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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
55 bougies
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20010 Fleurs
5872 messages
Déposé par colombine67 le 22/01/2016Prends le temps d’aimer… C’est le secret de l’éternelle jeunesse ! Prends le temps de lire… C’est la source du savoir ! Prends le temps d’écouter… C’est le force de l’intelligence ! Prends le temps de penser… C’est la clef de la réussite ! Prends le temps de jouer… C’est la fraîcheur de l’enfance ! Prends le temps de rêver… C’est un souffle de bonheur ! Prends le temps de rire… C’est la musique de l’âme ! Prends le temps de pleurer… C’est l’émotion d’un grand coeur ! Prends le temps de vivre… Car le temps passe vite et ne revient jamais ! |
Déposé par colombine67 le 21/01/2016J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi. J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger J'ai ri quand il ne fallait pas Je me suis fait des amis éternels J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer J'ai crié et sauté de tant de joies, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois ! J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et... ...J'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... Mais j'ai survécu ! Et je vis encore ! Et la vie, je ne m'en passe pas ... Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis !!! Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose ET LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante ! |
Déposé par poutounou le 20/01/2016Reviens-nous bel été… * Les papillons * De toutes les belles choses Qui nous manquent en hiver, Qu'aimez-vous mieux ? - Moi, les roses ; - Moi, l'aspect d'un beau pré vert ; - Moi, la moisson blondissante, Chevelure des sillons ; - Moi, le rossignol qui chante ; - Et moi, les beaux papillons ! * Le papillon, fleur sans tige, Qui voltige, Que l'on cueille en un réseau ; Dans la nature infinie, Harmonie Entre la plante et l'oiseau !... * Quand revient l'été superbe, Je m'en vais au bois tout seul : Je m'étends dans la grande herbe, Perdu dans ce vert linceul. Sur ma tête renversée, Là, chacun d'eux à son tour, Passe comme une pensée De poésie ou d'amour ! * Gérard de Nerval. |
Déposé par colombine67 le 20/01/2016 La petite Espérance C’est la petite lumière qui brille au fond de ton cœur et que nul au monde ne saurait éteindre. Si ton cœur est brisé, malheureux, éperdu, si ta vie est triste, monotone, sans saveur, si l’angoisse parfois et souvent te saisit, La petite espérance est là au fond de ton cœur, qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit après l’hiver, elle est ta bonne étoile qui scintille dans le ciel. Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages… Si tu te crois sans force, sans idée, sans espoir, tout au fond d’une impasse, dans le noir d’un tunnel, Si tu n’as plus le goût à rien, ni même celui de vivre… La petite espérance est encore là, au fond de ton cœur, qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte d’eau pure qui jaillit de la source, le jeune bourgeon qui permet à l’arbre de reverdir, la clarté du jour, là-bas, au bout de la nuit. Merci d’être toujours là, ma petite espérance, tout au fond de mon cœur Ma merveilleuse lampe magique où je puise tous mes rêves, toi qui ne connais pas le mot fin. Auteur Anonyme |
Déposé par colombine67 le 18/01/2016On raconte l'histoire d'un garagiste aux États-Unis, dont la belle voiture est tombée en panne sur un grand boulevard. Homme de métier, il descend de l'auto et soulève le capot afin de trouver la cause de cette panne. Après une demi-heure de vains efforts, il constate la présence d'un homme à côté de lui, homme qui lui propose de l’aider. Le garagiste repousse l'offre et continue à tripoter... mais rien ne marche... puis désespéré, convaincu que rien ne pouvait être fait, avec désespoir, il abandonne le moteur défaillant entre les mains de l'étranger. Celui-ci touche quelques vis et modifie certains fils... subitement le moteur récalcitrant retrouve sa forme et démarre sans broncher ! Bouleversé, l'expert mécanicien demande à l'homme si bien disposé : « Mais mon cher ami, qui êtes-vous ? - Je m'appelle Henry Ford, répond-t-il, c'est moi qui l'ai conçue. » Combien de fois nous tripotons seuls dans nos cœurs et notre esprit en panne pensant nous connaître tellement bien, parfois aussi par orgueil, refusons-nous pas les mains bienveillantes d’amis, de parents ou de professionnels qui cherchent à nous aider ? Il est de ces moments où il est nécessaire d’accepter les mains tendues, vous ne savez jamais ce qu’elles ont de puissant en eux. |
