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En hommage à
WEST-HIGHLAND-WHITE-TERRIERPUNKY du Moulin de Labatut
Il est né le:11/12/1999
Il nous a quittés le:19/06/2012
65 bougies
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20066 Fleurs
5869 messages
Déposé par colombine67 le 06/11/2015Ne te laisse pas tromper par moi. Ne te laisse pas tromper par le visage que je porte, car je porte un masque, mille masques, masques que j'ai peur d'enlever, et je ne suis aucun d'entre eux. Faire semblant est un art qui est une seconde nature pour moi, mais ne sois pas dupe, pour l'amour de Dieu, ne sois pas dupe. Je te donne l'impression que je suis sûr, que tout est bien et sans problème avec moi, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur, que je suis la confiance même et que je plane au-dessus de tout, que l'eau est calme et que je suis bien aux commandes et que j'ai besoin de personne, mais ne me crois pas. A la surface, je suis lisse et sans faille, mais ce n'est que mon masque, toujours différent et toujours caché. En dessous, il n'y a aucune complaisance. En dessous résident la confusion, la peur et la solitude. Mais je les cache. Je ne veux pas que quiconque le sache. Je panique à l'idée que ma faiblesse soit exposée. C'est pourquoi, je crée avec frénésie un masque pour me cacher derrière, une façade nonchalante et sophistiquée, pour m'aider à faire semblant, pour me protéger des regards qui savent. Mais ce regard est précisément mon salut, mon seul espoir, et je le sais. S'il est suivi par l'acceptation, et s'il est suivi par l'amour. C'est la seule chose qui puisse me libérer de moi-même, des murs de la prison que j'ai érigés moi-même, des barrières que j'ai dressées avec tant d'efforts. C'est la seule chose qui puisse m'assurer de ce que je ne peux m'assurer par moi-même, que j'ai vraiment une valeur. Mais je ne te le dis pas. Je n'ose pas, j'ai peur de le faire. J'ai peur que ton regard ne soit pas suivi d'acceptation, ne soit pas suivi d'amour. J'ai peur que tu penses moins de moi, que tu ries et tes rires me tueraient. J'ai peur, qu'au fond, je ne sois rien, que tu le voies et me rejettes. Donc, je joue mon jeu, un jeu désespéré à faire semblant, portant sans assurance une façade et un enfant tremblotant à l'intérieur. C'est ainsi que débute la belle, mais irréelle parade des masques, et ma vie devient une façade. Je bavarde avec toi de manière suave de sujets éphémères. Je te dis tout de rien, et rien de ce qui est tout, de ce qui pleure à l'intérieur de moi. Alors, quand je passe à travers mon scénario ne te laisse pas berner par cette sérénade. S'il te plaît, essaye d'écouter attentivement et écoute ce que je ne te dis pas, ce que j'aimerais être capable de te dire, ce que j'ai besoin de te dire pour survivre, mais ce que je ne peux dire. Je n'aime pas me cacher. Je n'aime pas jouer les jeux superficiels. Je veux arrêter de jouer. Je veux être authentique, spontané et moi-même, mais tu dois m'aider. Tu dois me tendre la main même si c'est la dernière chose que je semble vouloir. Tu es la seule personne qui puisse effacer de mes yeux le regard vide d'un mort vivant. Tu es la seule personne qui puisse m'inviter à la vie. Chaque fois que tu es aimable, doux et encourageant, chaque fois que tu essaies de comprendre parce que tu portes attention, mon coeur commence à avoir des ailes qui poussent - de très petites ailes, de très faibles ailes, mais des ailes ! Avec ton pouvoir de toucher et de me faire sentir, tu peux m'insuffler la vie. Je veux que tu le saches. Je veux que tu saches combien tu es une personne importante pour moi, comment tu peux être un créateur - un créateur fidèle à Dieu - de la personne que je suis si tu le choisis. Toi seul peux briser le mur derrière lequel je tremble, toi seul peux enlever mon masque, toi seul peux me libérer de mon monde ombragé par la panique, de ma prison solitaire, si tu le choisis. S'il te plaît, choisis-le. Ne passe pas à côté de moi. Ça ne sera pas facile pour toi. Plusieurs années à croire que je ne vaux rien ont érigé des murs très solides. Plus tu approches de moi plus je peux combattre aveuglément. C'est irrationnel, mais en dépit de ce que les livres disent sur l'homme, je suis souvent irrationnel. Je lutte précisément contre la chose dont j'ai besoin. Mais on dit que l'amour est plus fort que les murs et c'est là que réside mon espoir. S'il te plaît, essaye d'enfoncer les murs avec une main ferme, mais douce, car un enfant, c'est très sensible. Qui suis-je, tu te demandes peut-être ? Je suis quelqu'un que tu connais très bien. Car je suis chaque homme que tu rencontres et je suis chaque femme que tu rencontres. Charles C. Finn |
