|
|
|
19 personnes aiment cette page |
Connectez vous pour déposer fleurs, bougies et messages |
Vous n'êtes pas connecté. |
En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
65 bougies
|
81625 Fleurs
5785 messages
Déposé par Galinette3 le 20/10/2015A M. V. H. 🐶 Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses, Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux, Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux, Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses. Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ; Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux. Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux, Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes. De ces biens passagers que l’on goûte à demi, Le meilleur qui nous reste est un ancien ami. On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble, On s’approche, on sourit, la main touche la main, Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble, Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain. 🐶 Alfred de Musset |
Déposé par choupinou le 20/10/2015You Raise Me Up (Tu Me Relèves) When I am down and, oh my soul, so weary. Quand je vais mal, oh mon âme, si lasse When troubles come and my heart burdened be. Quand les problèmes viennent et que mon coeur s'alourdit, Then, I am still and wait here in the silence, Alors je suis immobile et j'attends ici en silence, Until you come and sit awhile with me. Juste que tu viennes et que tu t'assoies un moment avec moi. Chorus (x2) Refrain (x2) You raise me up, so I can stand on mountains ; Tu m'élèves, alors je peux me tenir sur des montagnes. You raise me up, to walk on stormy seas ; Tu m'élèves, pour marcher sur des mers déchaînées. I am strong, when I am on your shoulders ; Je suis fort, quand je suis sur tes épaules. You raise me up - to more than I can be. Tu m'élèves - vers plus que je puisse être There is no life - no life without its hunger ; Il n'y a pas de vie- pas de vie sans sa faim Each restless heart beats so imperfectly ; Chaque coeur fatigué bat si imparfaitement But when you come and I am filled with wonder, Mais lorsque tu viens, je suis remplis d'émerveillement Sometimes, I think I glimpse eternity. Quelquefois, je pense apercevoir l'éternité. Chorus (x2) Josh Groban |
Déposé par colombine67 le 20/10/2015 J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi. J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger. J'ai ri quand il ne fallait pas. Je me suis fait des amis éternels. J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé. J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer. J'ai crié et sauté de tant de joies, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois ! J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos. J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire. J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et j'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... Mais j'ai survécu ! Et je vis encore ! Et la vie, je ne m'en passe pas... Et toi non plus tu ne devrais pas t'en passer. Vis !!! Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose et que LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante ! Charlie Chaplin |
Déposé par poutounou le 19/10/2015Un des plus beaux métiers du monde… * Le bâtisseur de ponts * Voici l'histoire de deux frères qui s'aimaient beaucoup et vivaient en parfaite harmonie dans leur ferme jusqu'au jour où un conflit éclata entre eux. Les deux frères vivaient du travail de leurs champs. Ils cultivaient ensemble et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu'au jour où il y eut une vive discussion puis un silence douloureux qui dura plusieurs semaines. * Un jour quelqu'un frappa à la porte du frère aîné. C'était un homme à tout faire qui cherchait du travail. Quelques réparations à faire... * - Oui, lui répondit-il, j'ai du travail pour toi. Tu vois, de l'autre côté du ruisseau vit mon frère cadet. Il y a quelques semaines, il m'a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me venger. Tu vois ces pierres à côté de ma maison ? Je voudrais que tu en construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir. * L'homme répondit : - Je crois que je comprends la situation. * L'homme aida son visiteur à réunir tout le matériel de travail puis il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine. * Quelques jours plus tard, lorsqu'il revint de la ville, l'homme à tout faire avait déjà terminé son travail. Mais quelle surprise ! Au lieu d'un mur de deux mètres de haut, il y avait un pont. Précisément à ce moment, le frère cadet sortit de sa maison et courut vers son aîné en s'exclamant : - Tu es vraiment formidable ! Construire un pont alors que nous étions si fâchés ! Je suis fier de toi ! * Pendant que les deux frères fêtaient leur réconciliation, l'homme à tout faire ramassa ses outils pour partir. * - Non, attends ! lui dirent-ils. Il y a ici du travail pour toi. * Mais il répondit : - Je voudrais bien rester, mais j'ai encore d'autres ponts à construire... |
