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In tribute to
SETTER-GORDONRUBENS
Born on :03/06/2000
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left by colombine67 on 02/08/2015 LE COLLIER DE PERLE.. EST UNE HISTOIRE VRAIE ET VRAIMENT BELLE! Une belle petite fille enjouée avec des boucles blondes de presque 5 ans, en attendant avec sa maman près de la caisse, aperçoit un collier de perles toutes brillantes en nacre dans une boite en aluminium rose! 'Oh s'il te plait, maman, est-ce que je peux les avoir? Maman je t'en supplie, s'il te plait?' Vivement la maman regarda à l'arrière de la boite rose et se tourna vers ces petits yeux bleus qui lui suppliaient avec sa petite frimousse tournée vers le haut. '$1.85. C'est presque 2 dollars. Tu sais, si tu les veux vraiment, tu peux faire des choses extra à la maison et en un rien de temps tu auras assez d'argent pour les acheter toi-même. Et ton anniversaire est seulement dans une semaine, tu auras surement des sous de ta grand-maman aussi.' Aussitot que Jenny retourna à la maison, elle vida sa petite tirelire en forme de cochon... elle calcule 17 cents. Après le diner, elle a fait plus que demander pour aider à la maison et ensuite elle a été chez la voisine Mme. Mc James en lui demandant si elle pouvait arracher ses mauvaises herbes pour 10 cents? À son anniversaire, sa grand maman lui donna un autre dollar et enfin elle avait assez d'argent pour s'acheter le collier. Oh, Jenny adorait ses perles. Ça la faisait sentir madame et grande fille. Elle les portait partout à l'église le dimanche, à la garderie, même au lit! Les seules fois qu'elles les enlevaient c'était pour nager ou prendre un bain. Car sa maman lui avait dit que si elles étaient trempées, elles tourneraient peut-être son cou vert. Jenny avait un père qui l'aimait beaucoup et à chaque soir quand il était temps de la mettre au dodo, il arrêtait tout ce qu'il faisait pour aller lui raconter une belle histoire. Un soir, après avoir terminé son histoire, il demanda a Jenny, 'Est-ce que tu m'aimes?' 'Oh que oui papa, tu le sais que je t'aime' 'Alors, donne-moi tes perles.' ' Oh, papa, pas mes perles. Mais tu peux avoir ma Princesse- le cheval blanc de ma collection. Celle avec la queue rose. Tu te souviens papa? C'est toi qui me l'a offerte. C'est ma préférée.' 'C'est ok, ma puce. Papa t'aime. Bonne nuit' Et comme toujours lui effleura la joue avec un bécot. Environ une semaine plus tard, après le conte du soir, le papa de Jenny lui demanda encore, 'Est-ce que tu m'aimes?' 'Papa , tu sais que je t'aime' 'Alors, donne-moi tes perles.' 'Oh papa, pas mes perles. Mais tu sais tu peux avoir ma poupée, la nouvelle, elle est toute neuve, celle que j'ai recue pour mon anniversaire, elle est si belle et tu peux même avoir la petite couverture jaune qui est appareillée à ses souliers.' 'C'est ok. Dors bien. Que Dieu te bénisse, ma puce. Papa t'aime.' Et comme toujours, il lui caressa la joue tendrement avec un bécot. Quelques soirs passèrent, et un soir quand son papa est entré dans la chambre, Jenny était assise comme une indienne au pied du lit. Comme il s'approchait d'elle, il remarqua son petit menton tout tremblant et une larme silencieuse qui coulait sur sa petite joue. 'Mais qu'as-tu Jenny? Qu'est-ce qui se passe?' Jenny ne dit rien mais leva ses petites mains menues vers son papa. Et quand elle les ouvra, le collier de perles y était. Avec une voix tremblante elle lui dit, 'Voilà papa, c'est pour toi.' Avec ses propres larmes qui coulaient sur son visage, le gentil papa de Jenny pris les fausses perles d'une main et de l'autre sorti de sa poche, un étui en velours bleu avec un collier en perles véritables et lui donna. Il les avaient depuis le début. Il attendait seulement qu'elle lui donne les fausses perles pour qu'il puisse lui donner le vrai trésor. Comme Dieu, il attend de nous qu'on lui donne les choses fausses à quoi on tient dans notre vie, pour les remplaçer par un trésor magnifique. Tenez-vous à quelque chose que Dieu veut que vous vous débarassiez? Avez-vous des compagnons qui ne sont pas nécessaire et vous font mal? Des habitudes, des activités, auxquelles vous êtes si habitué et attaché qu'il semble impossible de se débarrasser? Parfois c'est difficile de voir ce que l'autre main retient, mais croyez en une chose....* Dieu ne prendra jamais quelque chose à quoi vous tenez sans le remplacer par quelque chose de mieux! Vous pouvez faire 2 choses avec cette histoire a) Vous la passez aux autres qui en seront touchés b) Vous pouvez la jeter et ne pas en être touché. Les plus beaux cadeaux arrivent, quand vous partagez l'amour et que vous touchez les autres au coeur.* |