Déposé par colombine67 le 05/11/2015Quand lui n'achève pas son travail, je me dis, il est paresseux. Quand moi, je n'achève pas mon travail, c'est que je suis trop occupé, trop surchargé. Quand lui parle de quelqu'un, c'est de la médisance. Quand je le fais, c'est de la critique constructive. Quand lui tient à son point de vue, c'est un entêté. Quand moi je tiens à mon point de vue, c'est de la fermeté. Quand lui prend du temps pour faire quelque chose, il est lent. Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose, je suis soigneux. Quand lui est aimable, il doit avoir une idée derrière la tête. Quand moi je suis aimable, je suis vertueux. Quand lui est rapide pour faire quelque chose, il bâcle. Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose, je suis habile. Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise, il s'occupe de ce qui ne le regarde pas. Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise, je prends des initiatives. Quand lui défend ses droits, c'est un mauvais esprit. Quand moi je défends mes droits, je montre du caractère. Pierre Descouvemont |
Déposé par poutounou le 04/11/2015Quels sont les GROS CAILLOUX de notre vie ? * Gros cailloux * Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience". De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Tous répondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : "Probablement pas ! ". "Bien ! " répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondit le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?". Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire". "Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". "Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?". "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)". D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle. * Anonyme |
Déposé par colombine67 le 04/11/2015 Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me donner des conseils, je n'ai pas de réponse à ma demande. Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à me dire pourquoi je ne devrais pas ressentir cela, je ne me sens pas respecté. Quand je te demande de m'écouter et que tu commences à vouloir faire quelque chose pour résoudre mon problème, je ne me sens pas aidé, aussi étrange que cela puisse paraître. Ecoute, tout ce que je te demande, c'est que tu m'écoutes. Non pas que tu parles ou que tu fasses quelque chose : je te demande simplement de m'écouter. Les conseils sont bon marché. Pour deux euros, j'aurai dans le même journal le courrier du cœur et mon horoscope. Je veux agir par moi-même, je ne suis pas impuissant, peut-être un peu découragé ou hésitant, mais non impotent. Quand tu fais quelque chose pour moi, que je peux et ai besoin de faire moi-même, je me sens dévalorisé et je ne progresse pas. Mais quand tu acceptes comme un simple fait que je ressente ce que je ressens (peu importe la rationalité), je peux arrêter de chercher à te convaincre, et je peux essayer de commencer à comprendre ce qu'il y a derrière mes sentiments apparemment irrationnels. Lorsque je vois clair, les réponses deviennent évidentes et je n'ai pas besoin de conseil. Les sentiments qui semblaient irrationnels deviennent intelligibles quand nous comprenons ce qu'il y a derrière. Peut-être est-ce pour cela que la prière marche, parfois, car Dieu ne parle pas. Il ne donne pas de conseils à ceux qui n'en demandent pas. Il n'essaye pas d'arranger les choses sans se soucier de ma liberté. Alors, s'il te plaît, écoute-moi. Et quand tu voudras que je t'écoute, demande-le-moi et je t'écouterai. Auteur anonyme indien |
Déposé par ritournel le 03/11/2015C'est par piston qu'on entre au paradis. Si c'était au mérite, mon chien y entrerait et moi je resterais dehors. - Mark Twain |