Déposé par choupinou le 18/01/2016a Punky Couplet 1 Encore une matinée à m'demander Comment j'vais combler tout ce vide que tu as laissé Je sens que la journée promet d'être longue Et j'n'ai plus personne avec qui la passer Je n'peux plus porter cette solitude, tu me manques Je n'ai plus personne à qui me confier Je passe mon temps à regarder par la fenêtre Et je n'te vois toujours pas rentrer Pré-refrain Tout semble faux, j'en perds mes mots Que vais-je devenir ? Je garde espoir de te revoir Dans un proche avenir Refrain Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer Les souvenirs ne cessent de me hanter Tu vas me manquer, tu vas me manquer Ça fait si longtemps que j'attends que tu rentres mais De ma mémoire tu disparais Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer Couplet 2 Encore toute une nuit à rêver de ton retour Mais l'réveil me replonge dans ce cauchemar Sans toi, je m'ennuie, je souris Quand j'repense aux discussions qu'on avait matins et soirs Je pense tellement à toi Parfois, j'ai l'impression d'entendre le son de ta voix Plus les années passent et plus je réalise À quel point j'avais de la chance de t'avoir Pré-refrain Tout semble faux, j'en perds mes mots Que vais-je devenir ? Je garde espoir de te revoir Dans un proche avenir Refrain Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer Les souvenirs ne cessent de me hanter Tu vas me manquer, tu vas me manquer Ça fait si longtemps que j'attends que tu rentres mais De ma mémoire tu disparais Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer Pont Je t'attendrai encore, encore et encore Tant que mon corps supportera ton absence Je t'attendrai encore, encore et encore J'attendrai que tu rentres Refrain Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer Les souvenirs ne cessent de me hanter Tu vas me manquer, tu vas me manquer Ça fait si longtemps que j'attends que tu rentres mais De ma mémoire tu disparais Je t'attends comme si t'allais rentrer Tu vas me manquer, tu vas me manquer |
Déposé par colombine67 le 17/01/2016Un prof avait l'habitude, en fin d'études, de donner un cordon violet sur lequel on pouvait lire "Qui je suis fait toute la différence" imprimé en lettres dorées. Il disait à chaque étudiant à cette occasion pourquoi il l'appréciait et pourquoi le cours était différent grâce à lui. Un jour, il a l'idée d'étudier l'effet de ce processus sur la communauté, et envoie ses étudiants remettre des cordons à ceux qu'ils connaissent et qui "font la différence" à leurs yeux. Il leur donne 3 cordons en leur donnant cette instruction : "Remettez un cordon violet à la personne de votre choix en lui disant pourquoi elle fait la différence pour vous, et donnez-lui deux autres cordons pour qu'elle en remette un elle-même et ainsi de suite. Faites-moi ensuite un compte-rendu des résultats." L'un des étudiant s'en va et décide de le remettre à son patron (il travaillait à mi-temps), un gars assez grincheux mais qu'il appréciait. "Je vous admire beaucoup pour tout ce que vous faites, pour moi vous êtes un véritable génie créatif et un homme juste. Accepteriez-vous que j'accroche ce cordon violet à votre veste en témoignage de ma reconnaissance ?" Le patron, surpris, hésitant, répond : "Eh bien, euh, oui, bien sûr..." Le garçon continue : "Et accepteriez-vous de prendre les deux autres cordons violets pour les remettre à quelqu'un qui fait toute la différence pour vous, comme je viens de le faire ? C'est pour une enquête que nous menons à l'université." Etonné, le patron répondit : "D'accord". Et voilà notre homme qui rentre chez lui le soir, son cordon à la veste. Il dit bonsoir à son fils de 14 ans, et lui raconte : "Il m'est arrivé un truc étonnant aujourd'hui. Un de mes employés m'a donné un cordon violet sur lequel il est écrit, regarde : 'Qui je suis fait toute la différence'. Il m'en a donné un autre à remettre à quelqu'un qui compte beaucoup pour moi. La journée