vous aurais réchauffé,
La nuit vous aurais rassuré,
Et sans jamais rien demander,
Vous aurais écouté et aimé…
Je suis mort triste et seul,
Sans que l’on porte mon deuil.
On m’a offert pour tout linceul,
Un feu de paille et de feuilles,
Je suis libre, délivré et encore seul…
Ne m’offrez pas de fleurs…
Retenez vos pleurs…
Je ne veux plus que le bonheur,
De ceux qui ont dans leur cœur
D’encore espérer avec ferveur…
De quoi donc ai-je été coupable
Pour mériter une vie si misérable
Un destin aussi pitoyable,
Une mort cruelle et minable…
De cela vous m’êtes redevable…
Je vous aime encore
Je vous aime si fort…
À la vie et à la mort,
Je vous aime encore,
Bien au-delà de la mort…
Dites-moi que vous voulez,
Par amour et par pitié,
Encore quelques-uns sauver…
Ainsi ma cruelle destinée
N’aura été ni vaine ni oubliée…
Il est trop tard pour moi,
Voyez, je suis mort et froid…
Mais pour mes petits croyez-moi,
Par vous, ils ne le seront pas.
Sauvez-les en souvenir de moi…
Un chien parmi tant d’autres.

Déposé par poutounou le 26/05/2024  
Un Ange sûrement !!!
*
Ce soir, à travers le bonheur
*
Ce soir, à travers le bonheur,
Qui donc soupire, qu'est-ce qui pleure ?
Qu'est-ce qui vient palpiter sur mon coeur,
Comme un oiseau blessé ?
*
Est-ce une plainte de la terre,
Est-ce une voix future,
Une voix du passé ?
J'écoute, jusqu'à la souffrance,
Ce son dans le silence.
*
Ile d'oubli, ô Paradis !
Quel cri déchire, cette nuit,
Ta voix qui me berce ?
Quel cri traverse
Ta ceinture de fleurs,
Et ton beau voile d'allégresse ?
*
Charles VAN LERBERGHE (1861-1907)




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