Déposé par Biscuit le 03/11/2015l'animal, il ne vous abandonne jamais que vous soyez beau ou laid roi reine ou simple valet il sera toujours a vos cotés quand vos amis seront partis quand vous vous sentirez trahi le coeur vide plein de depit avec cette envie que tout soit fini il posera sa tete sur vos genoux il sera là tout près de vous avec son regard plein de douceur qui vous rechauffe le coeur en lui vous pourez avoir confiance il ne divulguera pas vos confidences il gardera vos plus lourds secrets et ne vous trahira jamais cet etre plus sincère que certain humain n'est autre qu'un chien mais chien ou chat ou autre peut importe avec tout se qu'il nous apporte partagera nos joies,nos soucis et nous aimera toute sa vie Pour Punky de la part de tout mes compagnons |
Déposé par ovanek le 03/11/2015💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 💖 ** Lumière ** Est une luciole que je vois arriver Qui ce balance autour de moi Pour m’hypnotiser ? Est-ce une bougie que je vois danser Ou une flamme dans l’obscurité Pour me réchauffer ? Est-ce une étincelle que je sens monter dans mon cœur comme un trésor qui scintillerait Pour me réconforter ? Est-ce une étoile que je vois m’orienter Dans mes rêves ? Non c’est toi mon chien Qui rayonne avec tous ta sagesse Tu me manque tant ma boule de tendresse. ** Pensée ** 💖 💖 💖 💖 |
Déposé par nikita le 03/11/2015Mon PUNKY doux trésor Le vent souffle calmement sur les rivages Mon cœur s’envole vers toi au gré des nuages Tu manques tant à mes bras devenus orphelins Je voudrais tant me réveiller près de toi chaque matin La distance qui nous sépare n’est qu’une route Un pont que je parcours vers toi sans doute Mais tu manques tant à mon petit cœur avec toi c'était le bonheur Aujourd’hui tu me manques tant mon PUNKY tant aimé que je suis triste à pleurer Je pense à toi sans cesse Avec toute ma tendresse bisous de tendresse sur ta belle truffe d'amour mon joli prince |
Déposé par choupinou le 03/11/2015POÈME POUR LA TOUSSAINT Je veux écrire de la poésie pour nos petits chiens que l’on a vu mourir Les morts ne meurent pas, ils vivent au pays des rêves sans plus souffrir Le jour de La Toussaint, ils reviennent sur terre habiter nos souvenirs Les amours ont pour nous un message : un jour la vie doit finir Message spirituel pour La Toussaint pour nos petits coeurs qui manquent à nos vies Prière de poésie pour nos amours perdus, partis bien trop tôt au pays des rêves Prière poétique pour un être cher, chaire a notre chaire, dont la vie est en trêve Mots d’amour en ce jour qui célèbre les morts, où le souvenir à la mort survit A toi qui as rejoint le Paradis des animaux et des Hommes justes, je veux dédier ce poème Discours au ciel pour te dire en ce jour saint combien je pense à toi et combien je t’aime La mort n’est rien quand la vie a été aussi belle, tu vis à travers nos souvenirs de toi Mourir n’est pas une fin quand la Foi en notre amour te rend si présent sous notre toit En ce jour de Toussaint, je veux te tenir la patte pour ne plus jamais la lâcher Tu me manques tellement, je n’ai jamais cessé de t’aimer, un amour pour l’éternité Je me souviens de tes aboiements qui même dans le désespoir me faisaient espérer Je me souviens de tes regards et de tes léchouilles, les messages de tes yeux pleins de beauté Ton décès m’a tellement fait pleurer, je me suis noyé dans des larmes de douleurs Ton âme est venue me visiter pour me dire de vivre, de ne jamais renoncer au bonheur Ta mort fut un naufrage, j’ai perdu tous mes repères, j’ai perdu le goût de la douceur Ta belle âme est venue me visiter pour m’enseigner que tu restes vivant en mon cœur Texte sur La Toussaint écrit par Hamoudi quelques peu changer pour l'approprier a nos petits anges, |
Déposé par goulou50 le 03/11/2015Tu resteras pour toujours Mon livre vivant Que j'ai eu l'occasion d'apprendre ; Ton regard fut pour moi Ma plus grande leçon Et lire en toi A été ma plus belle découverte Qui a donné à ma vie Un sens différent. Pas de vaines paroles Simplement une immense compréhension ; Pas de mots compliqué Seulement un chemin de vérité Avec une tendresse Remplie de sincérité. Et lorsque ce livre Sera fermé Quelque part en nous Ces silences faits d'or Continueront à étinceler Dans nos coeurs Pour l'éternité. |