a été dure, mais en revenant je me suis dit qu'il y a une personne, un seule, à qui j'aie envie de le remettre. Tu vois, je t'engueule souvent parce que tu ne travailles pas assez, que tu ne penses qu'à sortir avec tes copains et que ta chambre est un parfait foutoir... mais ce soir je voulais te dire que tu es très important pour moi. Tu fais, avec ta mère, toute la différence dans ma vie et j'aimerais que tu acceptes ce cordon violet en témoignage de mon amour. Je ne te le dis pas assez, mais tu es un garçon formidable !" Il avait à peine fini que son fils se met à pleurer, pleurer, son corps tout entier secoué de sanglots. Son père le prend dans ses bras et lui dit "Ça va, ça va... est-ce que j'ai dit quelque chose qui t'a blessé ?" Sanglotant à chaudes larmes le fils répliqua : "Non papa... mais,... j'avais décidé de me suicider demain. J'avais tout planifié parce que j'étais certain que tu ne m'aimais pas malgré tous mes efforts pour te plaire. Maintenant tout est changé... Je t'aime papa !" N'attendons pas pour dire "je t'aime" à ceux que nous aimons vraiment ! Ces mots si simples font de grands miracles. Il n'y a jamais aucune raison assez valable pour ne pas le dire, même si on est convaincu "qu'on ne sait pas le dire"... Si ! ON SAIT LE DIRE, il n'y a pas de bocage cérébral qui vous empêche d'extérioriser ce mot. C'est juste que, chargé d'émotions, ne pas y arriver est souvent lié à des blessures que nous ne voulons pas (re)vivre... D'autres affirment ne pas avoir besoin de le dire, car "ce sont les actes qui compte"... Mais comment font les gens de leur entourage pour savoir qu'ils sont aimés s'ils n'identifient pas les actions d'amour comme une ' expression' d'amour ? Car, nous le savons tous, nous avons tous une façon individuelle et personnelle de percevoir le monde qui nous entoure. Ce qui peut être 'évident' pour les uns ne l'est pas forcément pour d'autres. D'où l'importance de "dire" ! Pourtant, ces mots font tellement de bien à ceux qui les reçoivent, mais aussi à ceux qui les expriment ! Ces mots sont magiques car ce sont les plus puissants au monde ! Dites aujourd'hui "je t'aime" à une personne de votre entourage et observez ce qui se passe en suivant... Je vous souhaite une merveilleuse journée positive. Michel POULAERT |
Déposé par poutounou le 16/01/2016Chez nos Anges à 4 ou 2 ou 1000 pattes, il n’y a que des Cœurs purs…. * LE COEUR PUR * Il se contentait d'être heureux Sans le paraître. Et, se moquant des grands, Il vivait comme un gueux, Fuyait les gens sérieux Et la gloire et l'argent. On l'aurait volontiers Arrêté, enfermé. Mais quel homme au coeur pur Ne traverse les murs Avec son chien bien sûr ! |
Déposé par colombine67 le 16/01/2016Il était une fois un village qui avait parmi ses habitants un vieil homme très sage. Les villageois avaient confiance en cet homme pour leur fournir les réponses à leurs questions et soucis. Un jour, un fermier vint trouver le sage et dit d’un ton alarmé : « Vieil homme, aide-moi. Une chose horrible vient d’arriver. Mon bœuf est mort et je n’ai plus d’animal pour m’aider à labourer mon champ ! N’est-ce pas la pire chose qui puisse arriver ? » Le vieil homme sage répondit « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». L’homme furieux retourna au village et rapporta à ses voisins que le sage était devenu fou. Bien sûr que c’était la pire chose qui puisse arriver ! Ne pouvait-il comprendre ça ! Le lendemain, cependant un cheval jeune et vigoureux fut aperçu près de la ferme de l’homme. Parce qu’il n’avait plus de bœuf sur lequel compter, il eut l’idée d’attraper le cheval pour remplacer son bœuf et c’est ce qu’il fit. Comme le fermier était heureux ! Labourer le champ n’avait jamais été aussi facile. Il retourna voir le sage pour s’excuser. « Vous aviez raison vieux sage. Perdre mon bœuf n’était pas la pire des choses qui pouvait arriver. C’était une bénédiction cachée ! Je n’aurai jamais capturé mon nouveau cheval si cela ne s’était pas produit. Vous devez admettre cette fois que c’est la meilleure chose qui puisse survenir ». Le sage répondit une fois encore « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Ah, non ! Pas encore se dit le fermier. C’est sûr, le vieux sage était à présent devenu complètement fou. Mais, de nouveau, l’homme