Déposé par Ana le 19/10/2015"Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j'habiterai dans l'une d'elles, puisque je rirai dans l'une d'elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire !. A. De St Exupéry Merci Maël pour votre disponibilité, très bon rétablissement Chère Maryem vous me manquez aussi! prenez soin de vous. Ce soir j'ai relu votre hommage à Punky, et j'ai reconnu ma petite Orgeat qui est décédée d'une urée créatinine. |
Déposé par nounours le 19/10/2015. .............................MON TENDRE AMIE...................... . ..............Je veux te dire ceci : depuis que je suis né............... ..............Que mes yeux savent voir et mes oreilles entendre............ ..............Tu es,et de très loin,le plus beau,le plus tendre cadeau que jusqu'ici la vie ne m'ait donné TOI.......... . .......................AMITIE A MAMAN........................ . .......................MA DECLARATION............ . ................Je t'ai aimé.........Toujours je t'aimerai................ ................Tu es,ma joie........Mon poème mon bonheur.............. ................Mon illusion.........Mon bourreau............... ................Ma destinée..........Mon rêve le plus beau............. . ..........................ENCORE POUR TOI................ . .........................LE 19 OCTOBRE 2015......................... . |
Déposé par colombine67 le 19/10/2015 La vie La vie est une chance, saisis-la. La vie est beauté, admire-la. La vie est béatitude, savoure-la. La vie est un rêve, fais-en une réalité. La vie est un défi, fais-lui face. La vie est un devoir, accomplis-le. La vie est un jeu, joue-le. La vie est précieuse, prends-en soin. La vie est une richesse, conserve-la. La vie est amour, jouis-en. La vie est un mystère, perce-le. La vie est promesse, remplis-la. La vie est tristesse, surmonte-la. La vie est un hymne, chante-le. La vie est un combat, accepte-le. La vie est une tragédie, prends-la à bras-le-corps. La vie est une aventure, ose-la. La vie est bonheur, mérite-le. La vie est la vie, défends-la. Mère Teresa |
Déposé par spanky le 18/10/2015Je regarde le ciel et j’essaie de te voir parmi toutes ces étoiles, je cherche parmi les ombres ton image perdue. Je dessine ton visage dans les nuages que je vois passer, voyageant au gré du vent, et, guidé par la lune, je lui demande : «Où es-tu ?» Puis ma poitrine s’agite, une larme coule le long de ma joue, et j’ai alors la réponse à ma question: tu n’es plus là, mais tu demeures dans mon coeur. |
Déposé par mindy le 18/10/2015Pour toi Punky ----------- Ça ne prend qu’une minute pour attraper un coup de foudre, Un jour pour tomber en amour, Mais que ça prend toute une vie pour oublier quelqu’un. *** Il est vrai que nous ne savons pas ce que nous possédons Jusqu’au jour où nous le perdons, mais c'est aussi vrai Que nous ignorons ce qui nous manque Jusqu’au jour où nous le recevons. *** Quand la porte du bonheur se ferme, Une autre s’ouvre, mais souvent nous regardons Si longtemps la porte fermée que nous ne voyons pas Celle qui s’est ouverte juste pour nous. *** Peut-être que la vie est ainsi faite... Elle nous présente la mauvaise personne en premier Pour nous aider à découvrir plus facilement La bonne personne, le moment venu. Mais nous l'oublions... |
Déposé par colombine67 le 18/10/2015Tablette du juste Sois généreux dans la prospérité, et dans l'adversité ne cesse de rendre grâces. Mérite la confiance de ton prochain, et ne lui montre jamais qu'un visage amical et souriant. Sois le trésor du pauvre, admoneste le riche, réponds à la plainte du nécessiteux et garde la sainteté de tes promesses. Sois équitable en ton jugement et réservé dans tes paroles. Ne sois injuste envers personne, et montre à tous une douceur parfaite. Sois une lampe pour ceux qui marchent dans les ténèbres, une consolation pour les affligés, une mer pour ceux qui ont soif, un refuge pour ceux qui sont dans la détresse, un soutien et un défenseur des victimes de l'oppression. Que la droiture et l'intégrité marquent tous tes actes. Sois un foyer pour l'étranger, un baume pour ceux qui souffrent, une forteresse pour les fugitifs, des yeux pour les aveugles, un phare pour les égarés. Sois une parure pour le visage de la vérité, une couronne sur le front de la fidélité, un pilier du temple de la rectitude, un souffle de vie pour le corps de l'humanité, un drapeau des armées de la justice, un flambeau qui brille à l'horizon de la vertu, une rosée pour le sol desséché du coeur humain, une arche sur l'océan de la connaissance, un soleil dans le ciel de la bonté, une gemme au diadème de la sagesse, une lumière qui brille au firmament de ta génération, un fruit de l'arbre d'humilité. Baha'u'llah |