Déposé par colombine67 le 03/11/2015Tu ne peux pas retenir le temps. Il passe. Il coule entre tes doigts comme l'eau de la fontaine. Il glisse dans ta main comme le sable de la mer. Tu ne peux rattraper le passé. Il n'est plus. Il s'en est allé comme le couchant d'hier. Il est disparu comme un souvenir perdu. Tu ne peux emprisonner le futur. Il n'est pas encore. Il viendra à son heure comme le levant de demain. Il te rejoindra comme la vague qui s'approche du rivage. Mais tu peux toujours cueillir le présent comme un beau présent de Dieu. Ce présent est comme un grand arbre : il plonge ses profondes racines dans ton passé tout plein de souvenir et d'expérience, comme une sagesse accumulée. Et il lance ses longues branches vers ton futur tout plein de promesse et d'espérance, comme un projet emballant. Le présent est fait de ton passé qui n'est plus et de ton futur qui n'est pas encore. Prends le temps qui t'est donné à chaque instant qui passe. Cueille-le précieusement comme l'eau du ruisseau qui t'est toujours disponible. Ne gaspille pas ton temps, c'est un cadeau de Dieu. Ne passe pas ton temps à courir après le temps. Prends ton temps. Ne dis pas : je n'ai pas le temps. Dis plutôt : j'ai tout mon temps. Ne sois pas avare de ton temps. Donne de ton temps aux autres comme Dieu te le donne à toi. Ne cours pas tout le temps, prends ton temps. Et laisse au temps le temps de faire son temps. Alors, tu gagneras du temps. Et tu découvriras que c'est beau et bon le temps, que c'est plein de Dieu dedans. Jules Beaulac |
Déposé par colombine67 le 02/11/2015Savoir attendre Sans vouloir tout comprendre, Savoir hurler Sans pour autant se résigner, Savoir pleurer Sans pour cela désespérer. Essayer d’avancer Pour ne pas retomber, Essayer d’oublier Pour ne pas se noyer, Essayer d’espérer Pour ne pas se révolter. Laisser couler son cœur Comme s’ouvre une fleur, Laisser sortir son âme Comme s’élève une flamme, Laisser renaître la vie Comme pousse l’épi. Regarder l’horizon Pour une autre ascension, Attendre un navire Pour un nouvel avenir, Guetter l’Espérance Pour une autre naissance. Elisabeth Lafont |
Déposé par lili2248 le 01/11/2015Mon chien ***** À mes côtés tu te tiens Toute ta vie durant Remplis de fidélité et d’amour Que je ne mérite pas Mais si tu savais comme je t’aime mon ami Tu me consoles de mes peines Et me soignes de mes maladies Tu poses ton doux regard sur moi Pour une caresse Car Pauvre ou riche Beau ou laid Heureux ou triste Tu m’aimes comme je suis Tu portes en toi tout l’amour du monde Toujours là pour moi Toi mon compagnon, et mon meilleur ami Tu es dans mon cœur pour la vie Car le paradis n’existe pas sans toi à mes côtés Mon chien |
Déposé par mindy le 01/11/2015Nos absents nous accompagnent de Yves Duteil Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ? Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire : « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant leurs yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-il besoin, eux aussi, de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus tristes sans eux… ». Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers « Ailleurs » ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un « après », un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents. -------------------------------------------- Avec mes plus tendres pensées pour toi Punky et toutes mes amitiés à ta maman de coeur |
Déposé par colombine67 le 01/11/2015 Nos absents nous accompagnent de Yves Duteil Où s’en vont ceux qui nous manquent ? Nous accompagnons leurs corps jusqu’en terre et puis après ? Nous fleurissons leur mémoire, nous leur parlons comme s’ils étaient encore là, quelque part, inaccessibles mais présents, bienveillants et sages. Que ne donnerait-on pour une réponse, un conseil de leur part, un mot pour dire : « Je veille sur vous » ? Et il nous suffit de les évoquer pour qu’ils nous sourient dans notre plus beau souvenir, de leur visage le plus lumineux. Nos absents nous accompagnent. On ne peut rien leur cacher puisqu’ils nous regardent avec nos propres