ne savait pas ce qui allait arriver. Quelques jours plus tard, le fis du fermier montait le cheval et fit une chute. Il se cassa la jambe et fut dans l’incapacité de faire la récolte. « Oh, non ! » pensa le fermier, « Maintenant nous allons mourir de faim ». Et de nouveau, le fermier se rendit chez le sage. Cette fois il lui dit « Comment saviez-vous que capturer mon cheval n’était pas la pire des choses qui puisse m’arriver ? Vous aviez encore raison. Mon fils est blessé et se trouve dans l’incapacité de m’aider pour la récolte. Cette fois je suis sûr que c’est la pire des choses qui puisse m’arriver. Et vous devez en convenir cette fois. » Mais tout comme il l’avait fait auparavant, le sage regarda le fermier et, avec compassion, lui répondit : « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Enragé que le vieil homme soit si ignorant, le fermier hors de lui retourna au village. Le jour suivant, des soldats arrivèrent pour enrôler tous les hommes valides pour la guerre qui venait juste d’éclater. Le fils du fermier fut le seul jeune homme dans le village à ne pas partir. Il vivrait alors que les autres mourraient sûrement. La morale de cette histoire nous fournit une leçon puissante. La vérité est que nous ne savons jamais ce qui va se passer – nous pensons seulement le savoir, nous portons des jugements, nous pensons analyser et nous comparons avec d’autres situations passées qui ne sont probablement pas le reflet du futur. Nous créons nous-mêmes des scénarios dans notre imagination sur les choses terribles qui pourraient arriver et ceux-ci nous mettent dans un état interne qui correspond à ces scénarios. S’ils sont négatifs, nous le deviendrons, s’ils sont positifs et optimistes, nous le serons aussi. La plupart du temps, après coup, nous nous rendons comptes que nous nous sommes fait du souci pour rien et que nous avions tort. Si nous restons calmes, sereins et ouverts à toutes les possibilités, nous pourrons raisonnablement être certains que, éventuellement, tout ira bien. Ne vous créez pas de soucis qui n’existent pas : ils n’existent pas puisque c’est dans l’avenir. Souvenez-vous : « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Un optimiste voit des opportunités dans les difficultés. Votre serviteur dans l’optimisme, Michel POULAERT. |
Déposé par Biscuit le 15/01/2016"""On doit malheureusement se faire à l'idée que ces souvenirs font désormais partie du passé."""" Ton départ Punky, laisse de la peine, et la résignation. S'il est vrai que tu fais partie du passé par ton absence, sache comme tous tes compagnons qui t'ont reçu dans ce Paradis des Animaux, que vous serez toujours présent dans nos pensées, et seule une personne matérialiste ne peut le comprendre. Durant votre vie parmi nous, vous nous avez marqué profondément par votre fidélité sans faille et votre dévouement sans limite. Tu as pris ta place dans votre Paradis, tu vas recommencer ta nouvelle vie, en pensant à celle que tu viens de quitter, tu t'amuseras et un beau jour, tu arrêteras subitement le jeu, tu pointeras les oreilles, tu humeras l'air, et ton regard se dirigera dans une certaine direction, et subitement tu quitteras avec rapidité ce jeu pour te blottir dans les bras d'un de tes proches qui arrivera dans son Paradis. A ce moment vous serez unis pour l’éternité. Toi qui n'est pas mort, mais simplement endormi pour un long sommeil, attends tous ceux que tu as aimés sur terre. , |
Déposé par colombine67 le 15/01/2016Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers ; Mais il fallait livrer bataille, Et le rnâtin était de taille à se défendre hardiment Le Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu'il admire. "Il ne tiendra qu'à vous beau sire, D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien. Quittez les bois, vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables, Cancres, hères, et pauvres diables, Dont la condition est de mourir de faim. Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée ; Tout à la pointe de l'épée. Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin." Le Loup reprit: "Que me faudra-t-il faire ? - Presque rien, dit le Chien : donner la chasse aux gens Portants bâtons, et mendiants ; Flatter ceux du logis, à son maître complaire : Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons, Os de poulets, os de pigeons, Sans parler de mainte caresse." Le Loup déjà se forge une félicité Qui le fait pleurer de tendresse. Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé. "Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrait pas même à ce prix un trésor." Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor. Jean de La Fontaine, Fables |