Déposé par Biscuit le 18/10/2015Tête de boule chaude qu’on nourrit, qu’on élève. Petit animal qui cahote sur ses pattes, glisse sur les postérieurs, écroulé sur son ventre tendre et mou de bébé trop nourri. Chien enfant que l’on aime, que l’on instruit du mieux qu’il peut. Dont on a la fierté de la patte donnée. Dont on a la tendresse, la chaleur, le silence qui parle, les yeux qui vous regardent. Chien compagnon, chien de la promenade qui gambade avec vous, s’en va pour revenir avec le plus beau des présents : un caillou, une branche, son amour qui rythme votre vie et vous force à la vie. Chien qui donne : un regard, la poussée d’une tête, un œil doré d’amour, une patte. Chien qui accepte un soin, une caresse, une tape, un reproche. Chien qui est votre enfant, mais qui devient le parent qui vieillit avant vous, que vous voyez marcher lorsqu’il aimait courir, se lever pesamment, venir vers vous avec la lenteur de l’âge. Chien qui s’abîme, s’use avec la vie, chien qui déroule en douze ans une vie, vieux chien qu’on aime, et qui s’éloigne, et qui s’en va, qui est parti et que l’on pleure. Christian Chabellard,, Belles pensées |
Déposé par colombine67 le 17/10/2015Rappelle-toi... Que si un rien fait souffrir un rien aussi fait plaisir... Que tu peux être semeur d'optimisme, de courage, de confiance... Que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres... que tu peux, en tout temps, dire un mot aimable... Que ton sourire non seulement t'enjolive, mais qu'il embellit l'existence de ceux qui t'approchent... Que tu as des mains pour donner et un coeur pour pardonner... Thomas Merton |
Déposé par larrydoudou le 16/10/2015L'amitié est le baume de la vie : Laurence Sterne |
Déposé par colombine67 le 16/10/2015Nous sommes faits pour aimer... comme les oiseaux pour chanter, comme les fleurs pour parfumer, comme les fleuves pour couler. Nous sommes faits pour donner... comme la source pour étancher, comme l'ombre pour rafraîchir, comme l'arbre pour protéger. Nous sommes faits pour rire... comme la ballerine pour danser, comme le clown pour pirouetter, comme l'enfant pour sauter. Nous sommes faits pour compatir... comme la maman pour consoler, comme le grand-frère pour rassurer, comme le voisin pour écouter. Nous sommes faits pour grandir... comme l'herbe pour verdir, comme le blé pour pousser, comme le ciel pour bleuir. Jules Beaulac |
Déposé par Galinette3 le 15/10/2015🐶 J'abandonne tout au vent Ne me laisse que mon chant Mais plus vrai plus chaud plus calme Dans la trouée bleue de l'âme Des hivers et des printemps J'ai travaillé l'air du temps Qu'il renverse les barrières Qu'il crible d'or la lumière Qu'il crache l'herbe des champs Jusqu'au front des astres lents Lorsque la nuit mise au monde L'étoile dans l'eau profonde Écoute l'obscur l'entend Et surgisse enfin l'instant Qu'avec le râle des chiennes Mon chant de chien vous parvienne. 🐶 |
Déposé par poutounou le 15/10/2015Il dit vraiment n’importe quoi, le petit doigt ! * Un petit doigt bavard * C’est mon p’tit doigt qui m’ l’a dit Au jardin des deux chats gris Une fourmi en bigoudis Est sortie d’un trou de souris Mon petit doigt affabule Au jardin des campanules Libellule et tarentule Tricotent des mandibules Mon petit doigt a raison Au jardin des hérissons Moi j’ai vu deux limaçons Ficelés comme des saucissons Qui enfilaient leurs caleçons * Chantal Abraham |