yeux. C’est une étrange et intime conviction que l’on ne peut partager qu’avec ceux que l’on aime, dans la confiance de n’être pas raillé, mais au contraire conforté. Ceux qui nous manquent remplissent le vide de leur absence par une présence silencieuse et tendre. Toujours disponibles, ils sont auprès de nous, derrière nos paupières closes, dans les moments de doute et de peur, dans les joies profondes. Dans la douleur de les avoir perdus, il y avait cette impuissance à les retenir, à les aider, à les accompagner. Dans le chagrin de leur absence, on a le sentiment d’être guidés par eux, de leur conférer un rôle qu’ils n’ont ainsi jamais perdu. En fermant leurs yeux, ils nous laissent leur regard, à la façon d’une boussole. Peut-être ont-il besoin, eux aussi, de nos pensées, de nos lumières pour éclairer leur route ? Le chagrin n’est que le revers de l’amour. Mais c’est encore de l’amour. Qu’il serait « triste de n’être plus tristes sans eux… ». Au Panthéon de nos cœurs, nos absents ont toujours raison. Si l’on devait faire le portrait du bonheur, il aurait parfois le visage du chagrin et la quiétude bienveillante de ceux qui nous ont quittés mais qui veillent sur nous tendrement. C’est une image apaisante pour s’endormir, pour s’orienter ou se perdre dans leur sourire. Il y a un peu d’infini dans cet amour-là. Ceux qui nous manquent semblent si sereins, si proches comme en apesanteur… Est-ce qu’ils trouvent en nous leur chemin vers « Ailleurs » ? Alors les vivants deviendraient la maison de ceux qui les ont aimés. Et si un jour ils n’existent plus pour personne, auront-ils vraiment disparu ? Se sentir aimé de son vivant, c’est savoir qu’il existe quelque part un « après », un moyen de poursuivre la route ensemble. L’absence n’est pas qu’un vide. C’est aussi de l’amour qui nous accompagne. Servir encore, être utile à quelqu’un… Un beau destin pour nos absents. |
Déposé par rafia le 01/11/2015Quelques lignes, sans prétention, afin d'honorer, en nostalgique jour de TOUSSAINT, la mémoire de nos anges canins, félins et...autres, adorés. Petits anges, Si loin de nos coeurs Vs devez avoir peur. Peur d'être oubliés Et de n'être plus jamais aimés. Mais comment chasser de notre coeur Vos facéties, ces tendres bonheurs Que vs ns avez donnés, Tout au long de votre courte vie Et à chacun de nos câlins ??? Petits anges partis Mais restant à jamais dans nos vies, Chaque jours décomptés Ns aident à ns rapprocher. Faut-il y croire ??? Ou bien est-ce une légende ??? Alors, si loin de vs, La vie devient floue..... Pr ns rassurer, Faites-ns un petit signe, pr apaiser notre peine. Le temps passe vite, mais l'amour que ns avons pour vs Restera à jamais gravé, Dans nos coeur et dans nos pensées Pour mes Amours/Westies, mais aussi pour tous les Anges leurs AMIS/AMIES, et leur chère famille. Avec toute mon amitié. Maryem, votre amie..qui ne vs oublie pas. |
Déposé par poutounou le 31/10/2015Pour la Toussaint et la fête des morts, un tendre poème sur une « belle dame », fidèle à son amour comme nous le sommes à nos anges…. * Une ombre qui passe… * Toute de noir vêtue et sa canne à la main, Elle avance à pas lents dans la petite allée En serrant sur son coeur cette fleur d'azalée Qu'elle va déposer juste au bout du chemin. * Qui pourrait maintenant dire quel est son âge? Elle vient chaque jour retrouver un moment Celui dont le départ a causé son tourment. La douleur a creusé les traits de son visage. * Elle ferme les yeux pour lui dire tout bas, dans le calme apaisant du petit cimetière, Qu'elle adresse au seigneur une ardente prière Pour aller au plus tôt le rejoindre là-bas. * Mais la foule aujourd'hui va troubler sa retraite : C'est le jour de l'année où chacun se souvient Qu'un être cher repose en la tombe qu'il vient Couvrir de belles fleurs, comme pour une fête. * Présence inopportune où sombre sa douleur, Elle ne peut ce soir, comme à son habitude, partager un instant de tendre solitude Avec celui qui fut sa source de bonheur. * Alors, elle s'en va, telle une ombre qui passe, En essuyant un pleur du revers de la main. Elle sera fidèle au rendez-vous demain, Lorsque les visiteurs auront quitté la place. |