Déposé par ovanek le 14/01/2016💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 ** Toi et Moi ** Des paroles de douceur, des moments de bonheur. Des regards échangés, des moments de complicité. Des étoiles dans les yeux, la joie des balades. Ta petite patte dans ma main, gambader le même chemin. Des rêves plein le cœur, Aimer et oublier Juste la magie de ta compagnie, Juste toi et moi ** Pensée ** *** 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par colombine67 le 14/01/2016 Le bonheur c’est... : de savoir s’émerveiller peu importe son âge de rire de bon coeur en agréable compagnie de savoir dire « je t’aime » de se panifier des moments de tendresse de savoir relever des défis, même si cela me fait peur d’avoir assez de grandeur d’âme pour pardonner de profiter de ses moments de solitude pour enfin faire des choses pour soi seulement de regarder un bon film et de laisser libre cours à ses sentiments de regarder ce que j’ai accompli et non ce qu’il me reste à faire d’être maître de soi et non des autres de posséder l’humour nécessaire pour surmonter les difficultés de la vie de reconnaître que le négatif existe, mais de décider de ne pas lui ouvrir la porte. Quand tu as le « BONHEUR » dans ta vie, N’oublie pas de le cultiver Pour qu’Il reste longtemps. Anonyme |
Déposé par colombine67 le 13/01/2016Dis pépé, c'est quoi le bonheur ? Le bonheur mon enfant, c'est d'avoir des yeux, Même en vitrine, sous d'horribles lorgnons. Pouvoir observer, sur la fleur, un bourdon Gorgé de nectar, s'arracher vers les cieux. Le bonheur, mon petit, c'est d'être fasciné Par une perle de rosée, courant sur le fil de la vierge, Dans une aube radieuse au soleil qui émerge, Cordiale promesse d'une belle journée. Le bonheur, tu sais, c'est pouvoir admirer, Dans l'azur doré d'un printemps qui s'éveille, Un magnifique rapace qui, de là-haut, surveille Le lapereau étourdi qui a quitté son terrier. Le bonheur, mon garçon, c'est pouvoir arpenter La garrigue provençale, ta main dans la mienne : Balade matinale, avant que ne survienne Le vent brûlant, au zénith de juillet. Le bonheur, mon enfant, c'est quand la pluie est tombée Et fait que la terre craquelée et agonisante, Exhale soudain une odeur douce et enivrante, Pour remercier le ciel de la bienfaisante ondée. Le bonheur, vois-tu, c'est, quand finit l'été, Cueillir une pomme au sein du verger familial, L'essuyer sur sa blouse, d'un geste machinal, Puis mordre à belles dents, dans sa chair sucrée. Le bonheur, tu sais, il se trouve n'importe où : Se coucher dans le pré, écouter chanter l'herbe, Le souffle du Mistral dans le chêne superbe, Le murmure du ruisseau, polissant ses cailloux... Je te souhaite des choses pures, du bonheur ! Point n'est besoin d'honneurs et de richesses. Qu'un avenir utopique, et de folles promesses, Ne puissent jamais, ô jamais ! endurcir ton coeur. Pierre Clérico, 09/2000 |
Déposé par poutounou le 12/01/2016Un joli petit poème hivernal…… * Hiver, vous n'êtes qu'un vilain ... * Hiver, vous n'êtes qu'un vilain, Eté est plaisant et gentil, En témoin de Mai et d'Avril Qui l'accompagnent soir et matin. Eté revêt champs, bois et fleurs De sa livrée de verdure, Et de maintes autres couleurs, Par l'ordonnance de Nature. Mais vous, hiver, vous êtes plein De neige, vent, pluie et grésil : On doit vous bannir en exil. Sans vous flatter je parle plein, Hiver, vous n'êtes qu'un vilain ! * Charles d'Orléans (1394-1465) |
Déposé par colombine67 le 12/01/2016Le bonheur est une plume La plus légère qui soit. Il faut l'attraper Quand elle passe. Le bonheur se cueille dans l'instant, Avec précaution Comme une fleur, Avant qu'elle ne se fane. Le bonheur est cette poudre de soie, Qui passe, légère, devant la lune, L'effleure, l'enserre, Et la pénètre de sa paix. Même fragile, le bonheur Transfigure les choses insignifiantes, Il fait oublier le réel, Alors que la pensée remodèle nos traits. La joie monte en nous, quand nous la donnons. C'est cela le moteur du bonheur. La découverte du bonheur d'aimer S'ajoute au bonheur d'être aimé. Et malgré la nuit du monde, Malgré les destructions, Tenons notre lampe allumée, Pour que vive au dehors la lumière du bonheur. Hélène Ellenberger, Ferveur d'Automne |