Déposé par colombine67 le 15/10/2015Sensation de paix. L'horloge du temps est arrêtée. Ces secondes, ces minutes qui me fouaillaient pour me précipiter vers mes travaux, mes recherches, sont ce matin sans pouvoir sur moi. Je goûte l'instant. Je sens qu'il a plus à m'apprendre que l'accumulation de tous les suivants. Pourquoi me suis-je si rarement accordé le temps de vivre, le droit de vivre ? Il me fallait justifier sans cesse mon existence par ma production, par mon rendement, à mes yeux comme a ceux des autres. Mon existence, en soi, n'avait pas de valeur. Je ne croyais pas exister pour les autres, j'ai fini par ne plus exister pour moi. Ce matin, j'ai le droit d'exister tout seul, pour moi tout seul. Je prends le droit d'exister. Et les êtres et les choses autour de moi commencent à exister d'une existence plus dense. Eux aussi commencent à avoir le droit d'exister. Nous sommes un univers d'existences solides, réelles, également importantes et respectables. C'est comme si le sablier de l'existence se remplissait de minute en minute de la quantité de réalité qui le rend stable. Ce n'est plus cette sensation de vide qu'il faut remplir d'actes, de mots, d'oeuvres. Je goûte d'être immobile. J'existe davantage de ne rien faire, je repose sur ma racine. Quelle est cette racine ? Je sens l'existence sourdre en moi sans arrêt, et ce mouvement, quand je l'observe, suffit à m'occuper. Je lui fais confiance. Je n'ai plus à intervenir, à me justifier d'exister, il me justifie. Exister justifie d'exister. C'est bon d'exister. Ça ne doit « servir » à rien d'exister. On n'est pas obligé de servir à quelque chose. On n'est obligé de servir à rien. On a le droit d'exister d'abord. Il me semble que je cherchais sans cesse à justifier mon existence avant d'avoir pris conscience et goût d'exister. Jusqu'ici, il m'était incroyable que l'on puisse passer du temps sans rien faire et ne pas le sentir perdu ! Le temps n'est pas rempli de ce qu'on y met. Mon temps se remplit par l'attention que je lui porte... par le goût que j'en prends parce que je le considère parce que je me considère parce que je me suis restitué LE DROIT D'EXISTER. Louis Evely, Extrait de son journal, octobre 1983 |
Déposé par lili2248 le 14/10/2015Tu es mon soleil, Tu es la joie que je promène, La force qui brise mes chaînes, Le sans qui coule dans mes veines. Tu es la raison de mon existence, La définition de l’innocence, Mon ange de bienveillance, Plus qu’une chance et plus qu’un espoir, Tu es ma mélodie, Les couleurs de ma vie, bon journée bisous, Le bonheur à l’infini., |
Déposé par colombine67 le 14/10/2015 Un corps t'a été donné. Tu peux l'aimer ou le détester, mais ce sera le tien pour toute la durée de cette vie. Tu vas apprendre des leçons. Tu es inscrit(e) dans une école informelle à plein temps appelée «Vie ». Chaque jour tu auras l'occasion d'apprendre des leçons dans cette école. Tu pourras aimer les leçons, ou penser qu'elles sont idiotes ou sans pertinence. Il n'y a pas de fautes, seulement des leçons. La croissance est un processus d'essai et erreur : l'expérimentation. Les expériences « ratées » font tout autant part du processus que celles qui réussissent. Une leçon sera répétée jusqu'à ce quelle soit apprise. Une leçon te sera présentée sous diverses formes, jusqu'à ce que tu l'apprennes. Quand tu l'auras apprise, tu pourras passer à la leçon suivante. Apprendre des leçons ne finit jamais. Il n'y a pas de partie de «Vie» qui ne contienne de leçon. Si tu es en vie, il y a des leçons à apprendre. « Ailleurs » n'est pas meilleur qu' « ici ». Quand ton « ailleurs » est devenu « ici », tu obtiens à nouveau un autre « ailleurs » qui a son tour te semblera meilleur qu' « ici ». Les autres sont essentiellement des miroirs de toi-même. Tu ne peux aimer ou détester quelque chose chez autrui que si ce quelque chose reflète une chose que tu aimes ou que tu détestes en toi. Ce que tu fais de ta « Vie » dépend de toi. Tu as tous les outils, toutes les ressources dont tu as besoin. Ce que tu en fais dépend de toi. Le choix t'appartient. Tes réponses sont en toi. Les réponses aux questions de la « Vie » sont en toi. Tout ce qu'il te faut, c'est regarder, écouter et faire confiance. A mesure que tu t'ouvres à cette confiance, tu te souviendras de plus en plus de tout ceci. Gitta Mallasz |
Déposé par choupinou le 13/10/2015Larmes aux fleurs suspendues, Larmes de sources perdues Aux mousses des rochers creux ; Larmes d'automne épandues, Larmes de cors entendues Dans les grands bois douloureux ; Larmes des cloches latines, Carmélites, Feuillantines... Voix des beffrois en ferveur ; Larmes, chansons argentines Dans les vasques florentines Au fond du jardin rêveur ; Larmes des nuits étoilées, Larmes de flûtes voilées Au bleu du pare endormi ; Larmes aux longs cils perlées, Larmes d'amante coulées Jusqu'à l'âme de l'ami ; Gouttes d'extase, éplorement délicieux, Tombez des nuits ! Tombez des fleurs ! Tombez des yeux ! Et toi, mon cœur, sois le doux fleuve de mes larmes Qui, riche du trésor de ton amour embelli la lueur de mon âme Roule un grand rêve triste aux mers des soirs languides. là se cache notre merveilleuse histoire,que reflète mon eau limpide, |
L'Album photo contient 41 photos