left by rafia on 01/08/2015 {De Là-haut} (Interprète Thierry AMIEL) De ce temps-là, je n'entends plus ma voix De ce temps-là, je ne guide plus mes pas De ce temps-là, je sais que je vais mais ne marche pas Sans aucun repos, j'avance puisqu'il le faut De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Désormais, s'il fait un peu plus frais Ce n'est pas que le temps soit mauvais Mais il est vrai que je me perds dans ce monde imparfait Ni meilleur, ni plus laid mais juste un pâle reflet De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau? Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud? Et s'ils te réconfortent, là où il t'emportent Je ne rêve qu'en noir et blanc Mes souvenirs se mêlent de sang et pourtant Je me lève pour faire semblant de vivre comme un vivant De là-haut, peux-tu me dire si les mots sont plus beaux? Peux-tu me dire si l'air est aussi chaud? Est-ce que tu le sens, est-ce que tu m'entends? Tous mes mots? Peux-tu me dire si leur sens est plus beau? Peux-tu me dire si leur souffle est plus chaud? S'ils te réconfortent, là où ils t'emportent... de là-haut. |
left by mediterran on 01/08/2015A demain ami Rubens pour la bolée de cidre. Chico et Melchior se lèchent déjà les babines à la pensée de déguster tes crêpes au grand marnier. Bonne fin de journée et grosses léchouilles. |
left by colombine67 on 01/08/2015L'ARC-EN-CIEL Un beau jour, toutes les couleurs du monde entier se mirent à se disputer. Chacune prétendait qu'elle était la plus belle, la plus importante, la plus utile, la préférée ! Elles se vantaient, à haute voix, chacune étant convaincue d'être la meilleure. Le bruit de leur querelle s'enfla de plus en plus. Soudain, un éclair d'une lumière aveuglante apparut dans le ciel, accompagné de roulements de tonnerre. La pluie commença à tomber à torrents sans discontinuer. Effrayées, toutes les couleurs se tapirent et se rapprochèrent pour chercher un abri les unes près des autres. La pluie prit la parole : "Stupides créatures qui vous battez entre vous, chacune essayant de dominer l'autre, ne savez-vous pas que c'est le Grand Esprit qui vous a faites toutes, chacune dans un but particulier, uniques et différentes ? Il aime chacune d'entre vous, il a besoin de vous toutes. Joignez vos mains et venez à moi. Il va vous étendre à travers le ciel en un magnifique arc-en-ciel, pour vous montrer qu'il vous aime toutes, que vous pouvez vivre ensemble en paix. Comme une promesse qu'il est avec vous et comme un signe d'espérance pour demain ..." Ainsi, chaque fois que le Grand Esprit envoie une pluie pour laver le monde, il place l'arc-en-ciel dans son ciel, et quand nous l'apercevons, nous devrions nous rappeler qu'il veut que nous sachions, nous aussi, nous apprécier les uns les autres et le louer de notre merveilleuse complémentarité. Légende Amérindienne |
left by rafia on 31/07/2015Pr tous nos amours/canins. AU REVOIR... Petit être de douceur, Qui m'a donné tant de bonheur, Toi, qui a tjrs charmé mon coeur, Aujourd'hui, je te pleure. Petit être de douceur, Tu as enrichi ma vie, De souvenirs tellement jolis, Pr tjrs ds ma mémoire, inscrits. Petit être de douceur, Je n'ai pas vu arriver l'orage Qui a empli mon coeur de rage. La Mort t'a emporté Je n'ai même pas ressenti que tu allais t'en aller. Petit être de douceur, Toi mon enfant/canin et mon ami//e, pr toujours. Toi qui ne trahit jamais Ton séjour sur terre, est bien trop court. Et la grande faucheuse est un vautour. Après un dernier regard, Contenant ta tendresse, sans fard Tu m'as ôté mon dernier espoir, Pourtant tu ne voulais pas mon désespoir. Tu es parti//e doucement, Te voilà envolé/é Avec ts tes regrets Vers ce que l'on appelle l'ETERNITE. Une certitude, tu ne voulais pas me quitter. Va, mon tendre petit coeur, Tu as ta place au Paradis Mais STP, n'oublie pas notre bonheur. Petit être de douceur, Toi qui a un si grand coeur, N'oublie jamais ta maman. Si c'est vrai qu'un jour l'on se retrouvera, Je suis certaine que vers moi, tu reviendras. Au revoir mon coeur, Au revoir mon infini bonheur Au revoir petit être de douceur. Au revoir mon âme soeur., ---------------------------------------- Ma bien chère amie, Je vs souhaite un excellent WE. Avec toute mon amitié. + 1000 mercis. + 1000 bisous pr vs, mon adorable amie. + ma tendresse pr le bel Iron. Maryem, votre amie. PS : Mille excuses si vs avez déjà reçu cette prose, j'ai eu un petit souci avec ma rubrique (sur mon Apple)....où je note mes envois. Mille mercis pr votre indulgence. |