Déposé par Biscuit le 11/01/2016La perte de mon chien Il n'y a rien de plus dur C'est un cri du coeur C'est une profonde douleur C'est un sentiment indescriptible Une souffrance indélébile Un manque irremplaçable Un souvenir ineffaçable Un froid glacé Une âme déchirée Meurtri par une absence Plus rien n'a de sens Mais il faut continuer Continuer pour l'être aimée Pour l'être tant pleuré Pour lui dont le coeur s'est arrêté Car quand arrivera le rendez-vous il doit être fier de vous on t'aime Punky Belles pensées pour tous |
Déposé par colombine67 le 11/01/2016Un jour, il y a de ça longtemps J'ai choisi de marcher dans la vie Entourée de rires d'enfants. Avec le zèle de mes vingt ans Je rêvais de changer le monde Par le biais de l'enseignement. Le soir, en me couchant Je mijotais de sages leçons Et des nuits durant J'écrivais... sur tableau noir Des mots syllabiques de lumière Des mots en "ou" des mots en "on" Des mots de mots Des mots savants Des mots de grandes chansons. Le lendemain, la tête remplie de nuages Je découpais mes rêves en belles images Et souvent, beaucoup trop souvent Ces images, de mes nuages, devenaient ORAGES. J'apprenais le métier à mes dépens. Je découvrais l'art des arts L'art de l'enseignement. Je devais apprendre, comme Rodin ou comme Michel-Ange À faire surgir la connaissance, au seuil de la conscience Telle une statue se pointe d'un marbre fragile Tel un penseur bronzé émerge d'un métal froid. Ce qui d'abord m'avait paru facile Devenait pour moi lourde tâche, devoir pénible. Souventes fois... je me sentais abattue Abandonnée de mon courage Et je me taxais sans scrupules D' "incompétente" ... de "malhabile". J'aspirais toujours malgré tout à ... Capter soudainement la science du jour, en BLOC sans fissures Et offrir généreusement, cet amas de notions et de doctrines En cadeau... à Pierre, à Bill, à la petite Catherine. Parfois encore, moi, l'institutrice mal assurée Je regrettais ma vocation De livres et de crayons. Je me disais : "C'est fou... Combien il me serait plus doux De compter des sous Plutôt que de répéter... sans cesse répéter... Bijou, caillou, chou, genou... pou." Débordée, fatiguée, désenchantée Je récitais mes litanies... "Si mes élèves ne savent rien... c'est à cause de la télé. Si je n'ai pas le temps de respirer... c'est à cause des programmes surchargés. Si le p'tit Stéphane est si tannant... c'est à cause de ses parents. Si les enfants sont si agités... c'est à cause de la récré. Si Patrick s'endort sur le plancher... c'est à cause de son dîner. Si Chantale m'envoie promener... c'est à cause de la société." Ô paradoxale profession La plus grande, la plus dure La plus noble, la pire, la meilleure Sans discussion. Profession de compassion, de déraison Plus que profession Mission et à la fois passion Instruction, éducation, application Frustration, co-opération, tradition Rigodon ! Pardon ! je connaissais alors tant de confusion. Comme un violoniste en herbe Qui maudit son violon... Je songeais à l'abdication À faire école buissonnière À déchirer mon diplôme d'hier Ou à écrire un gros bouquin farceur Intitulé : "Les tribulations d'une ex-professeur". Et puis... les années ont passé. Le calme s'est installé, dans ma maison. Il faut croire Que les tenaces violonistes Arrivent à capter le silence entre les sons La mélodie qui efface les tensions. Aujourd'hui, je connais le secret de l'enseignement. Un secret qui se résume en un seul et puissant mot : APPRENDRE. Alors, maintenant, Avec la jeune Marlène Ou le sage Simon J'avance en cadence Vers de nouveaux horizons. J'ai appris à moins parler J'ai appris à mieux écouter. Je ne veux plus m'époustoufler Ou m'endormir la tête sous l'oreiller. J'attends la dictée sans fautes Ou la parfaite lecture à voix haute Comme le semeur attend sa moisson Animée de foi et de conviction. Je cherche sans cesse Les pousses de vie Les pousses de couleurs... Ces pousses intérieures... Qui façonneront notre demain Le monde