Déposé par nikita le 31/10/2015Ma jolie maman d'amour <3<3<3<3<3<3<3<3<3<3<3 Toi que j'ai tant aimé ! Jamais, je ne t'oublierai. Par malheur, j'ai dû te quitter. Je sais que tu es affligée. Mais ne sois, ni triste, ni préoccupée, Je suis bel et bien arrivée ! Tu peux sécher tes larmes Je te fais le serment, Qu'à compter de maintenant, Et pour l'Éternité, Jamais plus, je ne te quitterai. Ni cesserai de t'aimer ! Je suis partie. Quittant tes bras bien aimants, Malheureusement pour toi, aujourd'hui, C'est un jour plutôt gris. Les nuages ont tout envahi. Le bleu du ciel s'est évanoui. Il pleut dans ton cœur, De grosses larmes de douleur. Ma petite maman chérie Je t' en prie, En toute sincérité, je te le dis : Ne sois ni triste, ni accablé. Sois heureuse en pensant à moi !!! Ici, il n'y a plus de douleur, Plus de cri, plus de larme, plus de peur. Inlassablement, le vent fredonne tes paroles et tes mots Et l'écho,jusqu'à moi porte ta voix Si douce, si chère,si familière Remplie d'Amour et de compréhension. Oui, je t'entends me parler Je suis ici, je suis là, je suis présent. Je n'ai rien oublié !!! Je suis avec toi tout le temps. Plus personne ne peut nous séparer. Et pour l'Éternité,je continuerai à t'aimer Tu continueras de vivre dans mes pensées. Dans mon cœur, ton souvenir restera gravé. Tu resteras Celle que j'ai toujours aimé. Comme si le temps jamais ne nous avait séparé Je revois toujours et encore ces moments merveilleux, Qu'ensemble nous avons partagé. Nous avions du Bonheur plein les yeux. Mon Amour pour toi était illimité Je t'aime ma maman adorée bisous remplis de tendresse sur ta belle frimousse mon joli corsaire PUNKY à partager avec ta maman à qui tu manques tant |
Déposé par colombine67 le 31/10/2015 Il était une fois un vieil homme assis à l'entrée d'une ville du Moyen-Orient. Un jeune homme s'approcha et lui dit : - Je ne suis jamais venu ici ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? Le vieil homme lui répondit par une question : - Comment étaient les gens dans la ville d'où tu viens ? - Egoïstes et méchants. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'étais bien content de partir, dit le jeune homme. Le vieillard répondit: - Tu trouveras les mêmes gens ici. Un peu plus tard, un autre jeune homme s'approcha et lui posa exactement la même question. - Je viens d'arriver dans la région ; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? Le vieille homme répondit de même : - Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d'où tu viens ? - Ils étaient bons et accueillants, honnêtes; j'y avais de bons amis; j'ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme. - Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme. Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s'adressa au vieillard sur un ton de reproche : - Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ? - Celui qui ouvre son coeur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son coeur. Anonyme |
Déposé par Biscuit le 31/10/2015Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne On joue le rôle de celui pour qui tout va bien Pourvu que les autres n'en sachent rien On fait au mieux pour sauver la face Pour que notre entourage ignore par où l'on passe On rit on danse on fait les fous comme à Venise Mais quoiqu'on fasse mais quoiqu'on dise Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? L'orgueil nous aide à tenir le coup Apparemment on pourrait même faire des jaloux C'est à nous même que l'on se joue la comédie Pour s'inventer qu'on est guéri Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? Ces blessures là Qui ne se voient pas Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et que ne pas que tout espoir nous abandonne Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir Les blessures qui ne se voient pas Parfois semblent avoir perdu nos trace Et quand on ne s'y attend pas Sans que jamais les autres le sachent Elles remontent à la surface Et nous fusillent une fois encore Les blessures qui ne se voient pas Qui nous font du mal bien plus que toutes les autres Ces blessures là Qui ne se voient pas on vit avec chaque jours vous nous manquez nos petits amours, Pour Punky ,amitié |
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