left by Galinette3 on 31/07/2015“Comme un voilier” – William Blake 🐶 Je suis debout au bord de la plage Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan. Il est la beauté, il est la vie. Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon. 🐶 Quelqu’un à mon côté dit : “Il est parti !” Parti ? Vers où ? Parti de mon regard. C’est tout… 🐶 Son mât est toujours aussi haut, Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi, Pas en lui. 🐶 Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : “il est parti !” Il en est d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux, S’exclament avec joie : “Le voilà !”… 🐶 C’est ça la mort. 🐶 A nos chers anges qui sont partis au paradis des chiens du pont de l'arc en ciel |
left by colombine67 on 31/07/2015"Considérez vos rêves comme les enfants de votre Âme Et accordez-leur toute votre attention, car ils sont à l'origine de vos accomplissements". ....alors, j'ai pensé à cette fabuleuse chanson d'Yves Duteil dont je me permets de vous rappeler les paroles. Puissent-elles faire souffler un vent d'innocence sur chaque coin du Monde qui constitue notre si Belle Planète et chasser les odeurs de violence et de cruauté : Prendre un enfant par la main Pour l'emmener vers demain. Pour lui donner la confiance en son pas Prendre un enfant pour un roi. Prendre un enfant dans ses bras Et pour la première fois Sécher ses larmes en étouffant de joie Prendre un enfant dans ses bras. Prendre un enfant par le coeur Pour soulager ses malheurs, Tout doucement, sans parler, sans pudeur, Prendre un enfant sur son coeur. Prendre un enfant dans ses bras Mais pour la première fois Verser des larmes en étouffant sa joie, Prendre un enfant contre soi. Prendre un enfant par la main Et lui chanter des refrains Pour qu'il s'endorme à la tombée du jour, Prendre un enfant par l'amour. Prendre un enfant comme il vient Et consoler ses chagrins, Vivre sa vie des années puis soudain, Prendre un enfant par la main, En regardant tout au bout du chemin Prendre un enfant pour le sien. Je vous remercie tous de vous montrer si "Beaux"... |
left by colombine67 on 30/07/2015Toi dont la voix s’entend dans le souffle de la brise, Toi dont l’haleine donne vie au monde, Nous avons besoin de ta force et de ta sagesse. Fais que nous marchions dans ta beauté, Que jamais nos yeux ne se lassent de contempler les ors et les pourpres du soleil couchant. Aide-nous à lire les messages que tu as cachés dans les feuilles et les rochers. Rends-nous sages, afin que nous saisissions ce que tu nous as enseigné. Fais que nous soyons toujours prêts à venir à toi les mains propres et le regard clair. Ainsi quand la vie s’éteindra comme s’éteint le couchant, sans honte, nos esprits pourront venir à toi. Transforme nos cœurs afin que nous n’enlevions jamais à la beauté de ta création plus que nous ne lui donnons. Apprend-nous à ne jamais rien détruire à la légère pour satisfaire notre avidité, à ne jamais oublier de prêter nos mains pour édifier la beauté de la terre ; à ne jamais prendre ce dont nous n’avons pas besoin. Rends-nous capables de comprendre que détruire la musique de la terre, c’est créer la confusion, ruiner son apparence, et nous rendre aveugles à la beauté. Polluer son doux parfum par notre insouciance, c’est en faire une maison de puanteur. Mais si nous prenons soin d’elle, la terre prendra soin de nous. (prière amérindienne) |
left by rafia on 29/07/2015Parce que notre souffrance est la même...lorsque notre Amour/Canin.....nos Amours /Canins..ns quitte//ent Il est des faits et des images qui restent gravées à jamais Ds ma mémoire, comme un album souvenirs, ils sont stockés. Certains évoquent des moments tendres, Si joyeux qu'ils me font fondre. Mais dans les moments d'infinie tristesse C'est l'absence qui blesse; Les souvenirs accumulés au fil des ans Me font tjrs souffrir autant. Ma douleur je voudrais l'assimiler, Mais toutes vos absences me font pleurer, Lorsque je feuillette le livre de ma vie Seule, quand vient la nuit. Je me surprends à rêver, Ts mes souvenirs déambulent ds mes pensées. Je ne peux que constater Mes amours/westies combien vs me manquez. Je n'ai que des moments de bonheur Ds toute leur splendeur, Je peux encore ressentir toute la joie Que vs ns donniez autrefois. Mais la douleur atroce dégaine Pendant que nos souvenirs j'égrène, Le bonheur s'est éteint Avec vos départs, il a pris fin. Il y a aussi les moments d'accalmie Qui adoucissent ma vie, C'est un peu comme les nuages Qui avant l'orage, passent. Avec vs j'ai écrit Les plus belles pages de ma vie, Il faisait si bon vivre Je pourrais en écrire tout un livre. Je sais que d'autres épreuves m'attendent, La vie n'est jamais tendre Mais peut-être qu'un peu de bonheur Dans l'avenir mettra de la couleur. |