extérieur Notre monde des humains. Eureka ! je trouve promesse et poésie Force, joie et symphonie. Aussi, je prends le temps De me donner du temps. Enfin, voici l'heure de l'évaluation. Je souris ! ... OUI ! Je re-choisis ma profession. Je me fabrique un bulletin de vitalité Décoré de A, de B et de mots encourageants. Je le mérite ... j'ai tant travaillé. Pour tout commentaire, j'écrirai cette pensée... "Chère enseignante... N'oublie pas de t'accueillir tendrement Comme tu accueilles dans ta classe Tous ces nombreux enfants... Pardonne-toi tes grandes idées Et en toute humilité... Reconnais tes maîtres Tous ces petits enfants". Lysette Brochu |
Déposé par colombine67 le 10/01/2016 Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit : - " Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim. S'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger. " - " Est-ce que l'homme de la maison est là ? " ont-ils demandé. - " Non, il est sorti ", leur répondit-elle. - " Alors nous ne pouvons pas entrer " ont-ils répondu. En soirée lorsque son mari arrive à la maison, elle lui dit ce qui s'était passé. - " Va leur dire que je suis à la maison et invite-les à entrer ! " dit-il à sa femme. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison. - " Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison " ont-ils répondu. - " Et pourquoi ? " a t-elle voulu savoir. Un des vieillards lui expliqua : - " Son nom est RICHESSE, dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre," lui c'est SUCCÈS et je suis AMOUR. Il a ajouté : - " Retourne à la maison et discute avec ton mari pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison. " La femme retourne à la maison et dit à son mari ce qui avait été dit. Son mari était ravi. - " Comme c'est agréable ! " dit-il. Puisque c'est le cas, nous allons inviter RICHESSE." Sa femme n'était pas d'accord : - " Pourquoi n'inviterions-nous pas SUCCÈS ? " Leur belle-fille, qui était dans une autre pièce, entendit leur conversation. Elle sauta sur l'occasion pour faire sa propre suggestion : - " Ne serait-il pas mieux d'inviter AMOUR ? La maison sera alors remplie d'amour " ! - " Tenons compte du conseil de notre belle-fille, dit le mari à sa femme. Sors et propose à AMOUR d'être notre invité. " La femme sort et demande aux trois vieillards : - " Lequel d'entre vous est AMOUR ? S'il vous plaît, entrez et sois notre invité. " AMOUR se lève et commença à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Etonnée, la dame demande à RICHESSE et SUCCÈS : - " J'ai seulement invité AMOUR. Pourquoi venez-vous aussi ? " Les vieillards lui répondirent ensemble : - " Si vous aviez invité RICHESSE ou SUCCÈS, les deux autres d'entre nous serions restés dehors. Mais puisque vous avez invité AMOUR, partout où il va nous allons avec lui puisque partout où il y a de l'amour, il y a aussi de la richesse et du succès." !!! Anonyme |
Déposé par colombine67 le 09/01/2016 Réfléchis bien et essaie de répondre à ces quatre questions : 1. Nomme les 3 personnes les plus riches du monde. 2. Nomme les 3 dernières gagnantes de Miss Univers. 3. Nomme les 5 derniers gagnants des prix Nobel de la paix. 4. Nomme les 5 derniers gagnants de l'Oscar du meilleur acteur. Tu n’y arrives pas ? C’est difficile, non ? Ne t’inquiète pas, personne ne s’en rappelle. Les applaudissements passent. Les trophées prennent la poussière. Les gagnants sont oubliés ! Maintenant réponds à ces questions : 1. Nomme 3 professeurs qui ont contribué à ta formation. 2. Nomme 3 amis qui t’ont aidé(e) dans les moments difficiles. 3. Pense à 5 personnes qui t’ont fait te sentir spécial(e). 4. Nomme 5 personnes avec qui tu aimes passer du temps. Tu y arrives ? C’est plus facile, non ? Les personnes qui ont un sens dans ta vie ne sont pas “cotées” au maximum, avec le plus d’argent, avec les plus grands prix... Ce sont celles qui se font du souci pour toi, qui prennent soin de toi, celles qui, en toutes circonstances, restent auprès de toi. Penses-y un moment. La vie est très courte ! Toi, dans quelle liste es-tu ? Tu ne le sais pas... ? Laisses-moi te donner un coup de main. Tu n’es pas parmi les plus “célèbres”, mais parmi ceux à qui je me souviens d’envoyer ce message… Anonyme |
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