left by poutounou on 29/07/2015Une très belle histoire avec une belle fin comme on les aime… * A la Réunion, un chien s'évade du chenil de la SPA et fait 10 km pour retrouver son frère! * Le comportement des animaux n'a pas fini de nous surprendre. * Christian, en adoptant Atchy à la SPA de Sainte-Marie, était loin d'imaginer qu'il allait en fait adopter aussi le frère de l'animal. "En adoptant ce chien, j'avais remarqué un autre chien qui avait l'air triste. En fait, c'était son frère", explique-t-il. * Ne souhaitant adopter qu'un seul chien, Christian emmène Atchy chez lui. * Quinze jours plus tard, Atchy s'est parfaitement habitué à son nouveau domicile. "C'est un chien très gentil", indique Marie-Lina, l'épouse de Christian. * Jeudi dernier, Marie Lina remarque un chien au rond-point de la Rivière des Pluies. "Je ne pouvais savoir qu'il s'agissait en fait du frère d'Atchy", affirme Marie-Lina, laissant transparaître son émotion. * Dimanche dernier, toute la famille est surprise de voir Atchy aboyer pendant un long moment après un autre chien au portail. "Ils ont longtemps aboyé et j'ai fini par ouvrir le portail", raconte Christian. "Quand l'autre chien est entré, il s'est mis tout de suite à jouer avec Atchy. J'en ai eu des frissons à cause de l'émotion qui est monté à cet instant. Le lendemain, lorsque j'ai appelé la SPA, ils m'ont expliqué que ce deuxième chien était le frère d'Atchy et qu'il s'était échappé depuis plusieurs jours, sûrement parce que son frère lui manquait trop". * Appelé Rex, le frère d'Atchy est encore un peu maigre à cause de son périple de plusieurs jours pour effectuer les 10 km qui séparent le chenil de la SPA de la maison de Christian et Marie-Lina . Depuis, les deux chiens ne se quittent plus et ils ont droit chaque soir à une petite balade dans le quartier de Beauséjour. * Aujourd'hui, Christian et Marie-Lina s'interrogent. Comment Rex a-t-il fait pour retrouver la maison où Atchy avait été emmené ? S'est-il servi de son odorat pour y arriver ? Ou est-ce que ce sont plutôt les aboiements d'Atchy qui étaient audibles à 10km de distance et qui ont guidé Rex jusqu'à Beauséjour ? Une bien belle histoire en tous les cas... |
left by choupinou on 29/07/2015"La légende du pont de l’arc en ciel" "Il y a là-bas un pont qui connecte le ciel et la terre, on l'appelle le Pont de l'Arc-en-ciel" Dans cette partie du Paradis existe un endroit nommé Pont de l'Arc-en-ciel. Lorsque meurt un animal de compagnie, il se rend dans ce pays qui connecte le Ciel avec la Terre. On y retrouve là-bas, prairies ondoyantes, paisibles collines et vallées luxuriantes et tous les amis à quatre pattes qui y sont réunis peuvent y courir et s'amuser ensemble. Ils peuvent enfin y creuser tous les trous qu'ils désirent, courir dans de jolies plates-bandes, se rouler dans de généreux marais, bref toutes les interdictions terrestres n'y font plus loi. Dans cette contrée lointaine abonde eau, nourriture et soleil, et tous nos amis y sont confortables et bien au chaud, à moins que l'on ne décide d'aller courir un peu dans les hautes montagnes coiffées de neiges éternelles. Ceux qui étaient malades ou trop vieux ont recouvré ici santé et vigueur; ceux qui étaient blessés ou infirmes sont devenus sains et forts, ceux qui étaient abandonnés, négligés ou maltraités ont enfin trouvé chaleur et réconfort. Les animaux sont heureux et en paix, mais pour un grand nombre d'entre eux, il manque quelque chose de précieux à leur cœur. Ils ont perdu quelqu'un de très spécial qu'ils aimeraient tellement avoir de nouveau à leurs côtés. Des jours de bonheur se coulent donc doucement dans d'interminables jeux et courses folles à l'intérieur de cette grande meute pacifique. Mais un jour, arrivera le temps ou l'un d'eux s'arrêtera soudainement, tous ses sens se tiendront aux aguets. Ses yeux perçants miroiteront de mille feux, ses oreilles attentives se dresseront tels des miradors, son corps frénétique palpitera de toutes parts. L'élu commencera à courir hors du groupe, volant au-dessus des verts pâturages, traversant les larges rivières, ses pattes le portant de plus en plus vite, de plus en plus haut. Ça y est, vous le voyez courir vers vous dans ce point de lumière au bout du tunnel... en toute fidélité votre chien vous a repéré entre tous et il est venu à cette ultime rencontre. Vous souriez ! Enfin, vous vous retrouvez ensemble, ses joyeux bisous d'antan pleuvant de partout sur votre visage, vos mains pouvant à nouveau caresser son cou, son flanc, sa tête, vous pouvez enfin plonger votre regard dans les yeux confiants et aimants de votre chien. Plus rien ne pourra dorénavant vous séparer, vous serez à jamais réunis. Ainsi vous traverserez ensemble le Pont de l'Arc-en-ciel..." |
left by colombine67 on 29/07/2015LE CONTE DE GRAND-PAPA QUI N'AIMAIT PAS LES GÂTEAUX Il était une fois un vieux grand-père qui assistait au repas de mariage de sa dernière petite-fille. Il était heureux, serein, apaisé devant le merveilleux spectacle de toute sa famille réunie. Leur joie, leur bonheur à tous l'entouraient d'une émotion tendre. Comme elle était belle, sa petite-fille dans une éblouissante robe blanche ! Elle riait de bon cœur en découpant avec son jeune époux la somptueuse pièce montée toute scintillante de caramel blond et de dragées roses. - Servez-vous tous et faites passer à vos voisins de table, disait-elle en déposant les choux tout rebondis de crème sur les assiettes chaudes. Quand la petite-fille passa l'assiette à son grand-père : - Tiens, Pépé Paco ! prends donc du gâteau ! - Mais non ! fais passer le plat, l'interrompit sa mère, toujours attentive, tu sais que Pépé n'aime pas les gâteaux. Il y eut un instant de silence et l'on entendit soudain la voix joyeuse du grand-père : - Mais oui ! j'aime les gâteaux. Tiens, je vais prendre ce beau chou-là. Regard stupéfait de sa fille. - Comment ça, tu aimes les gâteaux ? Mais tu n'as jamais aimé les gâteaux ! Moi ta fille, j'ai cinquante ans et je ne t'ai jamais vu manger un gâteau de toute ma vie... - De ta vie à toi, ma fille, oui…Mais pas de la mienne ! C'est que je les aime, les gâteaux ! J'ai toujours aimé les gâteaux… Seulement, nous étions si pauvres quand vous étiez petits avec tes sœurs et ton frère, tu le sais bien…Des gâteaux, votre mère ne pouvait en acheter qu'une fois de temps en temps, et encore seulement les dimanches de fête… Elle en prenait un pour chacun, c'est sûr, mais moi, quand je voyais tes yeux à toi, ma toute petite, quand tu venais t'asseoir sur mes genoux et que tu dévorais ton gâteau avec tant de plaisir, mon plaisir à moi, tu vois, c'était de te regarder manger mon gâteau que je te donnais si volontiers. Et j'ajoutais toujours pour que ton plaisir soit complet : " Mange ma petite petitounet, va !…moi je n'aime pas les gâteaux : " Le grand-père en disant cela souriait tendrement, dodelinant doucement de la tête. Il dit encore en riant franchement : - Tiens, ma fille, aujourd'hui c'est fête, donne-moi aussi celui qui reste sur le plat, là… D'ailleurs il va finir par tomber si tu continues à trembler comme ça ! Tu as froid ou c'est l'émotion de marier ta fille ? Il arrive quelquefois que les cadeaux d'amour mettent de longues années avant d'être reconnus comme tels. Il suffit parfois d'un moment de tendresse, qui vient se poser sur un souvenir avec la délicatesse d'un pétale de fleur pour qu'ils se révèlent au grand jour. |
left by Biscuit on 28/07/2015Je ne peux pas encore te dire adieu Meme si tu es monté dans les cieux Je ne peux pas parler de toi au passé Ma douleur est non refermée Je regarde tes photos Ma vue embuée par tous ces maux Tous ses petits chiens qui jouent dans ce paradis Attendent la tombée de la nuit Pour nous voir prier Je t'aime si fort Je ne t'oublierai jamais Dans mon coeur tu es Un jour ,je te retrouverai Adieu mon petit ange |
left by colombine67 on 28/07/2015Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage. - Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince. - Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi. Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie. Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire CHANGE LE MONDE « C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas» et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent. Bien des années passèrent. Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas. - C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise. Et il disparut. Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire CHANGE LES AUTRES « C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.» et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent. Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses. - Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Soit reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir. Et le Vieil Homme disparut. Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots CHANGE-TOI TOI-MEME « Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire» se dit-il. Et il entama son 3ème combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelque succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser. - C'est bien, dit le Sage. - Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de ma battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise. - C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru. Et il disparut. Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ème porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait ACCEPTE-TOI TOI-MEME Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens. «Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.» Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer. Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda : - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement. - C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème porte. A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut ACCEPTE LES AUTRES Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections, leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu. Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. - Qu'as-tu appris sur le chemin demanda ce dernier. - J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement. - C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte. Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut ACCEPTE LE MONDE « Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois.» Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé ou son regard ? Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda. - Qu'as-tu appris sur le chemin ? - J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe, c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement. - C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde. Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita. - Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage, celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence. Et le Vieil Homme disparut. Merci à Françoise Laurent pour ce texte |
left by rafia on 27/07/2015NOS ABSENTS chanson de Grand Corps Malade C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte Qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque tangible Car l'amour qu'on leur donnait est orphelin et cherche une cible Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire Mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord Car la mort a ses raisons que notre raison ignore Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste À plusieurs on est plus fort mais on n'est pas moins triste C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent On apprivoise la douleur et la présence de nos absents Nos absents sont toujours là, à l'esprit, dans nos souvenirs Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés Ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou En se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure Dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur Nous, on a des projets, on dessine nos lendemains On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains Et au cœur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers On imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant Je me suis bien renseigné, on n'en sortira pas vivant Il faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux Mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle Mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel Ce temps qui, pour une fois, est un véritable allié Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers Moi, les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup Alors j'écris sur eux, je titille mes sujets tabous Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte Qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte C'est ceux qu'on a aimés qui créent un vide presque infini Qu'inspirent des textes premier degré Faut dire que la mort manque d'ironie |
left by colombine67 on 27/07/2015CONSEILS POUR MENER VOTRE VIE : 1. Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques. 2. Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon. 3. Suivez les trois R : Respect de soi-même, Respect des autres, Responsabilité de tous vos actes. 4. Souvenez vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance. 5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement. 6. Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié. 7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger. 8. Passez un peu de temps seul chaque jour. 9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs. 10. Rappelez-vous que le silence est parfois la meilleure des réponses. 11. Vivez votre vie d'une façon bonne et honorable. Ainsi, lorsque vous vieillirez et que vous regarderez en arrière, vous en profiterez une deuxième fois. 12. Un foyer aimant est la fondation de votre vie. 13. Dans les désaccords que vous avez avec ceux que vous aimez, ne vous occupez que de la situation actuelle. Ne réveillez pas le passé. 14. Partagez votre savoir. C'est une manière d'atteindre l'immortalité. 15. Soyez tendre avec la terre. 16. Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé auparavant. 17. Souvenez-vous que la meilleure des relations est celle dans Laquelle l'amour que chacun porte à l'autre dépasse le besoin que vous avez de l'autre. 18. Jugez vos succès d'après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir. 19. Approchez l'amour et la cuisine avec un abandon insouciant. Source: attribué au Dalaï Lama....www.lespasseurs.com |
left by Biscuit on 27/07/2015Parfois, deux personnes s'aperçoivent que même si elles sont très proches et même si elles s'aiment beaucoups, la vie les mènes dans des directions différentes au moins pendant quelque temps ... Tu me manques tellement. Il y'a des jours où je donnerais n'importe quoi pour te regarder dans les yeux et voir tous cet amour qui nous unissait, des jours où il me semble que cette séparation durera toujours. Mais je sais que cela n'arrivera pas, parce que les liens qui nous attachent sont trop forts. Quand viendra le jour où nous nous retrouverons, je sais que nous aurons l'impression que tout ce temps et toute cette distance n'avaient jamais existé entre nous. Jusqu'à ce moment-là, tu vis dans mon coeur. Ces moments sont inoubliables. Et ce bonheur inexplicable. Pensées ,Amitiés. |
left by rafia on 26/07/2015J'ai l'âme en détresse et le coeur en miette Comme un navire en pleine tempête J'ai les yeux qui pleurent ma peine et mon désespoir Comme un enfant perdu dans le noir. Les larmes coulent lentement Comme autant de mots emportés par le vent Mon coeur se serre douloureusement Le mal est là, affreusement. Avec toute ma bien sincère amitié. + 1000 mercis. + 1000 bisous + ma tendresse pr le bel Iron. J'espère que vs continuez votre convalescence en toute quiétude et chouchoutée...sans modération. Pardonnez ma curiosité...mais les médecins ne vs ont-ils pas conseillé ...l'air marin, pr son iode, bénéfique à la thyroïde ??? Maryem, votre amie. |
left by seensouaree on 26/07/2015Il pleut sur mes lunettes Il pleut sur mes lunettes Je n’y vois plus très bien Je dois avoir l’air bête Je ne sens plus ta patte Il pleut sur mes lunettes Tu parles d’un temps de chien Il pleut sur mes lunettes Ou bien j’ai du chagrin Et dire que c’est la dernière fois Que nous nous voyons toi et moi Et dire qu’au moment de l’adieu J’ai de la buée dans les yeux Il pleut sur mes lunettes Je n’y vois plus très bien Je dois avoir l’air bête Reste jusqu’à demain Je pleure sous mes lunettes Pourquoi te le cacher J’ai du chagrin, c’est bête C’est rien, je vais me moucher ! Tendres câlins pour joli petit ange Bonne semaine à ta gentille maman avec toute mon amitié |
left by Galinette3 on 26/07/2015🐶 Je t'aime mon chien 🐶 Tu m'as donné tant de bonheur Sans rien vouloir en retour Mais voila qu'est venu l'heure Où tu nous quitte pour toujours 🐶 Tu m'as offert les plus beau moments de ma vie Et maintenant te voila partie pour de bon Dans mon coeur, tous nos bon souvenirs resterons Ne l'oublie jamais, je t'aime 🐶 Poème de Sacha |
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